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Mouvements et intéractions

• Description du mouvement et deuxième loi de Newton

• Le mouvement dans un champs uniforme

• Le mouvement d’un corps céleste dans un champs de gravitation


• La modélisation de l’écoulement d’un fluide
(pas au programme du bac 2023)
• Thermodynamique

• Transfert Thermique

Ondes et signaux

• L’intensité sonore

• Diffraction et interférences

• Optique

• Les photons

• Dynamique d’un système électrique capacitif

Ce document est la nouvelle version car dans l’ancienne je n’avais pas précisé que le
chapitre sur L’écoulement d’un fluide n’était pas au programme
Description du mouvement et deuxième loi de Newton 1/3
Le vecteur position
Il permet de suivre la position du point M au cours du temps :
21
0F(t) x(t) i

-cene
y(t)
=
+

n(t)
E
=y(t)
Le vecteur vitesse :
Il permet de connaître les variations du vecteur position, en norme ou en
direction :
Vi(t) dORCH
=

Le vecteur vitesse est enfaite la dérivée temporelle du vecteur position


Le vecteur vitesse est caractérisé par :
• sa valeur v(en S ) M.
- 1

• sa direction : donnée pa la trajectoire au point M


• son sens qui correspond au sens du mouvement à l’instant t

et
k(t) =
VnCH)
E Vy(t) e
=

t =

> >
tangente a
E x la trajectoire
au point M

Le vecteur accélération :
Le vecteur accélération est la dérivée temporelle du vecteur vitesse. C’est donc la
dérivée seconde du vecteur position.
d(t) don(t) 21
â(t) =

dt
=

r(t)
8

dt â(t) B

L
&

d du
â(t)
E
ax =

=
Ir 8

=
dt2 ⑧ > >
E x

9y gVy
=
de
=

dt

• sa valeur a ( en ) M.s
-2

• sa direction : définie par la variation de direction du vecteur vitesse


• son sens définie par la variation de norme du vecteur vitesse
Description du mouvement et deuxième loi de Newton 2/3
Le repère mobile de Frenet
Le repère cartésien qui est le repère que nous connaissons depuis la seconde est un repère
immobile. Mais il existe un autre type de repère qui permet d’étudier le mouvement point autour
d’un autre point : le repère de Frenet

Dr. en,
↳ r distance qui
=

sépare
mobile
autour
il est
le

et le

en
duqual
point
print

mouvement

Trajectoire
circulaire

Dans ce repère les composantes du vecteur accélération ne se calculent plus comme la dérivée
des composantes du vecteur vitesse. Elles sont donnés par cette formule :

affaire
aN=
--

e
â
(at= R

pointfixe
Le mouvement rectiligne
Lorsque la trajectoire est une droite, le mouvement est rectiligne
Les vecteurs vitesse et accélération sont alors colinéaires
-

M(t) a(t)
⑤Ó. 8. 3
·- - 3

~(t)

• Si = constante : le mouvement est uniformément varié


->
a

• Si â= : Le mouvement est uniforme


Le mouvement circulaire
Lorsque la trajectoire est un cercle et sa vitesse constante, il s’agit d’un mouvement circulaire uniforme
Les vecteurs vitesse et accélération sont alors perpendiculaires -

v(t)
• Le vecteur vitesse est tangent à la trajectoire, orienté dans le sens du mouvement -

M(t)
• Le vecteur accélération est dirigé vers le centre du mouvement +>
â(t)
I

.
é
œÚë
Description du mouvement et deuxième loi de Newton 3/3

Dynamique d’un système


Centre de masse
Le centre de masse d’un système est le point situant la position moyenne de sa masse. Si le système est
homogène alors le centre de masse est enfaîte le centre géométrique.
C’est le point en lequel on applique les forces

Les référentiels galiléens

Un référentiel Galiléen est un référentiel dans lequel


on peut appliquer les lois de Newton

La deuxième loi de Newton (très importante)


La deuxième loi de Newton relis le vecteur accélération à la somme des forces extérieures que
le système subit

EIxt Masse"
=
a
Le mouvement dans un champs uniforme 1/8

Le champs de pesanteur et le poids


La valeur du champ de pesanteur à la surface de la terre est:

-
2

9,81N. kg
g
=

Le champ de pesanteur en lui-même est enfaite un vecteur dont les coordonnées dépendent du repère dans
lequel on se trouve. Il est toujours orienté vers le bas et dirigé verticalement
:dans repère:
y1 4x le

5 {ig

W
I =

>
m
= -

get

Relation liant le champ de pesanteur et le poids :

