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Cours de géologie générale (Génie Civil)

LA GEODYNAMIQUE INTERNE

1- Introduction
La dynamique interne de la terre, ou la géodynamique interne, concerne les mouvements et les
processus qui affectent l'intérieur de la Terre. Il s'agit essentiellement d'une thermodynamique reliée à
la déperdition de chaleur causée par la désintégration radioactive de certains éléments. Une des
manifestations les plus tangibles de cette dynamique est le déplacement de plaques rigides
(lithosphériques) à la surface de la planète, plaques qui glissent sur du matériel plastique
(asthénosphère). Cette mécanique est décrite par la théorie de la tectonique des plaques, une théorie
unificatrice qui vient expliquer de grands phénomènes géologiques comme les tremblements de terre,
les volcans, la déformation de la croûte terrestre et la formation des grandes chaînes de montagnes.
2- La tectonique des plaques
Connue aussi sous les termes "la dérive des continents", la tectonique des plaques étudie l'évolution et
la déformation des plaques lithosphériques constituant la surface de la Terre.
L'enveloppe superficielle du globe terrestre, ou lithosphère, est formée de plaques relativement rigides,
épaisses d'une centaine de kilomètres et flottant sur l'asthénosphère, relativement plastique. La
lithosphère inclut la croûte continentale ou océanique et la partie supérieure du manteau.
Ces plaques sont mobiles les unes par rapport aux autres, et c'est le long des frontières les séparant que
les phénomènes tectoniques sont les plus importants. Il existe trois types de limites :
les zones d'expansion océanique, dans lesquelles naît de la croûte océanique,
les zones de subduction, dans lesquelles disparaît du matériel crustal (Qui appartient à la croûte),
les zones transformantes, le long desquelles coulissent des plaques ou des fragments de plaques
sans création ni résorption (Action de faire disparaître peu à peu) de croûte.

Un peu d'histoire
C'est au 17ème siècle que des observateurs comme Francis Bacon en 1620, ont été étonnés par la
ressemblance des tracés entre les côtes africaines et les côtes sud-américaines.
Au 19ème, on découvrit des similitudes géologiques entre ces deux continents. C'est à la fin de ce
siècle et au début du 20ème, que l'on émit les premières hypothèses.
Mais il fallut attendre 1915 pour voir Alfred Wegener popularisé l'idée d'un déplacement des
continents. Sa théorie était basée non seulement sur le parallélisme presque parfait de la côte
occidentale de l'Afrique et de la côte orientale de l'Amérique du Sud, mais aussi sur la coïncidence des
contours géologiques de part et d'autre de l'Atlantique sud et l'homologie des séquences de roches et
des données paléoclimatiques (Etude des climats qui régnait à une époque géologique dans une zone
donnée). Mais les géophysiciens gelèrent cette théorie pour la remplacer par des explications fixistes.
C'est dans les années quarante que quelques géologues se sont peu à peu ralliés à l'hypothèse d'un
mouvement des continents. L'impulsion décisive fut donnée en 1950, par les études sur le
paléomagnétisme des fonds océaniques.

