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UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL

LA NOUVELLE GUERRE HÉGÉMONIQUE D’UN PAYS OCCIDENT VS UN PAYS ORIENT

TRAVAIL DE RECHERCHE

PRÉSENTÉ À L’UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL

COMME EXIGENCE DU COURS POL1400

À ÉRIC BOULANGER

Par

AUDREY DUFORT-SAVARD

(DUFA11629405)

12 avril 2022
TABLE DES MATIÈRES

Introduction.................................................................................................................................................3
Définition concept — clés :...........................................................................................................................3
Première partie : La Chine sur la scène politique internationale..................................................................4
La Chine a l’ONU et les organisations internationales..............................................................................4
La Chine sur le conseil de sécurité et sa propre sécurité..........................................................................5
Les échanges entre la Chine et les États — unis.......................................................................................7
La Chine et L’Union européenne..............................................................................................................8
Deuxième partie : La montée de la puissance économique de la Chine.......................................................9
La nouvelle route de la soie de la Chine...................................................................................................9
La Chine et sa place dans l’Asie de l’Est..................................................................................................10
Troisième partie : La Chine vs la mondialisation et le reste du monde..................................................13
La Chine et les nouvelles technologies dans le numérique....................................................................13
Les opérations de paix de la Chine (ONU)..............................................................................................14
Conclusion :................................................................................................................................................15
BIBLIOGRAPHIE...........................................................................................................................................16

2
Introduction

La Chine prend de plus en plus de place sur la scène internationale soit dans les médias ou les

conversations du quotidien. Le président de la Chine Xi Jinping est en poste dans la politique chinoise

depuis 2012 comme président de la République. Dans ces projets il veut faire grandir le pouvoir de la

Chine sur le reste des relations à l’internationale pour mieux être équipé contre le pouvoir des États-Unis 1.

La question est comment d’écrire ou analysé la montée en puissance de ce pays du soleil le vent. Nous

pensons que la Chine cherche de nouveaux secteurs économiques et accord politique pour créer de

nouvelles alliances. Le tout dans le but de faire grandir son pouvoir face à ceux des États-Unis qui sont

considérés comme l’hégémon de notre époque et du 20 e siècle2. Dans le texte qui suis nous aborderons

trois facettes de la montée de la Chine soit : la Chine sur la scène politique internationale, la montée de

l’économie de la Chine et la Chine vs la mondialisation et le reste du monde.

Définition concept — clés :

Mondialisation : « La “mondialisation” est un processus historique qui est le fruit de l’innovation

humaine et du progrès technique. Elle évoque l’intégration croissante des économies dans le monde entier,

au moyen surtout des courants d’échanges et des flux financiers. 3 »

État révisionniste : État qui cherche à changer la répartition des biens et du pouvoir dans le système 4.

Hégémonie : Selon le courant réalisme c’est l’État qui contrôle par sa puissance le système international 5.

1
M. Duchâtel. « La politique étrangère de la Chine sous Xi Jinping. » Hérodote, 2013, vol. 150, 173-174.
2
Ibid. p.176
3
Fonds Monétaire internationale. « La mondialisation : faut-il s’en réjouir ou la redouter ? », Fond Monétaire
Internationale , 2021
4
Relation internationale, «État-Révisionniste », théorie et concept  : Relation Internationale , 2016 , P.187
5
Ibid, « Hégémonie », p. 266

3
Capitalisme : « système économique basé sur la propriété privée des moyens de production et structuré en

vue de maximiser les profits. Le capitalisme s’oppose au socialisme et plus encore au communisme,

régime où la propriété privée n’existe pas6 »

Multilatéralisme : « Attitude politique qui privilégie le règlement multilatéral des problèmes mondiaux

(opposé à unilatéralisme)7. »

Première partie : La Chine sur la scène politique internationale

La Chine sur la scène politique est de plus en plus présente, elle est présente sur plusieurs organisations

mondiales. Le pays veut montée en puissance en créant de nouvelles alliances dans le monde, car pour

elle accroît sa puissance politique et sa visibilité fait partie de son plan de devenir la prochaine puissance

mondiale.