P mg =

P:en Newton
m:en Kg
2
N.
g:
b
Kg-
Remarque : un solide qui est soumis uniquement à son poids, c’est-à-dire qu’il ne subit pas d’autres forces
que le poids est dit en chute libre

Le vecteur accélération d’un corps uniquement soumis à son poids est égal au vecteur
champ de pesanteur
-> -

I
a =

En effet on a par la deuxième loi de Newton :


d'ar:=mâ
-

F m dai mg=mâd'ai:
ext=
=at
g
Le mouvement dans un champs uniforme 2/8

Les vecteur vitesse et position dans un champ de pesanteur uniforme


La méthode dans les exercices de mécanique est très souvent la même : tout d’abord on trouve le vecteur
accélération grâce a la deuxième loi de Newton. Puis on intègre ce vecteur pour trouver le vecteur
vitesse. Cette intégration fait apparaître des constantes qui se retrouvent grâce aux conditions initiales.
Ensuite on intègre une seconde fois pour obtenir le vecteur position. L’intégration fait à nouveau
apparaître des constantes que l’on retrouve une fois deux plus grâce aux conditions initiales
Si il y a une deuxième partie dans l’exercice de mécanique, la deuxième partie consiste très souvent au fait
de trouver L’équation de la trajectoire qui se trouve grâce au vecteur position. Vous l’aurez compris :
la plupart des exercices de mécanique partent de la deuxième loi de newton pour arriver à l’équation de
la trajectoire et tout ça par une série d’étapes qui sont toujours les mêmes.

on dérive deRive
Deuxième
on
loi & &
de Newton Vecteur vitesse Vecteur Position Equation
-On trouve de la
vecteur Accélération
V(t)
Le trajectoire
â(t) ↳ exprime
-
on

On intégre fonction den


On y en

intégre

Ça reste flou pour toi ? Un exemple complet : Un joueur lance un ballon de basket selon
y le schéma suivant :
1, ............. Etape 1: Deuxième Loide Newton:

·rene 8
I
ext
= ma
-

Icile seule force estle poids-


h W ge d'or: -
-
P ma
=

do ma
mg =

[-
do: --

g
~ a
=
=

>

â
{a
U =

Étape 2: Vecteur vitesse:

On intègre le recteur accélération, on obtient:

n'oublie pas les


(t)
Set
=
On
I

+ku constantes d'intégration


Ke k2
et
Le mouvement dans un champs uniforme 3/8

Etape 3:condition initiales du recteur vitesse:

Lorsque le vesteur I faitun


anglex avec l'horizontale
->

Vo vo vocoskEn

artermination
=
+ vosinca) e

de mecter vitesse.

Ona a l'instant t 0:
=
P(0) To = ce
quiequivant
à:
Kn Vocos() k1 Vocok)

S E
= =

-S

gx0 ki VxSin(x) k2 Vocin(t)


-
+ =

Au final on a trouver le vite


rector au
final qui
vant:

Un Vocos(x)
I(t)
(vy
=

gxt vosica)
+

Vecteur position
5 .
le
On integre le vecteur vitesse pour obtenir recteur position:
n(t) Vocos(d)t Ks
Or(t)
+

(y(t)
=

vosincalt+ky.
-
=

Iqxt +

6 .
Conditions initiales:

l'instant
A t 0
=
le ballon està la hauteur h a
et me absciste egale 0.
à

Donc 10) k3

{ i{
Vocos(x) x 0 0
=
+

-29x0 voxfin()
+ xo k4 h
+
=

c =

1)
Determination
7 . du recteur polition:
determine les condition initiales,
Une fois qu'on a

on obtient le vecteur position:


m(t) vocos(d)t
&(H
=. y(t)
=

vofit h
1g +
2
- + +
=
Le mouvement dans un champs uniforme 4/8

L’équation de la trajectoire
L’équation de la trajectoire consiste à exprimer y en fonction de x. Cela se fait en éliminant le temps t
des équations horaire x(t) et y(t) qu’on retrouve dans le vecteur position. Pour se faire, il y’a deux
étapes :
Première étape : exprimer t en fonction de x
Deuxième étape : remplacer t par la formule qu’on a trouvé à l ‘étape 1 dans l’expression de y(t)…

C’est encore flou ? Allez on reprend l’exemple :

Etape 8:On exprime en fonction de:

act=S
On avait n(t) vocos
=
(x) t

y(t) -
=

Egt2 vosin() tth


+

On a ult) vocosclt.
=

donc t u
=

vocos()

Etape 5:On trouve l'équation de la trajectoire:

On a:
2
++h.
y(t) -
=

zgt voan(d)
+

On remplace par ce
qu'on a tramine à
l'étape 8:

Ig(cox))
"
+h
y vosin(a)
+
=
-

Vo(0S()

((y
-
=

19 1
-
n2 n+ an()
+
+

h
vocos()

On retrouve l'expression d'une parabole:y=an"thn+(


y
1
ballon

trajectoire
- >x

L’équation de la trajectoire permet ensuite de répondre aux questions :

• Ou est ce que la balle va atterrir ? On regouty 0, = introuve u.

