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Mise en situation :
1-
✔ Situation au travail :
Elles ont rapport à la flexibilité, la capacité de décision, la persévérance, la
connaissance, l’indépendance, la prise de risque et l’intégrité personnelle d’un
candidat.
Un exemple :
✔ Situation personnelle :
Dans un contexte autoritaire, un chef donne des ordres à une équipe et sanctionne
les comportements déviants.
● Le leadership démocratique
● Le leadership permissif
Le leadership permissif va plus loin que le leadership démocratique et est à
l’opposé du leadership autoritaire
Cas 1 :
Cas 2 :
Cas 3 :
Leadership
Mise en situation :
1-
✔ Situation au travail :
Elles ont rapport à la flexibilité, la capacité de décision, la persévérance, la
connaissance, l’indépendance, la prise de risque et l’intégrité personnelle d’un
candidat.
Un exemple :
✔ Situation personnelle :
Dans un contexte autoritaire, un chef donne des ordres à une équipe et sanctionne
les comportements déviants.
● Le leadership démocratique
● Le leadership permissif
Cas 1 :
Cas 2 :
Cas 3 :
Leadership: les 11 styles de management les plus courants
Résumé
Votre personnalité et votre expérience auront nécessairement une influence sur votre
leadership. S’il n’y a pas qu’une seule bonne façon de diriger, vous serez mieux à même de
développer vos compétences et de responsabiliser votre équipe après avoir identifié votre type
de leadership. Dans cet article, nous décrivons 11 styles de leadership différents, ainsi que
position du leader, c’est-à-dire l’influence et la position d’un individu sur le groupe. Un bon
leader se définit ainsi par sa capacité à mobiliser ses troupes dans le but d’atteindre ses
Quel est le point commun entre Sheryl Sandberg, directrice des opérations de Facebook, et
Marvin Ellison, PDG de Lowe’s ? Ce sont tous deux de très bons leaders. Si l’une fait des
merveilles dans le secteur de la technologie, l’autre relève les défis du commerce de détail.
Tous deux sont tournés vers l’avenir, ont leur propre vision de leur travail et savent se montrer
à diriger. Cette dernière évolue au fil du temps, et vous deviendrez peut-être demain un leader
Pour vous aider à mieux comprendre votre style de management actuel et la façon dont vous
pouvez vous en servir pour donner à votre équipe les moyens de se démarquer, nous allons
exercent un certain contrôle sur leurs subordonnés. La prise de décision est centralisée, ce qui
signifie qu’une seule personne prend toutes les décisions importantes. Un leader autoritaire a
une idée claire des perspectives plus larges, mais implique uniquement le reste de l’équipe
sont capables de saluer les petites victoires de leurs subordonnés ou d’émettre des critiques
constructives de manière personnelle quand quelque chose ne va pas. On pourrait penser que
les leaders autoritaires sont des personnes désagréables, mais c’est une fausse idée. Il est rare
qu’ils soient ouvertement hostiles, parfois simplement un peu froids. Cela dit, ils se montrent
généralement amicaux.
Un leader autoritaire adoptera plutôt ce type de
raisonnements :
● Je privilégie ma formation personnelle et non celle de l’équipe.
● J’ignore les collaborateurs qui ont des opinions contraires sur un projet dont j’assume la
responsabilité.
serrés.
● Cette autorité s’avère efficace quand il est nécessaire de prendre des mesures décisives.
compétent de l’équipe.
● Les leaders peuvent être perçus de manière négative, en tant qu’individus dominateurs
ou directifs.
● Ces individus ont du mal à se départir de leurs habitudes et ne sont pas très enclins à
collaboration. Bien qu’ils puissent avoir le dernier mot, ces leaders répartissent les
responsabilités s’agissant de la prise de décision. Cela étant, il est fréquent qu’ils aient le
dernier mot.
Les leaders participatifs font partie intégrante de l’équipe. Ils consacrent du temps et de
l’énergie à leurs collègues pour leur permettre de s’épanouir professionnellement, car ils sont
conscients que le bien-être au travail est une condition essentielle à tout individu pour
atteindre ses objectifs finaux (et ceux de son équipe). Vous êtes particulièrement à l’aise dans
● Plus nombreux nous sommes à travailler sur un projet, meilleur sera le résultat.
● J’écoute les individus qui ont des opinions divergentes, le produit final n’en sera que
meilleur.
● Tous les membres de son équipe doivent se sentir impliqués pour que la collaboration
fonctionne.
membres d’équipe une liberté totale dans le processus de prise de décision. En effet, les
Les leaders délégatifs restent à distance du groupe et choisissent de ne pas participer aux
projets ou ne pas les interrompre. Ils émettent assez peu de commentaires. Parfois, les
membres d’équipe peuvent même avoir complètement oublié la présence de leur supérieur
propres méthodes.
experts.
