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Lycée Bilingue de BAMYANGA , ANNEE SCOLAIRE 2021-2022

TRAVAUX DIRIGES N°1 SUR LES NOMBRES COMPLEXES APPROCHE
ALGEBRIQUE TleC-D.
PROPOSES PAR M. NOUMSSI
2. Calculer f (1  i ) . En déduire f (1  i ).
ÉTUDE ALGÉBRIQUE DES NOMBRES
COMPLEXES 7 Soit z un nombre complexe non nul. Pourquoi
1 On considère le nombre complexe peut-on affirmer que chacun des nombres complexes
suivants est soit réel, soit imaginaire pur ?
𝑍 = 𝑥² + 𝑥 − 2 + (𝑥 + 2)𝑖 où 𝑥 est un nombre réel.
Pour quelles valeurs de 𝑥 : 𝒛−𝒛̅ 𝒛𝟐 −𝒛̅𝟐
𝐴 = 𝒛𝟐 + 𝒛̅𝟐 ; 𝑩 = 𝒛𝟑+𝒛̅𝟑 ; 𝑪 = 𝒛𝒛̅+𝟐
.
a. 𝑍 est-il réel ?
b. 𝑍 est-il nul ? 8 On considère le nombre complexe 𝑍 = 1−𝑖𝑧 où
c. 𝑍 a pour partie réelle 4 ? 1+𝑖𝑧
𝑧 ≠ 𝑖.
OPÉRATIONS SUR LES NOMBRES 1. Déterminer tous les complexes z distincts de 𝑖 pour
COMPLEXES que le complexe Z soit réel.
2 Donnez la forme algébrique des nombres 2. Montrer que Z est imaginaire pur si et seulement si
𝑧𝑧̅ = 1.
complexes suivants :
3
𝑧1 = (2 − 4𝑖) + (9 + 2𝑖); 𝑧2 = (5 − 𝑖√3)(3𝑖) ; 9
Résoudre dans ℂ l’équation 𝒛𝟐 − 𝟐𝒛̅ + 𝟏 = 𝟎.
3 2−𝑖
𝑧3 = (3 − 𝑖)(2𝑖 − 1)2 ; 𝑧4 = (1 + 𝑖√3) ; 𝑧6 = MODULE D’UN NOMBRE COMPLEXE
3𝑖−1
i (1  7i )
z5  .
 2  3i  10 Calculer le module de chacun des complexes
2

suivants :
3 𝑓 est la fonction de ℂ dans ℂ définie par : b) 5 − 12𝑖 ; b) 𝑖√2(−1 + 𝑖) ;
2 1988
f ( z )  (2  i ) z 2  (1  3i ) z  5. c) √6−𝑖√2
;
√2−𝑖√2
d) ( 1−𝑖 ) ; e) 𝑧 = (
−1+𝑖√3
)
2(1+𝑖) √3 √3+𝑖

