Cours et exercices d’applications et de réflexions sur les nombres complexes (Partie 1)

PROF : ATMANI NAJIB

2ème BAC Sciences Physiques et Sciences de la Vie et de la Terre (2BAC PC et SVT)
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NOMBRES COMPLEXES (Partie 1)

I) L’ENSEMBLE DES NOMBRES COMPLEXES
PREUVE :Soient z  x  iy et z  x  iy deux
1) Définition d’un nombre complexe.
1.1 L’ensemble ℂ ; définition et vocabulaire: On complexes tels que z  z
admet qu’il existe un ensemble noté ℂ ses éléments
z  z  x  iy  x   iy  x  x   i  y   y 
s’appelles des nombres complexes qui vérifie :
1) ℝ ⊂ ℂ
2) On définit dans l’ensemble ℂ deux opérations Raisonnons par l’absurde : si y  y  0 alors
appelées la somme et la multiplication qui ont les x  x 
mêmes propriétés que dans , l’ensemble des i étant un réel, on aboutit à une
nombres réels. y  y
3) L’ensemble ℂ contient un nombre non réel noté 𝑖
et qui vérifie i2  1 contradiction. Donc : y  y et on déduit alors
4) Tout nombre complexe 𝑧 s’écrit et de façon
x  x  0 donc : x  x
unique comme : 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 où 𝑎 et 𝑏 sont des réels La réciproque est claire.
5) Le réel 𝑎 s’appelle la partie réel du nombre Remarque : z  x  iy et  x; y   2
complexe 𝑧 ; on écrit : 𝒂 = 𝑹𝒆(𝒛)
6) Le réel 𝑎 s’appelle la partie imaginaire du nombre x  0 Re  z   Re  z 
1) x  iy  0   2) z  z  
complexe 𝑧 ; on écrit : 𝒃 = 𝑰𝒎(𝒛) y  0 Im  z   Im  z
7) L’écriture : 𝒛 = 𝒂 + 𝒊𝒃 s’appelle l’écriture
1.3 Remarque :
algébrique du nombre complexe 𝒛 .
1) L’ensemble ℝ est totalement ordonné, c’est-à-
Exemples
dire : (∀(𝑥, 𝑦) ∈ ℝ2)(𝑥 ≤ 𝑦 𝑜𝑢 𝑦 ≤ 𝑥 )
• Les nombres −1 ; 0 ; 3/4 ; 2 sont des nombres 2) L’ensemble des nombres complexe n’est pas
ordonné.
réels donc ce sont aussi des éléments de .
1.4 Des sous-ensembles de ℂ
• À l’aide du nombre i et de la multiplication : −i ; 2i ; 1) L’ensemble ℝ l’ensemble des nombres réels est
i 2 ... sont aussi dans . une partie de ℂ ; (∀𝑥 ∈ ℝ)(𝑥 = 𝑥 + 0𝑖)
𝑧 ∈ ℝ ⟺ 𝐼𝑚(𝑧) = 0
• Avec les additions, les nombres suivants sont 2) L’ensemble 𝑖ℝ est une partie de ℂ , s’appelle
aussi dans : 1 i ; 2  2i L’ensemble des imaginaires purs ; 𝒊ℝ = {𝒊𝒚/ 𝒚 ∈ ℝ}
𝑧 ∈ 𝑖ℝ ⟺ 𝑅𝑒(𝑧) = 0
THÉORÈME :Soient z  x  iy et z  x  iy 3) ℝ 𝖴 𝑖ℝ ⊊ ℂ et ℝ ∩ 𝑖ℝ = {0}
(⊊ veut dire strictement inclus strictement :
2 + 3𝑖 ∉ ℝ 𝑒𝑡 2 + 3𝑖 ∉ 𝑖ℝ )
x; y  2
et  x; y  2
deux nombres complexes :
II) LES OPERATIONS DANS ℂ.
1) L’addition dans ℂ.
 x  x 
z  z   1.1 Définition
y  Définition :Soient 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 et 𝑧′= 𝑎′ + 𝑖𝑏′ deux
y
L’ écriture algébrique d’un nombre complexe est nombres complexes.
unique. La somme des nombres complexes 𝑧 et 𝑧′ est le
nombre complexe noté 𝑧 + 𝑧′ définie par :

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𝒛 + 𝒛′= (𝒂 + 𝒂′) + 𝒊(𝒃 + 𝒃′) 5) La multiplication est distributive par rapport à
On en déduit que : 𝑅𝑒(𝑧 + 𝑧′) = 𝑅𝑒(𝑧) + 𝑅𝑒(𝑧′) et l’addition dans ℂ :
𝐼𝑚(𝑧 + 𝑧′) = 𝐼𝑚(𝑧) + 𝐼𝑚(𝑧′) (∀( z1 , z2 , z3 ) ∈ ℂ3) ( z1 × ( z2 + z3 ) = z1 × z2 + z1 × z3 )
1.2 Propriétés 2.3 Le quotient de deux complexes.
L’addition dans l’ensemble ℂ est : Soient 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 et 𝑧′= 𝑎′ + 𝑖𝑏′ deux nombres
1) Associative :(∀( z1 , z2 , z3 ) ∈ ℂ )
3 complexes où 𝑧′ ≠ 0 le quotient des nombres 𝑧 et 𝑧′
(( z1 + z2 ) + z3 = z1 + ( z2 + z3 )) est le produit de 𝑧 et de l’inverse de 𝑧′ et se note
2) Commutative : (∀(𝑧, 𝑧′ ∈ ℂ2)(𝑧 + 𝑧′= 𝑧′ + 𝑧) z
ou 𝑧(𝑧′−1)
3) 0 est l’élément neutre pour l’addition dans ℂ : z 
(∀𝑧 ∈ ℂ)(0 + 𝑧 = 𝑧 + 0 = 𝑧) 2.3 Règles de calculs dans ℂ
4) Chaque élément 𝑧 dans ℂ a un symétrique appelé Toutes les règles de calculs qu’on a connu dans ℝ
l’opposé de 𝑧 noté (−𝑧) ; 𝑧 + (−𝑧) = (−𝑧) + 𝑧 = 0On sont vraies dans ℂ.
dit que ℂ muni de l’addition est un groupe 1) 𝑧𝑧′= 0 ⟺ 𝑧 = 0 ou 𝑧′= 0
commutatif, on le note par : (ℂ, +) 2) z0  1et (∀𝑛 ∈ ℕ∗)( z n = 𝑧⏟× 𝑧 × … × 𝑧 ) 𝑛 𝑓𝑜𝑖𝑠
1.3 La différence de deux nombres complexes. 1
3) z n 
Soient 𝑧 et 𝑧′ deux nombres complexes tels que : zn
𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 et 𝑧′= 𝑎′ + 𝑖𝑏′ La différence de 𝑧 et 𝑧′ est la 4) nm
z  zn  zm
somme de 𝑧 avec le symétrique de 𝑧′ c’est-à-dire :
𝑧 + (−𝑧′) qu’on la note : 𝑧 − 𝑧′ 5) znm  zn / zm
𝒛 − 𝒛′= (𝒂 − 𝒂′) + 𝒊(𝒃 − 𝒃′)
6)  z n   z nm
m
2) La multiplication dans ℂ.
2.1 Définition :
Comme la multiplication dans ℂ prolonge celle dans 7) zn  zn   z  z z n1  z n2 z  ...  z1zn2  zn1 

