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DEVOIR DE FRANCAIS

PARTIE I : EXPOSE ECRIT


ROMAN : LA MERCEDES QUI SAUTE DES TROUS
INTRODUCTION :

Cette histoire se passe Lubumbashi. Elle commence par une description de la vie d’un ouvrier d’une
usine de sidérurgie. Ensuite deux ouvriers entendirent un bruit de tam-tam de fête. Désireux d’en savoir
plus, ils interpelèrent une marchande de sombé qui leur dit que le fils ainé de Duir est nommé PDG
d’une usine de la place. Et ainsi commence l’histoire d’un homme nomme comme PDG d’une
Enterprise bénéficiant des avantages. Du temps passa et on se rendu compte que son comportement
changer

1. VIE ET OUEVRE DE L’AUTEUR :

Zamenga Batukezanga est né le 20 février 1933 à Nkobo-Luozi dans la province du Bas-


Congo (République démocratique du Congo). Dans les années 1950, il fait ses études supérieures à
Mangembo puis en 1960, une bourse d’études lui permet d’étudier à l’Institut supérieures des
sciences sociales appliquées à Mons et à l'Université libre de Bruxelles, en Belgique. Il fait une
spécialisation à Manchester et en Afrique de l'Ouest. De retour au Congo en 1965, il s’occupe
d’abord des homes pour étudiants à l'Université de Kinshasa puis est nommé directeur des œuvres
sociales estudiantines. En 1974, il rentre chez General Motors Zaïre comme cadre chargé des affaires
sociales et relations extérieures. En 1977, il quitte General Motors et ouvre un centre pour la
rééducation des jeunes handicapés physiques (Kikesa) qu’il dirigera jusqu’en 1981. Il est nommé en
1984, directeur général de la Société nationale des éditeurs, compositeurs et auteurs (SONECA).

Vers la fin des années 1980, il décide de tout quitter. Il refuse un poste à l’Unesco en 1986 pour se
consacrer entièrement à l’écriture et aux œuvres philanthropiques. Il passe les dernières années de sa
vie dans sa région natale, au service des plus démunis. Il meurt le 2 juin 2000 à Kinshasa.
Il écrivit d’autre roman telle que : Bandoki, un croco à luozi, chérie Basso, les hauts et les bats, chemin
interdit, Mille kilomètre à pieds, … aux éditions MédiasPaul.

2. INTRIGUE
Dans cette première partie nous voyons que les ouvriers travaillent dans des mauvaises conditions dans
l’une des usines du pays. En sortant du travail, deux ouvriers entendent un bruit de tam-tam. Ils
demandent à une marchande de sombé de les informent sur ce bruit. Elle leur dit que le fils de Diur est
nommé pour le poste PDG d’une usine de la place
Dans cette deuxième partie nous voyons que dans la maison de Duir junior, le chef de la tribu organise
une fête de circonstance qui durera deux jours. Clôturant les festivités, le représentant du chef de la
tribu lui donna des ordonnances dont l’une est celle-ci : «Soulage la misère des paysans de notre région.
Apporte-leur le progrès et le développement en y construisant des routes, des ponts, des hôpitaux et des
écoles, etc. » Le lendemain Duir déménage pour occuper l’énorme maison réservé aux PDG.

Dans cette partie nous voyons que Duir étant déjà installé dans sa nouvelle maison, il bénéfice des
mêmes avantages que le blanc qu’il remplace. Mais il demande qu’on change de chauffeur et ce là qu’il
tombe sur Karl. Après quelques semaines, Karl se voit confronté aux humeurs contradictoires des
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enfants. Comme à l’accoutumée, les chauffeurs attendent dans la vaste cour de l’école la sortie des
enfants de leurs patrons respectifs. Karl est assis avec quelques-uns de ses copains. Plus l’heure de la
sortie approche, plus Karl fulmine de colère, racontant à ses frères de métier, les caprices du fils ainé du
patron, et ainsi commence une petite discussion passionné entre les chauffeurs sur les sujets comme :
« Pourquoi les enfants des riches semblent-ils réussir moins que les enfants des pauvres,… »
Dans cette quatrième partie nous voyons que le patron informe son chauffeur qu’il est probable qu’il
doive passer la nuit ailleurs pour un diner d’affaires. Pendant que les patrons boivent, mangent et
dansent, les chauffeurs sont tous ressemblé au parking discutant de leur patrons respectifs et de leurs
amantes appelée aussi « Bureau ». Plus tard dans la soirée, les chauffeurs sont affamés. L’un d’entre
eux se dévoue pour aller demande de quoi mangé. Le chef cuisinier étant fortement touché par les
lamentations de ce chauffeur, se décide a employé un stratagème pour faire parvenir de la nourriture et
des boissons aux chauffeurs. Les voyant dépassés la mesure, l’un des chauffeurs les rappellent qu’ils
doivent encore conduire leur patron et que sous l’effet de l’alcool ils risquent de mourir bêtement dans
un accident.

