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NOTE DE COURS
- elle est très importante pour réfléchir sur l’origine et la nature des lois et des
normes.
- la loi est-elle naturelle, c’est-à-dire universelle, invariable, ou est-elle une
convention humaine modifiable selon les contextes et les volontés ?
- distinguer l’idée de loi naturelle des thèses conventionnalistes sur la loi.
- cette distinction est constamment mobilisée par Platon, dès les livres I et II (l’ami
vrai et l’ami hypocrite ; le vrai juste et l’injuste qui se fait passer pour juste) et
surtout dans l’allégorie de la caverne.
3. La distinction entre cosmos (le monde ordonné et cohérent) et le chaos (le jeu
inordonné de forces multiples)
- Pour Platon, il y a un lien entre la réflexion sur l’ordre du monde et la réflexion sur
l’ordre politique. Pour la politique, il faut souhaiter un bel ordre harmonieux, que
seule la justice peut créer. L’injustice conduit au désordre.
II – Introduction à l’œuvre de Platon – Analyse du début de la République
- critque la littérature , refonder la culture grecque de nouvelle base , selon lui la religion de époque
téait en trait de perdre , avait peur une société sans fondement , nouveau fondement sur la philosophie
- Platon est derrière le sophiste devient péjoratif et critique ces idées = chercher la vérité pour elle-
même
1.3 Refonder l’unité après l’érosion de la tradition ; élever l’âme par la contemplation du bien, du
beau et du vrai ; la vieille religion grec est en déclin et de la tradition et soutient tout les être humains on
un même d.sir , mais d’autre désir vienne en plus .
1.4 L’intention politique venue d’une triple déception / la 7e lettre et ses diverses interprétations ;
- Explique pourquoi il s’est tourner pour la politique , reproche a la démocratie est guerrière dans l’âme
1.5 La place du politique dans sa pensée. Les dialogues : le Protagoras, le Gorgias, la République, le
Politique, les Lois ; Dans son dernier ouvrage LES LOIS revient sur son idée de la société parfaite ,
considéré trop dure et devient plus gentil
1.6 La diversité des interprétations : un Platon dogmatique= platon aurait donner une règle et rien
d’autre, sceptique= il ne croit pas tout ce qu’il dit , qui promeut la vie philosophique=la vie la plus noble
est de discuter avec ces amis pour parler de la vie ? Il faut prendre de large pour ne pas rester dans idée
neutre
2. Présentation de la structure et des principaux thèmes de la République
i- L’exposé initial des thèses courantes ou sophistiques sur la justice (Livre 1, début du livre
2) ;Présentation des thèse qu’il va réfuter
ii- L’exposé de la Cité idéale et de la doctrine platonicienne de la justice (Du livre 2 au livre
4) ;Platon présente ces idées sur la justice et invente une cité idéale
iii- Réflexion sur la faisabilité de la Cité idéale (les trois obstacles) et exposé de la doctrine du bien
(Livres 5, 6 et 7) ; comment réaliser cette cité idéale et la réalisation , Platon s’oppose a trois objection
de sa cité
iv- Présentation critique des Cités réelles et des types d’âme qui leur correspondent (livre 8 et
début du livre 9) ; Critique les différents régimes existant et injustice et inégalité
v- Conclusion – Retour sur l’ensemble et réflexion sur le rôle des mythes (fin du livre 9 et livre 10) ;
2.2 Une enquête sur la justice, considérée comme l’enjeu le plus important de la vie humaine (336e;
344e; 352d; 358e, etc.) Centrée sur la question de la justice qui est importante dans la vie Platon et de
existence humaine
- les questions de fond : que veut dire être juste ? est-il souhaitable de l’être ? est-il possible de
l’être ? La trinité de question sur la justice , il est plus facile d’etre juste si nous sommes juste
- l’arrière-plan théorique : les distinctions entre nature et convention, entre vérité et apparence,
entre l’idéal et le réel ;
Nature et convention : nature = demeure éternel et ne change pas et universellement vrai et valable
Vérité et apparence : vérité sur apparence idéale et le réel : Le réel prime sur idéale
- deux principes de méthodes : comprendre l’âme par la Cité (368d-369b) (p.136) et la Cité par sa
genèse (369bc) ; âme par la cité = méthode psycho politique Platon : comparé la structure de âme au
partie de la cité
- la différence entre l’ambition de Platon et les conceptions de la justice les plus courantes
aujourd’hui ; Nos sont société par la pensée libérale 17 et 18 siècle , moins ambitieux chez Hobbes que
Chez Platon , la loi ne sert est un contrôle des corps pour Platon nous rendre juste intérieurement et
influencer âme humaine
3 question : QU’Est-ce que la justice , est t’il utile d’être juste , la plus belle vie est celle de injuste ,
2.4 La réflexion sur la nature de la philosophie et sur son rapport à la Cité / L’éducation des
philosophes ;
2.5 Réflexion sur la Cité idéale : un tout harmonieux qui favorise la mesure et l’excellence ; statut du
modèle platonicien ;
2.6 La critique de tous les régimes existants – l’analyse des limites et failles de la nature humaine.
3.1 Le préambule (L1, 327a-328c ; p. 73-74) : il définit brièvement le cadre général de l’œuvre
i– le dialogue se situe à l’extérieur d’Athènes, au Pirée ; ii- le respect affiché envers les dieux ; iii –
une violence latente (327c, p. 74) ; iv - l’échange se déroule entre Socrate, Thrasymaque et des jeunes ;
;Élite vis dans la haute ville et quariter bas habiter par les classe populaire :Socrate est aller a une
cérémonie religieuse (attention Platon crtique la religion plus loins ) . Socrate veut repartir mais une
garçons le suplis de rester = remplacer la force par les argument ce que le garçons fait pour les
convaincre – une violence latente par ce qu’il sait qu’il y a un rempart de force .