(Equation polynomiate de degre) Lecon

• Quelle est l’altitude maximale atteinte par la balle ?


le la
On cherche maximum de
fonctiony.
Le mouvement dans un champs uniforme 5/8
Retour à l’exemple :
·
Di est-ce que
la batte va C'estla
atterir?- Portée

On avait 22 ntax) h
y 59 x

coss
-
+ +
=

On Polyrome 2nd
resout
y 0. du
degres:
=

R S b2=
-
4a

⑧ =tan) - 4 x
(5) x
qx 1h
Vocos()
- =tan() 29h ↳0
+

Portée
Vocos"()
L S

Deux racines:
41 =
-
b

2a
=

-tan() I
tan(x) +
-

2x
28"vcos-call
(Vocs) tan() I tax) +
sa
41
=

g
On retient la solution positive, Puis on remplace g, a, het vo
par la valeurs.

·
Ruche en l'altitude maximale atteinte?

On fonction polynoniale, étude


de
a une or fait une
Le maximum estatteint
fonction. en:

ta()
n - =

xa -
=

21 x)8" x)
-

-
tank vorwos()

Puis on remplace de l'équation de la trajectare pann


avoir l'altitude maximale.

x+

x6)4
h
y 29 x
tanc) x
+
-

I
parce qu'on
trouve
on remplace a a
Le mouvement dans un champs uniforme 6/8

L’es aspects énergétiques du mouvement dans un champ uniforme


Situations Forces Expression du travail

Système de masse m dans Le poids


un champs de pesanteur ->
We ((,,m(kg) q(m.s -2)
x x
(y(m) 7B(m))
-

- P
q ony:altitude depart yi:altitude d'arrivée

Système de charge
La force électrique
électrique q
dans un champs
WA(E) (5) 9() f(rm ) =
x
- x ((m)

de pesanteur E
quiselpare
Avec la
longueur
E les deux armature du

conducateurs plan

Enr
-- -

B
I - -

~Vo
t -

+A -a
-

I
-

I
-

Châte libre Condensateur plan

Propriétés
WAB(P) mg(y- 43) P. AB
=
-

=
WAB (Fe) E. =

Le travail du poids ne dépend pas du Le travail de la force électrique ne dépend


chemin suivi mais seulement de l’altitude pas du chemin suivi mais seulement des
de départ et d’arrivée abscisses de départ et d’arrivée
· si le systeme s'étire:WA(P) so: Wa (Fe) >0: Travail moteu

le travail du poidsest résistant


WA (Fe) 0:
=
Travail de la forme nulle
site
système se deplace l'horizontali
· à

WAB(P) 0
=

WAs (Fe) so:Travail resistant

si
·
le
systeme descend: WA() To

le travail du prich etmoteur


Le mouvement dans un champs uniforme 7/8

Théorème de l’énergie cinétique


La variation d’énergie cinétique d’un système de masse m se déplaçant d’un point A à un
point B est égal à la somme des travaux des forces extérieures qu’il subit

Au
Ec [:WAB
=
Fext

Poids:WA (P) =
-
1
pp
=-
(-pp(B) Epp(A)) -

mgyp mg4A
+

=-

=mg(yx y,)
-

Force électrique:WAB(Fe) =
-

EPE
=-
(pp(B) -

EppCA))
qV qV
+
=-

Énergie mécanique qUA


=

L’énergie mécanique est la somme de l’énergie potentiel de pesanteur, l’énergie électrique et de l’énergie
cinétique

[m(5) Epp fc Ep -
+
+

=mg3 Im qV
+
+

Théorème de l’énergie mécanique


Au cours du mouvement d’un système entre un point A et B. La variation d’énergie mécanique
d’un système est égale au travail des forces non conservatives

1
Em WA=

(F)
*
tres souvent, he

terre estnul

le poids etla
Exemple de forces non car

conservatives: le
frottements o Force electrique
sont conservatifs
Le mouvement dans un champs uniforme 8/8