1 1 1 1 1
ℝ on peut définir la multiplication dans ℂ
par :Soient 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 et 𝑧′= 𝑎′ + 𝑖𝑏′ deux nombres 1 zn1
8) Si 𝑧 ≠ 1 alors : S  1 z 1  z2 ...  zn 
complexes. 1 z
Le produit des nombres complexes 𝑧 et 𝑧′ est le
nombre complexe noté 𝑧 × 𝑧′ définie par : somme des termes d’une suite géométrique
𝑧 × 𝑧′= (𝑎 + 𝑖𝑏) × (𝑎′ + 𝑖𝑏′)= 𝑎𝑎′ + 𝑎𝑏′𝑖 + 𝑖𝑏𝑎′ + 𝑏𝑏′𝑖² Application : Trouver la forme algébrique et
i2  1 déterminer la parties réelles et imaginaires des
𝑧 × 𝑧′ = (𝑎𝑎′− 𝑏𝑏′) + 𝑖(𝑎𝑏′ + 𝑏𝑎′) nombres complexes suivants :
𝒛 × 𝒛′= (𝒂𝒂′− 𝒃𝒃′) + 𝒊(𝒂𝒃′ + 𝒃𝒂′)
z1  2  i1 i 1 2i²  
3
z2  1 i 3
2.2 Propriétés :
La multiplication dans l’ensemble ℂ est : 1 3i 1 i
z5  1 i 
10
z3  z4  3  2i
1) Associative :(∀( z , z , z ) ∈ ℂ3) 3 i
1 2 3

(( z1 × z2 ) × z3 = z1 × ( z2 × z3 ))2 Solution :1)

2) Commutative : (∀(𝑧, 𝑧′) ∈ ℂ )(𝑧 × 𝑧′= 𝑧′ × 𝑧) z  6  5i  a  bi donc Re z   et Im z 5
 1 6 1
ℂ :l’élément
1
3) 1 est neutre
dans (∀𝑧 ∈ ℂ)(1 × 𝑧 = pour
𝑧 × 1la= multiplication
𝑧) 3 2 3

4) Chaque élément non nul 𝑧 dans ℂ a un 2) z2  1 i 3  13  312  3i  31  3i   3i
1
symétrique appelé l’inverse de 𝑧 noté : ( ou z1 ) z2  1 3 3i  3 3  3 3i  8  0i 
z
1
Et on a z   1 car Im z2   0
z
On dit que ℂ∗ muni de la multiplication est un groupe
1  3i 1  3i3  i 3  i  9i  3 6  8i
commutatif, on le note par : (ℂ∗,×) 3) z3    
En plus des 8 propriétés que vérifient l’addition et la 3  i  3  i  3  i  9  i2
10
multiplication dans l’ensemble ℂ il y a une propriété 6 8i 3 4i donc Re  z   3 et Im z   4
commune entre les deux opérations : z3     1
 1
10 10 5 5 5 5

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4) z  1  i 
1  i 3  2i 3  2i  3i  2 1  5i 1 5 REMARQUES :
    i 1)Les complexes z = a ∈ R sont des nombres
4
3  2i 3  2i3  2i  9  4i2 13 13 13
réels et sont représentés sur sur l’axe des
10

5) z5  1 i   1 i    1  2i 1 i    2i 
2 5 2 2
5 5
Réels.
2) Les complexes z = ib, b ∈ R sont des
z5   2i   25  i 5  32  i   i  32i
5 2 2
imaginaires purs et sont représentés
est un imaginaire pur car Re z5   0 l’axe des imaginaires purs.
REMARQUES : 3) Le plan est alors appelé plan complexe.
Lorsque Im(z) = 0, z = a est réel. Exemple1 : Dans le plan complexe, on a représenté
Lorsque Re(z) = 0, z = ib est appelé imaginaire pur.
ci-contre les points d’affixe z tels que
III) INTERPRETATIONS GEOMETRIQUES.
1)L’interprétation géométrique et représentation • Re(z) = 2
d’un nombre complexe • Im(z) = 3
Le plans (𝑃) est muni du repère orthonormé • Re(z) = Im(z).
 
𝑅 O;u; v ; et soit 𝒱2 le plan vectoriel associé à (𝑃).
Soit 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 un nombre complexe le couple (𝑎, 𝑏)
est associé à un point unique 𝑀 dans le plan (𝑃).
L’application : ℂ → (𝑃)
𝑧 ↦ 𝑀(𝑎, 𝑏)
où 𝑎 = 𝑅𝑒(𝑧) et 𝑏 = 𝐼𝑚(𝑧) est une bijection
1) Le point 𝑀 s’appelle l’image du nombre complexe
dans le plan (𝑃), et l’application
2) Le complexe 𝑧 s’appelle l’affixe du point 𝑴
on écrit : 𝑧 = 𝑎𝑓𝑓(𝑀) et on écrit : 𝑧𝑀 = 𝑎 + 𝑖𝑏
3) L’application : ℂ → 𝒱2
𝑧 ↦ u (𝑎 ;𝑏)
où 𝑎 = 𝑅𝑒(𝑧) et 𝑏 = 𝐼𝑚(𝑧) est une bijection

4) Le vecteur u s’appelle l’image du nombre 2) Les opérations sur les affixes.

Propriété :Soient u et v deux vecteurs dans 𝒱2 ;
complexe dans le plan (𝑃)
𝑀 et 𝑁 deux points dans le plan (𝑃) et 𝛼 un réel ;
5) Le complexe 𝑧 s’appelle l’affixe du vecteur u on On a :
1) 𝑎𝑓𝑓(𝐴) = 𝑎𝑓𝑓(𝐵) ⟺ 𝐴 = 𝐵
écrit : 𝑧 = 𝑎𝑓𝑓( u ) on écrit : zu = 𝑎 + 𝑖𝑏 et 𝑎𝑓𝑓(u ) = 𝑎𝑓𝑓( v ) ⟺ u = v
2) 𝑎𝑓𝑓(u + v ) = 𝑎𝑓𝑓(u ) + 𝑎𝑓𝑓( v )
6) Le plan (𝑃) s’appelle un plan complexe 3) 𝑎𝑓𝑓(𝛼u ) = 𝛼 × 𝑎𝑓𝑓(u )
 
7) a)L’axe O;u s’appelle l’axe des réels 4) 𝑎𝑓𝑓( AB )= 𝑎𝑓𝑓(𝐵) − 𝑎𝑓𝑓(𝐴) = 𝑧B – 𝑧A
 
b) L’axe O; v s’appelle l’axe des imaginaires Propriété :
Dans tout qui va suivre le plan complexe est muni 1) Soient [𝐴𝐵] un segment de milieu 𝐼 ; on a :
 
d’un repère 𝑅 O;u; v
zA  zB
zI 
2
2) Le barycentrer de 2 points pondérés :
 zA   zB
𝐺 = 𝐵𝑎𝑟{(𝐴, 𝛼); (𝐵, 𝛽)} on a z 
G   