● Les individus qui apprécient de pouvoir agir en toute autonomie seront pleinement
● Si le leader et son équipe cherchent à atteindre un objectif commun, alors ils ont toutes
les chances d’y parvenir. Il est possible de recourir à un logiciel de suivi des objectifs
● Ce style peut conduire les membres d’équipe à se blâmer les uns les autres et à ne
Maintenant que les trois styles de leadership théorisés par Lewin vous sont plus familiers,
fait appel à l’intelligence émotionnelle sur laquelle chaque leader doit s’appuyer pour prendre
visionnaires adoptent une vision à long terme et cherchent à la concrétiser. Ils représentent
lorsque les équipes ont besoin d’orientations claires. Le cas échéant, les individus concernés
souhaitent pouvoir compter sur le soutien d’un dirigeant en qui ils ont confiance et prêt à les
opinions ou des idées opposées à celles de leur dirigeant. Ces individus ne suivront pas
● Les problèmes ponctuels ne découragent pas le leader, car il garde toujours à l’esprit
l’objectif final.
● Les leaders visionnaires sont capables de créer des plans d’urgence pour faire face aux
défis posés par des facteurs externes (enjeux politiques ou grands événements
● La vision poursuivie peut ne jamais se concrétiser si elle est trop liée à la personnalité
du leader.
● Les leaders visionnaires peuvent parfois laisser de côté les idées de leurs collaborateurs.
d’équipe et de leur donner des conseils pour qu’ils s’améliorent. Il sait également faire le lien
collaborer et qu’il est capable de donner son avis sans détour. Il est également essentiel pour
le coach de savoir prendre du recul et d’accorder une certaine autonomie à ses collaborateurs.
Vous avez déjà eu un mauvais coach ? Vous savez donc mieux que quiconque que le coaching
n’est pas un rôle qui sied à tout le monde. Mal exploité, ce type de leadership sera considéré
● Les attentes sont claires et chacun est libre de développer ses compétences.
● Le coaching ne fonctionne que si les membres de l’équipe sont disposés à recevoir des
● Les leaders « coach » misent beaucoup sur le maintien de relations saines, ce qui peut
une harmonie au sein de son équipe. Charismatique, il s’efforce d’établir et d’encourager des
Un leader affiliatif est utile lors de la création d’une nouvelle équipe ou en cas de crise ; en
effet, ces deux situations exigent de la confiance. En revanche, il peut devenir nuisible lorsque
le leader cherche un peu trop à devenir l’ami de ses collègues : le cas échéant, la productivité
● Un leadership affiliatif crée des équipes soudées et autonomes qui n’hésitent pas à
s’entraider.
● Certains membres de l’équipe sont parfois moins performants que d’autres. Un manque
de clarté dans l’attribution des rôles peut conduire à une certaine paresse sociale.
● Les leaders affiliatifs s’interdisent les remarques et commentaires négatifs, ce qui n’aide
● Les membres d’équipe ont un lien affectif fort avec leur leader. Si ce dernier devait
7. Le leadership démocratique
Le style démocratique est similaire au style participatif de Lewin. Tous les membres de l’équipe
sont invités à participer et à partager leurs idées. Le groupe se sent ainsi responsabilisé, même
La définition du leadership démocratique montre que cette méthode fonctionne bien pour les
équipes hautement qualifiées, dans lesquelles chaque membre apporte son savoir-faire et des
idées pertinentes. En revanche, elle est moins efficace auprès des équipes intégrant des profils
juniors, qui n’ont pas autant d’expérience ou de connaissances sur le sujet qui les occupe. En
outre, il est déconseillé de recourir au leadership démocratique dans les situations qui
● Les objectifs définis en commun rendent les employés plus responsables et productifs.
les consulter.
pas compétents.
qualité des productions. Les membres d’équipe sont censés s’en inspirer pour atteindre le
même niveau d’excellence. Si les collaborateurs ne parviennent pas à suivre, le chef de file doit
Se positionner en tant que chef de file est efficace lorsque le leader définit des attentes claires
et encourage ses collaborateurs à tenir leurs délais. Toutefois, cette méthode ne porte pas ses
fruits lorsque les membres d’équipe ne font plus confiance à leur leader et se sentent
éventuel.
● L’accent est mis avant tout sur les résultats et le respect des délais, ce qui peut
9. Le leadership directif
Le leadership directif est comparable au collaboratif ou délégatif : le leader a des buts et des
objectifs clairs qu’il communique à son équipe et il attend de ses collaborateurs qu’ils relient
leurs activités à ces objectifs. Il met aussi en place des procédures et des politiques pour créer
une structure.
Le leadership directif est plutôt réservé aux équipes dont les membres n’ont pas de
membres ont besoin d’une structure pour bien comprendre comment accomplir leurs tâches.
