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Présentation du projet
1- Situation du projet :
Le tableau suivant indique la localisation du tronçon de l’ouvrage à étudier :
Sousse Sousse
Chapitre 4 :
L’étude géotechnique
Introduction :
La géotechnique est l'étude des sols (au sens mécanique du terme, par opposition
à roche) en relation directe avec la construction d'ouvrages. Elle traite de l'interaction sol /
structures, et fait appel à des bases de géologie, de mécanique des sols, de mécanique des
roches et de structures. Les études géotechniques ont pour principal objet les études de sol
pour la construction d'ouvrages (pavillons, immeubles, voiries, ouvrages d'art...), et
notamment la définition des fondations, mais aussi dans le cadre de diagnostics pour des
ouvrages sinistrés. Elles traitent également des phénomènes de mouvement de sol (glissement,
affaissement et autres), de déformation (tassements sous charges) et résistance mécanique.
- L’identification des matériaux de chaussée et d’emprunt dans les gites et les carrières
en exploitation.
2- Teneur en eau :
On désigne par teneur en eau la quantité d'eau contenue dans un échantillon de matière,
par exemple un échantillon de sol, de roche, de céramique ou de bois, la quantité étant évaluée
par un rapport de poids humides sur poids secs.
L’essai de teneur en eau permet de déterminer quel est le pourcentage massique (W%) d’eau
dans le sol étudié, c'est-à-dire quelle est la masse d’eau présente par rapport à 100 grammes
de sol sec.
Cette information importante permettra de décider du traitement ou du compactage à apporter
au sol et peut intervenir dans d’autres essais.
le calcul de teneur en eau peut se faire sur chantier avec du matériel courant.
La teneur en eau d’un sol peut en effet beaucoup varier au cours des opérations de terrassements.
Pour la fraction fine (graviers exclus), la cohésion tient à la présence d'eau : parfaitement sec, le
matériau serait cohérent. Au-dessus d'une certaine teneur (limite de plasticité), on peut le pétrir en
forme de boudin, de boulette ou de fil. Pour une teneur plus forte (limite de liquidité), il forme un
liquide, visqueux, qui ne conserve pas la forme qu'on lui a donnée. La détermination,
soigneusement normalisée, de ces deux teneurs caractéristiques appelées limites d'Atterberg, est un
élément important d'identification, et permet déjà de prévoir certaines propriétés.
Figure 12 : Appareillage de l’essai
𝑾𝑳: C’est la limite de liquidité qui caractérise la transition entre un état liquide
et un état plastique.
-l’essai Proctor normal, dans lequel le compactage réglemente est relativement modère.
-l’essai Proctor modifie où le compactage est plus intense sert a étudié le compactage des sols
avant entrer dans la construction des assises d’une chaussée.
-moule Proctor : utilisé quand il s’agit de sols à élément granulaire inférieur à 5mm.
-moule CBR : utilise pour les contenants des grains supérieur à 5mm et passant au tamis de
20mm.
5- Essai CBR :
L’essai CBR est un essai de portance (aptitude des matériaux à supporter les charges) des
remblais et des couches de formes compactées des ouvrages routiers. Il s’agit de déterminer
expérimentalement des indices portants (IPI, CBR) qui permettent – d’établir une
classification des sols (GTR) – d’évaluer la traficabilité des engins de terrassement (IPI) -
déterminer l’épaisseur des chaussées (CBR augmente ⇒ épaisseur diminue).
* l’indice C.B.R. immédiat: Il caractérise l'évolution de la portance d'un sol support (ou
constituant de chaussée) compacté à différentes teneurs en eau.
* l’indice C.B.R après immersion: Il caractérise l'évolution de la portance d'un sol support (ou
constituant de chaussée) compacté à différentes teneurs en eau et soumis à des variations de
régime hydrique.
Figure 16 : Le principe de l’essai
SE<60 Sable argileux - Risque de retrait ou de gonflement, à rejeter pour des bétons de
60 ≤ SE<70 Sable légèrement argileux - de propreté admissible pour béton de qualité quand ou
SE >80 Sable très propre - l'absence presque totale de fines argileuses risque d'entraîner un
Tableau 7 : Nature de sable
Pour résoudre les problèmes de mécanique des sols, il est important de caractériser
un sol mais aussi de les classer, c’est-à-dire de les mettre dans un groupe ayant des
comportements similaires.
