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XP P 82-511
Avril 1999
ICS : 91.140.90
Norme expérimentale
publiée par AFNOR en avril 1999.
Les observations relatives à la présente norme expérimentale doivent être
adressées à AFNOR avant le 30 juin 2000, date prévisionnelle du vote formel au plan
européen.
Correspondance À la date de publication du présent document, des travaux européens sont en cours,
voir pr EN 81-11.
Modifications
Corrections
Éditée et diffusée par l’Association Française de Normalisation (AFNOR), Tour Europe 92049 Paris La Défense Cedex
Tél. : 01 42 91 55 55 — Tél. international : + 33 1 42 91 55 55
Sommaire
Page
Avant-propos ....................................................................................................................................................... 4
Avant-propos
La présente norme expérimentale précise les modalités d’application de la norme harmonisée NF EN 81-1:1998
(indice de classement : P 82-210) pour la construction et l’installation d’ascenseurs électriques dans les bâtiments
existants.
Elle a pour but de permettre aux constructeurs et installateurs d’ascenseurs, dans l’attente de la publication d’une
norme européenne harmonisée, actuellement en cours de préparation (prEN 81-11) et ayant franchi l’étape de
l’enquête publique, de respecter les exigences essentielles de sécurité de la Directive UE relative aux ascenseurs
(95/16/CE) lors de la construction et de l’installation d’ascenseurs électriques dans les bâtiments existants.
Elle prend en compte les prescriptions de la NF P 82-211 d’août 1987 et du projet de norme européenne harmo-
nisée prEN 81-11:1998 relatif aux règles de sécurité pour la construction et l’installation d’ascenseurs neufs dans
les bâtiments existants.
Dans la mesure du possible, les commentaires issus de l’enquête publique relative au projet de norme euro-
péenne harmonisée prEN 81-11 et émanant du Comité membre français représenté par AFNOR ont été égale-
ment pris en considération.
Introduction générale
La NF EN 81-1:1998 définit les règles de sécurité pour la construction et l’installation des ascenseurs électriques
neufs dans des bâtiments, en vue de protéger les personnes et les choses contre les différents risques d‘accidents
qui peuvent se produire lors du fonctionnement des ascenseurs.
La construction et l’installation d’ascenseurs électriques dans des bâtiments existants doivent être réalisées con-
formément aux prescriptions de la NF EN 81-1:1998. Toutefois, du fait que la configuration des lieux s’y oppose
généralement, certains de ses articles peuvent ne pas être appliqués dans les conditions fixées dans la présente
norme expérimentale.
La présente norme expérimentale considère ces conditions et permet l’utilisation de prescriptions alternatives
pour assurer un niveau de sécurité acceptable, tenant compte des circonstances particulières où celles-ci
s’appliquent.
L'objet de la présente norme expérimentale est de définir les règles de sécurité relatives à l'installation d'ascen-
seurs électriques dans les bâtiments existants tels que ces derniers sont définis dans la NF EN 81-1:1998. L'appli-
cation des règles ci-dessous ne doit pas conduire à obtenir un niveau de sécurité inférieur à celui résultant de la
norme applicable à l'ascenseur en vigueur à la date de construction du bâtiment.
Elle doit être lue simultanément avec la NF EN 81-1:1998.
1 Domaine d’application
La présente norme expérimentale concerne les ascenseurs électriques installés à demeure, dans des bâtiments
existants tels que définis dans la NF EN 81-1. Elle ne couvre pas les autres appareils hors du domaine d’applica-
tion de la NF EN 81-1.
La construction et l’installation d’ascenseurs électriques dans des bâtiments existants concernent :
a) soit la création d’un ascenseur ;
b) soit le remplacement complet d’un appareil existant par un nouvel ascenseur dans une gaine existante.
