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Modules Exercises Resolues

2017 1ere Ex2

2017 2eme Ex1 (1-2)


Ex2 (1-2)
Ex3
‫ الفيزياء‬:‫المادة‬
‫ الثانوية العامّة‬:‫الشهادة‬ ‫الهيئة األكاديميّة المشتركة‬
‫ العلوم العامة‬:‫الفرع‬ ‫ العلوم‬:‫قسم‬
1 ‫نموذج رقم‬
‫ ثالث ساعات‬:‫المدّة‬
)‫ وحتى صدور المناهج المطوّ رة‬2017-2016 ‫نموذج مسابقة (يراعي تعليق الدروس والتوصيف المعدّل للعام الدراسي‬

Cette épreuve comporte quatre exercices obligatoires. L'usage des calculatrices non programmables est autorisé.

Exercice 1 (6½ points) Lampe à vapeur de sodium

On utilise les lampes à vapeur de sodium pour éclairer des tunnels routiers. Ces lampes contiennent de la vapeur de
sodium à très faible pression. Cette vapeur est excitée par un faisceau d’électrons qui traverse le tube. Les atomes de
sodium absorbent l’énergie des électrons. Cette énergie est restituée lorsque les atomes subissent des désexcitations
et retombent à l’état fondamental sous forme de radiations lumineuses.
Les lampes à vapeur de sodium émettent surtout de la lumière jaune.
Données : h = 6,6310-34 J.s
c = 3,00108 m.s-1
1 eV = 1,6010-19 J

1) L’analyse du spectre d’émission (Doc 1) d’une lampe à vapeur de sodium révèle la présence de raies spectrales
de longueurs d’onde  bien définies.

330,3 nm

568,8 nm 615,4 nm 819,5 nm 1138,2 nm


(Doc 1) doublet 589,0 / 589,6 nm
1-1) Identifier les longueurs d’onde des raies appartenant au domaine du
visible, au domaine des ultraviolets et au domaine de l’infrarouge. (Doc 2)
1-2) Préciser si le spectre d’émission est formé d’une lumière
polychromatique ou monochromatique.
1-3) Le spectre d’émission correspondant est discontinu. Expliquer.
1-4) Calculer l’énergie, en eV, de la raie spectrale de longueur d’onde
 = 589,0 nm.

2) Le document (Doc 2) montre le diagramme de niveaux d’énergie de


l’atome de sodium.
2-1) Calculer, en joule, l'énergie (E0) de l'atome lorsqu'il est dans l'état
fondamental.
2-2) Déterminer l'énergie minimale nécessaire pour exciter l'atome de
sodium à partir de son état fondamental.
2-3) L'atome de sodium étant dans le troisième état excité :
2-3-1) déterminer l'énergie minimale nécessaire pour l’ioniser ;
2-3-2) déterminer la longueur d'onde de la radiation émise due à
la désexcitation vers le niveau d'énergie E1 = -3,03 eV.
2-4) L'atome de sodium, considéré maintenant dans le premier état excité E1, reçoit un rayonnement d'énergie
E = 1,09 eV. Préciser si ce rayonnement peut interagir avec l'atome de sodium.
2-5) L'atome de sodium est maintenant dans l'état fondamental.

1/4
2-5-1) Il absorbe un photon qui est associé à une radiation de longueur d'onde λ = 289,77 nm. Déterminer l'état
de l'atome.
2-5-2) Il absorbe un photon d'énergie 6 eV. Un électron est ainsi libéré par l'atome. Calculer, en eV, l'énergie
cinétique de cet électron.

Exercice 2 (7 points) Pendule Composé

Afin de déterminer la période propre d’un pendule composé donné, les deux procédures suivantes sont effectuées
séparément, comme indiqué dans les parties 1) et 2).
Le pendule composé est formé d'une tige de longueur AB = L = 1 m et de masse
A
M = 1,2 kg et d’une particule "m" de masse m = 500 g qui peut coulisser entre A et O.
"m" est fixée au point C tel que AC = x. Le pendule peut tourner dans le plan vertical
autour d'un axe horizontal (Δ) passant par A. Soit a = AG, la distance entre A et le centre x
de gravité G du pendule. (Doc 3) a
Le pendule est écarté, dans le sens positif, d'un angle θ0 = 8 à partir de sa position
o C
d'équilibre, puis abandonné sans vitesse initiale à l’instant t0 = 0. θ et θ' sont G
respectivement l'abscisse angulaire et la vitesse angulaire du pendule à un instant t. O
Prendre :
Le plan horizontal contenant A comme niveau de référence de l'énergie potentielle
de pesanteur.
2
g = 10 m/s2 ; pour θ <10, sinθ  θrd et cosθ  1  rd .
2 B (Doc 3)
Négliger toutes les forces de frottement.

