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A.

PRESENTATION DE LA STRUCTURE D’ACCUEIL


I. Présentation de la SONABEL
1. Historique de la SONABEL
Placée sous la tutelle technique du
Ministère de l’Energie, la Société Nationale d’Electricité du Burkina telle que
connue aujourd’hui n’a pas toujours été ainsi. C’est une société résultat de plusieurs
mutations depuis les temps coloniaux.
En effet, à partir de 1954, commence une production d’énergie électrique sur
le territoire de la Haute-Volta (ex-Burkina Faso). Celle-ci est assurée par la maison
Energie Afrique Occidentale Française en février 1954 à Ouagadougou puis à
Bobo-Dioulasso en octobre de la même année.
A partir des années 1960, la production et la distribution d’électricité change
de mains et est désormais tenue par un ensemble, une société multinationale
d’économie mixte : Caisse Centrale de Coopération Economique (CCCE)
aujourd’hui Agence Française de Développement (AFD), la Haute-Volta, le
Niger, la Mauritanie, des actionnaires privés. Cette société sera connue sous le
nom de Société Africaine d’Electricité (SAFELEC) avec un capital de 150
millions de Francs CFA.
En 1968, quelques années après l’accession à l’indépendance, l’Etat nourrit la
volonté d’une indépendance administrative du secteur de l’énergie. Le 06
septembre, la Société Voltaïque d’Electricité (VOLTELEC) voit le jour avec un
capital d’un million de Francs CFA reparties entre la SAFELEC, la CCCE et des
personnalités voltaïques. Cette société a une forme de société anonyme de droit
voltaïque.
Elle changera de statut juridique pour devenir un Etablissement Public à
Caractère Industriel et Commercial (EPIC) par décret no
76/344/PRES/MTP/URB avec un capital de 1 387 628 Francs CFA. Une
ordonnance suivante (no 76/021/PRES/MTP/URB) confère à VOLTELEC la
production, le transport et la distribution exclusives d’électricité sur le territoire
national. Nous sommes en 1976.
En août 1984, avec la révolution et suivant le changement de nom du pays, la
VOLTECLEC devient la Société Nationale d’Electricité du Burkina
(SONABEL).
Le 14 avril 1995, par décret no 95/160/PRES/MICM/TPHU, la SONABEL
change de statut pour devenir une Société d’Etat. Ce changement de statut sera
approuvé le 31 décembre 1997 par décret no 97-599/PRES/PM/MEM/MCIA.
Exploitation et Maintenance de la CSZ Abdul Raouf Soandamba COULIDIATI

Depuis décembre 1998 l’Etat a procédé à l’ouverture du sous-secteur


d’électricité au privé. Désormais, les privés sont autorisés à produire de
l’électricité.
Encore plus, en 2001, la loi no 12-2001/AN du 04 juillet, portant privation de
la SONABEL est votée. Plus tard, le 10 mars 2010, la question de la privatisation
de la SONABEL n’est plus ; suite à un Conseil de Ministres. Elle reste la propriété
de l’Etat burkinabè.
Depuis le 15 juillet 2013, la SONABEL, société d’Etat, possède un capital de
63 308 270 000 de francs CFA. Elle abat un travail colossal depuis sa création et
pour mener à bien sa mission, elle s’est taillée un organigramme bien hiérarchisé.
2. Organigramme de la SONABEL
Le squelette de la Société Nationale d’Electricité du Burkina s’articule comme
suit :
➢ Un conseil d’administration
➢ Une direction générale
➢ Dix directions centrales :
▪ Direction de la production
▪ Direction du transport et des mouvements de l’énergie
▪ Direction de la distribution
▪ Direction des marchés et du patrimoine
▪ Direction financière et de la comptabilité
▪ Direction commerciale et de la clientèle
▪ Direction des ressources humaines
▪ Direction des grands projets
▪ Direction des systèmes d’informations
▪ Direction des études, de la planification et de l’’ingénierie
➢ Cinq directions régionales :
▪ Direction régionale du Centre : Ouagadougou
▪ Direction régionale de l’Ouest : Bobo-Dioulasso
▪ Direction régionale du Centre-Ouest : Koudougou
▪ Direction régionale du Centre-Est : Koupéla

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Exploitation et Maintenance de la CSZ Abdul Raouf Soandamba COULIDIATI

▪ Direction régionale du Nord : Ouahigouya

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Exploitation et Maintenance de la CSZ

Figure 1 : Organigramme de la SONABEL (l’organigramme n’est pas lisible)

Pour l’attente de ses objectifs, sous l’égide de de la SONABEL, de grandes réalisations


infrastructurelles ont vu le jour ces dernières années et d’autres projets sont en cours de
maturation de réflexion. Au nombre des réalisations effectuées, on compte la Centrale
Solaire de Zagtouli, une première du genre au Burkina Faso dans le photovoltaïque.

