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QCM Classés &

Organisés par COURS

+ DIAGEST

Faculté de Médecine - Oran


 Questions Compilés & Organisés & Corrigés par :
- B. Imad Eddine : étudiant en 4ème année médecine Section B
- M. Nesrine : étudiante en 4ème année médecine Section B
- K. Hadjer : étudiante en 4ème année médecine Section B
- Z. Amira : étudiante en 4ème année médecine Section B

 Répertoire :
1. Infections à Streptocoques ...............................................................................01
2. Diarrhée Aiguë Infectieuse ...................................................................................02
3. Antibiotiques ..................................................................................................03
4. Infections à Staphylocoques .............................................................................04
5. Paludisme .......................................................................................................05
6. Fièvre Boutonneuse Méditerranéenne ................................................................07
7. Leptospirose...................................................................................................09
8. Infections à VIH/SIDA ...................................................................................10
9. Sepsis à BGN ...............................................................................................11
10. Fièvre Typhoïde ..............................................................................................12
11. Rage ........................................................................................................13
12. Rougeole .......................................................................................................14
13. Oreillons...................................................................................................16
14. Diphtérie ..................................................................................................17
15. Méningites Purulentes ....................................................................................18
16. Méningites à Liquide Clair ...............................................................................19
17. Hépatites Virales.............................................................................................19
18. Brucellose ......................................................................................................21
19. Grippe ............................................................................................................22
20. Tétanos ..........................................................................................................23
21. Herpes Virus ...................................................................................................24
22. Coqueluche.....................................................................................................25
23. Rubéole..........................................................................................................26
24. Infections Sexuellement Transmissibles ..........................................................27
25. Leishmaniose..................................................................................................28
- Pratique ............................................................................................................29
4ème Année Med Oran 2020/2021

1. Infections à Streptocoques : 07. Concernant le streptocoque de groupe A :


A. C’est un Cocci à Gram positive en chaînettes.
01. Concernant la scarlatine : La RF B. C’est le sérogroupe le plus fréquent selon LANCFIELD.
A. C’est une dermatose infectieuse streptococcique aiguë. C. Il peut être responsable de complications post
B. L’agent causal produit des toxines spécifiques. streptococciques.
C. La langue framboisée dès 2ème jour réalise l’énanthème. D. Il peut être responsable de toxi-infection alimentaire.
D. L’exanthème généralisé est d’aspect granité. E. Il est sensible aux amino-penicillines.
E. L’âge scolaire est le plus touché. Source : Q13 - 18-19 Sec A Réponse: A
Source : Q28 - 19-20 Sec A Réponse: C
08. Concernant les streptococcies à streptococcus
02. Au cours de la scarlatine : La RF pyogène du groupe A :
A. L’angine érythémateuse est présente. A. Elles peuvent provoquer d’emblée de formes cliniques
B. La présence des signes de Filatov oriente le diagnostic. graves.
C. L’antibiothérapie précoce évite les complications. B. La sérologie est le seul moyen de diagnostic.
D. L’éviction scolaire est nécessaire. C. Le rhumatisme articulaire aigue est le 1er tableau
E. L’atteinte cardiaque est souvent fréquente. clinique dès la contamination.
Source : Q29 - 19-20 Sec A Réponse: E D. Certaines souches peuvent provoquer des dermo-
épidermites aigues généralisées.
03. Concernant l’érysipèle : Les RF E. Traitée par la pénicilline G, la guérison est obtenue
A. C’est une dermo-hypo-dermite généralisé non nécrosante. rapidement.
B. L’érysipèle du visage est souvent bilatéral en aile de papillon Source : Q14 - 18-19 Sec A Réponse: E
C. L’érysipèle des membres inférieurs favorisé par la stase
veino-lymphatique. 09. Concernant la scarlatine : La RF
D. L’agent causal réalise une streptococcemie cutanéo- A. L’angine érythémato-pultacée s’accompagne d'une
muqueux. éruption cutanée fébrile
E. L’antibiothérapie antistreptococcique améliore le pronostic. B. L’angine est associée à une langue saburrale puis
Source : Q30 - 19-20 Sec A Réponse: AD framboisé aspect en (V).
C. La transmission cutanée est possible par contact direct
04. Le streptocoque B hémolytique du groupe A peut- en phase d’état si la peau est lésée.
être à l'origine de : La RF D. L’exanthème prend un aspect granité sans intervalle de
A. Une méningite purulente peau sine.
B. Une angine érythémato-pultacée E. L’exanthème débute au niveau du thorax puis s’étend à
C. Un rhumatisme articulaire aigu l'abdomen et la racine des cuisses
D. Une glomérulonéphrite aiguë Source : Q26 - 18-19 Sec B Réponse: C
E. Une pyodermite aiguë
Source : Q39 - 19-20 Sec B Réponse: A 10. Concernant l'érysipèle : La RJ
A. C’est une dermatose bactérienne non nécrosante.
05. Concernant l’érysipèle : Les RJ B. Le diagnostic positif repose sur l’examen
A. Le placard pustuleux à bourrelet périphérique bactériologique.
caractérise l’érysipèle du visage. C. L’érysipèle du visage s’accompagne d’un placard
B. La stase veino-lymphatique augmente le risque de pustuleux à bourrelet périphérique.
survenue de l’érysipèle de la jambe. D. C'est une pyodermite bactérienne non nécrosante.
C. L’érysipèle de la jambe provoque une pyodermite E. La stase veino-lymphatique est le seul facteur favorisant
étendue unilatérale. la survenue de l’érysipèle.
D. L’érysipèle est une dermatose bactérienne non Source : Q27 - 18-19 Sec B Réponse: A
nécrosante d’emblée bilatérale.
11. Concernant l'érysipèle : La RF
E. Le streptocoque du groupe A est le germe le plus
A. Le diagnostic le plus souvent para clinique (radiologique
incriminé dans l’érysipèle.
Source : Q01 - 19-20 Sec C Réponse: BE
et bactériologique).
B. La localisation la plus fréquente est celle au niveau des
06. Concernant les infections à streptocoques : La RF membres inférieurs
A. Certaines souches peuvent provoquer des C. Le traitement de la porte d'entrée est indispensable
streptococcémies aigues. D. L'insuffisance veineuse est un facteur favorisant la
B. Elles sont d’emblée responsables de formes cliniques survenue de l'érysipèle
graves. E. L'extencilline peut-être proposé comme prophylaxie
C. La mise en évidence du germe nous aide à relancer le chez les sujets à risque de récidive
Source : Q13 - 17-18 Sec B Réponse: A
traitement adapté.
D. Le rhumatisme articulaire aigu est la 1ère complication 12. La phase d'état de la scarlatine est caractérisé par : La RF
redoutée en absence de traitement. A. Un érythème diffus, en nappe, sans intervalle de peau saine
E. La guérison est obtenue rapidement par les Amino- B. Une langue framboisée
pénicillines. C. Une angine à fausse membrane
Source : Q02 - 19-20 Sec C Réponse: B D. Des adénopathie sous maxillaire
E. Une fièvre élevée
Source : Q40 - 17-18 Sec B Réponse: C

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2. Diarrhée Aiguë Infectieuse : 07. Le vibrio cholerae :


01. L’Amibiase (L’Amoebose) : La RJ A. C’est une bactérie à Gram Négative en virgule.
A. Une affection liée au péril fécal à expression B. Sa transmission est féco-orale.
épidémique C. C’est une bactérie mobile.
B. Le tableau clinique est caractérisé par un syndrome D. Elle produit une endotoxine.
dysentérique fébrile aigu E. Le faible pH gastrique protège contre l’infection.
Source : Q06 - 18-19 Sec A Réponse : E
C. L’hyperleucocytose à l’hémogramme doit faire
rechercher une localisation extra-intestinal 08. Le Vibrio cholerae : La RF
D. Une parasitologie des selles isole l'Entamoeba A. C’est une bactérie Gram négatif de forme incurve
histolytica minuta confirme le diagnostic B. C'est une bactérie mobile.
E. L’isolement du malade jusqu'à la guérison est obligatoire C. Le pouvoir pathogène nécessite l’invasion intracellulaire
Source : Q10 - 20-21 Sec B Réponse : C des entérocytes
D. La toxine cholérique stimule l’adénylcyclase des entérocytes
02. La présence d’une diarrhée aiguë, la coproculture est E. Le PH de détruit la bactérie.
indiquée dans tous les cas, sauf une : La RF Source : Q30 - 18-19 Sec A Réponse : E
A. Syndrome dysentérique fébricule.
B. Diarrhée aiguë avec fièvre. 09. Le diagnostic du choléra se fait par : La RF
C. Persistance de la diarrhée fébrile douloureuse au-delà A. L’isolement du vibrion cholérique par l’hémoculture.
de 5 jours. B. L’isolement du vibrion cholérique par la coproculture.
D. Syndrome dysentérique afébrile. C. L’isolement du vibrion cholérique par l’écouvillonnage
E. Emission de selles glaireuses dans un contexte fébrile. rectal.
Source : Q31 - 19-20 Sec A Réponse : D D. L’isolement du vibrion cholérique dans les vomissements
E. Les tests de diagnostic rapide (bandelettes sur les selles)
03. La Choléra : La RF Source : Q30 - 18-19 Sec A Réponse : A
A. Maladie parasitaire épidémique de gravité redoutable.
B. L ’incubation peut être très courte. 10. L’Amoebose (amibiase) : La RJ
C. Le vibrion cholérique se transmit par les mains contaminées A. C’est une maladie bactérienne
D. La choléra est une maladie contagieuse à caractère B. Elle est due à Entamoeba coli
épidémique. C. Elle se manifeste souvent par une diarrhée fébrile
E. La déshydratation aiguë conditionne le tableau clinique D. Elle se manifeste par une diarrhée liquidienne profuse
grave. E. Elle peut se manifester par une diarrhée glairo-
Source : Q32 - 19-20 Sec A Réponse : A sanglante afécale
Source : Q09 - 17-18 Sec B Réponse : E
04. L’amibiase colique (I’Amoebose) est : La RJ
A. Une toxi-infection aiguë très fréquente dans notre pays 11. La maladie suivante est la cause de diarrhée afébrile :
B. Le tableau clinique est favorisé par l'installation d'une A. Fièvre typhoïde
fièvre élevée á 40°C B. Fièvre parathypoïde
C. L'Entamoeba histolytica histolytica est la seule espèce C. Dysenterie bacillaire
pathogène pour l'homme D. Choléra
D. L'encéphalopathie hépatique est la complication la plus E. Sérologie de Paul Bunnel et Davidson
redoutable Source : Q23 - 13-14 Sec A Réponse : D
E. Le traitement est médico-chirurgical d’emblée
Source : Q04 - 19-20 Sec B Réponse : C 12. Dans l’amibiase colique aiguë le tableau clinique
classique est caractérisé par :
05. Un patient âgé de 76 ans, consulte au service A. Syndrome dysentérique aigue afébrile
d’infectiologie pour un syndrome dysentérique aigu B. Une diarrhée fébrile grave
douloureux, marqué par des selles afécales C. Une alternance de diarrhée et de constipation
sanguinolentes, que faites-vous ? La RF D. L’émission de selle glairo-sanglantes fébriles
A. Une parasitologie des selles E. Emission de diarrhée afécale liquidienne, sans douleur,
B. Une coproculture 10 à 15 litre par jours suivie de déshydratation
C. Mettre le malade en isolement entérique Source : Q32 - 13-14 Sec A Réponse : A
D. Demander une rectosigmoïdoscopie
E. Une réhydratation est nécessaire 13. Le choléra : La RJ
Source : Q03 - 19-20 Sec C Réponse : C A. Maladie très contagieuse a transmission hydrique
B. Le germe peut être retrouvé dans les hémocultures dans
06. A propos du choléra : la phase aiguë
A. Le vibrio cholerae du sérotype O1 est la seule cause de C. Les diarrhées glairo-sanglante caractéristique de la maladie
la maladie clinique. D. Des localisations secondaires sont la complication
B. Les selles émises au cours du choléra sont muco-purulo- majeure du cholera
sanglantes. E. La recherche de parasite dans les selles est la clé du
C. Il peut entrainer le décès en moins de 6h. diagnostic
D. La fièvre est habituelle chez les adultes. Source : Q07 - 12-13 Sec B Réponse : A
E. Le diagnostic est confirmé par les hémocultures.
Source : Q05 - 18-19 Sec A Réponse : C

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3. Antibiotiques : 07. Concernant les antibiotiques : la résistance associé


01. La résistance bactérienne aux antibiotiques : Les RJ correspond à :
A. Est un facteur de virulence bactérien A. Plusieurs mécanismes de résistance.
B. Peut-être croisée à plusieurs antibiotiques B. Une résistance croisée a plusieurs antibiotiques.
C. Concerne les Cocci Gram positif uniquement C. Un mécanisme de résistance touchant plusieurs
D. Peut associer plusieurs mécanismes de résistances antibiotiques.
E. Est une fatalité contre laquelle on ne peut pas lutter D. Une CMI.
Source : Q24 - 20-21 Sec B Réponse : BD E. Une diminution de BMR.
Source : Q11 - 18-19 Sec A Réponse : A
02. L’un des phénotypes suivants est une bactérie
multi résistante : La RJ 08. Tous les antibiotiques suivants appartiennent à la
A. Acinetobacter résistant à l'Amoxicilline famille des B-lactamines sauf un lequel ? La RF
B. Entérobactéries à B-lactamases à spectre élargis A. Vancomycine.
C. Enterococcus résistant à la Vancomycine B. Amoxicilline
D. Staphylocoque résistant à la Pénicilline G C. Oxacilline.
E. Pseudomonas aerogenosa résistant au Cefotaxime. D. Céfalexine.
Source : Q25 - 20-21 Sec B Réponse : B E. Céfotaxime.
Source : Q39 - 18-19 Sec B Réponse : A
03. Les mauvaises pratiques de prescription des
antibiotiques favorisant l'émergence de la résistance 09. Concernant les antibiotiques : La RF
sont : Les RJ A. L’ampicilline est un B-lactamine très actif
A. L’habitude B. Les fluoroquinolones sont des ATB bactériostatiques très
B. L’utilisation les nouvelles molécules en première intention actifs les BGN
C. De les utiliser de manière systématique C. Les macrolides ont un spectre d’action étroit
D. D’éviter autant que possible l'utilisation des D. Les phénicolés sont hématotoxiques
antibiotiques à spectre large E. Les aminosides n’ont aucun intérêt en monothérapie
Source : Q15 - 17-18 Sec B Réponse : B
E. D’appliquer les protocoles thérapeutiques sans connaître
l'écologie microbienne locale.
Source : Q35 - 19-20 Sec B Réponse : ABCE 10. Concernant les antibiotiques : La RF
A. En cas d’insuffisance rénale organique les ATB
04. Parmi les phénotypes suivant lequel est qualifié de néphrotoxiques sont contre indiqués
multi résistant : La RJ B. La résistance aux ATB est exclusivement acquise
A. Le Staphylococcus producteur de penicillinase C. Les aminosides sont néphrotoxique et hématotoxique
B. Entérobactéries productrices de béta Lactamase à D. Les accidents rénaux sont dus aux ATB bactériostatiques
spectre élargis E. Le choix des ATB est lié strictement au patient
Source : Q16 - 17-18 Sec B Réponse : B
C. Les pénicillinases de bas niveaux
D. Les céphalosporinases de bas niveau
E. Les Haemophilus influenzae producteur de pénieillinase 11. Concernant les antibiotiques : La RF
Source : Q36 - 19-20 Sec B Réponse : B A. Les C3G sont très actives sur les staphylocoques résistants à
l’Oxaciline.
05. L’émergence de la résistance aux antibiotiques est B. Le Tienam utilisé pour son activité contre les bactéries
favorisée par : Les RJ sécrétoires de B-lactamase à spectre étendu
A. L’utilisation des antibiotiques à spectre étroit. C. La Vancomycine est active sur le pneumocoque résistant
B. L’étude de l’écologie microbienne avant la prescription aux Bétalactamines.
des antibiotiques. D. Les ATB temps-dépandant sont administrés en plusieurs
C. La prescription des nouvelles molécules en première prises par jours
intention. E. Les ATB dose-dépendant sont administré en une seule
D. La courte durée de prescription des antibiotiques. dose
Source : Q01 - 15-16 Sec C Réponse : A
E. L’habitude de traiter toute infection par les antibiotiques
Source : Q40 - 19-20 Sec C Réponse : CE
12. Concernant les antibiotiques : La RF
06. Concernant les antibiotiques : Quel mécanisme n’est A. Un ATB est dit concentration-dep si l’augmentation de sa
pas un mécanisme de résistance : concentration accroit la vitesse de sa bactéricide
A. Enzyme inactivante. B. La fréquence de prise d’un ATB temps-dépandant doit être
B. Imperméabilité. augmentée pour maintenir une concentration plasmatique sup
C. Modification de la cible. à CMI
D. Efflux. C. Les B-lactamines comportent les penems, penams, cephems
E. Inhibition des PLP. et monobactams.
Source : Q10 - 18-19 Sec A Réponse : E D. Un ATB bactériostatique est capable d’inhiber la croissance
des bactéries.
E. L’ampicilline est un ATB bactéricide dose dépendant
et les aminosides sont bactéricides temps dépendant
Source : Q27 - 12-13 Sec B Réponse : E

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4. Infections à Staphylocoques : 07. Le choix du traitement d’un sepsis à staphylocoque


