Vous êtes sur la page 1sur 33

SNIP 3.03.

04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

1. GÉNÉRALITÉS.

1.1. Les présentes normes concernent la réalisation et la réception des travaux, réalisés
pendant la construction ou la reconstruction des entreprises, des bâtiments et des ouvrages dans
toutes ses branches :
- Lors de la construction des ouvrages monolithes en béton et béton armé, en
béton lourd, particulièrement lourd, d’agrégats poreux, réfractaire et résistant
aux alcalis, pendant les travaux de badigeonnage et bétonnage sous-marin;
- Lors de la fabrication des ouvrages démontables en béton et béton armé aux
conditions du chantier;
- Lors de la soudure des jonctions d'armature de montage des ouvrages en béton
armé et des pièces incorporées des ouvrages monolithes en béton et béton armé;
Il faut tenir compte des demandes des présentes normes lors des études des bâtiments et
des ouvrages.

1.2. Les travaux présentés dans le paragraphe 1.1. doivent être réalisés en fonction de
l'exigence des standards correspondants, des normes de construction, des règlements
d'organisation de la construction et de la sécurité du travail dans la construction, des règles de
sécurité d'incendie lors des travaux de construction et de montage, ainsi que des exigences des
organes de la surveillance d'État.

1.3. Les ouvrages et les matériaux appliqués lors de la construction des ouvrages en béton
et béton armé, leur réception, l’essai, ainsi que le transport et la conservation doivent répondre
aux demandes des standards correspondants, des spécifications techniques et des plans de travail.

1.4. Le contrôle qualité industriel des travaux de construction doit être réalisé en fonction
des SNTs en vigueur. Lors du contrôle réception il faut présenter la documentation suivante :
- Les plans de réalisation avec les dérogations ajoutées (en cas de leur présence),
admises par l'organisation de construction et coordonnées avec le bureau
d'études par le concepteur des plans et les documents sur leur approbation;
- Les documents (les certificats, les passeports) certifiant la qualité des matériaux
appliqués lors des travaux de construction;
- Les actes de l'expertise des ouvrages cachés;
- Les actes d'essai des ouvrages ;
- Les actes de la réception intermédiaire des ouvrages importants;
- Les journaux de travaux;
- Les documents sur le contrôle qualité des jonctions soudées;
- Les autres documents indiqués dans les règles complémentaires ou dans les
plans de travail.

1.5. En cas de la justification correspondante, on peut fixer, dans les projets, les valeurs
des paramètres, des volumes et les méthodes du contrôle qui sont différents des exigences
prévues par les présentes normes. Dans ce cas, les valeurs des dimensions géométriques doivent
être fixées à la base des calculs du TDS 21780-83.

1.6. Lors des études de la technologie de la fabrication des ouvrages en béton et béton
armé, des ouvrages, et de la construction des bâtiments, il est nécessaire de prévoir, sur leur base,
la mécanisation complexe des travaux industriels, la possibilité de l'application du coffrage
industrialisé, l'application des carcasses de ferraillage agrandies volumineuses et plates et
l'utilisation du béton prêt à l’emploi. Il faut prendre en considération les propriétés du béton sur

Pg. N°1
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
la solidité, la densité, la résistance au gel, l'homogénéité de la construction, ainsi que les autres
demandes prévues par la documentation de projet.

2. COMPOSANTS DE BÉTON

2.1. Les ciments pour les bétons doivent être appliqués en fonction des propriétés des
ouvrages et des ouvrages, des conditions du durcissement des bétons et de l'environnement.

2.2. L'activité du ciment portland, utilisé à l'objet de construction, doit être fixée par le
laboratoire spécial dans le but de la conformité de l'activité réelle du ciment à son activité
indiqué dans le livret technique.
Excepté l’essai du ciment portland des propriétés sur la solidité, il faut établir les délais
de sa prise compte tenu de la température réelle de l'environnement pendant l'application du
ciment.

2.3. Pour la préparation du béton avec les propriétés spéciales il faut appliquer les
adjuvants spéciaux ou le complexe des adjuvants suivants:
- Les adjuvants plastifiants – la braga sulfitique de levure (SDB);
- Le moussant plastifiant – le savon naphténique, siliconât d'éthyle du sodium
(GKJ - 10, GKJ - 11) etc.;
- Les moussants – le goudron neutralisé, d'entraîneur d'air (SNV), l'adjuvant
synthétique tensioactif (SPD);
- L’agent de micro-dégagement de gaz – le polyhydrosiloxane (GKJ-94);
- Les accélérateurs du durcissement de béton – le sulfate du sodium, le nitrate du
sodium, le chlorure du calcium, le nitrate du calcium etc.;
- Les adjuvants antiréfrigérants – le chlorure de calcium en liaison du chlorure du
sodium, le nitrate du sodium, le carbonate du potassium etc.;
- Les inhibiteurs de corrosion d'acier – le nitrate du sodium.

2.4. La quantité optimale des adjuvants doit être fixée par un laboratoire spécial.

2.5. Le sable pour le mélange de béton doit être choisi en fonctions des propriétés du
béton et de la destination de l'objet de construction. Ce sable, pompée à l'aide des refouleurs par
la tuyauterie, ne doit pas contenir plus que 5-6 % des particules avec les grains de grosseur
moins que 0,15 mm et 15-20 % des particules avec les grains de grosseur moins de 0,3 mm.

2.6. L’agrégat gros. Il est nécessaire d'appliquer la grave naturelle de fractionnement. Il


est interdit d’appliquer les pierrailles concassées sans maillage.
La dimension des grains de l’agrégat gros doit être appliquée compte tenu des demandes
suivantes :
- lors du bétonnage des radiers de fondation, la plus grande dimension des grains de
l’agrégat gros doit avoir la grosseur égale à la moitié de l'épaisseur des dalles;
- la plus grande dimension des grains de l’agrégat dans le béton, destiné à la construction
des ouvrages en béton armé, ne doit pas excéder 3/4 de la plus petite distance entre les barres
d'armature;
- la plus grande dimension des grains de l’agrégat pour le béton mise au coffrage glissant,
ne doit pas excéder 1/4 de la plus petite dimension de la coupe transversale de la construction
bétonnée;
- la dimension de l’agrégat pour les bétons prêt à l’emploi, emmené par les tuyauteries,
ne doit pas être plus que 0,4 du diamètre intérieur du conduit à béton pour le gravier et 0,33 –
pour la pierraille.

Pg. N°2
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Dans ce cas, la quantité des grains de la forme laminaire ou angulaire selon les factions
particulières ne doit pas excéder dans le total 15 % de la masse.

2.7. La quantité de fractions de l’agrégat ne doit pas être moins que deux, si la grosseur
de grains égal à 40 et 70 mm dans les bétons de la classe В15 et plus et dans les bétons
hydrotechniques, indépendamment de la marque - pas moins que deux. Dans les bétons
hydrotechniques, si la grosseur des grains de l’agrégat égal à 120 mm et plus - pas moins que
trois.

2.8. L'eau appliquée pour la préparation du béton, ne doit pas contenir les additions dans
les quantités empêchant le durcissement normal du ciment, ainsi que сontribuant à la corrosion
de l'armature.

3. MÉLANGES DE BÉTON.

3.1. Le mélange de béton, selon sa composition, doit assurer les propriétés du béton
endurci lors de la plus petite consommation du ciment portland.

3.2. La composition du mélange de béton, pendant sa préparation, doit subir la correction


en fonction de la classe du ciment, du type des agrégats (sable et pierraille), ainsi que de leur
composition granulométrique.

3.3. Le dosage des matériaux de départ pour un mélange de béton, doit être fait par les
moyens mécanisés, selon la masse. Les autres composantes – l'eau, les solutions liquides et d'eau
doivent être dosées par la méthode volumineuse.
Le contrôle métrologique mécanismes de dosage doit être réalisé par les organes de la
surveillance d'État, pas moins que 2 fois par an, mais le contrôle administratif mensuellement.

3.4. La duré de la préparation du mélange de béton doit être fixée par le laboratoire.

3.5. Lors de la préparation du mélange de béton dans les malaxeurs-transporteurs


spéciaux, chargés par le mélange sec, le malaxage doit être réalisé pendant 30 minutes après le
chargement des agrégats.

3.6. Le béton prêt à l’emploi doit être transporté par les moyens spéciaux (les malaxeur-
transporteurs, l'autobétonnière, les trémies spéciales).

3.7. Les réservoirs, dans les quels un mélange de béton est transporté au chantier,
doivent être nettoyés et lavés après chaque équipe ouvrière et avant les pauses de la longue durée
(plus qu’une année).

4. COULAGE DE BÉTON.

4.1. Directement avant le bétonnage, le coffrage doit être débarrassé des ordures, de la
saleté, mais l’armature de la rouille.
Les surfaces du coffrage doivent être couvertes par la graisse spéciale, qui ne doit pas
détériorer la vue externe et la solidité de la surface des ouvrages.

4.2. La plasticité du mélange de béton, mis dans les ouvrages monolithes, doit
correspondre aux données du tableau N°1.

Pg. N°3
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
La plasticité du mélange de béton pompée selon les tuyauteries, doit être fixée compte
tenu des caractéristiques des refouleurs appliqués, mais pas moins que 4 cm.

