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Facultéde médecine - Sidi Bel Abbès

Ophtalmologie
8 0 0 QCM

Boutebba . I
2011 – 2021

2
Page
 Mélanome de la choroï de 03
 Cataracte 05
 Conjonctivite 12
 Pathologies cornéennes 13
 Aphakie 16
 Anatomie générale de l’œil 17
 Leucocorie 23
2
 Kératite 23
 Dégénérescence maculaire liée àl'âge ‘ DMLA ’ 25
 Glaucome 28
 Hyphéma 33
 Cristallin 34
 Microscopie spéculaire 35
 Neuropathie 36
 Rétinopathie diabétique 37
 Tumeurs malignes de l’appareil visuel 41
 Strabisme 43
 Iridocyclite 43
 Nævus choroï dien 44
 Rétinoblastome 45
 Trachome 49
 Thérapeutiques 50
 Pathologies de la rétine 52
 Troubles de réfraction 57
 Traumatisme oculaire 61
 Œil rouge et douloureux 63
 Rétinopathie hypertensive 64
 Corps étranger intraoculaire 65
 Uvéites 66
 Métamorphopsie 68
 Myodésopsie 69
Mélanome de la choroï
de 5. Le mélanome de la choroïde : la RJ (x3)
a. Est la tumeur maligne intraoculaire la plus
fréquente chez l'adulte.
1. Le mélanome de la choroïde : b. Est la tumeur bénigne intraoculaire la plus
a- Est une tumeur maligne primitive intraoculaire fréquente chez l'adulte.
la plus fréquente chez l'adulte. c. Est la tumeur maligne intra orbitaire la plus
b- Est une tumeur d'origine génétique. fréquente chez l'enfant.
c- Est toujours bilatérale. d. Est la tumeur bénigne intra orbitaire la plus
d- Le nævus d'OTA est un facteur de risque de fréquente chez l'enfant
développer un mélanome de la choroï de. e. Est une tumeur d'origine génétique.
e- Est une tumeur de sujet jeune. f. Il ne donne jamais de métastases.
3
2. Le mélanome de la choroïde : 6. Le mélanome de la choroïde :
a- Est la tumeur maligne intraoculaire primitive a. Est une tumeur congénitale.
la plus fréquente de l’adulte. b. Est une tumeur bénigne de l’adulte jeune.
b- Est une tumeur d'origine génétique. c. Est une tumeur maligne intraoculaire la plus
c. Le premier site de métastase est au niveau du fréquente de l’adulte.
foie. d. Les premières métastases apparaissent au
d- Le nævus d’OTA constitue un facteur de risque. niveau du foie.
e- Est toujours bilatéral. e. L’évolution est toujours favorable.