La Chine a l’ONU et les organisations internationales

La Chine fut autorisée comme pays à l’ONU en 1971 8. Depuis son retour à l’ONU le pays fait tout pour

être sur le plus de comités organisation internationale possible : la Conférence des Nations Unies pour

l’environnement, Organisation mondiale de la santé, organisation internationale du travail, etc. 9. La

Chine se dote comme rôle envers les organisations internationales de respecter les principes qui

régissent chacune d’elle comme la Charte des Nations Unies. Aussi, il se donne comme objectif de

contribuer en argent aux travaux faits par l’ONU et les interventions faites dans le monde. La Chine se

concentre sur cinq pôles importants dans ces relations sur l’ONU comme le désarmement et le contrôle

des armes, le maintien de la paix et règlement dit pacifique des différends, développement économique

et social, promotion et protection de la femme et protection de l’environnement et des ressources

6
Perspective Monde, « Capitalisme », Université de Sherbrooke, 2022,
7
Le Robert, « multilatéralisme », le Robert en ligne, 2022
8
Michel. Hammer, « L’entrée de la Chine aux Nations Unies. » Relations internationales, 2006, vol.127, 71-77.
9
Jian, G.). « Les relations entre la Chine et les organisations internationales : état actuel et perspectives d’avenir. »
Les Cahiers de droit, 1996, 37 (3), 851–859. s

4
naturelles10. Depuis, les dernières années et ce malgré les reproches faits par d’autres États sur le fait

que la Chine ne respecte pas les droits humains auprès de sa population, le pays reste neutre dans la

plupart des conflits sauf pour ce qui est en lien avec sa propre sécurité et image du pays. On peut en

conclure que la Chine veut être de plus en présente sur la scène des organisations internationales depuis

sa réadmission en 1971 le tout pour avoir son mot a dire le plus possible sur des décisions qui affecte

l’ordre des choses dans le monde.

La Chine sur le conseil de sécurité et sa propre sécurité

Le pays se retrouvant sur le Conseil de Sécurité de l’ONU comme pays faisant partie des cinq considérés

comme permanent. Cela leur donne un avantage sur les autres pays qui est le droit de veto sur toute

proposition faite au conseil, si le cela ne plaît pas la Chine elle peut utiliser se droit de veto pour que le

projet ne soit pas reconnu et personnes ne peut rien n’y faire. En ce qui a trait aux politiques

institutionnelles dans le pays pour la sécurité ; internes, on peut voir un changement de position

fréquent dans le temps par l’influence des engagements du pays dans les différentes organisations

internationales et les accords pris avec les différents pays et alliance dans le monde. On peut dire que les

politiques intérieures de la Chine sont en encore avec les politiques et les visions montrées sur la scène

internationale 11. La chine reconnaît trois enjeux de la réforme du conseil de sécurité de l’ONU. On

retrouve en premier le droit de veto de chaque pays permanent sur le CS, les cinq pays peuvent utiliser

le droit sur tout ce qu’ils veulent, mais la Chine peut en faire autant. En deuxième, on parle des activités

de maintenance de la paix dans le monde, elle veut participer à cette mission, mais moins que d’autre

pays comme le Canada, elle préfère investir dans le développement. Pour finir, elle le financement des

Nations unies est un peu plus compliquer pour le pays, car elle pense que des pays comme les États-Unis

10
Ibid, P.856-859
11
Line, Tassée. « La politique institutionnelle de sécurité de la Chine. » Études internationales, 1999,30 (2), 302-306

5
veulent prendre le contrôle sur les organisations du développement mondiales 12. La Chine sur le Conseil

de Sécurité s’investit parce qu’elle peut gagné sur le plan financier en dans le domaine de l’aide au

développement, elle veut être présente pour ne pas perdre un moyen de se faire de nouveaux alliés et

laisser les pays occidentaux prendre le contrôle de se pend des décisions sur le conseil de sécurité. On

peut dire que la position de la Chine comme pays permanent sur le Conseil de Sécurité lui permet d’avoir

le nez sur tous les dossiers importants dans le monde et lé décisions qui pourrait découler de ces