Tableau N°1

Affaissement du
N° Ouvrages
cône en cm
La préparation pour les fondations, les planchers, les routes et les
1. 0–1
aérodromes.
Le revêtement des routes et des aérodromes, les planchers, les
2. murs d'appui, les fondations, les blocs, les ouvrages bétonnées 1–3
dans le coffrage glissant horizontalement.
Les ouvrages massifs armés, les dalles, les poutres, les poteaux du
3. 3–6
diamètre de 0,4 – 0,8 mètres.
Les murs fins, les poteaux, la trémie de silo, la dalle de la petite
4. section d'une épaisseur de 120 mm et les éléments des ouvrages 6–8
fortement chargés par l'armature.
5. Les ouvrages bétonnés dans le coffrage vertical. 6–8
Les ouvrages fortement chargés par l'armature et par les pièces
6. incorporées empêchant au coulage du mélange de béton plastique 20 – 21
avec la vibration.

4.3. Lors de toute sorte d’adduction du mélange de béton dans les ouvrages armés,
hauteur de la chute libre du mélange de béton ne doit pas excéder 2 mètres, mais lors de
l’adduction sur le plancher - 1 mètre. Hauteur admise du déchargement du mélange de béton
dans le coffrage des poteaux avec les côtés de la section 0,4 – 0,8 mètres ne doit pas faire plus
que 5 mètres. Hauteur de la chute libre du mélange de béton dans le coffrage des ouvrages non-
armées ne doit pas excéder 6 mètres.

4.4. Il est nécessaire de poser le mélange de béton dans ouvrages bétonnés par les
couches horizontales de l'épaisseur identique sans ruptures.

4.5. Lors de compactage du béton prêt à l’emploi, l’appui du vibrateur sur l'armature
métallique est interdit. La profondeur de l'immersion du vibrateur dans le mélange de béton doit
assurer son approfondissement sur 5-10 cm dans la couche auparavant mise.

4.6. Le coulage de la couche suivante du mélange de béton est admis seulement avant la
prise du béton de la couche précédente. La reprise du bétonnage est admise si la solidité de béton
fait minimum 2,0 Mpa.

4.7. Après l'approbation du bureau d'études, il est nécessaire de prévoir les joints secs lors
du bétonnage des poteaux, des poutres de grandes dimensions, des dalles plates, des planchers à
nervures, des massifs, des arcs, des réservoirs, des trémies, des installations hydrauliques et
d'autres ouvrages et ouvrages complexes de génie– sur les terrains prévus par la documentation
de projet.

4.8. Le bétonnage des ouvrages précontraints doit être réalisé sans arrêt, mais
l’installation des joints secs doit être prévue seulement en fonction des directives du projet.

4.9. Le bétonnage des ouvrages et des ouvrages doit être accompagné par les notes dans
"Journal de bétonnage" avec les dates du début et de la fin, les performances du mélange de

Pg. N°4
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
béton et les paramètres de sa plasticité, les résultats d’essais des échantillons de contrôle, les
températures de l'air extérieur, le type du coffrage et la date du décoffrage de la construction.

5. CONSERVATION ET ENTRETIEN DE BÉTON.

5.1. Les mesures selon l'entretien du béton, la procédure et les délais de leur réalisation,
le contrôle l'exécution de ces mesures, la séquence et les délais des décoffrages des ouvrages
doivent être fixées par le projet de la réalisation des travaux.

5.2. Les conditions nécessaires de température et d'humidité pour le durcissement du


béton doivent être assurées par son humectation systématique, la protection contre l'influence du
vent et des rayons directs solaires.
Les surfaces du béton, non destiné ultérieurement à la liaison monolithe avec le béton,
doivent être couvertes, au lieu de l'arrosage systématique et de l’abriter par les compositions et
les matériaux des éléments filmogènes.

5.3. Lors de la baisse de température du béton durcissant ou du béton jeune au-dessous du


niveau calculé, il est nécessaire au chauffer en supplément ou d’appliquer la protection contre le
froid jusqu’à l’obtention de la solidité nécessaire.

5.4. Le béton ayant le contact avec les nappes d’eau, doit être protégé contre leurs
influences pendant le coulage du béton et aussi après sa terminaison jusqu’à l'obtention de la
solidité calculée minimum 70%.

5.5. La circulation des gens sur le béton jeune, ainsi que l'installation du coffrage pour la
construction des nouveaux ouvrages est admissible seulement après l'obtention de la solidité de
béton minimum 2 MPa.

5.6. Le décoffrage des ouvrages en béton et béton armé doit être réalisé après l'obtention
de la solidité de béton, assurant l'intégrité de la surface et des bords des angles lors du
décoffrage. Le démontage du coffrage, portant le poids du béton des ouvrages armés par les
carcasses portant soudées, est admissible seulement après l'obtention minimum 25 % de la
solidité calculée de béton.

5.7. Le décoffrage des ouvrages portant en béton armé doit être réalisé après l'obtention
de la solidité de béton indiquée dans le tab. N°2.

Tableau N°2

Solidité calculée (en %) lors de la


N° charge réelle
Ouvrages Plus que 70 % Moins que 70%

1. Se trouvant dans le sol gelé 100 70 – 85


2. Portant, avec la longueur moins que 6 м 100 70
3. Portant, avec la longueur à partir de 6 mètres 100 80

Pg. N°5
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
6. ESSAI DE BÉTON LORS DE LA RÉCEPTION DES OUVRAGES.

6.1. Le contrôle qualité du mélange de béton et du béton doit être fait en fonction des
TDSs en vigueur.
Elle comporte la définition de la solidité de béton, de la plasticité, de la rigidité du
mélange de béton, de sa résistance au gel et de l’étanchéité.

6.2. La plasticité et la rigidité du mélange de béton sont définies directement à l'objet de


construction pas moins que deux fois par équipe.

6.3. Pendant le contrôle solidité du béton, il est obligatoire de faire un essai de la solidité
pendant sa compression, mais pour le béton des revêtements routiers et d'aérodromes il faut aussi
vérifier la distension de béton lors de la flexion.

6.4. Il faut comparer la solidité de béton, lors de la distension, à sa valeur calculée. La


solidité du béton lors de sa distension est correspondante aux valeurs calculées, si ça fait
minimum 90 %.

6.5. L'essai de l’étanchéité et de la résistance de béton au gel doit être fait à l’aide des
échantillons du mélange de béton prélevés pas moins qu'une fois par mois. En cas du
changement de la composition du mélange de béton ou des propriétés des matériaux appliqués
les essais doivent être faits immédiatement pour chaque composition neuve.

6.6. Lors de la construction des ouvrages précontraints avec l'armature tendue, il est
nécessaire de contrôler la solidité de béton en fabriquant les échantillons de contrôle en béton
mis dans un ouvrage.

6.7. Les paramètres de contrôle qualité du béton, du bétonnage et des travaux en béton
armé doivent être notées dans le journal selon le formulaire correspondant (Annexe N°2).

7. BÉTONS LÉGERS D'AGRÉGATS POREUX.

7.1. À titre du granulat gros pour la préparation du mélange de béton il faut appliquer
l'argilite gonflé et le sable d'argilite gonflé. Pour la préparation des mélanges de béton
transportés par les tuyaux, la plus grande dimension des grains de l'argile gonflée ne doit pas
excéder 20mm. L'application des sables ordinaires est admissible seulement pour la préparation
des bétons d’ouvrage.

7.2. Pour la conservation de la plasticité du mélange de béton il faut ajouter les adjuvants,
à la base de l'agrégat gonflé d'argilite, ralentissant la prise du mélange de béton.
Lors de l'application des refouleurs on admet la saturation de l'agrégat gonflé d'argilite
par l'eau. La résistance au gel des bétons fait en argilite humecté gonflé doit être contrôlée en
supplément.

7.3. Le dosage de la pierraille gonflée d'argilite et du sable gonflé d'argilite doit être fait
selon le volume, mais le ciment et l'agrégat ordinaire menu (les sables) – selon la masse.
L'utilisation des bascules doseuses est possible lors du contrôle volume des agrégats poreux (de
la pierraille et du sable) chargés dans la bétonnière.

7.4. La durée du malaxage des composants du mélange de béton de l'argilite gonflé dans
les mélangeurs de l'action forcée et gravitationnelle est présentée dans le tab. N°3.

Pg. N°6
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Tableau N°3.

Durée du malaxage de béton en secondes,


dans les mélangeurs avec la capacité en litres.
L'affaissement Masse volumineuse de béton kg / m ³
de cône, cm 1400- 1000- 1400- 1000- 1400- 1000-
1700 1700 1700
1700 1400 1700 1400 1700 1400
jusqu'à 500 litres de 500 jusqu'à 1000 litres plus 1000 litres

Jusqu'au 3 100 120 150 120 150 180 150 180 260
3–8 70 90 120 90 120 150 120 150 210
8 – 12 65 105 75 75 105 135 85 135 195
Plus que 12 45 95 95 125 125 125 75 125 185

7.5. La durée de transport du mélange de béton en l'argilite gonflé ne doit pas excéder 45
minutes, inclus le délai du début de la prise maximum de 1 heure 30 minutes, à partir de l’endroit
de préparation jusqu'au point de coulage. La durée de la conservation du mélange de béton, dès
le moment de sa préparation jusqu’au compactage lors de la température jusqu'à 25˚С, ne doit
pas excéder 1 heure, mais lors de la température d'air ambiant plus que 25˚С - pas plus que 30
minutes.