3. Le mélanome de la choroïde : La RJ 7. Le mélanome de la choroïde : la / les RF


a- Est la tumeur maligne intraoculaire primitive a. C’est la tumeur intraoculaire maligne primitive
la plus fréquente chez l'adulte. la plus fréquente chez l’adulte.
b- Est la tumeur bénigne intraoculaire la plus b. Il est toujours bilatéral.
fréquente chez l'adulte. c. Est une tumeur d’origine génétique.
c- Est la tumeur maligne intra orbitaire la plus d. Il est chimio sensible.
fréquente chez l'enfant. e. Les métastases sont localisées au niveau du foie
d- Est la tumeur bénigne intra orbitaire la plus
fréquente chez l’enfant. 8. Le mélanome de la choroïde : la / les RF
e- Est une tumeur maligne intra orbitaire la plus
fréquente. a. Est la tumeur intraoculaire maligne primitive la
plus fréquente chez l’adulte.
b. Toujours bilatérale.
4. Le mélanome de la choroïde : c. Est une tumeur chimio sensible.
a- Est la tumeur maligne primitive intraoculaire d. Elle ne donne jamais de métastases.
la plus fréquente chez l'enfant. e. Les premières métastases sont localisées au
b- Est la tumeur maligne primitive intraoculaire niveau du foie.
la plus fréquente chez l'adulte.
c- Est la tumeur maligne secondaire intraoculaire 9. Le mélanome de la choroïde :
la plus fréquente chez l'adulte.
d- Est la tumeur intra - orbitaire chez l'enfant. a- Est la tumeur maligne primitive la plus
e- Est une tumeur d'origine génétique. fréquente chez l’adulte.
b- Est toujours associée àun mélanome cutané.
c- Toujours développée à partir d’un nævus
préexistant.
d- Est habituellement bilatérale.
e- Toutes les réponses sont justes.
10. Dans le mélanome de la choroïde : 15. Le mélanome malin de la choroïde :
a- L’aspect de l’excavation choroïdienne à a. Est une tumeur secondaire àun mélanome
l’échographie mode B est très évocateur. cutané.
b- La tumeur est toujours pigmentée. b. Toujours bilatéral.
c- La présence de pigment orange en surface est c. Plus fréquent chez les mélanodermes.
typique. d. Le nævus d’OTA est considérécomme facteur
d- Le traitement est toujours radical par de risque.
énucléation. e. Le traitement médical repose sur la nucléation.
e- La tumeur est chimio sensible.
16. Le mélanome malin de la choroïde :
11. Le mélanome de la choroïde : a. Est une tumeur secondaire àun mélanome
a- Est la tumeur maligne primitive la plus cutané. 4
fréquente chez l'adulte. b. Toujours bilatéral.
b- Est une tumeur d'origine génétique. c. Plus fréquent chez les mélanodermes.
c- Est tumeur àmalignitélocale sans métastase. d. Le nævus d’OTA est considérécomme facteur
d- Est très chimie sensible. de risque.
e. Le traitement radical repose sur l’énucléation.
12. Le mélanome de la choroïde : La / les
RF 17. Le mélanome malin de la choroïde :
a- Est une tumeur chimio sensible. a. Est une tumeur secondaire àun mélanome
b- Est une tumeur radiosensible àdes doses cutané.
élevées. b. Toujours bilatéral.
c- Il n'existe pas de traitement efficace. c. Plus fréquent chez les mélanodermes.
d- Les métastases sont de localisation surtout d. Le nævus d’OTA est considérécomme facteur
hépatiques. de risque.
e. Le traitement radical repose sur l’énucléation.
13. Le mélanome malin de la choroïde : la
18. Dans le mélanome de la choroïde :Les
ou les RF
a. Est la tumeur maligne secondaire intraoculaire
RJ
la plus fréquente chez l'adulte. a- La forme peut - être en dôme et en champignon.
b. Est tumeur d'origine génétique. b- L'échographie B montre une excavation
c. Plus fréquente chez les mélanodermes. choroï dienne.
d. La leucocorie est le signe d'appel plus fréquent. c- L'échographie A montre une réflectivité
e. La présence des pigments oranges en surface moyenne àfaible et une atténuation élevée.
est typique du mélanome. d- L’angiographie à la fluorescéine montre un
effet masque.
14. Le mélanome malin de la choroïde :
a- Est la tumeur maligne orbitaire la plus 19. Le traitement du mélanome malin de la
fréquente chez l'adulte. choroï
de :
b- Elle est très chimio sensible. a. Il est chimio sensible,
c- Les métastases sont surtout hépatiques. b. Il est radio résistant.
d- Elle donne l'aspect d'une excavation c. Toujours radical par éviscération.
choroï dienne àl'échographie B. d. Toujours décevant.
e. Les premières métastases sont localisées au
niveau du foie.
20. Le traitement de mélanome de la 25. Le traitement du mélanome de la
choroï
de : choroï
de :
a- Le mélanome est une tumeur chimio sensible. a- L'éviscération pour les formes volumineuses.
b- Le traitement est toujours chirurgical. b- Le traitement conservateur est basésur la
c- La radiothérapie est le traitement conservateur radiothérapie.
de choix. c- La proton thérapie pour les tumeurs du pole
d- Les métastases sont localisées dans le foie. post et la curiethérapie pour les formes
e- La proton thérapie est une modalitéde périphériques.
traitement très ciblée. d- Le mélanome de la choroï de est chimio sensible.
e- Toutes les réponses sont justes.
21. Le traitement du mélanome de la
choroï
de repose sur : 5
a. Le traitement radical par énucléation.
b. Le traitement radical par éviscération.
c. Le traitement conservateur par radiothérapie
de contact et proton thérapie. Cataracte
d. Le traitement conservateur par chimiothérapie
adjuvante. 1. La cataracte : (x 3)
e. Toujours faire une énucléation préventive de
l’œil. a. Est la première cause de cécitédans les pays en
voie de développement.
b. Est l'opacification du cristallin.
22. Le site de métastase dans le mélanome c. L'étiologie la plus fréquente est la cataracte
de la choroï
de : sénile.
a- Toujours pulmonaire. d. Elle est toujours unilatérale.
b- Toujours hépatique. e- Son traitement est médical.
c- Il ne donne jamais de métastase. f. Toutes les réponses sont fausses.
d- Le pronostic est mauvais en cas de métastase.
e- Toutes les réponses sont justes. 2. La cataracte : la ou les RF
a. Est la première cause de cécitéirréversible
23. Le traitement du mélanome de la dans le monde.
choroï
de : b. La 1ère cause de cécitéréversible dans le monde.
a- Toujours radical par éviscération. c. Est l’opacification de la cornée.
b- Le traitement conservateur repose sur la d. Est l’opacification du cristallin.
radiothérapie. e. Toujours bilatérale.
c- Est une tumeur chimio sensible.
d- Il faut commencer par une chimio - réduction. 3. La cataracte :
e- Toutes les réponses sont fausses. a. La 1ère cause de cécitéévitable dans le monde.
b. Est la première cause de céciténon évitable
24. Le traitement conservateur du dans le monde.
c. Est l'opacification réversible du cristallin.
mélanome de la choroï
de comporte : Les d. Est l'opacification irréversible du cristallin.
RJ e. Plus fréquente chez l'enfant.
a- Proton thérapie.
b- Hormonothérapie.
c- Curiethérapie.
d- Chimiothérapie.
4. La cataracte : 10. La cataracte : Les RJ
a- Est la première cause de cécitéirréversible a- Le cristallin est transparent.
dans le monde. b- Le traitement est médical.
b- Est la première cause de cécitéréversible dans c- Le traitement est chirurgical.
les pays en voie de développement. d- Elle apparait àtous les âges.
c- Elle touche surtout les patients âgés. e- Toutes les réponses sont justes.
d. Son traitement est avant tout préventif.
e- Toutes les réponses sont justes. 11. Chez le sujet jeune, la cataracte peut
être : Les RJ
5. La cataracte : a- Post traumatique.
a- Est l'opacification de l'humeur aqueuse. b- Pathologique.
b- Est l'opacification de la cornée. c- Sénile. 6
c- Est l'opacification du cristallin. d- Congénitale évolutive.
d- Elle est responsable de baisse d'acuitévisuelle e- Toutes les réponses sont justes.
uniquement de près.
e- Elle responsable de métamorphopsie. 12. La cataracte peut : Les RJ
a- Se compliquer d’une hypertonie oculaire.
6. La cataracte : La ou les RF b- Cacher un décollement de rétine.
a- Est l'opacification de la cornée. c- Provoquer un abcès de cornée.
b- Est la perte de transparence du cristallin. d- Provoquer une cécité.
c- Est plus fréquente chez les sujets âgés. e- Toutes les réponses sont justes.
d- Toujours bilatérales.
e- Les corticoï des ont un effet cataractogène. 13. La cataracte est une opacification :La
RJ
7. La cataracte : a- De la cornée.
a- Est l’opacification de la rétine. b- De la rétine.
b- Est l'opacification de la cornée. c- Du cristallin.
c- Est l'opacification du cristallin. d- Toutes les réponses
d- Elle est la première cause de cécitédans monde
e- Est une cause de cécitéirréversible. 14. Le diagnostic de la cataracte :
8. La cataracte : a- Repose sur l'échographie mode B.
b- Fait par l'angiographie àla fluorescéine.
a. Est ta première cause de cécitéévitable dans le c- Il est clinique.
monde. d- Toutes les réponses sont fausses.
b. Est la première cause de céciténon évitable
dans le monde. 15. La cataracte blanche totale :
c. Est l'opacification réversible du cristallin.
d. Est l'opacification irréversible du cristallin. a- Se manifeste par une leucocorie.
e. Plus fréquente chez l'enfant. b- Elle peut se compliquer d'une uvéite phaco
antigénique.
c- Elle peut se compliquer d'un glaucome phaco
9. La cataracte : morphique.
a- C’est une opacification de la cornée. d- Est typique d'une cataracte cortisonique.
b- C’est une opacification du cristallin. e- Toutes les réponses sont justes.
c- Le traitement est toujours chirurgical.
d- La cataracte cortisonique est la principale
étiologie.
16. La cataracte traumatique : 20. Dans la cataracte traumatique
a. La cataracte en rosacéest typique d'un contusive : la ou les RF ( x 2 )
traumatisme perforant. a. L'aspect typique est la cataracte en rosacé.
b- La cataracte en rosacéest typique d'un b. L'aspect typique est la cataracte en coucher de
traumatisme contusif. soleil.
c- La cataracte en rosacépeut se manifester c. L'aspect typique est la cataracte zonulaire.
plusieurs années après le traumatisme. d. L'aspect typique est la cataracte en cavalier.
d- La sidérose est la complication devant un corps e. Toutes les réponses sont justes.
étranger intra oculaire métallique laisséen place.
e. La cataracte en rosacéest toujours bilatérale.
21. La cataracte traumatique : La RF
17. La cataracte traumatique : La ou les a- Toujours bilatérale.
b- Survient après une contusion oculaire. 7
RF c- Survient après un traumatisme perforant.
a- Elle est généralement unilatérale. d- Doit faire rechercher un corps étranger
b- L'aspect en coucher de soleil est typique. intraoculaire.
c- L'aspect en rosacéest typique de traumatisme
contusif. 22. La cataracte secondaire : La ou les RF
d- La présence d'un corps étranger intraoculaire
doit être recherchée systématiquement devant tout a- Est une cataracte chez les myopes.
traumatisme perforant. b- Est une cataracte inflammatoire.
e- Le corps étranger en fer peut provoquer une c- Est une opacification de la capsule postérieure
sidérose. chez le pseudophake.
d- Son traitement est chirurgical.
e- Son traitement se fait par le laser Yag.
18. La cataracte traumatique : la ou les RF
a. Elle est généralement unilatérale. 23. La cataracte secondaire : ( x 2 )
b. L’aspect en coucher de soleil est typique.
c. L’aspect en rosacé est typique du traumatisme a- Est une complication per opératoire fréquente.
contusif. b- Est une opacification de la capsule postérieure
d. La présence d’un corps étranger intraoculaire du cristallin.
doit être recherchée systématiquement devant tout c- Elle entraine une baisse d'acuitévisuelle
traumatisme perforant. progressive.
e. Le corps étranger en fer peut provoquer une d- Son traitement nécessite une reprise
chalcose. chirurgicale.
e- Son traitement nécessite la réalisation d'un
laser YAG.
19. Dans la cataracte traumatique :
a- L'aspect en rosacéest typique du traumatisme 24. Le cataracte secondaire est une : La RJ
contusif.
b- L'aspect en coucher de soleil est typique du ( x 2)
traumatisme perforant. a- Cataracte compliquée.
c- Est toujours bilatérale. b- Cataracte morganienne.
d- Le corps étranger intraoculaire en fer c- Opacification de la capsule antérieure.
responsable de sidérose. d- Opacification de la capsule postérieure.
e- Le corps étranger intraoculaire en cuivre
responsable de chalcose.
25. La cataracte secondaire est : Les RJ 31. Dans la cataracte congénitale : ( x 2 )
a- Une cataracte morganienne. a. Le motif de consultation le plus fréquent est la
b- Une cataracte compliquée. leucocorie.
c- Une opacification de la capsule antérieure. b. La rubéole est la cause infectieuse la plus
d- Une opacification de la capsule postérieure. fréquente.
e- Nécessite un traitement au laser YAG. c. Elle est toujours bilatérale.
d. Son traitement est chirurgical.
26. La cataracte sénile : ( x 2 ) e. Toutes les réponses sont justes.
a- Elle est toujours bilatérale.
b- Elle est de type morganienne. 32. La cataracte congénitale :
c- C'est la plus fréquente. a. Toujours bilatérale.
d- Elle peut être prévenue par la correction b. D’apparition tardive.
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optique adéquate. c. Elle peut être corticale.
e- Elle est plus fréquente chez la femme. d. Peut se manifester par une leucocorie.
e. Toutes les réponses sont fausses.
27. La cataracte sénile : ( x 2 )
33. Dans la cataracte congénitale :
a. Est la cause la plus fréquente de la cataracte. a. Le motif de consultation le plus fréquent est le
b. Elle est bilatérale. strabisme.
c. Elle survient vers l'âge de 20 ans. b. La rubéole est la cause infectieuse la +
d. Elle est due àla corticothérapie locale. fréquente
e. Son traitement est uniquement chirurgical. c. Son traitement est toujours chirurgical.
d. L’intervention chirurgicale se fait sous
28. La cataracte sénile : ( x 2 ) anesthésie topique.
a. Est bilatérale asymétrique. e. Toutes les réponses sont justes.
b. Est la plus fréquente des étiologies de cataracte.
c. Elle survient chez les sujets âgés plus de 60 ans. 34. Dans la cataracte congénitale :
d. L'aspect typique est la cataracte en couchéde a- La leucocorie est le signe de découverte le plus
soleil. fréquent.
e. Toutes les réponses sont justes. b- Est toujours bilatérale d'emblée.
c- La rubéole est la cause infectieuse la plus
29. La cataracte sénile : La RJ fréquente.
a- Survient àun âge plus précoce. d- La cataracte stellaire ou suturale est typique.
b- Est la plus fréquente. e- Toutes les réponses sont fausses.
c- Plus fréquente chez la femme que chez l'homme.
d- L'aspect typique est la cataracte en rosace. 35. Dans la cataracte congénitale :
a- Le motif de consultation le plus fréquent est la
30. Dans la cataracte congénitale : leucocorie.
a- Le motif de consultation le plus fréquent est le b- Toujours bilatérale.
strabisme. c- Le risque majeur est l'amblyopie.
b- La rubéole est la cause infectieuse la plus d- Le traitement est toujours chirurgical.
fréquente. e- La rubéole est la cause infectieuse la plus
c- Son traitement est toujours chirurgical. fréquente.
d- L'intervention chirurgicale se fait sous
anesthésie topique.
e- Elle nécessite un examen sous anesthésie
générale.
36. Dans la cataracte congénitale : Les RJ 41. La cataracte en rosace : ( x 3 )
a- La rubéole est l'étiologie infectieuse la plus a. Est due àun traumatisme perforant.
fréquente. b. Elle est toujours bilatérale.
b- Le syndrome de Marfan s’accompagne d'une c. Est due àune corticothérapie locale.
ectopie cristallinienne. d. Est due àun traumatisme contusif.
c- Toujours bilatérale. e. Son traitement est chirurgical.
d- Peut se manifester par une leucocorie.
42. La cataracte en rosace : ( x 2 )
37. La cataracte intumescente : La ou les a. Est typique de cataracte hyper mûre.
RF b. Est typique de cataracte du myope.
a- Est une cataracte congénitale. c. Est typique de cataracte traumatique contusive.
b- Est une cataracte en rosacé. d. Permet un diagnostic rétrospectif d'un
9
c- Elle peut se compliquer d'un décollement de traumatisme contusif.
rétine. e. Elle est réversible.
d- Elle peut se compliquer d'une crise de
glaucome par fermeture de l'angle secondaire. 43. L'aspect en rosacéde la cataracte
e- Elle est due àl'augmentation du volume du traduit : la RJ
cristallin. a- Une cataracte hyper mure.
b- Une cataracte régressive.
38. La cataracte intumescente : la ou les c- Une cataracte débutante.
RF d- Un traumatisme contusif.
a. Est une cataracte post - traumatique. e- Présence d'un corps étranger intraoculaire.
b. Est une cataracte hyper - mature.
c. Elle peut s’accompagner d’un décollement de 44. Le traitement de la cataracte :
rétine. a- Est uniquement médical.
d. Elle peut se compliquer d’une crise de b- Est uniquement chirurgical.
glaucome par fermeture de l’angle secondaire. c- Est physique par laser.
e. Elle est due à l’augmentation du volume de d- La technique de référence est la phaco
cristallin. émulsification.
e- La technique de référence est l’extraction intra
39. La cataracte intumescente : capsulaire.
a- Est une augmentation du volume de cristallin.
b- Elle peut provoquer une crise de glaucome aigu 45. Parmi ces médicaments, lequel
par fermeture de l'angle. /lesquels induit ou induisent une cataracte
c- Est une cataracte cortisonique. iatrogène ?
d- Elle survient toujours l’enfant. a- Corticoïde.
b- Chlorpromazine (Largactil).
40. La cataracte intumescente : Les RJ c- La ciclosporine.
a- Une liquéfaction du cortex cristallinien. d- ß- bloquant.
b- Est une augmentation du volume cristallinien. e- La chloroquine.
c- Peut se compliquée d'une crise de glaucome
aigu
d- L'aspect typique est celui d'une cataracte
régressive.
46. Le traitement de la cataracte : ( x 3 ) d- L'intervention se déroule sous anesthésie
a. Est uniquement médical. topique dans la majoritédes cas.
b. Est uniquement chirurgical. e- Pour d'enfant, l'opération se fait sous
c. La technique de référence est la phaco anesthésie générale.
émulsification.
d. La technique de référence est l'extraction intra- 51. Le traitement de choix de la cataracte
capsulaire sénile : La RJ
e. Est uniquement physique par laser. a- Extraction extra capsulaire (EEC).
b- Extraction intra capsulaire (EIC).
47. Le traitement de la cataracte : c- Phaco - émulsification.
a. Se fait uniquement par une correction optique d- Laser argon.
de loin. e- Laser YAG.
10
b. Est toujours chirurgical.
c. L’indication chirurgicale est posée quand 52. La chirurgie de la cataracte peut se
l’acuité visuelle est réduite àdes perceptions compliquer de :
lumineuses. a- Infection intraoculaire, endophtalmie.
d. Est uniquement médical par des corticoï des b- Un décollement de rétine.
locaux. c- Un œdème cornéen.
e. La technique moderne consiste àla phaco - d- Un œdème maculaire.
émulsification avec la mise en place d’un implant e- Toutes les réponses sont fausses.
intraoculaire.
53. Le traitement de la cataracte : La RJ
48. Le traitement de la cataracte : La ou les a- Toujours médical.
RF b- Toujours chirurgical.
a- Est un traitement combinépar laser et médical. c- Combinémédical puis chirurgical.
b- Uniquement médical par collyre. d- Se fait par laser.
c- Toujours chirurgical.
d- Le phaco - émulsification est la technique de 54. Le traitement de la cataracte est : La
référence. RJ
e- L'opération est indiquée en fonction de la gêne
a- Médical par des corticoï
des.
fonctionnelle du patient.
b- Physique par laser.
c- Toujours chirurgical.
49. La chirurgie de la cataracte se fait le d- Traitement combiné: médical, physique et
plus souvent sous : chirurgical.
a- Anesthésie topique chez l'enfant.
b- Anesthésie générale chez l'adulte. 55. Le capsulorhéxis : la RJ
c- Anesthésie topique chez l'adulte (si phaco - a- Est l'incision cornéenne auto - étanche.
émulsification). b- Est la fragmentation du noyau cristallinien.
d- Anesthésie générale chez l’enfant. c- Est l'ouverture circulaire de la capsule pouce
e- Toutes les réponses sont fausses. postérieure du cristallin.
d- Est l'ouverture circulaire de la capsule pouce
50. Le traitement de la cataracte : antérieure du cristallin.
a- Est toujours chirurgical. e- Est l'ouverture de la hyaloïde antérieure.
b- Se fait par phaco - émulsification avec
implantation dans le sac.
c- Sans traitement ; l'évolution se fait vers
l'amélioration spontanée.
56. La chirurgie de la cataracte se fait le 62. Les complications post opératoire de la
plus souvent sous : les RJ chirurgie de la cataracte sont : la ou les RF
a- Anesthésie topique chez l’enfant. a- L'endophtalmie aigue.
b- Anesthésie générale chez l’adulte. b- La rupture de la capsule post du cristallin.
c- Anesthésie topique chez l’adulte. c- L’œdème maculaire cystoïde.
d- Anesthésie générale chez l’enfant. d- L'hémorragie expulsive.
e- La cataracte secondaire.
57. Les complications postopératoires de la
chirurgie de la cataracte : La ou les RF 63. Parmi les complications suivantes une
a- L'endophtalmie aigue. n’est pas en rapport de l'opération de la
b- Œdème de cornée. cataracte, laquelle ? La RJ
c- Rupture capsulaire postérieure. a- Endophtalmie aigue. 11
d- Hémorragie expulsive. b- L'œdème maculaire.
e- Cataracte secondaire. c- L'hémorragie expulsive.
d- Le décollement de rétine.
58. Parmi les complications post e- Le glaucome malin.
opératoires de la chirurgie de la cataracte,
on retrouve : la ou les RF (x2) 64. Parmi les causes iatrogènes de la
a. L’endophtalmie aiguë. cataracte : la ou les RF ( x 2 )
b. La cataracte secondaire. a. La corticothérapie locale est la cause la plus
c. L’hémorragie expulsive. fréquente.
d. La rupture capsulaire postérieure. b. La chirurgie vitréo - rétinienne.
e. Le décollement de rétine. c. La trabéculectomie.
d. La chirurgie du strabisme.
59. Les complications post op de la e. La chirurgie des voies lacrymales.
chirurgie de la cataracte sont la /les RF (x3)
a. La rupture capsulaire postérieure. 65. Parmi les étiologies de la cataracte, on
b. L’hémorragie expulsive. retrouve :
c. L’endophtalmie aiguë. a. La cataracte traumatique en rapport avec
d. La cataracte secondaire. traumatisme contusif ou perforant.
e. Le décollement de rétine. b. Le cataracte sénile en rapport avec l'âge qui est
la plus fréquente.
60. Les complications post opératoire de la c. La cataracte morganienne qui est en rapport
cataracte sont : Les RJ avec un traumatisme oculaire.
d. La cataracte congénitale dont la rubéole est la
a- Rupture capsulaire postérieure. 1ère cause infectieuse de cataracte congénitale.
b- Endophtalmie aigue.
e. La cataracte métabolique surtout le diabète.
c- Œdème maculaire cystoï de.
d- La cataracte secondaire.
66. Quels sont les examens
61. Parmi les complications postopératoires complémentaires qui font partie du bilan
de la chirurgie de la cataracte : systémique de cataracte ?
a. L'endophtalmie aiguë. a. La topographie cornéenne.
b. Le décollement de rétine. b. La biométrie.
c. La rupture de la capsule postérieure. c. La kératométrie.
d. L’hémorragie expulsive. d. La microscopie spéculaire.
e. Brûlure de l’incision cornéenne. e. Un champ visuel.
67. En cas de cataracte totale : la ou les RF 73. La cataracte morganienne : les RJ
a. Il faut faire l'angiographie àla fluorescéine. a- Est une cataracte hyper mûre.
b. Il faire l'échographie oculaire mode A. b- Se complique d'un glaucome phacolytique.
c. Il faut faire l'échographie oculaire mode B. c- L’aspect typique est une cataracte en coucher
d. Il faut faire le champ visuel. de soleil.
e. Il faut faire la tomographie par cohérence d- Est une cataracte contusive.
optique OCT.