dossiers. En étant sur le CS, cela lui permet de garder un œil sur l’hégémon que sont les États-Unis. Aussi,

en prenant position sur des enjeux importants soit en restant neutre ou prenant le côté qui lui rapporte

le plus elle garde son rôle de protection de la paix mondiale, mais tout en gardant ces politiques en

matière de sécurités sa priorité en tant que pays. Pour poursuivre sur le sujet de la sécurité de la Chine,

elle considère qu’aucun pays sur la scène internationale ne peut mettre en péril ses frontières terrestres,

maritimes ou des airs13. Aucun pays qui ne l’entoure n’oserait s’attaquer à elle. Dans ce cadre, elle jouit

d’un environnement dit pacifique dans ce cadre elle peut rester fixer les moyens de montrés en

puissance sur la scène internationale. En matière de sécurité la Chine se concentre sur quatre points

importants : soit la protection des frontières et du territoire, l’accroissement des forces militaires sur

14
Taiwan, la modernisation de l’armée populaire de libération . Le pays depuis 2012, lors du congrès

mondial elle ou elle admirent : « Bâtir une défense nationale solide et une puissante armée qui

correspond à la position de la Chine sur le plan international et qui est conforme aux intérêts liés à la

sécurité et au développement de l’État constitue une tâche d’importance stratégique dans le contexte

de notre œuvre de modernisation. 15». En lien avec la citation on peut retrouver dans le livre blanc

publier en 2008 des objectifs que la Chine se donne en matière de politique de défense  : maintenir la

sécurité et unité nationale, le développement du pays, renforcé les performance de son armée, créer
12
Ibid., p.307-308
13
J. Cabestan, « Les orientations actuelles de la politique de sécurité. Dans : J. Cabestan, la politique internationale
de la Chine : Entre intégration et volonté de puissance ». Presses de Sciences Po. 2015. p. 119-202
14
Ibid., p. 142
15
Ibid, P. 31

6
une force de défense active, faire la promotion d’une stratégie nucléaire d’autodéfense, favoriser un

environnement de sécurité au développement pacifique de la Chine. Dans la mise à jour du document en

2015 on peut voir l’ajout de la protection des intérêts de la Chine à l’étranger un objectif majeur 16. On

peut conclure que la Chine avec l’ajout chaque année de ces nouveaux objectifs nationale montre une

adaptation de ces politiques en matière de sécurité intérieure et de cette frontière d’une importance

fondamentale. Cette constations montre aussi que la Chine surveille tout ce qui se passe sur la scène

mondiale pour mieux d’adapté et répondre a tout ce qui pourrait mettre en péril les objectifs qu’elle

s’est donnée en matière de sécurité et de défense mondiale. Pour la Chine sa démonstration auprès des

autres pays de sa puissance de sécurité montre qu’elle veut prendre de plus en plus de place comme

État dans les relations et les accords mondiale.

Les échanges entre la Chine et les États — unis

La vision qu’a la Chine sur les États-Unis est comme un modèle pour ce qui a trait a la puissance

économique, financière, la technologie et le militaire 17. Pour que la Chine devienne de plus en plus

puissante pour devenir une puissance dite État révisionniste, elle doit faire a faire en Amérique dans

plusieurs domaines. On peut constater une ironie dans la chose, car la Chine veut devenir le nouvel

hégémon à la place des États-Unis, mais le pays doit s’allier sur certains points pour développer leurs

économie et politique en Amérique et augmenter sa puissance 18. Durant la reine politique de Jiang

Zemin, un évitement des affrontements en les deux pays a été prôné par le chef d’État. La Chine prône

des discussions entre États avec l’hégémon considéré comme d’égal à égal. Vers la fin des années  90,

une politique est créée entre les États — unis et la Chine « constructif engagement ». Cette politique

était divisée en deux parties soit le non-affrontement entre les deux États et des visites échanges entres

sur tous les paliers politiques. Les Américains ont dû faire plusieurs concessions matérielles. Quand le

16
Ibid, P.32
17
H. Eyraud,« Les rapports sino-américains : Passé, présent, futur.» , Hérodote, 2003 , p. 69-90.
18
Ibid, p.69-90

