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Présenté par:
Mme.HANDOUR Aziza
Encadré par:
À ma belle maman ;
Je te remercie d’être toujours présente pour moi et m’encourager
tous le temps. Je te remercie de m’avoir montré que l’amour existe bel
et bien, tu mérites la meilleure des récompenses, Je t’aime maman.
À mon père ;
Celui qui m’a appris la patience, à être endurante et à garder la
persévérance dans la voie de la recherche et de l’œuvre créatrice, en
cultivant au fond de moi la confiance pour achever mes rêves, Je t’aime
papa.
À mon mari ;
Généralités ----------------------------------------------------------------------------------------------------------- 10
7. Conclusion ........................................................................................................................ 15
4. Conclusion ........................................................................................................................ 25
BH : Batterie Hydrocyclone
TS : Taux de Solide
HD : Hydrosizer
BP : Bac a pulpe.
PP : Pompe.
Introduction générale
En vue de répondre au besoin du marché international en phosphate de plus en plus croissant,
l’OCP s’est engagé d’augmenter sa production d’acide phosphorique.
Face à ce défit l’OCP doit adopter un plan d’émergence qui vise entre autres à :
Dans cet égard mon sujet à vue la lumière dans le contexte d’étudier le procédés de
production d’acide phosphorique au niveau de l’atelier PP1
Partie I :
Revue bibliographique
Généralités
Le Maroc est pourvu de la plus grande réserve des Phosphates au monde. Cette richesse est
estimée aux environs de 51.8 milliards de tonnes, soit 75% des réserves mondiales. Le seul
organisme exploitant ce minerai est le groupe O.C.P. (Office Chérifien des Phosphates).
C’est une entreprise semi-publique bénéficiant d’une autonomie financière qui
commercialise des phosphates et des produits dérivés. Ce monopole a été créé par le dahir
chérifien du 07 Août 1920 réservant tous les droits de recherche et d’exploitation à l’Etat
Marocain.
Le groupe OCP qui a été fondé en 1920 est aujourd’hui le leader mondial sur le marché du
Phosphate et de ses produits dérivés, et opère sur les 5 continents. Il est également le premier
exportateur de phosphate et d’acide phosphorique au monde et l’un des principaux
exportateurs d’engrais phosphatés. Il utilise des avancées techniques importantes en matière
de méthodes d’extraction et de traitement du minerai de phosphate : les opérations de lavage,
de flottation, de séchage, de calcination, d’enrichissement à sec....De même, une maîtrise
approfondie des procédés de transformation chimique du phosphate.
1. Fiche technique
L'Office Chérifien des Phosphates, fondé le 7 août 1920 au Maroc et transformé en 2008 en
une société anonyme (OCP SA), est l'un des principaux exportateurs de phosphate brut,
d’acide phosphorique et d’engrais phosphatés dans le monde. Il est installé dans la région
DOUKKALA-ABDA depuis le siècle dernier, c’est une longue histoire entre le groupe des
phosphates et la ville de Safi devenue industrielle par l’installation en 1965 des premières
unités de Maroc phosphore (filiale du groupe OCP) mettant en œuvre les meilleures
technologies de valorisation des phosphates et permettant au Maroc d’accéder au rang du
premier exportateur des phosphates et produits dérivés.
Le pôle chimie de Safi nommé Maroc Phosphore Safi comprend quatre divisions :
Maroc Chimie.
Maroc Phosphore I.
Maroc Phosphore II.
Infrastructures.
Le déroulement de mon stage de fin d’études est au sein de la division Maroc chimie
et précisément dans la phosphorique 1.
2. Aperçu historique
Pour avoir un aperçu de l’historique d’OCP, nous proposons quelques dates qui ont marqué
l’évolution du groupe :
Vu que les activités du groupe OCP couvrent l’exploitation des roches de phosphate à partir
de leurs extractions, transformation et commercialisation. Le groupe OCP est organisé en
pôles : mines, chimie, commercial et autres sections qui garantissent le fonctionnement global
du groupe.
5. Catégories de produit
Le phosphate brut est exploité pour son contenu en phosphore. La teneur du phosphate en
phosphore, mesurée en pourcentage de P2O5 (pentoxyde de phosphore), détermine sa qualité.