Dans cette partie nous voyons qu’après la fête terminée, le chauffeur conduis son patron à la maison. Le
chauffeur roulant à toute allure tombe trois dans un trou. Cette fois-ci le choc fut si violent que le patron
se cogne le visage contre la paroi de la voiture. Le patron s’en prend à son chauffeur. Quelque peu
nerveux, le chauffeur lâche ironiquement : « Patron achète une Mercedes qui saute les trous.» Et le
chauffeur se mit à parler en lui-même fulmine et conclut par : « Mais tôt ou tard, la justice
triomphera. »

Dans cette partie nous voyons que Karl, le chauffeur, et son patron ont quitté tard la fête. Ils ont très peu
dormi. Malgré la fatigue Karl doit être au boulot, comme d’habitude, à la même heure. Le voilà à
présent au marché avec madame Duir, les yeux lourds de sommeil, il ne peut s’empêcher de roupiller.
Pendant que madame fait ses achats, Karl est endormi. Les voleurs ouvrent l’une des portières de
derrière et prennent le sac à main de réserve ainsi que certains autres effets. La patronne charge Karl de
tous les péchés en l’insultant. Aussitôt qu’il la dépose à la maison, Karl doit chercher son patron au
service. À midi, les Duir passent à table sauf le père. Tout le personnel se repose en attendant la ration
que leur donne la patronne. La patronne n’est pas encore remise du vol de son sac à main. En attendant
la ration, le personnel discuter, mais la discussion devient très chaude. Tout le monde parle à haute
voix. Dérangée par les voix la patronne surgit et dit : « Taisez-vous, sauvages, vous nous empêchez de
faire la sieste. Je sais que vous criez parce que vous avez faim, tant pis… ». Cette parole tombe comme
un poignard dans les cœurs des ouvriers.
Dans cette partie nous lisons que la situation est redevenue normal. La patronne se rend compte de la
gravité de son attitude face aux ouvriers et fort soigneusement, elle s’en excuse. Ce matin-là, Karl
vient prendre son patron pour le conduire au travail. Etant très élégant et bien habillé, les deux
conjoints le regarde venir : « Qu’il est beau notre chauffeur » s’exclame madame Duir. Etant frustré,
Duir tente de sonder le cœur de sa femme sans qu’elle s’en aperçoive. La réaction de l’épouse semble
rassurer son mari qu’elle n’a pas un penchant pour le chauffeur. Entre-temps, l’épouse accule son
mari l’obligent à être clair et sincère. Celui-ci lui révèle le pourquoi de la question. Une semaine plus
tard, la patronne Duir se trouve hantée par un problème. Elle désire obtenir un renseignement de la
part du chauffeur. Elle appelle Karl dans le salon privé et lui dit de s’asseoir à côté d’elle. Karl étant
inquiet, la patronne le rassure et ouvre la bouteille de champagne. Entre-temps, le champagne œuvre
dans le cerveau de Karl. Graduellement, il perd la raison et se laisse emporter…
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Dans cette partie nous lisons que quelques la crise dure deux jours. De plus en plus, les gens perdent
l’espoir d’en sortir. La crise fait à ce que les chauffeurs restent jour et nuit devant une station d’essence
en attendant qu’ils soient servis. L’un de ces amis chauffeurs l’amène à l’écart et lui montre une
manière de s’enrichir. Il décide d’y participé. Plus la crise de carburant s’aggrave, plus les chauffeurs,
les pompiers et leurs complices réjouissent et s’enrichissent. Ils ont décidé de l'appelé E.R (Emirats
Réunis), mais néanmoins, ça devient de plus en plus difficile d’avoir de l’essence. Ils eurent une idée :
pourquoi passer des nuits entières dans la tristesse et l’inertie. On peut rendre ces nuits agréables et
inoubliables. Il faut pour ce faire imaginer des loisirs. Lesquels ? Organiser des soirées dansantes….
D’où ils invitent des« bureau » à ces fêtes.

