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Etude de l’infrastructure
CHAPITRE XIII : Etude de l’infrastructure
I. Introduction :
Les fondations sont par définition, les parties de l’ouvrage qui sont en contact avec le sol,
leurs rôles est la transmission des charges et surcharges de la superstructure.
Nous distinguons deux principaux types de fondations selon la profondeur à laquelle elles
se situent (les fondations superficielles et les fondations profondes et qu’elles doivent être
calculées et réalisées par :
Le terrain qui fait l’objet de cette étude est situé au niveau de la commune de Bordj El
Kiffan qui est rattachée administrativement à la Wilaya d’Alger.
La nature géologique de notre site est constituée essentiellement des argiles et de sable, la
région fait partie du SAHEL.
Il est à souligner que le terrain d'étude appartient à une région caractérisée par une forte
activité sismique, classée comme zone (III) d'après le zonage sismique de l'Algérie et selon
le RPA99/version 2003.
➢ Essais in situ :
✓ Vingt-cinq (25) essais de pénétration dynamique poussés au refus.
✓ Sept (07) sondages carottés de déférents profondeurs ont été programmé au
début et deux (02) autres sondages carottés de 30.0 m de profondeur ont été
rajoutés.
✓ Un (01) sondage pressiométrique de 12.0 m de profondeur a été programmé
au début et trois autres sondages pressiométrique de 15.0 m ont été rajoutés.
✓ Deux (02) profils sismiques réfraction.
➢ Essais de laboratoire :
C’est un test qui donne une indication qualitative et quantitative sur la résistance du sol, il
consiste à faire pénétrer dans le sol par battage, un train de tige muni d'une pointe conique
débordante à l'aide d'un marteau tombant en chute libre appelé « mouton ». Pour une
énergie de battage constante on compte le nombre de coups du mouton « N » nécessaire
pour un enfoncement de 20 cm.
➢ Un premier niveau : Situé entre 0.00 et 6,00 m de profondeur ou le sol d'assise est
caractérisé par des faibles à moyennes résistances, les valeurs de R, enregistrées
varient entre 20 et 40.00 bars avec des pics pouvant chuter jusqu'à 10 bars.
➢ Un deuxième niveau : Situé juste après le premier horizon, ou les courbes
pénétrométriques traversent un soi de bonnes caractéristiques, les valeurs de la
résistance dépassent directement les 50 bars et augmentent d'une manière
considérable avec la profondeur.
12,0m
Essais mécaniques :
Des échantillons de sol ont été prélevés des sondages réalisés en vue d'effectuer des analyses
chimiques permettant de déceler les éventuels éléments nocifs vis-à-vis du béton de
fondations.
Les résultats mettent en évidence une agressivité chimique faible vis-à-vis du béton de
fondations la norme NF P 18-011 du 1212009. (Niveau XA1).
A partir des résultats obtenus dans le rapport du sol, les caractéristiques des fondations
proposées sont les suivantes :
Étant donné la nature de notre sol, nous avons choisi des fondations superficielles. En ce qui
concerne les ouvrages en voiles, trois cas peuvent se présenter en fondations superficielles :
✓ Semelle isolée.
✓ Semelles filantes.
✓ Radier général.
On fait le calcul pour la semelle isolée ou filante sous le voile verticale VT6 :
Quel que soit le type de fondations (superficielles ou profondes) on doit vérifier que
l’excentrement de la résultante des forces verticales gravitaires et des forces sismiques reste
à l’intérieure de la moitié centrale de la base des éléments de fondation résistant au
renversement.
𝑀 𝐵
𝑒0 = ≤
𝑁 4
Voile T6
Situation Sollicitation M (MN.m) N (MN) e0 (m) B/4 (m) Condition
1,35G+1,5Q 1,419 2,978 0,477
SDT Non
G+Q 1,038 2,189 0,474 1,375
vérifiée
SA 0,8G+E 26,535 1,630 16,275
Tableau II: Efforts exerçant sur la semelle sous le voile VT6.
Selon le RPA99/version 2003 (Article 10.1.5) on a trouvé que la semelle isolée est à écarter.
VT2 VT3
Situation Sollicitation M (MN.m) N (MN) M (MN.m) N (MN)
SDT 1,35G+1,5Q 0,825 4,942 1,429 3,656
𝑁𝐺𝑙𝑜𝑏𝑎𝑙 = ∑ 𝑁𝑖
𝑀𝐺𝑙𝑜𝑏𝑎𝑙 = ∑ 𝑀𝑖 + ∑ 𝑁𝑖 . 𝑋𝑖
Global
Situation Sollicitation B/4 M (MN.m) N (MN) e0 Vérification
1,35G+1,5Q 5,025 11,647 8,599 1,354 Vérifiée
SDT
G+Q 5,025 8,461 6,289 1,345 Vérifiée
SA 0,8G+E 5,025 54,251 4,453 12,182 Non vérifiée
Tableau IV: Efforts appliqués au centre de gravité de la semelle filante.
