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INTRODUCTION .........................................................................................................................................3
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GLOSSAIRE ..................................................................................................................................................42
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Introduction
Dans le domaine de l’équipement de la maison, les données concernant les unités consommateurs, les
unités logistiques ou le consommateur final ont jusqu’à présent été marquées en clair et de façon non
standardisée sur les unités logistiques. Ces données étaient ajoutées au fur et à mesure de la
fabrication, du conditionnement ou de l’expédition.
Le recours aux standards EAN présente de nombreux avantages dont le premier est assurément
l’utilisation de structures de codes et de règles de gestion non seulement identiques mais égale-
ment définies en concertation.
Ces standards permettent d’identifier les articles et les entreprises pour les applications code à barres et
EDI. Les flux d’information et les flux physiques utilisent les mêmes codes, ce qui garantit ainsi
l’intégration des deux natures de flux.
Ce guide est destiné aux différents acteurs de la chaîne logistique dans l’équipement de la maison afin qu’ils
puissent mettre en œuvre une codification et un étiquetage standardisé de leurs unités consommateurs et
de leurs unités logistiques. La structure de l’étiquette logistique standard, ses différentes parties ainsi
que les fonctionnalités de chacune des informations qu’elle contient y sont détaillées avec des recom-
mandations pour quatre catégories d’unités logistiques :
- les multicolis, unités-consommateurs divisées en plusieurs unités logistiques (par exemple, une
armoire livrée en 4 colis) ;
- les monocolis, unités logistiques contenant une seule unité consommateur (par exemple,
un réfrigérateur, un chevet...) ;
Ces règles et ces recommandations résultent des réflexions menées au sein du groupe de travail
DOMEDI, avec l’expertise des adhérents de Gencod EAN France du secteur des biens de l’équipement
de la maison.
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1. Définition et utilisation
Le code article international ou GTIN - Global Trade Item Number (EAN/UCC-8, UCC-12, EAN/UCC-13
et EAN/UCC-14) est un standard international qui garantit l’identification sans ambiguïté d’un objet ou
d’un service dans le monde entier, quel que soit le partenaire qui l’utilise.
Le GTIN est utilisé pour codifier des objets standard, c’est-à-dire des objets dont la définition est stable
dans le temps. Dans le cadre de ce document, ce code est utilisé pour codifier les unités consommateurs
et les unités logistiques standard.
L’unité consommateur est définie comme étant la forme sous laquelle un produit est vendu au
consommateur final.
Une unité logistique est un regroupement de produits tels que cartons ou palettes, susceptible d’être
commercialisé entre professionnels et donc décrit au catalogue, commandé, livré et facturé. Elle peut
être homogène - contenir une ou plusieurs unités consommateurs identiques - ou hétérogène
c’est-à-dire contenir différentes unités consommateurs.
L’utilisation du code GTIN dans les messages du commerce électronique, ou par lecture optique de
codes à barres sur l’unité consommateur ou sur les cartons de regroupement, permet d’établir le rap-
prochement entre flux de données et flux de marchandises.
2. Créateur du code
Cas général : il appartient à l’entreprise qui détient la marque commerciale du produit d’attribuer
les GTIN, quels que soient le lieu de fabrication et le fabricant du produit.
Dans le cas des articles non codifiés par le propriétaire de la marque commerciale,
le créateur du code peut être :
- le fournisseur (négociant, importateur ou grossiste) qui peut, pour satisfaire la demande
de ses clients, se substituer de manière temporaire au détenteur de la marque commerciale et
codifier lui-même ;
- le distributeur peut, de son côté, attribuer en magasin, à l’article un code EAN interne à
des fins de marquage.
Dans le cas des articles sans marque commerciale, la codification est effectuée :
- par le détaillant s’il a l’exclusivité de la vente du produit. Ce cas est alors assimilé aux produits
à marque distributeur ;
- par le fournisseur si l’article peut être vendu par plusieurs détaillants. Ce cas est assimilé aux
produits à marque fabricant.
Cas particulier : modification du conditionnement de l’article par une entreprise autre que le
propriétaire de la marque commerciale (intermédiaire, importateur par exemple). Cet intermédiaire doit
alors codifier l’article créé lors du reconditionnement (par exemple, l’article conditionné dans une boîte
en carton est reconditionné sous blister).
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3. Comment codifier ?