En plus des principaux résultats des essais géotechniques réalisés dans le cadre de
la campagne géotechnique, nous présentons, dans le tableau donné ci-après, la
classification du sol support selon la méthode USCS et selon la méthode du
catalogue tunisien de dimensionnement des chaussées.
Classification LCPC
Classification par le catalogue tunisien (à partir du CBRp )
1- Classification LCPC :
1-1-Objectif :
1-2-Principe :
On détermine : le refus à 2mm à comparer avec 50% des éléments supérieur à 0.08mm
-l’indice de plasticité Ip
2-1-Objectif :
2-2-Principe :
Cette classification est faite d’après la valeur pondérée de l’indice portant qui est calculé
en se basant sur l’indice portant immédiat et l’indice portant saturé
On a ainsi fait une coupe de la chaussée avec mesure de l’épaisseur de chaque couche et le
prélèvement d’échantillons représentatifs. La classe de la chaussée existante est déterminée à
partir :
- L’épaisseur du corps de la chaussée
- Le type de revêtement (a ou b) :
Epaisseur 13 à 20 20 à 27 27 à 34 34 à 41 41 à 48 48 à 65
(cm) a b a b a b a b a b a b
S1 C1 C1 C2 C2 C3 C2 C3 C3 C4 C4 C4
S2 C1 C2 C2 C3 C2 C3 C3 C4 C4 C4 C4 C5
S3 C2 C3 C2 C3 C3 C4 C4 C5 C4 C5 C5 C5
S4 C3 C4 C3 C4 C4 C5 C4 C5 C4 C5
Avec :
𝒆𝒊 : Épaisseur de la couche i en cm
RN4 au PK65
Type de véhicule
trafic Part sans Part avec
Voitures particulières 3341 45.1% 44.4%
Véhicules légers Camionnettes CU˂1.5t 3324 44.8% 44.2%
(VL) Camions légers CU˂3.5t 280 3.8% 3.7%
Ensemble véhicules légers 6945 93.6% 92.4%
Camions sans remorques CU˃3.5t 193 2.6% 2.6%
Ensemble articulé 99 1.3% 1.3%
Poids Transport exceptionnel 26 0.4% 0.3%
Lourds Engins spéciaux 6 0.1% 0.1%
(PL)
Engins agricoles 71 1.0% 0.9%
Transport en commun (bus, 76 1.0% 1.0%
Ensemble poids lourds 471 6.4% 6.3%
Total général en véhicules : (VL+PL) 7416 100.0% 98.6%
Deux roues (cycles et motocycles) (2R) 103 1.4%
Total général en véhicules : (VL)+(PL)+(2R) 7519 100.0%
Total général en unités de voitures particulières (uvp) 7924
Tableau 16 : Le trafic enregistré en 2007
III –Analyse du trafic dans la situation actuelle :
Section VL PL Total % PL
1- Durée de vie « P »:
C’est une durée qui permet de garantir à la route un bon comportement durant une longue
période et de planifier son renforcement dans des bonnes conditions.
Le choix de la durée de vie dépend de plusieurs paramètres dont essentiellement l’importance
de la route ainsi que les paramètres économiques.
La durée de vie de la chaussée est généralement 15 ans et exceptionnellement 20 ans.
Dans notre projet la durée de vie P=20ans
V–Calcul du trafic:
L’estimation du trafic prévisionnel aux divers horizons futurs, au niveau du tronçon routier
étudié, est basée sur :
A-Coefficient de pondération:
L ˂ 5.5 0.7
L ˃ 6.5 0.5
Afin de convertir les valeurs du trafic journalier en trafic poids lourds journalier équivalent on
a besoin des coefficients : * 0.36 pour l’essieu 13T
D-Taux de croissance:
* τ : taux de croissance
Pour déterminer la classe du trafic nous avons utilisé les hypothèses suivantes :
Taux de croissance
Les différences entre les années d’une période bien déterminée
*entre 2016 et 2019 :
= 1112 essieux/j/sens
= 1321 essieux/j/sens
= 1694 essieux/j/sens
1-2-Détermination du trafic à partir de TMJA selon LCPC :
La classe du trafic Ti est déterminée à partir du trafic poids lourd journalier moyen « TMJA »
ou « MJA » de la voie la plus chargée, pendant l’année de mise en service.