L’évolution des grandeurs énergétiques dans un système

On a vu que lorsqu' il n'y avait pas de forces non conservatives, la variation d’énergie
mécanique était nulle, c’est à dire que l’énergie mécanique reste constante.
Mais les énergies potentielles et cinétique peuvent varier :
L’énergie cinétique augmente avec la vitesse
L’énergie potentielle de pesanteur augmente avec l’altitude
L’énergie potentielle électrique augmente avec le potentiel électrique V du système

Er
1((5) Chüte libre d'un balan

Au début:
Ec vitesse
la balle a me

.
h
malle donc pas d'énergie
I cinétique. Mais une

v Epp élevée
V

A Re fin:
Ec éteve, 12
Epp balle a
gagné en
E(s) Vitesse. Epp nulle

En revanche, si les frottements sont non négligeables, la variation d’énergie mécanique est non
nulle d’après le théorème d’énergie mécanique : le système perd de l’énergie

1 EM

Anti W (ric)=
=
o

estune faire
Ec
car

conservative

Epp
>
Le mouvement d’un corps céleste dans un champs de gravitation 1/2

Première loi de Kepler


Dans le référentiel héliocentrique,
les orbites des planètes sont des
Planete ellipses dont le soleil est l’un des
. foyers lire Loi

X X
Solel

Foyer 1 Fayer2

Deuxième loi de Kepler


Définition :
• Aphélie : point pour lequel la planète est la plus éloignée du soleil
• Périphélie : piont pour lequel la planète est la plus proche du soleil
↳+st tr
to
.
. S
Aphétie -
8 soleil -Périhélie
~

.
ta +At

La deuxième loi de Kepler : la planète Si S2


=

balaie des surfaces égales en des durées


égales

Conséquence de la deuxième loi de Kepler : la vitesse de la planète est maximale à sa


périhélie et minimale à son aphélie

Troisième loi de Kepler

le carré de la période de révolution d’une planète T est proportionnelle


au cube du demi grand axe a de son orbite elliptique

= k oik estune constante


Le mouvement d’un corps céleste dans un champs de gravitation 2/2

La deuxième loi de Newton appliquée à un corps céleste

La seule force que subit le corps céleste M est l’attraction qu’exerce sur lui l’astre A
v
an -
=

--

af_
a r
point
repère déjà
de Frent
mentionné 3
page
Loi universelle de la gravitation

E
-

ME
AB
=- F
BA
-
=

GME
->
Fa
FB/A
I

MA ·
1
-

Vitesse d’un corps céleste et période de révolution


La vitesse d’un corps céleste M en rotation autour d’un corp A est donnée par la
deuxième loi de Newton en utilisant le repère d Frenet
[Fext mmâ =

=
-x
( 1
= me

Sat==Gxe
21 a
=

v2

RA

d'ou V =
Gx MA

decorps
RAB
Vitesse
3
+2 4 π
=

GM

de reidation
période
Thermodynamique 1/1

Système thermodynamique

Un système thermodynamique est un ensemble composé de N particules microscopiques délimité par des
frontières

Les grandeurs d’un système thermodynamique

Un système thermodynamique est caractérisé par sa masse volumique rhô (en kg par mètre cube)
sa pression P (en Pascal) et sa température T (en kelvin)
La masse volumique s’évalue grâce a une balance et une éprouvette graduée
Le manomètre permet de mesurer la pression
Et le thermomètre permet de mesurer la température

Le modèle du gaz parfait

V R
P(a)
n * xT (k)
*

(m3)
=

(mo) (5. ma!1-1)

P pression
=

V Volume
=

n quantitéde
= matière

R constante J.M. ! K
gas Parfaits 8,514
:
de =

la relation la
liant température en kehie et
endegre:
T(k) T(x)
=
273,15
+
Les transferts thermiques 1/5

Transfert Thermique
Un transfert thermique est un échange d’énergie thermique ou de chaleur qui a lieu d’un
corps chaud vers un corps froid

Transfert
--

Corps chand corps


froid
L’équilibre thermique est l’État atteint lorsque les deux corps ont la même température

Type de transfert Transfert par Transfèrt par Transfert par


conduction convection rayonnement
Énergie transmise Énergie transmise Énergie transmise par
Mécanisme du par les particules par mouvement la propagation d’onde
transfert de proche en d’ensemble d’un électromagnétique
proche fluide

Milieu où le
transfert est Milieu solide Milieu fluide Milieu non matériel
majoritaire

Chaleur échangée

&(5) M(kg)
= x C
(J.kg
-

11
-

2) 1T(k)
x

↑ revoit libere lors d'en transfertthermique


:
chaleur
échanget que
au un camps

m:masse
Ci capacitécalorifique

ST:vaciation de température Ty(K)


