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BETON ARME
ENSEIGNANT : GUEU KPAN ERIC
Ingénieur génie Civil, promotion ENSI 2014
Paramètres du béton
Classe de résistance désignée par C25/30, C30/37, C35/45, C40/50, C50/60,
C60/70 (fck sur cylindres et sur cubes)
CHAPITRE I : GENERALITES
2. MATERIAUX
2.1- LES BETONS
Compression
Résistance de calcul en compression : fcd = αcc x fck / γc (γc = 1,5)
L’eurocode 2 (partie ponts) recommande comme valeur αcc = 0,85. Cependant, la
France conserve la valeur αcc = 1 pour la partie Bâtiment
Traction moyenne
fctm = (0,3.fck*2)/3 pour les bétons de classe C12 à C50
fctm = 2,12.ln(1 + (fcm/10)) pour les classes supérieures à C50 avec la notion de résistance
moyenne fcm = fck + 8 (MPa)
Traction de calcul
fctd = 0,47 fctm
Traction flexion
L’eurocode 2 définit également une contrainte de flexion traction fctm,fl = [1,6 – h/1
000] fctm > fctm où h est la hauteur de l’élément exprimée en mm (h > 100 mm)
CHAPITRE I : GENERALITES
2. MATERIAUX
2.1- LES BETONS
Module d’élasticité
𝒇𝒄𝒌+𝟖
Module instantané(en MPa) : Ecm = 22 000( )^0.3
𝟏𝟎
X0 Béton non armé et sans pièces métalliques noyées : toute Béton à l’intérieur de bâtiments où le taux d’humidité de l’air ambiant est très faible
exposition sauf en cas de gel/dégel, d’abrasion et d’attaque
chimique Béton armé ou avec pièces métalliques noyées
Corrosion induite par carbonatation (degré d’attaque classé selon XC1, XC2, XC3 et XC4
XC1 Sec ou humide en permanence Béton à l’intérieur de bâtiments où le taux d’humidité de l’air ambiant est faible Les
parties de bâtiments à l’abri de la pluie, clos ou non, sont à classer en XC1, sauf si
condensation importante : elles seront alors classées en XC3 Béton submergé en
permanence dans de l’eau
XC2 Humide, rarement sec Surfaces de béton soumises à long terme au contact de l’eau Un grand nombre de
fondations
XC3 Modérément humide Béton à l’intérieur de bâtiments où le taux d’humidité de l’air ambiant est moyen ou
élevé
Béton de structures couvertes, closes ou non, à l’abri de la pluie avec condensation
Béton extérieur abrité de la pluie
XC4 Alternativement humide et sec Surfaces de béton soumises au contact de l’eau mais n’entrant pas dans la classe XC2
Les ponts, les parties aériennes des ouvrages d’art et les parties extérieures des bâtiments
non protégés de la pluie, (les façades, les pignons et les parties saillantes à l’extérieur)
Corrosion induite par les chlorures
XD1 Modérément humide Surfaces de béton exposées à des chlorures transportés par voie aérienne
XD2 Humide, rarement sec Piscines Éléments en béton exposés à des eaux industrielles contenant des chlorures
XD3 Alternativement humide et sec Éléments de ponts exposés à des projections contenant des chlorures Chaussées Parties
de parcs de stationnement de véhicules exposées directement au sel et ne comportant
pas de revêtement pouvant assurer la protection du béton (par exemple les parties
supérieures des dalles et des rampes)
CHAPITRE I : GENERALITES
Enrobage des armatures
Classe Description de l’environnement Exemples informatifs illustrant le choix des classes d’exposition
XS1 Exposé à l’air véhiculant du sel marin mais pas en contact Structures sur ou à côté d’une côte Éléments de structures exposées au sel marin et
direct avec l’eau de mer situées à moins de 1 000 m de la côte, et jusqu’à 5 km si topologie particulière
XF2 Saturation modérée en eau, avec agents de déverglaçage Surfaces verticales de béton des ouvrages routiers exposés au gel et à l’air véhiculant
des agents de déverglaçage
XF3 Forte saturation en eau, sans agent de déverglaçage Surfaces horizontales de béton exposées à la pluie et au gel
XF4 Forte saturation en eau, avec agents de déverglaçage ou eau Routes et tabliers de pont exposés aux agents de déverglaçage Surfaces de béton
de mer verticales directement exposées aux projections d’agents de déverglaçage et au gel
Zones des structures marines soumises aux projections et exposées au gel
Attaques chimiques
XA1 Environnement à faible agressivité chimique selon l’EN 206-1, Sols naturels et eau dans le sol
tableau 2
XA2 Environnement d’agressivité chimique modérée selon l’EN 206- Éléments de structures en contact avec le sol ou un liquide agressif
1, tableau 2
XA3 Environnement à forte agressivité chimique selon l’EN 206-1, Ouvrages de génie civil soumis à attaque chimique (par exemple les bâtiments de
tableau 2 catégorie E) suivant les documents particuliers du marché
CHAPITRE I : GENERALITES
II – DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
Enrobage des armatures
CHAPITRE I : GENERALITES
II – DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
Enrobage des armatures
CHAPITRE I : GENERALITES
II – DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
Enrobage des armatures
Cmin,dur : enrobage minimal vis-à-vis des conditions d’environnement
CHAPITRE I : GENERALITES
II – DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
Enrobage des armatures
ΔCdur,γ = 0, sauf sur justifications spéciales (aciers inox,etc.)
