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Code PFE :
Intitulé du sujet :
me voir réussir, que dieu te garde dans son vaste paradis, à toi
Mon père.
Aux personnes dont j’ai bien aimé leur présence dans ce jour, à
Mohamed…
Dédicaces
Fadi…
REMERCIEMENTS
pour son suivi et pour son énorme soutien, qu’il n’a cessé de nous
Nous adressons aussi nos vifs remerciements aux membres des jurys
Introduction Générale................................................................................................................................... 1
Chapitre 1 : Présentation de LILAS ............................................................................................................ 2
Introduction : ............................................................................................................................................. 2
1. Présentation générale de la société mère : ...................................................................................... 2
1.1. Historique : ............................................................................................................................... 2
2.3. Recherche de la cause racine par l’utilisation du vote pondéré simple : .................................. 47
3. Méthode Pareto :............................................................................................................................. 48
3.1. Analyse Pareto: ......................................................................................................................... 49
Figure 20: démarche de l'auto maintenance appliqué par le conducteur machine ............................... 37
Tableau 16: durée moyenne des pannes pour les sous-ensembles ....................................51
Tableau 19: durée moyenne des pannes chez l'emballeuse casmatic ................................57
Tableau 20: les pannes les plus grave pour chaque sous-ensemble ..................................60
Durant les deux dernières décennies l’environnement industriel a fortement évolué. Désormais
on n’est plus dans l’époque où la demande dépassait l’offre. Actuellement, l’offre est nettement
supérieure à la demande, les clients, sont de plus en plus exigeants, et réclament le choix, la
qualité et des délais raisonnables pour les produits qu’ils achètent.
Face à cette évolution des techniques de production, qui se dirigent de plus en plus vers le juste
à temps, la maintenance n’a pas pu rester en arrière, et le conflit éternel entre agents de
maintenance et agents de production doit être dépassé pour le bien de l’entreprise. C’est ici
qu’entre en jeu la maintenance productive.
La TPM qui est une abréviation de Total Productive Maintenance c’est une démarche globale
d'amélioration des ressources de production qui vise la performance économique de l'entreprise,
basée sur des travaux de groupe. Elle est exécutée grâce à la participation à la fois par tous les
départements et par tous les niveaux du haut en bas de la hiérarchie.
Notre problématique consiste alors à chercher quelle démarche adoptons-nous pour garantir
l’amélioration continue des équipements de l’atelier et dans quelles mesures la démarche TPM
est capable de réduire les principales sources de gaspillage ?
Notre projet de fin d’étude s’inscrit dans cette perceptive d’amélioration et il s’articule autour
de trois chapitres:
problème.
1
Chapitre 1 : Présentation de LILAS
Introduction :
Dans ce chapitre, nous allons d’abord présenter l’entreprise LILAS. Ensuite, nous décrirons son
processus de fabrication, l’analyse SWOT de l’entreprise nous permettra de mettre le doigt sur
la problématique de notre recherche et enfin on va cadrer notre projet.
Le groupe dispose d’une solidité financière et commerciale qui lui ont valu d’occuper le rang
de leader tout au niveau national qu’au niveau maghrébine.
Le groupe SAH est présent en force au Maghreb à travers l’implantation d’unités industrielles
et commerciales lui permettant de renforcer sa position de leader.
La société AZUR
SAH Algérie
Implantée à Zriba, la société AZUR a été
créé en 2009 et entrée en production en SAH Algérie est une société de droit
2013. Elle assure l’approvisionnement en algérien créé en décembre 2007 et a
ouate de cellulose pour la groupe SAH. démarré en 2009 par la production de la
gamme d’hygiène bébé
Groupe SAH
SAH Maroc
SAH Libye SAH Maroc est une société à
responsabilité limitée à associé unique de
Société a anticipation de droit libyen créé droit marocain créé en février
en mars 2009 L’activité de la société 2010.L’activité de la société consiste dans
consiste à la production des serviettes de l’implantation et la commercialisation de
tables, des distributeurs de papiers. la gamme Lilas sur le territoire marocain.
Figure 1: les filiales de SAH
2
2. Présentation de la société LILAS :
« Lilas » est une marque de papier d’hygiène situé dans la localité Zriba du gouvernement
ZAGHOUAN.
Lilas propose une gamme d’hygiène papier, hygiène adulte, hygiène féminine et couche bébé.
Le siège social de SAH est situé à 5 Rue 8610 Zone Ind. Charguia I – 2035 Tunis-Carthage
Tunisie
Lilas fait partie du groupe SAH Société d'Articles Hygiéniques, c’est une société qui assure le
conditionnement et la commercialisation de plusieurs gammes qui sont :
groupe
SAH
L’unité de production Lilas Zriba se spécialise en production de la gamme Lilas papier cet
gamme comportent les produits suivants :
3
4
Figure 3: carte mentale des produits du Lilas Zriba
2.1. Organigramme :
Le schéma ci-dessous présente les différents services de l’entreprise. On constate que l’organigramme de société est assez complexe.
Direction
générale
Service Responsable
Service Responsable Responsable Responsable
contrôle et management
GPAO production maintenance qualité
gestion et sécurité
Chef Technicien
Techniciens Hygéniste
d'équipe qualité
Conducteur
Nettoyeur
machine
La ligne de production UMEX (production de essuie-tout et jumbo) peut être décrite par un
ensemble de processus en série, il y’en a dix internes qui sont :
Dévidoir
Impression
Gaufreur
Bobineuse
Encolleur
Accumulateur
Distributeur
Tronçonneuse
Casmatic
TMC
Et un autre externe :
Tubeuse
La fabrication d’un produit fini de Lilas passe essentiellement par onze étapes qui sont comme
suit : la réception de MP, le passage ouate, impression, gaufrage, encollage et assemblage des
plis, bobinage des tubes par ouate, fermeture des logs, coupe des logs, emballage paquets,
emballage sac et enfin le transfert de produit fini vers le dépôt.
Chaque processus tire le produit en cours en amont plus une matière première pour lui donner
une valeur ajoutée de l’évacuer au processus en aval. La circulation de flux des produits entre
les processus ainsi que le flux de matières premières et de magasin de produit fini sont tous
illustrés dans la figure suivante :
6
la reception de le passage
impression
MP ouate
tranfert de
produit fini emballage sac
vers le dépôt
La réception de matière première consiste à recevoir les matières nécessaires à la production tel
que la bobine d’ouate, le scotch double face, colle, encre, film d’emballage et le carton.
Passage ouate :
Durant cette étapes le conducteur de machine alimente le dévidoir par la bobine d’ouate
à l’aide d’une machine de levage et puis le conducteur colle la ouate de la bobine avec
le ouate de la bobine précédente à l’aide du scotch double face.
Impression :
7
A ce niveau le ouate passe à l’imprimante qui imprime des motifs et des logos sur le ouate mais
cette étape n’est pas standard pour tous les articles.
Gaufrage :
La ouate imprimée et maintenant les plis de ouate doit être assemblé et ça se passe au niveau
de la gaufreuse qui permet de gaufrer des motifs et encoller les plis.
Bobinage de ouate :
Le ouate passe à la bobineuse qui reçoit des mandrins de la tubeuse et après el enroule les tubes
par le ouate pour former des logs.
Les logs formés doivent être fermé par l’encolleuse et avec l’utilisation d’un colle spéciale et
léger.
La production n’est pas finie au niveau de la fermeture des logs car les logs sont des matière
semi-finis on doit les couper en forme des rouleaux à l’aide de la machine tronçonneuse. Chaque
logs forme 6 rouleaux du JUMBO ou 12 rouleaux essuie-tout ou 24 rouleaux PH.
Emballage paquet :
Les rouleaux sont prêts à être emballé sous forme de paquet de 2 ou 4 ou 12 ou 18 ou 24 avec
l’emballeuse casmatic et avec le film d’emballage.