=
-
TiCk)
=température finale
-

température initiale

E
recoitde la chaleur
9 o:le systeme

Pso:le système libère de la chaleur


Les transferts thermiques 2/5
Le flux thermique
Le flux thermique noté I caractérise la vitesse d’un transfert thermique il correspond donc à une
puissance et s’exprime en watts (W)

E(u) s
=

9:transfertthermique en joules(5)

St:dure du transfert (es)


Relations entre le flux thermiques et la différence de température de part et d’autres d’une paroi

I(ul-
w-f
ST:Ecartde temperature entre d'une paroi
les deux
faces
Rih: Resistance thermique

Résistance thermique d’une paroi

e(m)

Rea(k.w-1
=

d(w.m! 1 -1) SCM2)


x

S de laparoi
:surface
e ·épaisseur de
paroi la

d:conductivite thermique de la parsi

Système fermé
Un système thermodynamique fermé est un système qui peut échanger uniquement de la chaleur
et du travail avec le milieu extérieur, en particulier un système fermé ne peut pas échanger de
matière avec le milieu extérieur

Type de système Peut échanger de la matière Peut échanger de la chaleur et du travail

Système ouvert Oui Oui

Système fermé Non Oui

Système isolé Non Non


Les transferts thermiques 3/5

Énergie interne
L’énergie interne notée U et l’énergie d’un système fermé possède en dehors de son énergie cinétique ou de
n’importe quelle énergie potentielle

Premier principe de la thermodynamique


Au cours d’une transformation quelconque d’un système fermé la variation de son énergie interne est
égale à la somme des énergies échangées par travail d’une force W et par transfert de chaleur échangée Q

AU(5) W(t) =

q (5)
+

Les différentes contributions microscopique à l’énergie interne

L’énergie interne d’un système est la somme des énergies du mouvement et aux
interactions niveau microscopique des N particules composant le système macroscopique

V =
=
(Emo+EM
La loi de refroidissement de Newton

at -
=
k(s x) x(t Text)
-
-

La loi de refroidissement de Newton indique que la dérivée temporelle de la température est


proportionnelle à la différence entre la température extérieure et la température intérieur À l’instant t

La température T est solution d’une équation différentielle dont la solution et donnée ci-dessous

k(s-1) x t(s)
T(t) Text (T(0) Text)
-

=
+
-
é
x

K est un coefficient qui dépend de la surface de contact entre le corps et le milieu extérieur
Ainsi la loi de newton stipule que lorsque la température d’un système est supérieure à la température du
milieu extérieur, cette température va diminuer de façon exponentielle
Les transferts thermiques 4/5

Le système terre atmosphère

Le pourcentage de la puissance totale émise par le soleil qui va finalement atteindre la Terre est
caractérisé par le rayon de la terre ainsi que la distance qui sépare la terre du soleil. La puissance
surfacique du rayonnement solaire Au niveau du sol terrestre est en moyenne : 341 W.M-2

Prece Solisque interceptant


le
rayonnement,P.
totale
=

I sphère

D
Soleil

un me
Terre

n orbite terrestre

L’albédo terrestre

Lorsque la Terre reçoit la puissance solaire une partie est absorbée par l’atmosphère une autre partie est
réfléchie

A =
Pregrchie (W)

Presere (W)

A:Abedo (sans enitef, compris entre octs.

rayonnement rayonnement réfléchie


regele

Surface
Les transferts thermiques 5/5

Relations entre la puissance reçue par le sol est la puissance reçue en fonction de
l’albédo

Psos=Pregue -

Proflechie

Pregnechie Ax =
Presure
d'ai:

Psol (1-1)
=

Presere

La température terrestre moyenne

Modèle du corps noir :


Le corps noir est un objet physique idéal qui absorbe tous le rayonnement électromagnétiques qu’il reçoit
Loi de Stefan-Boltzmann :

G
=
0(5.k -

4m 25
-
-

) TYk)
x

(W.m-2)
T(1 *(w.m
-

2)
(1 =

4m -?s
6 (5.k
-1)
-

6:Constante
de Stefan-Boltzmann:5,67 x10- J.K:"m-?s-r
L’intensité sonore 1/2

Intensité sonore
L’intensité sonore correspond à l’énergie de l’onde sonore transmise par unité de surface et par unité
de temps : il s’agit donc d’une puissance par mètre carré. Elle s’exprime en Watt par mètre carré
Niveau sonore
En revanche on utilise plutôt le niveau sonore pour comparer les intensités

L 10=

log(
x

L: inveau sonore en dB (dicibels)


Io:Seuil d'audibiliter (10 w.m-2)