01. La forme septico-pyo-hemique a staphylocoque se dépend de : La RF
caractérise par : Les RJ A. La sensibilité du germe à l’ampicilline
A. Un point de départ lymphatique. B. La porte d’entrée
B. La présence de porte d’entrée digestive. C. Des localisations métastatiques.
C. Un début brutal avec : fièvre a 40°c, frissons intenses, D. Les signes de gravité
altération de l’état général. E. Le terrain sous jacent
Source : Q12 - 15-16 Sec C Réponse : A
D. Les métastases septiques qui sont fréquentes.
E. La nécessite d’un traitement antibiotique urgent par :
Amoxicilline+ Gentamycine. 08. Le sepsis à staphylocoque : La RF
Source : Q05 - 19-20 Sec A Réponse : CD A. Est un sepsis à point de départ lymphatique
B. Est du à un germe pyogène, cocci gram positif
02. Les antibiotiques suivants sont a priori actifs dans le C. C’est une urgence médicale
traitement des infections staphylococciques sauf un, lequel ? D. Le traitement est basé sur la bithérapie à effet
A. Oxacilline. synergique et bactéricide
B. Amoxicilline. E. Son pronostic peut être compliqué par l’apparition de
C. Acide fusidique. métastases septiques
D. Pristinamycine. Source : Q13 - 15-16 Sec C Réponse : A
E. Vancomycine.
Source : Q06 - 19-20 Sec A Réponse : B 09. Au cours de la staphylococcie maligne de la face :
La RF
03. La forme Septico-pyohémique à syaphlocoque A. Le furoncle de la face est souvent le point de départ
aureus se caractérise par : Les RJ B. Le placard érysipelatoïde et souvent bilatérale
A. Un point de départ lymphatique. C. L’exophtalmie est un signe de gravité
B. Une porte d’entrée digestive. D. La thrombophlébite du sinus caverneux est une
C. Un début brutal avec altération de l’état général. complication redoutable
D. Des métastases septiques E. Une double antibiothérapie est nécessaire
E. Nécessite d’un traitement en urgence par Amoxicilline + Source : Q14 - 13-14 Sec C Réponse : B
Gentamicine
Source : Q03 - 19-20 Sec B Réponse : CD 10. Dans l’ostéomyélite à staphylocoque : La RF
A. L’enfant est le plus souvent touché
04. Les sepsis à staphylocoque : Les RJ B. Les signes inflammatoires ont localisés
A. Ils ont souvent une porte d'entrée cutanée. C. Les signes radiologiques apparaissent tardivement
B. Ils sont des sepsis moins graves dans leur évolution. D. Le traitement nécessite l’immobilisation avec double
C. Il existe le risque de métastases septiques. antibiothérapie.
D. Ils nécessitent un traitement antibiotique urgent par E. L’évolution est toujours favorable
l’association d’Amoxicilline + Gentamycine. Source : Q16 - 13-14 Sec C Réponse : E
E. Ils concernent exclusivement les patients immunodéprimés
Source : Q19 - 19-20 Sec C Réponse : AC
11. Dans staphylococcie maligne de la face on retrouve :
La RF
05. Le Staphylococcus aureus peut être responsable d’une A. Un placard cutané symétrique avec bourelet périphérique
intoxication alimentaire sévère. Lequel parmi les B. Une exophtalmie
mécanismes suivants est alors en cause ? La RJ C. Un cordon induré des veines de la face
A. Exfoliatine D. Un placard cutané parsemé de vésicules
B. Entérotoxine E. Une altération de l’état général
Source : Q01 - 12-13 Sec B Réponse : A
C. Leucocidine
D. Fibrinolysine
12. Les affections cutanées suivantes sont d’origine
E. Coagulase
Source : Q20 - 19-20 Sec C Réponse : B
staphylococcique : La RF
A. Furoncle
06. A propos du sepsis à staphylocoque : B. Purpura vésiculo-pustuleux
A. Le staphylocoque blanc est un saprophyte qui peut C. Erysipèle de la face
provoquer des sepsis nosocomiaux. D. Panaris
B. La localisation méningée d’un staphylocoque meti-R se E. Hidrosadénite
Source : Q21 - 11-12 Sec A Réponse : C
traite par bithérapie vancomycine associé à aminosides.
C. La présence d’un panaris associé à une miliaire
radiologique chez un nourrisson évoque un staphylocoque
pluri-pulmonaire.
D. Le staphylocoque aureus possède une coagulase et une
pénicillinase.
E. Le sepsis à staphylocoque peut être responsable d’un
choc septique et de végétation valvulaire.
Source : Q01 - 18-19 Sec A Réponse : A

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5. Paludisme : 07. Un voyageur algérien se rend en côte d’ivoire. Après un


mois de son retour, il présenta fièvre, sueurs, courbatures et
01. Le paludisme : Les RJ céphalées. Le diagnostic de paludisme fut évoqué. Quelle
A. Est une maladie contagieuse à déclaration obligatoire est votre CAT ? 1 RJ
B. Est une affection virale vectorielle A. Faire trois hémocultures puis instaurer rapidement un
C. Est transmis par la piqûre nocturne de l’anophèle traitement.
femelle B. Commencer le traitement puis faire un frottis de sang
D. Est fréquent en zone intertropicale périphérique et une goutte épaisse.
E. Est dû à un seul genre de plasmodium C. Sérologie spécifique.
Source : Q39 - 20-21 Sec B Réponse : CD D. Attendre les résultats du frottis de sang périphérique et
la goutte épaisse pour traiter.
02. Concernant le neuropaludisme : Les RF E. Un scanner cérébral d’urgence.
A. C’est un acces simple du paludisme Source : Q13 - 19-20 Sec C Réponse : D
B. Le plasmodium vivax aggrave son tableau clinique
C. C’est la forme grave du paludisme à Plasmodium 08. Le paludisme étant confirmé chez ce patient
falciparum provenant d’une zone de chloroquino-résistance,
D. Un traitement antipaludéen spécifique est préconise l’examen ne révèle pas de signe de gravité.
E. Le pronostic est sombre en absence de traitement Quelle molécule antipaludéenne faut-il utiliser ? La RJ
Source : Q40 - 20-21 Sec B Réponse : AB A. Chloroquine per os.
B. Cotrimoxazole injectable.
03. Le paludisme : Les RJ C. Méfloquine per os.
A. Est transmis par la piqûre de l’anophèle femelle. D. Glucantime injectable
B. Est transmis par la piqûre de phlébotome femelle surtout E. Quinine en injectable
la nuit. Source : Q14 - 19-20 Sec C Réponse : C
C. Est une maladie à déclaration obligatoire.
09. Parmi les espèces plasmodiales suivantes, laquelle
D. Est une maladie bactérienne contagieuse.
peut être responsable d'un neuro-paludisme ? La RJ
E. Est une maladie virale sexuelle.
Source : Q35 - 19-20 Sec A Réponse : AC
A. Plasmodium Ovale
B. Plasmodium Falciparum
04. L’accès pernicieux (neuro-palaudisme) est : Les RJ C. Plasmodium Malariae.
A. La forme simple du paludisme a plasmodium falciparum D. Plasmodium Vivax
B. La forme grave du paludisme à plasmodium vivax. E. Plasmodium knewlesi
Source : Q39 - 18-19 Sec A Réponse : B
C. La forme grave du paludisme à plasmodium falciparum
D. La forme qui nécessite un TRT urgent par la chloroquine 10. En cas de paludisme grave (neuro-paludisme), quelle
+ primaquine. molécule antipaludéenne faut-il utiliser ? La RJ
E. La forme dont le pronostic est sombre en absence du A. Chloroquine en IM
traitement B. Chloroquine per os
Source : Q36 - 19-20 Sec A Réponse : CE C. Quinine en IV
D. Doxycycline injectable.
05. Dans le paludisme à plasmodium falciparum, la E. Glucantime injectable.
fièvre initiale est : La RJ Source : Q40 - 18-19 Sec A Réponse : C
A. Une fièvre quarte en plateau.
B. Une fièvre quarte bénigne. 11. Le neuro-paludisme : La RF
C. Une fièvre tierce maligne. A. Il est dû au Plasmodium falciparum.
D. Une fièvre tierce bénigne. B. Il comporte des troubles de la conscience pouvant aller
E. Une fièvre quarte maligne. au coma profond.
Source : Q37 - 19-20 Sec A Réponse : C C. Le syndrome méningé est constamment absent dans
cette forme.
06. Concernant le paludisme : La RJ D. Dans la forme algide la température est inférieure à 56°.
A. C'est une anthropo-zoonose d'allure souvent épidémique E. La Quinine par voie parentérale doit être administrée
B. Il se transmet par l'anophèle femelle lors d'une piqûre en urgence.
douloureuse la nuit Source : Q15 - 18-19 Sec B Réponse : C
C. L'encéphalopathie aiguë foudroyante caractérise l'accès
pérnicieux 12. A propos du paludisme toutes les réponses sont
D. La chloroquine est la seule molécule utilisée en chimio juste sauf une, laquelle ?
prophylaxie palustre A. Il se transmet par piqûre indolore d’un moustique
E. procure une immunité définitive après le 1 accès appelé phlébotome
palustre B. Il est responsable de 2 millions de décès/an
Source : Q38 - 19-20 Sec B Réponse : C C. L’espèce plasmodium falciparum est la plus redoutable
D. Le diagnostic parasitologique est base sur la goutte
épaisse et frottis de sang périphérique
E. Le neuro-paludisme est une forme grave mortelle en
absence de traitement
Source : Q37 - 17-18 Sec B Réponse : A

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13. Le traitement du paludisme grave est base sur: La RJ 16. La prise en charge d’un paludisme pernicieux repose
A. Chloroquine sur les mesures suivantes : La RF
B. Quinine en perfusion A. Une hospitalisation rapide dans une unites de soins intensifs
C. Doxyxycline B. Traitement des complications viscérales
D. Streptomycine C. Perfusion intraveineuse continue de quinine après
E. Didanosine administration d’une dose de charge intraveineuse
Source : Q38 - 17-18 Sec B Réponse : B D. Administration en urgence d’une dose de charge de
quinine per os
14. Un artiste au retour d’un voyage en côte d’ivoire, il E. Une durée totale de traitement anti-palustre de 7 jours
présente une fièvre céphalée vomissement et courbature Source : Q02 - 12-13 Sec A Réponse : C
le diagnostic de paludisme fut évoquer quel examen
biologique demander ? La RJ 17. Un diplomate se présente en consultation après un
A. Trois hémocultures avant tout traitement séjour en côte d’ivoire, il présente un fièvre altération de
B. Frottis de sang périphérique goutte épaisse à la l’état général, un trouble de la conscience vous
recherche de l’agent pathogène suspectez ? La RJ
C. Sérologie du paludisme de 2 prélèvements de sérum à A. Une amibiase colique
10 jours d’intervalle B. Une fièvre boutonneuse méditerranéenne
D. Une ponction de moelle avec hémogramme et recherche C. Une leishmaniose viscérale
d’éosinophile D. Un accès palustre simple
E. Une parasitologie des selles E. Un accès pernicieux
Source : Q05 - 15-16 Sec C Réponse : B Source : Q11 - 12-13 Sec B Réponse : D

15. Le paludisme étant confirmé chez ce patient 18. Test à demander pour confirmer le diagnostic chez
provenant d’une zone 3 de résistance l’examen ne ce patient : La RJ
révèle pas de signe de gravite quelle molécule A. Goutte épaisse et frottis de sang périphérique
antipaludéenne faut-il-utiliser ? La RJ B. Sérologie du Plasmodium
A. Chloroquine per os C. Recherche de parasite dans la moelle osseuse
B. Cotrimoxazole injectable D. Hémoculture répétés au moment des pics fébriles
C. Mefluoquine par voie injectable E. Examen de selles
D. Glucantine injectable Source : Q13 - 12-13 Sec B Réponse : A
E. Quinine en injectable
Source : Q06 - 15-16 Sec C Réponse : E

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4ème Année Med Oran 2020/2021

6. Fièvre boutonneuse méditerranéenne : 07. Quel examen biologique permet le diagnostic de


certitude de la FBM ? La RJ
01. La fièvre boutonneuse méditerranéenne : La RF A. Hémoculture anaérobie.
A. C’est une maladie contagieuse à caractère épidémique B. Prélèvement pharyngé.
B. C’est une Rickettsiose très fréquente en été C. Sérologie par immunofluorescence indirecte.
C. L’éruption febrile est maculopapuleuse généralisé D. Coproculture.
à extension palmoplantaire E. Recherche de germes dans l'expectoration.
D. La présence de l'escarre d’inoculation évoque le Source : Q33 - 18-19 Sec A Q24 - 17-18 Sec B Réponse : C
diagnostic
E. Le traitement per les cyclines améliore le pronostc 08. Quel est le traitement proposé à ce patient devant une
Source : Q14 - 20-21 Sec B Réponse : A FBM ? La RJ
A. Josamycine.
02. Une patiente consulte pour une éruption fébrile B. Ciprofloxacine.
populaire généralise palmo-plantaire non prurigineuse C. Ofloxacine.
avec une connectivite et des céphalées, A quoi pensez- D. Doxycycline.
vous ? La RJ E. Clarythromycine
A. L’infection à VIH. Source : Q34 - 18-19 Sec A Q25 - 17-18 Sec B Réponse : D
B. La méningococcemie.
C. La leishmaniose cutanée. 09. La fièvre boutonneuse méditerranéenne : La RF
D. La rougeole. A. La transmission se fait par la tique du chien
E. La fièvre boutonneuse méditerranéenne. B. Elle est caractérisée par un syndrome fébrile algique
Source : Q34 - 19-20 Sec A Réponse : E C. Au 3eme jour, apparaît une éruption vésiculeuse
siégeant au niveau du tronc.
03. La fièvre boutonneuse méditerranéenne : La RJ D. Le diagnostic est essentiellement clinique
A. Le Rickettsie est un virus à ARN. E. Le traitement est à base de Doxycyline à raison de 200
B. Due à un parasite de type Rickettsie. mg/jour.
C. Elle est très contagieuse. Source : Q16 - 18-19 Sec B Réponse : C
D. L’éruption cutané fébrile est généralisée est de type
maculo papuleuse. 10. Le traitement de la FBM chez l'enfant repose sur : La RJ
E. La tache noir est obligatoire pour poser le diagnostic. A. La Josamycine
Source : Q38 - 19-20 Sec A Réponse : D B. La Rovamycine
C. La Clarythromycine.
04. Les moyens diagnostics de la fièvre boutonneuse D. L'Azithromycine.
méditerranéenne sont : Les RJ E. La Doxycycline.
A. Les hémocultures isolant le Rihipicephalus sanguineus Source : Q17 - 18-19 Sec B Réponse : A
B. Un simple prélèvement de gorge
C. La sérologie spécifique 11. Quel élément caractérise le tableau clinique de la
D. Le tableau clinique fièvre boutonneuse méditerranéenne ? La RJ
E. La biopsie au point d'escarre A. Éruption bulleuse.
Source : Q24 - 19-20 Sec B Réponse : CDE
B. Évolution descendante.
C. Respecte la région palmo-plantaire.
05. Un homme âgé de 25 ans se présente aux urgences D. Éruption maculo-papuleuse.
d'infectiologie pour un état fébrile à 39°C avec E. Débute derrière les oreilles.
céphalées, myalgies, arthralgies, asthénie importante et Source : Q22 - 17-18 Sec B Réponse : D
éruption cutanée. Un tel tableau évoque une fièvre
boutonneuse méditerranéenne (FBM), quel est l'agent de 12. Quel signe clinique fondamental aurait pu être mis en
cette maladie ? La RJ évidence dans la FBM ? La RJ
A. Chlamydia psittaci A. Aphtose buccale.
B. Rickettsia conorii B. Angine pseudo-membraneuse.
C. Salmonella typhus C. Adénophlégmon inguinal.
D. Rickettsia rickettsii D. Arthrite fluxionnaire
E. Borrelia Burgdorferi E. Point d’inoculation (esccarre)
Source : Q31 - 18-19 Sec A Q21 - 17-18 Sec B Réponse : B Source : Q23 - 17-18 Sec B Réponse : E

06. Quels éléments caractérisent le tableau clinique de la 13. La FBM : La RJ


fièvre boutonneuse méditerranéenne ? La RF A. Due à Rickettsia typhi ; bactérie intracellulaire
A. Éruption maculo-papuleuse respectant les paumes et les B. Due à un virus à ARN, Rickettsia conorii
plantes. C. N’est pas à déclaration obligatoire
B. Point d'inoculation (escarre). D. La tache noire est obligatoire pour poser le diagnostic
C. Arthromyalgies. E. Le traitement pour l’enfant est basé sur la josamycine
D. Injection conjonctivale. Source : Q17 - 15-16 Sec C Réponse : E
E. Fièvre élevée.
Source : Q32 - 18-19 Sec A Réponse : A

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4ème Année Med Oran 2020/2021

14. Une femme, 36 ans, enceinte de 4 mois, consulte en 18. Quel est le mécanisme physiopathologique de la fièvre
Aout 2013 pour une fièvre depuis 8 jours. L’examen boutonneuse méditerranéenne ? La RJ
retrouve une fièvre à 40°C, une éruption maculo- A. La bactérie sécrete une toxine à tropisme cutané
papuleuse généralisée touchant les paumes des mains et B. La bactrie à un tropisme endothéliale
les plantes des pieds. Une lésion noirâtre indolore est C. Dissémination du germe au niveau du systme endothéliale
retrouvée au niveau de l’aisselle. De quoi s’agit-il ? La RJ D. Sepsis à point de départ lymphatique
A. Une rougeole E. Sepsis à point de départ thrombophlébitique
B. Une fièvre boutonneuse méditerranéenne Source : Q09 - 13-14 Sec C Réponse : B
C. Une varicelle
D. Une scarlatine 19. Quels sont les critères de diagnostic de la fièvre
E. Une rubéole boutonneuse méditerranéenne ? La RF
Source : Q13 - 13-14 Sec A Réponse : B A. Présence de chien dans l’entourage proche.
B. Tache noire
15. Chez cette patiente, quels sont les éléments qui vont C. Fièvre
vous orienté vers ce diagnostic ? La RF D. Eruption cutanée vésiculeuse
A. La grossesse E. Se voit en été surtout
B. La tache noire Source : Q06 - 12-13 Sec B Réponse : D
C. L’éruption macuulo-papuleuse ne respectant pas la région
palmo-plantaire 20. L’infection à Rickettsia conorii entraine : La RF
D. Consultation au mois d’Aout A. Une fièvre importante
E. La fièvre B. Un tableau brutal
Source : Q14 - 13-14 Sec A Réponse : A
C. Une éruption maculo-vésiculeuse
D. Une escarre dinoculation très évocatrice de la maladie
16. Quels arguments pouvant vous aider à poser ce E. La possibilité de complications redoutables
diagnostic ? La RJ Source : Q36 - 11-12 Sec B Réponse : C
A. Epidermo-clinique
B. Hémoculture 21. Parmi les proposition suivantes, quelle est celle qui ne
C. Sérologie de Wright recorde pas avec l’infection à Rickettsia conorii : La RJ
D. Recherche du virus au niveau cutané A. Eruption vésiculeuse
E. Le myélogramme B. Sa transmission est assurée par Ripicephalus sanguineus
Source : Q15 - 13-14 Sec A Réponse : A
C. L’éruption ne respecte pas la région palmo-plantaire
D. Elle peut se compliquer d’une forme maligne voire mortelle
17. Le traitement préconisé chez cette patiente est : La RJ E. Elle est fréquente dans les pays du bassin méditerranéen
A. Syptomatique uniquement Source : Q02 - 11-12 Sec C Réponse : A
B. Acyclovir 10mg/Kg toutes les 8 heures durant 10 jrs
C. Josamycine 50mg/Kg/j pendant 10 jrs
D. Amoxicilline 200mg/Kg/j en injéctable durant 15 jrs
E. Doxycycline 200 mg/jour jusqu’à 4 jours après l’apyrexie
Source : Q16 - 13-14 Sec A Réponse : C