3) Le barycentrer de 2 points pondérés :

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𝐺 = 𝐵𝑎𝑟{(𝐴, 𝛼); (𝐵, 𝛽); (𝐶, 𝛾)} on a :
l’affixe du point B est zB  1 i
z   zB   zC 
z  A
G      l’affixe du point C est zc  1 2i
3) Condition complexe d’alignement de 3 points
Soient 𝐴, 𝐵 et 𝐶 trois points distincts du plan d’affixes 2) 𝑎𝑓𝑓( AB )= 𝑎𝑓𝑓(𝐵) − 𝑎𝑓𝑓(𝐴) = 𝑧B – 𝑧A

respectifs : z A , zB et zC z AB  1 i    2  3i  1 4i

On sait que :
zA  zB 2  3i 1 i 3  2i 3
3) z I     i
𝐴, 𝐵 et 𝐶 sont alignés ⟺ (∃𝛼 ∈ ℝ)( AC = 𝛼 AB ) 2 2 2 2
4) zC  zA 1 2i  2  3i
- (∃𝛼 ∈ ℝ)( zC  zA = 𝛼( zB  zA )) 1 5i
 
zC  z A zC  z A
zB  zA 1 i   2  3i 1 4i

- (∃𝛼 ∈ ℝ) (
zB  z A
= 𝛼)⟺
B A
z z
∈ℝ

 1 5i  1 4i 
1 4i  5i  20
Propriété :Soient 𝐴, 𝐵 et 𝐶 trois points distincts du  1 4i  1 4i   12   4i 2
plan d’affixes respectifs z A , zB et zC zC  zA 21 i 21  1 i 
 
   

les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 sont alignés si et seulement si : zB  zA 17 17 17

zC  z A Donc : les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 ne sont pas alignés.

∈ℝ 5) le barycentre de {(𝐴, 2); (𝐵,−1), (𝐶, 3)} ?
z B  z A
z A   zB   zC 2z 1zB  3zC
zG   A
Exemple1 : soient dans1
le plan complexe les      2 1 3
points : A 1 i et B  2i  et C 1  i

 

2 
2 2  3i 11 i  31 2i 6  i  3  1 i
Montrer que les les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 sont alignés. zG  
2 1 3 4 2 4
Solutions :
1 1 1
 2i  i i i 6) ABCD est un parallélogramme si et seulement
zB  zA  2  2  2 1    12 
zC  zA 1  i  i 1  2i 2 i Si c’est-à-dire : z  z  z  z


 2  AB  DC B A C D
 
Donc : les les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 sont alignés zD  zC  zA  zB
Exemple2 : soient dans le plan complexe les
On en déduit en remplaçant par les données :
points : A2; 3 et B 1;1 et C 1; 2 
zD  1 2i  2  3i 1 i  2  2i
1) Determiner les affixes des points A et B et C ? Exercice 1 :
2) Determiner l’affixe du vecteur AB soient dans le plan complexe les points :
A ; B ; C ; D ; E d’affixes respectivement :
3) Déterminer l’affixe de 𝐼, milieu de [𝐴𝐵].
4)Montrer que les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 ne sont pas z A  1  i et zB  3  2i et zC  2  i et zD  2i
alignés.
5) Déterminer le barycentre de {(𝐴, 2); (𝐵,−1), (𝐶, 3)} et zE  2
6) Déterminer l’affixe du point 𝐷 pour que le
1) Représenter ces points dans le plan complexe
quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 soit un parallélogramme. 2) Déterminer l’affixe de 𝐼 milieu de [𝐴𝐵].

Solutions :1) l’affixe du point A est zA  2  3i 3) Determiner l’affixe du vecteur AB

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 4) montrer que le quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un
Exemple :1) z  2  3i son conjugué est z  2  3i
parallélogramme
Solution : 1) 2) z  3i  6 son conjugué est z  3i  6

3) z  3  6 son conjugué est z  3  6


    

4) 7  7; 2i  2i; 5  3i  5  3i;3 2i  3  2i

Propriété : (Règles de calculs) z  et z  

1) si z  x  iy alors z  z  x2  y2

2) z  z 3) z  z  2i Im z  4) z  z  2 Re  z 
𝐼 milieu de [𝐴𝐵]. Donc : AI  IB donc zI  zA  zB  zI

z z 3  2i 1  i 3 5) z   z  z 6) z i zz 0
Donc : zI  donc : zI   2 i
B A

2 2 2 7) z  z  z  z 8) z  z  z  z
 3
Donc : I 2; 


  1 1   

 z  z 
 2
 

9)    10)    si z  0
z z   z
z
3) z AB  z B  zA  3  2i  1 i   3  2i 1 i  2  i
11)  z n   z 
n
4) il suffit de monter que : AB  DC n 
On a : z AB  2  i
12) z   z z  et   

zDC  zC  zD  2  i  2i  2  i PREUVE :

• On prouve la 8)
Donc : z AB  z DC par suite : AB  DC On écrit les complexes z et z’ sous forme
Donc : le quadrilatère 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un parallélogramme algébrique : z  a  bi avec a  et b
IV) LE CONJUGUE D’UN NOMBRE COMPLEXE. Et z  a  b i avec a  et b  
Définition : Soit le nombre complexe 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 On a alors : z  z   a  bi a  bi
(𝑎 et 𝑏 sont des réels) ; le nombre complexe
  

z  z  aa  abi  bai  bb  aa  bb   ab ba i

qu’on note z et qui est égale à z = 𝑎 - 𝑖𝑏
S’appelle le conjugué du nombre complexe 𝑧 z  z  aa  ab i  ba i  bb   aa  bb   ab  ba i

Si z est l’affixe de M, z est l’affixe de M’ du D’autre part :

symétrique de M par rapport à l’axe des réels. z  z  a  bi  a  bi   a  bi    a  ib

z  z  aa  iab  abi  bb   aa  bb   ab  ba i

Ce qui donne bien l’égalité cherchée.