Elle varie de 5 % à 45 %. A moins de 30 %, le plus gros de la production, le minerai subit un
premier traitement sous forme de lavage, séchage ou enrichissement à sec.
Il est obtenu par réaction de l’acide sulfurique avec le calcium de phosphate. La teneur
moyenne du produit intermédiaire ainsi obtenu après concentration est de 52 % de P 2O5.
L’acide phosphorique purifié est, lui, destiné à des applications alimentaires et industrielles.
L’OCP produit quatre types d’engrais à partir de l’acide phosphorique : le DAP (qui est
l’engrais le plus courant), le TSP (engrais exclusivement phosphaté), le MAP (engrais binaire
à deux éléments fertilisants : phosphore et azote) et le NPK (engrais ternaire à base d’azote,
de phosphore et de potassium).
Comme le groupe OCP cherche toujours à créer la richesse et à soutenir l’économie nationale,
il a créé un réseau de filiales et de partenariats avec d’autres entreprises, ce qui lui permet de
consolider ses activités et de défendre sa position économique à l’échelle mondiale.
OCP Innovation Fund For Agriculture : OCP Innovation Fund For Agriculture
(OIFFA) est un fonds d’investissement. Sa mission est de promouvoir l’innovation
et l’entrepreneuriat dans les secteurs de l’agriculture et de l’agro-industrie.
PhosBoucraâ : Créée en 1962, Phosboucraâ est entièrement détenue par OCP
depuis 2002. Son activité consiste en l’extraction, le traitement, le transport et la
commercialisation du minerai de phosphate.
SADV : La Société d’Aménagement et de Développement Vert (SADV) est
détenue à 100% par OCP. La SADV a pour objet l’aménagement et le
développement de projets urbanistiques.
Société de transports régionaux (Sotreg) : Créée en 1973, la société de
transports régionaux est détenue à 100% par OCP. SOTREG est exclusivement
destinée à assurer le transport du personnel du Groupe OCP.
Au fil du temps, l’OCP a pu aussi nouer des partenariats stratégiques avec des acteurs de
premier plan dans l’industrie du phosphate et de ses produits dérivés ainsi que dans le
domaine de l’ingénierie.
7. Conclusion
Partie II :
La maitrise des paramètres du procèdes
I. Présentation d’OCP SAFI
1. Présentation générale
Mise en service en 1965, l’unité Maroc Chimie s’étend sur 50 hectares. L’atelier sulfurique
est composé de 2 lignes de production d’acide utilisant le procédé MONSANTO, et d’une
troisième ligne munie d’un système de récupération de chaleur (HRS). L’atelier phosphorique
comprend 4 lignes de production, dont 3 utilisent le procédé Rhône-Poulenc et une le procédé
PRAVON. L’atelier engrais compte, pour sa part, 3 lign+es permettant la production de TSP,
de NPK et d’ASP. L’unité est également équipée d’une station de traitement d’eau douce,
d’une station de pompage et de 3 groupes turboalternateurs.
Mise en service en 1975, l’unité Maroc Phosphore I s’étend sur 36 hectares. L’atelier
sulfurique comprend une unité de fusion de filtration de soufre et 4 lignes de production
d’acide utilisant le procédé POLIMEX. L’atelier phosphorique compte 4 lignes de production
d’acide, 3 utilisant le procédé Nissan et une le procédé Rhône-Poulenc. L’atelier engrais
comprend 2 lignes de production de MAP utilisant le procédé FISONS MANIFOS L’unité
est également équipée d’une station de traitement d’eau douce, d’une station de pompage
d’eau de mer et de 3 groupes turboalternateurs.
3.1. Le broyage
Le broyage en circuit continu ouvert : dans ce type de broyage, le produit passe une seule fois
dans le broyeur, ce qui exige une quantité excessive d’énergie et le broyage en circuit continu
fermé : c’est le système de broyage avec séparateur, le produit surdimensionné est retourné
pour être broyé à nouveau.
Le système de broyage au sein de l’atelier PP1 est de type continu fermé. En effet, pour
comprendre ce système on va présenter une description technique de broyeur et séparateur
utilisés à la NUB.