68. En cas de cataracte totale :


a. Il faut faire l’angiographie à la fluorescéine. Conjonctivite
b. Il faut faire l'échographie oculaire mode A.
c. Il faut faire l'échographie oculaire mode B.
d. Il faut faire le champ visuel 1. Quels sont les symptômes qu'on retrouve 12
e. Il faut faire la tomographie par cohérence dans un tableau de conjonctivite aigue :
optique OCT. a- Sensation de grain de sable.
b- Sécrétions purulentes.
69. La cataracte hyper mure : c- Œil larmoyant.
a. Elle prend l’aspect en cocher de soleil. d- Baisse de l'acuitévisuelle.
b. Elle se complique d’un glaucome phacolytique. e- Hypertonie oculaire.
c. Elle se complique de décollement de rétine.
d. Elle se complique d’une uvéite phaco - 2. Le trépied évocateur de la conjonctivite
antigénique. aiguëbactérienne comporte :
e. Elle ne nécessite aucun traitement. a. Présence de follicule
b. Absence de follicule
70. La cataracte hyper mûre se complique : c. Présence de sécrétion muco - purulente
a- De décollement de rétine. d. Présence d’adénopathie prétragienne
b- D'une uvéite phaco - antigénique. e. Absence d'adénopathie prétragienne.
c. D'un glaucome phacolytique.
d- D'une kératite d'exposition. 3. La conjonctivite allergique peut se
e- Toutes les réponses sont justes. manifester par :
a- Un prurit.
71. La cataracte morganienne : b- Une photophobie.
a- Est une cataracte hyper mure. c- Un larmoiement.
b- Est une cataracte traumatique. d- Une baisse de l'acuitévisuelle.
c- L'aspect typique est le coucher de soleil. e- Toutes les réponses sont justes.
d- L’aspect en rosacé est typique.
e- Est une cataracte congénitale. 4. Dans les conjonctivites allergiques, une
réponse est fausse : «la réponse E est en
72. La cataracte morganienne : contradiction avec l’énoncé »
a- C'est une cataracte congénitale. a. le traitement local est basésur les anti
b- C’est une cataracte hyper mure. histaminiques + anti dégranulants mastocytaires.
c- L’aspect typique est en coucher de soleil. b. le traitement local est basésur les corticoïdes
d- C’est une cataracte intumescente. faibles doses prolongés.
c. le traitement est basésur la désensibilisation.
d. le maî tre symptôme est le prurit.
e. Toutes les réponses sont fausses.
5. La gonococcie néonatale : Pathologies cornéennes
a. Est une conjonctivite
b. Est une kérato - conjonctivite au virus de la
varicelle-zona 1. La cornée est une membrane
c. Se complique : abcédation (atteinte) cornéenne. transparente de la face antérieure du globe
d. Se traite par de la vitamine A. oculaire :
e. Aucune des réponses n’est juste. a. Elle est plus épaisse en périphérie qu’au centre.
b. Elle est plus fine en périphérie qu’au centre.
6. La gonococcie néonatale : la RJ c. Elle est composée de 5 couches qui sont
a. est une conjonctivite successivement (épithélium, la descemet, le stroma,
b. est une kérato conjonctivite par chlamydia la Bowman et l’endothélium).
c. est une kérato conjonctivite par Pseudomonas d. Son diamètre est de 10 à11 mm.
d. se voit dans les accouchements par voie basse e. C’est l'organe de l'accommodation. 13
e. se voit lors d'une césarienne.
2. La cornée est une membrane
7. La conjonctivite du nouveau - néà transparente de la face antérieure du globe
gonocoque : les RF oculaire :
a. Débute après le 5ème jour post natal. a. Elle est plus épaisse en périphérie que le centre
b. très inflammatoire et purulente cornéen
c. se complique de kératite b. Elle est plus fine en périphérie que le centre
d. les corticoï
des sont contre-indiqués cornéen.
e. contamination manu porté. c. Est composéde l'extérieur vers l'intérieur de 5
couches successivement : épithélium, membrane
8. Conjonctivite àChlamydia Trachomatis : de descemet, stroma, membrane de Bowman,
endothélium cornéenne.
a- Est responsable de trachome.
d. Les pathologies infectieuses de la cornée sont :
b- En cas de chronicité,elle est responsable de kératites bactériennes +++, virale, amibienne et
cécitécornéenne.
mycosique.
c. Est due àla mauvaise hygiène. e. Diamètre cornéen est de 10 à11 mm, Chez
d- Plus fréquente chez les européens.
l'enfant.
9. Une épidémie de conjonctivite à 3. La cornée est la partie antérieure,
prédominance unilatérale est le plus formant 1 / 6 du globe :
souvent due à: la RJ a- Elle est très richement innervée àpartir des
a. Le virus herpès. nerfs ciliaires provenant du rameau nasal de la
b. Le cytomégalovirus. division ophtalmique de la
c. L'écho virus. V ème paire crânienne.
d. L'adénovirus. b- La cornée n'est pas vascularisée, elle se nourrit
e. Papillomavirus. de l'oxygène de l’air et des nutriments de l'humeur
aqueuse filtrés par l'endothélium.
10. Quelle est la nature de l'agent causal c- L'épithélium représente 90 % de l'épaisseur de
d'une épidémie de conjonctivite à la cornée et est forméde plusieurs couches
prédominance unilatérale ? La RJ cellulaires.
a- Virus de l'herpès. d- Le stroma représente 90 % de l'épaisseur de la
b- Adénovirus. cornée.
c- Virus du trachome. e- L'endothélium est constituéde plusieurs
d- Pneumocoque. couches de cellules plates et hexagonales.
4. La cornée : ( x 2 ) 8. L’hémato - cornée est :
a- Est richement vascularisée. a. une infiltration lymphoï de réversible de la
b- Le stroma représente 90 % de l'épaisseur cornée
cornéenne. b. une infiltration sérique irréversible de la cornée
c. L'endothélium est composéde plusieurs couches c. une infiltration microbienne de la cornée
de cellules plates et hexagonales. d. une infiltration hémorragique de ta cornée
d- Est richement innervée àpartir des nerfs e. toute les réponses sont fausses.
ciliaires provenant du rameau nasal de la division
de la V ème paire crânienne. 9. Parmi les symptômes, suivants quels sont
e- La microscopie spéculaire permet le calcul des ana qui orientent vers une plaie perforante
cellules endothéliales. de lu cornée :
f- Toutes les réponses sont fausses.
a. Aplatissement de la chambre antérieure. 14
b- Luxation du cristallin.
5. La cornée : Les RJ c- Signe de Seidel positif.
a- Assure 1/3 du pouvoir réfractif du globe d- Hernie de l'iris.
oculaire e- Hypertonie oculaire.
b- Le test àla fluorescéine permet de rechercher
une atteinte de l’endothélium cornéen. 10. Les signes fonctionnels lors d'une
c- Le port de lentilles de contact est te principal
facteur de risque des infections de la cornée. lésion de l'épithélium cornéen sont :
d- Les collyres corticoï des retardent la a- Larmoiement.
cicatrisation de l'épithélium cornéen. b- Blépharospasme.
e- Dans les brulures chimiques, les acides c- Douleur oculaire.
pénètrent très rapidement dans le stroma cornéen. d- Mydriase post traumatique.
e- Photophobie.
6. La cornée :
a- Elle a une puissance de 42 dioptries, soit les 2 / 11. Au cours de l'examen d'une plaie
3 de la puissance de l’œil. cornéenne on constate : la RJ
b- Elle est transparente et peu innervée. a. une athalamie avec hypertonie sans baisse de
c- Les cellules endothéliales sont responsables l'acuitévisuelle
dans une grande partie de sa transparence. b. une athalamie avec hypotonie et baisse de
d- Son rayon de courbure moyen est de 7.8 mm. l'acuitévisuelle
e- Elle peut être vascularisée dans certaines c. l'échographie mode b sera réaliséen
pathologies. préopératoire en urgence
d. l’IRM est indiquée en cas de suspicion de corps
7. L’angle irido - cornéen : étranger métallique.
a. c'est un filtre naturel d'évacuation de l'humeur
aqueuse 12. L'abcès de cornée :
b. est le lieu de stockage et de l’excrétion de a- Sa fréquence est en décroissance.
l'humeur aqueuse b- Constitue une urgence thérapeutique qui peut
c. est toujours ferméen cas de glaucome nécessiter une hospitalisation.
d. est toujours ouvert en cas de glaucome c- Le port de lentilles de contact est le principal
e. st le siège exclusif d'évacuation de l’humeur facteur de risque.
aqueuse. d- Nécessite un traitement par les collyres
antibiotique avant le prélèvement bactériologique.
e- L'atteinte est plus sévère avec les bactéries à
Gram négatif (Pseudomonas).
13. Dans l’abcès cornéen : 18. L’ulcère de cornée :
a. L’atteinte cornéenne est exclusivement a. Est une perte de substance de la cornée.
profonde. b. Très douloureux s’il est superficiel.
b. Le traitement à base d’antibiotique à forte dose. c. Très douloureux s’il est profond.
c. Le pronostic est bon sans séquelles. d. Le diagnostic positif repose sur le test àla
d. Le risque de récidive est quasi - inexistant. fluorescéine.
e. Il existe souvent un facteur de risque à l’origine e. Il peut évoluer vers la perforation cornéenne.
de l'infraction.
19. L'ulcère de cornée :
14. L’abcès de la cornée : a. Est une perte de substance de la cornée.
a. Est une kératite superficielle bactérienne. b. Très douloureux s'il est superficiel.
b. Réalise un œil rouge non douloureux. c. Très douloureux s'il est profond.
15
c. Réalise un œil rouge douloureux. d. Le diagnostic positif repose sur le test àla
d. Des séquelles cornéennes persistent souvent fluorescéine.
après guérison du processus infectieux. e. Il évolue vers la perforation cornéenne.
e. Peut se compliquer d’hypo pion.
20. L'ulcère de cornée :
15. L’abcès de cornée : a- Est une perte de substance de la cornée.
a. est une urgence diagnostic et thérapeutiques. b- Très douloureux s'il est superficiel.
b. nécessite souvent un traitement chirurgical. c- Très douloureux s'il est profond.
c. son diamètre et sa topographie ne modifient pas d- Le diagnostic positif repose sue le test àla
l’approche thérapeutique. fluorescéine.
d. peut se compliquer d’une perforation du globe
oculaire. 21. L'ulcération cornéenne dendritique :
e. toutes les réponses sont justes. a- Est typique de zona ophtalmique.
b- Est typique de l'atteinte herpétique.
16. L'abcès de cornée : la ou les RF c- Est typique d'une atteinte amibienne.
a. Est une urgence diagnostique et thérapeutique. e- Est typique du staphylocoque.
b. Nécessite souvent un traitement chirurgical.
c. Son diamètre et sa topographie ne modifient pas 22. Le kératomètre de JAVAL :
l’approche thérapeutique. a- Mesure le rayon de courbure antérieur de la
d. Peut se compliquer d’une perforation cornée.
cornéenne. b- Mesure l'astigmatisme cornéen antérieur.
e. Toutes les réponses sont justes. c- Mesure la réfraction totale de l'œil.
d- Mesure la densitéendothéliale.
17. L’abcès de cornée :
a- Le diagnostic est clinique. 23. La kératométrie :
b- Le traitement repose sur l'usage d'antiseptiques a. Permet la mesure du rayon de courbure de la
et de corticoï des. face antérieure de la cornée.
c- La taille, le diamètre et la réaction b. Permet la mesure de la densitédes cellules
inflammatoire de la chambre antérieure et la endothéliales de la cornée.
survenue chez un enfant ne sont pas considérés c. Permet la mesure de ta réfraction totale de l'œil.
comme des critères de gravitéde cette pathologie. d. Permet l'étude du champ visuel.
d- Peut laisser des séquelles anatomiques e. Permet la mesure de l'astigmatisme antérieure
entraî nant une baisse d'acuitévisuelle. de la cornée.
e- C'est une urgence thérapeutique.
24. Le kératomètre de JAVAL : 4. La meilleure façon de corriger l’aphakie
a- Permet la mesure de la biométrie. postopératoire est : la RJ
b-Permet la mesure de l’astigmatisme cornéen ant a. Une lentille de contacte souple.
c- Permet la mesure de la réfraction totale de l’œil b. Des verres convexes positifs.
d- Permet la mesure des rayons de courbure de la c. Implant intraoculaire dans le sac cristallinien.
cornée. d. Une chirurgie réfractive.
e. Toutes les réponses sont fausses.
25. L'ophtalmomètre de JAVAL : La RJ
a- Il permet la mesure de la réfraction globale. 5. La correction idéale de l'aphakie
b- Permet la mesure de l'astigmatisme cornéen ant postopératoire se fait par : la RJ
c- Il permet de quantifier le Tyndall inflammatoire a. La prescription des lentilles de contacts.
de la chambre antérieure. b. La prescription des lunettes. 16
d- Il permet la mesure du degré de l’exophtalmie. c. Implanter un implant souple intraoculaire dans
le sac capsulaire.
26. Les étiologies responsables de cercle d. Implanter un implant dans la chambre
péri kératiques sont : la ou le RJ antérieure
a- Le glaucome aigu. e. Toutes les réponses sont fausses.
b- La conjonctivite.
c- L'hémorragie sous conjonctivale. 6. Un patient aphake :
d- La kératite. a. Est un patient privéde son cristallin.
e- L'uvéite antérieure. b. Présente une très forte sensibilitéàla lumière
c. Se corrige uniquement par lentille de contact.
Aphakie d. Se corrige par un implant intraoculaire.
e. Ne peut pas se corriger.
1. L’aphakie : 7. Le meilleur confort visuel fourni àun
a. Est l’état d’un œil sans cornée.
b. Est l’état d’un œil sans cristallin. patient aphake se fait par : La RJ
c. Elle peut être post traumatique. a- Verre sphérique concave.
d. Elle peut être post chirurgie. b- Lentille de contact.
e. La meilleure correction se fait par implant c- Implant intra oculaire.
intraoculaire dans le sac cristallinien. d- La réponse B est juste.
e- La réponse A est juste.
2. L'aphakie : ( x 2 )
a. Est l'état d'un œil sans cornée. 8. Le calcul de la puissance de l'implant
b. Est 'état d'un œil sans cristallin. intraoculaire :
c. Est l'état d'un œil sans iris. a- Se fait toujours en per opératoire.
d. Est l'état d'un œil sans vitré. b- Se fait en préopératoire.
e. Est l'état d'un œil sans rétine. c- Permet de corriger l'amétropie préexistante.
d- Se fait par fa biométrie optique.
3. L’aphakie : e- Se fait par l'échographie mode A.
a. Est l’état d’un œil dépourvu de rétine.
b. Est l’état d’un œil dépourvu de cristallin.
c. Est la différence de réfraction entre les 2 yeux.
d. Est l’état d’un œil porteur d’un implant
intraoculaire.
e. Toutes les réponses sont justes.
9. Le calcul de la puissance de l’implant 2. Les muscles oculomoteurs :la / les RF
intraoculaire : (x2)
a. Nécessite le calcul de la longueur axiale et la a. Assurent la motilitédu globe oculaire.
kératométrie. b. Le III innerve le droit externe.
b. Il se fait en postopératoire. c. Le VI innerve le sphincter irien.
c. Il doit cibler l’emmétropie postopératoire. d. Le III innerve l’oblique supérieure.
d. La kératométrie est le calcul du rayon de e. Le IV innerve l’oblique inférieure.
courbure de la cornée.
e. Toutes les réponses sont fausses. 3. Les muscles oculomoteurs :
a. Le VI innerve l’oblique supérieure.
10. Quels sont les examens nécessaires b. Le III innerve le droit externe.
pour le calcul de l’implant intraoculaire : c. Le IV innerve le sphincter irien. 17
la RJ d. Le III innerve le droit interne.
a. La microscopie spéculaire et l’angiographie e. Assurent la motilitédu globe.
rétinienne.
b. La biométrie et l’OCT. 4. Concernant les muscles oculomoteurs :
c. La biométrie et la kératométrie. a- Le système oculomoteur comprend 6 muscles ,4
d. Le champ visuel et la kératométrie. droits et 2 obliques.
e. Elle ne nécessite aucun traitement. b- Le droit supérieur est innervépar le III.
c- Le droit latéral est innervépar VI.
11. Quels sont les examens indispensables d- Le droit latéral est responsable de l'adduction.
pour le calcul de la puissance de l’implant e- Le muscle grand oblique est innervépar le IV.
intraoculaire : les RJ
a- L'échographie mode B. 5. Concernant les paralysies oculomotrices :
b- La pachymetrie. a- Une paralysie du III extrinsèque provoque un
c- La kératometrie. ptôsis total, une divergence du globe une
d- La biométrie. limitation de l'élévation, de l'abaissement et de
e- La microscopie spéculaire. l’adduction du globe.
b- Une paralysie intrinsèque du III provoque un
myosis et perte de l'accommodation.
c- Une paralysie intrinsèque et extrinsèque du III
doit faire rechercher en urgence une fissuration
Anatomie générale de l’œil d'anévrysme carotidien.
d- L'hypertension intracrânienne provoque parfois
1. Les muscles oculomoteurs sont au nom une paralysie bilatérale du VI sans valeur
de six : la ou les RF localisatrice.
a- Le droit supérieur qui est innervépar la 3ème e- La diplopie dans la paralysie du IV est
paire crânienne (III). maximale dans le regard en bas et en dedans.
b- Le droit externe, qui est innervépar la 6ème
paire crânienne (VI). 6. Les muscles oculomoteurs : La RJ
c- Tous les muscles s'insèrent dans le fond de la a- Assurent la motilitédu globe oculaire (GO).
cavitéorbitaire par un tendon commun. b- Il existe quatre muscles droits.
d- Le grand oblique, qui est innervépar la 4ème c- Il existe deux muscles obliques.
paire crânienne (IV). d- Toutes les réponses sont fausses.
e- Le droit inférieur qui est innervépar la 5ème e- Toutes les réponses sont justes.
paire crânienne (V).
7. Les muscles oculomoteurs droits sont(x2) 12. Le nerf oculomoteur commun (III)
a. Le droit supérieur innervépar la II ème paire innerve :
crânienne. a. Le muscle droit latéral (externe).
b. Le droit inférieur innervépar la III ème paire b. Le muscle droit médial (interne).
crânienne. c. Le muscle oblique supérieur.
c. Le droit latéral innervépar la VI ème paire d. Le muscle releveur de la paupière supérieure.
crânienne. e. Le muscle dilatateur de la pupille.
d. Le droit médial innervépar la I ème paire
crânien. 13. Lors d’une paralysie récente du nerf
e. Toutes les réponses sont justes. moteur oculaire externe (VI), l’examen
8. Parmi les paralysies oculomotrices révèle généralement : ( x 3 )
a. Une diplopie 18
suivantes, laquelle se manifeste par une b. Une baisse de l’acuité visuelle
diplopie uniquement horizontale : La RJ c. Une atteinte de l'accommodation
a- Paralysie du III totale. d. Une déviation en dedans de l’œil atteint
b- Paralysie du IV totale. e. Une limitation de l'abaissement.
c- Paralysie du VI totale.
d- Paralysie du III extrinsèque. 14. Lors d’une paralysie récente du nerf
e- Aucune des réponses n'est exacte.
oculomoteur externe VI, l’examen révèle :
9. Une paralysie du III totale (intrinsèque RF
a. Une diplopie.
ne : ( x 7 )
et extrinsèque) entraî b. Une baisse de l’acuité visuelle.
a. Une exotropie. c. Une attitude vicieuse de la tête.
b. Une ésotropie. d. Une déviation de dedans de l’œil atteint.
c. Une diplopie. e. Une limitation de l’abaissement.
d. Un ptosis.
e. Une mydriase. 15. Quelle est la réponse juste ?
f. Un myosis. a- Le III innerve le droit externe.
g. L'accommodation est conservée. b- Le IV innerve l’oblique inférieure.
h. Une paralysie de l'accommodation.
c- Le VI innerve le droit externe.
d- Le IV innerve le sphincter de l’iris.
10. Une paralysie du III extrinsèque e- Le III innerve l’oblique supérieure.
entraine :
a- Une exotropie. 16. La lagophtalmie : ( x 3 )
b- Une esotropie. a. Est la fermeture forcée des paupières.
c- Un ptosis. b. Est l’impossibilité de fermer les paupières.
d- Une mydriase aréflexique. c. Est un facteur de risque de kératite.
e- Une paralysie de l'accommodation. d. Elle expose àune kératite sèche.
e. Toutes les réponses sont justes.
11. La paralysie complète de l'oculomoteur
commun(III) s'accompagne de : ( x 2 ) 17. L'endophtalmie aigue :
a- Ptosis. a- C’est une infection aigue post opératoire.
b- Strabisme convergent. b- C’est une uvéite d’origine immunitaire.
c- Déficit de l'élévation. c- C’est une conjonctivite d’origine virale.
d- Mydriase. d- Toutes les réponses sont fausses.
e- Paralysie de l'accommodation.
18. L’œil emmétrope : la ou les RF 23. Un œil amétrope peut présenter : la ou
a. Est un œil porteur d’un vice de réfraction. les RF
b. Les rayons parallèles se concentrent sur la a- Une myopie.
rétine. b- Une emmétrope.
c. Est un œil porteur d’une anomalie de réfraction c- Une hypertonie.
sphérique. d- Un astigmatisme.
d. Est un œil porteur d’une anomalie de réfraction e- Toutes les réponses sont justes.
cylindrique.
e. Est un œil sans vice de réfraction. 24. Les signes fonctionnels d'une
amétropie sont :
19. Un patient hypermétrope : a- Céphalées chronique.
a- L’asthénopie accommodatif est une cause b- Amputation du champ visuel. 19
fréquente de consultation. c- Fatigue oculaire.
b- Peut avoir une acuitévisuelle normale. d- Baisse d'acuitévisuelle.
c- Se corrige par verre cylindrique convexe. e- Toutes les réponses sont fausses.
d- Est une amétropie statique non sphérique.
e- Aucune des réponses précédentes n'est juste. 25. La longueur axiale du globe oculaire :
20. Dans l'hypermétropie : (x3)
a. Est la distance entre le sommet de la cornée et
a. L'image d'un objet se fait en arrière de la rétine.
la rétine.
b. L'image d'un objet se fait sur la rétine.
b. Est la distance entre le sommet de la cornée et
c. La correction se fait par des verres sphériques
le cristallin.
convexes. c. Mesure entre 22 et 24 mm.
d. La correction se fait par des verres sphériques d. Est entre 23 et 24 mm.
concaves.
e. Elle est plus élevée chez le myope.
e. La correction se fait par des verres cylindriques.
f. Plus courte en cas d'astigmatisme.
g. Toutes les réponses sont justes.
21. L’hypermétropie se caractérise par : La
RJ 26. La longueur axiale de l'œil :
a- La correction optique se fait par des verres a- C'est la distance qui sépare le sommet de la
concaves. cornée au plan rétinien.
b- La correction optique se fait par des verres b- Les valeurs normales entre 23.5 et 24.5 mm.
convexes. c- C'est le diamètre équatorial du globe oculaire
c- Le globe oculaire est de grande taille. d- Elle est mesurée par l'échographie mode A ou
d- Elle apparait et est toujours diagnostiquée à biométrie.
l’âge adulte.
e- Toutes les réponses sont fausses. 27. L’orbite osseuse :
a. est constituée de nombreux os dont le frontal, le
22. L'anisométropie : lacrymal, le pariétal et l'ethmoïde.
a- Est l'état d'un œil dépourvu de son cristallin. b. l’os zygomatique constitue la partie latérale de
b- Est la différence de réfraction entre les deux la cavitéorbitaire.
yeux > àdeux dioptries. c. du fait des structures osseuses ; l’œil est mieux
c- Est la différence entre la taille des images des protégé en latéral qu’en médical.
deux yeux. d. dans le canal optique passe le nerf optique qui
d- La correction toujours se fait par des lunettes. assure l’innervation motrice de l’œil.
e. une forme quadrangulaire.
28. L'orbite osseuse constitue un appareil 32. L'humeur aqueuse est sécrétée par :
protecteur du globe oculaire : ( x 2 ) a- La cornée.
a- C’est une cavité creusée dans le massif facial, b- Le cristallin.
de forme ellipsoï dale. c- Le corps ciliaire.
b- L'os pariétal est situésur la face externe de d- La rétine.
l'orbite.
c- L'os frontal est situésur la partie supérieure de 33. L'humeur aqueuse est filtrée par :
l'orbite. a- L'angle irido - ciliaire.
d- 8 os vont participer àla constitution de l'orbite b- L'angle irido - cornéen.
osseuse. c- Le canal scléral du nerf optique.
e- L’os malaire ou zygomatique est situé dans la d- La chorio - capillaire.
partie inféro - externe de l’orbite.
f- L'os malaire ou zygomatique est situédans la 34. Devant une chambre antérieure étroite 20
partie supéro - externe de l'orbite. il faut :
a. prendre la tension oculaire
29. Parmi ces Os un ne fait pas partie de b. faire une gonioscopie
l'orbite osseuse : La RJ c. faire une biométrie
a- L'os frontal. d. proposer une iridotomie au laser
b- L'os propre du nez. e. toutes les propositions sont justes.
c. L'os sphénoï dal.
d- L'os maxillaire. 35. Le Tyndall de la chambre antérieure :
e- L’os lacrymal ou inguis. La RJ
a- Est la présence des synéchies entre l’iris et le
30. Le segment antérieur de l'œil cristallin.
comprend : la RJ ( x 2 ) b- Est la présence des cellules inflammatoires
a. La cornée, la chambre antérieure, l'iris et la dans l’humeur aqueuse.
rétine. c- Est la présence des nodules sur l’iris.
b. La cornée, la chambre antérieure, le vitréet la d- Est la présence des cellules inflammatoires sur
rétine. la face postérieure de la cornée.
c. La cornée, la chambre antérieure, l'iris et le
cristallin. 36. Les milieux transparents de l’œil sont :
d. La cornée, la chambre antérieure, la rétine et le a. cornée, cristallin, humeur aqueuse
nerf optique. b. cornée, humeur aqueuse, vitré
e. La cornée, la chambre postérieure, le vitréet le c. la chambre antérieure, l'humeur aqueuse, le
nerf optique. vitré
d. la cornée, la chambre antérieure et le vitré
31. Quelles structures anatomiques e. toutes les propositions sont justes.
appartiennent au segment postérieur : les
RJ 37. Àpropos des structures transparentes
a- Le vitré. de l’œil
b- La chambre postérieure. a. La cataracte résulte de l’opacification de la
c- Le nerf optique. cornée.
d- Le cristallin. b. Le cristallin ne fait pas partie des organes de
e- La rétine. l'accommodation.
c. L’indice réfractif du cristallin est supérieur à
celui de la cornée.
d. Le cristallin est entourépar le corps ciliaire a. La cornée assure le ⅓ du pouvoir réfractif du
auquel il est maintenu par la zonule de Zinn. globe oculaire.
e. La cornée est plus épaisse en périphérie qu’au b. Les brûlures par base sont généralement de bon
centre. pronostic.
c. Histologiquement la cornée est formée de 5
38. Le contenant du globe oculaire est couches.
constituéde dehors en dedans par : La RJ d. Le degré d’atteinte du limbe au cours des
a- La coque cornéo - sclérale / l’uvée / la rétine. brûlures chimiques cornéennes n’est pas
b- La rétine / l'uvée / la coque cornéo - sclérale. considérécomme élément pronostic.
c- L'uvée / la rétine / la coque cornéo - sclérale. e. Les brûlures cornéennes par acides sont de loin
d- La coque cornéo - sclérale / la rétine / l’uvée. les plus graves.
e- Aucune réponse n'est juste.
44. Les voies optiques : La RJ 21
39. Le contenu du globe oculaire est a- Assurent la transmission de l'influx nerveux.
constituépar : La RJ b- Le nerf optique droit ne se croise pas avec le
a- Les enveloppes qui l'entourent. nerf optique gauche.
b- La succession de milieux transparents (humeur c- Se terminent dans le cortes frontal.
aqueuse, cristallin, vitré). d- Le croisement des 2 nerfs optiques s'appelle
c- Le nerf optique. radiation optique.
d- Est vide. e- Le croisement des 2 nerfs optiques s'appelle
e- Toutes les réponses sont fausses. bandelette optique.