Emballage sac :
Les rouleaux formés sont groupés dans un sac avec une emballeuse
TMC.
Le produit est maintenant prêt à être commercialiser donc il doit être transfère vers le dépôt de
produit finis à l’aide d’un chariot élévateur.
8
4
1 3
6
5
2
A
1-alimentation ouate
2-passage ouate
3-impression
9
4-gaufrage
5-bobinage
7
6-fermeture logs
7-coupe logs
8-emballage paquet
9-emballage sac
A-formation mandrins
8
Les forces et faiblesses de l’entreprise, une fois clairement comprises, il sera alors nécessaire
de comparer les points « forts » et les points « faibles » de l’organisation avec les menaces et
les opportunités, présentes aujourd’hui ou à terme, dans l’environnement.
Pour cela une démarche a été proposée par un chercheur de l’université de San Francisco le
professeur H. WEIHRICH. Il s’agissait pour lui de confronter et d’évaluer les alternatives
stratégiques possibles à partir de ces comparaisons. Il a, ainsi, mis au point une matrice connue
sous la dénomination de matrice de WEIHRICH ou matrice « SWOT » :
Strengths, Weaknesses, Opportunities, Threats.
L’analyse FFOM de Lilas :
forces faiblesses
-manque transport pour les
-capacité à diversifier sur d'autre employers
secteur
-lenteur dans les processus de
-image de marque fabrication à cause des défauts
-main d’œuvre qualifieé, flexible machines non planifiés ce qui
-une organisation cohérente avec compromet l'efficience des
une forte culture d’entreprise et processus
une fierté d’appartenance -manque de disponibilité des
-flexibilité des machines de machines
production
opportuniés
-croissance de la consommation menaces
de papier
-stratégies de diversification :
l’entreprise aspire s’engager dans
la diversification de ses produits
-l’entreprise vise à investir dans -crise économique et politique en
des nouvelles lignes de tunisie
production, les différentes
activités de ces lignes vont créer
une nouvelle synergie au sein de - les actions de gréves
l’entreprise
-l'enterprise est flexible
Figure 7: digramme SWOT
10
1. Nous constatons à travers l’analyse SWOT que les forces les plus importantes de
l’entreprise sont la flexibilité de ses machines de production et la diversification de ses
produits visant ainsi la satisfaction et la fidélisation de ses clients et assurant une bonne
image de marque. Cependant, le problème majeur de la société est le manque de
disponibilité des machines.
Cette problématique a été identifiée à travers l’analyse SWOT mais également par
l’observation du travail durant la première semaine de notre stage ainsi que quelques
entretiens effectués avec le responsable production et le responsable maintenance.
La disponibilité des machines est un concept industriel très important et qui fait partie
de concepts plus globaux à savoir le TRS et la TPM.
4. Contexte du projet :
Introduction :
Obtenir les résultats attendus et répondre aux exigences des responsables sont les atouts
principaux de toute démarche efficace permettant d’obtenir des résultats tangibles. Dans ce
chapitre nous avons présenté la problématique du projet, la démarche suivie pour répondre au
besoin de l’ensemble des parties prenantes du projet.
La problématique de notre projet de fin d’étude peut être résumée sous forme des questions
suivantes :
11
Comment s’attaquer aux problèmes dus aux pertes de performance, manque de fiabilité
des équipements, carences de l’organisation, méthodes et procédés utilisées ?
Comment former le personnel de l’atelier sur le maintien des équipements et de rendre
son milieu propre ?
Comment travailler sans risques et quelles sont les préventions à prendre en compte ?
Le choix de la TPM est judicieux car cette démarche répond aux exigences de l’entreprise et
permet de pallier aux problèmes indiqués par l’analyse de la problématique dans la ligne de
production UMEX.
Premier axe : Analyse du TRS et identification des causes des problèmes détectés.
Deuxième axe : rechercher les organes les plus graves et identifier leurs pannes
Troisième axe : chercher des solutions optimales pour corriger les prévenir tout problématique
au niveau des organes
Quatrième axe : crée un plan de maintenance pour les organes.
Cinquième axe : contrôler le progrès du plan d’action.
Le groupe de travail est composée de personnes qui représentent chaque fonction de l'entreprise
afin d'aborder une mise à niveau selon différentes visions. Il s'agit d'impliquer les responsables
de fabrication, de qualité et de bureau de méthode. Ce comité polyvalent va pouvoir évaluer
l’ensemble des propositions d’améliorations présentées sous différentes approches.
12
Chapitre 2 : Etude bibliographique
Introduction :
Dans le contexte actuel d’ouverture des marchés, les entreprises doivent améliorer leur
compétitivité et donc leur productivité. « Produire plus pour moins cher » c’est avoir une
meilleure disponibilité des moyens de production et c’est dépenser moins. Or la maintenance
influe sur les deux facteurs : une maintenance mieux ciblée, c’est moins d’indisponibilité ; une
maintenance mieux maîtrisée, c’est moins de dépenses, En vue de l'importance du processus
maintenance et de son impact sur les performances des installations, des méthodes
d’optimisation ont été développées permettent d’aider les responsables de maintenance à
construire ou à modifier les stratégies de maintenance telle que le calcul de TRS , la méthode
Ishikawa (ou le diagramme Causes Effets) , le diagramme de Pareto , la méthode AMDEC et
la méthode auto-maintenance.
1. La TPM :
La TPM (Total Productive Maintenance) est un concept japonais, dont la mise en œuvre permet
d’amener les équipements à leur rendement global maximum, sur toute la durée de leur vie, en
faisant participer toutes les divisions de l’entreprise et en associant tous les niveaux
hiérarchiques. Cette démarche assure l’intégration des efforts des différents Services de
l’entreprise pour l’obtention, le maintien et l’amélioration de l’efficacité réelle des
équipements.
D’après Nakajima :
Il est normal de faire d’abord référence au promoteur de la méthode, qui définit la TPM en cinq
points :
Proposons quelques définitions parmi les nombreuses qui ont fleuri ces dernières années :
13
Renault : la TPM, c’est la recherche permanente de l’amélioration des performances
des
Jusqu'en 1950 se pratiquait aux Etats-Unis la break-down maintenance dite réparatrice. Vers
1950 commence le développement de la maintenance préventive puis l’apparition de la PM
(maintenance productive) en 1954 toujours aux Etats-Unis, c’est en 1958 que JOHN
SMITH(américain) vient au Japon pour enseigner la PM.
Les japonais ont toujours apprécié les prix pour récompenser une initiative ou un effort. Dans
cette optique, la J.M.A, la Jappant Management Association, important cabinet de consultant
au
Japon crée par les grands groupes japonais avec l’aide des universitaires ; offrit à partir de 1964
un prix P.M. pour les entreprises ayant appliquées avec les meilleurs résultats une démarche
P.M.
En 1969, la J.M.A. fonda le J.I.P.M., le Jappant Institute of Plant Maintenance, qui continua
d'attribuer le prix P.M. aux entreprises.
En 1971, Nippon Dense fût lauréat pour avoir appliqué brillamment la P.M. en ayant, de plus,
utiliser des techniques de participation du personnel. La J.I.P.M lui décerna le prix T.P.M. La
T.P.M. faisait son apparition.
La TPM est donc une adaptation de la PM américaine s’ajoute le mot total qui a plusieurs
significations :
La TPM concerne tous les niveaux hiérarchiques des dirigeant aux opérateurs.
14
La TPM prend en considération tous les aspects techniques, organisationnels et
humains.
La TPM associe tout le monde.
La TPM vise à améliorer le rendement global des installations qui inclut la qualité la
disponibilité et la productivité.
La TPM est un système global qui concerne toutes les machines, tous les services, et
même les bureaux.