En situation accidentelle, la condition n’est pas vérifiée donc La semelle est instable vis-à-
vis au renversement. On déclinera la solution des semelles filantes, par conséquent notre
choix sera orienté vers un radier nervuré et non générale à cause de la présence des poteaux
dont Les nervures seront conçues de manière renversée, de sorte qu’elles soient enfouies
dans le sol sous le radier. Cette disposition a été prévu pour avoir une hauteur de sous-sol
exploitable.
✓ Béton de propreté.
✓ Dalle avec nervures transversales et longitudinales.
USTHB 2022 266
CHAPITRE XIII : Etude de l’infrastructure
✓ La dalle est située à la partie supérieure du radier, de ce fait, la dalle renforce la poutre
qui est en forme de T, ce système assure une grande rigidité.
✓ On conçoit pour la partie de l’ossature se trouvons au-dessous du niveau de base, un
voile périphérique continu entre le niveau du radier et le niveau de base.
➢ Détermination de la hauteur :
𝑆𝑟𝑎𝑑𝑖𝑒𝑟 = 𝑆𝑏𝑎𝑡𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 + 𝑆𝑑é𝑏𝑜𝑟𝑑
𝑆𝑏𝑎𝑡𝑖𝑚𝑒𝑛𝑡 = 466,69 𝑚2
𝑆𝑟𝑎𝑑𝑖𝑒𝑟 = 496,450 𝑚2
On prend le plus grand panneau, on le considère appuyé sur les quatre cotés. L’effort
tranchant sur appuis est donné par les formules suivantes :
𝑃 𝑃
𝑉𝑥 = ; 𝑉𝑦 = 𝐴𝑣𝑒𝑐: 𝐿𝑦 ≥ 𝐿𝑥
2𝐿𝑦 + 𝐿𝑥 3𝐿𝑦
𝑃𝑢
𝑃 = 𝑄. 𝐿𝑥 . 𝐿𝑦 ; 𝑄 = 𝜎𝑠𝑜𝑙 𝑢 =
𝑆𝑟𝑎𝑑𝑖𝑒𝑟
𝑃 = 1,35 𝑊𝐺 + 1,5 𝑊𝑄
Avec :
On prend : ℎ𝑟 = 0,5 𝑚
➢ Vérification au poinçonnement :
Sous l’action des forces localisées, il y a lieu de vérifier la résistance du radier au
poinçonnement par l’effort normal. Cette vérification s’effectue selon le CBA 93 Art
A.5.2.4 :
𝑓𝑐28
𝑁𝑢 ≤ 0,045. 𝜇𝑐 . ℎ𝑟𝑎𝑑𝑖𝑒𝑟 .
𝛾𝑏
Avec :
𝐍𝐮: La charge de calcul vis-à-vis de l’état limite ultime du voile ou du plus grand panneau.
𝑎′ = 𝑎 + ℎ𝑟 𝑒𝑡 𝑏′ = 𝑏 + ℎ𝑟
𝐡𝐫 : La hauteur du radier.
Vérification au poinçonnement
Eléments Nu(MN) e (m) L (m) hr (m) uc (m) Q (MN) Condition
VL1;L6 3,028 0,2 4,4 11,2 5,04 Vérifiée
VL2;L5 4,279 0,2 4,4 11,2 5,04 Vérifiée
VL3;VL4 4,125 0,2 5,3 13 5,85 Vérifiée
VT5 3,660 0,2 4,9 12,2 5,49 Vérifiée
0,5
VT2;VT4 4,942 0,2 4,9 12,2 5,49 Vérifiée
VT3 3,656 0,2 4,9 12,2 5,49 Vérifiée
VT1;VT6 2,978 0,2 4,9 12,2 5,49 Vérifiée
Poteau 1,54 0,5 0,5 4 1,8 Vérifiée
Tableau VIII: Vérification de la hauteur du radier « hr »
IV.3 Conclusion :
𝑿𝑮 = 12,750 𝑚 ; 𝒀𝑮 = 10,364 𝑚
𝑿𝑮 = 12,787 𝑚 ; 𝒀𝑮 = 10,139 𝑚
➢ Excentricité entre G et GR :
Ex (m) 0,037
Ey (m) 0,225
𝐺 = 𝑒 × ℎ × 𝑙 × 2,5 = 73,682 𝑡
➢ Masse du radier :
𝐺𝑟 = 𝑆𝑟 × ℎ𝑟 × 𝛾𝐵.𝐴 = 620,5625 𝑡
La résultante des charges verticales ne coïncide pas avec le centre de gravité de l’aire du
radier, donc les réactions du sol ne sont pas uniformément réparties, leur diagramme est
3𝜎𝑚𝑎𝑥 + 𝜎𝑚𝑖𝑛
𝜎𝑚𝑜𝑦 =
4
Les valeurs des contraintes sous l’effet des charges verticales sont données par la formule :
𝑁 𝑀𝑥 𝑀𝑦
𝜎𝑚𝑎𝑥 = + 𝑉𝑦 + 𝑉𝑥
𝑆 𝐼𝑥 𝐼𝑦
𝑁 𝑀𝑥 𝑀𝑦
𝜎𝑚𝑖𝑛 = − 𝑉𝑦 − 𝑉𝑥
𝑆 𝐼𝑥 𝐼𝑦
On obtient une surface de contact avec le sol qui a l’allure de la figure ci-après.