3 CNUF CIP C
Avec :
- le code pays : pour une entreprise française il s’agit du chiffre 3, suivi obligatoirement d’un
chiffre compris entre 0 et 7 ;
- le code entreprise est celui du créateur du code. C’est le CNUF, Code National Unifié Fournisseur
attribué par Gencod EAN France. Sa longueur, variable, est comprise, selon les besoins de
codification de l’entreprise, entre 5 et 8 chiffres ;
- le CIP, Code Interface Produit, est le numéro attribué à chaque unité consommateur. Il est défini
par le créateur du code. Selon la longueur du CNUF qui lui est attribué, l’entreprise définit des CIP
composés de 6, 5, 4 ou 3 chiffres ;
- la clé de contrôle fiabilise la lecture optique. Elle se calcule selon l’algorithme EAN en fonction
des douze chiffres précédents (cf. paragraphe 5).
a. Unicité
Pour un fournisseur donné, un CIP est attribué à une unité consommateur et une seule.
Afin de permettre une gestion unitaire, il faut attribuer un code à chaque variété de l’article.
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- la nature du produit ;
- la marque commerciale ;
- le type de conditionnement utilisé pour l’article ;
- la composition du produit ;
- la quantité contenue (poids, volume, mesure) ;
- d’autres variantes (couleur, taille, teinte...).
c. Codification séquentielle
d. Exemple
L’unité consommateur à codifier est une lampe du modèle Étoile du nord, disponible en petit
modèle et en grand modèle, avec des abat-jour en coton uni, en coton imprimé, en PVC ou en
vessie de porc. Un code est attribué à chaque variante taille x nature de l’abat-jour. La codification est
séquentielle (les codes se suivent par ordre croissant).
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Code (exemple) 3 4 5 3 1 2 0 2 3 6 4 5 ?
5. Additionner le résultat
des étapes 3 et 4 66 + 16 = 82
La clé est donc égale ici à 8. Le code complet est 3 45312 023645 8.
Lorsque le résultat de la phase 5 est un multiple de 10 (exemples : 60, 70, 80), le caractère de contrôle
est égal à 0.
6. Règles de gestion
a. Modification de l’article
Dans le cas où une nouvelle version de l’article annule et remplace la version précédente,
un nouveau code sera attribué à l’article lorsqu’il y a :
● changement du type d’emballage (par exemple passage d’un produit “nu” à un produit sous
coque).
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Lorsqu’une entreprise rachète un département, une marque ou une gamme d’articles d’une autre
entreprise, elle peut, dans un premier temps, maintenir les codes préalablement définis
par l’entreprise “vendeuse”.
Elle devra cependant, dans un délai de deux ans, attribuer de nouveaux codes aux articles dont elle
a acquis la marque. Elle pourra le faire, par exemple, à l’occasion d’évolution des articles, même s’il
était normalement de règle, dans ce cas, de conserver l’ancien code. Le changement des codes
devra être précédé d’une bonne information des clients.
Au cours de cette période et pendant les quatre années qui suivent, l’entreprise “vendeuse” devra
garder en mémoire les codes attribués aux articles de la gamme ou de la marque vendue afin d’évi-
ter de les attribuer à d’autres articles qu’elle serait amenée à créer.
Les GTIN attribués à des articles devenus obsolètes ne doivent pas être réutilisés pour d’autres
articles avant un délai minimum de 48 mois à compter de la date de la dernière fourniture de l’ancien
article par le détenteur de la marque.
e. Changement de CNUF
Des changements intervenant dans le statut juridique d’une entreprise peuvent entraîner un
changement de son code national (CNUF). Dans ce cas, les articles codifiés antérieurement à la
modification, à partir de l’ancien CNUF, devront conserver leur code EAN.
Les articles créés postérieurement à la modification, doivent, en revanche, être identifiés à partir du
nouveau CNUF.
f. Unicité du code
La structure du GTIN décrite ci-dessus est présentée afin de permettre sa création. Ce GTIN doit
être géré par les partenaires dans son intégralité (13 chiffres). L’extraction d’une partie du GTIN en
vue de l’identification du fournisseur ou de l’article ne garantirait pas son unicité.
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7. Codes à barres
Pour marquer physiquement les unités consommateurs avec un code EAN-13, un code à barres
EAN-13 sera utilisé.
Pour marquer physiquement les unités logistiques avec un GTIN, un code à barres de type
UCC/EAN-128 sera utilisé.