1) Détermination de l'expression du T0 en fonction de x


2mx+ML
1-1) Montrer que la position du centre de gravité G du système est donnée par la relation : AG = a = 2(m +M)
1-2) Montrer que le moment d'inertie I du pendule par rapport à (Δ) s’écrit : I = (3mx2 + ML2)/3,
sachant que le moment d'inertie de la tige par rapport à l’axe (Δ) est : Itige = ML2/3
1-3) Déterminer l'expression de l'énergie mécanique du système (pendule, Terre) en fonction de
m, M, g, a, I, θ et θ'.
1-4) En déduire l'équation différentielle en θ qui régit le mouvement du pendule.
1-5) La solution de l'équation différentielle est donnée par :
θ = θm cos (ωot + φ), où θ est en rd et t en secondes. Déterminer θm et φ.
1-6) Déterminer l’expression de la période propre T0 en fonction de x.
(Δ)
2) Détermination de x
Maintenant, le système (tige AB et particule) est en position horizontale ;
il peut tourner librement autour de l'axe vertical (Δ) qui passe par le
milieu O de la tige. La particule est fixée à l'extrémité C d’un fil OC m O
(Doc 4). A x B
Le système tourne avec une vitesse angulaire constante de 2 rd/s lorsque x C
la particule de masse m est au point C (AC = x). À un certain instant, le fil
(Doc 4)
est coupé et la particule de masse m glisse et se fixe à l'extrémité A de
la tige ; la vitesse angulaire du système devient 1,5 rd/s.
2-1) Soient I1 le moment d'inertie du système (tige AB et masse m)
lorsque m est au point C et I2 le moment d'inertie de ce système lorsque m est à l'extrémité A.
Vérifier que I1 = 0,1 + 0,5(0,5-x)2 et I2 = 0,225 kg.m2, sachant que le moment d'inertie de la tige autour de l'axe
passant par son centre est Itige/ = ML2/12.
2-2) Appliquer le principe de conservation du moment cinétique pour déterminer x.
2-3) En utilisant les résultats des parties 1) et 2), en déduire la valeur de la période propre T0.

2/4
Exercice 3 (6½ points) Aspect de la lumière

1) Dans l’expérience de Young dans l'air, les deux fentes S1 et S2, qui sont
droites, parallèles et séparées d’une distance a = 1 mm, sont éclairées par une (Doc 5)
même source S qui est à égale distance de S1 et S2, S émettant une lumière
monochromatique de longueur d'onde λ = 625 nm.
L'écran d'observation (P), parallèle au plan de S1S2, se trouve à une distance
D = 1 m du point I, le point médian de S1S2. On considère sur (P) un point M
dans la zone d'interférence dont la position est définie par son abscisse x par
rapport au point O, la projection orthogonale de I sur P. (Doc 5)
1-1) Préciser la nature de la frange dont le centre est en O.
1-2) Décrire les franges observées sur l'écran (P).
1-3) Interpréter l'existence des franges.
1-4) Donner, en fonction de D, a et x, la différence de marche optique  au point M.
1-5) Déterminer l'expression de l'abscisse x des centres des franges sombres en fonction de D, a et λ.
1-6) En déduire l’expression de l’interfrange i en fonction de λ, D et a.
1-7) Préciser le type et l'ordre de la frange en un point sur l'écran qui se trouve à une distance de 3,75 mm du
milieu de la frange centrale.
1-8) Une lame à faces parallèles, d'épaisseur e et d'indice n = 1,5, est placée devant S1. La différence de marche
optique à M devient : S2M - S1M =  = ax/D – e.(n-1).
La frange centrale occupe à présent une position qui était occupée auparavant par la 6e frange sombre.
Déterminer e.

2) Maintenant, on couvre la fente S1 et la source S, émettant le rayonnement


(Doc 6)
monochromatique, est placée en face de la fente S2 dont la largeur est de
0,1 mm (voir la figure du (Doc 6) ci-contre).
2-1) Nommer le phénomène subi par la lumière à travers la fente.
2-2) Soit L la largeur de la tache centrale observée sur l’écran :
2-2-1) écrire l’expression donnant L ;
2-2-2) calculer L.
2-3) Les deux phénomènes optiques précédents mettent en évidence un aspect
particulier de la lumière. Identifier cet aspect.

Exercice 4 (7½ points) Détermination des caractéristiques de composants électriques

Le but de cet exercice est de déterminer les caractéristiques R, L et C


respectivement d'un conducteur ohmique (R) de résistance R réglable, i A
Y1
d'une bobine (B) d’inductance L et de résistance négligeable et q
d’un condensateur (C) de capacité C. A C
B
Pour cela, nous effectuons les deux expériences suivantes :
L
GBF
D Y2
R

C
M
(Doc 7)

3/4
1) Première expérience

On considère le circuit série schématisé à la figure du (Doc 7) qui est constitué d'un GBF qui délivre à ses bornes
une tension alternative sinusoïdale de valeur efficace U et de fréquence réglable f, de (R), de (B), de (C) et d’un
ampèremètre.
On donne à f différentes valeurs et on enregistre, pour chaque valeur de f,
la valeur efficace I de l’intensité du courant dans le circuit. La figure
du (Doc 8) montre les variations de I en fonction de la fréquence f.
Prendre 2 = 10.