ELU
ELS
SDT SA
Sollicitation 1,35G+1,5Q G+Q+E G+Q
Résultat 102,138 74,902 74,902
Tableau X: Efforts normaux à l’ELU et à l’ELS.
➢ Moments d’excentricité :
Mux Muy
Nu (MN) ex (m) ey (m)
(MN,m) (MN,m)
SDT 102,138 0,037 0,225 3,809 22,959
SDT
SA 74,902 0,037 0,225 2,793 16,836
ELS ELS 74,902 0,037 0,225 2,793 16,836
Tableau XI: Moment fléchissant en SDT et SA.
Avec :
M0 : moment séismique.
Sens x-x
M0 (MN.m) T0 (MN) Z (m) MEL (MN.m)
112,363 6,950 3,060 133,630
Sens y-y
M0 T0 Z MET
114,689 7,066 3,060 136,312
Tableau XII: Moments de renversement dus au séisme.
Combinaison N (MN) Sr (m²) Mx (MN.m) My MN.m) Ix m'4 Iy m'4 MEL (MN.m) MET Vx (m) Vy (m) σ max σ ̅sol Condition
ELU 102,138 496,450 3,809 22,959 17227,328 26834,691 0,000 0,000 12,750 10,364 0,221 0,266 Vérifiée
SDT
ELS 74,902 496,450 2,793 16,836 17227,328 26834,691 0,000 0,000 12,750 10,364 0,162 0,200 Vérifiée
G+Q+EL 74,902 496,450 2,793 16,836 17227,328 26834,691 133,630 0,000 12,750 10,364 0,226 0,400 Vérifiée
SAC
G+Q+ET 74,902 496,450 2,793 16,836 17227,328 26834,691 0,000 136,312 12,750 10,364 0,244 0,400 Vérifiée
Combinaison N (MN) Sr (m²) Mx (MN.m) My MN.m) Ix m'4 Iy m'4 MEL (MN.m) MET Vx (m) Vy (m) σ min σ ̅sol Condition
ELU 102,138 496,450 3,809 22,959 17227,328 26834,691 0,000 0,000 12,750 10,364 0,190 0,266 Vérifiée
SDT
ELS 74,902 496,450 2,793 16,836 17227,328 26834,691 0,000 0,000 12,750 10,364 0,139 0,200 Vérifiée
G+Q+EL 74,902 496,450 2,793 16,836 17227,328 26834,691 133,630 0,000 12,750 10,364 0,076 0,400 Vérifiée
SAC
G+Q+ET 74,902 496,450 2,793 16,836 17227,328 26834,691 0,000 136,312 12,750 10,364 0,057 0,400 Vérifiée
Avec :
➢ Cas ELU :
𝜎𝑠𝑜𝑙𝑢 ≤ 2𝜎
̅̅̅̅̅
𝑠𝑜𝑙 (𝑆𝐴)
➢ Cas ELS :
𝜎𝑠𝑜𝑙.𝑠𝑒𝑟 ≤ ̅̅̅̅̅
𝜎𝑠𝑜𝑙
Pour qu’il n’y ait pas de soulèvement sous l’effet de la pression hydrostatique, il faudrait que :
𝑊 ≥ 1,5 𝛾𝑤 × 𝑧 × 𝑆𝑟
Avec :
Sr : surface du radier.
𝑊 = 6809,7925 𝐾𝑁
1,5 𝛾𝑤 × 𝑧 × 𝑆𝑟 = 2278,706 𝑀𝑁
→ condition vérifiée.
𝑀𝑠
≥ 1,5
𝑀𝑟
Ms : moment stabilisant qui tient compte du poids du bâtiment, ainsi que le poids du radier et
du remblai.
Stabilité au renversement
W str (MN) di (m) Ms(MN.m) Mr (MN.m) Ms/Mr Vérification
Sens x-x 12,750 865,709 133,630 6,478 Vérifiée
68,098
Sens y-y 10,364 690,443 136,312 5,065 Vérifiée
Tableau XIII: Vérification de la stabilité vis-à-vis du renversement.