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1. Définition et utilisation
Le GLN - Global Location Number - ou code lieu-fonction désigne une entreprise ou tout service d’une
entreprise qui participe au titre d’une ou de plusieurs fonctions à la réalisation d’une transaction
commerciale. Cette fonction peut être administrative, commerciale, logistique ou financière (service
commandes, service facturation, service comptabilité, service expédition, lieu de réception, etc.). Il
est identifié par un code EAN International à 13 positions.
Les GLN permettent de repérer les différentes adresses d’une société, qu’il s’agisse d’adresses
géographiques (établissements) ou organisationnelles (services).
2. Créateur du code
Sur la base de ce code national, Gencod EAN France définit un GLN dit lieu-fonction membre qui
identifie l’entreprise en tant que telle. L’identification des services opérationnels est ensuite à la charge
de l’entreprise elle-même.
C’est l’entité juridique gestionnaire des établissements, services ou lieux d’exploitation à identifier qui
est responsable de la création et de la gestion de ces codes.
Ainsi, un fournisseur est amené à codifier ses différents entrepôts, ses usines ou ses services.
Un distributeur est responsable de la codification des magasins et des plates-formes dont il assure la
gestion. Dans le cas de franchises, les magasins peuvent être identifiés soit par le franchiseur, soit par
le propriétaire.
Dans le cas d’un entrepôt partagé par plusieurs entreprises, les codes lieux-fonctions peuvent être
définis, soit par chaque société concernée (donneur d’ordre), soit par le prestataire gestionnaire
de l’entrepôt.
Ces codes et les adresses correspondantes sont connus des partenaires commerciaux, soit par com-
munication directe entre partenaires, soit par consultation de la base nationale des GLN accessible sur
le site Web Gencod EAN France : www.EANnet-france.org, menu “recherchez un adhérent“
ou sur minitel : 3614 code Gencod.
Les entreprises peuvent également retrouver les coordonnées d’entreprises internationales à partir du
service Gepir, premier annuaire international en ligne des entreprises membres d’EAN. Ce service se
résume à un service international de type pages jaunes où les coordonnées des entreprises et de leurs
filières peuvent être enregistrées et récupérées. Gepir est consultable à l’adresse www.gepir.org
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3. Comment codifier ?
● le code entreprise est celui du créateur du code. C’est le CNUF, Code National Unifié
Fournisseur attribué par Gencod EAN France. Sa longueur peut être de 5, 6, 7 ou 8 chiffres ;
● le code interne (dénommé CIF pour Code Interne Fournisseur) permet de codifier l’entreprise
ou ses services. La codification est libre mais un code séquentiel, non significatif est recommandé.
Sa longueur peut être de 4, 3, 2 ou 1 chiffres en fonction de la longueur du CNUF ;
Gencod EAN France n’attribue pas de CNUF commençant par 8 ou 9. Une entreprise (distributeur, par
exemple) peut ainsi, pour disposer d’une codification unique, identifier par des codes commençant par
3018 ou 3019 ceux de ses partenaires qui ne seraient pas identifiés au plan national.
● le code entreprise est celui du créateur du code. C’est le CNUD, Code National Unifié
Distributeur attribué par Gencod EAN France. Sa longueur peut être de 3, 6, 7 ou 8 chiffres ;
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● le code interne (dénommé CID pour Code Interne Distributeur) permet de codifier l’entreprise ou
ses services. La codification est libre mais un code séquentiel, non significatif, est recommandé.
Sa longueur peut être de 6, 3, 2 ou 1 chiffres, en fonction de la longueur du CNUD ;
● la clé de contrôle se calcule de la même façon que pour le GTIN (selon l’algorithme EAN).
De même que dans le cas précédent, Gencod EAN France n’attribue pas de CNUD commençant par 8
ou 9. Une entreprise (fournisseur, par exemple) peut ainsi, pour disposer d’une codification unique,
identifier par des codes commençant par 3028 ou 3029 ceux de ses partenaires qui ne seraient pas
identifiés au plan national.
4. Règles de gestion
a. Unicité du code
Dans une organisation commerciale donnée, un GLN doit identifier un lieu unique et ce lieu, au sens le
plus fin du terme, doit être identifié par un code et un seul. Les entreprises qui décentralisent l’attribu-
tion des codes doivent veiller à cette unicité.
De même que pour le GTIN, le GLN doit être géré par les partenaires dans son intégralité (13 chiffres).