Enseignant : M. Kismoune Y (Université Ziane Achour – Djelfa) 1


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Sur cette longue période, les géologues peuvent avancer qu'un grand continent regroupait toutes les
terres émergées il y a plus de 570 millions d'années. Mais à
peine formé, ce super continent s'est désagrégé. Chaque craton
a bougé à la surface du globe pour aboutir à une nouvelle
unification, il y a donc environ 270 millions d'années : la
Pangée.
- Schéma - n° 1 : La Pangée, était entouré d'un vaste océan : la
Panthalassa. C'est en se collant à la plaque eurasienne que
l'Angara (ou plaque sibérienne) a donné naissance à la chaîne
de l'Oural.
Toute l'ère Paléozoïque (-540 à -245 millions d'années) est
marquée par une alternance de glaciations et de
réchauffements. A l'Ordovicien supérieur, le Sahara était
recouvert de glace. Au carbonifère, l'Europe était équatoriale et
envahie d'arbres tropicaux de 30 mètres de haut.
Schéma - n° 2 : Entre le Gondwana (agglomérat de l'Afrique,
l'Amérique du sud, l'Antarctique, l'Inde et l'Australie) et la
Sibérie, se trouvait un océan baptisé Thétys. Le développement
de cette mer, va alors scinder ce super continent en deux
masses préfigurant la répartition Nord-Sud des continents
actuels.
L'Atlantique s'est ouvert et les plaques ont cheminé à nouveau
sur le globe.
Schéma - n° 3 : Les Amériques se séparent de l'Europe et de
l'Afrique. La dérive s'organise suivant deux directions : vers
l'équateur et vers l'ouest.
Ces mouvements provoquent d'abord le détachement de
l'Antarctique et de l'Australie, puis celui de Madagascar et de
l'Inde qui entame seule sa remontée vers l'Asie à travers le
futur océan Indien pendant que l'Australie s'écarte vers le
Pacifique.
L'ère secondaire, plus chaude que la précédente, voit s'élever
les Rocheuses et les Andes, par subduction de la plaque
pacifique sous la plaque américaine.
Schéma - n° 4 : Le déplacement de l'Amérique étant plus
rapide que celui de l'Eurasie et de l'Afrique, l'Atlantique va se
former, puis s'élargir.
Pendant le tertiaire (-65 à -2 millions d'années) et le quaternaire
(jusqu'à nos jours), les continents ont progressivement adopté leur disposition actuelle.
Il y a environ 5 millions d'années, la rencontre de l'Afrique et de l'Europe a fermé l'embouchure de la
Méditerranée qui se vidait, rendant le climat très aride.
Schéma - n° 5 : Peu de temps après, les déplacements de plaques ont ouvert le détroit de Gibraltar
qui, tel une gigantesque cataracte, a permis à l'eau de l'océan Atlantique de se déverser dans la mer
Méditerranée pour la remplir de nouveau.
Schéma - n° 6 : Aujourd'hui, les mouvements se poursuivent, si bien que dans quelques millions
d'années, la Terre n'aura plus le même visage : l'Afrique aura plongé sous l'Europe, l'Inde sous le
continent asiatique et la Californie sera devenue une île.
Les zones d'expansion ou d'accrétion océanique
Ces zones constituent des reliefs sous-marins, ou dorsales, parcourant le fond des océans.
La crête de certaines dorsales peut être effondrée en un fossé linéaire (ou rift médian). Tel est le cas de
la dorsale médio-atlantique qui partage tout l'océan Atlantique du nord au sud. Ces zones, longues de
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60 000 km, sont le siège d'une importante anomalie thermique positive liée à une remontée de
l'asthénosphère.
Les mouvements asthénosphériques divergent à partir de la dorsale en écartant les deux plaques
lithosphériques voisines. L'écartement de celles-ci est compensé par d'importants apports volcaniques
de basalte qui se solidifie en forme de coussins. Une dorsale océanique apparaît donc comme la zone
où naît la croûte océanique.
La vitesse d'expansion des fonds océaniques varie de 1 à 2 cm par an pour les dorsales lentes, et atteint
jusqu'à 10 cm et plus pour les dorsales rapides. Les dorsales lentes, telle la dorsale médio-atlantique,
présentent dans leur partie médiane, un rift, fossé profond de 2 000 m et large de 20 à 30 km, alors que
les dorsales rapides, comme la dorsale Est-Pacifique, en sont dépourvues et ne présentent qu'un relief
modéré.
Les zones de subduction ou marges actives
Si l'on admet que le volume de la Terre reste constant, il est nécessaire que disparaisse une quantité de
croûte équivalant à celle qui a été engendrée par les dorsales. Cette disparition se réalise dans les zones
de subduction, qui constituent le deuxième type de limite de plaques.
Le phénomène prend naissance, en général, le long d'une bordure continentale : la plaque océanique
plonge alors sous la plaque continentale, moins dense. La surface de contact entre les deux plaques, le
plan de subduction, est le siège de séismes nombreux et importants, notamment au japon.
La ligne d'émergence du plan de subduction correspond à une fosse océanique profonde. Son
inclinaison, donnée par la localisation des foyers sismiques engendrés par son fonctionnement, est de
l'ordre de 20 à 45°. Sur la bordure de la plaque chevauchante, s'accumulent des écailles tectoniques
constituées par les sédiments qui sont refoulés. Cet empilement constitue le prisme d'accrétion
tectonique. La plaque chevauchante peut être une plaque continentale ou, parfois, une autre plaque
océanique. On y observe alors un archipel d'îles volcaniques séparé du continent par un bassin
marginal (Japon, Antilles).
Les failles transformantes
Ce sont des failles qui traversent les dorsales en les décalant. Le décalage apparent ne correspond pas
aux mouvements relatifs de la matière, de part et d'autre de la faille. Le déplacement est lié uniquement
à l'expansion issue de la dorsale. Entre les deux parties de la dorsale, le mouvement relatif est inverse
au décalage apparent des dorsales. Au-delà de celles-ci, si le taux d'expansion est identique pour les
deux tronçons de dorsale, il n'y a plus de déplacement relatif.
Les failles transformantes peuvent être le siège de séismes. Espacées d'une cinquantaine de kilomètres
le long de la dorsale médio-atlantique, elles sont moins fréquentes le long de la dorsale Est-Pacifique.
En revanche, cette dernière est interrompue par des zones de recouvrement : deux fragments de
dorsales contigus sont décalés et prolongés par des segments effilés et recourbés vers l'autre fragment
de dorsale. Ce phénomène pourrait être la conséquence d'une remontée de matériau fondu.
L'obduction
L'obduction est le chevauchement de la croûte continentale par de la croûte océanique.
Elle peut être la conséquence d'une évolution particulière : transformation d'une dorsale océanique en
zone de convergence (subduction), résorption du domaine océanique, l'affrontement du continent et de
la zone de subduction provoquant l'expulsion du fond océanique sur le continent (c'est le cas de la
Nouvelle-Calédonie).