1-1) Le circuit est le siège d'un certain phénomène. Nommer


le phénomène physique qui a lieu pour f = 200 Hz. Justifier.
1-2) Indiquer la fréquence propre f0 de ce circuit.
1-3) Montrer que LC = 0,62510-6 s2.
(Doc 8)
2) Deuxième expérience

On donne à R la valeur R = 150 Ω. L'expression de la tension aux bornes du GBF est la suivante :
uAM = Um sin (2f t).
Le circuit est ainsi parcouru par un courant alternatif sinusoïdal
d’intensité i. (1)
L’oscilloscope est branché de façon à visualiser la tension uAM aux )
bornes du GBF et la tension uDM aux bornes du conducteur ohmique. (2)
La figure du (Doc 9) montre l’oscillogramme (1) correspondant à
la tension uAM et l’oscillogramme (2) qui correspond à la tension uDM.
La fréquence de uAM est réglée à f = 50 Hz.
La sensibilité verticale sur les deux voies est de 5 V/div.
Prendre 2 = 10.

2-1) En se référant aux oscillogrammes : (Doc 9)


2-1-1) calculer la valeur maximale Um de la tension uAM ;
2-1-2) déterminer, en fonction du temps t, l'expression de la tension uDM ;
2-1-3) en déduire, en fonction du temps t, l'expression de i.
2-2)
2-2-1) Déterminer l'expression de la tension uAB aux bornes du condensateur.
2-2-2) Déterminer l'expression de la tension uBD aux bornes de la bobine.
2-2-3) En utilisant la relation uAM = uAB + uBD + uDM et en donnant à t la valeur zéro, montrer que la deuxième
relation entre L et C est : 3,32LC  5 3C  3,3  104
2-3) Conclusion :
Déterminer les valeurs de L et C à partir des deux relations obtenues entre L et C ci-dessus.

4/4
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Exercice 1 (6½ points) Lampe à vapeur de sodium


Question Réponse Note
1-1 Domaine visible (400 nm <  < 800 nm) :
568,8 nm, 589,0 nm, 589,6 nm et 615,4 nm. ¼
Domaine ultraviolet ( < 400 nm) : 330,3 nm. ¼
Domaine infrarouge ( > 800 nm) : 819,5 nm et 1138,2 nm ¼
1-2 Polychromatique car le spectre émis est formé de plusieurs radiations
de longueurs d’onde différentes. ¼
1-3 L’énergie de l’atome ne peut pas prendre n’importe quelle valeur ; elle prend
seulement des valeurs discrètes et particulières. L’énergie de l’atome est
quantifiée. ½
1-4 E = hc/ = 3,37210-19 J = 2,11 eV ½
2-1 E= -5,14 eV = -10,810-19 J ¼
2-2 Cela correspond à une transition vers le haut à partir du niveau d’énergie E0
au niveau d’énergie E1.
Emin pour exciter l’atome= E1 – E0 = -3,03 + 5,14 = 2,11 eV ½
2-3-1 C’est une transition vers le haut à partir du niveau d’énergie E3
au niveau d’ionisation E = 0.
Eionis = E – E3 = 1,52 eV ½
2-3-2 E = E3 – E1 = -1,52 + 3,03 = 1,51 eV = 2,410-19 J
 = hc/E = 6,6210-34  3108/2,410-19 = 827,5 nm ¾
2-4 L'énergie est absorbée et l'atome devient dans l'état E2 car
-3,03 + 1,09 = -1,94 eV = E2 (deuxième état excité). 1
2-5-1 Ephoton = hc/ = 6,6210-34  3108/289,7710-9 = 6,8610-19 J = 4,29 eV ½
E0 + Ephoton = -5,14 + 4,29 = -0,85 eV = E5, l’atome, étant dans son état
fondamental, absorbe l’énergie du photon et passe au cinquième état excité. ½
2-5-2 EC = E0 + 6 ; EC = 6 - 5,14= 0,86 eV ½

Exercice 2 (7 points) Pendule Composé


Question Réponse Note
1-1 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
(M+m)AG = MAO + mAC. ⃗⃗⃗⃗⃗
Tous les vecteurs ont le même sens : (M+m).AG = M.AO + m.AC
(M+m).a = M.L/2 + m.x
mx+ML/2 2mx+ML
AG = a = (m +M) = 2(m +M)
½
2 2 2 2 2
1-2 I= Itige + mx = ML /3 + mx = (ML + 3mx )/3 ½
1-3 Em = EC + EPP = ½ I.θ′2 - (m+M) g.a.cos θ ½

1/4
1-4 Em = constant  dEm/dt = 0 ; I.θ′.θ′′ + (m +M).g.a.θ′.sinθ = 0 ;
sinθ = θ (pour des angles faibles) ; θ′≠0 ;
θ′′ + (m +M).g.a.θ = 0 1
I
1-5 θ=θm cos(ωot +φ) ;
θ’= - θm ω0 sin(ωot +φ) ;
À t=0 ;
0= - θm ω0 sin(φ) ; φ = 0 ou φ = π rd
θo = θm cosφ > 0 alors ; φ = 0 acceptable ;
En remplaçant φ = 0 on obtient θm= 8π/180 = 0,14 rd
Ainsi : θ = 0,14 cos (ωot) 1
1-6 T0 = 2π/ω0 = 2 I/(M + m)ga  2 (3x 2 + 2,4)/[30(1,2 + x)] ½
2-1 I1 = Itige + m.OC2 = ML2/12 + m(L/2 – x)2 = 0,1 + 0,5 (0,5-x)2. ½
I2 = ML2/12 + m (L/2)2 = 0,225 kg.m2. ½
2-2 Les forces agissant sont : mg ⃗ ; réaction de l’axe ⃗R ;
⃗ ; Mg ½
La somme des moments de ces forces par rapport à l’axe (Δ) est nulle. ∑Ϻ=0 ;
Ainsi, il y a conservation du moment cinétique.
Alors σi = σf ; ½
I1θ'1 = I2θ'2
[0,1 + 0,5 (0,5-x)2] × 2 = [0,225] × 1,5
x = 0,13 m « acceptable » ou x = 0,87 m > 0,5 m « à rejeter » ½
2-3 Remplaçons x =0,13 m par sa valeur dans T0  2 (3x2 + 2,4)/[30(1,2 + x)]
½
pour obtenir T0 = 1,56 s.