L’extraction d’une partie du code en vue de l’identification de l’entreprise ou d’une partie de l’entreprise ne
garantirait pas l’unicité du code.
b. Modification de l’entreprise
Le code doit rester stable et ne doit être changé que lorsque le lieu identifié subit des modifications
importantes. Sont entendus comme modifications importantes, les changements qui, faute d’être
connus par les partenaires commerciaux, entraînent une interruption ou un dysfonctionnement dans les
échanges d’information.
Par exemple, le changement d’adresse physique du lieu de livraison entraîne la création d’un nouveau
code. En revanche, le changement de dénomination sociale de l’entreprise n’est généralement pas
suivi de la création d’un nouveau code.
Si une entreprise vend un lieu identifié par un code lieu-fonction, la validité de ce code cesse
obligatoirement le jour de la vente. L’acquéreur doit créer son propre code pour identifier ce lieu.
En tout état de cause, toute modification de codification ne doit pas perturber l’exécution des
transactions en cours.
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La disparition d’une entité juridique sans continuité de son activité commerciale entraîne la suppression de ses
GLN. Cette suppression ne doit intervenir que lorsque les lieux n’exercent plus aucune fonction commerciale.
La réutilisation d’un code déjà attribué est possible 3 ans après la fin de sa précédente utilisation.
5. Exemples
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1. Définition et utilisation
Il est le seul identifiant possible pour les unités logistiques non standard telles que les colis de détail.
Le SSCC permet également d’identifier toute unité d’expédition, qu’elle soit standard ou non,
homogène ou hétérogène.
Le SSCC est utilisé pour identifier individuellement chaque colis, c’est-à-dire chaque unité manuten-
tionnée (cartons, palettes, etc.). Il permet donc de suivre (tracer) chaque colis pendant toute sa durée
de vie, dans les opérations d’expédition, de distribution et de réception.
Par opposition au GTIN, le SSCC identifie de façon unique tout “objet logistique”. Ainsi trois palettes
standard identiques auront toutes le même GTIN, mais trois SSCC différents.
2. Créateur du code
L’entreprise qui crée l’unité logistique (colis en particulier) est responsable de la création du code. Il
peut s’agir du fournisseur (par exemple, en fin de chaîne de fabrication) ou du gestionnaire de stock
(lors de la préparation de la commande).
3. Comment codifier ?
Caractère
d’extension
Préfixe pays
de la France
Numéro Clé de
séquentiel contrôle
Code de colis
entreprise
E P F N C
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Avec :
● le caractère d’extension, qui permet d’augmenter la capacité de codification des SSCC. Il est attri-
bué par l’émetteur du SSCC ;
● le préfixe, attribué par EAN, qui identifie le pays de l’entreprise qui crée le numéro séquentiel de
colis. En France, il a la valeur 3 ;
- le code national unifié fournisseur ou CNUF (5 à 8 chiffres, le premier étant compris entre 0 et 7) ;
● la clé de contrôle qui se calcule sur la base des 17 chiffres précédents, selon l’algorithme EAN.
Exemple : numéro de colis attribué par le fabricant auquel a été attribué le CNUF 44444 :
0 3 44444 0000101234 0
4. Règles de gestion
● un SSCC doit rester unique pour une période minimum d’un an, c’est-à-dire qu’un SSCC ne peut
pas être réutilisé pendant au moins un an après avoir été attribué à un colis ;
● de même que pour le GTIN et le GLN, le SSCC doit être géré par les partenaires dans son
intégralité (18 chiffres). L’extraction d’une partie du code en vue de l’identification du fournisseur ou
du colis ne garantirait pas l’unicité du SSCC.
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Pour marquer physiquement les colis avec un SSCC, un code à barres de type UCC/EAN-128 est
utilisé.
Au-delà des codes d’identification (EAN-13 et 14, SSCC), le besoin de pouvoir traduire en code à
barres sur les produits -notamment sur les unités logistiques- des informations complémentaires liées
aux produits en question (telles que le numéro de lot de fabrication, le numéro de série, les dates,
la notion de poids, les dimensions, le lieu de livraison, le numéro de commande) a amené EAN
International à définir un standard de code à barres adapté : le standard UCC/EAN-128.
La symbologie UCC/EAN-128 peut traduire différentes données, chacune étant repérée dans le code
à barres par un identifiant de données.