Cette classification est déterminée selon le tableau suivant :
Classe T5 T4 T3 T2 T1 T0 TS TEX
T3- T3+ T2- T2+ T1- T1+ T0- T0+ TS- TS+
Mg 5 35 65 115 175 245 390 615 950 1550 2450 3875 5920
TMJA 1 25 50 85 150 200 300 500 750 1200 2000 3000 5000 7000
Pour dimensionner les chaussées vis-à-vis au trafic poids lourd. On doit convertir le nombre
de poids lourd NPL en un nombre cumulé de passage des essieux de référence 13 tonnes NE à
l’aide du coefficient d’agressivité moyen du trafic CAM afin de pouvoir déterminer la classe
du trafic.
NE correspondant au trafic poids lourd cumulé sur la durée initiale de calcul retenue (15 ou
20ans, ou même 30ans) par la combinaison des différents véhicules ayant des charges à
l’essieu et des configurations différents.
𝑵𝑬 = 𝑵𝑷𝑳 × 𝑪𝑨𝑴 × 𝑨𝒒
Avec :
PL : les véhicules poids lourds dont le poids total admissible en charge PTAC˃3.5 en
Tunisie.
NPL : Nombre de poids lourds cumulé par sens dont le calcul se fait pour la voie de
circulation la plus chargée.
CAM : coefficient d’agressivité moyen du trafic dont la valeur dépend de la nature de la
structure de chaussée et de la composition du trafic poids lourds.
Aq : Coefficient d’équivalence global des PL, coefficient de pondération.
T2
CAM Matériaux bitumineux 0.5
CAM Matériaux traités aux liants hydrauliques et béton 0.8
CAM Sol, GNT 1
Tableau 23 : Coefficient d’agressivité moyen CAM en fonction du trafic et
du type de matériaux pour les chaussées à caractère non autoroutier
Exemple de calcul :
(𝟏+𝛕)𝐏−𝟏
𝐂= 𝛕
Avec :
P : différence des années
τ: taux d’accroissance
(𝟏 + 𝟎. 𝟎𝟓𝟖)𝟑
𝑻𝒄𝟐𝟎𝟏𝟔−𝟐𝟎𝟏𝟗 = 𝟑𝟔𝟓 × 𝟏𝟏𝟏𝟐 × −𝟏 = 𝟏. 𝟐𝟖 × 𝟏𝟎𝟔 × 𝟎. 𝟑𝟔
𝟎. 𝟎𝟓𝟖
= 𝟎, 𝟒𝟔. 𝟏𝟎𝟔 𝒆𝒔𝒔𝒊𝒆𝒖𝟏𝟑𝑻/𝒋/𝒔𝒆𝒏𝒔
(𝟏 + 𝟎. 𝟎𝟗)𝟐
𝐓𝐜𝟐𝟎𝟏𝟗−𝟐𝟎𝟐𝟏 = 𝟑𝟔𝟓 × 𝟏𝟑𝟐𝟏 × −𝟏 = 𝟏. 𝟎𝟏 × 𝟏𝟎𝟔 × 𝟎. 𝟑𝟔
𝟎. 𝟎𝟗
= 𝟎, 𝟑𝟔. 𝟏𝟎𝟔 𝐞𝐬𝐬𝐢𝐞𝐮𝟏𝟑𝐓/𝐣/𝐬𝐞𝐧𝐬
𝑻𝒄𝟐𝟎𝟐𝟏−𝟐𝟎𝟐𝟔 (𝟏+𝟎.𝟎𝟓𝟏)𝟓−𝟏 𝟔
= 𝟑. 𝟒𝟐 × 𝟏𝟎 × 𝟎. 𝟑𝟔
= 𝟑𝟔𝟓 × 𝟏𝟔𝟗𝟒 × 𝟎.𝟎𝟓𝟏
(𝟏 + 𝟎. 𝟎𝟓𝟏)𝟓
𝑻𝒄𝟐𝟎𝟐𝟔−𝟐𝟎𝟑𝟏 = 𝟑𝟔𝟓 × 𝟐𝟏𝟕𝟐 × −𝟏 = 𝟒. 𝟑𝟖 × 𝟏𝟎𝟔 × 𝟎. 𝟑𝟔
𝟎. 𝟎𝟓𝟏
= 𝟏, 𝟓𝟖. 𝟏𝟎𝟔 𝒆𝒔𝒔𝒊𝒆𝒖𝟏𝟑𝑻/𝒋/𝒔𝒆𝒏𝒔
(𝟏 + 𝟎. 𝟎𝟓𝟏)𝟓
𝑻𝒄𝟐𝟎𝟑𝟏−𝟐𝟎𝟑𝟔 = 𝟑𝟔𝟓 × 𝟐𝟕𝟖𝟓 × −𝟏 = 𝟓. 𝟔𝟐 × 𝟏𝟎𝟔 × 𝟎. 𝟑𝟔
𝟎. 𝟎𝟓𝟏
= 𝟐, 𝟎𝟐. 𝟏𝟎𝟔 𝒆𝒔𝒔𝒊𝒆𝒖𝟏𝟑𝑻/𝒋/𝒔𝒆𝒏𝒔
(𝟏 + 𝟎. 𝟎𝟔𝟔)𝟑
𝑻𝒄𝟐𝟎𝟑𝟔−𝟐𝟎𝟑𝟗 = 𝟑𝟔𝟓 × 𝟑𝟑𝟕𝟕 × −𝟏 = 𝟑. 𝟗𝟒 × 𝟏𝟎𝟔 × 𝟎. 𝟑