Pour les ascenseurs couverts par la présente norme expérimentale, toutes les prescriptions de la NF EN 81-1 doi-
vent être respectées, exception faite de celles ci-dessous :
les prescriptions alternatives ci-après s’appliquent uniquement lorsqu’elles sont autorisées par des réglemen-
tations applicables (par exemple, règlement de protection contre l’incendie et/ou règlement de Construction)
et seulement, si, pour des raisons objectives telles que la configuration du bâtiment, ou des raisons légales, il
n’est pas possible de satisfaire aux prescriptions de la NF EN 81-1.
La présente norme expérimentale ne concerne pas le remplacement ou la modification de parties d’un ascenseur
électrique déjà installé.
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2 Références normatives
Le présent document comporte par référence datée ou non datée des dispositions d’autres publications. Ces réfé-
rences normatives sont citées aux endroits appropriés dans le texte et les publications sont énumérées ci-après.
Pour les références datées, les amendements ou révisions ultérieurs de l’une quelconque de ces publications ne
s’appliquent à ce document que s’ils y ont été incorporés par amendement ou révision. Pour les références non
datées, la dernière édition de la publication à laquelle il est fait référence s’applique.
NF EN 81-1:1998, Règles de sécurité pour la construction et l'installation des ascenseurs — Partie 1 : Ascenseurs
électriques.
3 Définitions
Pour la compréhension de la présente norme expérimentale, toutes les définitions de la NF EN 81-1 s’appliquent
et sont complétées comme suit :
3.1
bâtiment existant
par bâtiment existant, on entend un bâtiment occupé ou précédemment occupé avant la commande de l’ascen-
seur. Un bâtiment dont le gros œuvre intérieur est totalement remanié est considéré comme neuf.
5 Gaine
5.1.2 Le contrepoids ou la masse d’équilibrage de l’ascenseur peut être placé(e) dans une gaine qui lui est pro-
pre, à condition que :
a) toutes les prescriptions concernant la gaine de la cabine soient remplies pour la gaine du contrepoids ou de la
masse d’équilibrage, le cas échéant ;
b) si le contrepoids ou la masse d’équilibrage n’est pas guidé(e) rigidement (voir 10.2.1 de la présente norme
expérimentale), au moins l’accès aux deux extrémités de la gaine du contrepoids ou de la masse d’équilibrage
soit prévu pour le montage et les contrôles de l’équipement ;
c) si le contrepoids ou la masse d’équilibrage est guidé(e) rigidement, des accès permettant l’entretien et les
contrôles de l’équipement de la gaine situé sur le trajet du contrepoids ou de la masse d’équilibrage soient
prévus ;
d) en cas de création, les portillons et les trappes de visite répondent aux mêmes prescriptions que les portillons
et les trappes de visite de la gaine de la cabine ;
e) il n’y ait pas d’espaces accessibles sous le trajet du contrepoids ou de la masse d’équilibrage ;
f) le contrepoids ou la masse d’équilibrage ne soit pas muni d’un parachute ;
g) un (des) dispositif(s) d’arrêt, accessible(s) à l’ouverture de la porte d’accès à la gaine de contrepoids ou de
masse d’équilibrage, en conformité avec les prescriptions de 14.2.2 et 15.7 soit (soient) prévu(s).
5.7.1.1 Les prescriptions de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
Les conditions suivantes doivent être simultanément remplies :
5.7.1.1.1 Lorsque le contrepoids repose sur son (ses) amortisseur(s) totalement comprimé(s),
a) la longueur des guides de cabine doit être telle qu’elle autorise encore une course guidée, exprimée en mètres,
d’au moins 0,1 + 0,035 v2 1) ;
b) la distance libre verticale entre les parties les plus basses du plafond de la gaine et les organes les plus hauts
fixés sur le toit de la cabine doit être au moins égale à 0,1 + 0,035 v2, exprimée en mètres ;
5.7.1.1.2 Fonctionnement en manœuvre d’inspection (14.2.1.3) c) : dès l’ouverture d’une porte palière à l’aide
de la clef de déverrouillage de secours, la nécessité d’enclencher la manœuvre d’inspection est rappelée par un
signal sonore et lumineux. Le niveau sonore doit être ajustable entre 35 dB(A) et 55 dB(A). Le signal lumineux
peut être obtenu par l’enclenchement de l’éclairage de la gaine.