Les identifiants de données utilisés pour l’étiquette logistique de l’équipement de la maison sont :
Avec :
n: caractère numérique
n2 : zone de 2 caractères numériques
L’AI 01 est utilisé pour introduire le code de l’unité symbolisée (l’unité sur laquelle est apposé le
symbole).
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Le dernier chiffre du code article est un caractère de contrôle. Il est calculé à partir des 13 caractè-
res qui le précèdent selon l’algorithme standard, de la même manière que pour le GTIN et le GLN.
Remarque : l’identifiant ne doit pas être pris en compte dans le calcul de la clé.
L’identifiant de donnée 02 sert à identifier le GTIN de l’article contenu à l’intérieur de l’unité sur
laquelle est apposé le code.
Une unité standard est de préférence identifiée par un GTIN standard, symbolisée en EAN-13,
ITF-14, ou UCC/EAN-128 avec l’identifiant 01.
L’identifiant 02 est toujours suivi d’un identifiant 37 (quantité) introduisant le nombre d’unités
contenues dans l’unité marquée. Il peut être utilisé une seule fois pour décrire un niveau
d’emballage. Cette restriction assure une interprétation non ambiguë de l’information. L’identifiant
02 est donc à utiliser sur les seules unités logistiques homogènes (au niveau de l’emballage identifié).
Les identifiants 01 et 02 ne peuvent pas être utilisés simultanément sur une même unité
logistique.
● Identifiant 37 : la quantité
L’identifiant 8006 identifie le composant d’un article, ou GCTIN (Global Component Trade Item
Number). Celui-ci est structuré de la manière suivante :
- le GTIN de l’unité consommateur (c’est-à-dire de l’article commercial, par exemple une armoire)
complété à gauche par un zéro ;
- le nombre total de colis composant cette unité consommateur (exemple : 04 pour un article livré
en 4 unités logistiques).
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L’étiquette logistique standard EAN présente de manière standard les informations concernant une unité
d’expédition. Chaque partenaire trouve ainsi les données sous un même format, positionnées à un
emplacement stable, et lisibles selon les mêmes procédés. La gestion de l’acheminement des colis s’en
trouve largement facilitée.
● le format de l’étiquette ;
● les données, réparties dans trois zones différentes ;
● le positionnement de l’étiquette sur l’unité d’expédition.
- A5 : 148 mm x 210 mm
- A6 : 105 mm x 148 mm
L’étiquette EAN peut être intégrée dans une autre étiquette présente sur l’unité d’expédition.
La taille de cette autre étiquette est libre.
L’étiquette logistique est divisée en trois sections correspondant à trois types de données :
Les informations de chaque section peuvent être connues et imprimées à des moments différents
de la chaîne logistique.
Ces trois sections peuvent être imprimées sur une, deux ou trois étiquettes. Lorsque plusieurs
étiquettes sont utilisées, elles sont apposées verticalement, les unes au-dessus des autres.
Quel que soit le nombre d’étiquettes (une, deux ou trois), l’ordre dans lequel elles sont positionnées est
généralement le suivant :
TRANSPORTEUR
CLIENT
PRODUIT
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Si les informations relatives au client et à l’expédition sont portées par un tiers, il est important de
veiller, au moment de la pose de l’étiquette produit, à ménager au-dessus de celle-ci la place néces-
saire à la pose des deux autres.
Pour chacune de ces parties, il pourra y avoir des données représentées en code à barres avec leur
traduction en clair et du texte libre. C’est le créateur de l’étiquette qui, en fonction de son organisation,
détermine le contenu et la taille de l’étiquette.
Les spécifications recommandent de positionner le ou les codes à barres dans le bas de chaque partie
et de mettre les textes au-dessus ou à côté de ces mêmes codes à barres.
Le numéro séquentiel de colis (SSCC) est la seule information obligatoire sur l’étiquette logistique
EAN/UCC.
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SOLEIL
LIT LOYAUTE 2 PLACES
SSCC
331234512345678917
mots clés
GCTIN
0 3234567890126 2/3
données en
clair
données
représentées
en codes à
barres
● les informations en “texte libre” : ce sont les informations qui ne sont pas traduites en code
à barres sur l’étiquette (exemples : le nom et l’adresse des partenaires, le logo de la société).
Elles doivent être clairement lisibles dans la langue nationale et la taille des caractères ne doit
pas être inférieure à 3 mm de haut.