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II. Présentation de la Centrale Solaire de Zagtouli CSZ


1. Situation géographique et description générale
Zagtouli est une commune de Ouagadougou située à la sortie sur la route de Bobo-
Dioulasso. La centrale solaire de Zagtouli, construite sur 60ha avec une extension
de de 29ha prévue prochainement, se veut la plus grande centrale solaire du pays
à ce jour et est le fruit d’une coopération entre l’Etat du Burkina Faso, l’Agence
Française de Développement et l’Union Européenne pour un coût estimé à 47.5
millions d’euros. L’entreprise générale de réalisation n’est autre que CEGELEC
du groupe VINCI Energies.
L’exploitation et la maintenance de cette centrale sont sous la supervision d’un
chef de division soutenu par des agents d’exploitation et de maintenance.
Cette centrale solaire comprend un ensemble d’équipements qui font sa raison
d’être.

2. Présentation des composantes de la CSZ


Les modules
L’énergie électrique produite à la CSZ est d’origine solaire, à partir de modules
photovoltaïques fixés sur 51 hectares des 60 hectares que compte la CSZ. Ce sont
en tout 129 600 modules photovoltaïques de 260 WC en silicium poly cristallin
réparties sur 5400 chaînes de 24 modules en série. Ci-après les caractéristiques de
chaque module :
Puissance maximale (Pmax) 260Wc
Tension à Pmax (Vmp) 30.8V
Courant à Pmax (Imp.) 8.54A
Courant de court-circuit (Isc) 9.06A
Tension à circuit ouvert (Voc) 37.6V

Les modules possèdent des connecteurs de type H4, par lesquels ils sont connectés
en série de 24 avec des câbles solaires (positif, rouge et négatif, noir de 6 mm2 de
section). Neuf chaines (série de 24) branchées en parallèle se rejoindront dans
une boite de jonction où leurs courants seront additionnés.

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Image 1 : Modules PV

La boite de jonction
Il s’agit d’un coffret de mise en parallèle des courants venant des chaînes et
protégé par des appareillages électriques. Suivant un jeu de barre, il reçoit
respectivement sur sa bonne positive et sur sa borne négative, les bornes positives
et les bornes négatives des chaînes. En termes d’appareillage de protection, on a :
Portes fusibles 10/38, 25A
Fusibles 15A
Interrupteur Sectionneur 1000
Vdc,200A
Parafoudre 20 KA
/1200Vdc

La boite de jonction centralise les différents courants pour les convoyer en une
seule paire de câbles souterrains (positif et négatif de 185 mm2 de section) vers
un Centre Photovoltaïque Intégré CPI.

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Image 2 : Boîte de jonction


Les Centres Photovoltaïques Intégrés CPI
Les Centres Photovoltaïques Intégrés jouent un rôle fondamental dans le
processus de génération d’une tension finale normalisée car c’est en son sein que
la conversion courante continue – courant alternatif a lieu et l’élévation de tension.
Un CPI reçoit des courants venants de 15 ou 16 boites de jonction et comprend
trois parties principales :
• La partie onduleur : deux onduleurs (1.1MW) qui transforment le cou-
rant continue en courant alternatif, assistés par un interrupteur DC, un
disjoncteur magnétothermique, un contacteur AC, des ventilateurs de
phase et de bobine d’inductance ; un système backup et un transforma-
teur de service auxiliaire TSA de 10 kVa
• La partie transformatrice : avec un transformateur 33kV/420V

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Image 3 : Centre photovoltaïque intégré


• La partie des cellules HTA qui a un rôle de protection avec des inter-
rupteurs motorisés et des disjoncteurs

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Image 4 : Cellule de protection du transformateur


Postes de livraison PDL
La tension émanante des CPI est convoyée par boucle de 4 ou 5 de CPI (3 boucles
au total) aux cellules de départ du poste de livraison qui passant par la cellule de
comptage, les cellules disjoncteurs et inter fusibles pour aboutir à cellule d’arrivée
et injecter dans le réseau de transport.