7.6. Il faut appliquer les vibrateurs appesantis avec la charge spécifique sur la surface du
béton dans les limites de 4 - 6 MPa pour compactage superficiel des mélanges avec la plasticité
jusqu'à 4 cm
Le temps du compactage des mélanges de béton léger en fonction de leur mobilité(plasticité) est
présenté dans le tab. 4

7.6. Il faut appliquer les vibrateurs chargés avec la charge spécifique sur la surface de
béton dans la limite de 4 - 6 MPa pour le compactage superficiel des mélanges de béton avec la
plasticité jusqu'à 4 cm.
Le temps du compactage des mélanges de béton léger, en fonction de leur plasticité, est
présenté dans le tab. N°4

Tableau N°4

Plasticité de béton (l'affaissement du Durée de la vibration de béton en


cône) en cm secondes
Jusqu'à 4 40
À partir de 4 jusqu’à 6 30
Plus que 6 25

7.7. Les délais du décoffrage des ouvrages en bétons léger de l'argilite gonflé doivent
être fixés compte tenu de l’obtention de la solidité lors de la compression pas moins que les
valeurs suivantes:

0,5 MPa – Pour les bétons d'isolations thermiques;

Pg. N°7
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

1,5 MPa – Pour les bétons d’ouvrage et d'isolation thermique;


Pas moins que 50 % de la classe calculée pour les bétons
3,5 Mpa –
d’ouvrage.

7.8. La solidité pendant la compression du béton léger d'agrégats poreux et lors du


coffrage des ouvrages en cas de leur congélation possible ne doit pas être moins que les valeurs
suivantes :
0,5 MPa – Pour les bétons d'isolations thermiques;

3 MPa – Pour les bétons d’ouvrage et d'isolation thermique;

5 MPa – Pour les bétons d’ouvrage

7.9. Lors du contrôle qualité du béton léger d'agrégats poreux, la masse volumineuse du
béton concentré et sa ségrégabilité doivent être définies minimum deux fois par équipe.
A l’aide des échantillons de contrôle, il faut définir la solidité pendant la compression du béton
léger, son humidité et l'absorption d'eau.

8. BÉTONS RÉSISTANTS AUX ACIDES ET AUX ALCALIS.

8.1. Les bétons acido-résistants, en fonction des matériaux appliqués, peuvent être très
acido-résistants, étanches, résistant à l'action de l'eau et des acides dilués.

8.2. Pour la préparation du béton acido-résistant il faut appliquer les matériaux suivants:
le verre liquide (potassique et de sodium), le sodium silico-fluorique, la farine basaltique ou
d'andésite, le sable de quartz et les autres roches en pierre résistant aux acides (le gravillon, le
quartz, l'andésite, la céramique acido-résistante etc.).

8.3. La résistance de béton acido-résistant à l'action de l'eau est obtenue par l’addition
dans la composition du mélange de béton des adjuvants finement concassé contenant la silice
active (le silex, l'opale, le tripoli, la terre de diatomée etc.), 5-10 % de la masse du verre liquide
et les adjuvants polymériques jusqu'à 10-12 % de la masse du verre liquide (du goudron
carbamide, KFJ, du liquide hydrophobique GKJ-10, GKJ-11 etc.).

8.4. Les agrégats des bétons acido-résistants selon la composition granulométrique, le


taux d'impuretés, module de finesse (pour les sables) doivent satisfaire les exigences des agrégats
de béton.
L'application de la pierraille et du sable en roches carbonatées (les roches calcaires, les
dolomites) n'est pas admissible dans les bétons acido-résistants. Les agrégats ne doivent pas
contenir les impuretés argileuses, le limon et les autres roches argileuses.

8.5. La plasticité de béton doit être fixée compte tenu des données présentées dans le
tableau N°5.
Tableau N°5.

Affaissement du Coefficient de la solidité,


Domaine d’application du béton acido-résistant
cône, cm en seconds.
Les planchers, le revêtement intérieur des
réservoirs, appareils 0-1 30-50
Pg. N°8
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

Les ouvrages avec l'armaturage rare, d'une


épaisseur plus de 30 mm 3-5 20-25
Les ouvrages d'armaturage dense, à parois
minces 6-8 5-10

8.6. La préparation du béton en verre liquide doit être réalisée en ordre suivant:
- Préalablement, dans le mélangeur fermé il faut mélanger les éléments secs
suivants : les initiateurs du durcissement, l'agent de remplissage et les autres
composants pulvérulents triés au tamis № 03 ;
- Le verre liquide doit être mélangé avec les adjuvants modifiant.
- Tout d'abord, il faut charger dans le mélangeur le gravillon de toutes les
fractions et le sable, ensuite le mélange des matériaux pulvérulents. Tout cela
doit être mélangé pendant une minute.
- Ensuite il faut ajouter le verre liquide et le mélanger pendant 1-2 minutes.
Dans les mélangeurs gravitationnels le temps du malaxage des matériaux secs doit être
augmenter jusqu’à 2 minutes, mais après le chargement de tous les composants – jusqu’à 3
minutes. L’addition du verre liquide ou des eaux dans le mélange prêt n'est pas admissible. Le
temps de la conservation des propriétés de béton n’est pas plus que 50 minutes lors de 20˚С, ça
diminue lors d’augmentation de la température. Les demandes de la plasticité de béton sont
présentées dans le tab. N°5.

8.7. Le transport, le coulage et le serrage du béton doivent être réalisés lors de la


température d'air pas plus basse que +10˚С aux délais n'excédant pas le temps de la conservation
des propriétés. Le coulage doit être continu. Lors d’installation du joint sec, la surface du béton
endurci acido-résistant doit être incisée, nettoyé de la poussière avec une couche de fond
appliqué par le verre liquide. L'humidité de la surface du béton ou de la brique protégée par le
béton réfractaire ne doit pas être plus que 5 % de la masse, à une profondeur jusqu'à 10 mm.

8.8. La surface des ouvrages en béton armé du béton à la base du ciment portland avant
le coulage sur ceux-ci du béton acido-résistant doit être préparée en fonction des instructions du
projet ou traitée par la solution chaude du magnésium silico-fluorique (la solution de 3-5 % avec
la température de 60 ˚С ou par l'acide oxalique (la solution de 5-10 %) ou par la solution de 50 %
de polyisothiocyanate dans l'acétone.

8.9. Le béton sur le verre liquide doit être coulé par les vibrateurs avec la vibration de
chaque couche d'une épaisseur pas plus que 200 mm pendant 1-2 minutes.
Le coulage du béton doit être continu. L'interruption entre la fin du serrage d'une couche
et le début de coulage de la couche suivante ne doit pas excéder 1 heure. L’armature doit avoir la
couche de protection minimum de 30 mm.

8.10. Le durcissement de béton acido-résistant au cours minimum de 7 jours doit être


réalisé avec la température pas plus basse que +15˚С. Il est recommandé de ne pas effectuer les
travaux avec l'application de béton acido-résistant en hiver.

8.11. Le décoffrage des ouvrages et le traitement de béton acido-résistant suivant est


admissible si le béton a 70 % de la solidité calculée.

8.12. Dans le but d’amélioration de la résistance chimique des ouvrages en béton acido-
résistant, ses ouvrages doivent être traités deux fois par la solution de l'acide sulfurique à 20-
40% de la concentration.

Pg. N°9
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
8.13. À titre du liant des bétons résistants aux alcalis il faut appliquer les ciments
d'aluminate pauvre et les portlands avec laitier résistants à l'action des sulfates. À titre du
granulat gros on peut appliquer : le gravillon en pierres d'éruption denses (les porphyrines,
quarzites, granits, basaltes etc.). À titre de l'agrégat menu, pour la fabrication de béton résistant
aux alcalis on peut appliquer les sables ordinaires de quartz ou les sables obtenus par concassage
des roches résistant aux alcalis (les roches calcaires, les dolomites etc.).

8.14. La sélection de la composition de béton résistant aux alcalis doit être réalisée selon
les données présentées dans le tab. N°6.

Tableau N°6.

Concentration Température Densité de V/Ts pas Agrégats de béton


d'alcali, en % d'alcali, en ˚С béton plus que Sable Gravillon
Jusqu’à 10 Jusqu’à 30 Ordinaire 0,6 Ordinaire Ordinaire
Résistant aux Résistant aux
Jusqu’à 10 30-80 Forte 0,5
alcalis alcalis
Plus que 10 Jusqu’à 30 Forte 0,5 Ordinaire Ordinaire
Particulière- Résistant aux Résistant aux
Plus que 10 30-80 0,4
ment forte alcalis alcalis

9. BÉTONS RÉFRACTAIRES.

9.1. À titre des liants il faut appliquer le ciment portland avec laitier, ciment portland
avec exothermicité modérée et le ciment portland résistant à l'action des sulfates des marques
300-400.
Le granulat gros doit être appliqué à titre de la pierraille avec la dimension maximale des
grains 40 mm. La plasticité des bétons réfractaires pour les températures +50 – +200˚С doit être
caractérisée par l'affaissement du cône pas plus qu’à 2 cm.

9.2. La préparation des bétons réfractaires doit être réalisée dans les mélangeurs de
l'action forcée. Pendant la préparation des bétons il faut charger tous les composants secs et faire
le malaxage pendant 1 minute. Ensuite, la quantité nécessaire de dissolvant (l'eau, verre liquide
etc.) doit être ajoutée dans le mélange sec, en faisant le malaxage complémentaire pendant
minimum 3 minutes.

9.3. Le temps à partir du moment de la préparation de béton jusqu'à son coulage ne doit
pas excéder 30 minutes pour les mélanges de ciment alumineux et de verre liquide et pas plus
qu’une heure pour tous les autres ciments. Le béton réfractaire de l'argilite gonflé doit être coulé
tout de suite après sa préparation.

9.4. La température d'air, lors de laquelle le durcissement des bétons est admissible, ne
doit pas être plus basse que +15˚С, mais pour les bétons de ciment alumineux - pas plus basse
que +7˚С. La température à partir de +15 jusqu'à +25˚С est la plus favorable au durcissement des
bétons du liant de ciment, mais à partir +30 jusqu'à +60˚С - pour les bétons avec l'application du
verre liquide.