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4ème Année Med Oran 2020/2021

7. Leptospirose : 08. Dans la leptospirose la voie de contamination peut


être :
01. Concernant la leptospirose : Les RF A. Aérienne.
A. L homme est le seul réservoir du gemme en cause B. Muqueuse ou cutanée.
B. L’atteinte multi viscérale représente la forme grave de C. Sanguine.
la maladie D. Orofécale.
C. L’atteinte rénale est fréquente E. Vectorielles à travers les moustiques.
D. Le syndrome ictéro-hémorragique est retrouvé dès la Source : Q07 - 18-19 Sec A Réponse : B
phase d’invasion
E. La sérologie de Martin et Petit confirme le diagnostic 09. La leptospirose : La RF
Source : Q01 - 20-21 Sec B Réponse : AD A. L’incubation moyenne est de 10j.
B. Une rechute fébrile peut survenir au 15ème jour.
02. Les antibiotiques actifs sur le Leptospire sont : Les RJ C. L’ictère clinique est un signe constant.
A. Amoxicilline D. L’atteinte méningée peut être isolée.
B. Doxycycline E. La forme grave est appelée la maladie de Weil.
C. Rovamycine Source : Q28 - 18-19 Sec B Réponse : C
D. Rifampicine
E. Oxacilline 10. Concernant, le diagnostic de la leptospirose : La RJ
Source : Q02 - 20-21 Sec B Q02 - 19-20 Sec A Réponse : AB A. Le test de macro-agglutination sur la lame (TR) est
l’examen de référence.
03. La leptospirose : La RJ B. La sérologie de Martin et Petit est l’examen de
A. Le chien est le principal réservoir de la maladie. référence durant la 1ère semaine des symptômes.
B. La forme fébrile anictérique est la plus fréquente. C. Le diagnostic peut être proposé devant la simple
C. L’atteinte hépatique est rare. association de myalgies, suffusion conjonctivale et des
D. Le syndrome ictéro-hémorragique est constant. signes méningés si ceux-ci surviennent dans un contexte
E. Il n’y a pas d’atteinte rénale. épidémiologique évocateur.
Source : Q01 - 19-20 Sec A Réponse : B D. Les hémocultures sont indiquées à partir du 12ème jour
des symptômes.
04. Dans la leptospirose : parmi les symptômes et les E. La mise en évidence des leptospiroses à l’examen direct
signes habituels figure : Les RF est la méthode la plus utilisée en pratique courante.
A. Syndrome méningé. Source : Q29 - 18-19 Sec B Réponse : C
B. Myalgies aux mollets.
C. Dissociation pouls température. 11. La leptospirose : La RJ
D. Suffusion conjonctivale. A. Une zoonose à déclaration obligatoire.
E. Escarre d’inoculation. B. La transmission directe se fait suite à une morsure de
Source : Q05 - 19-20 Sec B Réponse : CE
chien errant.
05. Concernant la leptospirose : La RJ C. Le tableau clinique est d’installation progressive.
D. L’atteinte hépato-rénale s’installe à la phase d’état.
A. Le chien est le réservoir principal de la maladie.
E. Le traitement par l’amoxicilline est l’antibiotique de choix.
B. Le test de macro-agglutination sur la lame (TR) est Source : Q10 - 17-18 Sec B Réponse : E
l’examen de référence.
C. La leptospirose ictèro-hémorragique est la forme la plus 12. Le diagnostic de la leptospirose se fait par : La RJ
fréquente. A. L’hémoculture et le frottis de sang périphérique.
D. Une rechute fébrile peut survenir au 15ème jour. B. La coproculture et la sérologie dés le début de la
E. Le traitement de la forme peu sévère repose sur le maladie.
Bactrim. C. La sérologie de Martin et Petit et l’hémoculture.
Source : Q06 - 19-20 Sec B Réponse : D
D. La sérologie de Martin et Petit dès la 1ère semaine de la
maladie.
06. La réaction sérologique de référence de la
E. L’hémogramme et l’hémoculture dès la 1ère semaine de
leptospirose est : La RJ
A. Sérologie de Wright. la maladie.
Source : Q11 - 17-18 Sec B Réponse : C
B. Sérologie de Widal et Félix.
C. Sérologie de Weil et Félix. 13. Le diagnostic de la leptospirose ictéro-hémorragique
D. Test de Rose Bengale. est fait par : La RJ
E. Réaction d’agglutination de Martin et Petit. A. Une hémoculture positive dans les 15j de la maladie.
Source : Q26 - 19-20 Sec C Réponse : E
B. Une hyperlymphocytose à l’hémogramme.
C. Une sérologie de Martin et Petit supérieur ou égale à
07. Au cours de la Leptospirose : Les RJ
1/80 dés la 5ème semaine.
A. L’ictère clinique est un signe constant.
D. Un examen direct sanguin qui confirme le diagnostic.
B. La présence de l’escarre noire d’inoculation.
C. L’atteinte rénale est rare. E. Une uroculture positive à la 2ème semaine.
Source : Q01 - 15-16 Sec A Réponse : E
D. L’atteinte méningée peut être isolée.
E. La forme grave est appelée la « Maladie de Weil »
Source : Q27 - 19-20 Sec C Réponse : DE

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4ème Année Med Oran 2020/2021

8. Infections à VIH/SIDA : 07. La primo-infection à VIH peut se manifester par :


A. Une candidose.
01. L’infection à VIH : Les RJ B. Un syndrome mononucléosique.
A. C’est une infection virale chronique à évolution fatale C. Une pneumocystose.
rapidement D. Une diarrhée chronique.
B. La transmission sexuelle reste moins fréquente E. Un sarcome de Kaposi.
C. Le control immuno- virologique évalue le pronostic à Source : Q08 - 18-19 Sec A Réponse : B
court terme
D. La phase de latence est active biologiquement 08. A propos de l’infection par le virus VIH :
E. Le traitement antirétrovial supprime le vinus chez le A. Elle peut se transmettre par vois digestive.
malade B. Elle ne s’observe pas chez l’enfant.
Source : Q37 - 20-21 Sec B Réponse : CD C. La mise en évidence des anticorps anti-VIH en ELISA
suffit au diagnostic (une seule sérologie).
02. Le diagnostic de la primo-infection à VIH est fait
D. Les anticorps anti-VIH sont présents dès les premiers
par : La RJ
jours de la primo-infection.
A. Les signes cliniques seulement
E. Elle peut rester asymptomatique pendant des années.
B. Les signes cliniques associés à une antigénémie P24 Source : Q09 - 18-19 Sec A Réponse : E
positif
C. Les signes cliniques associés å une sérologie VIH Elisa 09. L'infection à VIH : La RJ
positive A. Elle est due à un rétrovirus à ADN
D. La sérologie VIH Elisa positive seulement B. Le VIH est très résistant aux désinfectants
E. La sérologie VIH Elisa positive associée à une C. Elle peut se manifester par une lymphadénopathie
antigénémie P24 positive généralisée persistante
Source : Q38 - 20-21 Sec B Q39 - 19-20 Sec A Réponse : B
D. La transmission vectorielle par moustique est possible
03. L’infection à VIH : La RF E. Elle peut être guérie totalement par les antirétroviraux
A. C’est une maladie virale, évoluent vers la chronicité. Source : Q13 - 18-19 Sec B Réponse : C
B. La transmission par du sang contaminé est possible
C. La surveillance immuno-sérologique est nécessaire chez 10. La primo-infection à VIH : La RJ
le malade. A. Elle est symptomatique dans la quasi-totalité des cas
D. Les anti corps anti-VIH sont retrouvés dès la primo- B. Elle survient plusieurs années après la contamination
infection à VIH. C. Elle caractérisée par la survenue fréquente de
E. La réplication virale est arrêtée sous traitement antirétrovirale pneumocystose
Source : Q33 - 19-20 Sec A Réponse : D D. Elle est caractérise par un taux de CD4 très bas (<
50/mm3)
04. Au cours du VIH : Les RF E. Elle peut comporter des manifestations neurologiques.
A. Le taux de CD4 révélé l'état immunitaire du patient Source : Q14 - 18-19 Sec B Réponse : E
B. Le Westen bloot confirme le passage au Stade sida
C. L’antigenémie P24 témoigne de la réplication virale 11. La primo-infection à VIH peut se manifester par : La RJ
D. La sérologie VIH confirme le diagnostic dès la primo- A. Une candidose,
infection VIH B. Un syndrome mononucléosique.
E. La charge virale détermine la quantification virale C. Une pneumocystose.
Source : Q37 - 19-20 Sec B Réponse : BD D. Une diarrhée chronique.
05. Concernant l’infection à VIH : Les RF E Un sarcome de kaposi.
Source : Q17 - 17-18 Sec B Réponse : B
A. Une maladie virale évoluant selon trois modes de
transmission.
12. L’infection à VIH : La RF
B. Le virus responsable est un virus à ADN appartenant
A. Une maladie virale dont la transmission par du sang
aux rétrovirus.
contaminé est possible.
C. Le stade sida est la forme grave de la maladie.
B. Elle évolue sur plusieurs étapes au cours du SIDA maladie.
D. Le traitement est assuré par l’association de trois
C. Les anticorps anti-VIH sont retrouvés dès la primo-
antirétroviraux.
infection à VIH.
E. Les anticorps anti-VIH sont retrouvés dès la primo-
D. L'évolution est fatale en absence de traitement.
infection à VIH.
Source : Q16 - 19-20 Sec C Réponse : BE
E. La surveillance immuno-virologique est nécessaire chez le
malade.
06. Au cours de l’infection à VIH : La RJ Source : Q18 - 17-18 Sec B Réponse : C
A. La transmission materno-foetale est à redouter pendant
toute la grossesse. 13. Parmi ces signes, lequel est inhabituel au cours
B. La primo-infection est symptomatique dans 90% des cas. d'une primo-infection à VIH ?
C. Le dosage des CD4 est le seul moyen de diagnostic. A. Un syndrome grippal.
D. La sérologie Elisa est le test de référence pour les B. Une fièvre inexpliquée.
diagnostic. C. Des adénopathies.
E. La prévention des infections sexuellement transmissibles D. Pharyngite
est obligatoire. E. Diarrhées
Source : Q17 - 19-20 Sec C Réponse : E Source : Q19 - 15-16 Sec C Réponse : E

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4ème Année Med Oran 2020/2021

15. Retenez la proposition exacte concernant l'infection


par le VIH : La RJ
14. La transmission du virus VIH de la mère a l'enfant A. L'agent causal est un herpes virus qui se transmet par
s'effectue durant les périodes suivantes : La RJ voie sexuelle, sanguine et de la mère à enfant.
A. Toute la grossesse B. Dans la phase de primo-infection le risque de
B. Lors de la fécondation (le début de grossesse) contamination est minime.
C. Le premier trimestre de la grossesse C. Dans sa phase de latence qui dure 7 à 10 ans, la
D. L'accoucheraient personne infectée peut transmettre le virus à une autre
E. Après l'accouchement au contact permanent entre la personne.
mère et l'enfant même lorsque le bébé est nourri au D. Une sérologie négative à VIH réalisée une semaine
biberon après un risque de contamination élimine l'infection à VIH .
Source : Q12 - 13-14 Sec C Réponse : D E. La prévention en cas d'accident d'exposition au sang
repose sur l'injection d'immunoglobuline anti-VIH en
urgence.
Source : Q12 - 13-14 Sec C Réponse : D

9. Sepsis à BGN :
01. Concernant le sepsis à BGN : Les RJ 05. Concernant le sepsis à BGN :
A. Les sepsis nosocomiaux sont moins graves que les A. Le choc septique résulte d’une hypovolémie à la fois
sepsis communautaires absolue et relative.
B. La fièvre peut être absente dans ce type de sepsis. B. C’est un SRIS associé à une hypotension qui répond à un
C. La contractilité cardiaque augmente dans la phase simple remplissage.
du choc froid. C. Le diagnostic repose sur la sérologie.
D. Les hémocultures ne sont indiquées que devant D. Le choc chaud commence par une vasoconstriction
une fièvre et avant toute antibiothérapie. périphérique.
E. Une hypothermie peut annoncer la survenue d’un E. La température ne retourne pas à la normale dans le
choc septique. sepsis à BGN.
Source : Q30 - 20-21 Sec B Réponse : BE Source : Q02 - 18-19 Sec A Réponse : A

02. Concernant le sepsis à BGN : La RF 06. Concernant le sepsis à BGN : La RF


A. Le début du choc septique est dû à une vasoplégie. A. C’est un sepsis à point de départ thrombophlébite
B. Les agents causaux ont en commun une exotoxine B. Du à des bactéries ayant en commun une exotoxine
lipo poly saccharidique. lipopolysacarides responsable du choc septique
C. Les hémocultures sont indiquées avant toute C. Se complique le plus souvent de choc septique, que de
antibiothérapie. localisations secondaires
D. Le traitement de la porte d'entréc est capital. D. La fréquence de ces sepsis est en rapport avec la
E. Une hypothermie peut annoncer la survenue d'un multiplication des méthodes d’investigation
choc septique. E. Les imipénèmes sont actifs sur les BGN sécréteurs des
Source : Q32 - 20-21 Sec B Réponse : B bétalactamases à spectre étendu
Source : Q13 - 13-14 Sec A Réponse : B
03. Les sepsis à BGN : Les RJ
A. Ils sont exclusivement communautaires. 07. Concernant le sepsis à BGN : La RF
B. Ils concernent exclusivement les patients A. Les sepsis nosocomiaux sont plus graves que les sepsis
immunodéprimés. communautaires
C. Ils sont traités par l’association : Céphalosporines 3ème B. Le choc chaud est la conséquence de la voso-plégie et
génération (C3G) + Aminoside. traduit une vasodilatation artérielle périphérique
D. Ils ont souvent une porte d’entrée urinaire et/ou C. Le traitement repose sur une bithérapie synergique et
digestive. bactériostatique qui inhibe la croissance bactérienne
E. Le risque d’évoluer vers un choc septique est rare. D. L’hémoculture confirme le diagnostic, elle s’effectue
Source : Q03 - 19-20 Sec A Réponse : CD avant toute antibiothérapie au moment des pics fébriles ou
hypothermie
04. Les sepsis à BGN : Les RJ E. La transmission croisée joue un rôle important dans la
A. Sont exclusivement nosocomiales. transmission du sepsis nosocomial
B. Le risque d’évoluer vers un choc septique est rare. Source : Q09 - 11-12 Sec A Réponse : C
C. Ils sont traités par l’association de céphalosporine 3ème
génération (C3G) et aminoside.
D. Ils ont souvent une porte d’entrée urinaire et/ou
digestive.
E. Concernent exclusivement les patients immunodéprimés
Source : Q28 - 19-20 Sec B Réponse : CD

11
4ème Année Med Oran 2020/2021

10. Fièvre Typhoïde : 09. Un traitement efficace des fièvres typhoïdes peut
être réalisé par : La RF
01. Lors du 2ème septénaire de la fièvre typhoïde, quels A. Pénicilline G.
sont les examens de confirmation à demander parmi B. Ceftriaxone .
les suivants : Les RJ C. Ampicilline.
A. Goutte épaisse B. Coproculture C. Hémoculture D. Chloramphénicol.
D. Sérodiagnostic de Wright E. Biliculture E. Sulfamétoxazole-triméthoprime.
Source : Q15 - 20-21 Sec B Réponse : BC Source : Q30 - 18-19 Sec A Réponse : A

02. Le traitement de la Fièvre typhoïde par : Les RJ 10. La fièvre typhoïde : La RF


A. La Pénicilline G B. L’Azithromycine C. La Rocéphine A. C’est une septicémie à point de départ digestif liée à
D. L’Amikacine E. La Pyostacine des salmonelles dites mineurs.
Source : Q16 - 20-21 Sec B Réponse : BC
B. C’est une maladie à transmission hydrique.
03. Le traitement de la fièvre typhoïde est basé sur : C. C’est une maladie à déclaration obligatoire.
quelles sont les réponses fausses ? Les RF D. Elle sévit dans la plupart des pays en voie de
A. Rovamycine. B. Fluroquinolone. développement.
C. Doxycycline. D. Amino-penicilline A (Peni A). E. Le diagnostic repose sur l’isolement de la bactérie
E. Gentamycine. responsable classiquement dans le sang.
Source : Q10 - 19-20 Sec A Réponse : ACE Source : Q01 - 18-19 Sec B Réponse : A