• On prouve la 9)

 1 donc z     1
1 1 1
On a : z   1 donc : z 
z z  z 
 1 1



Donc : cqfd
 
 z  z

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 • On prouve la 10) 1 3
z  z  1 j2    i  j
On a :  z   donc  
 z
1 2 2
z  z   
z z
    

 z  1 1 z 2)il suffit de montrer que : S  S  0
donc  z   z    n n
 
  

 z   jn
z z z
S  S  j2n  jn  j2n  jn   j2   jn   j2 
• L’égalité 11) se démontre par récurrence si
S  S   j   jn   j2   jn   j   jn   j 
n n n n
n
j
n
En effet : n=0 on a  z 0   z 
0 n n
car 1  1 S  S  j  j  j  j  0
n n

 zn    z 
n
Supposons que S est donc bien un imaginaire pur
Exemple3 : soit u  tel que u 
Montrons que :  z n 1   z 
n 1
? Montrer que : z   1 uz  1 u  z  z 

 z n 1   z n  z  z n  z   z  
n n 1
z  z Solution :1) soit z  tel que :

1 uz  1 u  z
Donc :  z n   z 
n
n
2
2
Si n est négatif alors m  n Donc : 1 uz  1 u  z
1 u  z 
Donc :
 1  1 1 Donc : 1 uz 1 uz   1 u  z 
  
m
 z    z    z
n
m
n
m     z  z
 zm
     1 u  z 


m
Donc : 1 uz 1 u z  1 u  z
  

z Car : u  u
Donc :  z   z
n
n
n 
Donc : 1 uz  uz  uuzz  1 uz  uz  uuzz
Exemple1 : Démontrer que S  1 i   1 i  est
5 5

Donc : uz  uz  uz  uz
un nombre réel.
Solution :On a :    
Donc : u  u z  u  u z  0

S  1 i   1 i   1 i   1 i   1 i   1 i  Donc : u  u z  z   0

5 5 5 5 5 5

S  1 i   1 i   S
5 5
Et puisque : u  u  0 car u 
S est donc bien un nombre réel. 
Donc : z  z  0 Donc : z  z
1 3
Exemple2 : on pose : j    i Donc : z 
2 2
Exercice 2: z 
et S  j j n 
2n n
Ecrire en fonction de z le conjugué des nombres

1) montrer que : j2  j complexes suivants :

1) Z1  2  i 5  i 2) Z2  2z  5i 3) Z3  z  1
2) Démontrer que : S i n 3z  i
Solution :
Solution :1)
 1   1
2 2
1 3  3 1 3 1) Z1  2  i  5  i  2  i    5  i  2  i  5  i
2

j    i
2 3        3
   2 i  i  i
 2 2   2  2 2  2  4 4 2 2)
Z2  2z  5i  2z  5i  2z  5i

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 3) Z  z 1  z 1 z 1 Donc : U   x  i  y  2 x 1  yi
  
 
 3z  i  3z  i 3z  i Donc : U   x 2  y2  x  2y   i  y  2x  2
3

Exercice 3: Résoudre dans ℂ les équations

suivantes : Donc : Re U   x2  y2  x  2y et Im U    y  2x  2
1) 2z  iz  5  4i 2) z  2z  2  6i
2) U est réel ssi Im U   0   :  y  2x  2  0
Solution :1) z 
Donc : l’ensemble  des points 𝑀(𝑧) du plan tels
donc : x  et y  / z  x  yi
que : U est réel est la droite d’équation :
2z  iz  5  4i  2  x  yi   i  x  yi   5  4i
 :  y  2x  2  0
2x  y  5
 2x  y   i  2 y  x   5  4i   
3) U est imaginaire pur ssi Re U   0
2 y  x  4
2x  y  5
2x  y  5 2x  y  5 
 13  x2  y2  x  2y  0
4 y  2x  8    3y  13  y  
 4 y  2x  2x  y  8  5  2 2

 x  2 x        y2  21y 12 12  0

3 2 1 1 1
2  2   2 
Donc : x  14 par suite: z  14  13 i
2
 5
2 2
3 3 3  1 2 5  1
14 13    x     y 1    x     y 12  2 
Donc : S    i   2 4  2  
3 3 
l’ensemble C des points 𝑀(𝑧) tels que : U est
2) z  donc : x  et y  / z  x  yi
imaginaire pur est le cercle de centre :   1 ;1
z  2z  2  6i  x  yi  2  x  yi   2  6i 
2  
   

Donc : S  2  2i et de rayon : R  5

2

Exercice4 : dans le plan complexe on considére le Exercice5 :

nombre complexeU et soit M l’image du nombre A) Résoudre dans ℂ les équations suivantes :

  2) z  1 i  z  3  2i  0
 

complexe z et on pose : U   z  2i  z  1 1) 2z  3z 1 2i  0

Et z  x  yi avec x  et y  3) 3  i  z  z  i

B) Déterminer les ensembles suivants :

1) écrire en fonction de x et y la partie réel et la
z  2i
partie imaginaire de U 1) (E1) = {𝑀(𝑧) / ∈ ℝ}
z i
2) Déterminer l’ensemble  des points 𝑀(𝑧) du
z  2i
plan tels que : U est réel 2) (E2) = {𝑀(𝑧) / ∈ 𝑖ℝ}
z i
3) Déterminer l’ensemble C des points 𝑀(𝑧) Exercice6 :Démontrer que :

 3  i  
2n1 2 n1
tels que : U est imaginaire pur S  i  3 est un nombre
Solution :1) z  x  yi avec x  et y  réel n


Donc : U   x  yi  2i x  yi 1

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Solution :On a :
x²  y² 2 s’appelle le module du

le réel positif

i  3      3  i     1   3  i 
2 n 1 2 n 1 2 n 1
2 n 1

nombre complexe 𝑧 et on le note z

Donc: i  3 

   3  i
2n1
car  1  1
2n1 2 n1

Exemple : calculer le module des nombres

Donc : S   3  i 

  3  i
2n1 2n1
1 3
complexes suivants : 1) z  2  i 2 2) z  3 4i

 3  i    3  i  3
2 n 1 2 n 1
S  i   i 
3 
2 n 1 Solution :

2n1

   
2 n 1

3
S 3i  i 
 3  i  3  i
2 n 1 2
 1     3 
2 n 1 2 n 1 1 3 2
1 3
     1
z  2 i 2   2   2   4 4  1
Donc : S  S
z  3  4i  32   4   25  5; 2i  2
2

 2
2
donc S est bien un nombre réel.
Exercice7 : dans le plan complexe on considére le Propriété :Soit z  x  yi un nombre complexe ;
nombre complexeU et soit M l’image du nombre
on a z  x²  y²  zz
complexe z et on pose : U  2iz  z
Preuve : en exercice
Et z  x  yi avec x  et y  Exercice :
A) Déterminer les modules des complexes
1)écrire en fonction de x et y la partie réel et la suivants :
1 1
partie imaginaire de U 1) z1  3  3i 2) z2   3i 3) z2 
2 1 i
2) Déterminer l’ensemble  des points 𝑀(𝑧) du 4) z4  x où 𝑥 ∈ ℝ
plan tels que : U est réel B) Ecrire sous la forme algébrique les complexes
Solution :1) z  x  yi avec x  et y  suivants puis déterminer leurs modules :