Une machine est faite pour produire des pièces bonnes à sa cadence nominale pendant le temps
requis, il n’en est rien dans la réalité et les services maintenance dans le monde entier peuvent
le confirmer.
L’objectif de la TPM est de s’attaquer aux vraies causes de cette situation ; causes depuis
longtemps considérées (faute de mesures objectives) comme mineurs et négligés.
Ajoutons la perte de temps (l’arrivée de la maintenance) au mauvais climat engendré par la lutte
latente ou exprimé des fonctions et des responsabilités je répare, tu casse ou je produis tu répare
et nous trouvons l’une des raisons d’être de la TPM : qu’importe la couleur de l’intervenant,
puisque l’objectif commun est que la production reparte, et que la raison d’arrêt soit éliminée
15
Nakajima écrivait production et maintenance sont les deux roues de la charrette. D’où la
création d’équipe de chantier autonome et polyvalents.
La TPM agit positivement sur les indicateurs globaux de l’entreprise qui sont : Productivité,
Qualité, Coût, Délais, Sécurité et Motivation que l’on note PQCDSM. A titre indicatif,
l’application de la TPM permet en général :
16
1.5. Les 5 principes et les 8 piliers de la TPM :
La TPM est structurée autour de 5 principes qui sont matérialisés par la construction, dans
un ordre logique, de 8 piliers :
Premier principe : atteindre l’efficacité maximale des équipements, ce qui se traduit par
la suppression des causes de pertes de rendement (Pilier 1 : amélioration au cas par cas),
l’implication du personnel de fabrication dans la maintenance de son équipement (Pilier
2 : maintenance autonome), la prévention des défaillances (Pilier 3 : maintenance
planifiée), l’amélioration du savoir-faire des opérateurs et des techniciens de
maintenance (Pilier 4 : amélioration du savoir-faire et des connaissances).
Deuxième principe : démarrer le plus rapidement possible les nouveaux produits et les
nouveaux équipements, ce qui se traduit par un raccourcissement des cycles de vie des
produits (Pilier 5 : maîtrise de la conception).
17
Figure 9: Principe de la TPM
18
1.6. Les 16 pertes majeures de point de vue TPM :
Le pilier 1 (amélioration au cas par cas) supporte l’amélioration des performances par
l’élimination systématique des 16 pertes d’efficience. Ces 16 causes de pertes majeures sont :
Huit pertes liées à l’équipement : Pertes dues aux pannes, pertes dues au réglages, pertes
dues aux changement d’outils, pertes dues au démarrage, pertes dues aux micro arrêts
et à la marche à vide, pertes dues à là sous vitesse, pertes dues aux défauts et aux
repasses, pertes dues à la fermeture de l’atelier.
Cinq pertes liées à la main d’œuvre : Pertes dues au management, pertes dues à la
rapidité de l’exécution, pertes dues à l’organisation de la ligne, pertes dues à la
logistique, pertes dues aux mesures et au réglages.
Trois pertes liées aux matières, à l’outillage et à l’équipement : Pertes dues à l’énergie,
pertes dues à l’outillage, pertes dues au rendement de la matière.
1.7. Les étapes de la mise en place de la TPM :
Ce schéma présente les quatre phases à suivre pour le lancement de la TPM selon JIPM :
19
Figure 10: les étapes de l'implantation de la TPM
20
2. Le TRS : l’indicateur clé de la TPM :
Exprimé en pourcentage, le TRS est une méthode de calcul du taux d'efficacité des équipements
qui tient compte simultanément des trois principaux paramètres de la performance
manufacturière à savoir la disponibilité, la performance et la qualité.
Formule du TRS :
21
3. LA MAINTENANCE :
3.1. Définitions :
La fonction maintenance est définie comme celle qui consisterait à mettre en œuvre tous les
moyens disponibles pour maintenir les machines en état de bon fonctionnement, jusqu’au
moment où elles doivent être retirées du service.
‹‹ L’ensemble des actions permettant de maintenir ou de rétablir un bien dans un état spécifié
ou en mesure d’assurer un service déterminé, bien maintenir, c’est assurer ces opérations au
cout global optimal › ›
La stratégie de maintenance est une méthode de management utilisée en vue d'atteindre les
objectifs de maintenance.
22
Les choix de stratégie de maintenance permettent d'atteindre un certain nombre d'objectifs de
maintenance :
Pour choisir, il faut donc être informé des objectifs de la direction, des directions politiques de
maintenance, mais il faut connaître le fonctionnement et les caractéristiques des matériels, le
comportement du matériel en exploitation, les conditions d’application de chaque méthode, les
coûts de maintenance et les coûts de perte de production.
23
3.4.1 La maintenance corrective :
La maintenance corrective appelée parfois curative (terme non normalisé) a pour objet de
redonner au matériel des qualités perdues nécessaires à son utilisation.
Maintenance effectuée selon des critères prédéterminés, dont l’objectif est de réduire la
probabilité de défaillance d’un bien ou la dégradation d’un service rendu.
Elle doit permettre d’éviter les défaillances des matériels en cours d’utilisation.
L’analyse des coûts doit mettre en évidence un gain par rapport aux défaillances qu’elle permet
d’éviter.
24
dans le cas de la maintenance industrielle, la défaillance technique d’un équipement. Elle est
constituée de quatre grandes étapes :
25
Ce diagramme à 5 branches peut être étendu à une version « 7M » en y ajoutant le Management
et les Moyens financiers. Cependant, en restant sur des dysfonctionnements techniques, ces
deux derniers « M » ne seront pas très représentatifs. Dans un souci de simplicité, mieux vaut
rester sur un diagramme Causes / Effets à 5 familles.
Suite à une AMDEC faisant ressortir des problèmes particuliers sur un équipement.
Dans le cas de pannes récurrentes d’origine inconnue.
Appliquer Ishikawa de façon plus générique à l’ensemble des équipements d’un centre de
production constitué d’un grand nombre de machines ne sera pas intéressant car c’est une
méthode qui demande beaucoup de ressources humaines, de temps de réflexion et qui peut par
conséquent vite devenir coûteuse.
5. LE DIAGRAMME PARETO :
Le diagramme de Pareto, également connu sous le nom de la loi des 80/20 est une méthode
d’optimisation et de résolution de problème très connue dans le milieu industriel. De façon
générale, on s’aperçoit que dans la plupart des situations, 80% des conséquences sont entraînées
par 20% des causes. Rapporté à la maintenance, cela signifie que 80% des arrêts d’équipements
vont être causés par seulement 20% des causes de pannes référencées. Seulement, pour arriver
à de telles conclusions, une analyse préliminaire est nécessaire, chose que nous allons détailler
dans la suite à travers un exemple simple.
26
Le recensement de la récurrence des pannes en fonction des causes
On liste l’ensemble des causes de défaillance, et on y associe le nombre de pannes qui
en sont les conséquences. Dans notre exemple, nous avons un total de 269 arrêts ayant
pour origine 18 causes différentes.
On classe ensuite par ordre décroissant de récurrence les causes de défaillance.
On réalise le cumul des causes de défaillance, puis on ramène cela en pourcentage du
total des défaillances, de façon à faire apparaître en premier les causes les plus
problématiques.
On sélectionne les causes principales qui sont à l’origine de 80% des pannes matériels.
27
5.2. Analyse des résultats :
Le travail d’analyse de causes peut s’avérer très utile afin de se focaliser sur les sources de
pannes impactant le plus la production. Il suppose cependant un historique fiable et complet à
partir duquel on pourra extraire des chiffres justes de façon à ne pas se tromper de direction
dans la suite de la résolution des pannes.
6. LA METHODE AMDEC :
C’est un outil d’analyse qui permet de construire la qualité des produits fabriqués ou des
services rendus et favorise la maîtrise de la fiabilité en vue d’abaisser le coût global.
