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Le roman policier familièrement appelé << polar>> en France est un roman relevant du genre policier .

le
drame y est fondé sur l’attention d’un fait ou, plus précisément, d’une intrigue, et sur une recherche
méthodique faite de preuves, le plus souvent par une enquête policière ou encore une enquête de
détective privé . Autrement dit le roman policier est un genre romanesque mettant en scène un détective
ou un policier chargé d’élucider une affaire criminelle .C’est dans ce cadre que le texte soumis à notre
étude est extraite de l’œuvre l’aiguille creuse de Maurice Leblanc ,paru en 1999, tiré du chapitre I , édition
paris , librairie générale française .Dans ce corpus il est question d’une opération de vole par des individus
mal intentionné, provoquant une altercation entre des personnages interne et externe , qui a débouché
sur la mort .Dans le travail qui va suivre , il s’agira pour nous de montrer d’une part que ce texte appartient
au genre romanesque policier et d’autre part de montrer son caractère littéraire .

Le roman policier renferme plusieurs sous-genres dont le roman de mystère ou d’énigme ,


roman d’enquête , le roman noir , le roman de cambriolage ,le roman de l’étrange etc. Après lecture de ce
texte de Maurice Leblanc nous constatons que ce passage appartient belle et bien au genre romanesque
policier dans la mesure où les caractéristiques récurrentes qui lui sont propre sont présent .

D’abord , nous avons le crime . le crime est un acte condamnable , une action que la loi punit
d’une peine afflictive et infamante . Ici dans le texte on l’aperçoit à la ligne 69 <<corps >> ; ligne 71
<<mort>> , preuve que ce passage évoque un acte criminel.

Ensuite , nous avons la victime , en faite la victime est celui qui a été tué ou blessé dans un
accident ou pendant un affront . Cette fois ci le père de Suzanne y est mêlé mais sans sort sans blessure par
contre a succombé . Cela est justifier à travers les lignes 68 << ne crains rien … pas blessé >> ; ligne70-71
<< à ce moment … mort>>.

En outre , nous avons le mobile en association avec le mode opératoire . dans ce passage le
mobile n’est pas mentionné , par contre le mode opératoire y figure dans la mesure ou le bandit s’est
infiltré dans le château dans un premier temps . Cela est justifiable à la ligne 10- 11 << et soudain … l’aile
occidentale du château >> . Dans un second temps l’on aperçoit l’utilisation d’un arme blanche puisse que
le père de Suzanne répétait sans cesse le mot <<couteau >> ; << couteau >> ligne 8.

Enfin , nous avons le coupable .le coupable est celui qui a commit un crime . En effet dans ce
texet de Maurice Leblanc le coupable c’est le cambrioleur , il a eu même à croiser le chemin de deux
personnes pendant son opération à savoir raymonde et suzanne . nous en voulons pour preuve la ligne 58-
62 << en face d’elles … et disparut >> . De plus si une enquête venait à être mené raymonde serait
coupable dans la mesure ou elle a abattu le cambrioleur. Le texte nous le montre à travers les lignes 76-77
<< elle épaula … l’homme tomba >>.

Tout fois , les caractéristiques récurrentes qui lui sont propre à à savoir : le crime , la victime , le
mobile , le mode opératoire , et le coupable , montre que ce texte appartient effectivement au genre
romanesque policier.

Cependant, après avoir montrer que ce texte appartient au genre romanesque policier , passons à
celui de l’étude de son caractère littéraire.

Plusieurs éléments montrent que ce texte à un caractère littéraire . Ainsi , parlé de caractère
littéraire revient ressortir la littérarité du texte en question .

D’emblé nous avons le style d’écriture . En effet dans ce texte l’auteur opte pour un brassage de
genre , avec l’apparition de trait caractéristique du théâtre à savoir le dialogue par des tirets . cela se
justifie aux lignes 14-26 <<- raymonde … raymonde >> ; << - oui … tu ne dors donc pas ?>> etc et une
disposition de phrase semblable à une versification dans la poésie française classique . Dans la veine
même nous avons l’ordre de la narration , qui est récit linéaire . du début jusqu’a la fin du texte l’auteur
à est fidèle à la sa démarche pour bien faire comprendre à se lecteurs tout le déroulement de l’intrigue .

