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Je soussigné :HADDI MOHAMMED
Après avoir pris connaissance des pièces du projet et après avoir apprécié, à mon point de vue
et sous ma responsabilité, la nature et la difficulté des prestations à exécuter.
L’opérateur public contractant se libérera des sommes dues par lui en faisant donner crédit au
compte bancaire ouvert auprès de :
HADDI MOHAMMED N° 4 6 2 400 269741/3 BDL NAAMA
J’affirme, sous peine de réalisation de plein droit du marché ou de sa mise en régie aux torts
exclusifs de l’entreprise, que la dite entreprise ne tombe pas sous le coups des interdictions
édictées par la législation en vigueur et les dispositions de l’ordonnance N° 95-06 du
25/01/1995 relative à la concurrence.
FAIT…………………………………. à SAIDA
(Nom, Qualité du signataire et cachet du cocontractant )
CAHIER DES PRESCRIPTIONS
SPECIALES
CHAPITRE I
DISPOSITIONS PARTICULIERES
La présente convention est passé par avis d’appel d’offre national restreint, en vertu des
dispositions de l’article 23 et 25 du décret présidentiel N° 02/250 du 24/07/2002, modifie
et complété par le décret présidentiel N° 03/301 du 11/09/2003 portant réglementation des
marchés publics.
DISPOSITIONS FINANCIERES
Le règlement des travaux objet de la présente convention et dont état les devis estimatifs
et quantitatifs s’effectuera par situation mensuelles présentées par l’entrepreneur vérifiées
par le maître d’œuvre et arrêtées par le maître de l’ouvrage.
Application de l’article 77 du décret présidentiel N° 02/250 du 24/07/2002 modifie et
complété par le décret N° 03/301 du 11/09/2003 portant réglementation des marchés
publics, dans les 30 jours qui suivent la fin des délais ouverts pour non-paiement au moins
partiel.
Si cette notification n’est pas faite ou si le paiement n’intervient pas à l’expiration de ce
délai le retard ouvre droit à des intérêts moratoires calculés depuis ce jour qui suit
l’expiration du dit-délai au moyen d’intérêt bancaire à court terme .
En vue du nantissement éventuel, dans les conditions fixées par l’article 97 du décret
présidentiel N° 02/250 du 24/07/2002 modifie et complété par le décret N° 03/301du
11/09/2003 portant réglementation des marchés publics.
Sont désignes comme suite :
a)Le service charge de la liquidation des sommes en exécution de la présente convention
est :
Mr Le Directeur De L’Urbanisme Et De La Construction De La Wilaya De Saida .
b)Comptable assignataire chargé du paiement : est Le
Trésorier de la wilaya de’ Saida
c)Fonctionnaire compétent pour fournir au titulaire de la convention ainsi qu’au
bénéficiaire du nantissement, renseignement est :
Aucun travail supplémentaire, autre que celui des travaux prévus sur marche ne sera
entrepris sans accord écrit du Maître d’œuvre et le visa préalable du Maître de l’ouvrage
Si un tel cas présentait, une proposition des prix complémentaires établis dans les
conditions prévues par l’article 29 du C.C.A.G serait adressée au Maître de l’ouvrage pour
autorisation de dépense avant toute exécution.
Tout travail supplémentaire entrepris sans autorisation écrite préalable restera à la charge
de l’Entrepreneur.
Lorsqu’il est jugé nécessaire, sans changer l’objet du marché d’exécuter des ouvrages non
prévus ni au bordereau ni à la série ou de modifier-la provenance des matériaux,
L’entrepreneur doit se conformer immédiatement aux ordres de service qu’il reçoit à ce
sujet et sans retard, de nouveaux prix sont préparés d’après ceux du marché ou par
assimilation aux ouvrages les plus analogiques.
Dans le cas d’une impossibilité absolue d’assimilation, les prix courants du pays sont pris
pour termes de comparaison.
Les nouveaux prix sont calculés dans les mêmes conditions économiques du prix du
marché et de manière à être possibles au rabais ou de la majoration si le marché en
comporte après avoir été débattu par le Maître de l’ouvrage et notifiés à l’entrepreneur ils
seront soumis à l’approbation du maître de l’ouvrage et notifiés à l’entrepreneur par ordre
de service.