04. Lors du deuxième septénaire de la fièvre typhoïde, 11. La fièvre typhoïde : La RF


quels sont les examens de confirmation à demander A. Elle est essentiellement considérée comme une maladie
parmi les suivants : Les RJ endémo-épidémique.
A. Goutte épaisse B. Coproculture C. Hémoculture B. La transmission de S.Typhi est possible tant que
D. Sérodiagnostic de Widal et Félix E. Biliculture l’excrétion de la bactérie persiste dans les selles.
Source : Q07 - 19-20 Sec B Réponse : BCD C. Elle peut provoquer une éruption cutanée érythémateuse au
niveau du tronc de type maculo-papulaire.
05. Au cours de la fièvre typhoïde, les complications à D. La splénomégalie est absente.
redouter peuvent être : La RF E. Une hospitalisation du patient est recommandée avec
A. La cérébellite. B. La myocardite. respect des mesures d'hygiène spécifiques.
C. L’hémorragie digestive basse. D. La cholécystite. Source : Q02 - 18-19 Sec B Réponse : D
E. La pancréatite.
Source : Q07 - 19-20 Sec C Réponse : E 12. Le diagnostic biologique de la fièvre typhoïde
comporte les examens suivants sauf un, lequel ? La RF
06. Dans la fièvre typhoïde, les taches rosées A. Les hémocultures.
lenticulaires : Les RF B. La coproculture.
A. Apparaissent à la phase d’état de la maladie. C. La formule numération sanguine (FNS).
B. C’est un signe pathognomonique, constant. D. Le prélèvement pharyngé.
C. C’est des petites macules rondes (2-3mm), roses. E. La sérologie de Widal et Félix.
D. Elles sont observées sur l’abdomen, la base du thorax et Source : Q27 - 17-18 Sec B Réponse : D
les flancs.
E. Elles ne s’effacent pas à la vitro pression. 13. Le traitement curatif de la fièvre typhoïde fait appel
Source : Q08 - 19-20 Sec C Réponse : BE aux molécules suivantes sauf une, laquelle ? La RF
A. Les phénicolés. B. La pénicilline A C. Les cyclines
07. Au cours du 1er septénaire de la fièvre typhoïde : La RJ D. La sulfamétoxazole-trimethprime (BACTRIM).
A. Il existe toujours une diarrhée. E. Fluoroquinolone.
B. Il existe un purpura dans 10% des cas. Source : Q28 - 17-18 Sec B Réponse : C
C. L’hémogramme montre une éosinophilie supérieure à
500 éléments/mm3. 14. La fièvre typhoïde est une maladie qui peut : La RJ
D. Il existe un ictère. A. Entraîner des rétroagies importantes allant jusqu’au décès
E. Le sujet peut être insomniaque. B. Donner des abcès cutanés importants.
Source : Q28 - 18-19 Sec A Réponse : E C. Être dû a des piqures de moustiques.
D. Entraîner une épidermolyse.
08. Concernant la fièvre typhoïde toutes ces complications E. Entraîner une neuropathie périphérique.
peuvent se voir sauf une, la quelle ? La RF Source : Q07 - 15-16 Sec C Réponse : A
A. Complications septiques avec hépatite bactérienne et
cholécystite. 15. La confirmation du diagnostic de la fièvre typhoïde
B. Complications intestinales à type d'hémorragie et repose sur : La RJ
perforation. A. La coproculture.
C. Complications cardiaques avec myocardite et choc B. Le sérodiagnostic de Widal la première sensible de la
cardiogénique. symptomatologie.
D. Complications laryngée avec voix rauque et dyspnée C. La parasitologie des selles.
inspiratoire. D. Les hémocultures.
E. Complications cérébrales avec encéphalopathie et tuphos E. Le frottis sanguin et la goutte épaisse.
Source : Q29 - 18-19 Sec A Réponse : D Source : Q09 - 15-16 Sec C Réponse : D

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4ème Année Med Oran 2020/2021

11. Rage :
01. Devant un cas de morsure animale, il faut : Les RF 07. La rage : La RF
A. Lavage et rinçage abondant de la plaie. A. Le virus de la rage est neurotrope
B. Une bi antibiothérapie (CLAFORAN+ GENTAMYCINE) B. Tous les mammifères sont susceptibles d'être atteints
C. La sérovaccination antirabique est obligatoire quel C. Le chien est parmi les principaux réservoirs du virus de
que soit le risque la rage classique
D. La suture de la plaie est possible après une D. Le virus remonte de façon rétrograde jusqu'à la moelle
sérothérapie antirabique. épinière
E. Mettre l'animal mordeur en surveillance vétérinaire E. Le virus se multiplier massivement au niveau des
Source : Q20 - 20-21 Sec B Réponse : BC neurones périphériques.
Source : Q04 - 18-19 Sec B Réponse : E
02. La rage est une maladie virale qui : La RF
A. Est transmise à l’homme par un animal enragé. 08. Les proposition suivantes concernant la rage sont
B. Est due à un virus diffusant dans l’organisme à exactes sauf une, laquelle ? La RF
partir de la porte d’entrée A. La vaccination antirabique doit etre debute a toute
C. Est une maladie mortelle, à déclaration obligatoire. personne mordue par un chien inconnuee
D. La forme paralytique est la moins fréquente. B. Le virus de la rage est neurotrope
E. Parfois évitable par une sérovaccination efficace. C. La rage humaine declaree est mortelle dans 85% des cas
Source : Q21 - 20-21 Sec B Q31 - 19-20 Sec C Réponse : E
D. Elle pose un probleme de sante publique en algerie
E. La serotherapie est indiquee dans les morsures graves
03. Devant une morsure animale il faut : La RF par un animal suspect
A. Lavage abondant de la plaie pour diminuer la quantité Source : Q31 - 17-18 Sec B Réponse : C
de virus in situ.
B. Il ne faut jamais suturer la plaie, même après
sérothérapie anti rabique. 09. La rage : La RF
C. Même l’animal restera en observation chez le vétérinaire A. Est une encéphalomyélite aiguë
D. Prescrire une antibiothérapie. B. Due a un virus à ARN
E. Prescrire une sérothérapie/vaccination en fonction de C. Transmission ne se fait jamais par morsure d’un animal
grade de la morsure. domestique
Source : Q11 - 19-20 Sec A Réponse : B D. L’hydrophobie est pathognomonique dans la forme
spastique
04. La rage est une maladie virale qui : Les RJ E. Le chien enragé meurt en moins de 14 jours
A. Est transmise à l'homme en Algérie par le chien Source : Q11 - 15-16 Sec C Réponse : C
B. Est due à un virus diffusant dans l'organisme par voie
sanguine à partir de la porte d'entrée 10. Concernant la rage : La RF
C. Est une maladie à déclaration obligatoire A. Est une méningo-encephalo-myelite due à un rabdovirus
D. Est mortelle dans 50 % des cas B. La sérothérapie antirabique vise à prévenir la rage à
E. Se manifeste par un tableau d'encéphalo-myélite à la incubation courte
phase d'état C. Le vaccin après morsure est donne en plusieurs doses
Source : Q13 - 19-20 Sec B Réponse : ACE selon le protocole d’ESSEN
D. Les soins locaux de la plaie est un temps capital dans la
05. Devant un cas de morsure animale, il faut : Les RF prévention de la rage
A. Un lavage abondant de la plaie pour diminuer la E. Le sérum antirabique hétérologue se donne selon la
quantité du virus in situ. méthode de Besredka
B. Il ne faut jamais suturer la plaie, même après Source : Q33 - 13-14 Sec A Réponse : A
sérothérapie antirabique.
C. Une bi antibiothérapie avec l’association de l’ofloxacine 11. Concernant la rage : La RF
et la gentamycine. A. La sérotherapie est utilisée dans les forme a incubation
D. Une sérothérapie/vaccination en fonction du grade de courte
la morsure. B. Un délai de 6 mois après morsure n’exclue pas le
E. Mettre l’animal mordeur en surveillance vétérinaire diagnostic de la rage
Source : Q30 - 19-20 Sec C Réponse : BC
C les immunoglobuline hétérologue et homonologue donne
a la dose respective de 40U/KG 20u/KG
06. Quel est votre CAT devant une plaie de 5 cm
D l’hydrophobie est un signe pathognomonique et constant
siégeant au niveau du cou suite à une morsure d'un
de la rage
chien errant ? La RF
E. le vaccin antirabique peut être utilisé dans un but curatif
A. Lavage, rinçage, et désinfection de la plaie.
ou préventif
B. La suture de la plaie. Source : Q30 - 11-12 Sec C Réponse : D
C. Antibiothérapie prophylaxique du tétanos.
D. Infiltration de la plaie par du sérum antirabique.
E. La vaccination antirabique n'est pas indiquée dans de cas.
Source : Q27 - 18-19 Sec A Q32 - 17-18 Sec B Réponse : E

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4ème Année Med Oran 2020/2021

12. Rougeole : 07. Les mesures préventives à entreprendre devant un


cas de rougeole commune sont : Les RJ
01. Le signe de Köplick au cours de la rougeole : Les RF A. L'hospitalisation en soins intensifs.
A. Il constitue I’énanthème de la rougeole. B. L'isolement respiratoire.
B. Il est inconstant. C. L'administration en urgence des immunoglobulines
C. Il apparaît à la phase d'état. spécifiques anti-rougeole
D. ll est fait de petits éléments blancs non détachables D. La déclaration obligatoire.
E. Il siège sur le voile du palais. E. La vaccination à la guérison
Source : Q05 - 20-21 Sec B Réponse : CE Source : Q18 - 19-20 Sec B Réponse : BD

02. Concernant les complications de la rougeole : Les RF 08. L’éruption de la rougeole se caractérise par : La RJ
A. Elles sont favorisées par la malnutrition. A. La présence d’éléments maculo-papuleux sans espace
B. La pan encéphalite sclérosante subaiguë de Von de peau saine.
Bogaert apparait vers les 5-6 ème jours de l'évolution. B. Elle ne s’efface pas à la vitro pression.
C. L’encéphalite aigue est généralement de bon pronostic C. Elle apparaît d'abord au niveau du tronc et de la
D. La Pneumonie bactérienne représente 60% des racine des membres.
causes de décès chez l'enfant. D. Elle disparaît dans l’ordre de son apparition.
E. La laryngite peut être aiguë ou tardive. E. Elle laisse des cicatrices indélébiles.
Source : Q06 - 20-21 Sec B Réponse : BC Source : Q18 - 19-20 Sec C Réponse : D

03. Le diagnostic positif de la rougeole commune 09. Un nourrisson âgé de 9 mois présente depuis 2 jours
repose sur : Les RF une fièvre à 39°C accompagnée de catarrhe oculo-
A. L'absence de vaccination anti-rougeole. respiratoire avec malaise générale.
B. La présence d'une éruption morbi-scarlatinifome fébrile. Le nourrisson développe depuis quelques heures une
C. La présence de signe de Köplick. éruption maculo-papuleuse au niveau du visage et
D. L'existence d'une pneumonie interstiticlle. derrière les oreilles. Le tableau est évocateur de
E. La présence des anticorps IgM antirougeoleux rougeole. Parmi les propositions suivantes, laquelle est
positifs à la sérologie. en faveur de la rougeole ? La RJ
Source : Q07 - 20-21 Sec B Réponse : BD
A. Une angine a fausse membrane.
04. Chez un enfant de 4 ans qui présente une éruption B. L'absence d'espace à peau saine.
morbilli-forme, quels sont les élément épidémio-clinique qui C. Une raideur de la nuque.
peuvent réconforter le diagnostic de la Rougeole ? Les RF D. Un discret prurit localisé à la face et au cou.
A. L’absence de l’allaitement maternel à la naissance. E. L'absence de vaccination anti-rougeole.
B. L’absence de vaccination contre la rougeole. Source : Q23 - 18-19 Sec A Q01 - 17-18 Sec B Réponse : E
C. La fièvre modérée ne dépassant pas 38.5℃ associe au 10. Devant l'état clinique du patient vous décider de
catarrhe oculo-nasal et atteinte bronchique. l'hospitaliser quelles sont les mesures à entreprendre ? La RF
D. Les petites taches blanc-bleuâtres sur un fond A. Isolement du malade
érythémateux au niveau de la muqueuse jugale. B. Déclaration obligatoire
E. Le début de l’éruption derrière les oreilles ou au visage. C. Moyen physique de refroidissement et antipyrétique
Source : Q14 - 19-20 Sec A Réponse : AC D. Apport hydrique suffisant
E. Vaccination immédiate pour prévenir les complications
05. La prise en charge d’un cas de rougeole commune Source : Q02 - 17-18 Sec B Réponse : E
consiste à : La RF
A. Isoler le malade. 11. Comment allez-vous confirmer ce diagnostic ? La RF
B. Prescrire un traitement symptomatique à base de A. La détection des IgM spécifiques par la sérologie sur un
paracétamol prélèvement sanguin
C. Prescrire des collyres de vitamine A. B. La détection des IgG spécifiques par la sérologie sur un
D. Vacciner le malade contre la rougeole. prélèvement sanguin
E. Déclarer le cas de rougeole aux autorités sanitaires. C. La détection de l’ARN viral par PCR sur prélèvement de
Source : Q15 - 19-20 Sec A Réponse : D salive.
D. La détection de l’ARN viral par PCR sur prélèvement de
06. Un nourrisson vous est amenée, le 17/01/2020,
sang.
pour une fièvre, une toux, une conjonctivite, et un
E. La détection de l’ARN viral par PCR sur prélèvement des
Rhinite apparues 48 heures auparavant. A l'examen,
urines.
vous retrouvez un enfant pleurnichard avec fièvre Et Source : Q03 - 17-18 Sec B Réponse : B
quelques vésicules groupées au niveau de la lèvre
inférieure. Vous apprenez que son cousin de 4 ans 12. Les complications virales de la rougeole peuvent
vivant avec lui sous le même toit, a présenté une être : La RF
rubéole il y a 3 mois, quels sont les éléments cliniques A. Une pneumonie interstitielle.
qui sont en faveur du diagnostic de la rougeole ? Les RF B. Une laryngite algue striduleuse
A. La conjonctivite. B. La rhinite. C. La fièvre 40 °C C. Une laryngite tardive sous glottique.
D. Les vésicules groupées au niveau de la lèvre inférieure. D. Une encéphalite aiguë
E. La notion de contage (représentée par son cousin). E. Une kératite
Source : Q17 - 19-20 Sec B Réponse : DE Source : Q12 - 18-19 Sec B Réponse : C

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4ème Année Med Oran 2020/2021
13. Un jeune homme présente un éruption maculo-
papuleuse avec catarrhe oculo-trachéo-nasal, quel sont 17. L’éruption de la rougeole : La RJ
les éléments qui confortent le diagnostic de la rougeole ? A. Réalise des maculo-papules prurigineuses généralisées
La RF B. Comporte rarement des intervalles de peau saine
A. La chronologie de l apparition de l éruption C. Est suivie d’une desquamation de larges lambeaux
B. Ulcération des piliers des amygdales D. Débute au niveau de la tete
C. Semis des taches blanchâtres sur la muqueuse buccal E. La fièvre est absente à la phase de début
D. La fièvre élevée Source : Q25 - 13-14 Sec A Réponse : D
E. L’absence de vaccination contre la rougeole
Source : Q26 - 15-16 Sec A Réponse : B 18. La rougeole peut se compliquer de : La RF
A. Otite moyenne de surinfection bactérienne
14. L’épidémiologie de la rougeole est caractérisée par : B. Laryngite aiguë
La RF C. Parotidite
A. Son mode endémo-épidémique D. Pneumopathie interstitielle diffuse
B. Sa transmission aérienne directe E. Encéphalite aiguë
C. Son réservoir représenté par l homme Source : Q26 - 13-14 Sec A Réponse : C
D. Sa survenue surtout chez les petits nourrissons âgés de
moins 6 mois
E. Son immunité durable 19. Est il exacte que le signe de Köplick : La RJ
Source : Q27 - 15-16 Sec A Réponse : D A. Est pathognomonique de la rubéole
B. Apparaît en même temps que l’éruption cutanée
15. Les caractéristiques suivantes de l éruption de la C. Est constitue d un semis de petites taches blanc-bleuâtre
rougeole sont exacte sauf une, laquelle ? à la face interne des joues
A. L’éruption est constituée de maculo-papules rouges avec D. Est un signe de la gravité de la maladie
espace de peau saine E. Persiste jusqu’à la fin de l’éruption cutanée
Source : Q28 - 13-14 Sec A Réponse : C
B. Elle débute au niveau du tronc
C. Son extension est descendante
D. Elle évolue en une seule poussée qui dure 6 jrs
E. Elle est fébrile
Source : Q05 - 15-16 Sec B Réponse : B

16. L’exanthème de la rougeole : La RF


A. Apparaît 14 jours après le contage
B. Débute d arrière les oreilles, avec extension descendent
en 3-4 jrs
C. Maculo-papules rouges, non prurigineuse
D. Présence des espaces de peau saine
E. Est suivie d’une desquamation important
Source : Q08 - 15-16 Sec C Réponse : E

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4ème Année Med Oran 2020/2021