1  3i  11
Calculer f (i ), f   et f  .
i  3i  Soit 𝑧 = −√2 − √3 + 𝑖 √2 + √3 un nombre
complexe.
4 Z est un nombre complexe distinct de i de la 1) Calculer 𝑧².
forme 𝑥 + 𝑖𝑦 (𝑥, 𝑦 réels). 2) Déduire le module de 𝑧², puis celui de z.
Déterminer dans les deux cas suivants, la partie réelle
12 Résoudre dans ℂ l’équation 𝒛𝟐 + |𝒛|𝟐 − 𝟖 = 𝟎.
et la partie imaginaire du nombre complexe Z :
2iz
a) Z  2 z 2  3iz  7 ; b) Z  . ÉQUATIONS DU SECOND DEGRÉ DANS ℂ :
z i
RACINES CARRÉES D’UN NOMBRE
NOMBRE COMPLEXE CONJUGUÉ
COMPLEXE
5 Donnez la forme algébrique du nombre 13 Résoudre dans ℂ chacune des équations
complexe conjugué de chacun des complexes suivantes :
suivants : a. 𝑧² + 𝑧 + 1 = 0 b. 𝑧² + 2𝑧 + 2 = 0
a) 3 − 11𝑖 ; b) 𝑖(9 + 2𝑖) ; c) (3 + 𝑖)(−13 − 2𝑖) ;
2−3𝑖 2 3
d) 8+5𝑖 ; e) 1+𝑖 − 1−𝑖. c. (𝑧 + 1)3 = 𝑧 3 ; d. 𝑧 3 − 1 = 0 ;
e. 𝑧 4 + 𝑧 2 + 1 = 0 ; f. iz 2  (1  5i ) z  6i  2  0 .
6
f est le polynôme défini sur ℂ par
f ( z )  z 2  7 z  9. 14 (𝐸) désigne l’équation suivantes :
1. Démontrer que pour tout complexe z, 𝑧² − 2𝑐𝑜𝑠𝜃𝑧 + 1 = 0 où 𝜃 est un réel de l’intervalle
f ( z)  f z .  𝜋
]0, 2 [.
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a. Résoudre cette équation dans ℂ. iii. Résoudre alors l’équation 𝒫(𝑧) = 0 dans ℂ.
b. On désigne par 𝑧1 et 𝑧2 les deux solutions de cette
équation. Calculer en fonction de 𝜃 𝑧12 +𝑧22 ; 20 Résoudre dans ℂ l’équation 𝑧² = 48 + 14𝑖.
𝑧13 +𝑧23 ; 𝑧14 +𝑧24 .
21 Le plan complexe muni d’un repère orthonormé
direct (𝑂, 𝑢
⃗ , 𝑣 ).
15 On considère dans ℂ le polynôme défini Déterminer l’ensemble des points 𝑀(𝑥; 𝑦) du plan en
posant 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 tels que:
par 𝑃(𝑧) = 𝑧 3 − 3𝑧² − 𝑖𝑧 + 4 − 𝑖. 𝑧+𝑖 3
1. Démontrer que l’équation 𝑃(𝑧) = 0 admet une a) | |=3; b) |𝑧̅ + 𝑖| = √5 ;c) |𝑧 + 𝑧̅ − 1| = 4;
𝑧−𝑖 2
solution réelle que l’on déterminera. d) |𝑧 + 5 − 𝑖| = |𝑧̅ − 2 − 𝑖| ;
2. Résoudre l’équation 𝑃(𝑧) = 0. e) |𝑧 + 1 + 𝑖| = |3𝑧 − 9 − 3𝑖| ;
f) (𝑧𝑧̅)2 − 𝑧𝑧̅ − 6 = 0; g) 𝑧 2 − (1 − 2𝑖)2 = 𝑧̅ 2 − (1 + 2𝑖)2 .
2𝑧−1
16 P est le polynôme de variable complexe 𝑧 défini h) est un nombre réel;
𝑧2
𝑧−2+4𝑖
par : i) 𝑧+1−2𝑖 est un nombre réel;
𝑃(𝑧) = 𝑧 4 − 27𝑧 3 + 6𝑧² − 27𝑧 + 5 𝑧−2+4𝑖
k) 𝑧+1−2𝑖 est un nombre imaginaire pur ;
1. Établir que pour tout nombre complexe 𝑧, 𝑃(𝑧̅) = 𝑧−2+4𝑖
̅̅̅̅ l)| |=1;
𝑃(𝑧) 𝑧+1−2𝑖
𝑧+𝑖
2. En déduire que si 𝑧0 est une racine de P, alors 𝑧̅0 m) 𝑧−1 soit un réel strictement positif.
l’est aussi. 22 Soit l’équation (E) :
3. Calculer 𝑃(𝑖) et résoudre dans ℂ l’équation
𝑧 4 + 2𝑧 3 + 2𝑧 2 − 2𝑧 + 1 = 0 (𝑧 ∈ ℂ)
𝑃(𝑍) = 0. 1) Démontrer que si 𝑧0 est solution de (E), alors 𝑧̅0 est
solution de (E).
2.a) Déterminer les nombres réels a et b tels que :
17 1 2
1. u est un nombre complexe tel que 1
(E) ⟺ z 2 [(z − ) + a (z − ) + b] = 0.
u  1, u  1 et z est un nombre complexe quelconque. z z
b) Résoudre dans ℂ l’équation 𝑍 2 + 𝑎𝑍 + 𝑏 = 0,puis
z uz l’équation (E).
1. Montrer que est réel.
1 u 23 1. Résoudre dans ℂ les équations :
z uz a) 𝑧 2 − 4𝑧 + 5 + 𝑖(𝑧 + 1) = 0
2. Montrer que si est réel, alors z est réel ou b) (𝑧 2 − 4𝑧 + 5)2 + (𝑧 + 1)2 = 0.
1 u 2. En déduire qu’il existe quatre nombres réels 𝑎, 𝑏, 𝑐 et 𝑑
|𝑢| = 1. que l’on précisera tels que pour tout nombre réel 𝑥, on a :
(𝑥 2 − 4𝑥 + 5)2 + (𝑥 + 1)2 = (𝑥 2 + 𝑎𝑥 + 𝑏)(𝑥 2 + 𝑐𝑥 + 𝑑)
18 P est le polynôme défini dans 𝜃 par : 24 Soit P le polynôme défini par :
9 𝒫(𝑧) = 𝑧 3 − 2(1 + 2i)z 2 + 7iz + 3(1 − 3i).
𝑃(𝑧) = 𝑧 4 + 3𝑧 3 + 𝑧² + 3𝑧 + 1
2 1) Démontrer qu’il existe un imaginaire pur 𝑖𝛽 solution de
1. Montrer que 𝑃(𝑧̅) = 𝑃(𝑧)̅̅̅̅ et en déduire que si 𝑧0
l’équation : 𝑃(𝑧) = 0.
est une solution de l’équation 𝑃(𝑧) = 0 alors 2) Déterminer le polynôme Q tel que :
1 1 𝑃(𝑧) = (𝑧 − 𝑖𝛽 )Q(z).
𝑧̅0 , 𝑍 , 𝑍̅ sont aussi des solutions de cette équation.
0 0 3) Résoudre dans ℂ l’équation : 𝑃(𝑧) = 0.
2. Montrer que l’équation 𝑃(𝑧) = 0 admet une racine 25 Calculer et écrire sous forme algébrique les
de la forme 𝑎 + 𝑖 où 𝑎 est réel à déterminer.
racines carrées des nombres complexes suivants :
3. Résoudre alors dans ℂ l’équation 𝑃(𝑧) = 0.
a) 15 − 8𝑖 ; b) 2𝑖 ; c) – 𝑖 ; d) −5 + 12𝑖.

19 𝒫 est le polynôme défini par : 𝒫(𝑧) = 𝑧 3 −

3𝑧² + (3 − 𝑖)𝑧 − 2 + 2𝑖.
i. vérifier que 𝒫 admet une racine réelle 𝛼.
ii. Déterminer les nombres complexes 𝑎 et 𝑏 tels
que 𝒫(𝑧) = (𝑧 − 𝛼)(𝑧² + 𝑎𝑧 + 𝑏).