9.5. Le décoffrage des ouvrages doit être exécuté après l'obtention de la solidité de béton
prévue par la documentation de projet, mais pas plutôt qu’après 3 jours pour les bétons du ciment
alumineux et du verre liquide et – après 7 jours pour les bétons de ciment ordinaire.
Pg. N°10
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

9.6. La congélation des ouvrages lors du durcissement des bétons réfractaires est
interdite. L'échauffement des bétons de ciment alumineux et ordinaire est admissible par
n'importe quels moyens possibles. Il est recommandé de ne pas faire les travaux avec l'utilisation
des bétons réfractaires en hiver.
L'échauffement des bétons en verre liquide doit être réalisé seulement par l'air sec chaud.

9.7. Le séchage du béton réfractaire doit être effectué après son obtention de la classe de
projets. Le régime du séchage et de la première chauffe des groupes de machines thermiques doit
être effectué selon l'annexe № 3. Il est nécessaire de réaliser le contrôle régime du séchage à
l'aide des thermocouples spéciaux. Lors du séchage et réchauffage des groupes de machines
thermiques il faut faire échauffement isothermique complémentaire pendant un jour lors de la
température suivante:

400 ˚С – Pour les groupes de machines thermiques avec une enveloppe extérieure
métallique;
200 ˚С – Pour les groupes de machines thermiques fait en éléments démontables;
300 ˚С – Pour les groupes de machines thermiques ayant les éléments d'une
épaisseur plus que 70 cm ou les éléments confinant avec sol.

9.8. Lors du refroidissement du groupe de machines thermique il est nécessaire de réduire


la température jusqu'à +600˚С avec la vitesse maximale de +50˚C par heure mais après +600˚С
maximum +20˚С par heure. Le réchauffage réitératif du groupe de machines thermique après
l'interruption plus que 2 jours doit être effectué avec la température maximale +50˚С d’une
heure.

9.9. Lors du séchage de béton réfractaire, il est nécessaire d'assurer l'uniformité de la


chauffe d’espace de fonctionnement du groupe de machines. Il faut faire un contrôle groupe de
machines thermiques et dresser un acte avant le séchage et après sa fin.

9.10. Contrôle qualité de la préparation et du coulage de béton réfractaire doit être


effectué selon les paramètres suivants :
- Finesse de la mouture des adjuvants et des agents de durcissement doit être
effectuée en cas de chaque réception de nouveau lot de ces matériaux;
- Composition des graines de l’agrégat doit être faite par le triage d’échantillon
moyen de la masse minimale 5 kg pour l’agrégat gros et 1 kg pour l’agrégat
menu.

Pour la mesure de température dans le béton il faut laisser les approfondissements


jusqu’à 100-150 mm, mais dans les ouvrages massifs – jusqu’à 500 mm.

9.11. La solidité des échantillons de béton destinés à l'exploitation lors de la température


plus que +100˚С, doit être définie non seulement dans les conditions du régime de l’humidité
normale, mais aussi après l’échauffement jusqu'à la température d'exploitation.

10. BÉTONS PARTICULIÈREMENT LOURDS POUR LA PROTECTION CONTRE


RADIATION.

10.1. Le choix de la méthode du bétonnage des objets pour la protection contre la


radiation doit être défini par le plan des travaux. Matériaux, appliqué dans les bétons de
protection radiant, sont présentés dans l'annexe N°4.

Pg. N°11
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

10.2. L'application des adjuvants des sels (le chlorure de calcium, le chlorure de sodium,
le sulfate du sodium etc.) dans les bétons provoquant la corrosion de l'armature, lors de
l'irradiation par le rayonnement gamma et les neutrons est interdite.

10.3. La composition granulométrique, les propriétés mécanophysiques des agrégats


minéraux, miniers et métallifères doivent correspondre aux demandes des agrégats de béton
lourd. Dans les fiches signalétiques sur les matériaux pour la fabrication des bétons de protection
radiante il faut présenter les données sur ses analyses complètes chimiques.

10.4. La plasticité de béton lors de la sélection de la composition de béton avec les


agrégats métallifères doit être caractérisée par l'affaissement du cône maximum à 3 cm. Il est
nécessaire de réduire le volume de la gâchée des bétons particulièrement lourds à la comparaison
avec les spécifications des mélangeurs en fonction de la masse volumineuse du tel mélange.

10.5. Les travaux de l'application des bétons avec les agrégats métallifères doivent être
réalisés seulement lors de la température positive de l'air ambiant.

10.6. Le prélèvement de béton pour contrôle qualité doit être commencé par la
définition de la masse volumineuse pas plus rare qu’une fois par équipe ouvrière.
La définition de la masse volumineuse du béton qui fonctionne lors des températures
élevées, doit être réalisée seulement après le séchage de l’échantillon jusqu’à l’obtention de sa
masse constante pendant la température d’exploitation de l’ouvrage ou de l’objet avec la
protection radiante.
Le défaut ne doit pas excéder 3 % de la valeur fixée par le projet.

11. BÉTONNAGE LORS DES TEMPÉRATURES D'AIR NÉGATIVES.

11.1. Le présent paragraphe prévoit le bétonnage lors de la température journalière


moyenne de l'air ambiant moins que +5˚С.

11.2. La solidité de béton des ouvrages monolithes, au moment du dépassement de la


température calculée de congélation ou refroidissement, doit être spécifiée dans le plan des
travaux :
- Pour le béton sans adjuvants antiréfrigérants au moment de la congélation à
50%, 40%, 30% de la solidité de projet si la classe de béton conforme à В10,
В15 et В30 ;
- Pour le béton avec les adjuvants antiréfrigérants au moment du refroidissement à
30%, 25% et 20% de la solidité de projet si classe de béton conforme à В15,
В22,5 et В30 ;

11.3. L’installation des coffrages et le décoffrage des ouvrages doivent être réalisés après
l'essai des échantillons de contrôle béton et l'établissement de la conformité du régime réel de
température indiqué dans le projet ou après l'essai de béton des ouvrages sur la solidité par les
méthodes non destructives.

11.4. La préparation du mélange de béton doit être faite dans les bétonnières chauffées,
en appliquant l’eau réchauffée, les agrégats dégelés ou préalablement chauffés.
La température du mélange de béton et de l'eau chauffée ne doit pas excéder les valeurs
indiquées dans le tab. N°7.

Pg. N°12
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Tableau N°7.

Ciment Température la plus élevée admissible, ˚С


Eau Mélange de béton
1. Le ciment portland, portland avec laitier, ciment 80 35
portland pouzzolanique des classes 400-500
2. Le ciment portland à durcissement rapide de la 60 30
classe 500 et plus haut
3. Le ciment alumineux 40 25

11.5. Lors de l'application seulement de l'eau chauffée il faut mettre dans le mélangeur un
agrégat gros, mais après la moitié de l'eau coulée demandée dans le mélangeur tournant, il faut
ajouter l'agrégat menu, le reste de l’eau et le ciment. La durée du malaxage de béton doit être
augmentée minimum à 25 % contre les conditions d'été.

11.6. La température du béton mis dans le coffrage, au début de la conservation ne doit


pas être plus basse que la température fixée par les calculs, lors de la conservation du béton selon
la méthode du thermos et +20˚С lors de l'application des méthodes spéciales du traitement
thermique de béton. Le coulage de béton doit être réalisé sans arrêt. En cas des interruptions lors
du bétonnage, la surface du béton doit être protégée contre le froid ou, si c'est nécessaire,
chauffée.

11.7. Le bétonnage multicouche des ouvrages massifs monolithes doit être réalisé en telle
manière que la température de béton dans la couche posée jusqu'à la suivante ne soit pas moins
que la valeur prévue par le calcul. Les surfaces sans coffrage des ouvrages monolithes en béton
et béton armé doivent être couvertes par les matériaux d'isolation thermique immédiatement
après la fin de bétonnage.

11.8. Lors de la conservation de béton dans les abris temporaires (abris chauffant) la
température d'air autour du béton, ne doit pas être plus basse que+5˚С.

11.9. Pendant les travaux de bétonnage et bétonnage armé dans les conditions d'hiver il
faut réaliser le contrôle température de béton, concentration des solutions du processus des
adjuvants antiréfrigérantes. Lors du transport du béton il faut réaliser le contrôle exécution des
mesures selon le revêtement et la protection contre le froid.

11.10. Lors du bétonnage, il est nécessaire de contrôler la température de béton, béton


frais et l'efficacité de l'isolation thermique des surfaces sans coffrage en fonction de la demande
des fiches technologiques. A la fin de la conservation du béton et du décoffrage de la
construction il est nécessaire de définir systématiquement la température de l'air ambiant non
moins souvent qu’une fois par équipe. Il est nécessaire de noter les résultats de la mesure de la
température du béton dans le journal du contrôle des températures. (Annexe N°6).

11.11. Le contrôle solidité du béton doit être réalisé, d’après la préparation, près du lieu
du coulage, du béton des échantillons de contrôle.
Pour tous les types de bétonnage pendant l’hiver, le contrôle solidité du béton doit être
réalisé par les méthodes non destructives ou par les essais des carottes témoin.

Pg. N°13
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
12. BÉTONNAGE LORS DES TEMPÉRATURES PLUS HAUTES QUE +25 ˚С.

12.1. Les bétons coulés au temps chaud et sec, doivent être préparés à la base du
durcissement rapide des ciments portland de haute qualité. On n'admet pas l'application du
ciment portland pouzzolanique, portland avec laitier et alumineux pour le bétonnage des
ouvrages terrestres.

