La représentation du monde désigne l'image qu'un être humain se fait du monde :
- Représenter : présenter à nouveau - Voyage : découverte de nouvelles terres, cartographie, colonies Au début des voyages/grandes découvertes, l’enjeu n’était pas de rencontrer de nouvelles cultures : - Altérité : différent de moi (étranger) je ne lui accorde pas le même statut - Ethnocentrisme : considérer que sa culture d’appartenance est supérieure aux autres (celui qui est différent de moi n’a pas de culture) Relativisme culturel : courant de pensée qui consiste à comprendre des bases culturelles différentes des nôtres pour se mettre à la place de l'autre texte de Claude Lévi-Strauss pour montrer les événements génocidaires durant la SGM A CONTRARIO XIX-XX : textes défendant la hiérarchie des races zoo humains / Vénus Hottentote (trop de gras dans ses fesses) MYTHE DU « BON SAUVAGE » Montaigne et la valorisation du sauvage dans Essais : Livre I : - Ethnocentrisme « Ils sont sauvages, de même que nous appelons sauvages les fruits que nature » - Sauvage // culture, civilisation Rousseau et l’hypothèse de l’homme à l’état de nature dans Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes : Bouleversement climatique - Egalité entre hommes et nature rompue - Vivre en société nécessaire PROPAGATION IDEE BON SAUVAGE Après la découverte du Nouveau Monde Montaigne introduit le relativisme culturel : Des Cannibales Comprendre l’autre et non plus voir les autres avec ses propres yeux, mais se voir soi-même avec les yeux de l’autre. Si pour lui les Sauvages sont > à notre civilisation corrompue, c’est qu’ils vivent selon la nature. Le sauvage est le non-civilisé, le Primitif qui semble nier le fait culturel chez l’autre (ethnologues ont dénoncé l’existence de sauvages). Tous les peuples, même ceux vivant au plus près de la nature ont une culture : langue, règles et coutumes, croyances. Le sauvage n’existe pas. Rousseau : Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes : « état naturel » Rousseau développe une longue description de l’homme à l’état de nature vivant en harmonie avec la nature dans lequel les inégalités n’existent pas.