Le leadership directif est également à privilégier dans les situations d’urgence, lorsque la
discussion est impossible par manque de temps. Dans toute autre configuration, mieux vaut
● Il s’avère utile en temps de crise, car les décisions peuvent être prises rapidement.
● Le leadership directif est efficace dans les équipes dont les membres sont peu ou pas
qualifiés et expérimentés.
blanc.
● Le moral de l’équipe peut chuter et les employés ne seront plus aussi motivés.
● Il y a une forte dépendance vis-à-vis du leader, ce qui finit par créer des points de
blocage.
La théorie du leadership émotionnel peut facilement être mise en pratique dans le cadre de
vos missions quotidiennes. Commencez par identifier le type d’équipe avec lequel vous
travaillez. Réfléchissez ensuite aux styles de leadership les plus en accord avec la nature des
tâches à accomplir. Enfin, essayez de l’ajuster en fonction des scénarios qui se présentent. Avec
un peu de pratique, cette nouvelle façon de procéder pourrait bien transformer votre
approche du leadership.
Ces deux styles ont été théorisés par Bernard M. Bass, un psychologue américain qui a étudié
le comportement organisationnel et le leadership. Si le nom de ces deux styles vous est encore
inconnu, vous en avez probablement déjà constaté les effets dans votre environnement de
travail.
Le leadership transformationnel est l’une des approches les plus populaires conceptualisées
quatre « i »). B. M. Bass s’est appuyé sur le concept proposé à l’origine par James MacGregor
Burns en 1978. L’idée maîtresse est simple : les leaders et leurs « suiveurs » (subordonnés)
doivent s’entraider afin que chacun puisse améliorer son moral et renforcer sa motivation.
prêts à les suivre. Voici les quatre « i » ou comportements transformationnels caractéristiques
● Les équipes sont unies autour d’une cause commune, ce qui favorise la croissance de
l’entreprise.
● L’implication constante d’un leader peut entraîner une certaine pression chez ses
● Les objectifs du leader et ceux de l’entreprise doivent coïncider. Dans le cas contraire,
● Tous les membres de l’équipe doivent témoigner du respect à l’égard du leader et être
Max Weber. Il a ensuite été développé par Bernard M. Bass, en opposition au leadership
transformationnel.
formulant des réprimandes. Les leaders de ce type pensent qu’un ensemble de directives
claires permet d’obtenir de meilleurs résultats. Les membres d’équipe sont tenus de suivre des
● Ce style de leadership peut être utile en cas de crise, car chacun dispose d’un rôle clair.
collaborateurs.
● À long terme, ce rôle de leader est voué à l’échec, car il se concentre trop sur des
[À lire] 6 conseils de dirigeants d’Asana pour établir une solide culture d’entreprise
deux notions recouvrent des significations différentes. On peut ainsi tout à fait être un bon
Un leader cherche à concrétiser sa vision pour faire avancer une entreprise et essaie d’être une
source d’inspiration pour son équipe. Il a également un vrai rôle social, influence ses
collaborateurs de manière positive et doit s’appuyer sur sa position pour servir les intérêts de
l’organisation. Les managers ont quant à eux un rôle opérationnel au sein de l’entreprise et
sont chargés de maintenir les projets en bonne voie en adoptant un style de management
particulier.
Pas besoin d’être manager pour être un leader. Il y a des leaders pour chaque rôle au sein de
l’entreprise et ce n’est en rien une position réservée aux plus hauts gradés. Si vous cherchez à
devenir un chef de file plus convaincant au sein de votre service, mieux vaut bien comprendre
s’intéresser aux autres types de leadership existants que vous pourriez adopter à l’avenir.
La théorie de Lewin classifie les leaders en trois groupes, la méthode participative s’avérant la
plus efficace. La théorie du leadership émotionnel se subdivise en six styles que tout leader
S’il n’y a pas un style particulier à privilégier, il y en a sans doute un vers lequel vous êtes
naturellement attiré. Quel est celui dans lequel vous vous reconnaissez ? Celui que vous
exemple présenté et devenez ce leader qui donne à son équipe les moyens de briller. Si vous
éprouvez actuellement des difficultés à adopter un leadership conscient, n’hésitez pas à tester
[À lire] 39 citations sur le monde de l’entreprise pour encourager votre équipe à se dépasser
pratique. Nous le savons, les leaders ont de nombreux atouts : ils assument notamment des
de faire preuve de créativité, de résoudre des problèmes ou de prendre des risques. Cela étant,
il n’y a pas deux leaders identiques et vous pouvez aborder un ensemble de tâches d’une
manière très éloignée de celle de votre prédécesseur ou de votre concurrent, par exemple.
Les dirigeants ont pour mission de veiller à ce que les équipes atteignent les objectifs de
l’organisation. Un logiciel de gestion du travail vous aidera à vous assurer que les membres de
votre équipe sont sur la même longueur d’onde, quel que soit l’endroit d’où vous les dirigez.