Image 5 : Cellule de départ du poste de livraison


Les stations météo
Ce sont 4 stations météo que compte la CSZ dont trois inclinées suivant le plan
des modules solaires et une suivant le plan horizontal. Chaque station météo
comprend :
• Un pyranomètre : qui sert à mesurer l’intensité lumineuse du soleil sur
les modules
• Un anémomètre : qui sert à évaluer la vitesse et la direction du vent
• Un capteur thermique : pour des mesures de température au niveau des
modules

Le SCADA
Le SCADA constitue un système de surveillance et de contrôle à distance. A partir
du SCADA, l’on a en temps réel les informations caractérisant l’état des différents

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éléments de la CSZ et les chiffres de production. Le système SCADA est un


ensemble de logiciels installés sur des supports matériels. Ce sont :
• Le logiciel SCADA
• L’ordinateur de supervision
• Le réseau de fibres optiques reparties sur l’ensemble du champ au ni-
veau des CPI
• L’armoire SCADA où viennent échouer l’ensemble de ces fibres. C’est
une sortie de base de données de réception et d’enregistrement des
données, interconnecté au logiciel disposé sur l’ordinateur de supervi-
sion
Dans la salle SCADA, se trouvent également le TGBT, l’armoire avec les
différents appareillages de protection des composants électriques de la salle
fonctionnant en basse tension et la centrale incendie. Il se trouve un groupe
électrogène à l’extérieur servant de source d’alimentation en cas de perte de
courant.
La vidéo surveillance
Elle est constituée d’un logiciel de gestion d’images et données sur un ordinateur
de commande, de 17 caméras PZT, d’un réseau de fibres optiques qui vont des
coffrets des caméras jusqu’à la baie anti-intrusion, une base de données de
réception et de stockage des enregistrements caméra. Le logiciel Indigo Vision
Control Central utilisé permet de vous en live et en différé l’intérieur et les
alentours de la CSZ.

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Image 6 : Caméra PZT

Image 7 : Ecran de vidéo surveillance

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B. EXPLOITATION ET MAINTENANCE DE LA CSZ


1. Exploitation/production énergétique
Les modules génèrent de l’électricité en continu soit de façon optimale du
30.8V/8.54V soit du 739.2V/8.54A par chaine (24 modules en série) et du
739.2V/76.86A à la sortie d’une boite de jonction (9 chaines en parallèle) (et
celles de 12 chaines ?). Les 739.2V continu seront convertis en 420V alternatif
au niveau de l’onduleur dans le CPI puis élevé à 33kV au niveau son
transformateur. Ces 33kV seront convoyés au poste de livraison puis injecté au
réseau. Ceci est analogue pour tous les CPI. La puissance de pic totale espérée est
de 33 MWc. Et annuellement, l’objectif de production est de 56 GWh.
Au quotidien, à partir du SCADA, l’agent en poste opère une inspection de
différentes subdivisions de la CSZ :
▪ Le champ solaire :
Depuis le SCADA, on observe les puissances réactive et active de chaque
onduleur de chaque CPI, les courants émanants de chaque boîte de jonction en
direction d’ondulateur. Cet aperçu des chiffres donne déjà une idée du
fonctionnement, normal ou pas, des éléments de la chaine de production du
courant souhaité, situés dans le champ solaire (modules, câbles, boite de jonction,
onduleurs, CPI…), avec la possibilité d’intervenir directement sur les onduleurs
pour les éteindre ou les allumer, à partir du SCADA.

Images 8 et 9 : Aperçu champ solaire


▪ L’équipement réseau
C’est l’ensemble des différentes fibres optiques d’interconnexion entre CPI et
avec armoire SCADA. Le regard SCADA sur le volet ‘’équipement réseau’’
donne de s’assurer que la connexion est bien faite à tous les niveaux et qu’il n’y

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a pas de rupture de connexion et que les informations transmises sont fidèles à la


réalité.

Image 10 : Aperçu équipement de réseau


▪ Les Unifilaires O et R
Ce sont des schématisations de connexion unifilaire entre les CPI et les départs
HTA situés dans le poste de livraison de la CSZ.

Images 11 et 12 : Aperçu unifilaires R et O


▪ Les Alarmes

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A ce niveau, tous les dysfonctionnements, aussi mineurs qu’ils peuvent être, sont
répertoriés et la consultation de ce volet donne de les détecter pour des éventuelles
interventions à distance depuis le SCADA ou en se déplaçant physiquement sur
le terrain.

Image 13 : Aperçu Alarmes


Au niveau de la vidéo surveillance, en plus de la consultation en temps réel de ce
qui se passe dans la centrale et aux alentours et des enregistrements des
évènements antérieurs, le système d’alarmes rattaché donne de voir de façon
spécifique les éléments indésirés et leur type, qui ont surgi dans le domaine de la
centrale. La détection par volumétrie donne des alertes pour des objets qui
s’approchent d’un mètre du périmètre de surveillance, par périphérie qui détecte
les mouvements comme celui du vent ou l’autosurveillance pour tout corps qui
s’approche du coffret de la caméra.

