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Introduction
- contexte
- type d’intervention
- objectifs
Méthodes et matériels
- population
- type d’étude
- schéma expérimental
- données recueillies
- analyses statistiques
Résultats
- flow chart : patients sont évalués pour potentiellement entrer dans l’étude
- caractéristique de la population
- courbe de survie
and
Discussion
La variable suit une loi normale : médiane et déviation standard (écart type)
→ la DS donne une idée de la précision de la mesure
→ 50% des gens se trouvent sous la moyenne et 50% se trouvent au dessus
→ Q25 = valeur pour laquelle 25% de la population est inférieure à cette valeur
Une variable qualitative est présentée par le nombre de sujets présentants la modalité présentée et le
pourcentage.
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Dans un test statistique on teste l’hypothèse nulle H0 :
→ les tests paramétriques sont toujours utilisables mais si une variable suit une loi normale ils seront moins
puissants.
Les études randomisées interventionnelles ont un haut niveau de preuve (conclusion avec un lien de
causalité).
Dans les études observationnelles ont de moins bon résultats et niveau de preuve car on ne maitrise pas
l’exposition.
Epidémiologie descriptive
- décrire une question de santé
- observationnelle
Epidémiologie analytique
- étudier les liens entre un problème de santé et un ou plusieurs facteurs susceptibles d’influencer
la survenue de ce problème de santé
- étiologique ou pronostique
- observationnelle
Epidémiologie évolutive
- évaluer l’impact d’une action de santé : souvent des mesures de préventions 1aires/2aires
Etudes observationnelles analytiques étiologiques : l’objectif est de regarder s’il existe une association
statistiques entre une (ou plsrs) exposition(s) et une (ou plusieurs) évènements de santé étudiés par le
critère de jugement principal.
Dans le cas de maladie rare : l’enquête transversale ou l’enquête de cohorte ne sont pas
envisageables.
Etude cas-témoins
Malades Non malades
Exposés a b
Non exposés c d
Une étude CE permet de s’intéresser à une maladie spécifique rare mais avec beaucoup d’exposés.
(peut également être utilisée pour des maladies fréquentes)
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L’enquête exposé/non exposé :
- rétrospective ou prospective
Dans une enquête exposé/non exposé, on peut étudier une exposition en relation avec plusieurs
maladies.
• Enquête longitudinale : enregistrement continu et prolongé dans le temps d’un événement de santé
(notion de mesures répétées dans le temps).
• Une étude de l’échantillon représentatif tiré au sort au sein d’une population source n’est pas une étude
randomisée
Epidémiologie analytique
Le Risque Relatif (hazard ratio): rapport de l’incidence de la maladie chez les exposés sur l’incidence
de la maladie chez les non exposés (il varie de 0 à l’infini). C’est une fréquence d’exposition chez les cas
pondérés par la fréquence de non exposé chez les cas.
• R1 = R0 → RR = 1 : absence de risque
L’Odds Ratio (rapport de cotes) : approximation du RR dans une étude rétrospective cas-témoins,
aussi utilisé pour les enquêtes transversale (varie de 0 à l’infini)
→ si la différence par rapport à 1 n’est pas significative : on ne peut pas conclure à une
« absence de liaison » : absence d’association significative
L’intervalle de confiance c’est l’intervalle dans lequel il y a 95% de probabilité que se trouve la vraie
valeur de l’OR (ou du RR ou du HR).
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Plus un RR/OR augmente, si c’est un fdr : plus l’association est forte
Plus un RR/OR diminue, si c’est un facteur protecteur : plus l’association est forte
Le 1,00 permet de repérer la classe de référence : si la référence change, l’interprétation des résultats
change.
DONC :
3 familles de biais :
- de classement
- de confusion
- de sélection : lors de la constitution (inclusion) ou lors du suivi de la population
Le facteur de confusion est lié à l’exposition et à la maladie : un fdr classique d’une maladie constitue
potentiellement un facteur de confusion s’il est associé à l’exposition qu’on étudie.
- Restriction de la population
- Ajustement
Les critères de présomption de causalité de Bradford-Hill : mise en évidence d’un lien statistiquement
significatif entre une exposition et un problème de santé qui n’implique pas nécessairement qu’il y a une
relation de causalité.
