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Photocoupleur double
Photocoupleur multiple : Regroupement
sous un même boîtier de 2, 4, 8 ou 16 opto-
coupleurs destinés à traiter des transferts
d'informations en parallèle.
Photocoupleur à fente : Le boîtier est ouvert
par une fente qui permet d'interrompre le
rayon lumineux (dans ce cas là, utilisation de
l'infrarouge pour éviter les perturbations).
L'introduction d'un objet opaque dans la
fente transforme alors le coupleur en
interrupteur.
Bien que passés de mode depuis l’apparition du
photocoupleur, des coupleurs optiques ont existé
et se conçoivent encore aisément, mettant en
œuvre par exemple une lampe à incandescence
et une photorésistance (LDR) ou une diode
électroluminescente et une cellule
photoélectrique, éventuellement à travers un
conduit optique.
En pratique, on applique un courant à l’entrée
(constituée d’une diode électroluminescente) du
photocoupleur. La diode irradie vers un capteur
situé à petite distance, dans le même boîtier. Les
photons incidents y libèrent des électrons
permettant l'apparition d'un courant dans le
circuit de sortie. Il sera représentatif, sous une
forme déterminée, du signal émis.
Il existe de nombreuses variantes de
photocoupleurs, dont certains sont plus adaptés
au numérique, d'autres aux signaux analogiques.
Il en existe à une diode émettrice, mais aussi à
deux diodes montées tête-bêche pour rendre
l'ensemble insensible à la polarité ou à
l'alternance de la tension de commande.
Côté récepteur, on peut trouver une photodiode,
un phototransistor, éventuellement FET, un
photo-Darlington, un photothyristor, voire un
phototriac, avec ou sans détecteur de passage
par zéro. L’un ou l’autre de ces composants peut
également précéder le composant de puissance,
à même la puce : un amplificateur, un trigger de
Schmitt5 (comparateur à hystérésis) ou une porte
logique.
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