Le broyeur utilisé à l’atelier phosphorique 1 est celui à boulets est caractérisé par :
La matière à broyer arrive à travers le dispositif d’alimentation (1) pour être broyé dans le
tube broyeur rempli le 1/3 par des corps de broyage. Le cylindre du broyeur (2), avec les deux
parois frontales (3) et (4) vissées dessus, est logé dans deux paliers à collet (5). Le
mouvement rotatif du broyeur entraine les boulets qui roulent sur eux-mêmes collés à la paroi
du cylindre dans un mouvement ascendant à l’aide des plaques. Lorsque les boulets atteignent
une hauteur maximale, la force des poids est supérieur à la force centrifuge, les boulets
quittent la paroi et tombent en chute libre, pour écraser les particules de phosphate. La matière
broyée sort par la paroi de décharge (6) et passe dans la boite de sortie (7) qui l’évacue sur le
système de manutention aval. La lubrification de la couronne dentée (8) est assurée par le
dispositif de pulvérisation de graisse.
Figure 3 : Broyeur à boulets.
Le phosphate brut venant d’atelier PP2 est stocké dans 3 silos S1, S2 et S3. Chaque silo est
équipé d’un sas alvéolaire qui l’évacue à travers un aiguilleur vers la bande 03 qui l’achemine
vers le transporteur vibrant 05, ce dernier alimente l’élévateur à godets 06 qui l’acheminent
soit vers le séparateur 09 soit directement vers la trémie de broyeur.
Une première sélection du phosphate, comme le montre la figure 3 s’effectue dans le
séparateur dynamique (09) qui oriente la tranche inferieure à 200μm par la pompe de transfert
pneumatique (12) vers les silos 750T puis vers l’atelier Phosphorique AP. Le refus du
séparateur est acheminé dans une trémie, d’une capacité de 100 T, qui alimente le broyeur à
boulets.
Actuellement, cette installation est hors service car l’unité d’attaque filtration AP n’a pas
besoin du phosphate séparé puisqu’elle peut utiliser le phosphate brut.
Par contre, le TSP doit être alimenté nécessairement par le phosphate séparé d’ou le rôle de
l’installation du séparateur 25.
Le phosphate sortant du broyeur est transporté par l’élévateur (23) vers le séparateur
dynamique (25). Après cyclonage et dépoussiérage, il est transporté par la pompe de transfert
pneumatique (31) vers les silos 300T/1500T de l’atelier engrais (TSP), tandis que le refus
revient vers le broyeur pour le recyclage.
Figure 4 : L’unité de broyage PP1
L’unité de réaction d’acide phosphorique est conçue pour l’attaque de phosphate par l’acide
sulfurique par voie humide, chaque ligne est comporte les équipements suivants :
Le phosphate broyé est attaqué par l’acide sulfurique concentré à 98% et l’acide
phosphorique moyen (18 à 21% de P2O5) en milieu aqueux. L’attaque permet de produire
une bouillie contenant l’acide phosphorique, mais aussi des cristaux de gypse. Ces cristaux
sont séparés de la bouillie lors de la filtration.
Figure 5 : Schéma de l'unité RFD
Digestion
Dans cette phase la réaction se déroule dans un prémélangeur et deux digesteurs. Dans le
prémélangeur, le phosphate tricalcique CaH₄(PO₄)₂ est solubilisé en phosphate mono
calcique Ca₃(PO₄)₂ par l'acide phosphorique faible recyclé (Acide de retour), comme suit :
Ensuite, le mélange passe au premier digesteur le phosphate mono- calcique est attaqué par le
⅟₃ de la totalité de l'acide sulfurique à concentration de 98%.
Dans le deuxième digesteur, l'attaque est complétée par l'acide sulfurique. Cette attaque
graduelle par l'acide sulfurique dans la phase de digestion à pour but d'éviter l'augmentation
accidentelle de la température des digesteurs. La valeur opérationnelle est limitée à 95°C,
autrement, la digestion pourra être bloquée. Le mélange alors obtenu est une bouillie d'acide
phosphorique semi-hydratée. Il y a lieu de noter que l'excès des sulfates dans cette bouillie est
nécessaire pour avoir une bonne recristallisation du gypse (CaSO₄ ; ½ H₂O). La réaction
produit dans les deux digesteurs
Les chlorures de sodium et de potassium réagissent avec l'acide sulfurique suivant les
réactions :
Toutes ces réactions consommant H₂SO₄ dégradent la qualité de l'acide produit et nuisent au
bon fonctionnent du procédé.