7
président américain Donald Trump est arrivée au pouvoir il a dans c’est politiques visées clairement la

Chine comme étant son adversaire principale 19. Le régime communiste de Xi Jinping bloque toute

implication économique qui pourrait être favorable aux États-Unis, comme les entreprises Google,

Amazon, Apple, etc. pour la Chine se genre de plateforme. En essayant de bloquer ces entreprises pour

mettre de l’avant des entreprises du pays elle bloque un marché important que les Américains veulent

prendre. Une forme de protectionnisme se crée par est créé par les États-Unis dans le secteur des

nouvelles technologies, on peut par exemple citer le conflit des 5 G et de la compagnie Huawei que les

É.-U. on accuser de prendre des informations confidentielles et de pillage informatique 20. On peut

conclure que la Chine est pour les États-Unis dans les dernières années un obstacle sur plusieurs fronts

surtout dans les nouvelles technologies, car il prend de plus en plus de place.

La Chine et L’Union européenne

La relation entre la Chine et Union européenne est importante plus le pays, car elle donne accès a de

nouvel échange commercial considéré important pour celui-ci. On peut prendre en exemple en 2018 la

Chine et UE pour combattre la surtaxe sur l’acier et aluminium américain 21. Les deux pays défendent la

thèse du multilatéralisme, on peut penser qu’il soit des alliées contre les États — unis, sauf que la Chine

a ces propres desseins qu’UE ne peut répondre en matière d’accord ou de commerce. La Chine a dans

son collimateur les Américains ce qui fait qu’Union européenne est un peut seule malgré les pensée

communes entre les deux entités22. On peut conclure qu’UE n’est pas une ennemie ni un ami comme

ensemble de pays. Cependant, la Chine ne peut pas non plus rester aveugle des décisions prisent par UE

parce que cela peut affecter la place que le pays a dans les décisions a plus grande échelle comme a ONU

19
Jean-Marc, Siroen. « La guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine ». L’Académie des sciences morales et
politiques, 2008, p.724.
20
Ibid., p. 725
21
Ibid., P.732-733
22
Ibid,

8
Deuxième partie : La montée de la puissance économique de la Chine

Depuis quelque année la Chine investie dans de nouveaux secteurs économiques que se soit dans les

métaux, nouvelle technologie et dans le textile. Dans cette partie,

La nouvelle route de la soie de la Chine

Le président de la Chine Xi Jinping a décidé en 2013 de mettre de l’avant un projet pour augmenter sa

puissance économique dans le monde. Soit le projet qu’il appelle le BRICS pour : Belt and Road Initiative,

le but du projet est de développer l’hégémonie chinoise pour combattre les États-Unis sur le plan

financier en ouvrant de nouveau marché 23. Le but est de devenir une entreprise considérée comme

économique en le pays et l’Eurasie en faisant des connexions : en premier on retrouver ce qu’on appelle

la ceinture terrestre24 qui se déploie Asie centrale en Europe occidentale et orientale, on retrouve en

suite on retrouve les vois maritime Asie du SUD-EST et le continent indien et le Moyen-Orient. Le

gouvernement c’est doter dans le projet de quatre objectifs clairs : soit rendre plus fort le pays qui

participe au BRICS, promouvoir une paix mondiale, redresser les fiances de la Chine après la crise de

25
2008 et confronter la chine en montant de puissance et en faisant descendre celles des États-Unis .

Nous pouvons dire que la Chine en créant ce projet veut acquérir de nouveaux Alliés à sa cause de

puissance directement ou indirectement. Aussi, le projet se base sur cinq piliers importants qui fait que

le projet tient la route : renforce le politique entre les pays participants, avoir des connexions physique

entre les pays (pont et route, nouvelle ambassade), rendre les échanges plus simples par la création de

nouveaux commerces investissements, augmenté les finances dans les échanges et augmenter les

relations dans le secteur de la culture/éducation/média/tourisme 26. La Chine pour investir dans les

projets d’infarctus ils ont fait appel a leur propre soit la banque de Chine pour l’Export et la Banque