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Les limites des plaques tectoniques

3- Le séisme
C'est un ébranlement brutal plus ou moins violent de l'écorce terrestre. Les séismes se déclenchent lors
de la libération brutale de contraintes accumulées par des déplacements tectoniques ou par des montées
magmatiques (séismes volcaniques).
Les effets les plus importants d’un séisme affectent l’épicentre, disposé plus ou moins à l’aplomb du
foyer, appelé l’hypocentre. Le foyer, qui constitue le point origine de la rupture engendrant le séisme,
se trouve à une profondeur faible (0 à 70 km), moyenne (70 à 350 km) ou grande (350-700 km) (Il n'y
a plus de foyer sismique en dessous de cette profondeur). Le foyer correspond à une cassure ou à un
déplacement de matériaux de la lithosphère.

Schéma simple d’un séisme


Les ondes sismiques
Ce sont les ondes provoquées par le séisme.
Les ondes émises par un séisme sont de trois types :
Les ondes P : ce sont des vibrations longitudinales, en compression. Leur vitesse de propagation
atteignent 3,5 à 14 km/s, suivant la nature des roches et la profondeur de propagation.
Les ondes S : ce sont des vibrations transversales, en cisaillement perpendiculaire à la direction de
propagation. Elles sont moins rapides que les ondes P (environ 1,7 fois moins).
Les ondes L : ces ondes sont superficielles, de grande longueur d'onde. Elles sont plus lentes encore
que les ondes S.
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L'étude des séismes


Les secousses sont analysées, et décelées lorsqu'elles sont faibles, par des sismographes qui
enregistrent sur un sismogramme l'heure d'arrivée des différents trains d'ondes et l'amplitude des
vibrations. Le décalage de l'heure d'arrivée des différents types d'ondes renseigne sur l'éloignement du
foyer. Plus le décalage des temps d'arrivée des ondes P et S est grand, plus le foyer est éloigné.
Les destructions provoquées par les séismes dépendent de l'énergie libérée, de la position de l'épicentre
par rapport à la densité de l'urbanisation ou de la population, de la nature des terrains supportant les
constructions, du type de construction : les immeubles à armature bien solidarisée résistent mieux que
les constructions classiques. Les constructions conçues pour résister aux séismes sont dites
parasismiques.
Les séismes sont classés en fonction de leur intensité, suivant deux échelles :
l'échelle de Mercalli
l'échelle de Richter
L'échelle de Mercalli
L'échelle de Mercalli est subjective. Elle est fondée sur l'étendue des dégâts observés.
Elle comporte douze degrés. Ces intensités sont exprimées en chiffres romains de I à XII.
Intensité de
l'échelle de Effets ressentis
Mercalli
I Aucun mouvement n'est perçu.
Quelques personnes peuvent sentir un mouvement si elles sont au repos et/ou dans les
II
étages élevés de grands immeubles.
A l'intérieur de bâtisses, beaucoup de gens sentent un léger mouvement. Les objets
III
suspendus bougent. En revanche, à l'extérieur, rien est ressenti.
A l'intérieur, la plupart des gens ressentent un mouvement. Les objets suspendus
IV
bougent, mais aussi les fenêtres, plats, assiettes, loquets de porte.
La plupart des gens ressentent le mouvement. Les personnes sommeillant sont
réveillées. Les portes claquent, la vaisselle se casse, les tableaux bougent, les petits
V
objets se déplacent, les arbres oscillent, les liquides peuvent déborder de récipients
ouverts.
Tout le monde sent le tremblement de terre. Les gens ont la marche troublée, les objets,
tableaux, tombent, le plâtre des murs peut se fendre, les arbres et les buissons sont
VI
secoués. Des dommages légers peuvent se produire dans des bâtiments mal construits,
mais aucun dommage structural.
Les gens ont du mal à tenir debout. Les conducteurs sentent leur voiture secouée.
Quelques meubles peuvent se briser. Des briques peuvent tomber des immeubles. Les
VII
dommages sont modérés dans les bâtiments bien construits, mais peuvent être
considérable dans les autres.
Les chauffeurs ont du mal à conduire. Les maisons avec de faibles fondations bougent.
De grandes structures telles que des cheminées ou des immeubles, peuvent se tordent et
VIII se briser. Les bâtiments bien construits subissent de légers dommages, contrairement
aux autres qui en subissent de sévères. Les branches des arbres se cassent. Les collines
peuvent se fissurer si la terre est humide. Le niveau de l'eau dans les puits peut changer.
Tous les immeubles subissent de gros dommages. Les maisons sans fondations se
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déplacent. Quelques conduits souterrains se brisent. La terre se fissure.