𝟎. 𝟎𝟔𝟔
= 𝟏, 𝟒𝟐. 𝟏𝟎𝟔 𝒆𝒔𝒔𝒊𝒆𝒖𝟏𝟑𝑻/𝒋/𝒔𝒆𝒏𝒔
𝟐𝟎𝟑𝟗
𝐍𝐄 = ∑ 𝐍𝐏𝐋 × 𝐂𝐀𝐌 × 𝐀𝐪 = 𝟕. 𝟎𝟕 × 𝟎. 𝟓 × 𝟎. 𝟓
𝟐𝟎𝟏𝟗
profil en travers
profil en long
tracé en plan
1- Vitesse de référence :
C’est le critère de base de tout projet routier. La vitesse de référence d’une section de route est
la vitesse qui permet de définir les caractéristiques minimales d’aménagement des points
particuliers (virage, sommet ou creux de profil en long, forte rampe, etc…).
La vitesse de référence est ainsi la vitesse théorique la plus élevée à laquelle la section de route
peut être parcourue avec sécurité et confort, lorsque ces facteurs ne dépendent que de la géométrie
de la route.
On définit cinq catégories de routes en fonction de la vitesse de référence :
Remarque :
Pour notre projet on adopte une vitesse de référence de 80km/h.
2- Caractéristiques géométriques :
Notre projet est une route classée par l’état route nationale RN4 avec une vitesse de référence
Vr = 80Km/h.
On doit donc cerner le fait que la conception passera par 5 étapes essentielles :
1. La conception et la saisie de l’axe en plan
2. L’importation du terrain naturel
3. La conception et la saisie du profil en long
4. La saisie de la ligne rouge
2-1-Tracé en plan :
La disposition générale du tracé est dans ses grandes lignes déterminée par un ensemble de
contraintes identifiées dans le cadre des études préalables et relevant des domaines de
l’environnement, de la topographie, de la géologie ou de l’habitat croisées avec les
fonctionnalités attendues de la voie (localités à desservir, points de passage obligés pour le
tracé, etc).
Le tracé en plan est profondément marqué par l'influence de la dynamique des véhicules : leur
stabilité n'est acquise qu'à condition de respecter les lois liant vitesse du véhicule, rayon de
courbure du tracé en plan et dévers de chaussée (comprenant l'effet des forces centrifuges). Il
faut tenir compte également de l'influence des facteurs physiologiques intervenant lors de la
conduite et éventuellement des problèmes de visibilité (il faut rendre visible une certaine
longueur de trajet pour pouvoir conduire).