Exercice 3 (6½ points) Aspect de la Lumière


Question Réponse Note
1-1 On observe sur l'écran en O une frange centrale brillante parce que S1 et S2 sont
en phase, du fait de la symétrie ; ainsi, la lumière issue de S1 et celle issue de S2
atteignent O en phase car S1O = S2O   = 0, (k = 0). ½
1-2 Les franges sont droites, parallèles, équidistantes et alternativement brillantes et
obscures. ½
1-3 La superposition des deux faisceaux lumineux émis par les sources S1 et S2 donne
naissance à un phénomène d’interférences. ¾
1-4 ax
 ¼
D
1-5 Pour le centre d'une frange obscure, on a  = (2k+1)/2.
ax D
On obtient = (2k+1)/2, ainsi, x = (2k+1) ½
D 2a

1-6 L’interfrange est la distance entre les centres de deux franges consécutives de ½
même nature.
(2k  3)D (2k  1)D D
i  x k 1  x k    ½
2a 2a a

2/4
1-7 x = 3,75 mm = 3,7510-3 m
ax
 = (10-3 3,7510-3)/1 = 3,7510-6 m.
D
 ½
= (3,7510-6)/ (0,62510-6) = 6

Donc  = 6 = k  et k appartient à Z
M est alors le centre de la frange brillante d’ordre 6. ½
1-8 Pour la frange centrale, on a  = 0.
D
 en  1 mais x  5,5i  5,5
ax

D a
a 5,5  D
.  en  1  5,5    en  1
D a
5,5  
e
n  1
e= 6,910-6 m ½
2-1 la lumière subit le phénomène de diffraction. ½
2-2-1 2D
L ¼
a
2-2-2 2  625  109  1
L  0,0125 m  12,5 mm ¼
0,1  10 3
2-3 C’est l'aspect ondulatoire de la lumière (phénomènes d'interférences et ½
de diffraction subis par la lumière).

Exercice 4 (7½ points) Détermination des caractéristiques de composants électriques


Question Réponse Note
1-1 Phénomène de résonance d’intensité car I atteint une valeur maximale. ½
1-2 f 0  200 Hz ½
1-3 1
f0 
2 LC
½
LC  0,625  106 s2 (équation 1)
2-1-1 Um  Sv  y  20 V ½
2-1-2 La forme de l’oscillogramme visualisé sur la voie Y2 est en avance de phase par
rapport à l’oscillogramme visualisé sur la voie Y1, puisque la tension uDM prend
la valeur maximale avant la tension uAM, les deux variant dans le même sens.
Une période s’étend sur D = six divisions et la différence de phase correspond à
d 1  ½
d = une division, donc :   2   2   rd
D 6 3
½
0  2f  100 rd / s
U m2  Sv  y 2  10 V ½
uDM = 10 sin (100 πt + π/3) (uDM en V, t en s)
2-1-3 u 10 
i  DM  sin (100 t + ) 
R 150 3

i  0,067 sin (100 t + ) (i en A, t en s) ½
3

3/4
2-2-1 1 0,067 
u AB  u C 
C  i dt  -
100  C
cos(100 t + )
3 ¾
2-2-2 di  ¾
u L  L  6,7  L cos (100 t + )
dt 3
2-2-3 u AM  u AB  u BD  u DM
20 sin (100  t ) 
0,067   
- cos(100 t + )  6,7  L cos (100 t + )  10 sin (100 t + )
100  C 3 3 3
Pour t = 0
0,067   
0- cos( )  6,7  L cos ( )  10 sin ( )
100  C 3 3 3
0,067 3
0 -  3,3 L  10 on obtient : 
200  C 2
3,32LC  5 3C  3,3  104 (équation 2)
1
2-3 C  1,13  10 F  0,113F
5
L’équation (1) et l’équation (2) donnent : 
 L  0,054 H  54 mH 1

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‫ الفيزياء‬:‫المادة‬
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‫ العلوم العامة‬:‫الفرع‬ ‫ العلوم‬:‫قسم‬
2 ‫نموذج رقم‬
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Cette épreuve comporte quatre exercices obligatoires. L'usage des calculatrices non programmables est autorisé.

Exercice 1 (6½ points) Oscillations d'un pendule élastique horizontal

Un pendule élastique (R) est constitué d'un solide (S) de masse m, attaché
à l'extrémité A d'un ressort horizontal de constante k = 80 N/m ; l'autre (R) (S)
extrémité B du ressort est fixée à un support fixe comme l’indique x' x
le document (Doc 1) ci-contre. A
Le centre d'inertie G du solide peut se déplacer le long d'un axe horizontal B O G (Doc 1)
x'x. A l'équilibre, le centre d'inertie G de (S) est confondu avec l'origine O
de l'axe x'x. On déplace le solide à partir de sa position d'équilibre, puis on le lâche sans vitesse à l'instant t0 = 0.
G commence à osciller de part et d'autre de sa position d'équilibre O.
dx
A un instant t, l'abscisse de G est x et la mesure algébrique de sa vitesse est v = dt = x′.
Le plan horizontal contenant G est le niveau de référence de l'énergie potentielle de pesanteur.