Dans cette partie nous voyons que la crise du carburant est terminée. En effet la crise étant terminée,
c’est la panique au sein de l’E.R. Un chauffeur informe ses copains qu’il a trouvé un truc qui, bien que
ça ne lui procure pas les avantages de la crise du pétrole, lui permet tout de même de nouer les deux
bouts du mois. Karl adopte le système. Chaque jour après avoir déposé les enfants à l’école, il prend
dans la voiture du patron un client qu’il conduit à son service. Quelquefois, il prend plus de trois clients
pendant que le patron l’attend pour l’amener à son bureau, mais ce jeu est risqué et provoque des
disputes entre les conjoints. Remarquant cela, il se décide à changer de tactique. Chaque jour de retour à
l’école, il vend un ou deux litres de carburant à un taximen. Suite à une dispute due à la convoitise
d’une amie, le taximen se décide de trahir Karl. Il donne à la patronne toutes les indications pour le
surprendre. Karl se doutant de rien viens au même endroit et se fait surprendre par la patronne. Irritée,
elle prend les clés et s’en va, résolue de ne plus jamais recourir aux services d’un chauffeur. Pour la
persuader et la convainque que la crise est néfaste pour les autres couches sociale

Dans cette partie nous voyons que quelques temps après, Karl donnant l’air amaigri et très soucieux,
son copain chauffeur Abusi avec lequel il trafiquait l’essence. Il lui donne une nouvelle stratégie pour
survivre. Sa stratégie est celle-ci : « Dès demain, tu t’entends avec l’huissier du patron. Sans pouvoir le
rançonner, faites en sorte que chaque visiteur vous laisse quelque chose avant de lui accorder un
rendez-vous. Si vous demandez quelque chose pour chaque dossier à introduire et à remettre aux
intéressés… si vous coopérez discrètement et efficacement, il y a de quoi s’assurer un revenu… » Et
Karl fit ainsi avec l’aide du l’huissier du patron. Ainsi le chauffeur pointé du doigt les personnes
susceptible de leur laisser quelque chose en accueillant avec une chanson ou avec honneur.

Dans cette partie nous voyons que la tactique du chauffeur et de l’huissier a duré longtemps. A la
longue, les visiteurs en ont marre : un jour, un visiteur costaud, à bout de nerfs, inflige une bonne petite
correction aux deux associés. L’affaire est portée au patron qui semble ignorer tout de la situation.
Chaque jour, le cuisinier, de son coté, subtilise dans les provisions de sa patronne ce qui est à sa portée :
quelques grammes de sel ou du sucre et même, s’il le faut, une cuisse de poulet. Par solidarité, il
s’associe avec le jardinier et la lavandière aux vols. Le cuisinier jette dans la poubelle de la viande, du
poisson, du pain et même des vêtements du patron et des enfants. Entre-temps, la lavandière surveille
tous les mouvements de la patronne, tandis que le jardinier de par sa fonction est chargé d’aller déverser
la poubelle au dépotoir où leurs épouses, la sienne et celle du cuisinier, l’attendent munis de leurs
bassines. Le partage souvent inégal, le jardinier se décide de trahir le cuisinier.il donne les moindres
détails des opérations de vol des denrées alimentaires et vêtements à la patronne qui le surprend de la
même que le chauffeur. Le personnel donne l’air meurtris par la faim et les soucis, ils n’étaient plus que
des squelettes vivants aux regards interrogateurs, incertains et inquiets face à leur avenir. Quelques
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temps après, le patron donne l’ordre au chauffeur de le conduire à la banque. Le chauffeur voit une
belle occasion de s’enquérir de la profession de laveur de voiture et le revenu qu’elle rapporte. Karl est
séduit et tenté d’embrasser le métier de laveur de voitures. Mais à son âge! Il se gêne, il vaut mieux ne
plus y penser. Puis en allant dans le hall de la banque il rencontre le nettoyeur qui est qui est en train de
balayer le hall. Spontanément, ils entrent en discussion et discutent longtemps sur les « Bwana de chez
nous »