Les alignements droits sont, en premier, définis par la disposition générale du tracé et
serviront généralement de bases à la détermination des autres éléments (cercles, clothoïdes).
Ils peuvent correspondre d'emblée à une certaine portion du tracé. Ils servent également
éventuellement en association avec des arcs de clothoïde à relier deux alignements droits. Le
choix du rayon des courbes dépend de plusieurs paramètres tels que la vitesse de référence et
le types de la route projetée (RN, RR, RL). On est tenu, alors, de vérifier les valeurs des
rayons des courbes horizontales utilisées dans le projet routier.
A- Définition :
Le profil en long est une coupe longitudinale suivant l’axe de la chaussée, son étude est
associée à celle du tracé en plan, et il représente, pour tout projet, un document principal au
niveau duquel se chevauchent les deux lignes suivantes :
La ligne du terrain naturel : il est obtenu après avoir tracé l’axe en plan et il est
dessiné par une ligne brisée. Pour notre cas, la ligne du « terrain naturel »
représente la chaussée existante
La ligne du projet : il représente la ligne projetée sur le profil du terrain
naturel, appelée aussi ligne rouge, et il est dessiné par une ligne continue et
définit par une succession des déclivités reliées par des raccordements
circulaires ou paraboliques.
B- Les règles générales du profil en long :
Dans le but d’avoir une conception acceptable pour un projet étudié, on doit respecter
plusieurs règles relatives pour le traçage d’un profil en long tels que :
Avoir, le plutôt possible, une équivalence entre les quantités des déblais et des
remblais en essayant de suivre le profil terrain de telle sorte à atteindre un projet plus
économique.
Tenir compte des positions des ouvrages hydrauliques rencontrés, comme des points
imposés, dans un profil en long ainsi que des hauteurs de ces ouvrages.
Donner des déclivités et des rayons acceptables en respectant les normes et utiliser si
possible, des rayons supérieurs aux valeurs minimales normaux. Le profil en long est
ainsi constitué d'une succession de segments de droites (ou pentes) et d'arcs de cercles
permettant de raccorder entre eux les segments de droite
2-4-Profil en travers :
A- Définition :
Le profil en travers est défini comme la coupe de la route suivant un plan perpendiculaire au
tracé en plan qui permet de définir sa structure et ses caractéristiques géométriques tel que:
la largeur,
les accotements, les dispositifs de drainage et les équipements routiers et par suite,
d’indiquer les différents éléments de la route.
B- Les éléments de profil en travers :
Généralement, un profil en travers est constitué par les éléments suivants présenté sur la
figure ci-dessous :
I- Dimensionnement de la chaussée :
Le catalogue tunisien propose 10 fiches pour le dimensionnement de la chaussée
T
T2
S
SBB BB
S3 16 GB
14 GB
20 GC
30 GC
20 GC
Figure28 : Fiche N°
Au cours de notre projet nous avons appliqué les règles générales de conception et de
dimensionnement, guidé par nous connaissances théoriques et par les conseils de nos
encadreurs. En plus, nous avons acquis une expérience pratique dans la manipulation des
logiciels «« PISTE 5 », « AUTOCAD », « ALIZE LCPC », « ARCGIS » et a cet objet, nous
avons eu l’occasion d’approfondir nos connaissances dans le domaine d’étude d’un projet :
Etat de chaussé
Etude du trafic routier et détermination de la classe d’une route.
Etude géotechnique et détermination de la classe sol
Dimensionnement de la structure de la chaussée à l’aide de logiciel Alizé LCPC
L’étude hydrologique et hydraulique
La conception du tracé et les divers profils en utilisant le logiciel PISTE 5.
Suivi de chantier.
Néanmoins lors de notre projet on a rencontré certaines difficultés telles que limitation des
bassins versants, temps insuffisante pour réaliser un suivi complet pour ce projet Au cours de
ce projet, on a aussi pu développer en nous même l'esprit de recherche et d'initiative et du
travail collectif qui est un élément indispensable dans la vie professionnelle du technicien
supérieur.