2. Maintenance de la CSZ
La maintenance est une intervention programmée ou pas sur un élément ou sur un
ensemble pour entretien ou pour dépannage afin d’assurer une continuité effective
en termes de production et de sécurité. Elle s’articule distinctement en deux
types : la maintenance préventive (programmée) et la maintenance
curative/corrective (qui par définition même est imprévue).
Maintenance préventive
Au sein de la CSZ, un plan général de maintenance est déjà arrêté et se veut sur
différentes périodicités. En tableau, l’organisation de la maintenance
programmée :

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Fréquence 1/jour 1/semaine 1/2semaines 1/mois 1/2mois 1/3mois 1/6mois 1/an 1/2 ans
Accès, Abords, Pistes, Terrain
Accès, Abords, Pistes X X
Desherbage X
Drainage X X
Champs PV - DC
Contrôle visuel SCADA X
Contrôle visuel sur le terrain X X
Nettoyage panneaux X
Tests et essais X
Thermographie X
Coffrets de raccordement
Contrôle général X
CPI
Maintenance général X X X
Transformateur X X X
Onduleur X X X X
Station météo X X X X
Coffret BT X X X
Armoire BT X X X
TSA X X X
Poste solaire X X
Bâtiment X X X
Chargeur 48 VCC X X X
UPS X X X X
TGBT X X X
SCADA-PPC X X X X
Coffret TR X X X
TSA X X X X
Groupe électrogène X X X X
Rame HTA X X X
Eclairage périphérique X
Contrôle général X X X
Anti-intrusion X
Contrôle général X X X
Fonctionnment caméra X X
Magasin
Batiment X X
Coffret magasin X X
Eclairage X

Tableau : Plan de maintenance générale de la CSZ

Maintenance corrective
Lorsque depuis le SCADA un dysfonctionnement est signalé, une action de
correction doit être réalisée au plutôt afin de ne minimiser au mieux les pertes en
production. Les actions correctives concernent généralement _au niveau des
onduleurs_ :
• Les ventilateurs de phase et d’inductance
• Interrupteur DC
• Filtres à air et filtres harmoniques(condensateurs)
Au niveau des onduleurs, des cartes CCU, carte filtre EMC du bus DC, LVR et
de synchronisation été également changées, de même que des fusibles et des

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portes fusibles au niveau de boite de jonction. Il arrive également d’intervenir


dans les cellules HTA pour changer la cellule disjoncteur A03.
Les modules solaires, victimes de dégradation, font aussi l’objet de changement.

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II. Chapitre II : Présentation de la centrale de ZAGTOULY


III.
1. SITUATION GÉOGRAPHIQUE ET HISTORIQUE
Située à 14 km de la ville de Ouagadougou, la centrale photovoltaïque de
Zagtouli est basée dans la localité de Zagtouli. Elle s’étend sur une
superficie d’environ 60 hectares dont le champ photovoltaïque occupe
environ 51 hectares. Elle a vu le jour en 2016 grâce à la coopération entre
l’Etat burkinabé et l’Agence Française de Développement (AFD) d’une
part (en prêt de 22,5 millions d’euro) et l’Union Européenne (en don de
25 millions d’euro) d’autre part. Ces deux montants cumulés ont permis
la construction de la centrale sous la houlette de l’entreprise française
CEGELEC. Le projet de construction de la centrale photovoltaïque de
33,7 MWC de Zagtouli, a permis le recrutement d’un cabinet
d’ingénieurs conseil pour le suivi du projet, et le renforcement des
capacités du personnel de la SONABEL.

1. Description générale

La centrale solaire PV et ses différents équipements ont été implantés tel,


que défini ci-après :

• L’emprise de la centrale solaire (structures, modules, CPI) environ


51 ha
La surface totale à l’intérieur du mur d’enceinte est d’environ 60

ha.
La centrale solaire se compose d’une liaison de raccordement avec le
poste de Zagtouli sous la forme d’une double ligne 33kV souterraine,
d’une longueur environ 400 m ; d’un poste de livraison ou poste solaire ;
de trois boucles de distribution de 33 kV exploitées en boucle ouverte,
pour alimenter 16 Centres photovoltaïques intégrés (CPI). Elle est
également équipée d’un barbelé simple, un câble antichoc connecte a une

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alarme sonore intense et de 17 cameras de surveillances infra-rouge,


autour de l’enceinte du champ.

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