ΔCdur,st = 0. L’eurocode ne conseille pas de diminuer les enrobages
ΔCdur,add = 0, sauf pour des revêtements adhérents si ce choix est justifié
Valeur recommandée de ΔCdev = 10 mm.
Cette valeur peut être réduite à 5 mm si l’ouvrage fait l’objet d’une procédure
assurance qualité (PAQ). Cette tolérance peut même être portée à 0 pour les
éléments préfabriqués si les enrobages sont surveillés à l’aide d’appareils précis
CHAPITRE I : GENERALITES
II – DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
Mandrins de cintrage
CHAPITRE I : GENERALITES
II – DISPOSITIONS CONSTRUCTIVES
Longueur d’ancrage
CHAPITRE I : GENERALITES
III – ETATS LIMITES
Notions d’états limites
- Un Etat Limite satisfait aux conditions prévues sous l’effet des actions (forces,
couples ou moments)
- Conditions prévues (stabilité, résistance, déformation, durabilité
Etats limites
Etats limites ultimes
ultimes (ELU) et états limites de service
Etats limites de service (ELS)
Equilibre statique (non glissement, non Limitation de la compression du béton
renversement) Limitation de la déformation
Résistance (non rupture par écrasement ou par Limitation de l’ouverture de fissures
allongement excessif)
Stabilité de forme (non-risque de flambement, non
déversement)
CHAPITRE I : GENERALITES
IV – ACTIONS
Définitions des actions dans les bâtiments EN 1991 – Partie 1
Partie 1-1 : actions permanentes G, exploitation Q
Partie 1-2 : actions sur les structures exposées au feu
Partie 1-3 : charges de neige
Partie 1-4 : actions du vent
Partie 1-5 : actions thermiques
Partie 1-6 : actions en cours de construction
Partie 1-7 : actions accidentelles
CHAPITRE I : GENERALITES
IV – ACTIONS
- - Actions permanentes G (NF - EN 1991-1-1) : intensités faiblement variables
(poids propre, poids des superstructures, poussée des terres...) - Annexe A –
EC1-1
- - Charges d’exploitation des bâtiments Q (NF-EN 1991- 1-1, 6.3) : prend en
compte l’usage normal, des objets mobiles, des véhicules, des événements
rares prévus (concentration de personnes, empilage de mobilier…)
- Les surfaces chargées doivent être calculées en utilisant les valeurs
caractéristiques qk (charge uniformément répartie) et Qk (charge
concentrée).
- La charge concentrée Qk doit être considérée comme agissant en un point
quelconque du plancher, du balcon ou des escaliers, sur une surface de
forme adaptée (valeur recommandée : aire carrée de 50 mm de côté), en
fonction de l'usage et du type de plancher et généralement non cumulable
avec la charge répartie.