12.2. Prélèvement de la classe des adjuvants et leur destination doit être utilisée compte
tenu des conditions concrètes du bétonnage, de l'augmentation de la durée de conservation de la
plasticité demandée et de la réduction de la durée d'entretien du durcissement du béton.

12.3. En cas de la température d'air ambiant est plus haute que +25˚С, les bétons ne
doivent pas être préparés sans adjuvants tensioactifs plastifiants.

12.4. Dans le but de la réduction de la température du béton, les matières premières (les
agrégats, le ciment) doivent être protégées contre l'influence directe des rayons solaires. L'eau
pour le gâchage du béton doit avoir une température la plus basse possible.

12.5. La durée maximale du transport et du coulage de béton ne doit pas excéder les
valeurs présentées dans le tableau N°8.
On n'admet pas la restitution de la plasticité de béton pour consistance demandée par
l'addition d'eau sur la place de son coulage.

Tableau N°8.

Température de béton en ˚С Durée maximale du transport et coulage de


béton, en minutes
25 45
30 20
35 15

12.6. Lors de formation des fissures d'affaissement plastique sur la surface de béton on
admet sa vibration réitérative superficielle mais pas plus tard que dans 1 heure après la fin du
coulage de béton.

12.7. L'entretien initial de béton doit être commencé tout de suite après la fin du coulage
de béton. Pendant l'entretien initial l’arrosage du béton par l’eau n'est pas permis. La durée de
l'entretien initial doit être prolongée jusqu’à l’obtention de la solidité de compression du béton
frais jusqu’à 0,5 MPa.

12.8. L'entretien suivant de béton doit être continué jusqu’à son l’obtention de minimum
70% de la solidité calculée. L'arrosage des revêtements en matériaux a bsorbant l'humidité, ainsi
que le coffrage en bois doivent être effectués avec une telle fréquence que la surface de béton
soit en état humide, pendant le délai d'entretien.
L'arrosage périodique des surfaces ouvertes des ouvrages en béton et béton armé n'est
pas admissible.
Au lieu de l'humectation de la surface, les ouvrages peuvent être couverts par les
matériaux étanches polymériques. Les délais de la conservation sous les pellicules doivent être
définis par le laboratoire de construction.

Pg. N°14
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
12.9. Le contrôle qualité de béton lors du bétonnage pendant le temps chaud sec doit être
réalisé par voie des :
- Observations de la température et l'humidité d'air ambiant;
- Mesures de la température de l'eau appliquée lors du gâchage du béton;
- Mesures de la température du béton lors de sa sortie de la bétonnière;
- Observations de la température du béton durcissant;
- Échantillons de contrôle doivent être conservés avec les ouvrages dans les
mêmes conditions de durcissement.

13. CÉMENTATION DES JOINTS, BADIGEONNAGE ET MÉCANISME DE BÉTON


PROJETÉ.

13.1. La cémentation des joints de retrait, de dilatation, déformable doit être effectuée
avec l'application, en fonction du joint, du ciment plastifié ou du ciment avec les adjuvants
plastifiants. La classe de ciment portland, pour la cémentation des joints ne doit pas être pire que
celle de ciment utilisé dans le béton de la construction finie.
La cémentation des joints doit être commencée après la fin des déformations de retrait
thermique.

13.2. Joints, avant leur cémentation, doivent être lavés par l'eau et mouillés jusqu'au
moment de l’absorption maximale d'eau par le béton du coulis de ciment.

13.3. Lors des températures négatives il est nécessaire d'ajouter les adjuvants
antiréfrigérantes dans le coulis de ciment. La composition et la concentration des adjuvants
doivent être choisis dans les conditions de laboratoire.

13.4. Le contrôle qualité de la cémentation réalisée doit être fait et fixé dans le journal
spécial. Le contrôle des joints doit être réalisé par les carottes témoin prises des endroits de
l'intersection des joints. Il est nécessaire d'établir le niveau de la filtration d'eau à travers les
joints.

13.5. Le badigeonnage de la surface des ouvrages en béton doit être réalisé par les
mélanges des agrégats denses et poreux à un ou quelques couches sur la surface armée ou non
armée. Le nombre et l'épaisseur des couches, les propriétés de mélange, le type et la grosseur de
l'agrégat sont définis par le projet.

13.6. Les solutions et les bétons appliqués lors du badigeonnage, peuvent être préparés en
ciments portland des types divers, ainsi qu’en ciments faiblement expansifs.
On peut introduire, dans les solutions et les bétons, les adjuvants suivants : l'accélérateur
du durcissement, ainsi que les adjuvants plastifiants.

13.7. Les agrégats pour la préparation des solutions et des bétons doivent avoir la
grosseur pas plus que 5 mm. L'humidité des agrégats utilisés pour l’obtention des solutions, doit
être située dans les limites de 2-6 %, mais des agrégats poreux – 4-8 %.

13.8. Lors du badigeonnage, les interruptions, entre projections des couches séparées,
plus de 10 minutes ne sont pas admissibles. L'influence mécanique sur le revêtement non
solidifié en béton projeté n'est pas admissible. L'arasement ou le ragréage du revêtement doivent
être effectués seulement après son durcissement par l'application et le traitement de la couche
supérieur de lissage. L'arasement de la couche de béton projeté réfractaire doit être réalisé avant
son durcissement.
Pg. N°15
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

13.9. Le contrôle qualité de béton projeté doit consister en contrôle composition


granulométrique et humidité des agrégats. Il est nécessaire de contrôler constamment la précision
du dosage des composants de mélange sec. Les propriétés physiques et mécaniques de béton
projeté doivent être vérifiées à l’aide des échantillons de contrôle (cubes, prismes, cylindres), qui
sont découpés des dalles spéciales de badigeonnage avec la dimension minimale de 50х50 cm
ou directement de la construction. Les règles de la fabrication des échantillons de contrôle, leurs
formes et dimensions sont fixées par le projet de travaux.

14. TRAVAUX DE COFFRAGE.

14.1. Le type de coffrage doit être appliqué conformément à TDS-23478-79. Les


éléments portant du coffrage, les pièces de sa fixation et les ouvrages soutenant doivent être
fabriqués en matériaux prévus par le projet.

14.2. Le montage des formes de coffrage en éléments de coffrage réutilisable, ainsi que
leur installation à la position de fonctionnement doit être réalisée selon les règles technologiques
de montage. Les coffrages, formant les surfaces, doivent être graissés par un lubrifiant
d’anticollage.

14.3. Les écarts admissibles des positions et des dimensions du coffrage installé et des
échafaudages soutenants ne doivent pas excéder les valeurs indiquées dans le tableau N°9. Le
coffrage monté et préparé au coulage de béton, ainsi que l'équipement pour sa montée doivent
être réceptionnés selon un acte.
Tableau N°9.

Écarts
№ Éléments des ouvrages de coffrage
admissibles, mm
1. La distance entre les supports des éléments de flexion de coffrage et
entre les fixations des ouvrages verticales soutenants, selon les
dimensions de projet :
Pour la longueur d’un mètre 25
Pour toute la distance entre points d'appui,
maximum 75
2. La distance à partir la verticale ou l'inclinaison de plan de projet de
coffrage et les lignes de leur intersection :
Pour hauteur d’un mètre 5
Pour toute la hauteur :
Fondations 20
Hauteur des murs et poteaux jusqu'à 5 m 10
Poutres et Arcs 5
Hauteur des Murs et Poteaux plus que 5 m 15
3. Le désaxement de coffrage par rapport à la position de projet:
Fondations 15
Murs et poteaux 8
Poutres, traverses de palée, arcs 10
Fondations sous les ouvrages en acier 1,1 l,
où l - la valeur

Pg. N°16
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
numérique de la
distance entre
points d'appui
ou du pas de
construction
(mètres)
4. La plus grande différence entre les cotes de plan supérieur et les
surfaces du plancher de travail du coffrage glissant a la distance
suivante:
jusqu'à 3 m 10
à partir de 3 m et plus 15
5. Position des montants des châssis et des axes de cric à partir de la N'est pas
verticale admissible
6. La plus grande différence des cotes de poutres principales des châssis 10
de cric de même type
7. La conicité du coffrage glissant pour un côté +4; -2
8. La conicité inverse N'est pas
admissible
9. La distance entre les crics et châssis 10
10. Le décalage des axes de cric de l'axe de construction 2
11. Le désaxage de coffrage déplaçable relativement aux axes d'ouvrage 10

12. Les dimensions intérieures de coffrage, des poutres, des poteaux et la 3


distance entre les surfaces intérieures du coffrage de murs par rapport à
l’avant-mètre
13. Les aspérités de coffrage lors du contrôle par la limande de deux 3
mètres

14.4. Le coffrage doit être fait en blocs affermis selon le plan des travaux.

14.5. Le coffrage doit être démonté en telle façon qu’après le démontage d’une partie, le
reste des éléments de coffrage soit stable.
Le démontage du coffrage glissant doit être réalisé par les blocs affermis selon le plan des
travaux.
Le démontage du coffrage thermo-actif doit être effectué après la coupure de tous les
tableaux d’alimentation électrique.

14.6. La solidité admissible de béton lors du décoffrage doit correspondre aux paramètres
présentés dans le tab. N°10.
Tableau N°10

Paramètre Valeur de paramètre Contrôle


1. La solidité minimale du béton des ouvrages TDS 10180-90
non chargés monolithes lors du décoffrage des TDS 18105-86
surfaces :
Vertical en condition de la conservation des
horizontaux et des inclinés pour la distance entre
points d'appui 0,2-0,3 MPa
jusqu'à 6 m 70 % de projet

Pg. N°17
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
jusqu'à 6 m 80 % de projet
2. La solidité minimale lors du décoffrage des Est défini par PPR et TDS 10180-90
ouvrages chargés conformé par bureau TDS 18105-86
d'études

15. TRAVAUX DE FERRAILLAGE.

15.1. L'armaturage des ouvrages en béton armé doit être réalisé par les carcasses
agrandies et les grilles de la fabrication d'usine. La fabrication de l'armature, directement sur le
chantier, est admissible pour les parties supplémentaires d'armature et pour les points de
connections entre les carcasses.