13. Oreillons :
01. Les oreillons peuvent se manifester par : Les RF 07. Dans les oreillons, la PCR (Polymerase Chain
A. Une parotidite Reaction) de la salive met en évidence : La RJ
B. Une méningite purulente. A. Les anticorps spécifiques de type IgM.
C. Une kératite. B. Les anticorps spécifiques de type IgG.
D. Une orchi-épididymite C. Les anticorps spécifiques de type IgM et IgG.
E. Une pancréatite. D. L’ADN viral.
Source : Q08 - 20-21 Sec B Réponse : BC E. L’ARN viral.
Source : Q10 - 19-20 Sec C Réponse : E
02. Un jeune adolescent de 14 ans, originaire et
demeurant à Oran, ce présente à la consultation pour 08. A propos des oreillons : La RF
des douleurs rétro-auriculaires bilatérales. L’examen A. C'est une maladie infectieuse due à un virus à ARN.
clinique retrouve une fièvre à 38.5℃, un comblement B. L'agent causal est à tropisme glandulaire.
du sillon rétro maxillaire gauche avec une tuméfaction C. La maladie n'est pas immunisante.
ferme, élastique et très douloureuse. Vous évoquez le D. Elle peut se compliquer d'une orchite secondairement.
diagnostic des oreillons. Sur quel argument basez-vous E. Son traitement est essentiellement symptomatique.
pour poser un diagnostic positif chez cet adolescent : Source : Q25 - 18-19 Sec A Réponse : C
Les RJ
A. L’âge de malade 09. La parotidite ourlienne : La RJ
B. La notion de voyage A. Elle est douloureuse uniquement à la palpation.
C. La notion de contage B. La douleur reste localisée n'irradiant jamais vers l'oreille
D. La fièvre à 38.5°c. C. La consistance est dure.
E. La présence de signes clinique d’une parotidite gauche. D. Elle s'accompagne de fièvre très élevée
Source : Q16 - 19-20 Sec A Réponse : CDE E. Elle est souvent associée à un œdème facial inferieur et
cervical
03. Les localisation glandulaire des oreillons peuvent Source : Q08 - 18-19 Sec B Réponse : E
être : La RJ
A. Méningitique. 10. Le vaccin ROR : La RF
B. Testiculaire. A. C’est vaccin vivant atténué
C. Encéphalique. B. Il n'est pas obligatoire dans le calendrier vaccinal national
D. Hépatique. C. Il est généralement bien toléré.
E. Myocardique. D. Il confère une immunité solide.
Source : Q17 - 19-20 Sec A Réponse : B E. Il est contre indiqué chez la femme enceinte.
Source : Q09 - 18-19 Sec B Réponse : B
04. Le virus des oreillons est : Les RJ
A. Un virus à ADN de la famille des Paramyxovirus. 11. Les oreillons : La RF
B. Un virus a ARN de la famille des Paramyxovirus. A. C’est une maladie infectieuse due à un virus à ARN.
C. Un virus du genre Rubulavirus B. Elle est contagieuse et épidémique.
D. Un virus du genre Rubivirus C. Elle est à tropisme glandulaire.
E. Un virus du genre Morbillivirus. D. Elle est caractérisée par une immunité acquise durable à vie
Source : Q15 - 19-20 Sec B Réponse : BC E. Elle peut se compliqué d’une orchite responsable, dans
tout les cas, de stérilité.
05. L'évolution habituelle des oreillons est caractérisée Source : Q05 - 17-18 Sec B Réponse : E
par : Les RJ
A. La régression de tous les signes en une dizaine de jours 12. Le virus ourlien peut toucher tous ces organes sauf
B. La desquamation fine de la tuméfaction parotidienne. un, lequel ? La RJ
C. La survenue fréquente de complications banales de sur- A. La glande salivaire sublinguale
infection bactérienne. B. Le rein
D. La survenue constante de stérilité en cas d'orchite C. Le pancréas
ourlienne bilatérale cher l'homme puberté D. L’ovaire
E. L'acquisition d'une immunité protectrice E. Le testicule
Source : Q16 - 19-20 Sec B Réponse : AE Source : Q31 - 13-14 Sec A Réponse : B

06. L’orchite ourlienne: Les RJ 13. Concernant les oreillons : La RJ


A. Elle est due à un paramyxovirus A. L’atteinte parotidienne est constante.
B. Elle survient à tout âge. B. La méningite ourlienne est une méningite virale bénigne
C. Son diagnostic est confirmé par l’élévation de mais qui peut provoquer des séquelles.
l’amylasémie et la lipasémie. C. L’orchite bilatérale provoque systématiquement une
D. Son évolution spontanée est souvent défavorable stérilité.
émaillée de complications. D. La méningite succède toujours la parotidite.
E. Elle est rarement responsable de stérilité. E. Un contact avec un patient 06 jours avant les 1ers signes
Source : Q09 - 19-20 Sec C Réponse : AE cliniques est considéré comme non contaminant.
Source : Q29 - 13-14 Sec C Réponse : B

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4ème Année Med Oran 2020/2021

14. Diphtérie :
01. Concernant la diphtérie : Les RF 07. A propos de la diphtérie : La RF
A. C’est une maladie à déclaration obligatoire. A. Maladie virale et immunisante.
B. L’angine est le plus souvent à fausses membranes. B. La transmission est directe, par la voie respiratoire.
C. Dans la forme commune, les fausses membranes C. Grave pouvant engager le pronostic vital à déclaration
sont cohérentes, reproductibles et non extensives. obligatoire.
D. Les fausses membranes épargnent la luette. D. L’agent causal est un bacille gram positif appelé bacille
E. La vaccination du patient est nécessaire. de LOEFFLER.
Source : Q31 - 20-21 Sec B Réponse : CD E. La surveillance d’apparition des complications
neurologiques peut aller jusqu’à 35 jours.
02. Au cours de La diphtérie : La RF Source : Q22 - 19-20 Sec C Réponse : A
A. L’angine est d'abord érythémateuse puis se
recouvre de la pellicule de Bretonneux 08. Devant les fausses membranes évoquant la
B. L'antibiothérapie est prescrite dès la suspicion de la diphtérie: La RF
diphtérie. A. Faire un prélèvement pharyngé en signalant au
C. L'angine est d'abord érythémateuse puis se laboratoire le diagnostic suspect.
recouvre de la pellicule de Bretonneux. B. Isoler rapidement le malade sans attendre la
D. La sérothérapie est donnée après confirmation confirmation du diagnostic.
bactériologique. C. Mettre en route le traitement étiologique.
E. Les fausses membranes sont riches en bacilles à D. La vaccination après traitement curatif est indiquée.
gram positifs E. L'enquête épidémiologique à la recherche des cas
Source : Q33 - 20-21 Sec B Réponse : D similaires n’est pas nécessaire.
Source : Q23 - 19-20 Sec C Réponse : E
03. Au cours de diphtérie le syndrome MALIN
SECONDAIRE DE MARFAN : Les RF 09. Concernant la diphtérie : La RF
A. C’est une complication majeure, précoce (10 jrs), fréquente A. C'est une urgence diagnostique et thérapeutique, à
B. C’est une manifestation due à la bactérie elle-même. déclaration obligatoire
C. C’est la principale cause des décès. B. C’est une maladie contagieuse et épidémique non
D. Il se manifeste par des hémorragies digestives. immunisante
E. Nécessite une surveillance par ECG. C. La transmission est surtout directe respiratoire.
Source : Q22 - 19-20 Sec A Réponse : BD D. Les manifestations toxiniques sont surtout digestives et
glandulaires
04. Les fausses membranes au cours de la diphtérie ont E. L'isolement respiratoire du patient est impératif.
les caractères suivant sauf une : La RF Source : Q22 - 18-19 Sec B Réponse : D
A. Adhérentes : difficile détacher.
B. Cohérentes : difficile à dissocier. 10. Les fausses membranes de l'angine diphtérique
C. Reproductibles : elles se reproduisent rapidement après sont : La RF
leur arrachement. A. Adhérents B. Cohérentes C. Reproductible
D. D’abord de couleur transparente puis deviennent bleuâtre. D. De couleur framboise E. Extensives
E. Extensives d’abord localisées puis s’étendent en doigt de Source : Q23 - 18-19 Sec B Réponse : D
gants vers la luette et cavités nasales
Source : Q24 - 19-20 Sec A Réponse : D 11. Concernant la diphtérie : La RF
A .C’est une toxi infectieuse grave contagieuse,à
05. A propos de diphtérie : La RF
transmission surtout direct par voie aérienne
A. Maladie contagieuse et non immunisante
B.C’est une urgence médicale et épidémiologique à
B. La transmission directe est de type respiratoire
déclaration obligatoire
C. Grave pouvant engager le pronostic vital d'où sa
C.Elle se caractérise par une angine pseudo-membraneuse
déclaration obligatoire
et un syndrome toxémique générale
D. L'agent causal est un bacille gram positif appelé bacille
D.La sérothérapie en urgence peut etre différée jusqu’à
LOFFLER
récupération les résultats des prélèvements
E. Se traduit cliniquement par un énanthème à fausses
E.Il est recommandé de vacciner le malade avant de sa
membranes et un exanthème vésiculeux
Source : Q22 - 19-20 Sec B Réponse : E
sortie,car la maladie n’est pas immunisante
Source : Q19 - 17-18 Sec B Réponse : D
06. Devant tes fausses membranes de la diphtérique : La RF
A. Faire un prélèvement pharyngé en signalant au 12. La diphtérie : La RF
laboratoire le diagnostic suspecte A. L’incubation est courte ne dépassant pas 7 jours
B. Isoler rapidement le malade sans attendre ta B. Le traitement doit toujours attendre les résultats
confirmation du diagnostic. bactériologique
C. Mettre en route le traitement étiologique C. L’angine est d’abord érythémateuse puis se recouvre de
D. La vaccination protectrice n'est pas indiquée même si le la pellicule de bretonneau
diagnostic de diphtérie est confirme D. Le coryza est séreux puis muco-purulent
E. Lancer une enquête épidémiologique à la recherche des E. Les fausses membranes sont riches en bacilles
cas similaires diphtérique
Source : Q23 - 19-20 Sec B Réponse : D Source : Q02 - 15-16 Sec C Réponse : B

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4ème Année Med Oran 2020/2021

15. Méningites Purulentes :


01. La méningite à méningocoque se singularise par les 06. A propos de la méningite à Neisseria meningitidis : La
caractéristiques suivantes sauf une, laquelle ? La RF RF
A. Sa fréquence : La plus fréquente des méningites purulentes A. C’est la plus fréquente des méningites purulentes.
B. Sa contagiosité est l'extrême gravité de ses formes B. Elle s'observe à tous les âges avec une prédilection pour
fulminantes l'enfant et l'adulte jeune C. L'atteinte méningée se fait par
C. Elle est á declaration obligatoire. bactériémie à l'occasion d'une pharyngite. D. L’étude
D.La transmission est directe par voie aérienne à partir cytologique du LCR met en évidence une réaction cellulaire
de porteurs sains à prédominance lymphocytaire.
E. L’atteinte méningée se fait par voie lymphatique à E. L’examen direct du LCS montre un diplocoque gram
partir d’un foyer digestif négatif en grain de café
Source : Q11 - 20-21 Sec B Q26 - 19-20 Sec B Réponse : E Source : Q20 - 18-19 Sec B Réponse : D
Q25 - 19-20 Sec C
07. Concernant La méningite à Haemophilus influenzea :
02. Concernant la méningite à Listéria : La RF La RF
A. Elle survient sur un terrain particulier : Grossesse, sujet A. La progression clinique la plus lente
âgé, diabétique, ID par maladie (le VIH) ou médicamenteux B. Elle est souvent masquée par une infection ORL
B. La contamination peut se faire par voie aérienne et C. Les convulsions et les troubles de circulation du LCR sont
digestive (œufs, aliments, glaces, charcuterie...). fréquents
C. Le tableau clinique est celui d'une méningo-encéphalite D. La surdité constitue la séquelle la plus redoutée
de la base avec atteinte des paires crâniennes. E. Elle survient surtout chez l’adulte de sexe masculin
D. Classiquement elle réalise un tableau de rhombencéphalite Source : Q35 - 17-18 Sec B Réponse : E
subaiguë avec paralysie des nerfs crâniens
E. Elle ne nécessite pas un traitement, car elle guérie 08. A propos des méningites léstiriennes : La RF
spontanément A. Elles surviennent sur un terrain particulier : grossesse,
Source : Q12 - 20-21 Sec B Q28 - 19-20 Sec B Réponse : E sujet âgé
B. Elles peuvent se présenter sous forme subaigue pseudo
03. La méningite à pneumocoque se singularise par : La tuberculeuse
RF C. Classiquement elle réalise un tableau de rhombo-
A. Son extrême gravité dominée par les formes meningo- encéphalie subaigue
encéphalitiques. D. L’évolution peut être émaillée de tableau neuro
B. La fréquence élevée chez les aspléniques, les végétative mettant en jeu le pronostic vital
traumatismes du crâne et les âges extrêmes E. Le traitement de céfotaxime : 200mg /j en IV
C. Leur caractère secondaire a une pathologie broncho- Source : Q36 - 17-18 Sec B Réponse : E
pulmonaire, une oto-mastoidienne, sinusite, un traumatisme
crânien. 09. La méningite à pneumocoque : La RF
D. Un LCR purulent, avec à l’examen direct : des Cocci A. Pose un problème thérapeutique en raison de
gram négatives en grain de café. l’apparition des souches résistantes à la péniciline
E. L’apparition de souches résistantes à la pénicilline B. Elle est fréquente chez les aspléniques et les âges
posant un problème de santé publique extremes
Source : Q12 - 20-21 Sec B Q25 - 19-20 Sec A Réponse : D C. Caractérisée par la fréquence des récidives
Q20 - 18-19 Sec A D. Dominée par les formes méningo-encéphalites
E. Elle est contagieuse surtout en collectivité
04. Le pronostic des méningites purulentes concerne : La Source : Q20 - 15-16 Sec C Réponse : E
RF
A. Le terrain sur lequel elles surviennent 10. La méningite à méningocoque : La RF
B. Le germe en cause A. Elle se singularise par sa contagiosité et l’extrême
C. La précocité du traitement curatif gravité de ses formes fulminantes
D. La présence ou non des signes encéphalitiques B. La transmission est directe par voie aérienne
E. L'origine ethnique, comme la race asiatique qui est C. L’atteinte méningée se fait par bactériémie à l’occasion
prédispose aux formes graves d’une pharyngite
Source : Q25 - 19-20 Sec B Q24 - 19-20 Sec C Réponse : E D. Le séro groupe B est prédominant en Algérie
E. Elle est à déclaration obligatoire
05. La méningite à Streptococcus pneumoniae se Source : Q21 - 15-16 Sec C Réponse : D
caractérise par : La RF
A. Son extrême gravité dominée par les formes méningo-
encéphalitiques.
B. Sa porte d'entrée souvent ORL.
C. Sa contagiosité dans les collectivités
D. L'aspect hypo-glucorachique et hyper-protéinorachique
du LCR
E. Son caractère récidivant
Source : Q20 - 18-19 Sec B Réponse : C

18
4ème Année Med Oran 2020/2021

16. Méningites à Liquide Clair : 17. Hépatites Virales :


01. A propos de la méningite tuberculeuse : La RF 01. Quel est le virus dont la transmission dominante
A. Le mode d’installation des symptômes est sub-aiguë. est feco-orale ? La RJ
B. La notion de participation de composante psychiatrique A. Virus de I’hépatite D
est évocatrice. B. Virus de I’hépatite G
C. L’aspect de liquide cérébro-spinal est clair avec normo- C. Virus de I’hépatite C
glycorachie constante. D. Virus de I’hépatite B
D. La notion d’hydrocéphalie au scanner cérébral est E. Virus de I’hépatite E
contributive au diagnostic. Source : Q17 - 20-21 Sec B Q32 - 19-20 Sec C Réponse : E
E. Le traitement antituberculeux est instauré sans attendre
les résultats de culture 02. Concernant les hépatites : Les RF
Source : Q23 - 19-20 Sec A Réponse : C A. HBV: La forme aiguë asymptomatique représente
plus de 80% des cas
02. Concernant les méningites à liquide claire : La RF B. HCV: Le dépistage se fait par la recherche de AC anti HVC
A. C'est une pathologie fréquente le plus souvent bénigne C. HVE: L’infection aiguë est souvent mortelle
et spontanément curable D. HVG : La Transmission est sanguine, surtout transfusionnelle
B. Elles peuvent être potentiellement graves dans certaines E. HVA : La forme chronique nécessite une surveillance stricte
étiologies Source : Q18 - 20-21 Sec B Réponse : CE
C. Le terrain du patient est important à connaître car
certaines pathologies lui sont spécifiques 03. Concernant l’hépatite virale ‘A’ : La RF
D. Elles surviennent surtout chez l'immunodéprimé A. Elle sévit à l'état endémique/épidémique en Algérie
E. Elles prouvent être aiguës, subaiguës ou chroniques B. La forme symptomatique est la moins fréquente
Source : Q27 - 19-20 Sec B Réponse : D C. Le diagnostic se fait par la sérologie de l’hépatite A
(lgM anti VHA)
03. A propos des méningites à liquides clair : La RF D. Sous traitement antiviral, l’évolution est favorable.
A. C’est une pathologie fréquente le plus souvent bénigne E. Ne passe jamais à la chronicité.
et spontanément curable. Source : Q19 - 20-21 Sec B Réponse : D
B. Elles peuvent être potentiellement graves dans certaines
étiologies. 04. Le dépistage de l’hépatite C, se fait par la recherche
C. Le terrain du patient est important à connaitre ; de ? La RJ
certaines étiologies lui sont spécifiques. A. Ac anti-HBs.
D. Elles peuvent être aigues, subaigües ou chroniques. B. Ac anti-HBctotaux.
E. Lors de l’étude du LCR, la protéinorrachie est de règle C. Ag HBe.
très élevée D. Ac anti-VHC.
Source : Q18 - 18-19 Sec A Réponse : E E. Ac anti-HBe.
04. Concernant la méningo-encéphalite herpétique : La RF Source : Q07 - 19-20 Sec A Réponse : D
A. C’est une urgence thérapeutique due au VHS1.
B. Elle réalise une nécrose hémorragique fronto-temporale. 05. Concernant le virus de l’hépatite B, les réponses
C. LCR lymphocytaire, albumine peu élevé, glycorrachie nle fausses. Lesquelles ? Les RF
D. TDM : hypodensité fronto-temporale d’apparition tardive. A. Il s’agit d’un virus à ARN.
E. Le traitement est basé sur les ATB à forte dose B. Il appartient aux hepadna-virus.
Source : Q19 - 18-19 Sec A Réponse : E C. Il peut être transmis par voie sexuelles et sanguine.
D. Il ne possède pas d’enveloppe.
05. A propos des méningites a liquide clair : La RF E. Il comporte une capside.
A. L’étiologie est souvent virale de bon pronostic. Source : Q08 - 19-20 Sec A Réponse : AD
B. L’étiologie bactérienne est exclue car l’aspect du liquide est clair
C. L'origine tuberculeuse est suspectée devant un LCR 06. Concernant le virus de l’hépatite C : Les RJ
d’aspect xanthochromique. A. C’est un virus a ADN.
D. La réaction cellulaire panachée du LCR (50% de B. Il peut être transmis par voie parentérale.
polynucléaires, 50% de lymphocytes) est en faveur de la C. L’infection virale devient chronique dans moins de 10%
listériose. des cas.
E. Le traitement de la méningite herpétique est basé sur D. L’infection peut être prévenue par la vaccination
l'Acyclovir E. L’infection chronique peut être traitée par
Source : Q19 - 18-19 Sec B Réponse : B
Sofosbuvir/Daclatasvir.
06. La méningite tuberculeuse est caractérisée par : La RF Source : Q09 - 19-20 Sec A Q11 - 19-20 Sec B Réponse : BE
A. Polymorphisme clinique d’où la difficulté et le retard de dg
B. Début le plus souvent aiguë 07. Parmi ces vaccins, quel (s) est (sont) ceux (s) qui est
C. La fréquence du trouble de comportement et trouble (sont) est recommandé (s) aux personnes travaillons au
sphinctériens contact avec les eaux usées ?
D. Le LCR est clair avec hypoglycorachie A. Haemophilus influenza.
E. Le traitement spécifique est débuté sans attendre les B. Hépatite B C. Hépatite A
résultats de la culture D. BCG E. Grippe.
Source : Q22 - 15-16 Sec C Réponse : B Source : Q12 - 19-20 Sec A Réponse : C