Laveur de korting : tous les gaz produits lors de la réaction sont éliminés du digesteur grâce
à une dépression crées par l’eau de mer, cette dernière sert aussi au lavage de ces gaz et cela
se fait dans le laveur de korting les gaz aspirés subissant un douche par l’eau du mer, ceux qui
sont solubles dans l’eau sont rejetés dans la mer alors qui ne le sont pas sont saturés par l’eau
et rejetés dans l’atmosphère.
Cristallisation
La cristallisation se fait dans quatre cristalliseurs de capacités identiques est égale à 750m3
,les cuves sont agités et disposés en série relier par des rigole et destiner a refroidir la bouillie
pour favoriser la formation des gyps déshydrate
Il s'agit de recristalliser le semi hydrate en di hydrate en réduisant la température
progressivement du premier au quatrième cristalliseur ( 65°C à 54°C environ) en gardant
toujours le milieu sursaturé afin d'éviter la formation des nucléons et avoir un bon
mûrissement des cristaux. Le refroidissement de la bouillie est assuré par injection de l'air
frais à la surface.
Germination
Pour favoriser la germination, un débit de bouillie est recyclé du troisième cristalliseur vers le
premier cristalliseur, cette bouillie est appelée bouillie de germination ou d'inoculation. Cette
dernière accélère la cristallisation et favorise le mûrissement des cristaux puis facilite
l'hydratation du semi hydrate de sulfate de calcium en dihydrate. Le degré de saturation du
sulfate de calcium est aussi un facteur de débit de germination. Néanmoins ce débit diminue
le temps de séjours dans les cristalliseurs, c'est pourquoi il faut trouver un équilibre entre le
temps de séjours et le débit de germination recyclé.
Désulfatation
Un quatrième cristalliseur : dans lequel le semi-hydrate sera vite hydraté vue la température y
régnant, ce dernier étant refroidi par le même principe que les autres.
La Filtration
La bouillie ainsi sulfatée est refoulée vers un bac ou elle sera mélangée avec un floculant (en
vue d'améliorer la filtration) avant d'être pompée vers le filtre rotatif fonctionnant sous vide.
L'évaporation
L'acide phosphorique, à une concentration d'environ 29 à 30% en P₂O₅ est refoulé, à partir des
décanteurs vers l'unité de concentration et mélangé à la sortie de l'échangeur avec l'acide
concentré (à environ 53.5% en) en P₂O₅ circulation. Dans l'échangeur, l'acide phosphorique
est chauffé à environ 76°C et 4.5 bars.
L'acide ainsi chauffé entre dans le séparateur de buées, dans lequel règne une pression de
60Torrs. Là, l'acide phosphorique, à une concentration de 54% environ bout à une
température de 77°C.
Stockage et prétraitement
4. Conclusion
La maitrise des paramètres de marche de chaque unité est un axe important lié à la réussite de
la fonction process qui est considérée comme levier d’excellence opérationnelle au niveau des
ateliers de production d’acide phosphorique.
II. Les paramètres de marche
Le but du broyage est d’augmenter la surface d’attaque entre le minerai et l’acide sulfurique.
Le fait de créer une surface de contact plus grande qui a beaucoup d’influence sur le
déroulement et le rendement chimique des unités d’attaques-filtration, c’est pour cela qu’il
faut maitriser les paramètres de marche afin d’assurer le bon fonctionnement.
La granulométrie du Ph broyé
Unité de pulvérisation
L’unité de pulvérisation est installée sur la protection de la couronne dentée du tube broyeur
et elle est reliée à l’unité d’alimentation par la conduite de graisse et la conduite d’air. Les
buses à jet large pulvérisent le lubrifiant sur les profils d’engrènement du pignon.
L’interrupteur de fin de cours veille a ce que le tube broyeur ne puisse être exploite que si le
volet est fermé et si les buses de pulvérisation sont en position de service.