1) Oscillations libres non amorties


On néglige la force due au frottement.
1-1) Ecrire, à un instant t, l'expression de l'énergie mécanique du système (pendule, Terre).
1-2) Etablir l'équation différentielle du second ordre en x qui décrit le mouvement de (S).
1-3) En déduire l'expression de la période propre T0 de ces oscillations.

2) Oscillations libres amorties


En réalité, la force de frottement possède une certaine
valeur. En tenant compte des conditions initiales
précédentes, un dispositif permet d'enregistrer
les variations de x en fonction du temps t comme
l’indique le document (Doc 2) ci-contre.
2-1) En se référant au graphique, déterminer
la pseudo-période T des oscillations.
2-2) Calculer la puissance moyenne dissipée
entre les instants t0 = 0 et t1 =3T.

3) Oscillations forcées
On relie maintenant l'extrémité B du ressort à un vibreur de fréquence réglable fv et d'amplitude constante.
On donne à fv différentes valeurs et on enregistre, pour chaque valeur de fv, la valeur correspondante
de l'amplitude des oscillations de G comme l’indique le tableau du document (Doc 3) ci-dessous.
fv (Hz) 1,5 2 2,5 2,8 3 3,2 3,3 3,6 4 4,5
(Doc 3)
xm (cm) 0,4 0,6 1 1,5 2,1 2,3 2 1,5 1 0,7
3-1) En se référant à ce tableau, déterminer la valeur approximative de la période propre des oscillations de (R).
3-2) Déterminer la valeur approximative de la masse m de (S).
3-3) Tracer le graphique donnant les variations de xm en fonction de fv.
3-4) Tracer, en le justifiant, l’allure de la courbe précédente lorsque la force de frottement est de valeur plus
grande.
1/4
Exercice 2 (7½ points) Pendules synchrones

1) Pendule élastique
Un ressort, de raideur k et de masse négligeable, est placé sur une table
lisse et horizontale. L'extrémité gauche du ressort est fixée à un support
fixe et l'extrémité droite est reliée à l'extrémité d'un fil, de masse
négligeable, passant sur une très légère poulie, comme l’indique le x’
document (Doc 4) ci-contre.
Une particule (S), de masse m, est attachée à l'autre extrémité du fil. A
l'équilibre, (S) est en O. Epp=0 O
Prendre le plan horizontal passant par la position d'équilibre de (S') comme
niveau de référence de l’énergie potentielle de pesanteur et g = 10 m/s 2. (S)
Négliger toute force de frottement. x
(Doc 4)
1-1) Lorsque (S) est en équilibre, elle coïncide avec l'origine O de l'axe
mg
vertical x'Ox, et le ressort est allongé de ℓ. Montrer que ∆ℓ = k .
1-2) La particule, tirée vers le bas de 4 cm, est lâchée sans vitesse à l'instant t0 = 0. À un instant t, l'abscisse
dx
de la particule est x et la valeur algébrique de sa vitesse est v = dt = x′.
1-2-1) Montrer qu’à l'instant t, l'expression de l'énergie mécanique du système [(S), Terre, ressort, fil,
1 1
poulie] est donnée par : Em = 2 k(∆ℓ + x)2 − mgx + 2 mv 2 .
1-2-2) Déterminer l'équation différentielle du second ordre en x qui décrit le mouvement de (S).
1-2-3) En déduire l'expression de la pulsation propre ω0 du pendule et donner celle de sa période propre
T0 en fonction de ℓ et g.
1-2-4) Déterminer alors l'équation horaire du mouvement de (S) sachant qu'elle est de la forme :
x = xmsin(0t + φ).

2) Pendule simple
Un pendule simple est formé d'un fil inextensible, de masse négligeable et de longueur L,
et d’une particule (S') de masse m, comme l’indique le document (Doc 5) ci-contre.
Suspendu convenablement, (S') est écarté de sa position d'équilibre d'une élongation angulaire
0 = 0,10 rd, puis il est lâché sans vitesse à l'instant t0 = 0. Le pendule effectue des oscillations
d'amplitude angulaire m = 0,10 rd. A un instant t, l’abscisse angulaire du pendule est 
d
et sa vitesse angulaire est ′ = dt .
Prendre le plan horizontal passant par la position d'équilibre de (S') comme niveau
de référence de l’énergie potentielle de pesanteur et g = 10 m/s2. Négliger toute force (S')
de frottement.
2 (Doc 5)
Prendre au besoin, pour les faibles valeurs de θ, (θ en rd) : cos θ = 1 – 2 ou sin θ = θ.
2-1) Déterminer, à un instant t, l'expression de l'énergie mécanique du système (pendule, Terre).
2-2) Déterminer l'équation différentielle du second ordre en  qui décrit le mouvement du pendule.
2-3) En déduire l'expression de la pulsation propre '0 de ce pendule, puis donner celle de sa période propre
T'0 en fonction de L et g.
2-4) Déterminer l'équation horaire du mouvement du pendule sachant qu'elle est de la forme :
θ = θmsin('0t + φ').