I:intensiteaccoustique de l'onde sonore


(r.M-)
Atténuation géométrique du son
Lorsque la distance entre La source de l’onde sonore et le point en lequel on reçoit la source est multipliée
par deux l’intensité sonore est divisée par quatre et le niveau sonore est diminué de 6 dB

Atténuation du son par un obstacle

Lorsque le son rencontre un obstacle celui-ci peut absorber une partie de l’énergie sonore
L’intensité transmise est alors toujours plus faible que l’intensité incidente
Coefficient d’atténuation
Je décibels)
a 10x
=

log (de)
Intensité sonore transmise
-Yo
Itransmise=Iincidente 10
x

Niveau sonore transmis et niveau sonore incident

d
↳transmise=Lincidente
L’intensité sonore 2/2
L’effet Doppler
correspond au phénomène physique selon lequel la fréquence d'une onde semble
L'effet Doppler

modifiée lorsque la source émettrice de l'onde et/ou l'observateur de l'onde sont en mouvement.

Les vitesses à connaître sont :


• Vitesse du son dans l’air 340m/s
• Vitesse de la lumière dans le vide et dans l’air 3 100 m/s
x

Fréquence reçue

La source sonore se rapproche La source sonore se s’éloigne de


Situation de l’observateur l’observateur

Expression de la FR Fe FR
E FE
=

fréquence reçue

FR > F FR< Fy
Interprétation "Il

"I "pour émise E


pour
émise
- -

R "pour recue R "pour recue

on: =nitesse de l'onde emise

de de
==vitesse Source

Décalage Doppler

T==E
Si la source se rapproche
iv, a:

Si la source s’éloigne

Longueur d’onde et période

T
1et
=
d
E
=

d'ai:
Tk (
=

8)
=
te et
6 (1 ) dE
=
=

l'observateu
ladesereprochede
de
Is l'observateur
Diffraction et interférence 1/3

Diffraction
Le phénomène de diffraction se produit lorsqu’une onde rencontre un obstacle de faible
dimension par rapport à sa longueur d’onde

Pour que le phénomène de diffraction soit observé il faut respecter une condition qui varie selon
que ce soit une onde électromagnétique ou un autre type d’onde

Pour une onde électromagnétique il faut que la dimension de l’objet soit inférieur à 100
fois la longueur d’onde
a c lood

Pour tout autre type d’onde il faut que la dimension de l’objet soit de même ordre de grandeur que la
longueur d’onde ou bien inférieur à la longueur d’onde

ad
La figure de diffraction

Le plus souvent on observe le phénomène de diffraction pour des ondes lumineuses et dans ce cas, la figure de
diffraction est une superposition de taches sombres et de taches brillantes. La largeur de la tâche centrale est
égale à deux fois la largeur des autres tâches.
tâche centrale

-> ->

angle de diffraction

C’est l’angle o qui sépare le centre de la tâche centrale de la première zone d’extinction
1
de
largeur ⑧

~feate
a


täche centrate

laser a *
8"L 0
Laad)
= tano=
n
L
-
D btäche centrale
⑧ L:
largler da
D:Distance entre l'ecran et la
fete

=
di longueur d'ade

Ral a:
dimension de l'obstacle
Diffraction et interférence 2/3
Interférence

Le phénomène d’interférence se produit lorsque deux ondes monochromatiques de même nature, de


même fréquence se superposent
Cela crée une onde résultante dont l’amplitude varie selon que les deux ondes soient
en phase ou en opposition de phase

·
-
-

En phase
I

E Onde resultante

Onde 1

En opposition ~-
t
de phase Onde 2

Onde resultante

u
Différence de marche

La différence de marche est la différence de chemin parcouru par les deux ondes
On la note Delta
Elle permet de savoir si les interférences sont constructives c’est-à-dire lorsque les ondes
sont en phase ou destructives c’est-à-dire quand les ondes sont en opposition de phase

constructives:8 Rd
Interférences =

Interférences destructives:8 (2k 1) -


=
+
Diffraction et interférence 3/3
Les trous d’Young
Le dispositif des trous de Young d’un dispositif qui consiste à placer deux fentes de même largeur qui vont
diffracter la lumière provenant d’un laser. Cela va permettre de créer nos deux ondes qui sont de même
nature de même fréquence qui vont pouvoir interférer

Chacune des deux fentes va contribuer À créer un phénomène de diffraction et L’ensemble des deux fentes va
créer le phénomène d’interférence

i,
.