VII.5 Conclusion :
Les panneaux seront calculés comme des dalles appuyées sur quatre cotés et chargées par la
contrainte du sol en tenant compte des ventilations de moments selon les conditions du
BAEL91/modifier99. La charge sollicitant les panneaux du radier est obtenue comme suit :
𝑮
ELU : 𝒒𝒖 = 𝝈𝒖 − 𝑺 𝒓
𝒓
𝑮
ELS: 𝒒𝒖 = 𝝈𝒔𝒆𝒓 − 𝑺 𝒓
𝒓
σ moy Gr Sr qu (Mpa)
ELU 0,214 6,21 496,450 0,2010
ELS 0,157 6,21 496,450 0,1441
SAA 0,198 6,21 496,450 0,1851
Tableau XIV: Contraintes la plus défavorable.
Calcul du coefficient « ρ » :
𝑙𝑥
𝜌 = 𝑙𝑦 Avec : lx : petit côté du panneau,
Avec :
𝑴𝒆 + 𝑴𝒘
𝑴𝒕 + ≥ 𝟏, 𝟐𝟓. 𝑴𝟎
𝟐
ELU
q
Panneau Lx Ly ρ=lx/l Sen M0X M0Y
𝜇𝑥 μ𝑦 (Mn/
x (m) (m) y s (MN,m) (MN,m)
m²)
P1 3 4,3 0,70 2 0,0683 0,436 0,201 0,124 0,054
P2 3 4,3 0,70 2 0,0683 0,436 0,201 0,124 0,054
P3 3,2 4,3 0,74 2 0,0634 0,491 0,201 0,131 0,064
P4 4,1 4,3 0,95 2 0,041 0,888 0,201 0,139 0,123
P5 3 4,7 0,64 2 0,0759 0,356 0,201 0,137 0,049
P6 3 4,7 0,64 2 0,0759 0,356 0,201 0,137 0,049
P7 3,3 4,7 0,70 2 0,0683 0,436 0,201 0,150 0,065
P8 4,1 4,7 0,87 2 0,0488 0,721 0,201 0,165 0,119
P9 3,2 4,3 0,74 2 0,0634 0,494 0,201 0,131 0,064
Tableau XVI: Moments fléchissant isostatique développés au centre du panneau à l’ELU.
ELS
q M0X
Panneau Lx Ly ρ=lx/l Sen M0Y
𝜇𝑥 μ𝑦 (Mn/m² (MN,
x (m) (m) y s (MN,m)
) m)
P1 3 4,3 0,70 2 0,0743 0,585 0,1441 0,096 0,0564
P2 3 4,3 0,70 2 0,0743 0,585 0,1441 0,096 0,0564
P3 3,2 4,3 0,74 2 0,0696 0,632 0,1441 0,103 0,0649
P4 4,1 4,3 0,95 2 0,0483 0,923 0,1441 0,117 0,1080
P5 3 4,7 0,64 2 0,0813 0,519 0,1441 0,105 0,0547
P6 3 4,7 0,64 2 0,0813 0,519 0,1441 0,105 0,0547
P7 3,3 4,7 0,70 2 0,0743 0,585 0,1441 0,117 0,0682
P8 4,1 4,7 0,87 2 0,0559 0,804 0,1441 0,135 0,1089
P9 3,2 4,3 0,74 2 0,0696 0,632 0,1441 0,103 0,0649
Tableau XVII: Moments fléchissant isostatique développés au centre du panneau à l’ELS.
ELU
Sens x-x Sens y-y
Panneau Mg (MN.m) Md (MN.m) Mt (MN.m) Mg (MN.m) Md (MN.m) Mt (MN.m)
Panneau1 0,037 0,062 0,105 0,027 0,016 0,046
Panneau 2 0,062 0,062 0,093 0,027 0,016 0,046
Panneau 3 0,065 0,065 0,098 0,032 0,019 0,054
Panneau 4 0,069 0,069 0,104 0,062 0,037 0,105
Panneau 5 0,041 0,069 0,117 0,024 0,024 0,037
Panneau 6 0,069 0,069 0,103 0,024 0,024 0,037
Panneau 7 0,075 0,075 0,112 0,033 0,033 0,049
Panneau 8 0,082 0,082 0,124 0,059 0,059 0,089
Panneau 9 0,065 0,039 0,111 0,032 0,019 0,055
Tableau XVIII: Ventilation des moments fléchissant à l’ELU.
