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2. Les Mondes
3. L’Âme
Ohr Pnimi
1. Parce que tous ces discernements que nous faisons dans les Olamot dérivent et émanent
d'Olam Atzilut vers le bas, c'est-à-dire de l'Olam où les dix Sefirot et les Kavim Tikun se manifestent
déjà sous la forme de Hesed, Din et Rachamim. C'est pourquoi le Rav écrit : "nous n'avons pas la force
d'étudier avant l'émanation des dix Sefirot, ni d'imaginer quelque image et quelque forme que ce soit".
Il en est ainsi parce qu'avant l'émanation des dix Sefirot qui est apparue dans Olam Atzilut,
les dix Sefirot étaient considérées comme Ohr sans un Kli approprié, et il est connu que
nous n'avons pas d'atteinte dans l'Ohr sans un Kli.
La foi préconise que rien n’existe à part l’âme et l’esprit. D’après elle, il existe des
corps spirituels, différents les uns des autres par leur qualité, que l’on appelle des
âmes humaines ; elles existent par elles-mêmes, avant de s’introduire dans le corps
humain. Même après la mort du corps, cette mort ne l’affecte pas du tout, vu que le
spirituel est un corps simple. La signification de la mort n’est, à leur avis, que la
séparation des éléments dont ce corps est composé, ce qui est possible pour un corps
concret qui est composé d’éléments que la mort sépare à chaque fois.
Par conséquent, il est impossible d'appréhender une chose en toute clarté si son
parallèle est absent. Par exemple, il est impossible d'estimer et de dire que quelque
chose est bon, si son opposé, qui pointe vers le mauvais, est absent. Il en va de même
pour l'amertume et la douceur, l'amour et la haine, la faim et la satiété, la soif et la
saturation, la séparation et l'adhésion. Il s'avère qu'il est impossible d'arriver à aimer
l'adhésion avant d'avoir acquis la haine de la séparation.
=> réponse à la question de la semaine dernière pourquoi la brisure était elle nécessaire ?
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kavana
Donc, deux discernements sont faits dans le corps physique. 1. Il ressent son âme comme un organe
spécial et il ne comprend pas qu’il s’agit de l’ensemble d’Israël. Ceci est vraiment un défaut. De ce
fait, il fait ce qui est susmentionné 2. La véritable lumière de l’âme d’Israël ne l’illumine pas dans
toute sa luminosité, mais seulement partiellement, en fonction et selon le taux de sa propre
purification, pour retourner au collectif.
Le signe pour la complète correction du corps est quand il ressent que son âme existe dans
l’ensemble d’Israël, dans chacun d’entre eux, et donc il ne se sent pas comme un individu, car l’un
dépend de l’autre. Alors il est complet sans imperfection et l’âme l’influence vraiment de toute sa
force, comme elle était apparue dans Adam HaRishon.
La brisure (suite)
https://kabbalahmedia.info/lessons/cu/eAACXgxJ?sstart=39m13s&send=40m34s&mediaType=video&shareLan
g=en
Système interconnecté
https://kabbalahmedia.info/lessons/cu/X2k7deLi?language=fr&sstart=25m59s&send=27m11s&mediaType=vide
o&shareLang=en