Au ou des travaux ne seraient pas terminés dans le délai prévu à l’article I.07 ci-dessus et
sans que le besoin d’une mise en demeure préalable ne soit manifestée, il sera appliqué sur
le montant des sommes dues une pénalité de retard déterminé par la formule suivante.
PJ=
Toutefois, la pénalité totale sera limitée à dix pour cent (10%) du montant de la
convention.
PJ=Pénalité journalière
MM=Montant de la convention plus avenant s’il y a lieu
DJ=Délai contractuel en jour
Les litiges nés à l’occasion de l’exécution de la convention sont réglés dans le cadre des
dispositions et réglementaires en vigueur notamment les articles 101 et 102 du code des
marchés publics.
Sans préjudices de l’application de ces dispositions le service contractant doit néanmoins
rechercher une solution amiable aux litiges nés de l’exécution de cette convention chaque
fois que cette solution le permet.
-Retrouver un équilibre des charges incombant à chacune des parties
-D’aboutir a une réalisation plus rapide de l’objet de la convention
-D’obtenir un règlement définitif plus rapide et moins onéreux.
-Le tribunal compétant sera celui de Saida.
INSTRUCTION
AUX
SOUMISSIONNAIRES
CHAPITRE III
DISPOSITION GENERALES
L’ENTREPRISE
a)Réception provisoire
b)Réception définitive
Les stipulations du présent article sont applicable aux entrepreneurs participant aux
travaux et dont la ou les activités exercées sont définies à la nom en clôture établie par
l’organisme professionnel de qualification et de classification de bâtiment et des activités
annexes (O.P.Q.C.A), ces entrepreneurs doivent contracter une assurance garantissant la
responsabilité qui incombe à l’entrepreneur par le fait de l’effondrement d’une ou de
plusieurs parties de l’édifice en construction, et le couvrant contre les risques de la
responsabilité décennale que lui imposent les articles 554 du code civil, En cas de
suspension de la police d’assurance, les paiements d’acomptes à l’entrepreneur sont
diffères et ne sont repris qu’après la levée de la suspension de police.
Aucun règlement pour solde n’est établi au profit de l’entrepreneur ne pouvant produire
une attestation de son assureur indiquant que l’assuré a intégralement règles la prime lui
incombant, dans tous les cas si après un commencement d’exécution l’entrepreneur ne
satisfait pas à ses obligations relatives à l’assurance obligatoire.
L’administration peut après une mise en demeure restée sans effet, ordonner le paiement
des primes dues à l’entrepreneur et à ses fais cette mise en demeure peut être valablement
faite par lettre recommandée du maître de l’ouvrage avec accuse de réception, le délai
accorde à l’entrepreneur pour satisfaire cette mise en demeure étant d’une (1) mois au
minimum.
ARTICLE III – 02- RESPONSABILITE DECENNALE
L’entreprise sera responsable dans un délai de dix (10) ans envers le maître de l’ouvrage
de tout désordre constate dans les ouvrages, sans exception ni réserves quelque soit
l’importance, l’origine et la nature des désordres sauf recours contre tiers.
ARTICLE III –03- DELAI DE GARANTIE
Le délai de garantie est fixé à un (1) an à compter de la procès verbale de réception
provisoire des travaux.
Pendant la durée de ce délai, l’entrepreneur demeure responsable de ses ouvrages, et tenu
de les entretenir jusqu’à la prononciation de la réception définitive.
ARTICLE III –04- La résiliation de la présente convention pourra se faire dans les
conditions prévues aux articles 9-11-18-30-33-34-35 et 37 du C.C.A.G approuvé par
arrête du 21 novembre 1964 et les articles 99 et 100 du décret présidentiel N° 02/250 du
24/07/2002 modifie et complété par le décret N° 03/301 du 11/09/2003 portant
réglementation des marchés publics outre les dispositions prévues par l’alinéa ci-dessus, la
résiliation aux tords exécutifs de l’entreprise se fera dans le cas ci-après.
-En cas de retards flagrant dans l’exécution du planning supposé des travaux
-En cas de mauvaise volonté manifeste dans l’exécution des dispositions de la présente
convention .
ARTICLE III – 05- PERTES AVARIES ET SUJESTIONS D’EXECUTION
a) CASE DE FORCE MAJEUR
Définition
Pour l’interprétation de l’article 27,l’alinéa 4,du cahier des clauses administratives
générales, il est précisé que seul peut constituer un cas de force majeur un fait :
1) Qui est indépendant de la volonté de l’entrepreneur
2) Que l’entrepreneur ne peut ni prévenir, ni empêcher
3) Qui met l’entrepreneur dans l’impossibilité absolue de remplir ses
engagements.