ELS
Sens x-x Sens y-y
Panneau Mg (MN.m) Md (MN.m) Mt (MN.m) Mg (MN.m) Md (MN.m) Mt (MN.m)
Panneau 1 0,029 0,048 0,082 0,028 0,017 0,048
Panneau 2 0,048 0,048 0,072 0,028 0,017 0,048
Panneau 3 0,051 0,051 0,077 0,032 0,019 0,055
Panneau 4 0,058 0,058 0,088 0,054 0,032 0,092
Panneau 5 0,032 0,053 0,090 0,027 0,027 0,041
Panneau 6 0,053 0,053 0,079 0,027 0,027 0,041
Panneau 7 0,058 0,058 0,087 0,034 0,034 0,051
Panneau 8 0,068 0,068 0,102 0,054 0,054 0,082
Panneau 9 0,051 0,031 0,087 0,032 0,019 0,055
Tableau XIX: Ventilation des moments fléchissant à l’ELU.
➢ Vérification :
Sens x-x Sens y-y
Vérification
Panneau Mt+(me+mw)/2 1,25 Mox Mt+(me+mw)/2 1,25Moy
Panneau 1 0,154 0,154 0,067 0,067 Vérifiée
Panneau 2 0,154 0,154 0,067 0,067 Vérifiée
Panneau 3 0,163 0,163 0,080 0,080 Vérifiée
Panneau 4 0,173 0,173 0,154 0,154 Vérifiée
Panneau 5 0,172 0,172 0,061 0,061 Vérifiée
Panneau 6 0,172 0,172 0,061 0,061 Vérifiée
Panneau 7 0,187 0,187 0,081 0,081 Vérifiée
Panneau 8 0,206 0,206 0,149 0,149 Vérifiée
Panneau 9 0,163 0,163 0,081 0,081 Vérifiée
Tableau XX: Vérification des moments fléchissant à l’ELU.
Le ferraillage des panneaux du radier devra satisfaire la condition du CBA93 relative aux
3−𝜌
➢ Pour le petit côté du panneau : 𝐴𝑠𝑥 ≥ ( ) 𝐴𝑠.𝑦
2
Panneaux (x-x) Mu (MN.m) Au(cm²) Mser (MN.m) Aser (cm²) Amin ACNF (cm²) Aadpt (cm²) Ferraillage
Mg 0,037 2,678 0,029 3,725 4,605 6,100 6,100
P1 Md 0,062 4,464 0,048 6,208 4,605 6,100 6,208
Mt 0,105 7,588 0,082 10,553 4,605 6,100 10,553
Mg 0,062 4,464 0,048 6,208 4,605 6,100 6,208
P2 Md 0,062 4,464 0,048 6,208 4,605 6,100 6,208
Mt 0,093 6,695 0,072 9,311 4,605 6,100 9,311
Mg 0,065 4,714 0,051 6,616 4,512 6,100 6,616
P3 Md 0,065 4,714 0,051 6,616 4,512 6,100 6,616
Mt 0,098 7,071 0,077 9,924 4,512 6,100 9,924
Mg 0,069 5,005 0,058 7,537 4,093 6,100 7,537
P4 Md 0,069 5,005 0,058 7,537 4,093 6,100 7,537
Mt 0,104 7,507 0,088 11,306 4,093 6,100 11,306 5T16
0,041 2,976 0,032 4,075 4,723 6,100 6,100 e=20cm
Mg
en appuis
P5 Md 0,069 4,960 0,053 6,792 4,723 6,100 6,792
5T20
Mt 0,117 8,432 0,090 11,547 4,723 6,100 11,547
e=20cm
Mg 0,069 4,960 0,053 6,792 4,723 6,100 6,792 en travée
P6 Md 0,069 4,960 0,053 6,792 4,723 6,100 6,792
Mt 0,103 7,440 0,079 10,189 4,723 6,100 10,189
Mg 0,075 5,401 0,058 7,511 4,596 6,100 7,511
P7 Md 0,075 5,401 0,058 7,511 4,596 6,100 7,511
Mt 0,112 8,101 0,087 11,267 4,596 6,100 11,267
Mg 0,082 5,957 0,068 8,723 4,255 6,100 8,723
D8 Md 0,082 5,957 0,068 8,723 4,255 6,100 8,723
Mt 0,124 8,935 0,102 13,085 4,255 6,100 13,085
Mg 0,065 4,714 0,051 6,616 4,512 6,100 6,616
D9 Md 0,039 2,829 0,031 3,970 4,512 6,100 6,100
Mt 0,111 8,014 0,087 11,247 4,512 6,100 11,247
Ferraillage du radier selon le sens x-x.