Donc : U  2i  x  yi   x  yi  2ix  2y  x  yi 1) u1 

2  5i
1 3i
2) u2 
1 i
i3 2

3) u3  2  3i  2 i 
Donc : U  2 y  x  i  y  2x C) Déterminer l’ensemble des points 𝑀(𝑧)
1
tels que : A(𝑧) ;B( z ) et C( ) soit alignés.
Donc : Re U   2 y  x et Im U   y  2x z
2) Règle de calculs
Propriétés : Pour tous complexes 𝑧 et 𝑧′ et pour
2) U est réel ssi ImU   0    : y  2x  0
tout 𝑛 dans ℕ on a :
Donc : l’ensemble  des points 𝑀(𝑧) du plan tels
2
1) z   z  z 2) z  zz 3)
que : U est réel est la droite d’équation :
z  1  zz  1
  : y  2x
4) z  0  z  0 5) z  z  z  z
V) LE MODULE D’UN NOMBRE COMPLEXE.
1) Définition et applications 1 1 z  z
6)  et  si z  0
Définition :Soit z  x  yi un nombre complexe z z z z

7) z  z si z  0 et n
n n
avec x  et y 

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 8) z  z  z  z   z   z   1  3i  2  1  3i   1  3  4  2
2 2

Exemple : calculer le module des nombres   

C  zC  z  3  3i  2  1  3i  1 2 
   3  4 2
2

complexes suivants : 1) z1  51  i 3   

BC  zC  zB  3  3i  1  3i  2  2
1  i 3
3 
2) z2   1  i  3  i 3) z3   Donc : AC    BC 
 1  i  Exemple2 : Déterminer l'ensemble     des points


Solution :
1) z 1  51  i 3   5 1  i 3  5 1  3  10 d'affixe tels que : z 1 2i  z  7  2i

2) z  1  i    i   1  i    i  2  Solution :
2
3 3 4 2 2
Methode1 : Méthode géométrique :
 
3
 1 i z 1 2i  z  7  2i  z  1 2i  z  7  2i
3 
3
 
3 3

3) 1i 3  1i 3 1i 3   

z3   1  i   1  i 
 1  i   1  i


  On pose : A zA  1  2i et B  zB  7  2i


 2
3 3
z   4 2
3  2   2  z  z  z  z  AM  BM
  M A M B

2) interpretation geometrique du module :

L'ensemble  cherché est la médiatrice du
Le plan est rapporté à un repère orthonormé
soit M l’image du nombre complexe z  x  iy segment AB 

Methode1 : Méthode algébrique :

avec x  et y  on
z donc x  et y  tel que : z  x  yi
a : M  x; y  donc :
z 1 2i  z  7  2i  x  yi 1 2i  x  yi  7  2i
OM  OM  x  y  z
2 2

 x 1 i  y  2  x  7  i  y  2
Donc : z  OM
  x 1   y  2   x  7    y  2    x 1   y  2    x  7    y  2 
2 2 2 2 2 2 2 2

Propriété :Si et ont pour affixes z et zB ,  x 2  2x 1 y 2  4y  4  x 2 14x  49  y 2  4y  4

alors :     z  z  12x  8y  48  0     : 3x  2 y 12  0

Exercice 8:Déterminer l'ensemble des points

Preuve :soit M tel que : OM  
d'affixe tels que :a) z  3  i  5
On a donc : zM  z  z avec zM l’affixe de M
b) z  4  5i  z  2
Donc : z  z  zM  OM  
Solution :
Exemple1 : Le plan complexe est rapporté à un a) Soit le point d'affixe 3 i
repère orthonormé O;u; v   ; les points A, B et C

L'ensemble cherché est le cercle de centre A
ont pour affixes: z A  2 et zB  1  3i et zC  3  i 3
et de rayon .
Montrer que le triangle ABC est équilatéral b) Soient B et C les points d'affixes 4  5i et
Solution :il suffit de montrer que : AC    BC

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 L'ensemble  cherché est la médiatrice du

L'ensemble cherché est la médiatrice du

segment  AB
segment BC 
VI) FORME TRIGONOMETRIQUE D’UN NOMBRE
Exercice9 :Déterminer l'ensemble C  des points COMPLEXE NON NUL
1) L’argument d’un nombre complexe non nul.
d'affixe tels que : z  2i  3 Définition :Le plan complexe est menu d’un

Solution : repère O;u; v  .Soit 𝑧 un nombre complexe non

Methode1 : Méthode géométrique :
nul et 𝑀(𝑧) son image. On appelle argument du
z  2i  3 On pose : A  z A  2i nombre complexe 𝒛 une mesure (en radian) de

 zM  zA  3  AM  3 
l’angle u;OM  On le note par 𝒂𝒓𝒈(𝒛)
L'ensemble C cherché est le cercle de centre :

A0; 2 et de rayon : R  3

Methode1 : Méthode algébrique :

z donc x  et y  tel que : z  x  yi

z  2i  3  x  yi  2i  3  x  i  y  2  3
Exemple : Le plan complexe est rapporté à un

 x 2   y  2  3   x  0   y  2  32
2 2 2

repère orthonormé O;u; v ; 
on considère les points A ; B ;C ;D ;E ;F qui ont
L'ensemble C cherché est le cercle de centre :
pour affixes: z A  2 et zB  2i et zC  2  2i et
A0; 2 et de rayon : R  3
zD  3i et zE  3 et zF  2  2i
Exercice10 : Déterminer l'ensemble     des
1) Représenter les points A ; B ;C ;D ;E ;Fdans
Le plan complexe
1
points d'affixe tels que : iz  3  z  4i 1 2) on utilisant la représentions déterminer
i
l’argument des complexe : z A et zB et zC et zD et
Solution :
Methode1 : Méthode géométrique :
zE et zF Solution :1)
1
iz  3  z  4i 1  i  z  3i   1  z  4  i 
i i

1
 z  3i  z  4  i car i  1
i

 z  3i  z   4  i 


On pose : A zA  3i et B  zB  4  i



 zM  zA  zM  zB  AM  BM

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 
2) arg zA  0 2   et arg z B   2  4) z3  1 3i 5) 𝑧 = 7 6) 𝑧 = −12
2
 
arg zC  2  et arg zD  2  Solution :1) z1  1 2  3 
2
4 2
4 2
3  1    
arg zE    2  et arg zF  2  z  1i  2 3 i  2 cos  i sin  
4 1 3  2 2   6  6 

Remarque : le complexe nul n’a pas d’argument     

 
et y  2 

Propriété : z  
arg z1 
6
1) z  
 arg z    2  2) z  
 arg z  02 

3) argiy   2  si y 0 et arg iy   2  si
2 2
y 0 
4) arg z    arg z 2  5) arg z   arg z  2 
 
Exemple : arg5i  2  et arg3i   2 
2 2
arg2  02  et arg1   2  2) z2  12  12  2


2) Forme trigonométrique d’un nombre  1 1    

z1  1  i  2 i  2 cos  i sin 
complexe non nul  2 
 2   4 4 
Soit 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 un complexe non nul, on a donc
Et on a : cos x   cos x et sin x   sin x donc :
z  a²  b² ≠ 0 et par suite : 
      arg z 
 


z  a²  b²
a
i
b
 z2     4 2 
2  cos     i sin   
 
2

 a²  b² a²  b²   4 4
 
Or : si arg(𝑧) ≡ 𝜃 [2𝜋] 3 1 3 1  1 3
3) z3   6  2 i z3   3
a b 36 4 3
alors : cos  et sin  3 1 3 1 3 3  
a²  b² a²  b² z3    i    i    cos  i sin 
6 2 3 2 2 3 3 3 
Et finalement : 𝑧 = |𝑧|(𝑐𝑜𝑠𝜃 + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃)    