Pour l’interprétation de l’alinéa 5 de ce même article 27 C.C.A.G il est précisé que seront
notamment considérées comme cas de force majeur, les crues des oueds traversés par une
conduite en cours de construction par l’entrepreneur, tel que la hauteur d’Eau maximum
dans l’oued, à l’aval des travaux, dépasse 2 mètres, les séismes d’intensité supérieur à 4
degré richter, les émeutes ou risque de guerre dûment constatés.
L’entrepreneur devra toutefois régir son programme de travaux et prendre toutes
dispositions pour que les risque liés au crues, ainsi que les dommages éventuels aux
bénéfices dûment établies de l ‘entrepreneur ou si, au moment du sinistre, l’entrepreneur
ne disposait pas sur place du personnel et du matériel suffisants pour limiter ces dégâts.
b) DEMANDE DE L’ENTREPRENEUR
L’entrepreneur devra signaler par écrit à l’administration, dans un délai de dix (10)
jours après l’événement, le (5) cas force majeur tout sous-traitant agrée devra présenter la
même demande.
c) OBLIGATION DE L’ENTREPRENEUR
En cas de force de majeur, l’entrepreneur sera d’exécuter sans retard, les directives
écrites de l’ingénieur touchant les mesures de sécurité la remise en état du chantier et la
reprise des activités sans préjudice pour la demande en indemnité visée ci-dessus.
En ce qui concerne la protection contre les Eaux, il est rappelé que les obligations
contractuelles de l’entrepreneur consistent à prendre toutes les mesures de protection
bocardages et équipement nécessaires jusqu’à concurrence du débit prévu par la ocre
majeur non seulement pour ses propres travaux mais aussi pour les installations générales
du chantier.
Dans le cadre de l’amélioration urbaine des cités dans la ville de Saida la direction de
l’urbanisme et de la construction lance le projet le de l’aménagement des espaces verts
de la voie séparant la cité 400 logts de la cite des 120 logts SAIDA .
Situation du projet :
1- Décapage de la terre végétale sur une ep de 0.30m avecréglage des plats forme et des
allées piétonnes
2- Réalisation de carrelage anti-dérapant 1er choix y compris toute suggestions
3- Herissonage en pierre sèche sur une ep de 10cm
4- Evacuation des terres excédentaires a la décharges publique sur un rayon de 2km max
5- Forme en béton bouchardé légèrement armé d’une ep de 10cm y compris toutes
suggestions
6- Réalisation de bordure coulée sur place en béton armé de (10x30)cm y compris et
toutes suggestions
7- Construction de mur en pierre y compris jointage et toutes suggestions
8- Revêtement de ciment sur mur en pierre y compris et toutes suggestions
9- Réalisation de couronnes d’arbres couler sur place (10x20)cm
10- Réalisation de solin de (40x20) pour protection des fondations des murs de
soutènement
11- Forme en béton poreux pour placettes y compris toutes suggestions
12- Couche de base en grave concasse d’une ep de 10cm y compris toutes suggestions
CHAPITRE IV
DISPOSITIONS PARTICULIERRES
L’ENTREPRISE
IV- 2 MATERIELS
- La présente convention dûment renseigné et approuvé doit être accompagné des pièces
et documents ci-après
1- lettre de soumission
2- déclaration à souscrire
3- copie de l’extrait du registre de commerce
4- copie de certificat de qualification activités principale bâtiment catégorie II et plus
5- caution bancaire de soumission d’au moins 1%
6- extrait de rôles
7- attestation de mise à jour CNAS, CASNOS, CACOBATH
8- casier judiciaire du gérant
9- référence professionnelles
10- planning d’exécution des travaux
11- liste de matériel
12- bordereau des prix unitaires
13- devis quantitatif et estimatif
L’entreprise
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
L’ENTREPRISE
RECAPITURATION
REALISATION DES TRAVAUX D ’AMENAGEMENT DES ESPACES
VERTS DE LA VOIE SEPARANT LA CITE DES 400 LOGTS DE LA
CITE DES 120 LOGTS SAIDA
-LOT AMENAGEMENT-