Figure 9 : Unité de pulvérisation
2.2. la lubrification
L’alimentation en huile lubrifiante du palier a collet (1) est assurée par un groupe isole.
Le groupe d’alimentation en huile (2) comporte essentiellement les groupes de pompes pour
la lubrification par circulation d’huile (3) et la lubrification forcée (4) ainsi que le réservoir
d’huile. La lubrification par circulation d’huile (3) assure la lubrification de service du palier a
collet.
La lubrification forcée (4) assiste la lubrification par circulation d’huile au démarrage et lors
de la marche au ralentissement du tube broyeur ainsi que durant le programme de marche par
inertie et la marche avec la commande auxiliaire.
La conduite de retour d’huile (5) reconduit l’huile du palier a collet au réservoir d’huile.
Le boitier d’affichage (6) porte des témoins lumineux pour le filtre d’huile, les indicateurs de
température et les manomètres pour l’indication de pression.
Le refroidissement de l’huile (7) et des coussinets (8) est assure par des circuits d’eau de
refroidissement .
Le remplissage du réservoir d’huile (1) s’effectue à travers le tub de remplissage avec filtre de
ventilation (28) du réservoir. Le niveau d’huile peut être contrôlé au moyen du verre- regard
de l’indicateur de niveau (29). L’huile est mise à la température de service requise au moyen
de thermoplongeur (3) et est régulée par le thermostat (4).
Le thermomètre à résistance électrique (2) permet d’afficher la température de service de
l’huile sur l’écran du poste de commande. Pour la vidange, purger l’huile usée via le robinet
d’arrêt (30). La quantité et la qualité d’huile à charger sont indiquées dans les instructions de
lubrification.
La suspension
Refroidissement d’huile
Les éléments suivants sont installés pour contrôler et assurer le fonctionnement parfait des
paliers à collet
* Le réservoir d’huile
Le boitier d’affichage local, installé à proximité du palier à collet, porte les éléments de
contrôle suivants :
Indicateur de température palier à collet
Manomètre lubrification par circulation d’huile
Manomètre lubrification forcée
Témoin lumineux colmatage du filtre d’huile
Témoin lumineux contrôleur de débit pour circulation d’huile
Témoin lumineux filtre haute pression
* Le palier à collet
* Le poste de commande
Il est à noter que le démarrage du broyeur n’est permis qu’après 300 secondes de l’instant de
démarrage de cette séquence.
Réchauffage d’huile
Mise en marche de la lubrification par circulation d’huile
Mise en marche de la lubrification forcée
La lubrification forcée doit être enclenchée au moins deux minutes avant la mise en marche
du tube broyeur et doit rester en marche pendant encore au moins deux minutes après l’arrêt
du broyeur
Les seuils de sécurité
Ce tableau détermine les seuils de sécurité principaux à respecter pour avoir un bon
fonctionnement du broyeur et éviter en même temps les pannes dangereux qui peuvent
démunier le rendement de l’installation.
a. Densité bouillie
Densité bouillie
1530
1520
1510
1500
1490
1480 Densité bouillie
1470
1460
1450
1440
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 29
b. Densité filtration
Densité filtration
1290
1280
1270
1260
1250
1240
Densité filtration
1230
1220
1210
1200
1190
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 29
31
30
29
27
26
25
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 29
d. Densité bouillie
Densité bouillie
1530
1520
1510
1500
1490
1480
Densité bouillie
1470
1460
1450
1440
1430
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 29
Densité filtration
1300
1280
1260
1240
Densité filtration
1220
1200
1180
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 29
f. Sulfates libres
En guise de conclusion, mon stage au sein de Maroc Chimie était une expérience fortement
bénéfique pour moi, et cela se résume en trois volets.
Le premier volet, cette expérience m’a permet de découvrir les procédés de production
d’acide phosphorique comme dernière étape après, le broyage des grains, la hydro
classification des phosphates.
Le deuxième volet, j’ai profitée de ce stage pour réaliser mon sujet qui avait comme titre « La
maitrise des paramètres opérationnels au niveau des ateliers de production d’acide
phosphorique », grâce à la réalisation du cahier des charges lié ce projet j’ai pu pratiquer les
acquis théoriques de mon formation en chimie industrielle à la FSDH de FES.