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● les données en clair : c’est la traduction en clair des données représentées sous forme de code
à barres. Elles sont composées des mots clés et du contenu des données. Un mot clé est une
abréviation standard de la description de la donnée. Le mot clé en anglais doit obligatoirement
apparaître sur l’étiquette (exemple : SSCC ou GTIN). Il peut être doublé par un mot clé traduit
dans la langue nationale mis entre parenthèses (exemple : contenu, qté). Les spécifications
EAN recommandent une hauteur des caractères de 7 mm.
Le positionnement de l’étiquette logistique a été défini afin d’en faciliter la lecture et plus particulière-
ment la lecture par lecteur optique fixe.
Deux paramètres sont définis : le nombre et la position respective des étiquettes et le positionnement
par rapport au bord de l’unité d’expédition.
Les règles EAN recommandent d’apposer l’étiquette sur les quatre faces verticales de l’unité
d’expédition.
Si ce n’est pas possible, deux étiquettes peuvent être apposées sur deux faces adjacentes : l’une
sur la face verticale et l’autre sur le chant.
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Si le colis est trop petit pour qu’on y appose deux étiquettes, une seule étiquette sera apposée
(exemple : spot).
Si le colis est grand, trois (ou quatre) étiquettes pourront être apposées sur le colis : une sur la
face, et une sur deux chants adjacents
Pour les cartons et pour les unités logistiques de moins d’un mètre de hauteur, les étiquettes
doivent être positionnées de manière à ce que le bas des barres du SSCC se trouve à 32 mm de la
base de l’unité logistique et que le bord de l’étiquette soit au moins à 19 mm du bord vertical de l’unité
logistique.
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Pour les palettes de moins d’un mètre de haut, l’étiquette doit être positionnée le plus haut possible
sans être à plus de 800 mm de la base de la palette.
Pour les palettes et pour les autres unités logistiques de plus d’un mètre de haut, les étiquettes
doivent être placées de telle façon que tous les codes à barres soient situés à une hauteur comprise
entre 400 mm et 800 mm de la base de la palette et à une distance minimum de 50 mm du bord
vertical de la palette.
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1. les multicolis, unités consommateurs constituées de plusieurs unités séparées (exemple : une
armoire livrée en 4 colis) ;
2. les monocolis, unités logistiques contenant une seule unité consommateur (exemple :
un réfrigérateur) ;
3. les unités logistiques homogènes, unités logistiques contenant plusieurs unités consommateurs
identiques (exemple : un carton de chaises) ;
4. les unités logistiques mixtes standard, unités logistiques contenant plusieurs unités
consommateurs différentes dans des quantités prédéterminées (exemple : un colis de coffres).
Sont détaillés pour chaque cas : le code à barres apposé sur l’article susceptible de passer sur un
scanner de caisse et le code à barres sur l’unité logistique.
Ces différents cas ont été définis en tenant compte de la pratique et des usages des professionnels.
Dans tous les cas, la réglementation légale doit être prise en compte par celui qui codifie
l’unité logistique.
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Les multicolis sont des unités consommateurs livrées en plusieurs unités, par exemple une armoire
livrée en quatre colis.
a. Contenu de l’étiquette
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Nom du modèle ✕ C
Désignation du produit /
caractéristique produit ✕ R
Référence commerciale
du fournisseur ✕ R
GTIN de l’unité
consommateur (EAN-13
de l’unité consommateur
article commercial) ✕ ✕ 8006 14n O
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Référence de montage ✕ C
Présence de la notice de ✕ C
montage dans le colis (oui/non)
Accessoire de montage ✕ C
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Pour des raisons de manque de place sur l’unité logistique, il est possible de réduire l’information sur
l’étiquette de chant (cf. ci-dessous). Dans ce cas, les informations en clair et en code à barres sont
toujours obligatoires sur l’étiquette de chant.
Référence commerciale du ✕ R
fournisseur
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Identifiant 8006
N° séquentiel de colis
2 18 4 18
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Le code à barres UCC/EAN-128 intègre également les caractères de service : Start, FNC1, clé de
contrôle et Stop.
Ce code est traduit en un symbole unique lorsque le facteur de grossissement est de 50 %. Il est
réparti en deux codes à barres différents lorsque le facteur de grossissement est supérieur à 50 %.
Pour plus d’informations, se référer au document intitulé Spécifications EAN : Codification et symboli-
sation des codes UCC/EAN-128 de novembre 1998, disponible auprès de Gencod EAN France.