40. Les deux éléments réfractifs les plus 45. A propos des structures intraoculaires :
a. La chambre antérieure se trouve en arrière de
importants de l’œil sont : la RJ ( x 3 ) la cornée et en avant de l’iris et la pupille.
a. La cornée et la rétine. b. La chambre postérieure est plus vaste que la
b. La cornée et le cristallin. chambre antérieure.
c. Le cristallin et le vitré. c. La vitrécircule dans les deux chambres et est
d. La cornée et le nerf optique. réabsorbépar le canal de schlemm.
e. Le vitréet le nerf optique. d. Le cristallin est une lentille biconvexe plus
convexe sur la face antérieure qui participe à
41. Les principaux dioptres de l’œil : Les l'accommodation.
RJ e. Avec l'âge, le cristallin peut devenir opaque
a- Les paupières. c’est la presbytie.
b- La cornée.
c- Le cristallin. 46. Parmi les rôles de l'épithélium
d- La rétine. pigmentaire :
a- Rôle d'écran, plus ou moins opaque, en
42. La réponse juste : fonction du degréde sa pigmentation.
a- Le rôle de la sclère est protecteur. b- Rôle dans le métabolisme de la vitamine A en
b- Le rôle de la cornée est optique. la stockant et en régénérant la rhodopsine après
c- Le rôle de l’uvée est nutritif. photo réception.
d- Le rôle de la rétine est neurosensoriel. c- Siège d'échanges : hydro - électrolytiques,
e- Toutes les réponses sont justes. d’oxygène, par transport passifs ou actifs.
d- Phagocytose des articles externes des
43. Parmi les propositions suivantes, photorécepteurs, permettant leur régénération.
quelles sont celles qui sont justes ? ( x 2 ) e- Rôle de régénération des cellules
ganglionnaires rétiniennes.
47. Le réflexe oculo - cardiaque (ROC) 52. Une BAV brutale unilatérale chez un
consiste en : la RJ sujet jeune dont le fond d’œil est sans
a. Une bradycardie (baisse de la fréquence de 10 % particularité,vous pensez à: La RJ
à20 %) et / ou l’apparition de trouble du rythme a- Une neuropathie optique rétrobulbaire.
en réponse àune stimulation de la sphère oculaire. b- Hémorragie intra vitréenne.
b. Une bradypnée IIaire àune stimulation oculaire c- Décollement de rétine.
c. Un arrêtcardiaque secondaire àune d- Cataracte contusive.
stimulation oculaire.
d. Une altération de l’état de conscience 53. L'accommodation est un phénomène
secondaire àune stimulation oculaire. qui permet à l’œil normal de voir net :
e. Le ROC ne se rencontre qu’en chirurgie a- En vision de loin.
ophtalmologique. b- En obscurité.
22
c- Àla fois de loin et de près.
48. La macula : d- Uniquement en vision intermédiaire.
a. Est constituée d’une forte concentration de
cellules àcônes. 54. Parmi les manifestations ophtalmo de
b. Constituée exclusivement de cônes. la sarcoï
dose, on retrouve :
c. Située à4 mm en dedans de la papille. a- Uvéite antérieure granulomateuse.
d. Constituée de l’épithélium pigmentaire et de la b- Un granulome conjonctival.
rétine neurosensorielle. c- Périphlébite rétinienne en tache de bougie.
e. Destinée àla vision centrale et nocturne. d- Des nodules choroï diens.
e- Une hyalite.
49. La puissance du système convergent de 55. L’atteinte herpétique du segment
l’œil est : inférieur de l’œil se caractérise par : la RF
a- En moyenne 60 dioptries. a. Principalement due àHSV1
b- La somme du dioptre cornéen et cristallinien. b. Unilatérale
c- La somme du dioptre rétinien et vitréen. c. Récurrente
d- Toutes les réponses sont justes. d. Immunisante
e. Polymorphe.
50. Le champ visuel :
a- Est un examen indispensable pour poser le 56. Laquelle ou lesquelles de ces
diagnostic du glaucome chronique. pathologies ophtalmologiques ne constitue
b- Il permet de tester la sensibilitéde la rétine. (ent) pas une urgence ophtalmologique ?
c- Il détecte les altérations fonctionnelles liées au a- Œdème maculaire diabétique.
glaucome chronique. b- Cataracte compliquant une uvéite.
d- Il permet d'explorer les atteintes des voies c- Glaucome primitif àangle fermé.
optiques. d- Corps étranger intra oculaire.
e- Toutes les réponses sont fausses. e- Décollement de rétine (rhegmatogène).
51. Une BAV brutale peut être due à: 57. L'hétérochromie irienne de FUCHS
a. neuropathie optique associe : les RJ
b. décollement de rétine a- Une cataracte sous capsulaire postérieure.
c. cataracte b- Des dépôts rétro cornéen diffus.
d. œdème maculaire c- Un décollement de rétine.
e. hémorragie intra - vitréenne. d- Une différence de couleur de l'iris.
e-Une atrophie optique.
Leucocorie Kératite
1. La leucocorie : La RJ ( x 4 ) 1. Parmi les propositions suivantes, quelles
sont celles qui sont justes àpropos des
a- Est le reflet blanc de la cornée. kératites virales ? ( x 2 )
b- Est le reflet blanc de la pupille. a. Sont très souvent unilatérales.
c- Est le reflet gris de la pupille. b. Se compliquent d’opacités sous - épithéliales
d- Est le reflet noir de la pupille. quand il s’agit d’un Herpès Virus.
e- Est le reflet blanc de la papille. c. Se compliquent d’opacités sous épithéliales
f- Est le reflet blanc du cristallin. quand il s’agit d’un adénovirus.
g- Est le reflet gris du cristallin. d. Sont les plus fréquentes des kératites.
e. Se compliquent fréquemment d'uvéite 23
h- Est le reflet blanc de l’iris.
postérieure
i- Un signe d’appel de mélanome de la choroïde. f. Les ulcérations dendritiques sont en faveur d’un
j- Un signe d’appel de tumeur de paupière. herpès.
k- Est un signe précoce du rétinoblastome.
l- Toujours bilatérale. 2. La Kératite herpétique se caractérise
m- Elle nous oriente vers une pathologie bénigne par :
de la rétine. a- Due le plus souvent àHerpès simplex type 2.
n- Toutes les réponses sont justes. b- L'ulcère dendritique est la manifestation la plus
o- Toutes les réponses sont fausses. caractéristique.
c- L'atteinte est immunisante, pas de risque de
récidive.
d- Peut toucher tout le segment antérieur de l’œil.
2. La leucocorie : e- Le traitement consiste àl'instillation des
a- Est le reflet blanc de la cornée. collyres antibiotiques corticoïdes.
b- Est le reflet blanc de la pupille.
c- Est le motif de découverte de rétinoblastome. 3. Quelle manifestation n’est pas habituelle
d- Est un signe tardif pour le rétinoblastome. d’une kératite herpétique : la RJ
e- La cataracte congénitale peut se manifester par a. Kératite dendritique.
b. Ulcère neurotophique.
la leucocorie. c. Kératite géographique.
d. Kératite disciforme.
e. Kérato névrite radiaire.
3. Devant une leucocorie chez un
nourrisson, il faut penser à: La RJ 4. Devant toute kératite qu’elle(s) signe
a- Rétinoblastome. d’accompagnement évoque une étiologie
b- Kératite. herpétique : la RF
a. Baisse de sensibilitécornéenne.
c- Strabisme. b. Blépharite vésiculaire aiguë.
d- Glaucome. c. Uvéite aiguë.
d. Hypertonie intraoculaire.
e. Une conjonctive aiguëvernale.
5. Une kératite virale herpétique : Les RJ c. Corticoï des locaux.
a- Peut survenir après un stress. d. Antiseptiques locaux.
b- L’aspect typique est une kératite dendritique. e. Hypotonisants.
c- La prise de corticoïdes atténue l’inflammation. f. Antivirus.
d- Il n’y a jamais de récidives.
e- Une hypertonie oculaire est possible. 11. Une kératite bactérienne est dite grave
lorsqu’elle :
6. Une kératite herpétique se manifeste par : a. diamètre supérieur à1 mm
La RF b. absence de Thyndall
a- Une ulcération ronde. c. moins de 3 mm de l’axe optique
b- Une ulcération dendritique. d. diamètre supérieure à2 mm
c- Kératite ponctuésuperficielle. e. ne répond pas àun traitement antibiotique au
bout de 48 H. 24
d- Kératite géographique.