Cette méthode conçue pour l’aéronautique américaine en 1960: est devenue aujourd’hui,
Soit réglementaire dans les études de sûreté des industries « à risque » (aérospatial, nucléaire,
chimie),
Etablie en équipe, menée à différents niveaux d’avancement, elle permet de définir les priorités
d’action par la confrontation des opinions. Elle est applicable :
28
6.1. Les types d’AMDEC :
• Analyse de la conception d'un produit pour • Analyse des opérations de production pour • Analyse de fonctionnement du moyen
améliorer la qualité et la fiabilité améliorer la qualité de production, par voie pour améliorer la disponibilité (fiabilité
prévisionnelle. de conséquence la qualité du produit ou du et maintenabilité) et la sécurité. A ce
• Les solutions technologiques doivent service rendu. stade est pris en compte la fiabilité
correspondent au cahier des charges. • Cet A.M.D.E.C. est rédigé sous la opérationnelle (issue des historiques).
• Cet A.M.D.E.C. est rédigé sous la responsabilité du bureau des méthodes de
• Cet A.M.D.E.C. est rédigé sous la
responsabilité du bureau d'études. fabrication.
responsabilité du service de
• Les conséquences des défaillances sont • Les conséquences des défaillances peuvent
être visibles par le client. maintenance.
visibles par le client.
• Les conséquences des défaillances ne
sont visibles que par la production.
AMDEC moyen de
AMDEC PRODUIT AMDEC processus
production
29
6.2. Les objectifs de l’AMDEC :
L’AMDEC est une technique d’analyse prévisionnelle qui permet d’estimer les risques
d’apparition de défaillance ainsi que les conséquences sur le bon fonctionnement du moyen
de production, et d’engager les actions correctives nécessaires.
L'A.M.D.E.C. " Moyen de production " par l'analyse des pannes, la fréquence d'apparition et
les temps d'arrêt favorise :
30
6.5. LES MODES DE DEFAILLANCE :
- connexions débranchées
- fils desserrés
31
6.6. LES CAUSES DE DEFAILLANCE :
- fuites
32
6.7. CRITICITE DES CONSEQUENCES :
La criticité est en fait la gravité des conséquences de la défaillance, déterminée par calcul
33
G : Gravité des effets de la défaillance : la gravité représente la sévérité relative à l’effet
de la défaillance.
34
Remarque : La matrice de criticité :
Au cours d’évaluation de la criticité, il n’est pas obligatoire de prendre en compte les trois
critères gravité, fréquence et la détection ; on peut se limiter aux seuls critères gravité et
fréquence, ce qui permet de matérialiser l’étude par une matrice de criticité ou matrice de
sécurité.
La matrice met en évidence une zone critique et une zone non critique. Mais, elle présente un
défaut car elle ne tient pas compte de la notion de détection.
35
6.8. PROPOSITIONS D’AMELIORATIONS :
La réduction de l’I.P.R. (C) peut se faire par modification technique, par le changement de la
méthode de maintenance appliquée et / ou par la mise en place de documents relatifs aux modes
opératoires, aux procédures, …
Un plan d’action sera établi pour fixer des priorités par rapport aux améliorations proposées.
Des critères économiques sont à prendre en compte pour hiérarchiser.
7. LA METHODE AUTOMAINTENANCE :
Par définition, l’AUTOMAINTENANCE est « la maintenance exécutée à l’endroit où le bien est utilisé et
par les personnes qui utilisent ce bien ». Il s’agit avant tout de mettre en application des consignes
permanentes de maintien de premier niveau des équipements. Cela comprend :
Les consignes de nettoyage, de propreté et de rangement.
Les vérifications visuelles de l’état d’équipement à l’arrêt et en marche.
La surveillance « sensible » du bon fonctionnement.
La surveillance de la normalité de paramètres à relever.
Les procédures d’alerte en cas d’anomalies constatées.
La maintenance curative de premier niveau.
Les tâches simples de maintenance systématique.
La saisie des informations inhérentes à ces tâches.
36
L’AUTOMAINTENANCE est basée sur la responsabilisation des opérateurs de production vis-
à-vis de leurs équipements de travail et est schématisée dans le diagramme suivant :
Ce gain passe également par la réduction des procédures administratives liées à la maintenance
« classique », d’autant plus que les interventions d’AUTOMAINTENANCE sont généralement
répétitives et beaucoup plus courantes que les pannes durables et plus graves.
37
Enfin, l’AUTOMAINTENANCE, par la réalisation d’opérations simples directement
effectuées par les opérateurs leur permet de mieux connaître les équipements de travail.
« Je veux »
• pose le problème de la motivation. Pour y remédier, il est nécessaire de
mettre en place une implication directe des techniciens de production et
un mode de travail en équipe.
« Je sais »
• pose le problème de la compétence et de ses limites. En effet, le rôle premier des
opérateurs n’est pas de réparer leurs outils de travail mais faire fonctionner leur outil de
production. L’objectif étant pour chacun de devenir autonome, cette opération peut passer
par des formations ou plus simplement par la réalisation de fiches de renseignements.
« Je peux »
• pose le problème de l’organisation et des moyens. Les opérateurs, pour
effectuer des interventions d’AUTOMAINTENANCE doivent être
disponibles. Il faut également qu’ils aient à leur disposition les outils
nécessaires à la réalisation de leurs travaux.
2. L’objectif est de passer au-delà de ces trois problèmes, par la mise en place rigoureuse d’une
démarche d’AUTOMAINTENANCE, basée sur des outils concrets, sur une analyse
pertinente des équipements et par l’implication des opérateurs dans ce travail. Cela passe
d’un point de vue opérationnel par :
• L’analyse de la définition du métier des opérateurs.
• La rédaction de consignes de maintenance autonome.
38
Chapitre 3 : Etude de l’existant et résolution du
problème :
1. Calcul du TRS :
TRS= TFB/TR*TMP/TFB*TME/TMP
TRS= Tfb * Tp * Tq
39
1.1. Collecte des données :
Les jours ordinaires, les arrêts planifier et les non planifier sont montrées au tableau ci-
dessous :
40
Le nombre de produits non conforme n’est pas disponible mais durant le stage et avec
l’entretien avec les responsables on a marqué qu’à chaque fois les conducteurs de la
machine changent la bobine et à chaque panne on perd trois logs. Chaque log perdu
peut être 6 rouleaux du jumbo ou 12 rouleaux d’essuie-tout ou bien 24 rouleaux de
PH.
Donc si on cherche le nombre des pannes et nombres des bobines consommées durant
l’années 2018 on peut calculer le nombre d’article non conforme.
Le nombre de bobines reste inconnue donc à ce niveau on doit calculer le nombre des
bobines, on a trouvé la quantité d’ouate consommé durée l’année précédente on KG et
on a calculé le poids moyenne d’une bobine par un échantillon de 30 bobines et par la
suite on a pu avoir tous les données cherchées et les montrer dans le tableau suivant :
41
1.2. Calcul du TRS:
TMP = 19.847
On a appliqué cette démarche pour toutes les mois de l’années 2018 (sauf le mois février :
manque des données de production et de ouate consommé) et on a obtient les résultats
suivants :
42
On a aussi représenté les Taux : Tq, Tp, Tfb et le TRS des mois et de l’année 2018 dans le
tableau et le diagramme suivant :
99,75
84,85 87,72
74,12
43
D’après ce graphique ci-dessus nous remarquons que le TRS est de l’ordre de 74.12%. Ce qui
veut dire que le TRS est assez moyen. Nous pouvons conclure alors que la ligne n’est pas
suffisamment efficace car plus l’indice de TRS est proche de 100%, meilleure est l’efficacité
de la ligne. Donc il faut augmenter le taux de TRS afin d’atteindre un niveau d’excellence qui
Pour améliorer le TRS, il est recommandé d’agir sur l’un de ses composants le plus
faible.