Panneaux (y-y) Mu (MN.m) Au(cm²) Mser (MN.m) Aser (cm²) Amin ACNF (cm²) Aadpt (cm²) Ferraillage
Mg 0,027 2,019 0,028 3,768 4 5,879 5,879
P1 Md 0,016 1,212 0,017 2,261 4 5,879 5,879
Mt 0,046 3,433 0,048 6,405 4 5,879 6,405
Mg 0,027 2,019 0,028 3,768 4 5,879 5,879
P2 Md 0,016 1,212 0,017 2,261 4 5,879 5,879
Mt 0,046 3,433 0,048 6,405 4 5,879 6,405
Mg 0,032 2,402 0,032 4,338 4 5,879 5,879
P3 Md 0,019 1,441 0,019 2,603 4 5,879 5,879
Mt 0,054 4,083 0,055 7,375 4 5,879 7,375
Mg 0,062 4,611 0,054 7,218 4 5,879 7,218
P4 Md 0,037 2,767 0,032 4,331 4 5,879 5,879
Mt 0,105 7,839 0,092 12,271 4 5,879 12,271 5T16
0,024 1,832 0,027 3,658 4 5,879 5,879 e=20cm
Mg
en appuis
P5 Md 0,024 1,832 0,027 3,658 4 5,879 5,879
5T20
Mt 0,037 2,748 0,041 5,487 4 5,879 5,879
e=20cm
Mg 0,024 1,832 0,027 3,658 4 5,879 5,879 en travée
P6 Md 0,024 1,832 0,027 3,658 4 5,879 5,879
Mt 0,037 2,748 0,041 5,487 4 5,879 5,879
Mg 0,033 2,443 0,034 4,559 4 5,879 5,879
P7 Md 0,033 2,443 0,034 4,559 4 5,879 5,879
Mt 0,049 3,665 0,051 6,839 4 5,879 6,839
Mg 0,059 4,456 0,054 7,277 4 5,879 7,277
P8 Md 0,059 4,456 0,054 7,277 4 5,879 7,277
Mt 0,089 6,684 0,082 10,915 4 5,879 10,915
Mg 0,032 2,416 0,032 4,338 4 5,879 5,879
P9 Md 0,019 1,450 0,019 2,603 4 5,879 5,879
Mt 0,055 4,108 0,055 7,375 4 5,879 7,375
Ferraillage du radier selon le sens y-y.
Les consoles considérées comme « consoles courtes » sont les consoles dans lesquelles la
hauteur utile « d » dans la section d'encastrement est au moins égale à la plus grande des deux
dimensions suivantes :
𝑑 = 𝑚𝑎𝑥(𝐿, 2𝑎)
Avec :
L : Longueur de la console.
Condition
L (m) h (m) a (m) d (m) max (L, 2a)
d>max(L, 2a)
0,3 0,5 0,15 0,45 0,3 Console courte
𝑑
Avec : 𝛿=𝑎
δ 𝝉𝒖 (MPa)
̅̅̅ Vumax 𝝉𝒖.𝒎𝒂𝒙 (MPa) verification
3 4 0,0603 0,134 Contrainte vérifiée
𝑀𝑢
𝐴𝑠 =
𝑧. 𝜎𝑠.10
Avec :
𝑞𝑢 𝐿2
𝑀𝑢 =
2
IX.2 Conclusion :
La valeur obtenue étant très faible, donc le ferraillage du débord sera fait par prolongement
des armatures adoptées pour les panneaux.
X. Voiles périphériques :
X.1 Prédimensionnement :
D’après l’article 10.1.2 du RPA2003, l’épaisseur minimale du voile est de 15cm, et d’après
l’article 7.7.1 du RPA2003, l’épaisseur du voile est déterminée en fonction de la hauteur libre
du sous-sol et des conditions de rigidité aux extrémités :
ℎ𝑒 ℎ𝑒 ℎ𝑒
𝑎 ≥ 𝑚𝑎𝑥 ( ; ; )
25 22 20
𝜎ℎ = 𝐾 × 𝛾ℎ × ℎ
3𝜎𝑚𝑎𝑥 +𝜎𝑚𝑖𝑛
𝜎𝑚𝑜𝑦 = 4
ELU ELS
z (m) σh (t/m²) σq (t/m²) σu(t/m²) σmoy(t/m²) σu(t/m²) σmoy(t/m²)
0 0 0,3 0,45 0,300
3,443 2,517
3,06 2,956 0,3 4,441 3,256
Tableau XXIV: Evaluation des contraintes (horizontales, verticales, moyennes).
𝑀0𝑥 = 𝜇𝑥 . 𝑞. 𝑙𝑥2
𝑀0𝑦 = 𝑀0𝑥 . 𝜇𝑦
Lx Ly p M0x M0y
ρ Sens μx μy
(m) (m) (MN.m) (MN.m) (MN.m)
ELU 0,0344 0,0852 0,266 0,0208 0,0055
2,66 4,7 0,57 2
ELS 0,0252 0,0897 0,442 0,0160 0,0071
Tableau XXV: Evaluation des moments fléchissant isostatiques.