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4ème Année Med Oran 2020/2021
08. Concernant les modes des transmission du virus de 15. L'hépatite virale C : La RF
l'hépatite B : Les RJ A. L’incubation moyenne est de 6 à 8 semaines.
A. Transmission féco-orale B. L'hépatite virale C aigue est le plus souvent
B. Transmission transcutanée par du matériel contaminé asymptomatique.
C. Transmission transfusionnelle C. Le diagnostic est établi par une sérologie virale C positive
D. Transmission périnatale et un ARN du VHC détectable pendant 6 mois.
E. Transmission sexuelle D. La guérison spontanée de l'hépatite C est observée
Source : Q09 - 19-20 Sec B Réponse : BCDE dans 70 % des cas environ.
E. Le traitement est basé sur les antiviraux à action direct.
09. Les complications d'une hépatite virale aiguë peuvent Source : Q07 - 18-19 Sec B Réponse : D
être à plus on moins long terme : Les RJ
A. Une lithiase vésiculaire 16. Concernant l'hépatite C, toutes les réponses sont
B. Une hépatite chronique exactes sauf une, laquelle ? La RF
C. Un cancer du foie A. Le plus souvent asymptomatique.
D. Une cirrhose B. La contamination est digestive.
E. Une pancréatite aigue C. Elle évolue souvent vers la chronicité.
Source : Q10 - 19-20 Sec B Réponse : BCD D. Il n y a pas vaccin anti hépatite C
E. Maladie curable «la guérison est possible
10. Quels sont les virus dont la transmission dominante Source : Q29 - 17-18 Sec B Réponse : B
est féco-orale ? Les RJ
A. Virus de l'hépatite D 17. Parmi les étiologies suivantes des hépatites virales,
B. Entérovirus une seule n'entraine cirrhose : La RJ
C. Virus de l'hépatite C A. Hépatite A
D. Virus de l'hépatite A B. Hépatite B.
E. Herpès simplex virus C. Hépatite C
Source : Q12 - 19-20 Sec B Réponse : BD D. Co-infection Hépatite C/VIH.
E. Hépatite D.
11. Concernant l'hépatite virale A : La RF Source : Q15 - 15-16 Sec C Réponse : A
A. Elle sévit à l'état endémo-épidémique en Algérie.
B. La forme asymptomatique est la plus fréquente. 18. Le dépistage de l'hépatite C est assuré par la
C. Le diagnostic se fait par la recherche des IgM anti VHA. recherche de : La RJ
D. L'évolution est souvent favorable en quelques jours. A. Anticorps anti-HBs.
E. Le passage à la chronicité pose un problème. B. Ac anti-HBc.
Source : Q33 - 19-20 Sec C Réponse : E C. Ag Hbe.
D. Ac anti-VHC.
12. Parmi les signes biologiques suivants, quel est le E. Ac anti-HBe.
seul qui traduit une hépatite aiguë B : La RJ Source : Q16 - 15-16 Sec C Réponse : D
A. L’Ag Hbs
B. Les IgM anti Hbs. 19. Concernant l'hépatite virale A : La RJ
C. L'Ag HBC A. La contamination est surtout Parentérale
D. Les IgM anti Hbc B. Fréquente dan: les pays industrialisés
E. L’Ag Hbe C. La forme fulminante est exceptionnelle
Source : Q37 - 18-19 Sec A Q30 - 17-18 Sec B Réponse : D
D. La prévention repose sur la vaccination dés la naissance
13. L'hépatite virale A : La RF selon le calendrier vaccinal national
A. Elle est de un virus ARN sans enveloppes, résistant dans E. Le diagnostic repose sur la recherche des anticorps anti
le milieu est extérieur HCV
Source : Q08 - 13-14 Sec C Réponse : C
B. Il existe rarement une infection chronique par le VHA
C. Les formes fulminantes sont exceptionnelles
D. Elle survient habituellement au cours de l'enfance ou 20. Le traitement de l'hépatite virale B aiguë est basé
chez l'adulte jeune sur : La RJ
E. Le diagnostic se fait par la sérologie IgM anti-VHA positif A. Des antiviraux
Source : Q05 - 18-19 Sec B Réponse : B
B. Le repos strict au lit
C. Le régime strict sans gras
14. L'hépatite virale D : La RF D. Eviction des produits hépatotoxique y compris les
A. Le virus D (delta) est un virus défectif qui dépend du oestro-progestatifs et l'alcool
virus B pour sa multiplication. E. Des médicaments hépato-protecteurs
B. En cas de coïnfection VHB et VHD, une hépatite grave Source : Q11 - 13-14 Sec C Réponse : D
peut survenir
C. Elle peut évoluer vers la cirrhose avec le risque de 21. Quelles sont les hépatites virales qui peuvent
carcinome hépatocellulaire (CHC). évoluer vers la chronicité : La RF
D. Le diagnostic repose sur la présence d'anticorps anti- A. Hépatite B B. Hépatite C C. Hépatite D
delta dans le sérum D. Coïnfection hépatite B-VIH E. Hépatite A et E
E. La prophylaxie est basée sur la vaccination contre le VHD Source : Q09 - 12-13 Sec B Réponse : E
Source : Q06 - 18-19 Sec B Réponse : E

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4ème Année Med Oran 2020/2021

18. Brucellose :
01. La brucellose : Les RF 07. La brucellose, affection fréquente dans notre pays,
A. Est provoquée par Brcella mélitensis, B abortus suis dont : RF
ou B abortus bovis A. Le test de Rose Bengale est très spécifique pour le dépistage
B. Est une maladie strictement humaine B. Le brucella pousse lentement dans un milieu spécifique
C. Est aussi appelée fièvre ondulante ou fièvre sudoro- par hémocultures
algique C. Le sérodiagnostic de Wright est spécifique par son
D. Est une maladie professionnelle titrage
E. Est de diagnostic de certitude facile sur la clinique D. La contamination en milieu professionnel est à redouter
Source : Q34 - 20-21 Sec B Réponse : BE E. La chronicité succède toujours après la focalisation
secondaire
02. Les propositions suivantes concernant la Brucellose Source : Q04 - 19-20 Sec C Réponse : E
sont fausses, sauf : Les RJ
A. Est une septicémie de type thrombo phlébitique 08. Patient âgé de 48 ans sans antécédents particuliers,
B. Est une septicémie de type lymphatique vétérinaire de profession, consulte pour un état fébrile
C. Est une septicémie à localisation endocardique avec asthénie physique, arthralgies diffuses évoluant
fréquente depuis plus de 02 semaines et des sueurs profuses.
D. Est une septicémie à localisation cérébrale secondaire L’interrogatoire retrouve la notion de consommation de
E. N’est pas une septicémie puisque le germe en cause lait caillé et l’eau de puits de la ferme où il travaille.
n’est pas retrouvé en hémocultures L’examen clinique retrouve une fièvre à 39,5°, TA 12/07,
Source : Q35 - 20-21 Sec B Réponse : BD pouls à 105 b/mn, céphalées modérées, splénomégalie
modérée et des douleurs lombaires exagérées depuis 05
03. Les Brucelles : Les RF jours limitant ses mouvements, confirmée par
A. Sont des bactéries à gram positif radiographie.Bilan biologique retrouve : GB: 2400 elt/mm,
B. Ils se cultivent rapidement en moins de 24 heures Hb : 12,5 g/dl, plaq : 130000 elt/mm, TGO/TGP à 2 fois
C. Ils ont des exigences de culture particulières la normale, CRP; 14, VS : 30 la première heure.
D. Ils présentent une action intracellulaire Quel diagnostic évoquez-vous ? La RJ
E. Ils induisant des formes focalisées suite à leur A. Sepsis aiguë
dissémination systémique B. Fièvre typhoïde commune
Source : Q36 - 20-21 Sec B Réponse : AB C. Brucellose aiguë commune
D. Méningite bactérienne
04. Concernant la Brucellose : Les RF E. Brucellose focalisée
A. C’est une anthropo-zoonose très fréquente dans notre pays. Source : Q05 - 19-20 Sec C Réponse : E
B. La Brucella melitensis a des exigences particulières de
culture. 09. Quels examens paracliniques confirment le
C. Les anticorps anti brucella apparaissent dès le début de diagnostic de cette pathologie? Les RJ
la maladie. A. Les hémocultures positives, indispensables pour lancer le
D. Le traitement curatif est parfois médico-chirurgical. traitement
E. Elle peut donner une immunité définitive. B. La sérologie de Widal et Félix avec un titrage positif
Source : Q26 - 19-20 Sec A Réponse : CE C. La coproculture mettant en évidence le germe en cause
D. Le sérodiagnostic de Wright avec un titrage positif
05. Le traitement curatif en cas de brucellose E. La TDM cérébrale suivie d’une ponction lombaire
commune aiguë est l’association de : La RJ Source : Q06 - 19-20 Sec C Réponse : AD
A. Doxycycline et Rifampicine pendant 43 jours.
B. Doxycycline et Ciprofloxacine pendant 43 jours. 10. Concernant la brucellose :
C. Doxycycline et Rifampicine pendant 13 jours. A. C’est une zoonose épidémique en période estivale à
D. Doxycycline et Gentamycine pendant 40 jours. déclaration obligatoire.
E. Doxycycline et Rifampicine pendant 30 jours. B. La transmission manuportée est la plus fréquente.
Source : Q27 - 19-20 Sec A Réponse : A C. La fièvre ondulante algique dure une semaine.
D. Le germe est mis en évidence par l’hémoculture en 5
06. La brucellose : Les RJ jours et confirme le diagnostic.
A. Maladie contagieuse touchant souvent les vétérinaires E. La brucellose focalisée au niveau cardiaque est à redouter
B. Le tuphos mélitococcique détermine la forme pseudo- Source : Q12 - 18-19 Sec A Réponse : E
thyphoidique
C. La sérologie de Wright confirme le diagnostic et reste à 11. La brucellose est confirmé par : La RJ
vie positive A. Le tableau clinique uniquement
D. L'endocardite brucellienne est une localisation B. La sérologie de Wright demandé dès la phase d'invasion
secondaire à redouter C. Les hémocultures qui isolent le genre brucella au
E. Association Rifampicine et Doxcycline pendant un mois troisième jour de la maladie
est préconisée en 1ère intention D. Le prélèvement au niveau de la porte d'entre
Source : Q40 - 19-20 Sec B Réponse : ABD E. La sérologie de Wright dés 1/80 évoquant une
brucellose aiguë.
Source : Q24 - 18-19 Sec B Réponse : E

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4ème Année Med Oran 2020/2021
12. La brucellose : La RJ 19. Grippe :
A. C’est une anthropozoonose très contagieuse à
déclaration obligatoire. 01. La prévention de la grippe comprend la mesure
B. Le coma fébrile est l'évolution spontanée de la maladie suivante : La RJ
C. Le tuphos mélitococcique est une complication fréquente A. Une antibiothérapie préventive
D. La spondylodiscite brucellienne est de règle souvent B. Une bonne stratégie vaccinale
lombaire C. Les inhibiteurs de la neuraminidase
E. La brucellose chronique nécessite une bi-antibiothérapie D. La sérothérapie
Source : Q25 - 18-19 Sec B Réponse : D E. L’utilisation d’Aspirine
Source : Q22 - 20-21 Sec B Réponse : B
13. La brucellose : La RJ
A. C’est une maladie parasitaire professionnelle et de 02. Les principales complications de la grippe sont : Les RJ
loisir A. La surinfection bactérienne
B. La transmission directe aérienne est la plus fréquente B. Une toux fébrile
C. Les brucella ont des exigence particulière de culture C. Un malaise généralisé
D. Le diagnostic est strictement clinique D. La survenue d'un catarrhe
E. Le traitement est médico-chirurgical E. Un Syndrome de détresse respiratoire aiguë
Source : Q06 - 17-18 Sec B Réponse : C Source : Q23 - 20-21 Sec B Réponse : AE

14. La brucellose : La RJ 03. Indiquer la proposition fausse concernant la Grippe


A. Est une anthropozoonose exclusivement professionnelle saisonnière : La RF
sévit sur un mode épidémique A. La grippe espagnole de (1918-1919) est la pandémie
B. Est une affection bactérienne hautement contagieuse la plus mortelle dans toute l'histoire du dernier siècle
C. Son caractère brutal en fait toute la gravite de la maladie B. Les virus B et C infectent presque exclusivement l'homme.
D. Son incubation est courte de 3 jours précède une phase C. La période d’incubation varie entre 1 et 4 jours, elle est
d’invasion brutale contagieuse 24h avant l'apparition des symptômes et 15j apr
E. A un impact lourd sur le rendement d’élevage D. La Grippe maligne primaire est une complication rare,
Source : Q24 - 15-16 Sec B Réponse : E mais souvent mortelle due au virus lui-même
E. Les prélèvements s'effectuent précocement durant les
15. Le tableau clinique de la brucellose commune à la première jours
phase septicémique comporte : La RJ Source : Q33 - 19-20 Sec B Réponse : C
A. Une fièvre en plateau.
B. Etat de choc endotoxique 04. Quelles sont les propositions fausses concernant la
C. Des troubles digestifs vaccination antigrippale ? Les RF
D. Des sueurs abondantes A. Elle réduit l'incidence du syndrome grippal, des
E. Des troubles urinaires hospitalisations et de la mortalité.
Source : Q23 - 13-14 Sec C Réponse : D
B. Le vaccin est trivalent incluant les souches du virus A, B et C
C. Il est contre indiqué chez les femmes enceintes et les
16. Devant un état septicémique les arguments qui font nourrissons de moins de 6 mois.
suspecter une brucellose sont : La RF D. L'immunité est acquise en 7 jours.
A. Une profession exposée E. Une maladie infectieuse aigue en évolution est une
B. Un début progressif avec fièvre sudoro-algique contre- indication temporaire
Source : Q34 - 19-20 Sec B Réponse : BCD
C. Une hépato splénomégalie
D. Une hyperleucocytose a polynucléose neutrophile 05. Concernant la grippe saisonnière : La RF
E. Une orchite A. Elle tue chaque année entre 250000 et 500000
Source : Q24 - 13-14 Sec C Réponse : D
personnes dans le monde.
B. La grippe asiatique est la pandémie la plus mortelle
17. La brucellose : La RF dans toute l’histoire du dernier siècle.
A. Est une septicémie a point de départ lymphatique C. Elle est contagieuse dans les 24h avant le début des sympt
B. Est une anthropozoonose fréquente dans notre pays D. La grippe maligne est une compl rare, souvent mortelle
C. Est caractérisé par une fièvre sudoro-algique avec E. Les bactéries Cocci gram positif sont les principaux
leucopénie germes incriminés dans les pneumonies bactériennes
D. peut évoluer même sous traitement vers chronicité post-influenza.
E. Est de transmission inter humaine fréquente Source : Q38 - 19-20 Sec C Réponse : B
Source : Q25 - 13-14 Sec C Réponse : E
06. A propos de la vaccination antigrippale : La RF
18. La brucellose secondaire localisée : La RF A. L’immunité est acquise en 15 jours et dure 9 à 12 mois.
A. Est la forme la plus grave de la maladie B. Elle est indiquée chez la femme enceinte.
B. Est consécutive à la brucellose commune C. Elle est contre indiquée en cas d’infection aiguë évolutive.
C. De siege fréquemment ostéo-articulaire D. Elle est contre indiquée chez les personnes ayant une
D. Leur traitement repose sur une bithérapie comorbidité chronique.
E. La désensibilisation par la mélitine est le traitement de E. Elle réduit l’incidence du syndrome grippal, des
choix hospitalisations et de la mortalité
Source : Q13 - 11-12 Sec C Réponse : E Source : Q39 - 19-20 Sec C Réponse : D

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4ème Année Med Oran 2020/2021

20. Tétanos :
01. Concernant le tétanos : La RJ 06. Le tétanos : La RF
A. C’est une toxi-infection contagieuse et non immunisante A. Maladie grave mais évitable
B. C’est une toxi-infection non contagieuse et immunisante B. Toxi-infection immunisante
C. Le tétanos néonatal est dû à la transmission de la toxine C. Non contagieuse, à déclaration obligatoire
de la mère au fœtus. D. Les plaies chroniques présentent un risque de tétanos
D. Peut être prévenu par une seule dose de vaccin E. Le diagnostic est essentiellement clinique
conférant une immunité solide durant toute la vie. Source : Q04 - 15-16 Sec C Réponse : B
E. Une incubation brève est un facteur de mauvais pronostic.
Source : Q13 - 19-20 Sec A Réponse : E

02. Concernant le tétanos : La RJ 07. Le vaccin antitétanique est préconisé dans les
A. Une incubation brève est un facteur de mauvais pronostic. situations suivantes : La RF
B. C'est une toxi-infection contagieuse. A. Chez les nourrissons 3, 4, et 5 mois suivi de rappels
C. C'est une toxi-infection non contagieuse et immunisante B. En préparation à un voyage en zone tropicale
D. Le tétanos néo-natal est maladie transmission de la C. En cas de plaie cutanée chez une personne non vaccinée
toxine de la mère au fœtus. D. Chez une femme enceinte non vaccinée
E. II Peut être prévenu par une seule dose de vaccin E. En cas d’un tétanos déclaré
conférant une immunité solide durant toute la vie. Source : Q01 - 13-14 Sec A Réponse : B
Source : Q14 - 19-20 Sec B Réponse : A