CHAPITRE I : GENERALITES
IV – ACTIONS
Charges courantes pour les planchers, aires de stockage et aires de circulation,
en fonction de différentes catégories :
CHAPITRE I : GENERALITES
IV – ACTIONS
Aires de stockage (E) et garage (F et G)
CHAPITRE I : GENERALITES
IV – ACTIONS
Aires de stockage (E), garage (F et G) et toitures
CHAPITRE I : GENERALITES
IV – ACTIONS
- Actions permanentes représentées par une valeur caractéristique Gk
(variabilité souvent faible représentation par valeur moyenne)
- actions variables Qk représentées par une des 3 valeurs représentatives : la
valeur de combinaison : ψ0 Qk , la valeur fréquente ψ1 Qk et la valeur quasi
fréquente ψ2 Qk
CHAPITRE I : GENERALITES
V – COMBINAISONS D’ACTIONS
Combinaison d’action à l’ELU de résistance
Pour vérifier l’équilibre statique d’une structure (EQU), il convient d’utiliser les
valeurs 1.10 pour G défavorable et 0.9 pour G favorable (Annexe Nationale)
CHAPITRE I : GENERALITES
V – COMBINAISONS D’ACTIONS
Combinaison d’action à l’ELS
CHAPITRE I : GENERALITES
VI – ASSOCIATION ACIER – BETON
VI-1 Ancrage des armatures (EC2, Section 8)
Longueur d’ancrage conventionnelle de référence (8.4.3) :
1. SOMMAIRE
2. 1. Longueur de flambement et élancement
3. 2. Dimensionnement des armatures
4. 3. Dispositions constructives
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.1. Longueur de flambement et élancement
2. En compression, risque de flambement :
3. Pour des éléments isolés (pas de rôle de contreventement)
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.1. Longueur de flambement
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.1. Longueur de flambement
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.1. Longueur de flambement
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.1. Longueur de flambement
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.2. Dimensionnement des armatures
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.2. Dimensionnement des armatures
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.2. Dimensionnement des armatures
2. Si les conditions suivantes sont respectées :
3. • poteau bi articulé sous charges centrées
4. • élancement λ ≤ 120
5. • 20 ≤ fck ≤ 50 MPa
6. • épaisseur dans le sens du flambement h ≥ 0,15 m
7. • distance d’ des aciers à la paroi la plus proche ≤ min(0,30h ; 100 mm)
8. • armatures symétriques par moitié sur chaque face
9. • chargement à au moins 28 jours
10. les Recommandations professionnelles de la FFB autorisent l’emploi de la
méthode suivante.
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.2. Dimensionnement des armatures
2. Résistance théorique en compression simple :
3. NEd = Nbét + Nacier = B.fbu + A.σsc
4. Effort ultime de compression réglementaire (FFB) :
7. • ferraillage maximum
CHAPITRE III : COMPRESSION SIMPLE
1. III.3. Dispositions constructives
2. Armatures transversales (EC2, 9.5.3)
3. • diamètre minimal :
4. - cadre et boucle : Øt ≥ max(6 mm; Øl_max / 4)
5. - treillis Øt = 5 mm
6. • espacement des cadres en zone courante :
7. st,max = min(20. Øl ; 40 cm; b) avec b : plus petite dimension du poteau
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. SOMMAIRE
2. 1. Généralités, dimensions, matériaux et
armatures minimales
2. Équilibre des sections
3. Dimensionnement des armatures à l’ELU
4. Vérification des contraintes à l’ELS
5. Maitrise de la fissuration
6. Dispense de vérification de la flèche
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 1. Généralités
2. Poutre sollicitée en flexion plane simple si le torseur des
contraintes généralisées se réduit à seulement :
M(x) et V(x)
Remarque : En Béton Armé, les effets de ces deux sollicitations
sont traités séparément.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 1. Généralités
1.1. Hypothèses
Au cours des déformations, les sections droites restent planes et conservent leurs
dimensions ;
La résistance du béton tendu est négligée ;
Adhérence parfaite acier - béton
Les contraintes dans le béton comprimé et les armatures se déduisent des
diagrammes contrainte-déformation de calcul donnés ci-après.
Les sections d’amartures sont supposées concentrées en leur centre de gravité
respectifs.
Hypothèse : Pour le dimensionnement des armatures en flexion simple à l’ELU, on
suppose que le diagramme des déformations passe par l’un des deux pivots de flexion
simple (A ou B)
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 1. Généralités
2.