3) Comparaison
Comparer les périodes propres T0 et T'0 de ces pendules et donner la condition à remplir pour qu'un pendule
élastique et un pendule simple soient synchrones.

2/4
Exercice 3 (6½ points) Étincelles dans le système d'allumage d’un véhicule

Une bobine est très utile pour la production d'étincelles du fait de sa capacité à s'opposer à des changements rapides
de l'intensité du courant.
Le moteur d'une automobile exige que le mélange air-carburant, dans chaque cylindre, soit enflammé à des moments
appropriés. Ceci est réalisé au moyen d'une bougie d'allumage, qui se compose essentiellement d'une paire
d'électrodes séparées d’une certaine distance par un gap d’air. En créant une tension élevée (quelques dizaines
de milliers de volts) entre ces électrodes, une étincelle se forme à travers le gap, enflammant ainsi le carburant.
La bobine du système d'allumage d’un véhicule a une inductance L = 20 mH et une résistance r = 2 .
La batterie de la voiture est de force électromotrice E = 12 V.

1) L’interrupteur K est fermé

Le document (Doc 6) ci-contre, montre le circuit


d'une bougie d'allumage d’une voiture où B
A
le conducteur ohmique, utilisé pour la protection, K R
a une résistance R = 4 Ω. i
A l'instant t0 = 0, l'interrupteur K du circuit est fermé. Bougie
(L, r)
1-1) L’intensité du courant dans la branche de
la bougie d'allumage est considérée nulle. E = 12 V
Gap
Justifier.
d'air
1-2) A un instant t, le circuit est traversé par un
courant d'intensité i. En utilisant la loi (Doc 6) C
d'additivité des tensions, déterminer l'équation
différentielle en i.
1-3) Déduire, en régime permanent, l’intensité I0 du courant dans le circuit.
1-4) Calculer le temps nécessaire à i pour atteindre pratiquement sa valeur maximale I0 sachant que
L
la constante de temps du circuit est  = (R+r).
1-5) Calculer l'énergie magnétique maximale emmagasinée par la bobine.
1-6) Déterminer, en régime permanent, la tension aux bornes des électrodes, à travers le gap d’air de la bougie
d'allumage.
1-7) Une étincelle est une décharge disruptive visible de l'électricité entre deux électrodes de haute tension.
Elle est précédée par l'ionisation du gaz (combustible-air) suivie par un effet de chauffage rapide
qui brûle le carburant. Préciser si des étincelles sont créées dans le gap d’air lors de la croissance
de l'intensité du courant dans le circuit.

2) L'interrupteur K est ouvert

2-1) Lorsque l’interrupteur K est ouvert, l'intensité du courant chute jusqu’à zéro en 1 s. Déterminer la
tension développée aux bornes des électrodes de la bougie.
2-2) Préciser si des étincelles sont alors produites dans le gap d’air.
2-3) Les étincelles dans le gap d’air s’affaiblissent lorsque la distance entre les électrodes devient plus grande.
Expliquer pourquoi la bougie d'allumage doit être changée après avoir été utilisée pendant une longue
période.

3/4
Exercice 4 (7 points) Réactions nucléaires

Considérons les quatre réactions suivantes (1), (2), (3) et (4) et les masses de certains noyaux.

1 2 3 4 1 235 140 94
1H 1H H
1 2He 0 n 92 U 54 Xe 38 Sr
m(u) 1,0073 2,0141 3,0155 4,0015 1,0087 235,0439 139,9216 93,9153

1 u = 1,66×10-27 kg = 931,5 MeV/c2 ; c = 3×108 m/s ; 1 eV = 1,6×10-19 J.

235 231
92U → 90Th + AZX (1)
2
1H + 21H → 31H + 11H (2)
2
1H + 31H → 42He + 10n (3)
1 235 140 94
0n + 92U → 54Xe + 38Sr + 2( 10n) (4)

1) Donner le type de chacune de ces quatre réactions.


2) Considérons la réaction (1).
2-1) Calculer A et Z en indiquant les lois utilisées.
2-2) Nommer la particule X et donner son symbole.
3) Les noyaux de deutérium subissent les réactions nucléaires (2) et (3).
3-1) Écrire la réaction globale (5) qui prend lieu.
3-2) Déterminer, en MeV puis en joules, l'énergie libérée par cette réaction.
4) Considérons la réaction (4).
4-1) Calculer, en u et en kg, la perte de masse.
4-2) Déterminer l'énergie libérée.
4-3) L'énergie libérée par la bombe atomique à Hiroshima a été estimée à l'équivalent de 15 kilotonnes
de dynamite ou 63×1012 J.
4-3-1) Calculer le nombre de noyaux d'uranium-235 qui ont subi la fission dans cette bombe
en supposant que toutes les réactions de fission sont, du point de vue énergétique, semblables
à la réaction (4).
4-3-2) Déterminer la masse d’uranium-235 nécessaire pour libérer cette énergie.
5) La combustion d’une masse m1 = 1 kg de fioul libère l’énergie E = 4,3×107 J.
5-1) Déterminer la masse m2 des noyaux de deutérium et celle m3 des noyaux d'uranium-235 qui peuvent
libérer cette énergie.
5-2) Classer, par ordre croissant, les masses m1, m2 et m3 et indiquer la substance qu’on préfère utiliser afin
d’obtenir de l'énergie indépendamment d'autres facteurs.