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Il y a 9 critères de présomption de causalité dont :
- Temporalité
- Relation dose-effet
- Plausibilité biologique
Tests diagnostiques
Diagnostic ≠ Dépistage
La recherche diagnostique
→ pour cela il faut une reproductibilité du test surtout s’il est subjectif
3 - Pour certains tests (surtout dépistage) : l’utilisation de ce test améliore la santé de la population
→ il faut connaitre la spécificité et la sensibilité
4 - Etude de ces qualités diagnostiques pour une maladie donnée : Se, Sp, VPP, VPN
Se = VP / (VP + FN)
Sp = VN / (VN + FP)
→ valeurs intrinsèques, extrapolables que si on a tout le panel de gravité, plus difficile à cerner le sens
clinique
→ valeurs extrinsèques, non extrapolables car elles dépendent de la prévalence p dans l’étude, très
intuitif sur le sens clinique
• Traitement toxique : Sp élevée (bien repérer les suets sains et pas de FP)
Intervalle de confiance : 95% jamais en dessous → elle est calculée autour de l’estimateur observé
(fluctuatin d’échantillonnage)
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Les essais randomisés
• Articles diagnostiques
• Articles épidémiologiques
• Articles thérapeutiques
- Méthode correcte
- Critère de jugement choisi pertinent cliniquement d’emblée qui comprend :
→ étude actuelle prospective
→ groupe contrôle
Dans une étude tout doit être prévu a priori : a posteriori on augmenterai le risque de biais et une inflation
du risque alpha.
• Introduction
→ UN seul critère de jugement principal et plusieurs critères de jugement secondaires (cela peut
generer d’autres hypothèses)
• Matériel et méthodes : il faut poser des critères d’inclusion et d’exclusion très précis
- critères de jugement
- plan expérimental
- respect des règles d’éthique
- plan statistique : calcul du nombre de sujets nécessaires (NSN)
Lorsqu’on dépose son dossier au CPP, l’introduction et matériels/méthodes sont bouclés : cette partie est
écrite a priori.
Il y a 2 types de risques :
• Alpha de type 1 : risque de dire à tort que le traitement est efficace (JAMAIS AUGMENTÉ de + de 5%)
• Beta de type 2 : risque de dire à tort que le traitement est inefficace (on peut prendre jusqu’a 20%)
- risque alpha
- risque beta
- l’écart : taille de notre effet entre traitement et pas de traitement, a priori on doit être pertinent
cliniquement
- l’incidence : plus on a d’éléments délétères fréquents qu’on veut baisser, plus on aura besoin de sujets
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Variations de la variable Nombre de patients
Risque alpha ↓ ↑
Risque béta ↓ ↑
Incidence ↓ ↑
Ecart ↑ ↓
Comparateur
S’il y a déjà un traitement de disponible pour la maladie on prend ce traitement pour des :
- raisons éthiques
- raisons méthodologique
Sinon on prend un placebo.
Etudes de supériorité
Il est impossible de prouver que les deux traitements sont exactement équivalents
Etude monocentrique
→ les pratiques du service et les types de patients sont homogénéisés : + de chances de montrer
l’efficacité d’un traitement
Etude multicentrique
Analyse intermédiaire
→ arrêter avant la fin pour voir les résultats
C’est un comité indépendant qui va analyser les résultats et regarder la différence entre les deux groupes.
S’il y a une trop grand différence on arrête l’étude car :
OU
- traitement délétère
S’il n’y a aucune différence, on recalcule la puissance, si elle est très faible on arrête l’étude.
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Ces règles doivent être prévues a priori : on doit savoir quand s’arrêter et sur quels critères on arrêtera
l’étude.
→ série d’éléments cliniques qui ont une logique, un continuum ave une maladie
2 grands intérêts :
Avantage : à effectif identique il est plus puissant que l’essai en bras parallèle puisque la prise du sujet
comme son propre témoin diminue la variabilité de la mesure de l’effet traitement
Limites :
- le critère de jugement doit pouvoir être mesuré à plusieurs reprises chez le même sujet
- période de lavage : aménagés entre les 2 périodes pour permettre aux effets du traitement administré en
premier de disparaitre
- la mesure répétée du critère de jugement doit être dépourvue d’effet de conditionnement (risque de
favoriser les médicaments de 2eme période)
La randomisation
Si les groupes ne sont pas comparables au départ qu’il y a une différence statistique significative, on
introduit un biais de sélection potentiel.
• Toute étude nécessite l’autorisation d’un comité d’éthique un CPP (Comité Protection des
Personnes) : loi Huriet
Le comité d’éthique peut décider de ne pas faire demander de consentement éclairé en cas de décision en
urgence.
Résultats
• Comparabilité des groupes au départ : si la valeur du p n’est pas dans le texte ni dans le tableau on
considère qu’il n’y a pas de différence significative entre les patients.
→ extrapolabilité
→ type d’analyse
- qualité de l’étude
3 types d’analyses
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• Analyse en per protocole
→ ne sont analysés que les patients qui ont reçu le médicament à la bonne dose/durée/sans perte
de vue ET sont dans leur bon groupe de tirage au sort
Courbes de survie
ordonnée : nombre de patients qui survivent ou décèdent (la proba de survie diminue au ocurs du temps)
• respect du protocole
• absence de biais
• qualité intrinsèque de l’étude
• Extrapolabilité
• Cohérence externe
L’étude doit avoir une pertinence clinique : elle doit être positive.
Mise en contexte
Le biais est la 1ere chose qui détermine le niveau de preuve (pas le type d’étude)
Le type d’étude :
• Niveau 3 : cas-témoins
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