Le signal sonore est neutralisé dès la re-fermeture de la porte palière ou dès l’enclenchement de la manœuvre
d’inspection.
5.7.1.1.3 En outre :
a) lors du fonctionnement en manœuvre d’inspection, un dispositif limiteur de course doit commander l’arrêt de
la machine par l’action d’un dispositif de sécurité conforme à 14.1.2 de façon à assurer une distance libre au
moins égale à 1,80 m entre le dessus du toit de cabine et le plafond de la gaine ou d'au moins 1,50 m de la
partie la plus basse des éléments fixés à celle-ci. Dans cette position, le toit de cabine doit en outre se trouver
à une distance maximale de 0,80 m au-dessus du palier du dernier niveau desservi, sauf en cas d'impossibilité
technique liée à la configuration des locaux ;
b) les distances libres verticales minimales (5.7.1.1) de 0,3 + 0,035 v2, exprimées en mètres, et de 1 + 0,035 v2,
exprimées en mètres et/ou le volume minimal de protection (0,50 m × 0,60 m × 0,80 m) dans la partie supé-
rieure de la gaine peuvent être obtenues par l’un ou l’autre des dispositifs suivants :
1) soit par une (des) butée(s) amortie(s) escamotable(s) supplémentaire(s), à condition que la vitesse nomi-
nale de l’ascenseur n’excède pas 0,63 m/s.
1) 0,035 v2 représente la moitié de la distance d’arrêt du fait de la gravité correspondant à 115 % de la vitesse
nominale :
2
( 1,15 ⋅ v ) 2
1/2 -------------------------- = 0,0337 ⋅ v arrondi à 0,035 v2
2 ⋅ gn
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5.7.2.2 Les prescriptions de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
Les conditions suivantes doivent être simultanément remplies :
a) lorsque les amortisseurs supérieurs sont totalement comprimés par la cabine, la distance libre entre les parties
les plus basses du plafond de la gaine et les organes les plus hauts fixés sur le toit de la cabine doit être au
moins égale à 0,10 m ;
b) lors du fonctionnement en manœuvre d’inspection (14.2.1.3), un dispositif limiteur de course doit commander
l’arrêt de la machine par l’action d’un dispositif de sécurité conforme à 14.1.2 de façon à assurer une distance
libre au moins égale à 1,80 m entre le dessus du toit de cabine et le plafond de la gaine ou d'au moins 1,50 m
de la partie la plus basse des éléments fixés à celle-ci. Dans cette position, le toit de cabine doit en outre se
trouver à une distance maximale de 0,80 m au-dessus du palier du dernier niveau desservi, sauf en cas
d'impossibilité technique liée à la configuration des locaux ;
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c) dès l’ouverture d’une porte palière à l’aide de la clef de déverrouillage de secours, la nécessité de l’enclenche-
ment de la manœuvre d’inspection est rappelée par un signal sonore et lumineux. Le niveau sonore doit être
ajustable entre 35 dB(A) et 55 dB(A). Le signal lumineux peut être obtenu par l’enclenchement de l’éclairage
de la gaine.
d) le signal sonore est neutralisé dès la re-fermeture de la porte palière ou dès l’enclenchement de la manœuvre
d’inspection.
5.7.2.3 Les prescriptions de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
Lorsque la cabine repose sur ses amortisseurs totalement comprimés, la longueur des guides de masse d’équili-
brage s’il en existe une, doit être telle qu’elle autorise encore une course guidée de 0,10 m.
5.7.3 Cuvette
5.7.3.2 Les prescriptions du 3e alinéa peuvent ne pas être appliquées si la profondeur de la cuvette ne dépasse
pas 1 m.