Source:
To
laser

La propriété qui permet de séparer les figure de diffraction et d’interférence est la propriété selon laquelle la largeur
de la tâche centrale pour un phénomène de diffraction est deux fois supérieure à la largeur des autres tâches alors
que pour le phénomène d’interférence les taches sont de même largeur
les autres
tache centrale Plus
2x
grande que

Diffraction: e

Interférence:
mène largeur
-

die tache
extinction pour chaque
àla dillraction.

Interfrange :

L’Interfrange et la longueur qui sépare deux extinctions dans la figure d’interférence

--

Elle dépend à la fois de la longueur d’onde, de l’écart qui sépare les deux fentes, ainsi que de la distance entre
le dispositif des trous d’Young et l’écran

i 6
=
Optique 1/3

Une lentille convergente


Il faut connaître les trois cas de figure qui peuvent se produire et savoir tracer les rayons
incidents lorsqu’on donne les rayons réfléchis ou bien tracer les rayons réfléchis lorsqu’on nous
donne les rayons incidents

en

Les rayons incidents parallèles à l’axe


optique émergent en passant par le foyer
image
I
I >

F
Fl

en

Les rayons incidents qui passe par le


foyer objet émergent en étant parallèle à I I
>
l’axe optique F
Fl

en

Les rayons incidents qui passent par le


centre optique ne sont pas déviés
I
I >

F
Fl
Optique 2/3
Lunette afocale
Une Lunette afocale est un instrument d’optique composé de deux lentilles convergentes : L’objectif et
l’occulaire.

• L’objectif noté L1 et de distance focale f1 reçoit le faisceau incident


• L’oculaire noté L2 de distance focale f2
Une lunette afocale permet de former à partir d’un objet situé à l’infini une image agrandie qui elle aussi est
située à l’infini
Le foyer objet de de la deuxième lentille est confondu avec le foyer image de la première lentille
1
1

Fz I

Fe
i I
I >

E
E
1

W V

Objectif L, Oculaire La

Objet à
↑ l'infini
s

Étape 1 image intermédiaire B


1
1

F
2
Ar Fa
↓r
e
-
A
I
* I >

E
E
1

W
X V

Br
Objectif L, Oculaire La

Étape 1 image définitive

Be

-
1
1 ↓
L
L
/

(d'Ic

ac
A

↓r =
I >

E
>

objection
Optique 3/3
Grossissement
Le grossissement est le quotient entre l’angle émergeant et l’angle incident
L’angle émergeant est plus grand que l’angle incident donc le grossissement est un nombre supérieur à un

6
=
Il est aussi égal au quotient des distances focales de la lentille convergente une et de la lentille
convergente deux

6 1
=

I.
Les photons 1/3

La dualité de la lumière désigne le principe selon lequel la lumière se comporte à la fois comme une
onde et comme un flux de particules : c’est la dualité onde-corpuscule

Photon
Un photon est une particule sans masse qui se déplace à la vitesse de la lumière. Elle porte un
paquet d’énergie qui dépend de la fréquence de la lumière considérée
Énergie d’un photon

-photos) h(5.5) YHa)


=
*

h:constante de Planck 6,63 10" J.S


=

au:
C:vitesse de la lumière

"I
h d'onde lumière

-photon(s) longeur de la
↓:
(5.s) considérée
=

Conversion Joules - électron-volts

1er 1,6x
=
10-15

Travail d’extraction

Le travail d’extraction noté W0 et l’énergie minimale nécessaire pour éjecter un électron à la surface du
métal
L’énergie des photons incidents est égal à la somme du travail d’extraction et de l’énergie cinétique des
électrons éjectés

Eantrl h(5.s) XV(AS) Wol5)


=
=
+
Ec (5)

Fréquence seuil d’extraction


La fréquence seuil d’extraction noté Vo est la fréquence du rayonnement minimal permettant l’extraction
d’électrons. L’énergie cinétique des électrons éjecté est alors nulle
Wo (5)
Vo(H3) =

h(5.5)
Les photons 2/3
Interaction photon matière
L’énergie d’un atome ne peut prendre que certaines valeurs : on parle de quantification de
l’énergie d’un atome. Ces valeurs sont représentées dans le diagramme d’énergie
En(er) Etat ionisé qui correspond à
n0
3 l’énergie maximale
=

0
1

E
r 5
=

I
n =
4

a 3
Etats excités
=

valeurs
negatives
n2 =

/
État fondamental qui correspond à la
r
-]
=

stabilité maximale et à l’énergie


minimale

n nombre
=

quantique

Absorption d’un photon

E 1 fatome
1 photon Moton=
0 -

Ef S =Ef - Ei

M Absorption
Ei ⑧

Electron

h c
↓d
x

L’atome absorbe une radiation de longueur d’onde -

A fatome
Les photons 3/3
Émission d’un photon
E 1 fatome
Moton=
-

1 photon

- Electron
Er ⑧
elle =Ei-Ef
G Emission

Ef

h c
d
x

L’atome émet une radiation de longueur d’onde =

(-AFatome)
rajoute le
on
signe
moins car dans en cas /
la varition d'anorgie
est
négative