Pour ce faire il faut agir sur le taux de disponibilité qui est à l’ordre de 71%, donc en
-gaspillage du temps
Dans l’étape suivante, nous allons utiliser la méthode Ishikawa afin de chercher la cause racine
44
2. La recherche de la cause racine par la méthode d’Ishikawa :
La méthode d’Ishikawa nous a permis de trouver la cause racine de la baisse de TRS.
Durant cette étape on a utilisé la méthode de brainstorming pour chercher toutes les causes.
- Attente de la matière
- Mauvaise ambiance
- Défaut de température
- Rupture de matière
- Mauvaise maintenance
- Coincement mécanique
- Changement du format
On a classé les causes disponibles dans le diagramme d’Ishikawa dans 5 famille (matière,
45
Méthodes Milieu
Manque de
disponibilité
Le non responsabilité du -
Rupture de matière - Nombre des pannes élevés -
personnel
Attente de la matière - Défaut de température -
Opérateur manquant de -
Coincement mécanique -
formation
46
2.3. Recherche de la cause racine par l’utilisation du vote pondéré simple :
A ce stade nous avons utilisé le technique du vote pondéré simple afin de provoquer et
d’accélérer notre choix des causes principales.
2 Peu influente
3 Moyennement influente
4 Influente
5 Très influente
Mauvaise 3 3 4 2 1 3 16
maintenance
L’enchainement 1 1 1 1 1 1 6
des postes
pénible
Changement du 2 3 3 4 2 1 15
format
Mauvaise 1 1 5 1 1 1 10
ambiance
Mauvaise 1 1 3 3 1 3 12
climat et
ambiance de
travail
Le non 3 2 1 1 1 1 9
responsabilité
du personnel
Operateur 3 3 2 3 4 2 17
manquant de
formation
Rupture de 1 1 1 1 1 1 6
matière
Attente de la 1 1 1 1 1 1 6
matière
Nombre des 5 5 5 3 4 2 24
pannes élevés
Défaut de 2 2 4 2 1 1 12
température
Coincement 2 1 3 4 1 1 12
mécanique
47
D’après le vote pondéré on constate que le nombre des pannes élevés est la cause
principale de la perte de disponibilité et par la suite il faut trouver des solutions à ce
problème et l’éliminer. Mais d’abord il faut étudier les pannes (leurs durée, fréquence et
durée moyenne) pour cela a l’étape suivante on va utiliser le diagramme Pareto.
3. Méthode Pareto :
D’après la méthode Ishikawa et la vote pondéré on a pu trouver la cause racine de la perte de
disponibilité représenté par le nombre élevé des pannes donc nous avons demandé au
directeur de maintenance de nous donner l’historique des pannes pour l’année 2018 et nous
avons traité les données et les classer sous forme des tableaux et sous forme de diagramme
Pareto pour les analyser et trouver les sous-ensemble les plus critique.
48
3.1. Analyse Pareto:
3.1.1. Analyse Pareto pour la ligne UMEX :
Etude de la non fiabilité : Le premier tableau et le diagramme ci-dessous représentent le
nombre des pannes pour chaque sous-ensemble de la machine :
SOUS-ENSEMBLE nombre des pannes cumul nombre des pannes
pourcentage2
bloc SCIE 145 145 21,74%
embaleuse-casmatic 141 286 42,88%
machine sur-emballeuse 64 350 52,47%
groupe de coupe 50 400 59,97%
tubeuse 49 449 67,32%
corps TMC 47 496 74,36%
gaufreur 35 531 79,61%
rebobineuse 35 566 84,86%
groupe soudeuse à table 19 585 87,71%
station d'impression 14 599 89,81%
groupe gaufreur 12 611 91,60%
encolleur 12 623 93,40%
groupe encollage 11 634 95,05%
ligne de production papiers 6 640 95,95%
groupe convoyeur d'alimentation 5 645 96,70%
système convoyeur tapis d'alimentation 5 650 97,45%
accumulateur 4 654 98,05%
groupe rouleaux de bobines 4 658 98,65%
groupe de sortie des rouleaux 2 660 98,95%
tapis d'alimentation 2 662 99,25%
groupe de transmission 2 664 99,55%
chaines de transmission 1 665 99,70%
cylindre encolleur 1 666 99,85%
unité de coupe 1 667 100,00%
total 667 - -
Tableau 14:nombre de panne des sous-ensembles
ligne de production…
système convoyeur…
accumulateur
encolleur
embaleuse-casmatic
unité de coupe
chaines de transmission
corps TMC
groupe encollage
tubeuse
tapis d'alimentation
station d'impression
gaufreur
groupe de transmission
rebobineuse
groupe gaufreur
cylindre encolleur
machine sur-emballeuse
groupe de coupe
bloc SCIE
49
Etude de la non disponibilité : Le deuxième tableau et le diagramme ci-dessous
représentent la durée globale (en minutes) des pannes pour chaque sous-ensemble de la
machine :
SOUS-ENSEMBLE durée des pannes (en mn) cumul de duree pourcentage
embaleuse-casmatic 7591 7591 17,89%
bloc SCIE 7379 14970 35,27%
corps TMC 4940 19910 46,91%
machine sur-emballeuse 3745 23655 55,73%
tubeuse 3350 27005 63,63%
groupe de coupe 2915 29920 70,50%
gaufreur 2550 32470 76,50%
rebobineuse 2165 34635 81,61%
groupe encollage 1732 36367 85,69%
groupe gaufreur 1265 37632 88,67%
station d'impression 1005 38637 91,03%
groupe soudeuse à table 775 39412 92,86%
encolleur 710 40122 94,53%
ligne de production papiers 415 40537 95,51%
groupe convoyeur d'alimentation 410 40947 96,48%
système convoyeur tapis d'alimentation 285 41232 97,15%
accumulateur 275 41507 97,80%
groupe rouleaux de bobines 230 41737 98,34%
groupe de sortie des rouleaux 215 41952 98,85%
tapis d'alimentation 150 42102 99,20%
chaines de transmission 150 42252 99,55%
cylindre encolleur 80 42332 99,74%
groupe de transmission 75 42407 99,92%
unité de coupe 35 42442 100,00%
total 42442 - -
75917379
8000 120,00%
durée en minutes
7000 99,20%
98,85% 99,92%
99,74%
99,55% 100,00%
92,86%
91,03% 95,51%
94,53% 97,15%
96,48% 98,34%
97,80%
6000 4940 88,67%
85,69%
5000 81,61%
76,50% 80,00%
37453350 70,50%
4000 63,63%
2915 60,00%
55,73% 25502165
3000 46,91% 1732 40,00%
2000 35,27% 12651005
775 710 415 410 285
1000 17,89% 275 230 215 150 150 80 75 35 20,00%
0 0,00%
Axis Title
50
Etude de la maintenabilité : Le troisième tableau et le diagramme ci-dessous représentent
la durée moyenne (en minutes) des pannes pour chaque sous-ensemble de la machine :
encolleur
embaleuse-casmatic
unité de coupe
corps TMC
chaines de transmission
groupe encollage
tapis d'alimentation
station d'impression
tubeuse
gaufreur
groupe de transmission
groupe gaufreur
rebobineuse
cylindre encolleur
machine sur-emballeuse
groupe de coupe
bloc SCIE
Figure 26:durée
durée moyenne
moyenne des pannes
par panne ligne UMEX
pourcentage 3
51
Dans le cas présent on recense 8 organes à l’origine de près de 80% des pannes qui sont
la priorité de notre travail. Par Conséquent, en ciblant ces 8 points, on va toucher 80%
des problèmes. On va ainsi Minimiser les plans d’action sur lesquels travailler, tout en
maximisant leurs impacts sur les Équipements de l’entreprise.
Et cela peut nous aider à maximiser le TRS le plus possible pour cette ligne et ça sert à
gagner plus de temps et par la suit e une gaine financière.