Propriété : Tout nombre complexe non nul 𝑧 à

Et on a : sin   x   sin x et cos  x    cos x
une écriture de la forme 𝑧 = |𝑧|(𝑐𝑜𝑠𝜃 + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃)
Où arg(𝑧) ≡ 𝜃 [2𝜋] Donc:
Cette écriture s’appelle la forme trigonométrique 3      3   2   2 
z  cos    i sin    cos  i sin 
du nombre complexe non nul 𝒛 3 
3    
3  3   3   3
   3 
    
Exercice11 : 
Donner la forme trigonométrique du nombre 4) z3  1 3i
complexe 𝑧 dans les cas suivants :
z3   1
2
   4 2
2) z2  1  i 
2
1) z1  3  i 3) z3   3  1 i 3
6 2  3    
 1
z3  1  3i  2    i  2  c os  i sin 
2 2   3 3 
 

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 sin   x   sin x et cos   x  cos x   
z  2 sin  et arg z  2 
2 2
     4  4  
z 4  2 cos    i sin     2 cos  3 
          i sin 


3 3       
          3    Si    ; 0 alors :    ; 0 
 donc 2 sin 0
2  2 2

Propriété : z         
z  2 sin cos   i sin  
 2   
Si on a z  r cos  i sin  avec r
2
0 2     
2 2 2
   
Alors z  r et arg z   2  
 
z  2 sin cos           
    i sin     
2  
2

  2 2  2 2  
Exemple : Donner la forme trigonométrique du

nombre complexe 𝑧 dans les cas suivants avec         
   ;  0 z2  2 sin cos   i sin 
2 2 2 
     
 
1) z1  sin  i cos 2) z2  1 cos  i sin Donc : c’est la forme trigonométrique du nombre

 complexe z2 et on a :
3) z3  sin  2i sin2 
2
  
Solution : 1) z  2sin  et arg z  2 
     2 2
z  sin  i cos     i sin   2    
1 1  cos   2  3) z  sin  2i sin   2i sin2 
  2    2 cos sin
3
2 2 2 2
Donc : c’est forme trigonométrique du nombre    
  z3  2 sin cos  i sin 
complexe z1 donc z1  1 et arg z    2   2 2 2 
2    
 Si   0;  alors :  0; donc 2 sin 
   0
2) z2  1 cos  i sin  2 sin 2  2 
 i2 sin cos 
2 2
2 2 2
Donc : la forme trigonométrique du nombre
  
z 2  2 sin  sin  i cos     
2 2 2  complexe z3 est : z3  2 sin cos  i sin 
  2 2 2 
      
z  2 sin cos   i sin    
2 
2

2
 
2
2  

2
z  2 sin
et arg z  2 
2 2
     
z  2 sin cos   i sin   
   
2       Si    ; 0 alors :    ; 0  donc 2 sin 0
2 2 2  2 2   2  2  2

         
 Si   0;  alors :  0; donc 2 sin  z  2 sin cos  i sin 
0
2  2  2     
 2  
2
2  2
Donc : la forme trigonométrique du nombre    
 
complexe z2 est : z  2 sin 2 cos   2  i sin   2 
2     
     

        Donc : c’est la forme trigonométrique du nombre

z 2  2 sin cos 2   i sin  
    
2      complexe z2 et on a :
2 2 2

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   Exemple :on considère les nombres complexes :
z  2sin  et arg z     2  z
2 2 z1  3  i et z2  1 i et Z  1
et U  z16  z22
z
2
3) Règles de calculs sur les arguments :
Soit 𝑧 et 𝑧′ deux nombres complexes non nuls tels 1) Ecrivez les nombres complexe z1 ; z2 et Z et
que arg(𝑧) ≡ 𝜃 [2𝜋] et arg(𝑧′) ≡ 𝜃′ [2𝜋]
Sous leurs formes trigonométriques.
On donc :
2) Ecrire le complexe Z Sous sa forme algébrique
𝑧 = |𝑧|(𝑐𝑜𝑠𝜃 + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃) et 𝑧′= |𝑧′|(𝑐𝑜𝑠𝜃′ + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃′) et  
par suite : puis en déduire cos et sin 
12 12
𝑧𝑧′= |𝑧||𝑧′|(𝑐𝑜𝑠𝜃 + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃)(𝑐𝑜𝑠𝜃′ + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃′)
= |𝑧||𝑧′|(𝑐𝑜𝑠𝜃𝑐𝑜𝑠𝜃′ + 𝑖 𝑐𝑜𝑠𝜃 𝑠𝑖𝑛𝜃′ + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑐𝑜𝑠𝜃 − Solution :1) z1  3  i
𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑠𝑖𝑛𝜃′)
3  1  4 2
2
z1 
2

= |𝑧||𝑧′|(𝑐𝑜𝑠𝜃𝑐𝑜𝑠𝜃′− 𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑠𝑖𝑛𝜃′ + 𝑖 (𝑐𝑜𝑠𝜃 𝑠𝑖𝑛𝜃′ +

 3 1   
𝑠𝑖𝑛𝜃 𝑐𝑜𝑠𝜃)) = |𝑧||𝑧′|(cos(𝜃 + 𝜃′) + 𝑖 sin(𝜃 + 𝜃′)) Donc : i2 i  2 cos  i sin 
(En utilisant les formules de transformations) 3

 2 2  6
  6  

    
Propriété principale : Soit 𝑧 et 𝑧′ deux nombres
On a : cos x   cos x et sin x   sin x
complexes non nuls, on a :
arg (𝑧 × 𝑧′) ≡ arg(𝑧) + arg(𝑧′) [2𝜋]
        
Propriété Règles de calculs pour les arguments : Donc : z1  2  cos     i sin     2;  
6 6  6      
Soit 𝑧 et 𝑧′ deux nombres complexes non nuls :

1) arg (1/𝑧) ≡ −arg(𝑧) [2𝜋] On a : z2  12  12  2
2) arg (𝑧/𝑧′) ≡ arg(z) − arg(𝑧′) [2𝜋]    
3) arg(𝑧𝑛) ≡ 𝑛 arg(𝑧) [2𝜋] z  1 i  2 1 i 1  2 cos  i sin 


 2 2   
4 
 

2
4) arg(−𝑧) ≡ arg(𝑧) + 𝜋 [2𝜋] 4
5) arg (𝑧) ≡ − arg(𝑧) [2𝜋]         
z2  2 cos   i sin  
 4  
2;  
4 
Preuves (en exercice)
  4   
Notations : Soit 𝑧 un nombre complexe dont la
z1
forme trigonométrique est : 𝑧 = 𝑟 (𝑐𝑜𝑠𝜃 + 𝑖 𝑠𝑖𝑛𝜃) Z 
2         i sin  6           
c’est-à-dire |𝑧| = 𝑟 et arg(𝑧) ≡ 𝜃 [2𝜋] 
cos 6 4 