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La plupart des bâtiments et leurs fondations sont détruits. Il en est de même pour
quelques ponts. Des barrages sont sérieusement endommagés. Des éboulements se
X
produisent. L'eau est détournée de son lit. De larges fissurent apparaissent sur le sol. Les
rails de chemin de fer se courbent.
La plupart des constructions s'effondrent. Des pont sont détruits. Les conduits
XI
souterrains sont détruits.
Presque tout est détruit. Le sol bouge en ondulant. De grands pans de roches peuvent se
XII
déplacer.
Partant de l'observation des destructions, il est possible de tracer une carte isoséiste, sur laquelle les
zones ayant subi le même degré de destruction sont matérialisées par des lignes : les courbes isoséistes.
Plus ces courbes sont serrées, et plus le foyer est proche de la surface.

L'échelle de Richter
L'échelle de Richter est objective et exprime la magnitude du séisme.
La magnitude correspond au logarithme de l'amplitude des vibrations enregistrées par un sismographe
étalonné en fonction de la distance épicentrale.
Les plus forts séismes enregistrés avaient une magnitude de 8,6.

Magnitude sur
l'échelle de Effets du tremblement de terre
Richter
Moins de 3,5 Le séisme est non ressenti, mais enregistré par les sismographes.
De 3,5 à 5,4 Il est souvent ressenti, mais sans dommage.
Légers dommages aux bâtiments bien construits, mais peut causer des
De 5,4 à 6
dommages majeurs à d'autres bâtisses.
De 6,1 à 6,9 Peut être destructeur dans une zone de 100 km à la ronde.
Tremblement de terre majeur. Il peut causer de sérieux dommages sur une large
De 7 à 7,9
surface.
C'est un très grand séisme pouvant causer de très grands dommages dans des
Au dessus de 8
zones de plusieurs centaines de kilomètres.

Localisation et répartition des séismes


Les séismes sont fréquents dans les régions où les contraintes tectoniques sont les plus fortes. Ce sont
des régions particulières de l'écorce terrestre situées en bordure des plaques lithosphériques, comme la
"Ceinture de feu" de Pacifique, le long des dorsales médio-océaniques ainsi qu'à l'intérieur de certaines
zones continentales.
On sait, en effet, que la croûte terrestre, mince coquille solide entourant le globe, est divisée en
"plaques" qui :
soit se séparent le long des dorsales océaniques ou des fossés continentaux, tel le rift (fossé
d'effondrement) Est-africain,
soit entrent en collision (ceinture du Pacifique, Méditerranée du Nord, Iran, Himalaya)
soit glissent horizontalement les unes contre les autres (faille de San Andreas en Californie).
Les séismes sont plus violents et plus fréquents dans les grandes régions de plissement ou dans les
zones les plus volcaniques.
La sismicité (ou séismicité) exprime la fréquence des séismes en un lieu donné. Par exemple, 1450
secousses par an en moyenne au japon.

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Répartition des grandes zones sismiques dans le monde

La sismologie (ou séismologie) étudie les séismes et la propagation des ondes sismiques à travers le
globe. Cette étude a permis de déceler la structure en enveloppes concentriques du globe terrestre.

4- Les raz de marée


Lorsqu'un séisme est sous-marin, il peut provoquer un tsunami, une houle d'une amplitude
considérable, appelée aussi raz de marée.
L'amplitude de l'oscillation du tsunami peut rester inaperçue en mer, mais, lorsque l'onde s'approche de
la côte, et donc de fond plus faible, la vague déferle sur une hauteur qui peut dépasser 30 mètres en
balayant le rivage.
Un tsunami peut donc engendrer des destructions énormes, situées parfois très loin du séisme
initiateur.
Ainsi, en 1960, un tremblement de terre au Chili entraîna un tsunami qui fit des victimes au Japon et
aux îles Hawaii. On peut citez aussi l’exemple de la plus récente tsunami de Sumatra (Indonésie) dont
l’effet a atteint même les cotes de l’Inde et le sud-est de l’Afrique.

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