En outre , nous avons une abondance de pointiez dans la prise de parole de chaque personnages .
cette figure de style est appélé l’ellipse , qui est une suppression d’élément de phrase sans changement de
signification . nous en voulons pour preuve les lignes suivantes : l14 <<…>> ; l22 <<…>> l30 << …>> etc.
Notamment nous avons la figure de répétition . le texte nous montre à travers les l14 << Raymonde …
raymonde>> ; l51<< j’ai peur … j’ai peur >> ; l68 << le couteau... couteau>> .nous pouvons retenir que cette
figure de style à permis la répétition du nom des personnages et d’une arme blanche . Qui s’ensuit d’une
énumération syntaxique de la confrontation entres les cambrioleurs et les gens de la maisonnée. C’est ce
qui ressort à travers la l52-54 << et tout à coup … d’un être qu’on égorge.

Ensuite , nous étudierons les verbes d’actions qui correspondent en même temps avec l’utilisation
des temps verbaux . étant donné que le texte est un passage tiret du roman policier de Maurice Leblanc ,
ces verbes d’actions ne peuvent pas passé inaperçu .deux grands temps de l’ indicatif du récit de la
narration par excellence sont flagrant dans le texte .nous avons l’utilisation de l’imparfait et du passé
simple . c’est ce qui ressort à travers les lignes l31 << portait >> ; l33 << passait >> ;<< se dirigeait>> . Puis
l’utilisation du passé simple , l34 << disparut>> ; l47 << chercha>> ; l55 << bondit>> ; l76 << épaula, visa>>.

Enfin, nous étudierons les personnages, l’espace, le temps et la focalisation dominante du texte . ainsi
l’étude des personnages du genre romanesque policier consiste à mentionné le nom de ceux qui sont dans
la maisonnée et leur identité si possible.

Cela dit pour les personnages nous avons dès la première ligne << Raymonde >> une fille brave qui habite
le château, il y a <<Suzanne >> la fille du conte gesvres ayant un caractère plutôt fragile , <<le cote de
gesvres >> lui-même qui est était l’un des victimes de la lutte entre les bandit et eux mais qui s’en est sorti
sans blessure , << Jean Daval >> celui sur qui s’est porté l’acte criminel . Les bandits le texte ne nous
permet pas de les identifier par contre c’est eux les cambrioleurs.

En ce qui concerne le temps, c’est le moment où l’action s’est produite. On le voir à travers cette phrase
déclarative ligne 5-6 <<la clarté de la lune >> ; notamment avec cette phrase interrogative l18 << tu ne
dors donc pas ? >> et la l58-59 << tenait à la main une lanterne>>. Tous ces relevés ont permis de montrer
que les actions dans ce texte se sont déroulées la nuit.

Pour le cas de l’espace, c’est l’endroit où s’est déroulée l’action complète du texte. il ressort après l’écuré
que l’intrigue s’est passé dans un seule, a savoir le château. Nous en pour preuve la l11 << l’aile
occidentale du château. >>

La focalisation dominante du texte, parlé de focalisation revient à montrer la voie qui parle dans ce texte.
Dans ce passage de l’œuvre l’aiguille creuse l’auteur est au même titre d’information que les personnages.
ce qui sous-entend que l’on rencontre la focalisation interne dans tout le long de ce passage. Cela
justifiable de la l1 –l77 <<Raymonde prêta l’oreille …l’homme tomba. >>

L’étude du caractère littéraire du texte nous permis de ressorti le critère de sa littérarité à ses outils
de fonctionnement. A savoir le style d’écriture de l’auteur, les figures de styles, les personnages, l’espace,
le temps et la focalisation de l’auteur.

En conclusion, nous pouvons retenir d’une part que ce texte appartient au genre romanesque
policier à travers les caractéristiques récurrents qui lui sont propre . Et d’autre part, l’étude de sont
caractère littéraire à notamment permis de montrer qu’il contient comme tout œuvre littérature
l’ensemble des éléments de la littérarité en générale. Tout fois ce texte pourrait t’il pas faire l’objet t’étude
d’un exercice en narratologie ?

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