4   2  cos   i sin  
2     12 
  

z2  12 
On écrit : 𝑧 = [𝑟, 𝜃] z1
Règles de calculs : Z              

2      i sin   6  4   2 cos   i sin  

cos 6 4 


2     12 
  

1) [𝑟, 𝜃] × [𝑟′, 𝜃′] = [𝑟𝑟′, 𝜃𝜃′] z2  12 

2)1/ [𝑟, 𝜃] = [1/𝑟, −𝜃]     6


2

3)[𝑟, 𝜃] / [𝑟′, 𝜃′] = [𝑟/𝑟′, 𝜃 − 𝜃′] U  z1  z2  2;     2;   

6 2
 6   4 
4) − [𝑟, 𝜃] = [𝑟, 𝜋 + 𝜃]    7   
5) r;   [𝑟,−𝜃] U  26;    2;   2 ;    
   2    2 
   
6)
Ces 𝜃] 𝑛 = [𝑟𝑛, 𝑛𝜃]
[𝑟,propriétés ne sont que l’assemblage des

U  7   3   3     7

2  cos    i sin     2 0 1i   2 i
7

propriétés sur les calculs des modules et les   2   2 

calculs des arguments.
2)

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 i  3  i1  i  3i  i  1 1 1 3 3
Z 3   3  3 i 3 1) z   i 3 2) z  55i 3) z  6  6 3i
1 i 1  i1  i 2 2 2 2 2
4) z   3  3i  5) z  2  2 3i 6) z 
4
      3 1 3 1 i
Z  2 cos   i sin     i 6 2
 12  12  
 3  3i
2 2  1 3 1
 7) z   i 8) z  
    2 2 
cos  32 1    3 1   6 i 2
    cos   
Donc : 12 12 2 2
2
      2  2 3i

 3 1  
sin    
3 1 9) z 
     
  12  2 6 i 2
2
sin  12  2


2
VII) INTERPRETATIONS GEOMETRIQUES
   6 2 1) Angles orientés et argument.
cos  12  4 Le plan complexe est rapporté à un repère
   6

sin   
2 
orthonormé O; e1; e2 ; 
  12  4 On sait que si le nombre complexe 𝑧 est non nul
   arg z 2 
8

Exercice12 : Ecrire le complexe Z   2  i 6   alors : e1 ;OM

 
2 
  2
Soit 𝑧 et 𝑧′ deux complexes non nuls d’images
Sous sa forme algébrique
respectives 𝑀 et 𝑀 ′ , on a

 OM ;OM    OM ; e    e ;OM   2 
2 6
Solution :On va d’abord écrire u  i
1 1
2 2
Sous la forme trigonométrique
1    e ;OM    e ;OM    2 
2 6 3    1 1
u i  2 i  2 cos  i sin 
 OM ;OM   arg z  arg z  2   arg  2 
 

z
 2 2  
3 
2 2
   3
8 8 z
    Soient et deux points dans le plan complexe
Donc : Z   2  i 6    2;  𝐴 𝐵
 2 2   3  d’affixes respectifs 𝑎 et 𝑏, on sait qu’il existe un
 
Z   2 8 ; 8   16cos 8 8  unique point 𝑀 tel que AB  OM et 𝑀 aura
3  3  i sin 3 
  Pour affixe le complexe (𝑏 − 𝑎)
  6  2 6  2 
Z  16 cos  i sin 
 3 3 
 

 
Z  2   2   
16  cos  2    i sin  2  3 
3 
    



Z   2   2   1 3 
16cos   i sin    16    i 
2 
 3   3   2
 
Donc : e1 ; AB  arg  b  a   2 
Z  8  8 3i
Soient 𝐴, 𝐵 et 𝐶 trois points distincts dans le plan
Exercice 13 : Déterminer le module et l’argument complexe d’affixes respectifs 𝑎, 𝑏 et c, on a :

     
du nombre complexe 𝑧 dans les cas suivants :
AB; AC  AB; e1  e1; AC  2 

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  AB; AC    e ; AB  e ; AC 2 
1 1
 
4) AB;CD  arg 
d c
 2 
 AB; AC    arg b  a  arg c  a 2   b  

Exemple : Soient aA, 𝐵 et 𝐶 des points dans le

 AB; AC   arg c  a  arg b  a  2  plan complexe d’affixes respectifs z  3  5i ,

 AB; AC   arg  cb  a  2  z  3  5i et zC  7  3i

 zB  zC
a 1) montrer que :  2i
zA  zC
2) monter que ABC est un triangle rectangle et
que : BC  2AC

Solution :1) zB  zC  4  8i  2i 4  2i  2i

zA  zC 4  2i 4  2i
 z z 
CA;CB  arg  zB  cz 2 
 A C 


Soient A, 𝐵, 𝐶 et 𝐷 quatre points distincts dans le CA;CB  arg 2i 2 
plan complexe d’affixes respectifs 𝑎, 𝑏, 𝑐 et 𝑑 
CA;CB   2 
  
on a : AB;CD  AB; AC  AC;CD  2     2

    
Donc : ABC est un triangle rectangle en C
 AB;CD  AB; AC  CA;CD    2 
On a :
z z
B C zB  zC
 2i
 2i donc:
z z zA  zC
 AB;CD  arg  cb  aa   arg  da  c c arg  1 2 
A C

z z BC
Donc : B C
 2 donc: 2
 c  a  d  c  zA  zC AC
 
AB;CD  arg   2 
 b  a  a  c  Donc : BC  2AC
Exemple15 : Le plan complexe est rapporté à un

 AB;CD   arg  db  c  2  repère orthonormé O;i; j ;  

a
Propriété :1) Soient 𝑀 et 𝑀’ et A, 𝐵, 𝐶 et 𝐷 quatre Soient A, 𝐵 et 𝐶 des points dans le plan complexe
points distincts dans le plan complexe d’affixes d’affixes respectifs a  2i , b  2 1 i  et
respectifs 𝑧, 𝑧′, 𝑎, 𝑏, 𝑐 et 𝑑 on a :
c  ab

   z 
1) OM ;OM   arg   2 
 z 
1) Montrer que OBCA est un losange
3
2) Montrer que : arg c  2 
2)  e ; AB  arg  b  a   2 
1 
8

3)  AB; AC   arg  b  a  2 

 ca  Solution :

  1) On a : c  a  b donc : OC  OA  OB
Donc OBCA est un parallélogramme

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 Exercice16 : Soient A, 𝐵 et 𝐶 des points dans le

plan complexe d’affixes respectifs a  2  i ,

b  3 2i et c  5  i

Soit  une mesure de l’angle orienté : AB; AC  

Calculer tan 
on a : a  0  2i  2  OA Solution :On a : AB; AC  arg    ca 
b
 2 
 
OB  b  0  2 1 i   2 1 i   2 2  2  a
 c a 

Donc :   arg 2 
alors : OB  OA  b  a 


donc OBCA est un losange c a


3  2i

3  2i1 i 
1 5i

1

5
i

2) arg c  i;OC   2  b a 1 i 1 i 1 i 2 2 2


   
ca 26
 i;OB  OB;OC  2   b a

2

  i;OB    OB;OA   2  (OBCA : losange)
1 c a 26 1 5
Donc :  cos  i sin     i
2 ba 2 2 2