7. Dans la kératite herpétique superficielle : 12. Les facteurs de risque de Kératite


la ou les RF ( x 2 ) bactérienne sont :
a. L’aspect dendritique est typique. a. Port de lentille de contact.
b. Les corticoïdes sont contre - indiqués. b. Paralysie faciale.
c. Les corticoïdes sont utilisés en première c. Entropion trichiasis.
intention. d. Corps étranger végétal.
d. Le traitement est basésur des antiviraux. e. Obstruction lacrymale.
e. Toutes les réponses sont justes.
13. Le traitement de kératite bactérienne :
8. Dans la kératite herpétique superficielle : a- Repose sur les corticoïdes urgence.
a- L’aspect dendritique est typique. b- Repose sur une association des antibiotiques
b- Les corticoï
des sont contre indiqués. locaux.
c- Les corticoï
des sont utilisés en première c- Repose sur des antiviraux.
intention. d- Le traitement est toujours chirurgical.
d- Le traitement est basésur des antiviraux.
14. Au cours de la kératite épithéliale :
a. Le test àla fluorescéine est indispensable
9. Concernant la kératite herpétique b. Les CTC locaux sont indiqués
superficielle : ( x 2 ) c. L'atteinte est toujours virale
a- Les rechutes sont fréquentes. d. L'œil est blanc douloureux.
b- C'est une affection du sujet âgé.
c- Le test àla fluorescéine est négatif. 15. La kératite herpétique épithéliale : les
d- Elle est secondaire àune infection par le virus RF
herpès Zoster.
a. Peut - être dendritique
e- Elle s'accompagne d'une diminution de la
b. Peut - être disciforme
sensibilitécornéenne.
c. Peut - être une carte géographique
d. Nécessite l’usage des corticoïdes
10. Parmi les collyres suivants, un seul ne e. Contre - indique l’usage des corticoïdes.
doit jamais être instillédans le traitement
d’une kératite herpétique superficielle,
Lequel ? la RJ ( x 6 )
a. Mydriatiques.
b. Antibiotiques locaux.
16. Le virus responsable de la kératite Dégénérescence maculaire
dendritique est : La RJ ( x 3 )
a- L'adénovirus. liée àl'âge ‘ DMLA ’
b- Le virus herpès simplex virus type 1.
c- L’écho virus.
d- Le cytomégalovirus (CMV). 1. La dégénérescence maculaire liée àl'âge
e. Epstein bar virus EBV. DMLA :
a- Les drusens constituent la forme précoce de la
17. Dans la kératite par brulures chimique : maladie.
(x 3) b- La forme atrophique évolue lentement.
a- L'œdème cornéen est important. c- La forme exsudative donne une
b- Test àla fluorescéine est négatif. symptomatologie bruyante. 25
c- Les brulures par base sont les plus nocives. d- Les injections intra vitréennes des anti - VEGF
d- Les corticoïdes sont indiqués. constituent le traitement de choix pour la forme
e- Le premier geste consiste àlaver abondamment exsudative.
les yeux au sérum physiologique. e- Les injections intra vitréennes des corticoïdes
constituent le traitement de choix pour la forme
atrophique.
18. Les facteurs de risque d'une kératite
sont : la ou les RF 2. Dans la dégénérescence maculaire liée à
a. Les lentilles de contact.
b. Le glaucome. l'âge (DMLA) :
c. Le syndrome sec. a- Les drusens correspondent àl'accumulation
d. La cataracte. des déchets du métabolisme de l'épithélium de la
e. Le décollement de rétine. cornée.
b- Les drusens correspondent àl'accumulation
des déchets du métabolisme des photorécepteurs.
19. Les facteurs de risque d'une kératite c- II existe deux formes : une forme atrophique et
sont : La ou les RF une forme exsudative.
a- Les lentilles de contact. d- C'est une pathologie de sujet jeune.
b- Le glaucome. e- La forme exsudative est due àla présence des
c- Le syndrome sec. néo vaisseaux choroï diens.
d- La cataracte.
3. Dans la dégénérescence maculaire liée à
l'âge DMLA :
a. Il existe deux principales formes : forme
atrophique et forme exsudative.
b. Elle est plus fréquente chez le sujet jeune.
c. Le traitement est chirurgical.
d. Dans la forme atrophique, actuellement il n'y a
pas de traitement efficace.
e. Le traitement de la forme exsudative est basé
sur les anti VEGF.
4. La dégénérescence maculaire liée à l’âge 9. Dans la dégénérescence maculaire liée à
DMLA : l'âge DMLA :
a- Est une affection bilatérale. a. Il y a deux formes ; une forme atrophique et une
b- Elle touche surtout les sujets jeunes. forme exsudative.
c- Elle intéresse la rétine périphérique. b. Est une affection de l’adulte jeune.
d- Il existe deux formes, une forme exsudative et
c. Les métamorphopsies signifient toujours une
une forme atrophique. atteinte maculaire.
e- Toutes les réponses sont justes. d. Le traitement de la forme exsudative repose sur
les injections intra vitréenne des ANTIVGEF.
5. Dans la dégénérescence maculaire liée à e. Le traitement de la forme atrophique est
l'âge DMLA : ( x 2 ) toujours chirurgical.
a. Les drusens sont des précurseurs de la maladie. 26
b. Est une affection bilatérale. 10. La dégénérescence maculaire liée à
c. Il existe deux formes : une forme ischémique et l’Age DMLA :
une forme œdémateuse. a- Touche les sujets âgés de plus de 50 ans.
b- Touche aussi bien le pole postérieur que la
d. Est la première cause de cécitédans les pays
industrialisés. périphérie de la rétine.
c- Il existe deux formes : une forme atrophique et
e. Son traitement est uniquement chirurgical.
une forme humide.
6. La dégénérescence maculaire liée àl'âge d- C'est la première cause de cécitédans les pays
(DMLA) : industrialisés.
a. Survient après l'âge de 50 ans. e- Toujours unilatérale.
b. Survient surtout chez l’homme.
c. Se présente en deux formes : exsudative et 11. Dans la dégénérescence maculaire liée
atrophique. à l’âge
d. Le tabagisme est un facteur de risque. a- C’est une affection bilatérale.
e. Pas de traitement efficace pour la forme b- Est une affection du sujet plus de 50 ans.
atrophique. c- Il existe deux principales formes : forme
exsudative et forme atrophique.
7. La dégénérescence maculaire liée à d- Est la première cause de cécitédans les pays en
l’âge : voie de développement.
e- Toutes les réponses sont justes.
a. Est une pathologie de la macula en rapport
avec l'âge,
b- Il existe deux formes : une forme atrophique et 12. Dans la dégénérescence maculaire liée
une forme exsudative. àl'âge forme exsudative :
c. Elle est très fréquente chez la femme. a- Il existe un néo vaisseaux choroï dien.
d- Toujours unilatérale. b- Elle entraine une BAV brutale.
c- Elle est le stade précurseur de la maladie.
8. Dans la dégénérescence maculaire liée à d- Il n'y a pas un traitement efficace.
l'âge :
a- Il existe deux principales formes : forme 13. Dans la dégénérescence maculaire liée
atrophique et forme exsudative. àl'âge (DMLA) :
b- Elle est plus fréquente chez le sujet jeune. a. Les drusens correspondent à l’accumulation
c- Le traitement est chirurgical. des déchets du métabolisme de l’épithélium
d- Dans la forme atrophique, actuellement il n'y a pigmentaire de la rétine.
pas de traitement efficace. b. Les drusens correspondent à l’accumulation
des déchets du métabolisme des photorécepteurs.
c. Il existe deux formes : une forme atrophique et 18. La forme exsudative de la DMLA :
une forme exsudative. a- Due àla présence d'un néo - vaisseau
d. Elle est toujours unilatérale. choroï dien.
e. La forme exsudative est due àla présence des b- Deux types de néo vaisseau : visible et occulte.
néo vaisseaux choroï diens. c- Entraine une baisse d'acuitévisuelle lentement
progressive.
14. La dégénérescence maculaire liée à d- Le traitement actuel consiste àfaire des
l'âge injections intra - vitréenne corticoï
des.
a. Est une affection du sujet âgé. e- Le traitement actuel consiste àfaire des
b. Elle est bilatérale. injections intra - vitréenne des ANTI - VEGF.
c. Elle touche la macula
d. Elle est plus fréquente chez les mélanodermes. 19. Le traitement de la DMLA : la ou les
e. Il existe deux formes : une forme atrophique et 27
RF (x2)
une forme exsudative. a. Le traitement de la forme exsudative repose sur
les injections intra vitréennes des corticoïdes.
15. La DMLA : Les RJ b. Le traitement de la forme exsudative repose sur
a- Elle touche exclusivement les sujets jeunes. les injections intra vitréennes d'anti VEGF.
b- Le tabac est un facteur de risque. c. Le traitement de la forme atrophique repose sur
c- C'est une pathologie qui intéresse le laser.
exclusivement les vaisseaux rétiniens. d. Le traitement de la forme atrophique repose sur
d- Les drusen sont des signes précoces. la chirurgie.
e. Il n’y a pas de traitement actuel pour la forme
16. La DMLA : atrophique.
a. Est la première cause de cécitédans les pays
industrialisés après 50 ans. 20. Le traitement de la DMLA :
b. La présence de métamorphopsie signifie une a- Pour la forme exsudative : les injections intra -
forme exsudative. vitréenne des anti VEGFs.
c. Les anti - VEGF sont efficaces pour les formes b- Pour les formes atrophiques : le laser.
atrophiques. c- Pour les formes exsudatives : les injections
d. Les anti - VEGF sont efficaces pour les formes intra - vitréennes des corticoï
des.
exsudatives. d- Pour les deux formes, le seul traitement
e. Pas de traitement actuel pour les formes disponible est la chirurgie maculaire.
atrophiques. e- Toutes les réponses sont fausses.