23
J. Cabestan .«Les nouvelles routes de la soie.» Études,2019, p. 19
24
Ibid., p.20
25
Ibid., p.21
26
Ibid, 22

9
asiatique pour les infrastructures pour débourser les quelques 40 milliards de dollars requis pour les

fonds des routes de la soie. Cependant, les États — unis ont mal reçus se projet disant de la part du

président Trump que cela était un projet pour contrer le pouvoir économique des Américains il a vu cela

comme une déclaration de guerre économique 27. Grâce Au BRI les valeurs chinoises vont se retrouver

dans plusieurs pays du monde. Des entreprises comme Huawei et Alibaba vont devenir des entreprises

qui prennent de plus en plus de place sur le marché internationale 28. Nous pouvons considérer que là

Chine monte en puissance avec ses nouveaux entreprises, infrastructure et accord créer avec de

nouveau État.

La Chine et sa place dans l’Asie de l’Est

Depuis que la Chine prend de plus en plus de place sur la scène internationale, elle développe des

politiques économiques qui jouent un rôle important dans leur stratégie pour devenir une puissance

dans les pays d’Asie de l’Est 29. La Chine sur le plan économique est de plus en plus en émergence à partir

des années 90, il prône ces propres intérêts même lorsqu’il ratifier des accords avec les autres pays de

l’Asie de Sud — est. La Chine continue à consolider les bonnes relations avec des pays comme le Japon

ou le Vietnam. Le pays joue sur sa diplomatie économique sur trois niveaux. Le premier est le niveau

régional pour ce niveau une association interbancaire en la Chine et ASEAN (association Asie sud-est).

Pour le deuxième niveau le sous-régional la Chine pense que de nombreux couloirs économiques dans

les sous-régions de l’Asie du Sud-Est. Dans les dernières années, des idées de train à grande vitesse sont

en cours entre le Yunnan et le Myanmar 30. Le troisième niveau est le niveau bilatéral, pour la Chine et

ASEAN les relations bilatérales sont plus importantes que le niveau des instances régionales 31. La devise

de la Chine le yuan devient en de plus en plus importante pour les échanges frontaliers. Un exemple est

27
Ibid, p.28
28
Ibid , p.29
29
C. Dai. « La diplomatie économique de la Chine en Asie du Sud-Est ». La Chine aujourd’hui : dynamique
domestique internationale. Presse universitaire Septentrion, chap.7.
30
Ibid
31
Ibid

10
même qu’en 2010, que la Thaïlande que la monnaie chinoise soit utiliser comme monnaie échange dans

toute la zone de l’Asie pour essayer de pallier l’instabilité de l’argent dans la zone échange de ASEAN 32.

Le pays demeure aujourd’hui le troisième pays dans l’exportation de ASEAN, en premier et en deuxième

on trouve UE et les États-Unis. La Chine malgré tous les côtés positifs sur le plan économique de cette

entente entre lui et ASEAN, il n’oublie pas que son but ultime est augmenté son pouvoir politique 33. Nous

pouvons conclure que la chine dans ces échanges avec ASEAN le pays fait toute pour devenir le pays

numéro dans les échanges et les accords surtout que les Américains les devancent dans les tableaux du

top dix des pays export et import 34 :

Nous pouvons voir que pour la Chine ne sont pas dans la meilleure position en étant derrière les

États-Unis. Le pays veut avoir de plus en plus de puissance en Asie du Sud-Est. Nous pouvons

32
Ibid
33
Ibid.
34
ASEAN Statistiques, « Tableau d’import et d’export l’origine » . ASEAN, 2009.

11
aussi voir que de plus en plus la Chine investie dans l’import et l’export pour peut être montée

dans le tableau et changer le positionnement35.