3.2 Dialogue de Socrate avec Céphale (L1, 328c-331d ; p. 75-79) : la valeur et les limites de la
sagesse traditionnelle ; Céphale est un vieux et la maison ou il vont se rendre
- Céphale est la sagesse traditionnelle en lien avec la religion , quitter le dialogue j’ai d’autre chose .
-Platon a une conception de la sagesse est une vertu importante , la sagesse s’acquière par éducation
- Une discussion sur la sagesse , Céphale dit oui que les vieux se plaigne dans la cité que le corps vieillit ,
plus tiranisé par le corps a l’air heureux
- Socrate relance indique céphale est un vieux serein car il est riche , Céphale répond que la richesse
n’Est pas une condition pour être heureux dans la vieillesse e, quand on n’Est vieux toute les vieille
histoire après la mort sont telle vrai ou non , avons eu une vie juste ou injuste
Première thèse : être juste est le fait de dire la vérité = exemple : Si vous prêter des armes a quelqu’un
de violent et vient les réclamer par la suite il faut les rendre , Platon dit mais oui si il elle enrager fou
allons nous lui donner . Enjeux théoriques : La justice dépend de la question du bien ?
- la justice serait de rendre ce qui convient aux amis et aux ennemis ; mais qui est ami ? :
distinction entre l’être et l’apparaître ; par ailleurs, la justice ne peut pas consister à rendre les autres
mauvais ; - Ressemble au œil pour œil dent pour dent = rendre au amis faire du bien et au ennemie du
mal , conception persiste aujourd’hui
-Socrate qui est vraiment amis ou ennemie , distinction en vrai et les apparences
-Débat va bifurquer Socrate a l’Aire de toute façon idée de faire du mal a nos ennemie ne peut être idée
de justice parce que exemple, si nous faisons du mal au cheva va-t-il devenir meilleur .
- Thèse de Platon : La justice doit rendre les humains plus excellent et meilleure , ce qui nous pire ne
peut être considéré comme correct.
- présenté comme le modèle du sophiste : il est violent et demande de l’argent pour le savoir qu’il
croit détenir ; Enseigne au fils de Élite althéenne ,
- Fait une image sur utilité de la philosophie sociale et ce en échange de argent , sophiste devienne des
conseiller
- 1ère thèse conventionnaliste : la justice est ce qui sert l’intérêt du plus fort / l’exemple des
Régimes politiques ; La justice n’Est que le droit des plus fort et avantage au plus fort –
Thèse : Les lois son mise au service des intérêts des dirigeant
Socrate : réfute en disant est ce que les dirigeant peuvent t’il se tromper
-les lois sont des conventions au services des dirigeant , la justice est au service de élite
- longue argumentation sur l’idée d’expertise : selon Socrate, l’expert doit servir le bien commun
(exemple du médecin) ;
- le dirigeant juste ne gouverne pas pour lui / débat autour du sens de la métaphore du berger ;
- l’enjeu de l’utilité ou non de la justice / le défi lancé par Thrasymaque : n’est-il est plus utile
d’être injuste ? ;
- Le dirigeant doit être défini par son rôle envers le bien commun
-Socrate : Le berger n’Est pas celui qui le mange , le berger au pur du concept garde les moutons
- Ljustice au sens oridinaire distinction entre la justice naturel et les conceptions conventionaliste de la
justice .
- la justice est ce qu’impose les plus fort dans leurs intétrêt ( classe populaire cité , olligrachie = riche )
- s’il y avait des vrai juste il ne serait pas heureux , manger la laine sur le dos par les injuste
3.5 Glaucon (L1, 347a – 348b ; p. 105-107) : la punition du juste qui refuse la politique : être dirigé
par pire que lui ;
- la distinction bien par eux même , bien valent par ceux même et les conséquence , les biens par les
conséquence bénéfice lorsque justice
Thèse : La justice est conventionalisme ( création humaine ) tout ce qui crée peu changer (Relatif )
3.6 Thrasymaque (L1, 347b-354c ; p. 107-119) : retournement logique de son réalisme brutal par
Socrate
- insistance de Socrate sur les divisions de l’âme et de la Cité qu’entraîne l’injustice ; la justice est
une forme d’harmonie.
-Les humains n’Aime pas être juste , les lois sont utile pour empêcher les autre injuste envers
nous , cela est une pure convention , nous sommes juste par intérêt
- - ;e humains repsectent les lois par intérêt , un berger devient invisible et trouve un bague pour
devenir invisible va tuer le rou + un humain peut tu résiter a cette tentation
- la distinction des sortes de bien : biens désirés pour eux-mêmes, pour leurs effets, pour les deux
motifs (357b-358a) ;
- 2e thèse conventionnaliste : la justice est instaurée par une entente entre tous et suivie comme
moindre mal (358e-359b)
- le récit de l’anneau de Gygès, qui renforce l’idée qu’être juste n’est pas la tendance humaine
naturelle (359c-360d) ;
3.8 Adimante (L2, 362d-367e) : l’argumentation traditionnelle sur la justice et ses effets pervers sur
l’âme des jeunes.
4. Premier bilan : l’importance du défi posé par les sophistes pour la suite du raisonnement
- le point de vue de Thrasymaque n’est jamais aboli : Platon sait très bien que l’humain tend
vers la facilité et l’injustice ;
- la République : réflexion sur le désir / Le défi de Socrate – renforcer en chacun le désir naturel
du bien ;