4/4
‫ الفيزياء‬:‫المادة‬
‫ الثانوية العامّة‬:‫الشهادة‬ ‫الهيئة األكاديميّة المشتركة‬
‫ العلوم العامة‬:‫الفرع‬ ‫ العلوم‬:‫قسم‬
2 ‫نموذج رقم‬
‫ ثالث ساعات‬:‫المدّة‬
)‫ وحتى صدور المناهج المطوّ رة‬2017-2016 ‫أسس التصحيح (تراعي تعليق الدروس والتوصيف المعدّل للعام الدراسي‬

Exercice 1 (6½ points) Oscillations d'un pendule élastique horizontal


Question Réponse Note
1-1 Em = Ec + Ep ¼
Em = ½ mv2 + ½ kx2 ¼
1-2 Il n’y a pas de frottement donc l’énergie mécanique est conservée
alors Em = cte  t
dEm ½
= mvv' + kxx' = 0  t
dt
 k 
mx '  x ' ' x   0  t
 m 
Or mx’ n’est pas toujours nulle
k
x ' ' x  0 ½
m
1-3 L’équation différentielle est de la forme : x'' + ω02x = 0
L’oscillateur effectue alors des oscillations harmoniques simples de pulsation
k
propre 0 =√m ¼
2π m
La période propre est : T0 = ω = 2π√ k ¼
0
2-1 A partir du graphique, 3T = 0,98 alors T = 0,327 s ½
2-2 A t = 0, x0 = 2,6 cm, Em0 = ½ kx02 = 0,02704 J
(Ec0 = 0 car l’élongation est maximale)
A t = 3T, x = 1,8 cm, Em = ½ kx2 = 0,01296 J
(Ec = 0 car l’élongation est maximale) ½
Energie perdue 0,02704−0,01296 ½
Pmoy diss = = = 0,0144 W
durée 0,98
3-1 En se référant au graphique, l’amortissement est relativement très faible. Dans ce
cas, la fréquence de résonance est très proche de la fréquence propre du pendule. ½
f0 correspond à la plus grande amplitude, f0 = 3,2 Hz donc T0 = 1/f0 = 0,3125 s ½
3-2 m T0 2 × k (0,3125)2 × 80 ½
T0 = 2π√ k ; m = = = 0,198 kg ½
4π2 4π2
3-3

1/4
3-4 Lorsque la force de frottement augmente,
la valeur maximale de l'amplitude de
la courbe de résonance devient plus
petite, la bande passante plus large et la
fréquence de résonance plus petite.
Lorsque la force de frottement devient
très grande, le phénomène de résonance
disparaît et (S) devient sensible à une
large gamme de fréquences (la bande
passante devient très large). ½
Remarque : l’allure de la courbe doit
assurer le respect des conditions initiales
et la situation du problème.

Exercice 2 (7½ points) Pendules synchrones


Question Réponse Note
1-1 La particule (S) est en équilibre : P = T ; ½
mg
mg = k∆ℓ  ∆ℓ = k ½
1-2-1 Em = Ec + Epp + Epe = ½ k(∆ℓ + x)2 – mgx + ½ mv2 ½
1-2-2 Il n’y a pas de frottement donc l’énergie mécanique est conservée
alors Em = ½ k∆ℓ2 + ½ kx2 + kx∆ℓ – mgx + ½ mv2 = cte t (avec k∆ℓ = mg)
dEm ½
= 0 + kxx ′ + mvv ′ = 0 t
dt
Or mx' n’est pas toujours nulle
k
x" + mx= 0 ½
1-2-3 L’équation différentielle est de la forme : x'' + ω02x = 0
L’oscillateur effectue alors des oscillations harmoniques simples de pulsation
k ¼
propre 0 =√m
2π m Δℓ
La période propre est : T0 = ω = 2π√ k = 2π√ g ¼
0
1-2-4 k ¼
ω0 = √m
x = xmsin(0t + φ) ; v = xmω0cos(0t + φ) ; ¼
π ¼
à t0 = 0 : x0 = xmsin(φ) > 0 et v0 = xmω0cos(φ) = 0 donc φ = 2 rd
x0 = xm = 4 cm.
k π ¼
x = 4sin(√mt + 2 ) ; (t en s et x en cm)
2-1 Em = Ep + Ec ¼
Em = mgh + ½ Iθ'2 = mgL(1-cosθ) + ½ Iθ'2 ¼
2
Sachant que θm = 0,10 rd < 6, cos θ = 1 – L
2 Lcosθ ½
Em = ½ mgLθ2 + ½ mL2θ'2

2/4
2-2 Em = ½ mgLθ2 + ½ mL2θ'2 = cte t ¼
dEm
= 0 alors : mgLθθ' + mL2θ'θ'' = 0
dt
mLθ' n’est pas toujours nulle.
gθ + Lθ'' = 0  θ" + (g/L) θ = 0 ½
2-3 L’équation différentielle est de la forme : θ'' + ω'0 θ = 0
2

