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Unité : maladies infectieuses, Période du 02/10/2022 au 17/11/2022

Examen théorique ; durée 1h30


14 novembre 2022
Sujet composé de : QCU, QCM, et de cas cliniques
Q1. Dans les sepsis à Staphylocoque Méti-R. (RF)

A. La porte d’entrée cutanée est classique


B. L’origine nosocomiale doit être rechercher
C. La double antibiothérapie synergique et bactéricide est la règle
D. L’aminoside de choix est l’Amikacine
E. Les glycopeptides sont souvent les molécules de choix à utiliser

Q2. La conduite à tenir devant un enfant de 10 ans, mordue il y a 15 jours par un chien connu, au
niveau de la main gauche (RJ)

A. Sérovaccination anti rapique si le chien est toujours vivant


B. Vaccination anti rabique si le chien est toujours vivant
C. Aucune prévention anti rabique si le chien est toujours vivant
D. Sérovaccination anti rabique si le chien est déjà mort
E. Vaccination anti rabique si le chien est déjà mort

Q3. Une méningite purulente (à polynucléaires neutrophiles) est d’origine (RJ)

A. Virale
B. Méningococcique
C. Parasitaire
D. Pneumococcique
E. Haemophilus influenza b

Q4. A propos de la brucellose, quelle est la réponse fausse ?

A. Elle est fréquente en Algérie


B. Le réservoir est le bétail des éleveurs
C. La forme aigue se présente avec une fièvre aigue à 40°C, frissons et sueurs
D. C’est une cause d’endocardite à hémoculture négative
E. La sacroiliite et l’orchiepidydimite sont des localisations qui peuvent survenir précocement

Q5. L’atteinte pulmonaire au cours d’une bactériémie à Staphylocoque aureus :

A. L’aspect de miliaire est possible


B. Ne comporte jamais un aspect d’excavation
C. Peut comporter une atteinte pleurale (pleurésie purulente ou séro-fibrineuse)
D. La formation de bulles est caractéristique du poumon staphylococcique
E. Ne comporte jamais un aspect d’abcès

Q6. L’utilisation rationnelle des antibiotiques repose sur : (RF)

A. La prescription systématique d’une antibiothérapie pour toute fièvre


B. L’analyse de l’infection à traiter
C. La prise en compte du terrain sur lequel l’infection survient

Réécrit par Fksdi


D. L’épidémiologie bactérienne
E. L’évolution des résistances

Q7. Parmi les antibiotiques qui survient, quels sont ceux recommandés pour traiter une méningite à
pneumocoque chez un patient ayant une allergie aux Béta lactamines ?

A. Gentamycine
B. Spiramycine (rovamycineR )
C. Chloramphénicol
D. Colimycine
E. Ciprofloxacine

Q8. L’ostéomyélite de l’enfant : (RF)

A. Peut être primitive ou secondaire à un traumatisme


B. Est une urgence médicale
C. La radiographie standard pose le diagnostic précocement
D. Nécessite la pratique des hémocultures
E. L’immobilisation du membre est indiquée

Q9. Lors d’un rapport sexuel non protégé le risque de transmission est majoré par (RF)

A. Une charge virale élevée


B. L’existence d’une infection sexuellement transmissible (IST)
C. L’existence d’une tuberculose génitale
D. Un taux de lymphocytes T CD4 < 100 / mm3
E. Présence d’herpès génital

Q10. La toxi-infection alimentaire collective (TIAC) (RJ)

A. Un cas suffit au diagnostic


B. Deux cas suffisent au diagnostic
C. 03 cas obligatoires pour déclarer une TIAC
D. Est toujours d’expression digestive
E. Est toujours bénigne

Q11. La ROR (RF)

A. C’est une triple vaccination contre la rougeole, oreillons et rubéole


B. Fait partie du calendrier vaccinal algérien
C. Est un vaccin vivant atténué
D. Contre indiqué chez la femme enceinte
E. Se fait à la naissance

Q12. Le dépistage de l’infection VIH peut se fait par (RF) :

A. Elisa
B. Le dosage du taux de CD4
C. La recherche de l’ARN viral par PCR
D. Le test rapide
E. Le western blot

Q13. Le purpura vésiculo-pustuleux (RJ) :