3.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 1. Généralités
2. Contraintes de calculs :
3.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 1. Généralités
2. Diagramme des 3 pivots :
3.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 1. Généralités
2. Section d’armatures minimales :
4.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 2. Équilibre des sections à l’ELU
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 2. Équilibre des sections à l’ELU
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 2. Équilibre des sections à l’ELU
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 2. Équilibre des sections à l’ELU
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 2. Équilibre des sections à l’ELU
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 2. Équilibre des sections à l’ELU
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 2. Équilibre des sections à l’ELU
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 3. Armatures de flexion
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 4. Vérifications à l’ELS
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 4. Vérifications des contraintes à l’ELS
2. Pour géométrie, sollicitations et matériaux connus : vérification des
contraintes
3.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 4. Vérifications des contraintes à l’ELS
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 4. Vérifications des contraintes à l’ELS
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 4. Vérifications des contraintes à l’ELS
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2. Le distance minimale entre 2 fissures est telle que :
3.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2. L’EC2 définit l’ouverture de fissure de calcul à partir de l’espacement
maximal des fissures sr,max (résultats de retour d’expérience) afin de se
placer en sécurité. Cette ouverture calculée a un caractère conventionnel
(sans comparaison possible avec des ouvertures mesurables sur ouvrages).
3.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2. Aspects théoriques
3. Ouverture de fissures d’un tirant en béton armé
4. L’ouverture moyenne wm d’une fissure peut être déterminé en calculant
l’allongement moyen d’une armature par rapport à l’allongement du béton
sur la longueur comprise entre deux fissures :
5.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE IV : FLEXION SIMPLE
1. 5. Maîtrise de la fissuration (EC2 7.3.4)
2.
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. État de fissuration d’une poutre en BA
L’hypothèse de Rt négligée implique que les directions
principales théoriques de traction et compression dans la zone
tendue de la poutre sont à 45°.
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. État de fissuration d’une poutre en BA
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. État de fissuration d’une poutre en BA
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. État de fissuration d’une poutre en BA
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. État de fissuration d’une poutre en BA
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. État de fissuration d’une poutre en BA
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. État de fissuration d’une poutre en BA
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. 1. EFFORT TRANCHANT
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. 1. EFFORT TRANCHANT
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. 2. TORSION
Hypothèse : La zone centrale des sections n’apportent aucune contribution à
la résistance à la torsion
sur la base de résultats d’essais, les sections pleines peuvent être modélisées
directement par des sections fermées à parois minces équivalentes (EC2,
6.3.1(3))
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. 2. TORSION
2.
Flux de cisaillement en torsion pure dans la paroi (EC2, 6.3.2) :
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. 2. TORSION
2.
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. 2. TORSION
2.
CHAPITRE V : EFFORT TRANCHANT ET TORSION
1. 2. TORSION
2.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. INTRODUCTION
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. SOMMAIRE
2. 1. Largeur efficace
3. 2. Étude aux ELU
4. 3. Étude aux ELS
5. 4. Armatures transversales
6. 5. Cisaillement âme-membrures
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 1. Largeur efficace
2. Largeur efficace : largeur de la dalle (ou table) participant à la résistance de la
poutre dépend de :
3. - la nature de la poutre (travées indépendantes ou continue),
4. - du mode d’application des charges (réparties ou concentrées),
5. - des dimensions de la section.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 1. Largeur efficace
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 1. Largeur efficace
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 2. ETUDE AUX ELU
2.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 2. ETUDE AUX ELU
2.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 2. ETUDE AUX ELU
2.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 2. ETUDE AUX ELU
2.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 2. ETUDE AUX ELS
2. Même raisonnement aux ELS avec un diagramme de contrainte linéaire
3. Pour une vérification ELS, on détermine d’abord la position x de l’axe neutre
4. 1) Si l’axe neutre est dans la table, mêmes calculs que pour une poutre
rectangulaire
5. 2) Si l’axe neutre est dans la retombée, calcul de l’inertie en considérant deux
rectangles : celui de la table et celui de la retombée
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 2. ETUDE AUX ELS
2.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 3. Armatures transversales
2. Vérifier la résistance du béton d’âme et dimensionner les armatures d’âme
comme pour une poutre rectangulaire.