ELU ELS
Mu
Au Mser Aser Amin bael Ferrailla
(MN. A adpt
(cm²) (MN.m) (cm²) (cm²) ge adpt
m)
Appui 0,010 1,839 0,008 2,77 2,774 5T12
Sens
1,947 ep=20
x-x Travée 0,016 2,776 0,012 4,16 4,160 cm
Appui 0,003 0,524 0,004 1,32 1,60 5T10
Sens
1,6 ep=20
y-y Travée 0,004 0,787 0,005 1,98 1 ,98 cm
Tableau XXVII: Ferraillage du voile de l’infrastructure dans les deux sens à l’ELU et à l’ELS.
Les charges réparties linéairement sur les travées des nervures sont évaluées par la méthode des
lignes de rupture
Les lignes de rupture d’un panneau de dalle encastré sur son contour se composent de
tronçons :
Les charges réparties sont triangulaires et trapézoïdales donc les charges uniformément
réparties équivalant sont données par les formules suivantes :
𝜌2
𝑐 = (1 − ) 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑝è𝑧𝑒.
2
𝑃é𝑞 𝑀 = 𝑞 × 𝑐 Avec { 𝑙𝑥
𝑐= 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑡𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒.
3
𝜌 𝑙
𝑐 = (1 − 2) . 2𝑥 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑡𝑟𝑎𝑝è𝑧𝑒.
𝑃é𝑞 𝑇 = 𝑞 × 𝑐 Avec { 𝑙
𝑐= 𝑥 𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑢𝑛 𝑡𝑖𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒.
4
Le calcul sera effectué pour la nervure (file 3) sens longitudinal et (file B) pour le sens
transversal.
Les chargements uniformément répartis équivalents sont représentés dans les tableaux suivants:
Sens transversal :
➢ Moment fléchissant :
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P02 Trapèze 0,6977 3 0,2010 0,2526 0,1441 0,1811
P03 Trapèze 0,744 3,2 0,2010 0,2623 0,1441 0,1880
Somme (KN.ml) 514,9322 369,0827
Tableau XXVIII: Chargement équivalent exercé sur la travée « 1-2 »;« 4-5 ».
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P06 Trapèze 0,6383 3 0,2010 0,2606 0,1441 0,1868
P07 Trapèze 0,681 3,2 0,2010 0,2720 0,1441 0,1949
Somme (KN.ml) 532,5838 381,7347
Tableau XXIX:Chargement équivalent exercé sur la travée « 2-3 »;« 3-4 ».
➢ Effort tranchant :
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P02 Trapèze 0,6977 3 0,2010 0,1964 0,1441 0,1408
P03 Trapèze 0,744 3,2 0,2010 0,2020 0,1441 0,1448
Somme (KN.ml) 398,3527 285,5
Tableau XXX: Chargement équivalent exercé sur la travée « 1-2 » ;« 4-5 ».
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P06 Trapèze 0,6383 3 0,2010 0,2053 0,1441 0,1472
P07 Trapèze 0,681 3,2 0,2010 0,2122 0,1441 0,1521
Somme (KN.ml) 417,4924 299,2
Tableau XXXI: Chargement équivalent exercé sur la travée « 1-2 »;« 4-5 ».
Sens longitudinal :
➢ Moment fléchissant :
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P06 Triangle 0,6383 3 0,2010 0,2010 0,1441 0,1441
P06 Triangle 0,638 3 0,2010 0,2010 0,1441 0,1441
Somme (KN.ml) 402,09 288,20
Tableau XXXII: Chargement équivalent exercé sur la travée « B-C » ;« F-G ».
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P07 Triangle 0,6809 3,2 0,2010 0,2144 0,1441 0,1537
P07 Triangle 0,6809 3,2 0,2010 0,2144 0,1441 0,1537
Somme (KN.ml) 428,90 307,42
Tableau XXXIII: Chargement équivalent exercé sur la travée «C-D »;« E-F ».
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P08 Triangle 0,8723 4,1 0,2010 0,2748 0,1441 0,1969
P08 Triangle 0,8723 4,1 0,2010 0,2748 0,1441 0,1969
Somme (KN.ml) 549,53 393,88
Tableau XXXIV: Chargement équivalent exercé sur la travée «D-E ».
Effort tranchant :
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P06 Triangle 0,6383 3 0,2010 0,1508 0,1441 0,1081
P06 Triangle 0,638 3 0,2010 0,1508 0,1441 0,1081
Somme (KN.ml) 301,57 216,15
Tableau XXXV: Chargement équivalent exercé sur la travée « B-C »;« F-G ».
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P07 Triangle 0,6809 3,2 0,2010 0,1608 0,1441 0,1153
P07 Triangle 0,6809 3,2 0,2010 0,1608 0,1441 0,1153
Somme (KN.ml) 321,67 230,56
Tableau XXXVI: Chargement équivalent exercé sur la travée «C-D »;« E-F ».