03. A propos de tétanos : 08. Parmi les portes d’entrée du tétanos : La RF


A. C’est une toxi-infection non contagieuse immunisante à A. l’ulcère de la jambe
déclaration obligatoire. B. Le tatouage
B. L’agent causal est bacille de Nicolaier. C. La sécrétion du cordon ombilical
C. Le diagnostic est clinique. D. Le sondage urinaire
D. Le signe capital est le trismus. E. L’intervention chirurgicale
E. L’évolution est imprévisible d’où le transfert en centre de Source : Q04 - 12-13 Sec B Réponse : D
réanimation qui s’impose.
Source : Q15 - 18-19 Sec A Réponse : A

04. La prévention de Tétanos, en cas de blessure, fait 09. Parmi les éléments suivants, quels sont de mauvais
appel à : pronostic au cours d’un tétanos : La RF
A. Des soins locaux de la plaie pour évacuation de tout A. Une durée d’incubation de 5 jours
corps étranger. B. Une porte d’entrée utérine
B. Un lavage avec un antiseptique. C. L’apparition d’un trismus à la phase d’invasion
C. Un traitement antibiotique visant le bacille tétanique et D. L’existence de troubles respiratoires
les Cocci Gram positif. E. L’existence de paroxymes incessants
D. Une immunoprophylaxie qui sera indiqué quel que soit Source : Q05 - 11-12 Sec A Réponse : A
le statut vaccinal du patient.
E. La vaccination sera évaluée selon le statut vaccinal du
patient.
Source : Q16 - 18-19 Sec A Réponse : D

05. Le tétanos : La RF
A. Le trismus est un signe inaugural.
B. A la phase d'état, la contracture est généraliste,
douloureuse et invincible.
C. Le syndrome dysautonomique est précoce survenant dès
la phase d’invasion.
D. La fièvre est absente.
E. Le bruit peut déclencher des paroxysmes sur le fond de
contracture permanente
Source : Q33 - 18-19 Sec B Réponse : C

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4ème Année Med Oran 2020/2021

21. Herpes Virus :


01. La varicelle est caractérisée par les caractéristiques 08. Chez cet enfant, Quel argument vous permet de
suivantes sauf une, laquelle : La RF poser le diagnostic ? La RJ
A. La voie respiratoire est le mode de contamination le A. Recherche du virus dans le sang
plus commun B. La Sérologie
B. C’est une maladie très contagieuse qui touche surtout C. ....
l’enfant. D. Argument epidémiologique
C. C’est une maladie éruptive de type érythémato- E. Le prélèvement de gorge
vésiculaire Source : Q20 - 13-14 Sec A Réponse : D
D. La vaccination est obligatoire chez le nouveau-né.
E. Les formes les plus sévères se voient chez l’adulte 09. Chez cet enfant, quel traitement, préconisez vous :
Source : Q40 - 19-20 Sec A Réponse : D La RJ
A. ATB actifs sur le streptocoque et le staphylocoque
03. Au cours du zona : La RF B. Acyclovir
A. L’agent causal est le virus varicelle-zona (VZV). C. Corticothérapie locale
B. Il se traduit par une éruption vésiculeuse métamérique. D. Josamycine
C. Il peut entrainer des douleurs persistantes E. Traitement symptomatique
D. Il touche essentiellement l'adulte et l'immunodéprimé Source : Q21 - 13-14 Sec A Réponse : E
E. Il confère une immunité protectrice et durable
Source : Q38 - 18-19 Sec A Réponse : E 10. Une jeune femme de 22 ans, mariée depuis 1 mois
présente une fièvre, angines, adénopathies cervicales une
04. Concernant les herpes virus : La RJ discrète éruption cutanée. Le bilan : syndrome
A. Herpès simplex virus (HSV1) est responsable d'infection mononucléosique et discrète cytolyse hépatique. Vous
génitale. pensez à une primo-infection à VIH. Quel examen faut-il
B. Le syndrome de Kaposi juliusberg peut-être dû à une demander pour confirmer cette pathologie ? La RJ
primo-infection herpétique sur dermatose préexistante. A. Recherche Ig anti VCA / réaction de Paul Bunnel Davidson
C. Herpes virus 6 (HHV6) est responsable d'exanthème B. Sérologie VIH
fébrile chez les sujets âgés C. Prélèvement de gorge
D. Le virus varicelle zona (VVZ) se manifeste par une D. Charge virale / Antigènémie P24
éruption scarlatiniforme E. Aucun test ne peut confirmer la maladie ce stade
E. L'herpès virus 5 (HHV5) est responsable de la roséole Source : Q01 - 13-14 Sec C Réponse : D
infantile.
Source : Q32 - 18-19 Sec B Réponse : B 11. Les résultats chez cette patiente : Sérologie VIH
négative, Charge virale VIH négative. Antigénémie P24
05. Au cours du zona toutes ces proposition sont juste négative. Prélèvement de gorge négatif. IgA anti VCA
sauf une, laquelle ? La RF positives. A quel diagnostic pensez-vous ? La RJ
A. C’est une forme clinique d’infection par le virus A. Une prime-infection a CMV
varicelle-zona B. Une primo-infection & VIH
B. Il se traduit par une eruption vésiculaire métamérique C. Une primo-infection a virus Epstein Barr
C. Il peut entraîner des douleurs persistantes D. Une primo-infection herpes simplex virus
D. Il touche essentiellement l’adulte et l’immunodeprimé E. Scarlatine
E. Il confère une immunité protectrice et durable Source : Q02 - 13-14 Sec C Réponse : C
Source : Q33 - 17-18 Sec B Réponse : E
12. Quel traitement préconisez-vous chez la patiente ?
06. La varicelle : La RF La RJ
A. C’est une primo infection du VVZ maladie de l’enfance A. Antirétroviraux pendant un mois
B. Endémo épidemique B. Aciclovir 10 mg/kg/ pendant 10 jours
C. Caractérise par une eruption érythémateuse vésiculaire C. Ampicilline 50 mg/kg/j durant 10
D. Elle n’est pas prurigineuse D. Sérum antidiphtérique 20 000UI en IM selon la méthode
E. Elle confère une immunité solide de Besredka
Source : Q34 - 17-18 Sec B Réponse : D E. Le traitement est uniquement symptomatique
Source : Q03 - 13-14 Sec C Réponse : E
07. Un écolier âgé de 08 ans consulte pour une éruption
cutanée et fébricule. L’examen retrouve une température 13. La durée approximative de l'incubation de la
à 38°C, un bon état général, une éruption cutanée varicelle est de :
généralisée très prurigineuse faite de macule, papule, A. 3 à 5 jours
vésicule et croutelle. L’éruption sétend à tout le corps et B. 8 à 10 jours
ne respecte aucune partie du corps. Cette éruption C. 14 à 16 jours
rappelle : La RJ D. 20 à 25 jours
A. La scarlatine B. La rougeole E. 1 mois
C. La rubéole D. La varicelle Source : DIAGEST Réponse : C
E. Exanthème subit à HHV6
Source : Q19 - 13-14 Sec A Réponse : D

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4ème Année Med Oran 2020/2021

22. Coqueluche :
01. A propos de la coqueluche : La RF 06. La coqueluche : La RF
A. C’est une toxi-infection digestive à déclaration A. La transmission est respiratoire
obligatoire B. Le tableau clinique est caractérisé par une toux
B. La phase d’invasion s'appelle aussi la phase quinteuse paroxystique à recrudescence nocturne.
catarrhale dont la contagiosité est maximale C. Entre les quintes, le sujet est asymptomatique
C. La dernière secousse de toux libère une D. Le diagnostic est confirmé par la mise en évidence du
expectoration muqueuse claire et épaisse bordetella pertussis dans les secrétions nasopharyngées.
D. La forme classique de l'enfant est apyrètique E. Le traitement de première intention repose sur
E. Les complications nutritionnelles sont dues aux l'Amoxicilline
vomissements provoqués par les secousses de toux Source : Q34 - 18-19 Sec B Réponse : E
Source : Q09 - 20-21 Sec B Réponse : A
07. Concernant la coqueluche on peut la différencier
02. A propos de la coqueluche : La RF avec les maladies suivantes sauf une laquelle : La RF
A. C’est une toxi-infection très contagieuse à transmission A. Pneumopathie a chlamydia tronchomatis (nouveau-né)
hydrique. B. Bronchopathie à adénovirus (enfant/adulte)
B. L’agent causal est le Bordetella pertusis : germe C. Œsophagites peptique
aérobique stricte. D. Corps étranger, allergie, compression tracheale
C. Absence de protection materno-fœtale d’où la E. Cardiopathies congénitale
vaccination dès la naissance. Source : Q20 - 17-18 Sec B Réponse : C
D. Cliniquement caractérisé par les quintes : secousse
d’accès répètes et violentes de toux. 08. Concernant La coqueluche : La RF
E. Elle est particulièrement grave chez les nourrissons par A. La contamination se fait par voie aérienne
ses complications. B. La vaccination et la déclaration n’est pas obligatoire
Source : Q20 - 19-20 Sec A Q17 - 18-19 Sec A Réponse : A C. Absence de protection materno-fœtal
D. Les quintes de toux se terminent par une longue reprise
03. Concernant la coqueluche : Les RF inspiratoire
A. L’incubation est silencieuse environ 07 jours. E. Il n’y a pas de fièvre sauf en cas de complication
B. L’évolution est courte, de 3 à 5 jours qui se termine par Source : Q03 - 15-16 Sec C Réponse : B
une toux banale isolée
C. Les dernières secousses des quintes libèrent une 09. Concernant les facteurs de gravité de la coqueluche :
expectoration muqueuse claire et épaisse. La RJ
D. La fièvre est constante à la phase d’état A. Quintes suivies de vomissements.
E. Entre les quintes l’enfant est asymptomatique. B. Hyper-lymphocytose sanguine
Source : Q21 - 19-20 Sec A Réponse : BD C. Nourrisson âgé de 4 mois
D. Quintes qui se renouvellent 5 fois par jour
04. Au cours de la coqueluche : La RF E. Hémorragie sous conjonctivale
A. La phase d'invasion s'appelle ainsi la phase catarrhale, Source : Q39 - 13-14 Sec A Réponse : C
dont la contagiosité est maximale
B. La dernière secousse de toux libère une expectoration 10. Le diagnostic de la coqueluche repose sur : La RF
moqueuse claire et épaisse A. Une notion de cas similaire dans l’entourage.
C. La forme classique de l'enfant est fébrile B. L’absence de vaccination.
D. Les complications nutritionnelles sont dues aux C. La constatation de quinte de toux.
vomissements provoqués par les secousses de toux D. Hyperleucocytose avec hyperlymphocytose.
E. C'est une toxi-infection à déclaration est obligatoire E. L’isolement du germe à l'hémoculture.
Source : Q04 - 12-13 Sec B Réponse : E
Source : Q21 - 19-20 Sec B Réponse : C

05. A propos de la coqueluche : La RF 11. Le diagnostic de la coqueluche se base sur : Les RF


A. La phase d’invasion s’appelle ainsi la phase catarrhale A. La découverte du germe au niveau de la gorge
dont la contagiosité est maximale. B. Les modifications caractéristiques de la FNS
B. La dernière secousse de toux libère une expectoration C. La constatation de quinte de toux suivit d’apnée et de
muqueuse claire et épaisse. reprise
C. L’agent causal est un virus appartenant au groupe D. La notion de contage
entérovirus. E. Tous les arguments ci-dessus
Source : Q01 - 11-12 Sec B Réponse : AE
D. Les complications nutritionnelles sont dues surtout aux
vomissements provoqués par les secousses de toux 12. Les symptômes de la coqueluche sont liés à : La RJ
E. C’est une toxi-infection à déclaration obligatoire. A. L’agression de l’épithélium par la multiplication de la
Source : Q21 - 19-20 Sec C Réponse : C bactérie
B. La sécrétion de toxine par la bactérie
C. Un phénomène d’auto-immunité déclenché par la bactérie
D. La localisation intracellulaire du bacille
E. La synergie avec Haemophilus
Source : Q09 - 11-12 Sec C Réponse : B

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4ème Année Med Oran 2020/2021

23. Rubéole : 07. Cliniquement, la rubéole acquise se manifeste par :


Les RF
01. Au cours de la rubéole acquise : Les RF A. Une éruption morbilliforme au début de son apparition.
A. La contagiosité disparaît avec la disparition de I’éruption B. Une fièvre élevée dès la phase d’invasion.
B. Une éruption scarlatinifome est possible. C. Des adénopathies cervicales.
C. Une inflammation des articulations peut compliquer une D. Des arthromyalgies
forme commune E. Des malformations cardiaques et oculaires.
D. La splénomégalie est constamment présente. Source : Q11 - 19-20 Sec C Réponse : BE
E. Les adénopathies sont de siège cervical
Source : Q03 - 20-21 Sec B Réponse : AD 08. Le diagnostic sérologique de la rubéole congénitale
repose sur : La RJ
02. La rubéole chez la femme enceinte : Les RF A. La présence des anticorps anti-rubéoleux de type IgG
A. Elle peut se transmettre au foetus par voie sanguine chez la maman.
B. Le test d’avidité des lgG peut dater I’infection de B. L’indice d’avidité des IgG chez la maman
moins de 03 mois. C. L'indice d’avidité des IgM chez la maman
C. Son diagnostic repose sur l'échographie obstétricale D. La présence d’anticorps anti-rubéoleux de type IgM
D. Elle peut se compliquer de malformations fœtales dans le sang du nouveau-né.
neurologiques E. La présence d’ARN rubéoleux dans le sang du nouveau-né.
E. Elle est à déclaration obligatoire Source : Q12 - 19-20 Sec C Réponse : B
Source : Q04 - 20-21 Sec B Réponse : AC
09. Une jeune femme en bon état de santé, consulte car
03. Une jeune femme de 24 ans, architecte, sans son médecin lui s'a prescrit une sérologie de la rubéole
antécédents particuliers, consulte au niveau du service des dans le cadre prénuptial, sa sérologie montre : IgM anti-
maladies infectieuses pour une fièvre évoluant depuis 48h. rubéole négatifs, IgG anti-rubéole positifs, comment
Vous apprenez que la malade est ... 06 semaines interprétez-vous ce résultat ?
d’aménorrhée et qu’elle a été au contact étroit avec sa A. Elle est immunisée contre la rubéole.
collègue de travail chez qui souffre de rubéole a été B. Elle n'est pas immunisée et doit faire vacciner contre la
diagnostiqué récemment. Quel est l’examen para clinique rubéole.
qui permet un diagnostic de certitude de la rubéole : La RJ C. Elle doit refaire le dosage des IgM après 10 jours car
A. Les hémocultures à la phase éruptive. le résultat est douteux.
B. Les anticorps IgM anti-rubéole. D. Elle doit refaire le dosage des IgG après 10 jours car
C. Les anticorps IgG anti-rubéole. le résultat est douteux.
D. Le test d’Avidité des IgG anti-rubéole. E. Elle doit faire le test d'avidité des IgG.
E. L’antigénemie P24. Source : Q21 - 18-19 Sec A Réponse : A
Source : Q18 - 19-20 Sec A Réponse : B
10. A propos de la rubéole congénitale : La RF
04. Quelle sera votre conduite à tenir si le diagnostic de A. Elle se voit le plus souvent au décours d'une
rubéole est confirmé chez elle : Les RJ contamination pendant les 12 premières semaines et à la
A. Prescrire un arrêt de travail jusqu’à la guérison clinique. fin de la grossesse.
B. Prescrire des immunoglobulines spécifiques afin de B. Le pouvoir tératogène de l'agent causal est redoutable.
prévenir le risque d’embryopathies. C. La transmission est aérienne directe par les gouttelettes
C. Prescrire des antibiotiques par excès car il s’agit d’un de PFLUDGE.
terrain immunodéprimé. D. Le nouveau-né reste contagieux après 6 mois de la
D. Vacciner la malade après la guérison clinique. naissance.
E. Déclarer le cas aux autorités sanitaires. E. Elle peut se compliquer de malformations oculaires à
Source : Q19 - 19-20 Sec A Réponse : AE type de cataracte congénital.
Source : Q22 - 18-19 Sec A Réponse : C
05. L'éruption de la rubéole peut être de type : Les RJ
A. Morbilliforme 11. Le vaccin ROR : La RF
B. Vésiculeuse. A. C’est vaccin vivant atténué
C. Crouteuse. B. Il n'est pas obligatoire dans le calendrier vaccinal national
D. Scarlatiniforme. C. Il est généralement bien toléré.
E. Pustuleuse. D. Il confère une immunité solide.
Source : Q19 - 19-20 Sec B Réponse : AD E. Il est contre indiqué chez la femme enceinte.
Source : Q09 - 18-19 Sec B Réponse : B
06. Le syndrome malformatif de GREGG représente : La RJ
A. Une forme généralisée évolutive de la rubéole congénitale. 12. La rubéole congénitale : La RF
B. Un ensemble de malformations congénitales suite à une A. Elle fait suite à une contamination materno-fœtale
rubéole congénitale. B. Les nouveau-nés atteints ne sont pas contagieux
C. Une atteinte du système nerveux central due au virus de C. Elle peut être responsable de malformations auditives et
la rubéole. de retard psychomoteur.
D. Une infection chronique généralisée due au virus de la D. Elle peut se manifester par une atteinte pluri viscérale
rubéole. de mauvais pronostic
E. Une atteinte cardiaque lors de la rubéole congénitale. E. C’est une maladie à déclaration obligatoire
Source : Q20 - 19-20 Sec B Réponse : B Source : Q10 - 18-19 Sec B Réponse : B

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4ème Année Med Oran 2020/2021