Réécrit par Fksdi


A. Est un embole septique
B. Est localisation secondaire cutanée
C. Est une porte d’entrée du staphylocoque
D. Le prélèvement à son niveau permet d’isoler le germe
E. Est pathognomonique du pseudomonas aeruginosa

Q14. Dans le choléra grave (RF)

A. Le risque du passage septicémique du Vibrio Cholerae est important


B. La réhydratation doit être rapide par voie parentérale lors des 3 premières heures
C. Le passage à la voie orale doit être débuté dès qu’elle est possible après les 3 premières
heures
D. Une antibiothérapie est indiquée pour raccourcir la durée de la clinique et le portage
intestinal
E. L'état de choc et l’insuffisance rénale restent redoutables

Q15. La mononucléose infectieuse : (cochez la RF)

A. Est une infection virale aigue


B. Traduit la primo infection à CMV
C. Atteint généralement le sujet jeune
D. La transmission s’effectue principalement par voie salivaire
E. L’hémogramme montre un syndrome mononucléosique

Q16. La méningite à pneumocoque s’accompagne : (RF)

A. Rhinopharyngite
B. Syndrome méningé
C. Signes encéphalitiques
D. Herpes labial
E. Pneumonie

Q17. Concernant l’amibiase colique, quelles propositions sont justes ?

A. C’est une infection digestive bactérienne liée au péril fécal


B. La forme dysentérique est la plus classique mais n’est pas la plus fréquente
C. La fièvre ne fait pas partie du tableau clinique
D. Le diagnostic de la maladie se fait par l’isolement d’entamoeba histolytica forme minuta dans
les selles
E. Le traitement repose sur une bi-antibiothérapie bactéricide synergique
(βlactamine+aminoside)

Q18. La leptospirose est une : (Les RJ)

A. Infection parasitaire aigue commune à l’homme et à l’animal


B. Le traitement est basé sur le Métronidazole (Flagyl) pendant sept (07) jours
C. Endothélite des petits vaisseaux
D. Elle peut se compliquer d’une insuffisance rénale aigue
E. Le tableau clinique est dominé par un ictère fébrile dans 80% des cas

Q19. L’escarre de PIERI se caractérise par (cocher les réponses fausses)

A. Ne se localise pas dans les régions humides

Réécrit par Fksdi


B. Pathognomonique de la fièvre boutonneuse méditerranéenne
C. Peut être remplace par une injection conjonctivale
D. Ecarte le diagnostique de FBM si non retrouvé
E. Laisse une cicatrice indélébile

Q20. L’ictère fébrile à bilirubine libre avec hémolyse aigue est classiquement causée par les agents
infectieux suivants : cochez la ou les réponse(s) juste(s)

A. Staphylocoque
B. Rickettsia conorii
C. Plasmodium falciparum
D. VIH
E. Brucella

Q21. Concernant la rubéole (cochez les RJ)

A. Elle est asymptomatique dans la moitié des cas


B. Elle se manifeste par une éruption maculopauleuse nécrotique
C. Elle évolue souvent vers des complications cardiaques
D. Son diagnostic de certitude est clinique
E. Son traitement est symptomatique

Q22. Une varicelle peut se compliquer de : RF

A. Cérébellite aigue
B. Pneumonie interstitielle
C. Surinfections cutanées
D. Parotidite
E. Algies post zostériennes

Q23. Le choc septique :

A. Est de cause virale dans 60% des cas


B. Est à craindre en cas d’infection par les Bacilles Gram Négatif
C. Le traitement est basé sur le remplissage vasculaire seul
D. Le staphylocoque aureus est une cause exceptionnelle
E. Le traitement associe une antibiothérapie et une expansion volumique et/ou drogues vaso-
actives

Q24. Les antibiotiques actifs sur les germes intracellulaires sont : (la réponse fausse)

A. Les macrolides
B. Les cyclines
C. La rifampicine
D. Les fluoroquinolones
E. L’association Amoxicilline-Acide clavulanique

Q25. Lors d’une toxi-infection alimentaire collective (TIAC) ces propositions sont justes :