Application : rendement d’une cellule photovoltaïque

Puissance utile

n
=

Puissance consommée

Pelectrique
soit
R -

Plumineuse
énergie electrique

- >
énergie Cellul
lumineuse photovoltaïque

perte énergétique
avec
Pelectrique U =

(V) I(A) x

Plumineuse E(W.m-2)
: x S (m2)

S:surface de la cellule
E:Eclairement
de la cellule
Wi tention au borne

I: Intensitéqu'elle de livre
Dynamique d’un système électrique capacitif 1/3

L’intensité d’un courant électrique en régime variable

L’intensité électrique correspond au débit de charges électriques en régime variable c’est la dérivée
temporelle de la charge

dq(c)
i(t)
=

dt(s)
coulomb
9:charge
en

1:temps

Le symbole du condensateur
Un condensateur est un dipôle électrique constitué de deux conducteurs électriques qu’on appelle
armature elles sont le plus souvent planes et parallèles et elles sont séparées par un milieu isolant
(diélectrique). Le rôle du condensateur est d’emmagasiner de l’énergie électrique

sambôle
Lorsque le condensateur se retrouve dans un circuit fermé relié à un générateur, il existe une tension
électrique au bornes de celui ci. Cette tension est orientée dans le sens opposé à celui du courant
électrique, c’est-à-dire qu’il est orienté de l’armature négative vers l’armature positive.

-+,i

Wa
-

9 -
91
I I i
L

I condensateur
-
-

Capacité d’un condensateur


9:Charge en coulomb

C(r) U
q(c)
-

C:capacitédu condensateur
=

en Farads

Uc:tension en Volt
Dynamique d’un système électrique capacitif 2/3
Le circuit RC série
Un circuit RC est un circuit composé d’un condensateur et d’une résistance. Un circuit RC est en
série. Un circuit RC peut-être en charge ou en décharge selon qu’il soit en récepteur ou en générateur

generata
7 2

-
I l
-

Résistance Up C

W
<
i

condensateur

Charge et décharge définition

Comme mentionné précédemment le condensateur peut-être en charge ou en décharge

• lorsque le condensateur est branché à un générateur il est en mode récepteur c’est-à-dire qu’il
est en charge
• Lorsque le condensateur n’est pas branché un générateur il est en mode générateur c’est-à-
dire qu’il est en décharge

Un interrupteur permet de passer d’un État à l’autre

Condensateur en mode charge


Lorsqu’un condensateur est en mode charge il est alimenté par un générateur
La tension Uc aux bornes d’un condensateur qui est en mode charge vérifie l’équation
différentielle suivante :
dUc(t)
dt
I
Uc E =

La solution de l’équation différentielle permet de trouver l’expression de la tension aux


bornes d’un condensateur en fonction du temps

U.(t) f(1 =
- e
-

)
5: force electromotrice du
generateur (v)
C Capacitédu condensateur (Ferads)
Ri Résistance en ohms (-1)

t Variable temps (en secondes)


Dynamique d’un système électrique capacitif 3/3

Condensateur en mode décharge


Lorsqu’un condensateur est en mode décharge il n’est pas alimenté par un générateur
La tension Uc aux bornes d’un condensateur qui est en mode décharge vérifie l’équation
différentielle suivante :
dUc(t) Uc(t)
I =0
dt RxC

La solution de l’équation différentielle permet de trouver l’expression de la tension aux


bornes d’un condensateur en fonction du temps

-
Uc(t) Moe
=

Mo:tension initiate (en Volts)

C: capacité du condensateur (Farads)


R:Resistance en ohms (-1)

t Variable temps (en secondes)

Temps caractéristique

Le produit RxC correspond au temps caractéristiques d’un circuit RC

bout
En mode charge:RxC temps au
correspond an

atteint
oh lequel le condaseitence

une tensio
égale 0,63 à la force
electremotice t.

bout
En mode decharge: Rx correspond an temps au

atteint
oh lequel le condaseitence

une tensio
&
egale à0,37 la tension
unitiale Mo

Au bout d’une durée égale à cinq fois le temps caractéristique on peut dire qu’un condensateur
en charge est complètement chargé ou qu’un condensateur en décharge est complètement
déchargé

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