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 4. Cisaillement âme-membrures
2. Cisaillement entre l'âme et les membrures des sections en T (EC2 6.2.4) :
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 4. Cisaillement âme-membrures
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 4. Cisaillement âme-membrures
2. EC2 6.2.4 (3) : ∆x peut être prise égale à la moitié de la distance entre la section
de moment nul et la section de moment maximal (soit un quart de la portée
pour une poutre isostatique supportant une charge uniformément répartie)
CHAPITRE VI : POUTRES EN T
1. 4. Cisaillement âme-membrures
2.
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. INTRODUCTION
2. EC2 autorise différentes méthodes d’analyse :
3. - Élastique linéaire (ELS et ELU)
4. - Élastique linéaire avec redistribution limitée des moments (ELU, pour les
bâtiments, les recommandations professionnelles françaises les autorisent
également à l’ELS pour les bâtiments)
5. - Plastique (ELU)
6. - Non linéaire (méthode de calcul au flambement avec effet du 2ème ordre)
Remarque: Les recommandations professionnelles françaises autorise
l’utilisation de la méthode de Caquot (BAEL), mais restreint la méthode
forfaitaire (BAEL) au cadre du pré-dimensionnement.
7.
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. INTRODUCTION
2. 1. Analyse élastique (EC2)
3. 2. Analyse élastique avec redistribution (EC2)
4. 3. Méthode forfaitaire (BAEL)
5. 4. Méthode de Caquot (BAEL, EC2)
6. 5. Rappel de RdM pour le tracé des courbes enveloppes
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 1. Analyse élastique (EC2)
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Avec rédistribution
2. Qu’est-ce que la redistribution du moment sur appui ?
3. Pour prendre en compte l’état fissuré de la section de béton armé sur appui
dans le cas de poutre continue, l’EC2 autorise à diminuer la valeur du moment
sur appui
4. - Cela provoque une augmentation du moment en travée
5. - C’est la redistribution des moments
6. L’EC2 autorise la redistribution dans les conditions suivantes :
7. - rapport des portées comprises entre 0,5 et 2,
8. - éléments sollicités en flexion,
9. - le coef de redistribution δ = Maprès / Mavant dépend de xu la hauteur de
béton comprimée à l’ELU
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Avec rédistribution
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Avec redistribution
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Avec redistribution
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Avec redistribution
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Avec redistribution
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Méthode forfaitaire
2. Domaine d’application :
3. - « Constructions courantes » (charges d’exploitation modérées), Q ≤
max(2G;5000 N/m²)
4. - les portées successives sont dans un rapport compris entre 0,8 et 1,25
5. - les moments d’inertie des sections transversales sont les mêmes dans les
différentes travées en continuité,
6. - la fissuration ne compromet pas la tenue du BA et de ses revêtements.
7. Les recommandations professionnelles relatives à l’application de l’EC2 en
France indique que ‘l’utilisation et le domaine de cette méthode ne sont pas du
domaine du dimensionnement mais restent du domaine du pré-
dimensionnement et de celui de la vérification d’ouvrages’
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Méthode forfaitaire
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Méthode forfaitaire
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Méthode forfaitaire
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 2. Méthode forfaitaire
2. Pratique :
3. a. Détermination du moment isostatique des travées de comparaison M0 ,
4. b. Détermination des moments sur appuis : application d’un des 3 cas suivants :
M0 est la valeur maximale des moments isostatiques des deux travées de comparaison
voisines de l’appui considéré.
c. Détermination des moments en travée Mt par application des conditions 1 et 2.
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 3. Arrêts de barres forfaitaires
2. Forfaitairement, si q < g et si les charges sont uniformément réparties, on peut se
passer de tracer la courbe enveloppe.
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 4. Méthode de Caquot
2. Les recommandations professionnelles relatives à l’application de l’EC2 en
France (Clause 5.6.1) recommande cette méthode pour les poutrelles et
poutres des planchers autres que ceux à charge d’exploitation modérée.
3. Domaine d’application :
4. - « Constructions industrielles » (charge d’exploitation élevée) Q > inf (2G; 5000
N/m²),
5. - Cette méthode s’applique également aux planchers à charge d’exploitation
modérée lorsque que l’une des conditions de la méthode forfaitaire n’est pas
remplie
CHAPITRE VII : POUTRES CONTINUES
1. 4. Méthode de Caquot
2. Principe :
3. - Calcul forfaitaire du moment de flexion sur appui en ne prenant en compte
que les charges appliquées aux deux travées qui l’encadrent