17. Les drusen sont : Les RJ 21. Le traitement de la DMLA :


a- Apparaissent tardivement lors des DMLA. a- Repose sur des injections intraveineuses des
b- Correspondent àdes accumulations de résidus anti - VEGF.
de phagocytose des photorécepteurs. b- Des injections intra vitréennes des anti - VEGF.
c- Dues àune hyperactivitéde l'épithélium c- Des injections intra vitréennes de corticoïdes.
pigmentaire rétinien. d- Des collyres de corticoï des.
d- Dues à une baisse de l'activité de l’épithélium e- Des collyres d'antibiotiques.
pigmentaire rétinien.
Glaucome 5. L'excavation glaucomateuse se
caractérise par :
a. sa symétrie
1. Parmi les signes cliniques de la crise de b. sa stabilitédans le temps
glaucome aigu, l'une de ces propositions est c. le non - respect de la règle ISNT
inexacte, laquelle ? d. le respect de la règle ISNT
a- L'œil est rouge. e. un rapport cup / disc > 0,3
b- L'œil est douloureux.
c- L'acuitévisuelle est abaissée. 6. Le glaucome uvéitique peut être
d. La pupille est en myosis. secondaire à:
e- La cornée est œdémateuse. a- Blocage pupillaire.
b- Hyper sécrétion d’humeur aqueuse. 28
2. En présence d’une hémicrânie c- Gonio - synéchie.
d’apparition rapide, avec baisse de vision d- Cortico - induit.
accompagnée de nausées, d’un œil rouge et e- Trabéculite inflammatoire.
d’une mydriase, vous évoquez en premier
lieu : la RJ 7. Le glaucome primitif àangle ouvert se
a. Un zona ophtalmique. caractérise par : la RF
b. Une névralgie du trijumeau. a- Angle irido - cornéen étroit.
c. Un glaucome aigu. b- Excavation papillaire > 0.4
d. Une paralysie du nerf moteur oculaire commun. c- Altération du champ visuel.
e. Une migraine ophtalmique. d- Tonus oculaire > 21 mmHg.
e- Jeu pupillaire conservé.
3. Un œil rouge, douloureux et dur peut
faire suspecter une crise de glaucome aigu 8. Le glaucome primitif àangle ouvert se
ou une uvéite antérieure hypertensive aiguë. caractérise par :
Parmi les signes suivants, quel est celui qui a. neuropathie optique
permet de retenir sans hésitation le premier b. une hypertonie intraoculaire constamment
diagno ? supérieure à21 mmHg
c. excavation papillaire supérieure à0.3
a- L'œdème cornéen. d. altération du champ visuel des 30 degrés
b- La baisse de vision.
centraux
c- La mydriase.
e. atteinte du champ visuel débutant au point de
d- La photophobie.
fixation.
e- Le larmoiement.

4. L'examen ophtalmologique d'un patient 9. Un glaucome chronique àangle ouvert


glaucomateux chronique retrouve àun se traduit par : ( x 2 )
stade débutant de la maladie : a- Scotome de Bjerrum sur champ visuel dynamique
b- Excavation papillaire augmentée.
a- Une baisse d'acuitévisuelle franche.
c- Tonus oculaire supérieur à21 mmHg des deux
b- Une hypertonie oculaire.
coté à l’aplanation.
c- Un œil rouge et douloureux.
d- Baisse d'acuitévisuelle brutale.
d- Une chambre antérieure de profondeur
e- Douleur oculaire lors de l'obscurité.
normale.
e- Un angle irido - cornéen ferméen gonioscopie.
10. Glaucome primitif àangle ouvert est 13. Parmi les formes cliniques du
défini par : la ou les RF glaucome chronique àangle ouvert : la ou
a. C’est une neuropathie optique dégénérative les RF
avec une évolution rapide en quelques heures. a. Le glaucome àpression normale : TO normal
b. C’est une maladie qui a traitement radicale. avec FO et champ visuel CV normaux.
c. L’angle doit être ouvert donc c’est le niveau 0 b. L’hypertonie oculaire isolée : FO et CV
de la classification de Schaffer. normaux, nécessite une surveillance.
d. Parmi les facteurs de risques, nous avons : c. Le glaucome exfoliatif : correspond àun
ATCD familiaux de glaucome, la présence d’une matériel blanchâtre se déposant dans le
uvéite. trabéculum, la capsule antérieure du cristallin.
e. Le tonomètre àaplanation de Goldman qui est d. Le glaucome intermittent par fermeture de
l’examen de référence pour mesurer le tonus l’angle : céphalée + brouillard visuel.
oculaire. 29
e. Le glaucome pigmentaire : le trabéculum est
obstruépar des pigments iriens, un AIC très
11. Les formes cliniques du glaucome à pigmenté.
angle ouvert : la ou les RF
a. le glaucome néo vasculaire : FO normale et CV 14. Le glaucome àangle ouvert :
altérer. a- Est une hypertonie.
b. L’hypertonie oculaire isolée : FO et CV b- Est une neuropathie optique antérieure.
normaux, nécessite une surveillance. c- Est une neuropathie optique postérieure.
c. Glaucome pseudo - exfoliatif : correspond àun d- L’obstacle à l’écoulement de l’humeur aqueuse
trabéculome obstruépar du pigment irien, angle est trabéculaire.
irido - cornéen très pigmenté. e- Toutes les réponses sont justes.
d. Glaucome intermittent par fermeture de l’angle :
céphalées + brouillard visuel. 15. Le glaucome àangle ouvert : Les RJ
e. Glaucome pigmentaire : Matériel blanchâtre se a- Il y a une atteinte du champ visuel.
déposant dans l’œil : trabéculum, capsule b- Il y a une augmentation de la pression
antérieure du cristallin. intraoculaire (PIO).
d- Il y a une atteinte papillaire.
12. Le glaucome primitif àangle ouvert est d- Il est traitépar corticoïdes en topique.
caractérisépar : e- Le traitement est exclusivement chirurgical.
a. Est une neuropathie optique dégénérative avec
une évolution rapide en quelques heures. 16. Le traitement chirurgical du glaucome
b. Est une maladie qui a un traitement radical. chronique àangle ouvert est : Les RJ
c. Se caractérise par un angle irido - cornéen AIC a- Trabéculectomie.
ouvert, un tonus oculaire inférieur à21 mmHg. b- Iridotomie périphérique.
d. Parmi les facteurs de risque : ATCD familiaux c- Sclérectomie profonde non perforant
de glaucome, la myopie. d- Trabéculoplastie.
e. Le tonomètre àaplanation de GOLDMAN est
l’examen de référence pour mesurer le tonus 17. Un glaucome chronique àangle ouvert
oculaire.
est caractérisépar : La RF
a- Hypertension intraoculaire + / - altération
compémétrique + / - élargissement de l'excavation
papillaire.
b- Le diabète est un facteur de risque.
c- Le traitement est médical et / ou chirurgical.
d- L'hypertension intraoculaire est constante.
18. La crise de glaucome primitif par 21. Le glaucome chronique àongle ouvert
fermeture de l’AIC : se définie par : ( x 2 )
a. Est une urgence ophtalmologique, plus a- Hypertonie oculaire inférieure à21 mm hg.
fréquente chez l’homme, et le sujet moins de 40 b- Déficit du champ visuel.
ans. c- Le tonomètre de Goldman reste l'examen de
b. Parmi les facteurs prédisposant : référence pour mesurer le tonus oculaire.
hypermétropie, malposition de l’iris (iris plateau). d- Angle irido - cornéenne ouvert sur 360°en
c. L’examen à la lampe à fente : œdème de cornée, gonioscopie.
chambre antérieure étroite, semi - mydriase. e- Altération glaucomateuse de la tête du nerf
d. L’uvéite antérieure aiguë est le diagnostic optique (C / D > 0.3).
différentiel avec la crise de glaucome par
fermeture de l’angle. 22. Le glaucome primitif àangle ouvert est 30
e. Le traitement préventif consiste de faire au caractérisépar les éléments suivants :
niveau de l’œil adelphe une goniotomie.
a- Strictement unilatéral.
b- Angle irido - cornéen ouvert sur 4 éléments.
19. Le glaucome primitif àangle ouvert est c- Déficit du champ visuel.
défini par : la ou les RF d- Altération glaucomateuse de la tête du nerf
a- C'est une neuropathie optique dégénérative optique.
avec une évolution rapide en quelque heures et
insidieuse. 23. Le traitement du glaucome àangle
b- C'est une maladie non cécitante en l'absence de ouvert vise àbaisser le tonus oculaire et
traitement.
c- Se caractérise par un angle irido - cornéen protéger le nerf optique par :
ouvert et une altération glaucomateuse de la tête a- Les collyres àbase d'analogues de
du nerf optique. prostaglandines qui ferment la voie d'élimination
d- Parmi les facteurs de risques on a : ATCD uvéo - sclérale de l'humeur aqueuse. b- Le
familiaux de glaucomes, la présence d'une myopie. traitement vise stabiliser l’effet campimétrique.
e- Le tonomètre d'aplanation de Goldman qui est c- Les collyres àbase de béta bloquant qui
l'examen de référence pour mesurer le tonus diminuent la sécrétion de l’humeur aqueuse.
oculaire. d- Le traitement aide àrégénérer les fibres
optiques déjàperdues.
e- La sclérectomie profonde non perforante
20. Parmi les formes cliniques du consiste en l’ablation du toit du canal de
glaucome chronique àangle ouvert : ( x 2 ) Schlemm, a avec ouverture de la chambre
a- Le glaucome àpression normale (GPN) : TO antérieure.
normale mais papille et CV altérés.
b- L'hypertonie oculaire isolée : papille et CV 24. Dans le glaucome chronique àangle
anormaux, nécessite une surveillance. ouvert :
c. Glaucome pseudo - exfoliatif : correspond àun
a- L’hypertonie oculaire est le principal facteur de
matériel blanchâtre se déposant dans l’œil :
risque.
trabéculum, capsule antérieure du cristallin.
b- L’hypertension artérielle est constante.
d- Glaucome intermittent par fermeture de l'angle :
céphalées + brouillard visuel. : c- L'altération du champ visuel est indispensable
au diagnostic.
e. Glaucome pigmentaire : trabéculum obstrué
par du pigment irien : AIC très pigmenté. d- Le suivie se fait par angiographie rétinienne.
25. Le traitement chirurgical du glaucome 31. Dans le GPAO, on retrouve :
chronique àangle ouvert : a. Une chambre antérieure étroite
a- Est la trabéculectomie. b. Un angle irido - cornéen ouvert sur 360.
b- Est la scléréctomie profonde non perforante. c. Une méga - cornée
c- L'iridoplastie. d. Une HTO très importante à60 - 80 mmHg.
d- L’iridectomie. e. Une excavation papillaire pathologique.