ELU ELS
Panneaux Chargement lx/ly lx(m) q (MN/m²) qe (MN/ml) q (MN/m²) qe (MN/ml)
P08 Triangle 0,8723 4,1 0,2010 0,2061 0,1441 0,1477
P08 Triangle 0,8723 4,1 0,2010 0,2061 0,1441 0,1477
Somme (KN.ml) 412,15 295,41
Tableau XXXVII: Chargement équivalent exercé sur la travée «D-E ».
➢ Sens longitudinal :
Le dimensionnement des nervures se fera conformément aux prescriptions du BAEL 91 (E, II,
5,2) relatives au dimensionnement des sections.
Nous aboutissons à :
𝑏1 = 50 𝑐𝑚
𝑏 = 𝑏0 + 2𝑏1 = 1,6 𝑚
h : la hauteur totale de la section ; elle sera déterminée par les deux conditions suivantes :
La contrainte de cisaillement due à l’effort tranchant maximal doit être inférieure à la limite
fixée par le CBA 93 en fissuration jugée préjudiciable (en raison du contact des nervures avec
le sol), soit :
𝑉𝑢 𝑚𝑎𝑥 𝑓𝑐28
𝜏𝑢 𝑚𝑎𝑥 = ≤ 𝜏𝑢 𝑙𝑖𝑚 = 𝑚𝑖𝑛 (0,15 ; 4𝑀𝑃𝑎) = 3 𝑀𝑃𝑎
𝑏0 𝑑 𝛾𝑏
Avec : d=0,9h
𝑉𝑢 𝑚𝑎𝑥 𝑉𝑢 𝑚𝑎𝑥
≤ 𝜏̅𝑢 ℎ≥
𝑏.0,9ℎ 0,9𝑏𝜏̅𝑢
1,068 3 0,659
Pour que les charges soient efficacement reprises par le radier, il faut que ce dernier soit
suffisamment rigide par la présence des nervures, ceci nécessite la vérification suivante :
4 4𝐸𝐼 2 × 𝐿𝑚𝑎𝑥
√ ≥
𝐾𝑏 𝜋
𝑏.ℎ3
I : inertie d’une bande d’un mètre de radier 𝐼 = 12
b : largeur du radier b = 1 m.
Donc :
3 48 × 𝐾 × 𝐿4𝑚𝑎𝑥
ℎ𝑛 ≥ √ = 1,0157𝑚
𝜋4 × 𝐸
XI.4.1 Conclusion :
Vu que les nervures sont orientées vers le bas ; la table ne participera pas à la reprise du moment
fléchissant en travée car il est négatif ; par contre sur appui, le moment est positif et la table se
trouve dans la zone comprimée nous auront alors une section en Té.
Calcul d’une section b×h Calcul d’une section en Té Calcul d’une section b0×h
Figure XVI: Représentation de la section considérée sous M.
➢ Ferraillage longitudinal :
𝐸𝐿𝑈
𝑀 𝑡𝑟𝑎𝑣é𝑒 (KN.m) 𝑀 𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖 (KN.m)
-548.94 1096,38
𝐸𝐿S
𝑀 𝑡𝑟𝑎𝑣é𝑒 (KN.m) 𝑀 𝑎𝑝𝑝𝑢𝑖 (KN.m)
-415,51 829,89
ELU ELS
Mu (MN.m) Au (cm²) Mser (MN.m) Aser (cm²) A adopt (cm²) Ferraillage adpt
Travée 0,549 26,471 0,4155 25,73 23,9 8T25
Appui 1,096 52,479 0,8299 51,40 47,74 12T25
Tableau XXXVIII: Ferraillage longitudinal de la nervure à l’ELU et à l’ELS.
∅𝑡 ≤ 25 𝑚𝑚
On prend des armatures transversales de diamètres ∅t = 10 mm
Donc on aura : At=T10=1,57cm²
Calcul des espacements St :
Selon le CBA 93 (A.7.1.3) :
𝑆𝑡 ≤ 𝑚𝑖𝑛(15∅𝑙 = 37,5𝑐𝑚; 40𝑐𝑚; 𝑎 + 10𝑐𝑚) = 37,5 𝑐𝑚
Prescription du RPA 2003 « Art7.5.2.2 » :
L’espacement maximum entre les armatures transversales est déterminé comme suit :
𝒉
En zone nodale : 𝑺𝒕 ≤ 𝒎𝒊𝒏 (𝟒 ; 𝟏𝟐∅𝑙 ) = 𝟑𝟎 𝒄𝒎
𝒉
En zone courante : 𝑺𝒕𝒎𝒂𝒙 ≤ 𝟐 = 𝟓𝟓 𝒄𝒎