L’embaleuse-casmatic
Bloc SCIE
Corps TMC
Machine sur-emballeuse
Tubeuse
Groupe de coupe
Gaufreur
Rebobineuse
Pour cela il faut étudier chaque organe et chercher les pannes qui représentent 80% des
problèmes pour trouver des solution optimal et efficace par la méthode AMDEC.
52
Etude de la non disponibilité :
Le premier tableau et le diagramme ci-dessous représentent la durée de chaque panne pour
l’emballeuse casmatic :
panne durée de panne cumul durée pourcentage cumulé
lame et contre lame usée 1945 1945 25,62%
résistance défectueux 1366 3311 43,62%
courroie dechiré 545 3856 50,80%
système de fixation elivateur défectueux 460 4316 56,86%
baguette déteriorié 435 4751 62,59%
courroie de scellage déchirée 405 5156 67,92%
coincement 360 5516 72,66%
plaque déformée 195 5711 75,23%
bielle démonté 175 5886 77,54%
chaine défectueux 130 6016 79,25%
capteur analogique défectueux 120 6136 80,83%
doights cassés 120 6256 82,41%
court circuit 120 6376 83,99%
probleme temperature 115 6491 85,51%
moteur défectueux 105 6596 86,89%
jeux au niveau support 100 6696 88,21%
poulie tendeur et roulement usée 80 6776 89,26%
coincement tapis 80 6856 90,32%
boutton défectueux 75 6931 91,31%
mal fonctionnement soudure 70 7001 92,23%
tige de fixation moteur cisaillé 60 7061 93,02%
mauvaise reglage de ressort 60 7121 93,81%
attache de goupille défectueux 60 7181 94,60%
ionisateur défectueux 40 7221 95,13%
jeux au niveau d'arbre pousseur 40 7261 95,65%
mauvaise fixation alarme 35 7296 96,11%
mauvaise fonctionnement plaque elevateur 30 7326 96,51%
clavette usée 30 7356 96,90%
manque attache chaine 30 7386 97,30%
electrode de decharge défectueux 30 7416 97,69%
coincement rouleaux 25 7441 98,02%
support contact défectueux 20 7461 98,29%
contact NC défectueux 20 7481 98,55%
mauvaise detection spot 15 7496 98,75%
mal fermeture porte de securité 15 7511 98,95%
manque support baguette 15 7526 99,14%
bande télfn déchirée 15 7541 99,34%
guide coupé 15 7556 99,54%
disjonction déclanché 15 7571 99,74%
accumulation d'encre 10 7581 99,87%
reglage de courroie 5 7586 99,93%
manque bouchon 5 7591 100,00%
total 7591 -
Tableau 17: durée des pannes chez l'emballeuse casmatic
53
durée de panne
2500 120,00%
98,75%
98,55%
98,29% 99,34%
99,14%
98,95% 99,87%
99,74%
99,54% 100,00%
100,00%
99,93%
2000 1945 95,65%
95,13%
94,60% 96,51%
96,11% 98,02%
97,69%
97,30%
96,90%
93,81%
93,02%
92,23%
91,31%
90,32%
89,26%
88,21%
86,89%
85,51%
83,99%
82,41%
80,83% 80,00%
79,25%
77,54%
75,23%
1500 1366 72,66%
67,92%
62,59%
60,00%
56,86%
50,80%
1000
43,62%
40,00%
545
500 25,62% 460 435 405
360 20,00%
195 175
130 120 120 120 115 105 100
80 80 75 70 60 60 60 40 40 35
30 30 30 30 25 20 20 15 15 15 15 15 15 10 5 5
0 0,00%
54
Etude de la non fiabilité :
Le deuxième tableau et le diagramme ci-dessous représentent la fréquence de chaque panne
pour l’emballeuse casmatic :
55
frequence de panne
30 120,00%
25 24 100,00%
100,00%
99,29%
97,16%
96,45% 98,58%
97,87%
94,33%
93,62% 95,74%
95,04%
91,49%
90,78% 92,91%
92,20%
88,65%
87,94% 90,07%
89,36%
85,82%
85,11% 87,23%
86,52%
20 84,40%
83,69%
82,98%
20 80,85% 82,27%
81,56% 80,00%
79,43%
78,01%
76,60%
75,18%
73,76%
72,34%
69,50%
15 66,67%
63,12%
15 60,00%
56,74%
12
50,35%
10 41,84%
9 9 40,00%
31,21%
5
5 4 4 20,00%
17,02%
2 2 2 2 2 2
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
0 0,00%
56
Etude de la maintenabilité :
Le troisième tableau et le diagramme ci-dessous représentent la durée moyenne de chaque
panne pour l’emballeuse casmatic :
57
50,0
100,0
150,0
200,0
250,0
0,0
plaque déformée
195,0
chaine défectueux
130,0
9,3%
lame et contre lame usée
129,7
15,5%
capteur analogique défectueux
120,0
21,7%
doights cassés
120,0
27,5%
court circuit
120,0
33,2%
système de fixation elivateur défectueux
115,0
39,0%
résistance défectueux
80,8
44,5%
poulie tendeur et roulement usée
80,0
48,3%
tige de fixation moteur cisaillé
mauvaise reglage de ressort 52,2%
55,0%
moteur défectueux
63,5%
baguette déteriorié
52,550,048,3
68,4%
coincement
70,7%
ionisateur défectueux
72,7%
boutton défectueux
76,5%
bielle démonté
durée moyenne par panne
58
78,3%
clavette usée
durée moyenne
84,7%
courroie dechiré
89,0%
pourcentage cumulé
coincement rouleaux
30,030,030,030,027,325,0
coincement tapis
9
91,5%
guide coupé
97,1%
disjonction déclanché
20,020,016,915,015,015,015,015,015,0
97,8%
contact NC défectueux
98,6%
accumulation d'encre
99,0%
reglage de courroie
99,5%
manque bouchon
10,010,0 5,0 5,0
99,8%
0,0%
100,0%
20,0%
40,0%
60,0%
80,0%
100,0%
120,0%
D’après les diagrammes Pareto nous avons constitué qu’il y a 11 pannes grave qui représentent 80%
des pannes pour l’embaleuse-casmatic ces 11 pannes sont :
Lame et contre lame usée
Résistance défectueux
Courroie déchirée
Système de fixation élévateur défectueux
Baguette détérioré
Courroie de scellage déchirée
Coincement
Plaque déformée
Bielle démonté
Chaine défectueux
Capteur analogique défectueux
Nous avons aussi analysé les diagrammes Pareto des autres sous-ensembles trouver les pannes les plus grave
et nous avons représenté les résultats dans le tableau ci-dessous :
59
Bobine défectueux
Elévateur cassé
Tige de chaine usée
Machine sur-emballeuse Problème joint et résistance
Coincement
Plaque de soudure décasé
Problème au niveau réglage
pression d’air
Perturbation de programme plisse
Tubeuse Axe cassé
Courroie déchiré
Roulement défectueux
Pompe de colle défectueux
Connecteur défectueux
Lame usée
Tableau 20: les pannes les plus grave pour chaque sous-ensemble
Après avoir trouvé les pannes les plus grave pour chaque sous-ensemble on doit passer à l’étape suivante
de trouver les causes de ces pannes et leurs effets sur la ligne de production UMEX pour cela on va
60
utiliser AMDEC pour chaque organe qui nous permet de classer les pannes selon leurs gravités et qui
nous permet de mettre un plan d’action optimal pour résoudre ces problèmes au court et Lang terme.
61
62
63
4.1. Analyse de l’AMDEC :
D’après l’application de la méthode AMDEC on peut classifier les éléments des sous-
ensembles de la ligne UMEX selon leurs criticités et donc on peut prendre des décisions et
appliquer des solutions optimales pour diminuer leurs criticités et par la suite on peut gagner
un temps très important pour la production et générer des bénéfices financière a l’entreprise
soit par diminuer le cout de la maintenance et soit par le gain de production.