A. Le nombre de patient peut être deux ou plus


B. La diarrhée cholériforme s’associe à une fièvre très élevée
C. La diarrhée peut être invasive
D. La symptomatologie prédominante peut être neurologique

Réécrit par Fksdi


E. La déclaration est obligatoire

Q26. Que proposez-vous en première intension pour les algies post zostériennes ? RJ

A. ZOVIRAX en IV
B. Corticothérapie générale
C. Antalgiques
D. Antidépresseurs
E. Aucun traitement

Q27. A propos des méningites à liquide clair : (La RF)

A. Ce sont des pathologies fréquentes, le plus souvent bénignes et guérissent spontanément


B. Elles peuvent être potentiellement graves dans certaines étiologies
C. Le terrain du patient est important à connaitre car certaines pathologies lui sont spécifiques
D. Elles peuvent être aigues, subaiguës ou chroniques
E. La glycorachie permet d’orienter vers l’étiologie virale quand elle est diminuée

Q28. La rubéole acquise : (Les RF)

A. C’est une infection virale


B. C’est une infection non contagieuse
C. Sa transmission se fait par voie aérienne
D. Elle touche exclusivement les enfants
E. Son diagnostic positif est sérologique

Q29. Le diagnostic de la toxoplasmose se fait par : (Les RJ)

A. La sérologie
B. La PCR
C. Les hémocultures
D. La coproculture
E. La coproparasitologie

Q30. Concernant les infections à Streptococcus pyogène du groupe A : (Les RJ)

A. Les streptococcies graves sont très fréquentes dont le pronostic est réservé
B. Le diagnostic est confirmé par la sérologie de Lancefield
C. Le rhumatisme articulaire aigu est la complication à redouter
D. Les streptococcémies aigues sont des complications fréquentes
E. Le choc toxique streptococcique nécessite une antibiothérapie par voie parentérale

Q31. Concernant les bactériémies à BGN : (Les RJ)

A. La fièvre lorsqu’elle existe est toujours en plateau


B. L’ecthyma gangréneux de HELERS est pathognomonique du Pseudomonas aeruginosa
C. La leucopénie est caractéristique des bactériémies à BGN
D. Les bactériémies à BGN sont souvent à porte d’entrée urogénitale
E. La LPS de la paroi bactérienne est responsable de la vasoconstriction

Q32. Concernant la fasciite nécrosante : (les RJ)

A. C’est une dermohypodermite non nécrosante du sujet âgé


B. La gangrène streptococcique grave est une complication à redouter

Réécrit par Fksdi


C. L’envahissement musculaire nécessite un acte chirurgical rapide
D. L’échographie reste le seul moyen de diagnostic
E. Le traitement curatif est basé sur la prescription de la Clindamycine seule

Q33. Un accident d’exposition au sang nécessite : La RF

A. Un avis médical dans les heures qui suivent l’accident


B. L’évaluation de l’importance du risque infectieux et déclaration obligatoire
C. La connaissance du statut sérologique de la personne source
D. L’initiation rapide d’un traitement prophylactique post-exposition
E. Une vaccination de l’hépatite virale B, quel que soit le statut vaccinal de la victime

Q34. La coqueluche est une : (Les RJ)

A. Toxi-infection bactérienne respiratoire


B. Elle est non contagieuse
C. Infection bénigne chez les nourrissons de moins de six mois, non vaccinés
D. Le germe responsable est le bacille de Coch
E. La période d’invasion est la plus contagieuse

Q35. Quelle est la conduite à tenir devant une méningite à méningocoque ? (Les RJ)

A. Hospitalisation et isolement du patient


B. Traitement curatif : Amoxicilline en 1ère intention à 200 mg /kg/j ou Céfotaxime à 200mg/kg/j
C. La déclaration n’est pas obligatoire car elle n’est pas contagieuse
D. La chimioprophylaxie pour l’entourage est basée sur la chloroquine : 1cp de 100mg/j
pendant 15j
E. Une fois le patient guéri, il ne nécessite pas de contrôle ultérieur car elle ne laisse pas de
séquelle

Q36. Une femme enceinte, présente une fièvre aigue à 40° C associée à des brûlures mictionnelles,
des douleurs abdominales et lombaires, une dysurie et un état général altéré. Quelle est votre
conduite à tenir en urgence ? (La RF)

A. Hospitalisation
B. Appliquer les mesures d’isolement respiratoire
C. Demander des hémocultures
D. Demander un ECB des urines
E. Demander une échographie abdominopelvienne

Q37. Concernant les diarrhées infectieuses, quelles sont les propositions justes ?