24. Infections Sexuellement Transmissibles : 07. Concernant les IST : La RF


01. Une ulcération génitale à 10j d'un rapport sexuel A. La syphilis primaire est définie par la présence du
non protégé évoque : Les RJ chancre syphilitique
A. Une Syphilis B. L’urétrite est définie sur le plan cytologique par la
B. Une Lymphoganulomatose vénérienne présence d'au moins 5 Polynucléaires
C. Un chancre mou neutrophiles/mm3 sur un frottis urétral.
D. Une gonorrhee C. Le chancre mou est dû à un bacille Gram négatif auto-
E. Une Donovanose. inoculable Neisseria gonorrhoeae.
Source : Q26 - 20-21 Sec B Réponse : AE D. Dans les urétrites gonococciques, le traitement
antibiotique probabiliste doit être mis en œuvre
02. A 05 jours d'une contamination sexuelle par aussitôt après le prélèvement
Treponema Pallidum nous aurons : La RJ E. Les traitements probabilistes dans les urétrites et
A. TPHA+ / VDRL- cervicites non compliquées sont des traitements monodoses
B. Prèscnce de T.Pallium au microscope à fond noir Source : Q38 - 18-19 Sec B Réponse : C
C. TPHA+ / VDRL+
D. TPHA- / VDRL- 08. Une patiente âgée de 23 ans consulte pour des
E. TPHA- / VDRL+ leucorhées purulentes, l’examen au speculum met en
Source : Q27 - 20-21 Sec B Réponse : D évidence une cervico-vaginite. A quel germe pensez-
vous ? La RJ
03. Indiquez les propositions fausses concernant les A. Thrichomonase vaginalis
infections sexuellement transmissibles : Les RF B. Chlamydia trachomatis
A. Une Urétrite purulente nécessite une Antibiothérapie C. Neisseriaceae gonococcique
après les résultats d'un frottis urétral D. Mycoplasma vaginalis
B. La syphilis précoce est définie par une évolution datant E. Aucune réponse n’est juste
de moins d'un an Source : Q03 - 13-14 Sec A Réponse : C
C. Le test de TPHA se positive avant le test de VDRL .
D. La gonococcie est une affection due au Chlamydia 09. Que faites vous chez cette patiente ? La RJ
trichomas A. Préscrire Vibramycine + Metronidazole
E. Au cours du chancre mou, l’Adénopathie satellite est non B. Demander une étude cyto-mycologique du prélèvement
inflammatoire. cervical
Source : Q31 - 19-20 Sec B Réponse : ADE C. Préscrire une antiniothérapie à base de Ceftriaxone,
500 mg en dose unique
04. Une proposition fausse concernant l'Urétrite D. Préscrire une injection d’Extencilline en IM pour le
gonococcique, indiquer laquelle : La RF partenaire du patient
A. C'est la deuxième cause des urétrites après le E. Aucune réponse n’est juste
Chlamydia trichomas Source : Q04 - 13-14 Sec A Réponse : C
B. Le traitement antibiotique probabiliste doit être mis en
œuvre aussitôt après le prélèvement 10. Un patient âgé de 22 ans consulte pour des
C. Le traitement minute par la Ceftriaxone est le ulcérations congénitales vésiculeuses, polycycliques,
traitement anti-gonococcique de i Intention irrégulières. A quoi pensez-vous ? La RJ
D. La période l’incubation varie entre 10 à 100 jours A. Chancres syphilitiques
E. Le dépistage systématique des autres Infections B. Infection à papilloma virus (HPV)
sexuellement transmissibles est nécessaire C. Infection à herpes virus (HSV1)
Source : Q32 - 19-20 Sec B Réponse : D D. Infection à trichomonas vaginalis
E. Toutes les réponses sont fausses.
05. A propos des (IST) : La RF Source : Q17 - 12-13 Sec B Réponse : E
A. La circoncision masculine en prévention du VIH et de
certaines IST est préconisée par l’OMS. 11. Une patiente âgée de 25 ans consulte pour des
B. Le plus souvent, elle est asymptomatique chez la femme. ulcérations génitales polycycliques d’allure vésiculeuse.
C. En cas d’une IST, le dépistage des autres IST est A quoi pensez-vous ? La RJ
systématique chez le malade et le(s) partenaire(s). A. Chancres Syphilitiques
D. Les condylomes génitaux sont toujours bénins. B. Chancre Mou
E. Le granulome inguinal (Donovanose) est dû au Klebsiella C. Infection à herpes virus
granulomatis. D. Infection à Mycoplasmavaginalis
Source : Q36 - 19-20 Sec C Réponse : D
E. Toutes les réponses sont fausses
Source : Q05 - 11-12 Sec A Réponse : C
06. Les germes suivants sont responsables des
ulcérations génitales sauf un, lequel ? La RF
A. Haemophilus ducreyi. 12. Les virus suivants, se transmettent par voie sexuelle,
B. Neisseria gonorrhoeae. sauf un, lequel ? La RJ
C. Tréponème pallidum. A. Virus Epstein Barr B. VIH
D. Klebsiella granulomatis (Donovanose). C. Virus de l’hépatite B D. Herpes Simplex HS2
E. Herpès simplex virus (HSV-2) E. HHV 8
Source : Q06 - 11-12 Sec B Réponse : E
Source : Q37 - 19-20 Sec C Réponse : B

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4ème Année Med Oran 2020/2021

25. Leishmaniose : 06. Concernant la Leishmaniose viscérale algérienne : La RF


A. Elle est due à l’espèce Leishmania infantum.
01. Au cours de la Leishmaniose cutanée : La RF B. Elle se manifeste cliniquement par la triade classique :
A. Elle est la forme clinique la plus fréquente dans le monde fièvre, douleur, ictère.
B. Leshmania major est responsable de la quasi-totalité C. Elle se manifeste biologiquement par une pancytopénie
des leishmanioses cutanées, zoonotique en Algérie D. Le diagnostic de certitude repose sur l’isolement du
C. Une Lesion cutanée siégeant au visage est une parasite responsable par ponction de moelle.
indication de la voie parentérale (IM) par Glucantine E. Elle est mortelle en l’absence de traitement.
D. Un Traitement local par Glucantime est indiqué en Source : Q35 - 19-20 Sec C Réponse : B
cas de plus de 03 lésions cutanées.
E. Elle résiste aux antibiotiques 07. Concernant la Leishmaniose Cutanée : La RF
Source : Q28 - 20-21 Sec B Réponse : D A. C'est une maladie à déclaration obligatoire en Algérie
B. La Leishmania majeur est responsable de la
02. Concernant la Leishmaniose viscérale : Les RF leishmaniose cutanée.
A. L’espèce Leishmania infantum est responsable de C. Elle est confirmée par la mise en évidence des formes
la Leishmaniose viscérale en Algérie amastigotes sur un Frottis cutané.
B. Elle se manifeste cliniquement par la triade
D. Une lésion péri-articulaire est une indication de la voie
classique : Fièvre, Douleur, lctère
(IM) par Glucantime.
C. Elle se manifeste biologiquement par une
hyperlcucocytose E. Un bilan pré-thérapeutique n'est pas obligatoire en cas
D. Le diagnostic de certitude repose sur l'isolement du de traitement par voie (IM).
Source : Q36 - 18-19 Sec A Réponse : E
parasite sur un prélèvement de ponction de moelle
E. Est mortelle en l'absence de traitement 08. Concernant la Leishmaniose : La RF
Source : Q29 - 20-21 Sec B Réponse : BC
A. C’est une maladie à déclaration obligatoire
B. La leishmaniose viscérale algérienne est due à l'espace
03. Concernant la Leishmaniose cutanée Algérienne : La RF L. infantum.
A. C'est une maladie à déclaration obligatoire. C. Une Leishmaniose viscérale est mortelle dans 100% des
B. La Leishmaniose cutanée est la parasitose a transmission cas en l’absence de traitement.
vectorielle la plus fréquente D. Une Leishmaniose cutanée est confirmée par l'isolement
C. La Leishmania infantum est responsable de la de la forme amastigote sur un prélèvement de la moelle.
leishmaniose cutanée E. La lésion cutanée de diamètre supérieure à 4cm est une
D. La période de temps séparant la piqure infectante de indication de la voie intramusculaire.
la lésion varie entre 1 et 4 mois. Source : Q36 - 18-19 Sec B Réponse : D
E. Une lésion cutanée péri-articulaire est une indication de
la voie intra-musculaire (IM) par le Glucantine 09. La Leishmaniose : La RJ
Source : Q29 - 19-20 Sec B Réponse : C A. Elle est due à une bactérie intracellulaire stricte.
B. Elle est transmise par la piqûre de l’anophèle femelle
04. Concernant la Leishmaniose Viscérale : Les RF C. Peut être cutanée, muqueuse ou viscérale
A. La Leishmaniose viscérale Algérienne est due à l'espèce D. Le traitement repose sur une bi-antibiothérapie à effet
Leishmania infantum bactéricide synergique
B. Elle est confirmée par la mise en évidence des formes E. La prévention repose essentiellement sur la vaccination
promastigotes sur un Frottis cutané. Source : Q12 - 17-18 Sec B Réponse : C
C. Elle se manifeste cliniquement par la triade classique
faite de fièvre, pilleur et splénomégalie. 10. La guérison du Kala-Azar confirmé avec
D. Un bilan pré-thérapeutique n’est pas obligatoire pour splénomégalie stade III, ne se juge qu’après : La RJ
commencer le traitement. A. La chute de fièvre, l’amélioration de l’état général, et
E. C'est une maladie d'évolution lente, mortelle en normalisation de la taille de la rate.
l'absence de traitement B. La normalisation de l’électrophorèse des protéines
Source : Q30 - 19-20 Sec B Réponse : BD C. Régression de la splénomégalie
D. Négativation de l’examen parasitologique de la moelle
05. Concernant la Leishmaniose cutanée : La RF E. Normalisation de l’hémogramme et de la sérologie
A. Elle est la forme la plus fréquente dans le monde. spécifique
B. Une lésion cutanée >4cm est une indication d’un Source : Q17 - 13-14 Sec A Réponse : D
traitement par voie (IM) par Glucantime.
C. La Leishmania infantum est responsable de la 11. Concernant la Leishmaniose : La RJ
leishmaniose cutanée du Nord algérien. A. La piqûre du phlébotome femelle est douloureuse laissant
D. Un traitement local par Glucantime est indiqué en cas une trace
d’une lésion péri-articulaire <4cm. B. Le Praziquentel est le traitement de choix
E. C’est la parasitose à transmission vectorielle la plus C. Les signes de stibio-intolérance justifient l’arrêt
fréquente en Algérie. systématique du traitement
Source : Q34 - 19-20 Sec C Réponse : D D. La polnevrite est un signe de stibio-intoxication
E. La forme promastigote du parasite est retrouvée chez
l’homme et les animaux réservoirs
Source : Q18 - 13-14 Sec A Réponse : D

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4ème Année Med Oran 2020/2021

Pratique :

2019 - 2020 Section C

01. Une patiente âgée de 48 ans aux antécédents de 06. Le syndrome dysentérique : (1 RF)
lithiase vésiculaire depuis 4 ans, se présente aux A. Il se manifeste par des diarrhées associées à des
urgences infectieuses pour fièvre apparue depuis 48h douleurs abdominales en cadre et parfois associées à une
avec frissons sur une altération de l'état général. fièvre.
A l’examen clinique : patiente fébrile à 39°C présentant B. Le diagnostic étiologique se fait par la coproculture et
un itère cutanéo-maqueux généralisé, avec des frissons examen parasitologique des selles.
et des douleurs de l'hypochondre droit. Quel est le 1er C. Le traitement dépend du germe suspecté.
diagnostic à évoquer devant cette patiente : (1 RJ) D.Les staphylocoque aureus est le germe le plus incriminée
A. Hépatite virale C. E. L’érosion puis l’invasion de la muqueuse intestinale sont à
B. Angiocholite. l’origine des douleurs abdominales et des diarrhées mêlées
C. Hydronéphrose, du sang
D
D. Maladie de Gilbert
E. Paludisme.
B
07. Parmi les éléments suivants, lequel ne fait pas
partie du syndrome méningé ? (1 RF)
02. Quel est l'examen radiologique à demander de A. La fièvre.
première intention dans ce cas ? (1 RJ) B. Le signe de Brudzinski.
A. Un scanner abdominal. C. La raideur de la nuque.
B. Une bili-IRM. D. La photophobie.
C. Une échographie abdominale. E. La constipation.
D. Une radiographie thoracique. A
E. Une scintigraphie osseuse.
C
08. Parmi les propositions suivantes, laquelle est juste ?
A. La glycorachie est comparée à la glycémie veineuse du
03. Un enfant consulte pour une fièvre avec une patient à jeun.
éruption vésiculeuse prurigineuse. Quel est le diagnostic B. Une protéinorachie est abaissée dans les méningites
le plus probable : (1 RJ) bactériennes.
A. Rougeole. C. Un LCR normal peut contenir jusqu'à 100 globules
B. Rubéole. blancs/mm3.
C. Varicelle D. Lors d'une ponction lombaire, le point de ponction se
D. Scarlatine. situe entre L1 et L2 ou L3 et L4
E. Roséole. E. Devant tout signe neurologique, une TDM cérébrale est
C
indiquée avant la ponction lombaire,
E
04. Concernant les éruptions fébriles maculo-papuleuses,
donnez la réponse correcte (1 RJ) 09. Concernant la fièvre prolongée, la courbe de
A. C'est une éruption qui ne s'efface pas à la vitro pression, température évoque des diagnostics différents : (1 RJ)
B. C'est une éruption localisée qui ne se généralise pas A. Fièvre en plateau évoque un paludisme.
C. Elle peut être d'origine virale. B. Fièvre désarticulée évoque un, sepsis grave.
D. Elle n'est jamais d'origine allergique. C. Fièvre ondulante évoque une leishmaniose.
E. Faite le plus Souvent de papules et de bulles inférieur à D. Fièvre rémittente évoque une suppuration profonde.
1cm. E. Fièvre intermittente évoque une fièvre typhoïde.
C D

05. Vous recevez un patient qui présente des diarrhées 10. Concernant la fièvre prolongée : (Les RF)
évoluant depuis 48 heures associées à des A. C'est une fièvre qui a duré plus de 20 jours.
vomissements incoercibles et fièvre, Que devez-vous B. Les causes infectieuses sont les seules responsables de
faire en premier lieu ? (1 RJ) fièvre prolongée.
A. Prescrire un traitement antibiotique à domicile. C. Elle présente toujours un pronostic sombre.
B. Demander en urgence une coloscopie. D. Les pyrogènes provoquent un dérèglement du centre
C. L'hospitaliser et demander une copro-parasitologie hypothalamique, régulateur de la température.
avec un bilan de 1ère intention E. La mesure de la température doit être chez un patient
D. Prescrire un traitement symptomatique seulement. au repos de plus d'un quart d'heure.
E. Orienter le patient en chirurgie pour intervention BC
chirurgicale en urgence.
C

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4ème Année Med Oran 2020/2021

2020 - 2021 Section B 2020 - 2021 Mosta

01. Quels sont les diagnostics probables devant un 01. Parmi les examens complémentaires suivants,
ictère à bilirubine libre lesquels ne sont pas indispensables dans le bilan
A. Accident transfusionnel. initial d'une fièvre évoluant depuis 20 jours ?
B. Angiocholite. A. Numération formule sanguine
C. Lithiase vésiculaire B. Urographie intraveineuse
D. Hémoglobinopathie. C. Radiographie du thorax
E. Paludisme. D. Hémocultures
ADE E. Tomodensitométrie abdominale
02. Un patient âgé de 75 ans, hypertendue vient 02. Une femme de 28 ans présente une fièvre
consulter en urgence, après 36 heures de consommation intermittente réalisant des clochers fébriles à 39.5°
dans une fête, d’un aliment à base d’œufs ; pour une entre lesquels la température est normale.
diarrhée fébrile à 39°C avec vomissements répétés et Ce type de courbe peut s'observer au cours de l'une
douleurs abdominales diffuses et notion des cas des affections suivantes, laquelle ?
similaires. A. Accès palustre
- D’après vous quel est le germe le plus probable et que B. Brucellose
faites-vous : (Les RJ) C. Fièvre typhoïde
A. Le staphylocoque doré aureus D. Kala Azar
B. Les salmonelles mineures E. Amoebose intestinale
C. Prescrire un traitement symptomatique et réhydratation
per os à domcile 03. Une petite fille de 5 ans accompagnée de sa mère ,
D. Instaurer une réhydratation en IV et antibiothérapie en consulte pour une éruption cutanée récente, associée à
milieu hospitalier une fièvre élevée, un refus alimentaire et des
E. Déclarer le cas comme étant une toxi-infection vomissement depuis 6 jours.
alimentaire collective (TIAC) A l'examen, vous trouvez quelques adénopathies
BDE
sensibles sous maxillaires, une langue rouge
03. Cochez les réponses justes : framboisée, et une éruption sans intervalles de peau
A. Les troubles de l'hémostase contre-indiquent la ponction saine sur le tronc et les racines des membres.
lombaire. Quelle pathologie suspectez-vous ?
B. La fièvre fait partie du syndrome méningé physique A. Rougeole
C. Un LCR clair peut être pathologique. B. Rubéole
D. La raideur de la nuque est définie par un blocage total C. Scarlatine
des mouvements de flexion, de latéralité et de rotation. D. Mononucléose infectieuse
E. La prise d'anti-inflammatoires peut décapiter une E. Exanthème subit.
méningite.
AC 04. Le syndrome de Lyell : (les réponses fausses)
A. Est une urgence.
04. L’éxanthème érythémateux fébril caractérise chaque B. Il est d'étiologie médicamenteuse
pathologie : (Les RJ) C. Ne nécessite pas une hospitalisation
A. Il est scarlatiniforme et associé à un énanthème dans la D. L'atteinte muqueuse n'est pas fréquente
scarlatine E. Est un exanthème bulleux
B. Il est maculopapuleux rosé et velouté sans espace de
peau saine dans la roséole infantile 05. Un jeune homme de 25 ans vient consulter aux
C. Il est en placard érythémateux ne s’effaçant pas à la urgences pour une fièvre élevée apparue depuis la
vitropression dans l’érysipèle veille
D. Il est vésiculeux avec atteinte palmoplantaire et Vous diagnostiquez rapidement un syndrome méningé,
péribuccale dans le syndrome de main -pied-bouche devant quels signes ? (La réponse juste)
E. Il est d’aspect urticarien prurigineux avec espaces de peau A. Céphalées, insomnie, vomissement
saine dans les intolérances médicamenteuses B. Céphalées, photophobie, vomissements
ADE C. Céphalées, vomissement, constipation
D. Céphalées, hyperesthésie cutanée, diarrhées
05. Un patient présente une fièvre prolongée de 04 E. Céphalées, photophobie, insomnie.
semaines, quels sont les diagnostics à évoquer : (Les RJ)
A. Une tuberculose.
B. Une Brucellose.
C. Une MNI.
D. Une granulomatose.
E. Une grippe.
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