15.2. Les aciers, les pièces incorporée, les boulons d’ancrage, arrivant à l'objet de
construction, doivent être contrôlés avant leur réception. Le prélèvement de l'armature, les
méthodes d'essai et la quantité des échantillons de contrôle sont réalisés selon TDS et
spécifications correspondantes, ainsi que d’après les instructions complémentaires dans la
documentation de projet.

15.3. L’armature et les éléments de ferraillage prêts doivent être stockés séparément par
les lots dans les conditions anticorrosif, sans pollution. Les boulons d’ancrage doivent être
protégés contre la corrosion.

15.4. Montage de l’armature doit être fait par les blocs affermis. Avant l'installation de
l'armature, il faut fixer sur celle-ci les plaques d'appui assurant un espace libre nécessaire pour la
création de la couche de protection entre l'armature et le coffrage.

15.5. La jonction des armatures doit être effectuée à l'aide de soudage en bout, par points
et d'autres types des travaux de soudure. La réception de l'armature montée et des jonctions
soudées en bout doit être réalisée avant le coulage du béton et présentée par l'acte de l'expertise
des ouvrages cachés.

15.6. La disposition des carcasses de ferraillage, des pivots et des grilles, doit être assurée
par l'installation des mécanismes soutenant, des fixateurs, des supports et d'autres moyens. Il est
interdit d’appliquer les chutes d'armature, en bois et la pierraille à titre des plaques d'appui. Les
écarts de l'épaisseur calculée de la couche en béton de protection ne doit pas excéder les valeurs
suivantes:

3 mm Lors de l'épaisseur de la couche de protection de 15 mm;


5 mm Lors de l'épaisseur de la couche de protection plus que 15 mm.

15.7. Lors de l’installation des ouvrages de ferraillage il faut respecter les demandes du
tab. N°11.
Tableau N°11.

№ Paramètre Valeur de Contrôle (méthode,


paramètre, mm type
d’enregistrement)
1. Écart de la distance entre les pivots de travail Inspection technique
installé séparément pour : de tous les éléments
Les poteaux et les poutres ± 10

Pg. N°18
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Les dalles et les murs de fondation des ± 20
ouvrages massifs ± 30
2. Écart de la distance entre les rangées d’armature Journal des travaux
pour :
Les dalles et les poutres d'une épaisseur
jusqu'à 1 m ±10
Les ouvrages d'une épaisseur minimale d’un
mètre ±20
3. L'écart de l'épaisseur calculée de la couche de Journal des travaux
protection de béton ne doit pas excéder le
suivant:
lors de l'épaisseur de la couche de protection
jusqu'à 15 mm et les dimensions linéaires de la
coupe transversale de construction, en mm :
jusqu’à 100 +4
de 101 jusqu'à 200 +5
lors de l'épaisseur de la couche de protection à
partir de 16 jusqu'à 20 mm et les dimensions
linéaires de la coupe transversale d’ouvrage, en
mm :
jusqu'à 100 +4, -3
de 101 jusqu'à 200 +8, -3
de 201 jusqu'à 300 +10, -3
plus que 300 +15, -5
lors de l'épaisseur de la couche de protection
plus de 20 mm et les dimensions linéaires de la
coupe transversale d’ouvrage, en mm :
jusqu'à 100 +4, -5
de 101 jusqu'à 200 +8, -6
de 201 jusqu'à 300 +10, -5
plus que 300 +15, -5

16. RÉCEPTION DES OUVRAGES EN BÉTON ET BÉTON ARMÉ OU DES


CERTAINES PARTIES D’OUVRAGES.

16.1. La réception des ouvrages finis en béton et béton armé doit comporter les essais de
contrôle et le contrôle documentation technique liée avec l'essai des matières premières et des
produits.

16.2. Lors de la réception des ouvrages finis en béton et béton armé il faut contrôler la
conformité des ouvrages aux plans d'exécution, la qualité de béton selon les paramètres de
solidité, l’étanchéité, la résistance au gel et les autres paramètres prévus par le projet.

16.3. Les demandes des parties d’ouvrages ou des ouvrages terminés en béton et béton
armé sont présentées dans le tab. N°12.

Tableau N°12.

Pg. N°19
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

Paramètre Écart maximal, Contrôle (méthode,


mm volume, type
d'enregistrement)
1. L'écart des lignes des plans d'intersection de la
verticale ou de l'inclinaison de projets pour hauteur
des ouvrages suivants :
Fondations 20 mm
Mesurage, chaque
élément de construction,
Murs et Poteaux soutenants monolithes
15 mm le journal des travaux
revêtements et planchers;

Murs et Poteaux soutenant les ouvrages


10 mm Même
préfabriqués à poutres;

1/500 de
Mesurage de tous les
Murs des bâtiments et des ouvrages fait dans le hauteur
murs et lignes et de leurs
coffrage glissant lors de l'absence des planchers d’ouvrage
intersections, le journal
intermédiaires; mais pas plus
des travaux
que 100 mm

1/1000 de
Murs des bâtiments et des ouvrages fait dans le hauteur
coffrage glissant lors de la présence des planchers d’ouvrage Même
intermédiaires; mais pas plus
que 50 mm
2. Les écarts des plans horizontaux pour toute la Mesurage, pas moins que
longueur du terrain vérifié 5 mesures pour tous les
20 mm
50 - 100 mètres, le
journal des travaux
3. Les inégalités locales de la surface du béton lors
5 mm Même
du contrôle par la latte à deux mètres

Mesurage de chaque
4. Longueur ou les distances entre points d'appui
-20 mm élément, le journal des
des éléments
travaux
6 mm;
5. Dimension de la coupe transversale Même
-3 mm
6. Marque des surfaces et les produits incorporés Mesurage de chaque
servant à titre des supports pour les poteaux en acier -5 mm élément, schéma
ou préfabriqués en béton armé d’exécution
Le même de chaque
7. L’inclinaison des surfaces d'appui des fondations n'est pas
fondation, schéma
en appuyant des poteaux en acier sans coulage admissible
d’exécution
8. La disposition des boulons à ancre : -5 mm Le même de chaque
dans le plan à l'intérieur du contour d’appui boulon de fondation,
en hauteur 20 mm schéma d’exécution

Pg. N°20
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

9. La différence des cotes en hauteur sur le joint de Le même de chaque


3 mm
deux surfaces contiguës joint, schéma d’exécution

16.4. Le contrôle des ouvrages finis en béton et béton armé ou des parties des ouvrages
doit être fait selon la procédure établie par l'acte d'expertise des ouvrages cachés ou l'acte sur la
réception des ouvrages importants.

ANNEXE 1

Recommandé

DOMAINE D'APPLICATION DES CIMENTS DANS LA CONSTRUCTION

Type et classe de Destination principale Application Application


ciment admissible inadmissible
Le ciment portland Pour les bétons des Pour les travaux Pour les ouvrages
des classes M 600, M classes M 250 et est plus de dépannage monolithes en béton et
500, M 500, M 400 et haut. Pendant le en béton armé, sans
à durcissement rapide. bétonnage en hiver lors utilisation des propriétés
des températures -25˚С de ces ciments (le
et plus basses. durcissement rapide, la
solidité).
Pour les ouvrages
subissant les actions des
eaux minéralisées avec
le niveau de la
minéralisation excédant
la norme de l'agressivité
de milieu aqueux.
Le ciment portland Pour les bétons Pour les ouvrages Pour les ouvrages
des classes M 400 et monolithes des classes en béton subissant les actions des
M 300. M 150 et plus haut. réfractaire. eaux minéralisées avec
le niveau de la
minéralisation excédant
la norme de l'agressivité
de milieu aqueux.

Le ciment portland Pour les ouvrages Lors du Même


plastifié des classes M s'exposant au gel et bétonnage en
300, M 400, M 500 et dégel systématique conditions du
M 550. alternatif ou à temps sec et
l'humectation et au chaud.
dessèchement (dans
l'eau doux).

Pg. N°21
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Le ciment portland Pour les ouvrages – Pour les ouvrages
hydrophobique des s'exposant au gel et subissant les actions des
classes M 300 et M dégel systématique eaux minéralisées avec
400. alternatif ou à le niveau de la
l'humectation et au minéralisation excédant
dessèchement (dans la norme de l'agressivité
l’eau douce). de milieu aqueux.

Le ciment portland, Pour les ouvrages Pour les ouvrages Pour les ouvrages en
résistant à l'action des s'exposant à l'action des s'exposant au gel béton et béton armé ne
sulfates, de la classe eaux sulfatées dans les et dégel s'exposant pas à l'action
M 400. conditions de nappe systématique de milieux agressifs.
aquifères variable lors alternatif ou à
du gel et dégel l'humectation et
systématique alternatif au dessèchement
ou lors de l'humectation (dans l'eau
et du dessèchement. douce).

Le ciment portland de Pour le tamponnage des Pour les ouvrages Pour les ouvrages
tamponnage. sondages pétroliers et ordinaires. subissant les actions des
gazeux. eaux minéralisées avec
le niveau de la
minéralisation excédant
la norme de l'agressivité
de milieu aqueux.