26. Quels sont les facteurs de risque de 32. Le GPAO :


glaucome àangle ouvert : a. Est une source de cécitépar atteinte du nerf
a. ATCD familiaux de glaucome chronique à optique.
angle ouvert. b. Est une source de cécitépar atteinte de fovéale.
b. Hypermétropie c. Altère la vision nocturne.
31
c. Prise de corticoï
des d. Secondaire àl'hypertension artérielle.
d. Variation importante de la PA (HTA, e. Débute par atteinte centrale du champ visuel.
Hypotension)
e. Myopie. 33. Parmi les facteurs de risque du GAPO :
la RF
27. Parmi ces examens complémentaires, a. L’âge
lequel est contributif au diagnostic du b. L’hérédité
glaucome chronique àangle ouvert : La RJ c. L’hypermétropie
a- Échographie mode B. d. La forte myopie
b- Angiographie àla fluorescéine. e. Le diabète.
c- Champ visuel.
d- Microscopie spéculaire. 34. Parmi les facteurs de risque du GPAO :
(cochez la réponse fausse)
28. L’excavation papillaire est suspectée de a. Âge
GPAO lorsqu’elle : b. Ethnie
a. Est asymétrique c. HTA
b. Est symétrique d. hypermétropie
c. Respect de la règle d’ISN’T e. hérédité.
d. ne respecte pas la règle ISN’T
e. aucune des propositions n’est juste. 35. Le ou les signes suivants appartiennent
au glaucome aigu àangle fermé: ( x 2 )
29. Le champ visuel du GPAO se caractérise a. Baisse de l’acuité visuelle.
a. atteinte débutant au 5 - 10 degrécentraux b. Douleur oculaire et périorbitaire.
b. atteinte finale des 5 - 10 degrés centraux c. Rougeur oculaire.
c. scotome de Bjerrum d. Semi - mydriase.
d. ressaut nasale e. Œdème de cornée.
e. baisse de sensibilitédiffuse.
36. Le glaucome primitif àangle ferméest
30. Àpropos du GPAO : favorisépar :
a. Son évolution est silencieuse sans douleur. a. la myopie
b. Il existe 4 signes cardinaux et 4 types. b. l’hypermétropie
c. La PIO peut - être normale. c. le vieillissement cristallinien
d. Le traitement est d’abord médical. d. les médicaments antispasmodiques
e. Le traitement est d’abord chirurgical. e. les antidépresseurs.
37. Le glaucome par fermeture de l’angle : e- Le traitement par iridotomie périphérique, pour
a. Souvent des yeux de myopes. éviter la récidive et préventive au niveau de l'œil
b. Chambre antérieure est perforée. Adelphe en cas de CA étroite.
c. Le TO est élevée supérieure à50 - 60 mmHg.
d. La douleur est intense. 41. Le glaucome primitif par fermeture de
e. La pupille est en mydriase. l'angle
a- C'est une urgence médico chirurgicale
38. Parmi les circonstances suivantes, ophtalmologique.
laquelle ne favorise pas la crise de b- Plus fréquent cher l'homme et le sujet avant 40
glaucome aigu par fermeture de l’angle : la ans avec un pic entre 30 et 40 ans.
RJ c- Mécanisme de bloc pupillaire c'est un
adossement de la face antérieure de l’iris à la face
a. L’augmentation de la surface de contact entre 32
postérieure de la cornée.
l’iris et le cristallin.
d- Les facteurs prédisposant àla fermeture de
b. Le blocage pupillaire total.
l'angle irido - cornéen est l'hypermétropie.
c. Le myosis.
d. L’instillation oculaire d’atropine.
e. La mise dans l’obscurité. 42. Quelles sont les classes de médicaments
locaux utilisés pour le glaucome :
39. La crise de glaucome primitif par a- Les béta bloquants pour faire diminuer la
fermeture de l'angle irido - cornéenne sécrétion d'humeur aqueuse.
b- Les bétabloquants pour faire diminuer
GPFA: l'excrétion d’humeur aqueuse.
a- C'est une urgence ophtalmologique, plus c- Les analogues des prostaglandines pour la voie
fréquente chez la femme et le sujet après 40 ans. d’élimination uvéo - sclérale de l’humeur aqueuse.
b- Parmi les facteurs prédisposants : d- les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique qui
l'hypermétropie, malposition de l’iris, iris plateau. réduisent la formation d’humeur aqueuse.
c- L'examen àLAF : cercle péri kératique CPK,
œdème cornéen, chambre antérieure étroite,
myosis. 43. Le glaucome par fermeture de l’angle :
d- L'uvéite antérieure aigue est le diagnostic Les RJ
différentiel du GPFA. a- Il y a œdème de cornée.
e- Le traitement préventif consiste au niveau de b- Chambre antérieure profonde.
l’œil Adelphe de faire une iridotomie périphérique. c- Une pupille en myosis.
d- Le tonus oculaire dépasse souvent 30 mmHg.
40. Le glaucome àangle ferméest une e- Il n’y a pas d’atteinte du nerf optique.
urgence ophtalmologique :
a- Plus fréquente chez la femme et le sujet après 44. Le mécanisme déclencheur d'une crise
40 ans avec un pic entre 55 et 70 ans. de glaucome primitif par fermeture de
b- Le mécanisme de blocage pupillaire est un l'angle : La RJ
adossement de la face antérieure de l'iris àla face a- Hypertension intraoculaire brutale.
antérieure de la cornée. b- Un blocage pupillaire.
c- Les facteurs prédisposant sont:l’hypermétropie, c- Fermeture de l'angle.
la cataracte et la malposition de l'iris. d- Rotation des procès ciliaires.
d- Àla LAF, on retrouve : CPK, œdème cornéen,
CA étroite, semi-mydriase aréflexique, PIO très
élevée (40 - 60 mmHg) et AIC ouvert sur 4
éléments en gonioscopie.
45. La case de glaucome aigue par Hyphéma
fermeture l'angle est caractérisée par :
a- Étroitesse de la chambre antérieure.
b - Un angle irido cornéen fermé. 1. L’hyphéma est : la ou les RF
c- Semi mydriase aréflexique. a- Un niveau purulent de chambre antérieure.
d- Astigmatisme. b- Un signe de traumatisme oculaire.
c- Une hémorragie de la chambre antérieure.
46. Quel est le mécanisme dans le d- Risque de se compliquer d'hémato cornée ou
d'hypertonie oculaire.
glaucome aigue primitif àangle fermé? e- Nécessite dans certaines situations une
a- Hypersécrétion de l'humeur aqueuse. hospitalisation avec un traitement chirurgical.
b- Blocage pupillaire.
c- Sclérose du trabéculum scléral.
d- Hyperpression veineuse épi scléral. 2. L'hyphéma peut se voir en cas : 33
a. traumatisme oculaire contusif
b. traumatisme oculaire pénétrant
47. Le traitement d’une crise de GFA c. tumeur intra oculaire
comporte : les RF d. uvéite antérieure herpétique
a. mannitol e. toutes les réponses sont justes.
b. inhibiteur de l’anhydrase carbonique
c. mydriatique 3. L'hyphéma :
d. iridotomie
a. se voie exclusivement en cas de traumatisme
e. myotiques.
oculaire
b. peut induire une hypertonie
48. Lequel de ces signes cliniques ne fait c. la dilatation pupillaire pharmacologique est
pas parti du tableau de GFA : la RF contre - indiqué
a. athalamie d. plus graves s’il provient des vaisseaux ciliaires
b. semi - mydriase e. risque de 2ème saignement le 5ème jour.
c. angle fermé
d. Rubéose irienne. 4. Un hyphéma : ( x 3 )
e. œdème de corné. a. Une hémorragie sous - conjonctivale.
b. Est une hémorragie dans la chambre antérieure.
49. L'iridectomie périphérique : c. L’hémato - cornée et hypertonie oculaire sont
a- Permet de lever le blocage pupillaire. les principales complications d’un hyphéma.
b- Doit être réalisé sur l'œil controlatéral en d. La résorption spontanée est la plus fréquente.
préventif. e. Le traitement repose sur les bétabloquants.
c- Peut être réalisée au laser ou chirurgicalement.
d- Suffit àtraiter le glaucome par fermeture de 5. Un hyphéma :
l'angle (GFA) passéàla chronicité. a. Est la présence du sang dans la chambre
e- Ne suffit plus en cas de GFA passéàla antérieure.
chronicité b. Est la présence du sang dans la vitré.
c. Son évolution se fait généralement vers la
résorption spontanée.
d. Un hyphéma persistant peut évoluer vers la
hémato cornée.
e. Toutes les réponses sont justes.
6. L'hyphéma est : La RJ Cristallin
a- Une hémorragie dans la chambre antérieure.
b- Une hémorragie dans le vitrée.
c- Une subluxation du cristallin. 1. Le cristallin c'est une lentille biconvexe
d- Baisse de l’acuité visuelle. transparente :
e- Un décollement de rétine. a. C'est l'organe de l'accommodation.
b. Les pathologies de cet organe : la cataracte, la
7. L'hyphéma : subluxation, la luxation, issue du vitré.
a- Est une hémorragie dans le vitré. c. Il est entourépar le corps ciliaire auquel il est
b- Est une hémorragie dans la chambre antérieure. maintenu par la zonule de Zinn.
c- Le risque majeur est l’hémato - cornée. d. Le cristallin est transparent et peut perdre sa
d- Toujours bilatérale. transparence avec l'âge.
e. Il est limitéen arrière par le corps vitréet en 34

8. L'hyphéma spontanée est : la RJ avant par la chambre antérieure.


a. Un type de cataracte.
b. Un signe de traumatisme oculaire. 2. Le cristallin est composéde : Les RJ
c. Une hémorragie de la chambre antérieure. a- D'un sac capsulaire.
d. Une tumeur bénigne de la paupière. b- D'un cortex périphérique.
e. Une anomalie de la cornée. c- D'un noyau central.
d- Toutes les réponses sont fausses.
9. L'hyphéma est :
a- Un type de cataracte. 3. Le cristallin : La ou les RF
b- Un signe de traumatisme oculaire. a- Est une lentille biconcave richement
c- Une hémorragie de la chambre antérieure. vascularisée.
d- Une tumeur bénigne de la paupière. b- Il est responsable de l'accommodation.
c-Sa caractéristique principale est la transparence
10. L’hyphéma : Les RJ d- Est localiséentre l'iris et la chambre
postérieure en avant et la rétine en arrière.
a- Une hémorragie intra vitréenne.
e- Est suspendu au corps ciliaire par la zonule de
b- Une hémorragie cornéenne. ZINN.
c- Une hémorragie rétinienne.
d- Une de la chambre postérieure.
e- Toutes les réponses sont fausses. 4. Le cristallin :
a. Est une lentille biconvexe intraoculaire.
11. Quelles sont les principales b. Responsable de l'accommodation.
c. Forméde deux capsules, cortex et de noyau.
complications d’un hyphéma persistant ? d. Fait partie du segment antérieur de l’œil.
a- Décollement de rétine. e. La perte de sa transparence est responsable de
b- Hémato cornée. cataracte.
c- Hypertonie oculaire.
d- Myopie acquise.
5. Le cristallin :
a. Est une lentille biconvexe transparente.
b. Possède l’indice de réfraction le plus important.
c. Limitéen arrière par le corps vitréet en avant
par l’iris.
d. Entourépar le corps ciliaire auquel il est
maintenu par la zonule de ZINN.
e. C’est l’organe de l'accommodation.
6. Le cristallin : la ou les RF Microscopie spéculaire
a- Est une lentille biconcave vascularisée et
transparente.
b- Lentille biconvexe avasculaire et transparente. 1. La microscopie spéculaire :
c- Située entre la face antérieure de l’iris et la a- Elle permet le calcul du rayon de courbure de
face postérieure de la cornée. la cornée.
d- Située entre la face postérieure de la rétine et b- Elle permet le calcul de la longueur axiale.
la choroï de. c- Elle permet le calcul du comptage des cellules
e- Joue un rôle essentiel urt5tt l’accommodation. endothéliales cornéennes.
d- Elle permet l'exploration du segment postérieur
7. Le cristallin : de l'œil.
a- Est une lentille biconvexe et avasculaire. e- Elle permet une coupe presque histologique de
b- La transparence est la principale la rétine. 35
caractéristique.
c- Est l'organe responsable de l’accommodation. 2. La microscopie spéculaire : la RJ
d- La perte de la transparence est appelée la a- Est un appareil qui permet la mesure du tonus
cataracte. oculaire.
e- Est situéentre la cornée et l’iris. b- Est un appareil qui permet la mesure de la
profondeur de la chambre antérieure.
8. Le calcul de l’implant cristallinien se fait c- Est un appareil qui permet la mesure de la
par : la RJ densitéendothéliale de la cornée.
a- La tomographie par cohérence optique OCT. d- Est un appareil qui permet de quantifier le
Tyndall de la chambre antérieure.
b- L'échographie mode B.
e- Est un appareil qui permet la mesure de la
c- La biométrie et la kératometrie.
réfraction oculaire.
d- Le champ visuel.
e- L'angiographie àla fluorescéine.
3. La microscopie spéculaire : la RJ
9. L'ectopie cristallinienne se rencontre a.Appareil qui permet la mesure du tonus oculaire
b. Est un appareil qui permet la mesure de la
dans profondeur de la chambre antérieure.
a. Le syndrome de MARFAN. c. Est un appareil qui permet la mesure de la
b. La rubéole congénitale. densitéendothéliale de la cornée.
c. Le syndrome de WEILL MARCHESANI. d. Est un appareil qui permet de quantifier le
d. La rétinite pigmentaire. Tyndall de la chambre antérieure.
e. Le syndrome de STICKLER. e. Est un appareil qui permet l'étude de la
sensibilitérétinienne.
10. L’ectopie cristallinienne se retrouve
dans 4. La microscopie spéculaire : ( x 2 )
a- Le syndrome de WEIL MARCHESANI. a. Est un examen qui permet la mesure de rayon
b- Le syndrome LOWE. de courbure de la cornée.
c- Le syndrome de MARFAN. b. Est un examen qui permet le calcul de la
d- L'infection par la rubéole. puissance de l’implant intraoculaire.
c. Est un examen qui permet la mesure de la
densitédes cellules endothéliales.
d. Elle est indispensable avant la chirurgie de
cataracte.
e. Elle est indiquée en cas de suspicion de perte
cellulaire endothéliale.
5. La microscopie spéculaire : Neuropathie
a- Elle permet de mesurer le rayon de courbure de
la cornée.
b- Elle permet de mesurer la densitédes cellules 1. Au cours de la neuropathie optique :
endothéliales. a- L'œdème papillaire est un élément
c- Elle permet de mesurer la puissance de indispensable au diagnostic.
l'implant intraoculaire. b- L'attente peut être uni ou bilatérale.
d- Elle est indispensable avant l'intervention. c- Le mécanisme est toujours inflammatoire.
e- Surtout indiquée en cas de suspicion d'une d- Le sexe féminin et le jeune âge doivent faire
atteinte endothéliale. penser àune sclérose en plaque.

6. La microscopie spéculaire : La RJ ( x 3 ) 2. Quelles sont les propositions justes :


a. Est un appareil qui permet la mesure du tonus a- La vascularisation de la tête du nerf optique est 36
oculaire. assurée par l'artère centrale de la rétine.
b. Est un appareil qui permet la mesure de la b- La neuropathie optique associée àla sclérose
profondeur de la chambre antérieure. en plaque est le plus souvent une neuropathie
c. Est un appareil qui permet la mesure de la optique rétro bulbaire.
densitéendothéliale de la cornée. c- La maladie de Leber survient àl'âge de 4 - 8
d. Est un appareil qui permet de quantifier le ans.
Tyndall de la chambre antérieure. d- la neuropathie optique est rarement le premier
e. Est un appareil qui explore la surface signe de la sclérose en plaque.
cornéenne. e- La neuropathie optique ischémique antérieure
aigue est due àune ischémie aigue du nerf optique
7. La microscopie spéculaire : par occlusion de l'artère ciliaire postérieure ou
a. Elle permet le calcul du rayon de courbure de leurs branches.
la cornée.
b. Elle permet le calcul de la longueur axiale. 3. Parmi ces antituberculeux, quel est celui
c. Elle permet le calcul du comptage des cellules qui est le premier responsable de
endothéliales cornéennes. neuropathie optique iatrogène : la RJ ( x 2 )
d. Elle doit être faite systématiquement avant la a- Streptomycine.
chirurgie de cataracte. b- Isoniazide.
e. Elle est obligatoire pour le suivi du patient c- Éthambutol.
opéréde la cataracte. d- Rifampicine.
e- Pyrazinamide.

4. Dans la maladie de Horton :


a- On retrouve au fond un œdème papillaire blanc
crayeux.
b- Le patient peut décrire des douleurs àla
mobilisation du globe oculaire.
c- Peut conduire àune cécitédéfinitive en absence
de traitement adéquat.
d- Il faut attendre le résultat de la biopsie de
l'artère temporale pour commencer la
corticothérapie.
e- Nécessite un traitement par corticothérapie
systémique pendant 11 jours puis arrêtbrutal.
5. Concernant la neuropathie optique 3. Parmi ces signes, lequel n'est pas en
ischémique antérieure aiguëdans le cadre rapport de la rétinopathie diabétique : la RJ
de la maladie de Horton : a. Hémorragies rétiniennes.
a- Un traitement par corticoï des en collyre doit b. Des nodules cotonneux.
être instauréen urgence. c. Des micros anévrismes.
b- La vitesse de sédimentation est élevée tandis d. Des néo vaisseaux choroï diens.
que la CRP est souvent basse. e. Un décollement de rétine tractionnel.
c- La biopsie de l'artère temporale doit être faite
en urgence avant le début du traitement, après elle 4. La rétinopathie diabétique : ( x 2 )
ne sert plus àrien. a. C'est la manifestation de la micro-angiopathie
d- Le risque le plus important est la diabétique.
bilatéralisation et donc une cécitébilatérale et b. C'est la manifestation de la macro angiopathie 37
définitive. diabétique.
e- Une limite horizontale ou déficit altitudinal du c. C'est l'affection vasculaire rétinienne la plus
champ visuel est très en faveur d'une atteinte fréquente.
vasculaire de la tête du nerf optique. d. Elle est toujours bilatérale.
e. Elle survient uniquement chez le diabétique type
6. Concernant la sclérose en plaque : 1.
a- Est une cause de rétinopathie héréditaire.
b- La forme la plus fréquente est la névrite optique 5. La rétinopathie diabétique :
rétrobulbaire. a- C’est la manifestation de la micro angiopathie
c- Survient le plus souvent chez le sujet jeune de diabétique.
sexe masculin. b- C’est la manifestation de la macro angiopathie
d- L'IRM cérébrale est l'examen clédu diagnostic. diabétique.
e- Faudrait demander une VS et CRP en urgence. c- C’est l’affection vasculaire rétinienne la plus
fréquente.
d- Elle est toujours bilatérale.
e- Elle se voit uniquement dans le diabète de type
Rétinopathie diabétique 2.