1 a
 arg b  arg 2 Donc : 26 cos  1 et 26 sin   5
2 b
1 5
Donc : cos  et sin  
1
 arg b  arg a  arg b2  26 26
2
Donc : tan  5
arg a  arg b2 
1
Donc : arg c  Exercice17 :On considère dans le plan complexe
2
 muni d’un repère orthonormé 𝑅 O; e1 ; e2   les
Or : a  2i donc : arg a  2 
2 points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 d’affixes respectifs : z1   2 et
 2 2
Et : b  2 1 i   2 i  z2  1 i et z3  1 i
 2 2 
 
1) Placer dans le repère 𝑅 les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶
   
b  2  cos  i sin  donc arg b  2
4 4 4
 2) Déterminer le module et l’argument du nombre
  z2  z 1
complexe et déterminer une mesure de
1    z3  z1
  2 
arg c 
AC; AB
Donc :
2  2 4 
l’angle
3
Donc : arg c  2  3) Montrer que la droite (𝑂𝐴) est la médiatrice du
8 segment [𝐵𝐶] et en déduire que :

 AO; AB  8  2 
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 z1  z2 Les points 𝐴,𝐵,𝐶 et 𝐷 sont cocycliques si et
4) Ecrivez le nombre
z1
sous sa forme seulement si : c  a  b  d  

ba cd
 
algébrique puis en déduire cos (  ) et sin ( ) Exercice19 : Dans le plan complexe, déterminer
8 8 l'ensemble des points M d'affixe z tel que :
2) Applications
5z  2
2.1 Alignement de 3 points. Z Soit un imaginaire pur.
Corolaire :Trois points 𝐴(𝑎), 𝐵(𝑏) et 𝐶(𝑐) sont z 1
 ca  Solution : Pour répondre à cette question, on
alignés si et seulement si : arg   0 2  peut écrire Z sous forme algébrique et dire que sa
 b  
 partie réelle est nulle ou il suffit de calculer la
a
Preuve : On sait que : AB; AC  arg 
 c a 
 b 
 2   partie réelle.
Il faut que z≠1 . On note A(1)

ca ca
a z donc x  et y  tel que : z  x  yi
Et  r cos  i sin où b  a  r et
ba 5z  2 5x  2  5iy 5x  2  5iy x  1  iy 
Z  
 AB; AC     2 

z 1 x  1  iy 
x  12  y 2
𝐴(𝑎), 𝐵(𝑏) et 𝐶(𝑐) sont alignés si et seulement si

 
AB; AC  k  2  
ca
ba
 r ou c  a  r
ba Z 
5x 2
2

 5x  2x  2  5y 2  i 5xy  2y  5xy  5y 
x 1  y2

ca

   
ba 
Exercice18 :1° Vérifier que les points 𝐴(5+3𝑖) ;
𝐵(2+𝑖) et 𝐶(−1−𝑖) sont alignés Z  5x 2
 7x  2  5y 2
2
  3iy
2° Est ce que les points 𝑀(−2+2𝑖), 𝑁(2−𝑖) et x  1  y2

𝑁(1−𝑖) sont alignés ? Z est un imaginaire pur

2.2 droites parallèles 5x 2  5y 2  7x  2
Corolaire : 𝐴(𝑎), 𝐵(𝑏) et 𝐶(𝑐) et D(d)   0
 x  1   y
2
 
 CD si et seulement si : arg a  b   0 2  
2
 
z  0
 c  d  
 a b 
Ou arg   2 
 c  d 



 5x 2  5y 2  7x  2  0


 
2.3 droites perpendiculaires  
 x  1ouy  0

Corolaire : 𝐴(𝑎), 𝐵(𝑏) et 𝐶(𝑐) et D(d)
7 2
  CD si et seulement si :  x 2  y2  x 0
5 5
a b   
 2 a  b  2
arg 
2
arg
2 ou

 7  49
 x   y2 
  

 c  d   
 
2
c d  0
2  10
100 5
     
si et seulement si :  9
        7  y 
2 2

AB; AC  DB; DC  2  ou AB; AC    DB; DC  2    x  10 
  100
Théorème : Soit 𝐴(𝑎),𝐵(𝑏), 𝐶(𝑐) et 𝐷(𝑑) quatre Il s'agit de l'équation du cercle (C) de centre
points dans le plan complexe.

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 7 3 L'ensemble cherché est la droite (D) d'équation
ω( +0 i) et de rayon .
10 10 y  3x  1

Le point A(1) appartient à (c). Deuxième méthode (méthode géométrique)

L'ensemble cherché est donc le cercle (C) privé On pose : A(−1+i) et B(2) et M (z)

  donc
de A.
AM z  1  i z  1  i  AM


BM z  2  donc z  2  BM

z 2 z 2 BM
 1  1   1  BM  AM
z 1i z 1i AM

L'ensemble des points M cherché est la

médiatrice du segment [AB].

Exercices20 :
Déterminer l'ensemble des points M d'affixe z tels
z 2
que : 1
z  1 i

Solution :
Première méthode (méthode algébrique) Exercice21 :soit a et b et c des nombres

z  x  yi avec x  et y  complexes tels que : a  b  c  1 et a  c et

On doit avoir : z  1  i bc
z  2  x  2  yi  c b  2 a
1) Montrer que :  
z 1i  x 1i y 1    
c  a  b
 cb  1  b   
1 1 2) en déduire que : arg  c  a   2arg    
z 2 z 2 a 2
     

z 1i z 1i 2
 c  b   a   c  b   a
2

 z  2  z 1  i Solution :   b c a
c a 
b
   

 x 2 2  y 2

 x 1 2  y  12
1
 On a si : z  1 alors :
z
donc :
 x 2  4x  4  y 2  x 2  2x  1  y 2  2y  1 z
1  bc 
2 2
  1 1 
6x  2y  2  0  y  3x  1 c b  a   
2
  b
 c  a   b   c1 b1   a1   abc c   a
 c  a  b  ac 
  

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 2
 11  1
c b  b
2
c b  a  
2

c b a   
 

    1 1  1 
  

 c  a  b    ca  a
 c a  b
2
 c b  a
Donc :     
 c  a  b
2
 c b  a
2)puisque :      alors :
 c  a  b
  c  b 2 a 
arg     0 
 c  a  b 


Donc : arg c  b   arg   0
2
a
c a  b 

   
 c b  a
Donc : 2 arg    arg   
c    


 c  b  a1  b   
b
arg c  a  2 arg  a   2 
     
« C’est en forgeant que l’on devient forgeron »
Dit un proverbe.
C’est en s’entraînant régulièrement aux calculs et
exercices Que l’on devient un mathématicien

Bon courage

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