Le ciment portland Pour les ouvrages hors Lors de la Pour les ouvrages
avec laitier des classes du sol, souterraines et construction des s'exposant à la
M 200, M 300, M sous-marines s'exposant ouvrages pendant congélation
400, M 500, M 550. à l'action des eaux le temps sec et systématique alternative
douces et minéralisées. chaud lors de ou à l'humectation et au
Pour le béton de corps l’assurance de la dessèchement. Lors des
intérieur des installations conservation températures négatives
hydrauliques. humide. Pour les (plus basses que 10 ˚С)
ouvrages du sans échauffement
béton réfractaire. artificiel, sauf les
massifs conservés selon
la méthode du thermos,
avec le module de la
surface moins que 3.

Le ciment portland Pour les bétons des Pour les ouvrages Pour les zones des
rapide avec laitier des classes M 200 et plus hors du sol, ouvrages hydrauliques
classes M 400 – haut avec la solidité souterraines et se trouvant sur l'horizon
M 500. initiale augmentée. sous-marines variable de l'eau et
s'exposant à s'exposant au gel et
l'action des eaux dégel systématique
minéralisées. alternatif ou à
Pour les ouvrages l'humectation et au
construit lors des dessèchement.
températures plus
basses que 10˚С.

Pg. N°22
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Le ciment portland Pour les ouvrages Pour les ouvrages Pour les ouvrages
pouzzolanique des souterrains et sous- hors du sol se s'exposant au gel et
classes M 200, M 300, marins s'exposant à trouvant dans les dégel systématique
M 400. l'action des eaux douces. conditions de alternatif ou à
l'humidité l'humectation et au
augmentée lors de dessèchement. Dans les
la conservation conditions d'hiver, si
humide. l'application n'est pas
prévue par le projet.
Lors des températures
plus basses que 10 ˚С
sans échauffement
artificiel, excepté les
chauffé selon la
méthode du thermos.

Le ciment alumineux En cas de la nécessité de – Pour les ouvrages hors


des classes M 400, M l’obtention de haute du sol, souterraines et
500, M 550, M 600. solidité de béton aux sous-marines, dans les
délais courts lors des quelles la température
températures du béton peut être plus
d'environnement plus haute que 30˚С.
basses que 20˚С. Lors
du gel et dégel
systématique alternatif
ou de l'humectation et
du dessèchement, ainsi
que lors du bétonnage en
hiver. Pour bétons
réfractaires et résistant
aux agents chimiques

Le ciment alumineux Pour les ouvrages en – –


des classes M 400, M béton et béton armé
500, M 550, M 600. s'exposant à l'influence
des eaux sulfatées ou à
l'anhydride sulfureux
lors de la température
pas plus haute que 25˚С.

Ciment expansif Pour l’obtention des Pour sertissage Pour les travaux de
composé de gypse et bétons faiblement des joints et des construction lors de la
de laitier à haute expansifs, imperméables évasements de température plus basse
teneur en alumine des et expansifs, des plâtres tuyau lors de la que 0˚C, sans
classes M 400, M 500. imperméables et pour le pression échauffement.
remplissage des joints d'exploitation
des ouvrages jusqu'à 10 atms,
préfabriqués en béton et créé pendant 24 h
en béton armé. dès la fin du
moment de
sertissage.

Pg. N°23
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Pour le clavage et le – A l’état des ouvrages
renforcement des dans le régime de travail
ouvrages, le précoulage lors de la température
des boulons de plus haute que +80˚С.
fondation.

Pour le tamponnage des – –


voies de sortie des
solutions d'argile et des
poteaux des puits de
pétrole.

ANNEXE N°2.
Recommandé

DOMAINE DE L'APPLICATION DES ADJUVANTS DANS LES BÉTONS

Adjuvants

Les superplastifica-

sulfonates modifiés
NNHK, NK+NNK,

TSNIPS-1, PGEN,
LST, PASHCH-1,
NK, NNK, NKM,
HK, HK+HN, HJ

LHD, UPB, SDO


NCHK, KCHNR
М1,VLNK, GKJ,
Type des ouvrages et les
conditions de leur

SNV, SDD,

teurs ligno-
NNHK+М

exploitation
P, P+(S-3)
HK + NN

NN, NN1
NK+М,
SN

1. Les ouvrages en béton


armé avec l'armature non
précontrainte principale du
diamètre suivant :
>5mm. (+) + + + + + + + +
<5mm – + + (+) (+) + + + +
2. Les ouvrages, ainsi que
les joints sans armature
tendue des ouvrages
combinés en éléments
préfabriqués et coulés en
place ayant les barres en
attente ou les pièces
incorporées : sans
protection spéciale – + + 2 – + + + +
avec les enrobages en zinc
– –* – – – (+) – + –****
sur l'acier
avec les enrobages en – –* (+) – (+) – – + –
aluminium sur l'acier
avec les enrobages (+) + + (+) (+) + + + +
combinés
(Couches de colorants et
de vernis, résistantes aux

Pg. N°24
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
alcalis et sur la sous-strate
métallique), ainsi que les
joints sans pièces
incorporées et l'armature
calculée
3. Les ouvrages combinés
en éléments préfabriqués – + + + + + + + +
et coulés en place en blocs
d'une épaisseur de 30 cm
4. Les ouvrages en béton
et béton armé destinés à
l'exploitation :

a) Dans milieux agressifs à


gaz – + + (+) (+) + + + +
b) Dans les milieux
aqueux non agressifs et
agressifs lors de
l'immersion constante + + + + + + + + +
c) Dans les eaux
agressives sulfatées et dans
les solutions des sels et des
alcalis acres lors de la
présence des surfaces
vaporisant – – (+) – – (+) – + +
d) Dans la zone du niveau
variable de l'eau – – (+) – – (+) – + +
e) Dans milieux à gaz lors
de l'humidité relative plus
que 60% lors de la
présence dans l'agrégat de
la silice réactionnelle +** – + – + – – + +
f) Dans les zones
d'opération des courants
vagabonds des sources
étrangères – – + – – + + + +
5. Les ouvrages
précontraints et les joints
des ouvrages préfabriqués
combinés en éléments
préfabriqués et coulés en
place – + (+) – – + – + +
6. Les ouvrages
précontraints, armé par
l'acier des classes : At-IV;
At-V; At-VI; A-IV; A-V. – + –*** – – – –*** + +
7. Les ouvrages du béton
en ciment alumineux – – – – – – – + –

* - Est admissible jusqu'à 1 % SN

Pg. N°25
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
** - L'application de HN n'est pas admissible.
*** - Est admis à l'application dans les ouvrages armés par les aciers résistants à la
fissuration par corrosion.
**** - L'application de l'adjuvant LTM est admissible.

Remarque : 1. Le signe "-" - l'introduction de l'adjuvant est interdite, le signe "+" - les adjuvants
seulement à titre de l'accélérateur du durcissement de béton.
Lors de l'application des adjuvants selon les points 3 et 4 il faut tenir compte des instructions
du point 2.
Les abréviations acceptées dans le tableau :

NJ – le nitrite du fer ( TDS 4111–74 );


HK – le chlorure du calcium ( TDS 450–77 );
HN – le chlorure du sodium ( TDS 13830–68 );
SN – le sulfate du sodium ( TDS 6318–77 );
NK – le nitrite du calcium ( ТУ 6–03–367–79 );
NNK – le nitrite - nitrate du calcium ( ТУ 6–03–704–74 );
M– le carbamide ( TDS 2081–75 );
NN – le nitrite du sodium ( TDS 18906–80* );
NNHK – le nitrite - nitrate - chlorure du calcium ( ТУ 6–18–194–76 );
NN – le nitrite du sodium ( TDS 828–77Е );
LST – les lignosulfonates techniques ( TDS 13–183–83 );
HJ – le chlorure du fer ( TDS 11159–76 );
PASHCH–1 le plastificateur adipique ( ТУ 6–03–26–77 );
VDHK – le goudron soluble saponifié ( ТУ 61–05–34–75 );
GKJ – le méthyle (l'éthyle) silicate du sodium ( ТУ 6–02–696–76 );
NCHK– le contact neutralisé noir (de sodium) ( ТУ 38–101615–76 );
KCHNR– le contact neutralisé noir raffiné ( ТУ 382–3022–74 );
SNV– le goudron neutralisé d'entraîneur d'air ( ТУ 81–05–7–80 );
SPD– l'adjuvant synthétique tensio-actif ( ТУ 38–101253–77 );
TSNIPS–1 le brai de goudron de bois saponifié ( ТУ 81–05–16–76 );
PGEN– Éthylhydrosesquioxane ( ТУ 6–02–280–76 );
LHD– l'adjuvant de chimie des produits du bois ( ТУ 81–05–128–81 );
UPB– la bouillie de mélasse évaporée après ( ОSТ 18–126–73 ).
l'addition des levains

2. Les superplastificateurs recommandés :


S-3 – " fluidifiant S-3" (TY 14–652–81 avec changement № 1), DF – "Dofen" (TY 14–
6–188–81), NKKS 40-03 (TY 38–4–0258–82).
3. Les adjuvants recommandés superplastifiants à la base des lignosulfonates modifiés :
LTM (TY 65–08–74–86), MTS (TY 67–542–83), NIL–20 (TY 400–302–4–80),
LSTM–2 (TY 13–287–85).