Troisième partie : La Chine vs la mondialisation et le reste du monde

La Chine et les nouvelles technologies dans le numérique 

La Chine dans le but d’ôter a la puissance occidentale le monopole en matière de technologie, il a décidé

d’investir pour rattraper les autres pays en matière de numérique. Dans son plan « Made in China » qui

est en 2025, le pays prévoit de ne plus déprendre des technologies étrangères pour subvenir à ces

besoins dans le quotidien36. Lorsque l’on parle intelligence artificielle la Chine se considère comme ayant

un avantage sur les occidentaux, le pays ramasse les données pures les comptabilisé dans une grande

base de données qui elle est protégée par un système de surveillance numérique. Un point important est

utilisation de la reconnaissance faciale par les caméras dans le pays lorsqu’un crime est commis ou pour

identifier les utilisateurs d’une application en particulier. Dans les écrits on ressens certaines

revendications de la population chinoise en ce qui attrait à ce point, mais malgré cela le pays continu a

utiliser cette technologie qui pour eux on fait la preuve 37. Nous pouvons observer que la Chine a

plusieurs entreprises qui donc fasse au gérant technologique de ce monde. Le pays contrôle l’accès au

site internet extérieure par sa population et il a ouvert dans les dernières années certains accès sur

l’internet plus global, mais vraiment surveillé. Le président Xi Jinping veut dans ces plans façonner
35
C. Dai. « La diplomatie économique de la Chine en Asie du Sud-Est ». La Chine aujourd’hui : dynamique
domestique internationale. Presse universitaire Septentrion, 2009, chap.7
36
J. Nocetti,«La Chine, superpuissance numérique : Un nouveau champ de compétition et d’affrontement. Dans :
Thierry de Montbrial».  les chocs du futur : Ramsès  2019, 2018 , p.120-122
37
Ibid, p.125

12
l’internet pour quelle ne soit plus occidentaliser et que le monopole change de place. Nous parlons aussi

de démarche sérieuse en matière de cryptomonnaie faite par des experts choisis par le gouvernement.

Aussi, le pays veut contrôler une certaine de la mondialisation pour prendre plus de pouvoir et continuer

à monter contre les États — unis. Lorsque l’on parle nouvelle technologie, on ne peut pas passer sous

silence la création de la 5G qui provient du pays, un combat existe pour le réseau. Le conflit de Huawei

avec les États — Unis n’a pas aidé la Chine sur ce plan dans la dernière année 38.

Les opérations de paix de la Chine (ONU)

Malgré le fait que la Chine s’éloigne des institutions internationales dites occidentales que ce soit OTAN,

FMI ou la Banque mondiale 39. Le pays est considéré comme le pourvoyeur numéro en matière de troupe

militaire pour le maintien de la paix mondiale. Il investit une grosse partie de son budget et personne

médicale et d’ingénierie. Le pays envoi de ce soldat pour accompagner les Casques bleus en se mêlant a

l’armée principale. Aussi, en s’impliquant il veut redorer l’image son armée face au reste du monde pour

qu’il soit une meilleure opinion d’eux. En voulant devenir le nouvel État révisionniste, face aux États-Unis

quel meilleur moyen que de s’impliquer dans le but d’une cause commune pour gagner de nouveau allier

sur la scène internationale ? Nous pouvons constater comme pays permanent sur le conseil de sécurité

la Chine est le seul pays a s’investir autant pour cette cause, nous pouvons y voir une tentative de

montrée leur puissance économique et militaire d’une certaine façon.

38
38. J. Nocetti,«La Chine, superpuissance numérique : Un nouveau champ de compétition et d’affrontement. Dans :
Thierry de Montbrial».  les chocs du futur : Ramsès  2019, 2018 , p.120-122
39
Genevaz, J. (2015). La Chine et les opérations de maintien de la paix de l’ONU : défendre la souveraineté.
Politique étrangère, 131-143.

13
Conclusion :

En conclusion, nous pouvons dire que la Chine prend de plus en plus de place sur la scène internationale

et qu’il ne faut surveiller ce qu’elle fait, car elle va changer l’ordre mondial dans les prochaines années,

que se sont pas sa puissance économique, ces relations politiques a l’Internationale ou son implication

dans l’ordre mondial en tant que-t-elle. Nous pouvons résumer la montée de la Chine par le fait qu’elle

prend toutes les opportunités qui se présente a elle et le fait quelle sait se faire voir par la communauté

mondiale en bien ou en mal. Nous pensons que l’avenir pourrait changer selon les choix et l’influence de

la Chine dans les prochaines. Il ne reste qu’à être spectateur de ce changement !

14
BIBLIOGRAPHIE

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