5.7.3.3 Les prescriptions de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
5.7.3.3.1 Dans le cas de treuil à adhérence :
Lors du fonctionnement en manœuvre d’inspection (14.2.1.3), la course en descente de la cabine doit satisfaire
aux conditions suivantes :
a) un dispositif limiteur de course doit commander l’arrêt de la machine par l’action d’un dispositif de sécurité
conforme à 14.1.2 de façon à assurer une distance libre au moins égale à 1,50 m au-dessous des parties les
plus basses de la cabine, pour éviter le risque d’écrasement dans le cas de travail en co-activité ;
b) dès l’ouverture de la porte d’accès à la cuvette, la nécessité de l’enclenchement du dispositif d’arrêt est rap-
pelée par un signal sonore et lumineux. Le niveau sonore doit être ajustable entre 35 dB(A) et 55 dB(A). Le
signal lumineux peut être obtenu par l’enclenchement de l’éclairage de la gaine.
c) le signal sonore est neutralisé dès la re-fermeture de la porte d’accès à la cuvette ou dès l’enclenchement du
dispositif d’arrêt.
Lorsque la cabine repose sur ses amortisseurs totalement comprimés, la distance libre verticale entre le fond de
la cuvette et les parties les plus basses de la cabine doit être au moins égale à 0,10 m.
6.3.2.2 Les prescriptions de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
La hauteur sous plafond du local doit être en fonction des caractéristiques des appareils, sans pouvoir être infé-
rieure à 1,80 m.
6.3.3.1 Les prescriptions de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
Les portes d’accès doivent avoir une largeur minimale de 0,60 m et une hauteur minimale de 1,70 m. Elles ne
doivent pas s’ouvrir vers l’intérieur du local.
6.3.3.2 Les prescriptions du 1er alinéa de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
Les trappes d’accès des personnes doivent avoir un passage libre minimal de 0,60 m × 0,80 m et être contreba-
lancées.
6.4.3.2 Les prescriptions du 1er alinéa de ce paragraphe peuvent être remplacées par les suivantes :
Les trappes d’accès des personnes doivent avoir un passage libre minimal de 0,60 m × 0,80 m et être contreba-
lancées.
7 Portes palières
7.3.1 Hauteur
La prescription de ce paragraphe peut être remplacée par la suivante :
Les portes palières doivent avoir une hauteur libre de 2 m au minimum ; si la configuration des lieux s’y oppose,
cette hauteur peut être réduite à 1,90 m.
En cas d’une différence de plus de 50 mm entre la hauteur de la porte de la cabine et la hauteur de la porte palière,
des affiches d’avertissements ou des peintures doivent être disposées à l’endroit approprié.
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7.7.3.4 À chaque niveau desservi, l’ascenseur doit toujours être accessible depuis les circulations communes.
8.1.1 La hauteur libre intérieure de la cabine doit être au minimum de 2,0 m ; si la configuration des lieux s’y
oppose, cette hauteur peut être réduite à 1,90 m.
8.1.2 La hauteur de la baie (ou des baies) de cabine servant à l’accès normal des usagers doit être au minimum
de 2,0 m ; si la configuration des lieux s’y oppose, cette hauteur peut être réduite à 1,90 m.