Pg. N°26
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé

ANNEXE 3

RÉGIMES DU SÉCHAGE ET DU PREMIER RÉCHAFFAGE DES GROUPES DE MACHINES THERMIQUES DE BÉTON

RÉFRACTAIRE LORS DE SA TEMPÉRATURE POSITIVE

N° de Caractéristique du Épaisseur La plus grande vitesse de l’augmentation de La plus petite durée de la conservation
régime béton réfractaire d’ouvrage, température degré/h, à l'intervalle des températures isométrique, h lors de la température, C°
cm suivantes
De l’air De 200 De 400 De 600C°
ambiant jusqu’à jusqu’à jusqu’à
200 300 400 500 600
jusqu’à 400C° 600C° température de
200С° fonctionnement
En portland ciment
Jusqu’à
1 de durcissement 20 20 20 20 12 12 12 - 12
20
normal
De 20 20 20 20
2 Même 20 12 24 12 - 12
jusqu’à 40
Plus que 20 10 20
3 Même 10 12 24 24 - 24
40
20 10 20
4 En verre liquide jusqu’à 20 20 - 12 12 12 -
Plus que 20 10 20
5 Même 20 - 12 24 24 -
20
En ciment Jusqu’à 20 50 50
6 50 - - 12 - -
alumineux 20
Plus que 20
7 Même 30 30 30 - - 12 12 -
20
Plus que 20
8 En agrégats poreux 10 20 20 24 12 24 - 12
20

Pg. N°27
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
ANNEXE 4

MATÉRIAUX POUR LES BÉTONS PARTICULIÈREMENT LOURDS,


HYDROGÉNIFÈRES ET BORIQUES APPLIQUÉS POUR LA PROTECTION
CONTRE RADIANTION

Composition des
éléments chimiques, La masse volumineuse
La température
définissant les du béton après 28
maximale de
Matériaux caractéristiques de jours de la
l'application de béton,
protection des conservation, kg cm /
ºС
matériaux, selon la м³
masse, %
Bétons particulièrement lourds
Les agrégats de 350 jusqu’à 1000
minerai de fer (de
chromatite, de (Fe) - 30-65 2800 - 3600 (divers)
magnétite)
Barytique (BaO1) – pas moins 3000 - 3600 100
que 70
De chromite (C, Fe) - pas moins 2800 - 3400 1100
que 30
Le lit de fusion
préparatoire de la
production (Fe) - 60 - 65 TDS est
métallurgique (les limité selon lit de 3200 - 3600 1000
boulettes, les fusion
briquettes)
Les agrégats
métalliques (en acier
ou de fonte) le scrap,
le sable Fe Jusqu’à 6200 200

Bétons hydrogénifère (d'hydrate)


La serpentinine (H2O) – pas moins que 2100 - 2200 450
10
(Fe) – n’est pas limité 2600 - 3000 200
(H2O) – pas moins que 2800 - 3200 200
10
(Fe) - n’est pas limité – –
Le plâtre naturel (H2O) - pas moins que 2000 - 2200 60
15

Bétons boriques
Le carbure du bore (B) – 78 – 2000
Le borate dihydrate du
calcium (B) - 12 – 15
(H2O) - 15 – 20 – 200

Pg. N°28
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
Le minerai d'ascharite (B) - 15 – 30 –
(H2O) - 10 – 12 – 500
Le minerai de datolite (B) - 5 – 7
(H2O) - 5 – 10 – 200
Le minerai de (B) - 12 - 15
colémanite
(H2O) - 10 -15 – 200

Remarque:

1. Lors de l'utilisation de la combinaison des agrégats, la masse volumineuse de béton dépendra


du type des agrégats utilisés et de leur quantité dans le mélange, la température maximale de
l'application de béton sera limitée par le matériau ayant la plus petite température
d'application.

2. La température maximale d'application des matériaux contenant l’eau de constitution (H 2O),


est indiquée selon les conditions de sa conservation lors de l'influence de température.

Pg. N°29
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
ANNEXE 5
MATÉRIAUX POUR LES BÉTONS.

Matériaux Document réglementaire


Le ciment TDS 23464 – 79, TDS 10178 – 85
TDS 969 – 91, TDS – 22266 – 94
TDS 30515 – 97
Les agrégats pour les bétons :
Lourds TDS 23735 – 79
Gros TDS 8267 – 93
Menus TDS 8736 – 93
Légers TDS 9757 – 90, TDS 9758 – 86
Réfractaire TDS 22263 – 76
L'eau TDS 23732 – 79
Les adjuvants chimiques TDS 24211 – 91

ANNEXE 6

JOURNAL DE L'ENTRETIEN DE BÉTON.

Date du Début de Date de la

Température moyenne de conservation

Marquage des échantillons de contrôle


coulage de la conser- mesure et de
Méthode de la conservation de béton

Solidité des échantillons kg cm/m2


Condition de la conservation des
N° des sondages de température

béton vation de la
Module de la surface, m2 / m 3

Nombre des degrés – heures


béton température
Durée de conservation, h.

de béton
Volume de béton
La construction

échantillons
Température de béton

Température de béton
Date, heure

Date, heure
Mois

Jour

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 1 14 15 16 17
3

Remarque:
1. Le début de la conservation du béton (points 8 et 9) est considéré comme le temps de la
mise en marche de la vapeur ou du courant lors de l'échauffement artificiel du béton, ou
le temps de la fin du bétonnage de la construction lors de la méthode du thermos avec les
adjuvants antiréfrigérantes.
2. Le temps de la cessation du fonctionnement de la vapeur ou du débranchement du
courant et du décoffrage de la construction doit être noté dans le bordereau par les signes
conventionnels.

Pg. N°30
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
ANNEXE 7

ACTE
d’essais des structures de bâtiment et des ouvrages (FORMULAIRE)

"___"_____________200 . N°
La commission fixée par____________________________________________________
( désignation de l'organisation - Client )

_____________________________________________________________________________

Selon l’ordre du "____"________________2 . N°

avec un président – représentant de client ____________________________________________


( Nom, Prénom, Poste )
_____________________________________________________________________________
membres de la commission des représentants d'Entrepreneur___________________________
_____________________________________________________________________________
( Nom, Prénom, Poste )
une organisation de montage______________________________________________________
( Nom, Prénom, Poste )

A RATIFIÉ QUE:
1. L'organisation de montage ________________________________________________
(la désignation de l'organisation et sa subordination départementale)

_____________________________________________________________________________
a présenté pour l'essai ___________________________________________________________
(la désignation du bâtiment, de l'ouvrage)

faisant partie___________________________________________________________________
(la désignation de l'objet)

2. Les ouvrages sont montés conformément à la documentation de projets élaborée ____

_____________________________________________________________________________
( le chiffre du projet)

3. Les travaux de construction sont réalisés par l'Entrepreneur______________________


_____________________________________________________________________________
(les types des travaux)

4. Montage de l'équipement est réalisé par______________________________________


_____________________________________________________________________________
(la désignation de l'organisation et la liste des types des travaux)

5. La documentation est présentée à la commission, en volume prévu par CNT_________


________________________________________________énumérée à l'annexe du présent acte.

Pg. N°31
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
6. Les travaux de construction sont réalisés aux délais :
Le début des travaux ________________, la fin des travaux_______________________
(mois, année) (mois, année)

7. Les essais sont faits conformément à PPR, élaboré_____________________________


_____________________________________________________________________________
(le chiffre de projet, la désignation d'organisation, la subordination départementale)
Au délai_______________________________________________________________________
( la date du début et de la fin de l'essai)

8. Au cours d’essais est établi________________________________________________


_____________________________________________________________________________
( noter les résultats d’essais)

DÉCISION DE COMMISSION
_____________________________________________________________________________
( désignation du bâtiment, de l'ouvrage)

a subi les essais et prêt à l'exécution des travaux suivants.

Les annexes d'acte :


1. _____________________________________________________________________
2. _____________________________________________________________________

Le président de la commission (signature)

Les membres de la commission (signature)

Pg. N°32
SNIP 3.03.04 – Ouvrages monolithes en béton et béton armé
ANNEXE 8

SELECTION DE LA MÉTHODE LA PLUS ÉCONOMIQUE DE LA


CONSERVATION DE BÉTON LORS DU BÉTONNAGE DES OUVRAGES
MONOLITHES EN HIVER

Types d’ouvrages Température d'air minimale, Façon de bétonnage


°С, jusqu'à

Fondations massives en béton – 15 Le thermos.


et en béton armé, les blocs et – 25 Le thermos avec l'application
dalles avec le module de la des accélérateurs du
surface jusqu'à 3. durcissement de béton.
Le thermos avec l'application
des adjuvants antiréfrigérants
*.

Fondations sous les bâtiments – 15 Le thermos avec l'application


et l'équipement, les murs des adjuvants antiréfrigérants *
massif etc. avec le module de et des accélérateurs du
la surface 3-6. durcissement.
– 25 L'échauffement dans le
coffrage chauffant. Le
réchauffage préliminaire de
béton.
– 40 L'échauffement dans le
coffrage chauffant.
La chauffe électrique éloignée.

Les poteaux, poutres, les – 15 Le thermos avec l'application


traverses de palée, les des adjuvants antiréfrigérants
éléments des ouvrages de *, l'échauffement dans le
cadre, les pilotis, les murs, les coffrage chauffant par les
planchers avec le module de chaufferettes.
la surface 6 – 10. – 25 Le réchauffage préliminaire de
béton, l'échauffement par
induction.
– 40 L'échauffement dans le
coffrage chauffant par les
chaufferettes et les enrobages
thermo-actifs flexibles (TAGP)
avec l'application des adjuvants
antiréfrigérants.
Les planchers, les cloisons, les – 40 Même
dalles de plancher, les
ouvrages à parois minces
avec le module de la surface
10 – 20.
* En général, les adjuvants antiréfrigérantes doivent être appliqués avec les plastifiants.

Pg. N°33

Vous aimerez peut-être aussi