64
Remarque :
Malgré que la criticité de chaque élément suivant : arbre, roulement, élévateur, axe, pompe
de colle, tube d’arrosoir de colle et tapis sont moins de 16 ils doivent être mise sous
préventive car leur gravité est égale à 4 ou plus ou bien la fréquence de leur panne est égale
à 4. Donc il ne faut pas attendre que cet élément tombe en panne pour le corriger il faut
prendre attention de cet élément car leurs effets peuvent être couteux pour l’entreprise et
peuvent aussi provoquer des accidents de travail pour les employeurs.
65
5. Actions préventives :
A la lumière de l’étude AMDEC précédente, nous avons relevé les points critiques au niveau
de la ligne UMEX, nous avons pu ainsi proposer des actions correctives, amélioratrices et
préventives pour diminuer sa criticité dans le but d’organiser la maintenance des équipements
les plus vulnérables pour la production et aboutir à la fin à l’élaboration des gammes et des
plannings de maintenance préventives de façon à faciliter l’usage et les manipulations faites par
les opérateurs et les techniciens.
Comme suit est notre plan d’action préventive pour chaque élément mise à la maintenance
préventive :
Eléments Actions
66
Elévateur -Vérifier montage
-Nettoyage de surface pour éviter tout
coincement
-Graissage des vérins
6. L’auto-maintenance :
La responsabilité de la maintenance ne dépend pas du services maintenance seulement, le
conducteur de machine aussi a un rôle très important dans la détection de la défaillance. Pour
cela nous avons demandé aux responsables maintenance et production d’intégrer la méthode de
l’auto-maintenance en future.
Pour cela nous avons suggéré de :
- Définir Les 5S lie à l’environnement de l’équipage (nettoyage, rangement, etc.) aux
employeurs.
- réaliser des formations de :
La détection des anomalies et l’observation des symptômes.
La maintenance de premier et le deuxième niveau.
Les taches simples de maintenance systématique.
Les taches que le conducteur de machine peut le faire sans l’intervention des techniciens de
maintenance :
67
Vérifier la température des pompes (d’encre et de colle).
Vérifier l’état des courroies et les changer en cas de défaillance.
Graissage des moteurs.
Vérifier l’état d’axe et de baguette.
Conclusion :
Dans de ce chapitre nous avons identifié par le calcul du TRS le problème majeur de la ligne
UMEX qui se définit par la baisse de taux de disponibilité. Par la suite avec un vote pondéré
on a trouvé la cause racine de cette baisse qui est définit par les nombre des pannes élèves.
Ensuite on a déterminé les sous-ensembles critique en utilisant le digramme PARETO. Par la
suite nous avons réalisé une analyse AMDEC puis une décomposition fonctionnelle et
structurelle des machines critiques déterminées. Pour minimiser ces anomalies et augmenter la
disponibilité de production, nous avons proposé des actions préventives et correctives
principalement liées au fonctionnement des machines.
68
Conclusion général
Dans notre stage on a eu l’opportunité de travailler sur différent aspect du secteur hygiénique.
Le travail réalisé s’est avéré très enrichissant pour notre expérience professionnelle aussi bien
on se qui concerne le domaine technique que l’aspect humain sa nous a permis d’avoir une
vision détaillée sur la conception et la fabrication d’essuie-tout.
Il est clair que la pertinence des indicateurs calculés dépend de la précision des relevés, il est
donc indispensable de former et motiver le personnel pour que celui-ci renseigne les
documents avec soin. L’implication du personnel dans la recherche de solutions
d’amélioration représente un degré de plus dans la démarche et mène l’entreprise vers la mise
en place de méthodes du type TPM (Totale Productive Maintenance), où la recherche de
l’excellence à tous les niveaux constitue un objectif privilégié. Ces méthodes sont longues à
mettre en place car la modification des comportements et mentalités n’est pas chose aisée.
Pour conclure, ce stage nous a offert la possibilité de mettre en pratique les connaissances
acquises lors de nos études et l’opportunité de s’intégrer dans le monde professionnel. Ainsi
le travail en équipe reste le chemin le plus efficace pour la réussite et la continuation de
n’importe quel organisme.
69
Bibliographie
Ouvrages :
-Mise en place de la TPM Réalisé par Mlle Khadija LMOUSSAOUI. ENSA d’Agadir
promotion 2004
-Amélioration des performances industrielles Réalisé par Mlle SADI. ENSAM Mekhnès
promotion 2007
Mémoire :
70
Annexe
71
Chart Title
3000 120,0%
2450
2500 98,4% 98,8% 99,3% 99,7% 99,9% 100,0%
100,0%
96,5% 97,4% 98,0%
94,0% 95,3%
90,6% 92,3%
88,4%
85,6%
82,3%
2000 78,5% 80,0%
1649 71,0%
1500 60,0%
55,5%
1140
1000 40,0%
33,2%
555
500 20,0%
280 240 210 165 125 120 100 90 65 40 35 30 30 30 20 5
0 0,0%
72
panne nombre des cumul pourcentage cumulé
pannes nombre des
pannes
lame usée 57 57 39,3%
pousseur 40 97 66,9%
total 145 - -
73
Chart Title
60 57 120,0%
20 39,3% 40,0%
12
9
10 20,0%
4 3 3 3 2 2 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
0 0,0%
0 5 10 15 20 25
74
panne durée cumul durée pourcentage cumulé
moyenne moyenne des
des pannes pannes
problème au niveau de filtre 210,0 210 16,2%
d'aspiration
température élève 185,0 395,0 30,5%
75
Chart Title
250,0 120,0%
210,0
100,0%
99,6% 100,0%
200,0 96,4% 98,1%
185,0 94,1%
91,8%
89,5%
87,1%
84,7%
82,2% 80,0%
79,4%
76,4%
150,0 73,2%
68,5%
125,0 63,8%
120,0 60,0%
56,8%
100,0 95,0
49,5% 90,0
40,2% 40,0%
61,3 60,0
30,5%
50,0 41,3 40,0
35,0 33,3 31,1 20,0%
30,0 30,0 30,0 29,7
16,2% 21,7 20,0
5,0
0,0 0,0%
76
panne durée moyenne cumul de durée pourcentage cumulé
moyenne
problème au niveau de la 175,0 175,0 12,5%
polyéthylène
résistance défectueux 163,8 338,8 24,2%