A. Un syndrome dysentérique est défini par la présence de diarrhée glairo-sanglantes + fièvre


B. Le Métronidazole (Flagyl) est indiqué dans le traitement des diarrhées sécrétoires
C. Le Lopéramide (ralentisseur du transit) est indiqué dans les diarrhées dysentériques
D. La perforation digestive est une complication du syndrome dysentérique
E. La coproculture est indiquée dans les syndromes gastroentéritiques sévères

Q38. Concernant le tétanos, quelles sont les propositions justes ?

A. C’est une toxi-infection non contagieuse, à déclaration obligatoire


B. Le vaccin est contre-indiqué chez la femme enceinte au premier trimestre
C. Le diagnostic positif repose sur la sérologie

Réécrit par Fksdi


D. Toute plaie, même minime, est à risque tétanigène chez le sujet non vacciné
E. Une fois déclarée, la maladie est mortelle à 100%

Q39. La leptospirose est une : (Les RJ)

A. Infection parasitaire aigue commune à l’homme et à l’animal


B. Endothélite des petits vaisseaux
C. Elle peut se compliquer d’une insuffisance rénale aigue
D. Le traitement est basé sur le Métronidazole (Flagyl) pendant sept (07) jours
E. Le tableau clinique est dominé par un ictère fébrile dans 80% des cas

Q40. Concernant les infections urinaires nosocomiales : (La RF)

A. Elles peuvent être dues à des bactéries multirésistantes


B. Elles sont favorisées par le sondage vésical
C. Elles nécessitent la réalisation de plusieurs hémocultures pour confirmer le diagnostic
D. Leur diagnostic repose sur l’ECB des urines
E. Leur traitement repose sur les antibiotiques

Q41. Un patient est admis pour céphalées, fièvre de 10 jours, splénomégalie, tâches maculo-
papuleuses au niveau du tronc et diarrhées liquidiennes. Quelle est votre conduite à tenir initiale ?
(Les RJ)

A. Hospitalisation et isolement
B. Faire des hémocultures
C. Déclaration obligatoire aux autorités sanitaires
D. Faire un électroencéphalogramme (EEG)
E. Traitement à base de corticoïdes

Q42. Le tableau de la fièvre typhoïde peut être influencé par : (La RF)

A. La virulence de la souche
B. La dose infectante
C. L’âge
D. Le retard du diagnostic
E. L’incubation courte

Q43. Le diagnostic biologique de la fièvre typhoïde se fait par l’isolement de la bactérie (culture) au
niveau de : (Les RJ)

A. Les selles
B. Le sang
C. Les sécrétions bronchiques
D. Test de Widal
E. Le liquide cérébro-spinal

Q44. Une femme enceinte se présente aux urgences pour une morsure saignante du mollet, il faut :

A. Faire un simple nettoyage de la plaie


B. Faire un nettoyage plus vaccin
C. Préférer le vaccin cellulaire
D. Eviter la suture de la plaie
E. Ne pas prescrire d’antibiothérapie

Réécrit par Fksdi


Q45. Toutes ces situations cliniques constituent une urgence thérapeutique (RF)

A. Une méningite bactérienne


B. Une méningo-encéphalite herpétique
C. Une Staphylococcie de la face
D. Une varicelle commune
E. Un sepsis à BGN

Q46. Devant une méningite à liquide clair on peut évoquer : (RF)

A. Une méningite tuberculeuse


B. Une méningite bactérienne à son début
C. Une méningite décapitée
D. Une méningite virale
E. Un méningisme

Q47. Au cours de la rubéole congénitale, les malformations :

A. Surviennent uniquement au cours de la primo-infection la mère


B. Peuvent être uniques ou multiples
C. S’observent uniquement chez la primipare
D. Peuvent ne pas être détectées à la naissance
E. Peuvent survenir jusqu’à la 20eme semaine de grossesse

Q48. Dans le traitement de la brucellose, quel est l’antibiotique qui n’est pas utilisé ?