MARQUE
NOM DU MODÈLE
RÉFÉRENCE COMMERCIALE DU FOURNISSEUR
DÉSIGNATION DU PRODUIT
POIDS BRUT
SSCC
331234512345678917
GCTIN
03 2345 6789 0126 02/04
28
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Les monocolis sont des unités logistiques standard contenant une unité consommateur (exemple : un
réfrigérateur, un chevet, etc.)
a. Contenu de l’étiquette
L’unité consommateur et l’unité logistique étant identiques, elles sont identifiées par le même code
GTIN (EAN-13).
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Nom du modèle ✕ C
Désignation du produit /
caractéristique produit ✕ R
Référence commerciale
du fournisseur ✕ R
Rang N
GTIN de l’unité
consommateur (EAN-13
de l’unité consommateur
article commercial) N
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Référence de montage ✕ C
Indicateur de la présence de ✕ C
la notice de montage (oui/non)
dans le colis
Accessoire de montage ✕ C
29
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De même que pour les multicolis, pour des raisons de manque de place sur l’unité logistique, il est
possible de réduire l’information sur l’étiquette de chant (cf. ci-dessous). Dans ce cas, le
informations en clair et en code à barres sont toujours obligatoires sur l’étiquette de chant.
Marque commerciale du ✕ R
fournisseur
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Identifiant 00 GTIN
Identifiant 01
N° séquentiel de colis
2 18 2 14
30
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Le code à barres UCC/EAN-128 intègre également les caractères de service : Start, FNC1, clé de
contrôle et Stop.
MARQUE
NOM DU MODÈLE
RÉFÉRENCE COMMERCIALE DU FOURNISSEUR
DÉSIGNATION DU PRODUIT
POIDS BRUT
SSCC
3312345123456789
GTIN N° (EAN)
03 2345 6789
31
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Il s’agit des unités logistiques contenant plusieurs unités consommateurs identiques (exemple : carton
de chaises).
Deux solutions d’étiquette logistique peuvent être mises en œuvre pour l’identification des unités
logistiques homogènes : le cas des unités logistiques homogènes standard et celui des unités
logistiques non standard. Pour ces deux cas, il est recommandé que chaque unité consommateur,
à l’intérieur de l’unité logistique, soit identifiée avec un GTIN (code et symbole EAN-13).
L’unité logistique est marquée d’un GTIN (EAN-13) distinct de celui de l’unité consommateur.
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Nom du modèle ✕ C
Désignation du produit /
caractéristique produit ✕ R
Référence commerciale
du fournisseur ✕ R
Rang N
GTIN de l’unité
consommateur (EAN-13
de l’unité consommateur
article commercial) N
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Référence de montage ✕ C
Présence de la notice ✕ C
de montage dans le colis (oui/non)
Accessoire de montage ✕ C
32
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Toujours pour des raisons de manque de place sur l’unité logistique, il est possible de réduire
l’information sur l’étiquette de chant (cf. ci-après). Dans ce cas, les informations en clair et en code
à barres sont toujours obligatoires.
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Les unités logistiques homogènes sont non standard lorsqu’elles ne sont pas inscrites au catalogue de
l’entreprise (colis de détail par exemple).
Dans ce cas, l’unité logistique est identifiée par le GTIN (EAN-13) de l’unité consommateur contenue,
suivi du nombre d’unités consommateurs contenues (ou plus généralement du GTIN de l’unité de rang
inférieur suivi du nombre d’unités de rang inférieur contenues).
33
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Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Nom du modèle ✕ C
Désignation du produit /
caractéristique produit ✕ R
Référence commerciale
du fournisseur ✕ R
Rang N
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Référence de montage ✕ C
Présence de la notice ✕ C
de montage dans le colis (oui/non)
Accessoire de montage ✕ C
34
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De même que pour les multicolis et les monocolis, pour des raisons de manque de place sur l’unité
logistique, il est possible de réduire l’information sur l’étiquette de chant (cf. ci-après). Dans ce cas,
les informations en clair et en code à barres sont toujours obligatoires sur l’étiquette de chant.
Référence commerciale
du fournisseur ✕ R
Quantité
(d’unités inférieures) ✕ ✕ 37 n..8 O
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Identifiant 00 GTIN
Identifiant 02 Identifiant 37
2 18 2 14 2 2
35
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Attention : la longueur de la zone qui définit le nombre d’unités consommateurs (AI = 37,
longueur = n..8) est ici limitée à 2 caractères afin d’optimiser la taille du code à barres.