3. THEME DEVELOPPE :

Le thème principal de ce roman est LES INNEGALITES SOCIALE. Ce thème est illustré dans le
passage : «Leurs enfants sont dans des crèches, jardins d’enfants, écoles primaires et secondaires et
dans les meilleurs universités américaines, européennes, japonaises, etc. Les nôtres sont sans avenir» ou
encore : «C’est le patron qui exploite l’ouvrier».    

I. PREMIERE PARTIE : Le thème est LA VIE DURE, illustré dans : «Ainsi est faite la vie
d’un ouvrier d’une de sidérurgie. »
II. DEUXIEME PARTIE : Le thème est L’ESPOIR, illustré dans : «… Duir secoue
discrètement la tête, surpris par l’ampleur des espoirs qu’on fonde… »
III. TROISIEME PARTIE : Le thème est L’EFFORT DES ENFANTS DES RICHES ET
DES PAUVRES, illustré dans : «…Les enfants des riches croient qu’ils sont
suffisamment nantis. Ils ne voient guère la nécessité d’étudier. Par contre, les enfants des
pauvres, conscients de la misère de leurs parents et des souffrances qu’ils endurent, se
lancent un défi pour une vie meilleure… »
 
IV. QUATRIEME PARTIE : Le thème est L’INNEGALITES SOCIALE, illustré dans : «…
Mais que mangent-ils là pour changer d’assiette à tout moment ? Nous, on ne mange
qu’une fois par jour, dans une seule assiette; et encore quelle nourriture ?... »

V. CINQIEME PARTIE : Le thème est LES RICHES OU LES PATRONS, illustré


dans : «…Ces mêmes magnats sont en général insolvables dans notre pays. En effet,
profitant de leur statut d’intouchables, ils prennent auprès des pauvres commerçants, des
marchandises qu’ils ne paient jamais… »

VI. SIXIEME PARTIE : Le thème est L’ATTITUDE DESAGREABLE (de la patronne)


illustré dans : «…Taisez-vous, sauvages, vous nous empêchez de faire la sieste. Je sais
que vous criez parce que vous avez faim mais tant pis… »

VII. SEPTIEME PARTIE : Le thème est LA CRISE DE JALUSIE, illustré dans : «…Qui est-
ce qui te séduit le plus. Le chauffeur ou moi ?... »

VIII. HUITIEME PARTIE : Le thème est L’INGENIOSITE, illustré dans : «…Pour les


ingénieux, la crise est une belle occasion pour s’épanouir… »

IX. NEUVIEME PARTIE : Le thème est LA TRAHISON, illustré dans : «…suite à une


dispute due à la convoitise d’une amie, le taximen se décide de trahir Karl… »
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X. DIXIEME PARTIE : Le thème est L’INGENIOSITE, illustré dans : «…sans pouvoir le


rançonner, faites en sorte que chaque visiteur vous laisse quelque chose avant de lui
accorder un rendez-vous… »

XI. ONZIEME PARTIE : Le thème est LA RECHERCHE DU BONHEUR, illustré


dans : «…enfin de compte, le bonheur, c’est peut-être de se faire un petit monde à soi, en
demeurant néanmoins en union avec les autres. »

4. SCHEMA ACTANCIEL :

DESTINATEUR 1 :
OBJET : SURVIVRE
SON EMPLOYEUR DESTINATAIRE 2 : LUI-
MEME, SA FAMILLE

ADGIVANTS : SES
COLLEGUES HEROS/SUJET : KARL
OPPOSANTS : LES PATRONS
CHAUFFEURS

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