A. Rifampicine
B. Aminosides
C. Cyclines
D. Glycopeptides
E. Fluoroquinolone

Q49. Les sujets à risque d’une forme grave de varicelle : (RF)

A. Infection à VIH
B. Enfant
C. Corticothérapie au long cours
D. Nouveau-né
E. Femme enceinte

Q50. La varicelle est : (RF)

A. Est l’expression clinique de la primo-infection par le Virus Varicelle-Zona


B. Une maladie non immunisante
C. Une maladie infectieuse bénigne de l’enfant
D. Elle survient de façon épidémique en fin de l’hiver
E. Est très contagieuse

Q51. Les complications de la MNI chez l’immunocompétent sont (RF)

A. Complications hématologiques
B. Complications neurologiques
C. Complications cardiaques
D. Rupture de rate

Réécrit par Fksdi


E. Complications vertébrales

Q52. Ali 25 ans se présente des douleurs aigues névralgiques, a type de brûlures associées à un
exanthème localisé érythémateux couvert de petites lésions arrondies à liquide clair, de siège
basithoracique. Que faite vous et à quoi pensez-vous ? (Les RJ)

A. Rechercher une varicelle dans les antécédents et un terrain d’immunodépression


B. Rechercher un énanthème à l’examen clinique
C. Evoquer le diagnostic d’une brûlure récente et rechercher la cause
D. Evoquer le diagnostic de zona basithoracique avec de multiples vésicules groupées
E. Introduire un traitement antibiotique d’urgence

Cas clinique

Samia âgée de 15 ans présente fièvre, céphalées et agitation avec crises convulsives tonico-
cloniques, suivie en ORL pour sinusite chronique. L’examen retrouve : état général altéré, fièvre à
39°C, TA à 110/60 mmHg, FR à 30 cycles/mn, FC à 110 pul/mn. Limitation de la flexion des membres
inférieure sur le tronc, présence d’un écoulement nasal muco-purulent à droite. Le bilan : NFS :
17000 GB (80% PNN), HB : 12 g/dl, plq : 155 000, glycémie : 1.05 g/l, urée : 0.25 g/l. Radio du thorax
sans anomalie

Q53. Le diagnostic le plus probable est :

A. Méningite bactérienne
B. Méningite virale
C. Méningo- encéphalite
D. Méningisme
E. Méningite décapitée

Q54. Les arguments cités sont en faveur du diagnostic sauf :

A. Age
B. Agitation et crises convulsives
C. Sinusite chronique
D. Limitation de la flexion des membres inférieurs
E. Hyperleucocytoses

Q55. Les résultats attendus à la Ponction lombaire (RJ)

A. LCS trouble
B. Hypoglycorachie, normoprotéinorachie
C. Normoglycorachie, hyperprotéinorachie
D. Cocci gram négatif à l’examen direct
E. Cocci gram positif à l’examen direct

Q56. Quels autres examens permettent de conforter votre diagnostic

A. Hémoculture
B. Tomodensitométrie cérébrale
C. Electroencéphalogramme
D. PCR LCS
E. Culture LCS

Q57. Le traitement du patient repose sur tout sauf :

Réécrit par Fksdi


A. Antibiothérapie et corticothérapie en intra veineux
B. Antibiothérapie seule
C. Anticonvulsivants
D. Traitement symptomatique
E. Antipyrétique

Q58. La surveillance du patient sera axée sur tout sauf :

A. La courbe de température
B. Le taux de globules blancs
C. L’état neurologique
D. L’état psychologique
E. Les données de la PL à la fin du traitement

Q59. Pour prévenir certains risques après guérison, il convient de :

A. Mettre le patient sous antibiotiques à vie


B. Vacciner contre le germe en cours
C. Consulter un ORL
D. Faire des PL de contrôle
E. Ne nécessite aucun suivi

Q60. La prophylaxie de l’entourage repose sur :

A. Antibioprophylaxie
B. Vaccination
C. Prélèvement de gorge chez les sujets contacts
D. Aucune prophylaxie
E. Enquête épidémiologique

Excellent courage.

Réécrit par Fksdi

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