Le code à barres UCC/EAN-128 intègre également les caractères de service : Start, FNC1, clé de
contrôle et Stop.
MARQUE
NOM DU MODÈLE
RÉFÉRENCE COMMERCIALE DU FOURNISSEUR
DÉSIGNATION DU PRODUIT
POIDS BRUT
SSCC
331234512345678917
CONTENT (CONTENU)
03 2345 6789 0126
COUNT (QTÉ)
12
36
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a. Contenu de l’étiquette
L’unité logistique mixte standard contient plusieurs unités consommateurs différentes dans des
quantités prédéterminées.
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Nom du modèle ✕ C
Désignation du produit /
caractéristique produit ✕ R
Référence commerciale
du fournisseur ✕ R
Rang N
GTIN de l’unité
consommateur (EAN-13
de l’unité consommateur
article commercial) N
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Référence de montage ✕ C
Présence de la notice ✕ C
de montage dans le colis (oui/non)
Accessoire de montage ✕ C
37
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De même que pour les cas précédents, pour des raisons de manque de place sur l’unité logistique,
il est possible de réduire l’information sur l’étiquette de chant (cf. ci-après). Dans ce cas, les
informations en clair et en code à barres sont toujours obligatoires.
SSCC ✕ ✕ 00 18n O
Numéro de série ✕ C
Numéro de lot ✕ C
Identifiant 00 GTIN
Identifiant 01
N° séquentiel de colis
2 18 2 14
Le code à barres intègre également les caractères de service : Start, FNC1, clé de contrôle et Stop.
38
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Ce code est traduit en un symbole unique lorsque le facteur de grossissement est de 50 %. Il est
réparti en deux codes à barres différents lorsque le facteur de grossissement est supérieur à 50 %.
c. Exemple d’étiquette
MARQUE
NOM DU MODÈLE
RÉFÉRENCE COMMERCIALE DU FOURNISSEUR
DÉSIGNATION DU PRODUIT
POIDS BRUT
SSCC
331234512345678917
GTIN N° (EAN)
03 2345 6789 0126
Lorsque l’unité logistique contient des unités consommateurs différentes, dans des quantités non
standard (colis de détail ou unités logistiques hétérogènes non standard), la seule information à
symboliser en UCC/EAN-128 est le numéro séquentiel de colis SSCC.
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Gencod EAN France juillet 2001 - Tous droits réservés
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Les contremarques sont des articles commandés spécifiquement pour un consommateur final. Les
colis correspondants doivent comporter des informations supplémentaires permettant de les repérer
de façon sûre.
a. Contenu de l’étiquette
Il est recommandé de faire figurer les informations supplémentaires suivantes en texte libre :
MARQUE
SSCC
331234512345678917
GCTIN
03 2345 6789 0126 02/04
40
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L’unité consommateur étant répartie en plusieurs colis, seul l’un des colis comporte le code EAN-13
de l’unité consommateur. Cette unité portera donc deux symbologies :
Les autres unités logistiques ne portent que l’étiquette logistique standard définie dans le présent
document.
L’unité logistique porte à la fois le symbole EAN-13 et l’étiquette logistique standard définie dans le
présent document pour les monocolis. Le symbole EAN-13 est positionné à proximité de l’étiquette
standard.
41
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GLOSSAIRE
TERMES DÉFINITIONS
CNUF - les codes EAN-13 des articles dont elles détiennent la marque
(Code National Unifié commerciale ;
Fournisseur ou Fabricant)
- les numéros de colis (SSCC) que les entreprises sont
amenées à créer.
42
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- le lieu-fonction “Station” ;
UCC(Uniform Code Council) Organisme de codification des USA administrant et gérant les
standards du système EAN/UCC aux USA et Canada.
Unité logistique standard Elle est standard en ce qu’elle est inscrite au catalogue du
fournisseur.
Une telle unité peut être homogène si elle contient des unités
consommateurs identiques (ayant le même code GTIN ou EAN-13)
ou mixte si elle contient des unités consommateurs différentes
(ayant des GTIN ou EAN-13 différents). Les GTIN sont donnés
dans le catalogue produit ou message “fiche-produit”
(en EANCOM® : PRODAT).
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Couv Equipement/A4-pdf 7/09/01 16:43 Page 2
Membre
2
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tél 01 40 95 54 10 fax 01 40 95 54 49 e-mail infos@gencod-ean.fr www.EANnet-france.org