8.4 Garde-pieds
8.4.2 La prescription de ce paragraphe, en cas de hauteur réduite de la cuvette, peut être remplacée par l’une
des suivantes :
a) soit un garde-pieds rétractable répondant aux conditions suivantes :
1) la hauteur de la partie fixe verticale doit être au moins égale à la demi-zone de déverrouillage. Le garde-
pieds peut être rétractable pour la partie qui dépasse la moitié de la zone de déverrouillage ;
2) la position en extension complète du garde-pieds doit être vérifiée au moyen d’un dispositif électrique de
sécurité conforme à 14.1.2, qui empêche ou arrête le mouvement normal de la cabine et la maintienne à
l’arrêt pour tout déplacement au-dessus de 1 m du palier le plus bas ;
3) le garde-pieds en extension complète doit assurer sa fonction de sécurité ;
4) la distance libre verticale minimale entre le fond de la cuvette et le garde-pieds lorsque la cabine repose sur
ses amortisseurs totalement comprimés n’est pas requise ;
b) soit un garde-pieds à déploiement manuel à l’aide de la clef de déverrouillage de secours répondant aux
conditions suivantes :
1) la porte de cabine doit être équipée d’un verrouillage conforme à 8.9.3 ;
2) la hauteur de la partie fixe verticale doit être au moins égale à la demi-zone de déverrouillage ;
3) la hauteur totale du garde-pieds déployé doit être au moins de 0,75 m ;
4) le garde-pieds en extension complète doit assurer sa fonction de sécurité ;
5) la position repliée du garde-pieds doit être contrôlée par un dispositif électrique de sécurité conforme à
14.1.2 en fonctionnement normal de l’ascenseur ;
6) une signalisation appropriée doit informer :
— de la nécessité du déploiement du garde-pieds avant toute intervention, lorsqu’il existe un espace libre
de plus de 10 cm sur la largeur de la baie entre le bas du garde-pieds (non déployé) et le seuil de la baie ;
— que le déplacement de la cabine n’est autorisé qu’en manœuvre d’inspection ou en manœuvre électri-
que de rappel ;
7) après intervention, le reploiement du garde-pieds ne doit pouvoir se faire que depuis la cuvette ou le niveau
le plus bas, et par une personne compétente.
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8.13.3.6 Deux solutions peuvent être utilisées, dans l’ordre de préférence suivant :
a) soit une balustrade fixe, si les réserves dans la partie supérieure de la gaine le permettent ;
b) soit une balustrade rétractable : dans ce cas, un dispositif électrique de sécurité conforme à 14.1.2 doit empê-
cher le fonctionnement normal de l’appareil en cas d’oubli de rétracter cette balustrade.
9.2 Rapports entre diamètre de poulie de traction, de poulie, de tambour et diamètre de câble,
attaches de câble ou de chaîne
9.2.1 Pour les câbles à 8 torons au moins et 19 fils par toron, le rapport de quarante peut être ramené à trente-
trois.
11 Jeux entre cabine et paroi de service ainsi qu’entre cabine, contrepoids ou masse
d’équilibrage
f) en cas de contrepoids ou de masse d’équilibrage situé(e) dans sa propre gaine conformément à 5.1.2, une
affiche :
«VÉRIFIER LE CONTREPOIDS/LA MASSE D’ÉQUILIBRAGE DANS SA PROPRE GAINE».
15.17 Garde-pieds
Dans le cas de garde-pieds à déploiement manuel (8.4.2), il doit être apposé sur la partie fixe du garde-pieds une
affiche mentionnant :
«RISQUE DE CHUTE EN GAINE»
«Avant toute intervention de dégagement de personnes bloquées,
déployer le garde-pieds à l’aide de la clé de déverrouillage de secours.
2
1,15 v
2 2
2) ------------------------- = 0,067405708 ⋅ v , arrondi à 0,0674 v .
2 ⋅ gn
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Il doit être également apposé sur la partie fixe du garde-pieds une affiche mentionnant :
«Le déplacement de la cabine n’est autorisé
qu’en manœuvre d’inspection
ou
en manœuvre électrique de rappel»
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Annexe A
Liste des dispositifs électriques de sécurité
5.7.1.1.3 a) Limiteur de course en manœuvre d’inspection, réserves supérieures réduites, pour ascenseur à
adhérence
5.7.2.2 b) Limiteur de course en manœuvre d’inspection, réserves supérieures réduites, pour ascenseur à treuil
attelé
5.7.3.3.1 a) Limiteur de course en manœuvre d’inspection en cuvette réduite, pour ascenseur à adhérence
5.7.3.3.2 a) Limiteur de course en manœuvre d’inspection en cuvette réduite, pour ascenseur à treuil attelé
Annexe D
Examens et essais avant la mise en service
q) garde-pieds :
vérification du fonctionnement du garde-pieds selon 8.4.2 a) ou 8.4.2 b).
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Annexe L
Courses requises pour les amortisseurs