77
Chart Title
200,0 120,0%
180,0 175,0
163,8
100,0%
100,0%
160,0
157,5
96,1% 97,5% 98,9%
94,7%
142,5 91,0% 92,9%
88,8%
86,7%
140,0 84,5%
82,1% 80,0%
120,0 75,8%
120,0 112,5
69,3%
100,0
100,0 62,1% 60,0%
91,7
87,5
54,1%
80,0
45,6%
40,0%
60,0 35,4%
0,0 0,0%
78
panne durée de panne cumul de durée pourcentage cumulé
total 4940 - -
79
Chart Title
3000 120,0%
2680
1000 40,0%
500 20,0%
315 300 285 275 225 175 175
120 80 75 70 30 30 30 20 20 20 15
0 0,0%
80
panne fréquence cumul de fréquence pourcentage cumulé
coincement 3 19 40,4%
court-circuit 1 42 89,4%
81
Chart Title
18 120,0%
16
16
100,0%
100,0%
97,9%
95,7%
14 93,6%
91,5%
89,4%
87,2%
85,1%
83,0%
12 80,9% 80,0%
76,6%
72,3%
10 68,1%
63,8%
59,6% 60,0%
8 53,2%
46,8%
6 40,4% 40,0%
34,0%
4
3 3 3 3
20,0%
2 2 2 2 2
2
1 1 1 1 1 1 1 1 1
0 0,0%
83
Chart Title
400,0 120,0%
360,0
350,0
98,4% 99,6% 100,0%
100,0%
95,5% 96,9%
92,3% 94,1%
300,0 90,1%
88,0%
270,0 85,8%
83,2%
79,6% 80,0%
250,0 75,6%
71,3%
66,8%
200,0 61,5% 60,0%
56,1%
150,0
150,0 45,3%
40,0%
100,0
25,9% 75,0 74,0
62,5 60,0 55,0 50,0 20,0%
50,0 36,7 30,0 30,0 30,0 25,0 20,0 20,0 20,0 17,5
5,0
0,0 0,0%
84
panne durée des cumul durée pourcentage
panne des pannes cumulé
boue d'arbre cisailler 540 540 21,2%
total 2550 - -
85
Chart Title
600 120,0%
540
300 300
300 61,6% 60,0%
49,8%
200 40,0%
35,7%
125
110
100 21,2% 20,0%
60 55 50 50 40 40 35 30 30 30
20
5
0 0,0%
86
panne nombre des cumul nombre pourcentage
panne des panne cumulé
température élevée 5 5 14,3%
court-circuit 1 30 85,7%
surcharge 1 35 100,0%
total 35 - -
87
Chart Title
6
5
5
4
4
3
3
2 2 2 2 2 2 2
2
1 1 1 1 1 1 1 1 1
1 94,3% 97,1% 100,0%
82,9% 85,7% 88,6% 91,4%
74,3% 77,1% 80,0%
62,9% 68,6%
51,4% 57,1%
40,0% 45,7%
25,7% 34,3%
14,3%
0
88
panne durée moyenne Cumul durée pourcentage
des panne moyenne des cumulé
pannes
roulement défectueux 175,0 175,0 29%
200,0
Chart Title 120%
180,0 175,0
100% 100%
160,0 97%
145,0 92%
88%
140,0
81% 80%
120,0 73%
64%
100,0 60%
54%
80,0
60,0 56,0 40%
60,0 50,0
29% 37,5
40,0 28,3 25,0 20%
20,0
20,0
0,0 0%
89
panne durée cumul durée pourcentage
cumulé
lame usée 1905 1905 65,4%
total 2915 - -
Chart Title
2500 120,0%
90
panne nombre des panne Cumul nombre des pourcentage cumulé
pannes
lame usée 34 34 68%
coincement 6 40 80%
température élevé 3 43 86%
mal manipulation de zérotage 2 45 90%
roulement défectueux 1 46 92%
branchement électrique 1 47 94%
capteur poseur défectueux 1 48 96%
mauvaise réglages des pierre de 1 49 98%
meule
accumulation de poussière 1 50 100%
total 50 - -
Chart Title
40 120%
35 34
98% 100% 100%
94% 96%
30 90% 92%
86%
80% 80%
25
68%
20 60%
15
40%
10
6
20%
5 3
2
1 1 1 1 1
0 0%
91
panne durée moyenne cumul durée moyenne pourcentage
cumulé
plaque de soudure décaissé 120,0 120,0 14%
92
Chart Title
140,0 120%
120,0
120,0
110,0 99% 100%
100%
96% 98%
94%
92%
89%
100,0 86%
90,0 83%
79% 80%
76%
72%
80,0 72,9 68%
64%
60%
60,0 58%
60,0 52%54,0
51,7
45%
40,0 40%
40,0 37%
32,5 31,7 30,0 30,0 30,0
26% 27,5
25,0
20,0 20%
20,0 15,0 15,0
14% 10,0 10,0
0,0 0%
93
panne durée durée cumulé pourcentage
cumulé
problème joints et résistance 2220 2220 59,3%
total 3745 - -
94
Chart Title
2500 120,0%
2220
100,0%
98,1% 98,7% 99,1% 99,5% 99,7% 100,0%
2000 94,7% 95,7% 96,5% 97,3%
93,2%
89,9% 91,6%
87,9%
85,4%
82,9%
78,8% 80,0%
1500 72,9%
66,5%
59,3% 60,0%
1000
40,0%
500
20,0%
270 240 220
155
95 90 75 65 60 55 40 30 30 30 20 15 15 10 10
0 0,0%
coincement 5 34 53,1%
total 64 - -
96
Chart Title
35 120,0%
30 29
100,0%
98,4% 100,0%
93,8% 95,3% 96,9%
90,6% 92,2%
25 85,9% 87,5% 89,1%
82,8% 84,4%
79,7% 80,0%
76,6%
73,4%
20 68,8%
64,1%
59,4% 60,0%
15 53,1%
45,3%
40,0%
10
5 20,0%
5 4
3 3 3
2 2 2
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
0 0,0%
97
panne durée par panne cumul durée par pourcentage
panne cumulé
problème calibrage avec les 170,0 170,0 17,9%
paramètres
bouchage des trous des tubes 147,5 317,5 33,4%
98
Chart Title
180,0 170,0 120,0%
160,0
147,5
100,0%
99,5% 100,0%
96,8% 98,4%
140,0 94,4%
91,8%
88,6%
85,4%
120,0 82,0% 80,0%
78,3%
74,6%
100,0 68,8%
62,9%
80,0 60,0%
79,6 56,6%
80,0
50,2%
60,0 60,0
41,9% 56,7 55,0
60,0 40,0%
33,4%
40,0 35,0 35,0 32,5 30,0 30,0
25,0 23,3 20,0%
17,9%
20,0 15,0
10,0
5,0
0,0 0,0%
99
panne durée cumul durée pourcentage cumulé
total 2165 - -
100
Chart Title
1200 120,0%
44,1%
400 40,0%
295
101
panne nombre des cumul nombre des pourcentage
panne panne cumulé
lame usée 12 12 34,3%
total 35 - -
102
Chart Title
14 120,0%
12
12
100,0%
100,0%
97,1%
94,3%
91,4%
88,6%
10 85,7%
82,9%
80,0% 80,0%
77,1%
74,3%
71,4%
8 68,6%
65,7%
60,0% 60,0%
57,1%
6 51,4%
42,9%
40,0%
4 34,3%
3 3
2 2 20,0%
2
1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1 1
0 0,0%
103
panne durée moyenne cumul durée pourcentage
des pannes moyenne cumulé
démontage réduction pour 480,0 480,0 31,3%
réparation
axe cassé 211,7 691,7 45,1%
104
Chart Title
600,0 120,0%
211,745,1%
200,0 185,0 40,0%
31,3%
115,0
100,0 90,0
100,0 75,0 20,0%
38,3 36,7 32,2 30,0 30,0 25,0 25,0 23,3 20,0 15,0
0,0 0,0%
105
Panne durée des pannes cumul durée pourcentage
des panne cumulé
axe cassé 635 635 19,0%
total 3350 - -
106
Chart Title
700 120,0%
635
600
98,2% 99,0% 99,6% 100,0%
100,0%
95,8% 97,3%
515 91,9% 94,0%
480 89,3%
500 86,3%
82,8%
80,0%
76,3%
400 370 69,6%
59,7%330 60,0%
300
48,7%
225 220
40,0%
200 34,3%
115
100 90 20,0%
100 19,0% 70 60 50
30 25 20 15
0 0,0%
107
panne nombre des pannes cumul nombre pourcentage
des pannes cumulé
courroie déchirée 16 16 32,7%
coincement 2 42 85,7%
total 49 - -
108
Chart Title
18 120,0%
16
16
100,0%
100,0%
95,9% 98,0%
14 91,8% 93,9%
87,8% 89,8%
85,7%
12 81,6% 80,0%
77,6%
73,5%
69,4%
10
63,3%
60,0%
57,1%
8
51,0%
6 44,9%
6 40,0%
32,7%
4
3 3 3 3
20,0%
2 2 2 2
2
1 1 1 1 1 1 1
0 0,0%
109
110