L’oscillateur effectue alors des oscillations harmoniques simples de pulsation


g g
propre ω'0 avec ω'02 = donc ω'0 = √L
L
2π L
La période propre est : T'0 = ω′ = 2π√g ½
0

2-4 θ = θmsin('0t + φ') ; θ' = θ'mω'0cos('0t + φ') ; ¼


π ¼
à t0 = 0, θ0 = θmsin(φ') > 0 et θ'0 = θmω'0cos(φ') = 0 donc φ' = 2 rd
θ0 = θm = 0,1 rd
g π
θ = 0,1sin(√Lt + 2 ) ; (t en s et θ en rd) ¼
3 Δℓ L
T0 = 2π√ g et T'0 =2π√g
Les pendules sont synchrones : T0 = T'0  ∆ℓ = L ½

Exercice 3 (6½ points) Étincelles dans le système d'allumage d’un véhicule


Question Réponse Note
1-1 Car la branche de la bougie est un circuit ouvert à cause du gap d’air. ½
1-2 uAC = uAB + uBC ; E = Ri + (ri + Ldi/dt) ½
E (R + r) di ½
= i+
L L dt
1-3 En régime permanent : i = I0 = cte.
E (R+ r) ½
= I0 car di/dt = 0
L L ½
E = (R + r)I0  I0 = E/(R + r) = 12/6 = 2 A
L
1-4 t = 5 = 5(R+r) = 5 × 0,02/6 = 0,0167 s ½
1-5 Emagnétique(max) = ½ LI02 = ½ × 0,02 × 22 = 0,04 J ½
1-6 ugap d'air = uBC = rI0 = 2 × 2 = 4 V ½
1-7 Non car ugap d'air = 4 V est faible. ½
2-1 La f.é.m. induite moyenne est : emoy = -L(Δi/Δt) = -0,02 × (0-2)/10-6 = 40000 V ½
|ugap d'air| = uCB  40000 V (car ri est supposée très faible). ½
2-2 Oui, des étincelles sont produites dans le gap d’air car la tension est très élevée. ½
2-3 Les étincelles produites dans le gap d'air vont faire fondre progressivement les
électrodes de la bougie d'allumage ; ceci provoque une augmentation de la
distance entre elles et, par conséquent, les étincelles deviennent plus faibles et la
bougie doit être remplacée par une autre nouvelle. ½

3/4
Exercice 4 (7 points) Réactions nucléaires
Question Réponse Note
1 (1) : radioactivité Naturelle ¼
(2) et (3) : fusion ½
(4) : fission ¼
2-1 En appliquant les lois de Soddy : ¼
Conservation du nombre de masse : 235 = 231 + A  A = 4 ¼
Conservation du nombre de charge : 92 = 90 + Z  Z = 2 ¼
2-2 Cette particule est un noyau d'hélium-4 de symbole 42 He . ¼
3-1 Additionnons 2 et 3 ; on obtient :
3 21H + 31H → 42He + 31H + 11H + 10n
3 21H → 42He + 11H + 10n (5) ½
3-2 ELib =  m.c2 = [(3×2,0141) – (4,0015 + 1,0073 + 1,0087)] × 931,5
ELib = 0,0248 × 931,5 = 23,1012 MeV = 3,696×10-12 J ½
4-1 Δm = [(1,0087 + 235,0439) – (139,9216 + 93,9153 + 2 × 1,0087)]
Δm = 0,1983 u = 0,1983 × 1,66×10-27 kg = 3,292×10-28 kg ½
4-2 ELib =  m.c2 = 0,1983 × 931,5 = 184,72 MeV = 184,72 × 1,6×10-13 J
ELib = 29,56×10-12 J ½
4-3-1 1 noyau libère 29,56×10-12 J
N noyaux libèrent 63×1012 J
Alors N = 2,131×1024 noyaux ½
4-3-2 La perte de masse 3,292×10-28 kg correspond à 1 noyau
La perte de masse Δmtotal correspond à 2,131×1024 noyaux
Alors Δmtotal = 0,0007 kg ½

La perte de masse 3,292×10-28 kg correspond à 1 noyau de masse 235,0439 u


La perte de masse 0,0007 kg correspond à N noyaux de masse mt
Alors la masse d’uranium utilisé est : mt = 4,99 × 1026 u = 0,83 kg ½
5-1 Pour les noyaux de deutérium :
3m( 21 H ) = 6,0423 u = 10,03 × 10-27 kg donne 36,96×10-13J
m2 donne 4,3×107J
alors on a besoin de m2 = 4,3×107 × 10,03×10-27/36,96×10-13 = 1,1669×10-7 kg ½

Pour les noyaux d’uranium :


m( 235
92 U ) = 235,0439 u = 3,9×10
-25
kg donne 29,56 ×10-12 J
m3 donne 4,3×107 J
½
alors on a besoin de : m3 = 4,3×10 × 3,9×10-25/29,56×10-12 = 5,67×10-7 kg
7

5-2 Pour libérer la même quantité d’énergie 4,3×107 J, on a besoin de :


Fioul : m1 = 1 kg
Noyaux de deutérium : m2 = 1,1669×10-7 kg
Noyaux d’uranium : m3 = 5,67×10-7 kg
m2 < m3 < m1
On préfère utiliser les noyaux de deutérium. ½

4/4

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