1. La rétinopathie diabétique se définit 6. Dans la rétinopathie diabétique :


a- Elle peut être due àune hyper perméabilitéde
comme étant : La RJ la paroi des capillaires.
a- La manifestation de la macro angiopathie b- Elle peut être due àune occlusion des
diabétique. capillaires rétiniens.
b- La manifestation de la neuropathie diabétique. c- C'est la manifestation de la macro angiopathie
c- La manifestation de la micro angiopathie diabétique.
diabétique. d- Les AMIR sont les anomalies micro
d- Aucune réponse précédente n'est juste. vasculaires intra rétiniennes.
e- Les AMIR sont des néo-vaisseaux prérétiniens
2. L'hyperperméabilitécapillaire en cas de
rétinopathie diabétique est due à: La RJ 7. La rétinopathie diabétique :
a- Rupture de la barrière hémato rétinienne a. Est une manifestation de la micro angiopathie.
interne. b. Est une manifestation de la macro angiopathie.
b- Rupture de la barrière hémato rétinienne ext. c. Survient uniquement chez le diabétique type 1.
c- Hypertension artérielle maligne. d. Toujours associée àrétinopathie hypertensive.
d- Hypotension artérielle. e. Est toujours unilatérale.
8. Dans la rétinopathie diabétique : b- Les ischémies rétiniennes sont les signes les
a. Elle peut être due àune hyper perméabilitéde plus précoces.
la paroi des capillaires. c- Les micro anévrysmes sont les signes les plus
b. Elle peut être due àune occlusion des tardifs.
capillaires rétiniens. d- Les néo vaisseaux apparaissent en réponse à
c. C’est la manifestation de la micro angiopathie une ischémie rétinienne.
diabétique.
d. Les AMIR sont les anomalies micro vasculaires 13. La rétinopathie diabétique :
infra - rétiniennes. a- C'est la manifestation de la micro angiopathie
e. Les AMIR sont les anomalies micro vasculaires. diabétique.
b- C'est la manifestation de la macro angiopathie
9. Dans la rétinopathie diabétique : diabétique.
a. Le stade proliférant est marquépar la présence c- C'est l'affection vasculaire rétinienne la plus 38
des anomalies micro - vasculaires intra - fréquente.
rétinienne AMIR. d- Elle est toujours bilatérale.
b. Le stade proliférant est marquépar la présence
des néo vaisseaux pré-rétiniens ou pré-papillaires. 14. La rétinopathie diabétique :
c. La complication ultime est le glaucome néo a. Est la manifestation de la micro angiopathie
vasculaire GNV. diabétique.
d. La photo coagulation pan rétinienne est b. Est la manifestation de la macro angiopathie D.
indiquée àpartir du stade pré-proliférant. c. Elle est la première affection vasculaire
e. L’équilibre glycémique et autres facteurs de rétinienne.
risques cardiovasculaires est indispensable. d. Est due àl'hyper perméabilitédes capillaires.
e. Elle est due àl'occlusion des capillaires.
10. La rétinopathie diabétique :
a- Est la manifestation de la micro angiopathie 15. La rétinopathie diabétique RD :
diabétique. a- Est la manifestation de la micro angiopathie
b- Est la manifestation de la macro angiopathie diabétique.
diabétique. b- Est la manifestation de la macro angiopathie
c- Es due àl'hyperperméabilitécapillaire et diabétique.
l’occlusion des capillaires. c- Due l'hyperperméabilitédes capillaires
d- Toutes les réponses sont justes. rétiniens.
d. Due àl'occlusion des capillaires rétiniens.
11. Dans la rétinopathie diabétique : e- Toutes les réponses sont justes.
a- C'est la manifestation de la macro angiopathie
diabétique. 16. Dans la rétinopathie diabétique :
b- Le laser est indiquéàtous les stades de la a- Le stade proliférant est caractérisépar la
rétinopathie diabétique. présence des néo vaisseaux prérétiniens ou pré
c- La maculopathie diabétique ischémique papillaires.
entraîne une BAV irréversible. . b- Le traitement par la photo - coagulation au
d- Elle évolue vers la cécitéquel que soit le laser débute àpartir proliférant.
traitement. c- C'est la manifestation de la maculo -
angiopathie.
12. La rétinopathie diabétique : Les RJ d- La complication ultime est le glaucome néo
a- C'est une manifestation de la micro angiopathie vasculaire.
diabétique. e- Le traitement est toujours chirurgical par
vitréctomie.
17. La rétinopathie diabétique : 22. La rétinopathie diabétique pré
a- Est la micro angiopathie diabétique. proliférante associée :
b- Est la macro angiopathie diabétique. a- Des anomalies micro vasculaires intra
c- L'évolution est bilatérale. rétiniennes dans un quadrant.
d- Est liée àl'anciennetédu diabète. b- Des anomalies veineuses dans deux quadrants.
e- Elle touche uniquement les diabétiques type 1. c- Des déchirures rétiniennes dans trois quadrants.
d- Des hémorragies rétiniennes dans quatre
18. Dans la classification de la RD, le stade quadrants.
préproliférant comprend : ( x 2 ) e- Des hémorragies intra vitréennes.
a- Des hémorragies rétiniennes en tache dans les
4 quadrants. 23. Le stade de rétinopathie diabétique pré
b- Des nodules cotonneux dans 3 quadrants. proliférante : 39
c- Des anomalies veineuses en boucle ou en a. La présence des AMIR dans un quadrant.
chapelet dans deux quadrants. b. La présence des anomalies veineuses dans deux
d- Des AMIR dans un quadrant. quadrants.
e- Un décollement de rétine dans un quadrant. c. La présence des néo vaisseaux prérétiniens de
petite taille.
19. La rétinopathie diabétique pré d. La présence des hémorragies rétiniennes dans
proliférante associée : quatre quadrants.
a- Des hémorragies rétiniennes dans les quatre e. Il nécessite la photo coagulation pan rétinienne.
quadrants.
b- Des anomalies veineuses dans deux quadrants. 24. La rétinopathie diabétique proliférante
c- Des néo vaisseaux prérétiniens de grande taille. peut se compliquer par : Les RJ
d- Des néo - vaisseaux prépapillaires de petite a- Hémorragie intra vitréenne.
taille. b- Décollement de rétine.
e- Des AMIR dans un quadrant. c- Glaucome néo vasculaire (GNV).
20. Le stade de la rétinopathie diabétique d- Toutes les complications précédentes sont
possibles.
préproliférante :
a- La présence des AMIR dans un quadrant.
b- La présence des anomalies veineuses dans deux 25. Parmi les complications de la
quadrants. rétinopathie diabétique : La RF
c- La présence des néo vaisseaux prérétiniens de a- Hémorragie intra vitréenne.
petite taille. b- Décollement de rétine.
d- La présence des hémorragies rétiniennes dans c- Glaucome néo vasculaire.
quatre quadrants. d- Aucune réponse juste.
e- Il nécessite la chirurgie vitréo - rétinienne.
26. La photo coagulation pan rétinienne :
21. Le stade pré- proliférant de la a- Est indiquée pour le stade 1 de la rétinopathie
rétinopathie diabétique associée : ( x 3 ) diabétique.
a. Des hémorragies rétiniennes dans les quatre b. Est le traitement de référence pour la
quadrants. rétinopathie diabétique proliférante.
b. Un glaucome néo vasculaire. c- Son principe est de favoriser l'oxygénation de
c. Des anomalies veineuses dans deux quadrants. la rétine périphérique.
d. Des AMIR dans un quadrant. d- Il permet le traitement de la maculopathie
e. Des néo - vaisseaux pré- rétiniens dans trois tractionnelle.
quadrants. e- Il permet la régression des néo vaisseaux.
27. Le traitement de la rétinopathie 31. Le traitement de la rétinopathie
diabétique : diabétique proliférante minime repose sur :
a. Est basé sur l’équilibre glycémique et d’autres (x2)
facteurs de risques cardiovasculaires. a- Équilibre glycémique et autres facteurs de
b. Est basésur la photo coagulation au laser àun risque cardiovasculaires.
stade avancé. b- Photo coagulation pan rétinienne par du laser.
c. Le traitement est chirurgical quel que soit le c- Chirurgie vitréo rétinienne.
stade de la maladie. d- Toutes les réponses sont justes.
d. Est basésur la photothérapie dynamique.
e. Est basésur des injections intra vitréennes de 32. Le traitement de la rétinopathie
corticoïdes.
diabétique RD :
a. Repose sur l'équilibre de la glycémie et autres 40
28. Le traitement de la rétinopathie facteurs de risques cardiovasculaire quel que soit
diabétique RD : le stade.
a. Repose sur l'équilibre de la glycémie et autres b. Repose sur la photo coagulation pan rétinienne
facteurs de risques cardiovasculaire quel que soit quel que soit le stade de la RD.
le stade. c. Repose sur la photo coagulation pan rétinienne
b. Repose sur la photo coagulation pan rétinienne dès le stade préproliférant.
quel que soit le stade de la RD. d. Repose sur la chirurgie dès le stade débutant.
c. Repose sur la photo coagulation pan rétinienne d- Toutes les réponses sont justes.
dès le stade pré-proliférant.
d. Repose sur la chirurgie dès le stade débutant. 33. La photo coagulation pan rétinienne :
e. Toutes les réponses sont justes. a- Est indiquée pour le stade 1 de la rétinopathie
diabétique.
29. Le traitement de la rétinopathie b. Est le traitement de référence pour la
diabétique proliférante minime associe : rétinopathie diabétique proliférante.
a- La photo coagulation pan rétinienne (PPR). c- Son principe est de favoriser l'oxygénation de
b- Équilibre des facteurs de risque la rétine périphérique.
cardiovasculaires. d- Il permet le traitement de la maculopathie
c. Une chirurgie vitréo - rétinienne. tractionnelle.
d- Des injections intra -vitréennes corticoï
des. e- Il permet la régression des néo vaisseaux.
e- Des injections intra - vitréennes des ANTI -
VEGF. 34. La maculopathie diabétique : ( x 2 )
a- Comporte un œdème maculaire focal ou diffus.
30. Le traitement de la rétinopathie b- Peut être ischémique.
diabétique associe : c- Associée àun trou maculaire de pleine
a- Un équilibre du diabète et autres facteurs de épaisseur.
risques cardiovasculaires. d- Associée àune membrane épi maculaire.
b- Une photo coagulation pan rétinienne (PPR) à e- Toutes les réponses sont justes.
partir du stade préproliférant.
c- Une chirurgie endoculaire àpartir du stade pré
proliférant.
d- L'évolution se fait vers la cécitéquel que soit
traitement,
e- Des injections intra vitréennes de corticoïdes.
35. La maculopathie diabétique : Tumeurs malignes
a- Elle peut survenir àn'importe quel stade de la
rétinopathie diabétique.
b- Il existe deux formes : une forme ischémique et
de l’appareil visuel
une forme œdémateuse. 1. Les paupières sont des lames cutanéo -
c- Dans la forme œdémateuse : il y a un œdème musculo - membraneuses : ( x 2 )
focal et œdème diffus. a- Jouent 3 rôles : protection du globe, drainage
d- Le traitement de la forme ischémique repose lacrymal, expression mimique.
sur la chirurgie. b- Le squelette fibreux constituédu tarse et le
e- Le traitement de la forme œdémateuse repose muscle releveur de la paupière.
sur les injections intra - vitréennes des anti c- Anatomiquement on a 6 plans, de la peau vers
VEGFs ou les corticoï des après équilibre la conjonctive.
diabétique. d- Sont constituées de 2 paupières, une supérieure 41
et une inférieure.
36. Pour la maculopathie diabétique : e- Parmi les muscles des paupières on a le
a. Le laser est indiqué pour œdème maculaire releveur de la paupière, le rétracteur de la
focal paupière, le muscle de Müller.
b. Les ANTI - VEGF est indiquépour la f- Toutes les réponses sont fausses.
maculopathie ischémique.
c. Les ANTI- VEGF et les corticoï des sont 2. Dans les tumeurs des paupières :
indiqués pour l’œdème maculaire diffus. a- Le carcinome meibomien est le plus fréquent.
d. Le laser est le traitement de première intention b- Le carcinome baso cellulaire est le + fréquent.
en cas d’œdème maculaire cystoïde. c- Le carcinome spino cellulaire ne donne jamais
e. L’œdème maculaire tractionel nécessite une des métastases.
vitréctomie. d- Le traitement des carcinomes des paupières est
principalement chirurgical.
37. Le traitement de la maculopathie e- Toutes les réponses sont justes.
diabétique ischémique repose sur : La RJ 3. Les tumeurs des paupières :
a- Des injections intra vitréennes des anti VEGFs. a. Le carcinome baso cellulaire est le + fréquent.
b- Des injections intra vitréennes des corticoï
des. b. Le carcinome baso cellulaire est plus rare au
c- Des injections intra vitréennes des niveau de la paupière inférieure.
vasodilatateurs. c. Le carcinome spino cellulaire ne donne jamais
d- Pas de traitement disponible. des métastases.
d. Le carcinome glandulaire meibomien ressemble
àun chalazion chez le sujet âgé.
e. Le traitement est uniquement chirurgical.
4. Pour les tumeurs des paupières :
a. Le carcinome baso cellulaire est le plus
fréquent surtout la paupière inférieure.
b. Le carcinome baso cellulaire est une tumeur à
malignité locale et d’évolution lente.
c. Le carcinome baso cellulaire est la tumeur la
plus fréquente de la paupière supérieure.
d. Le carcinome glandulaire ressemble àun
chalazion persistant.
e. Le traitement est uniquement chirurgical.
5. Le carcinome baso cellulaire des 10. Le carcinome baso cellulaire :
paupières : la ou les RF (x 3) a. Est une tumeur du sujet mélanoderme.
a. Est la tumeur maligne la plus fréquente. b. Il ne donne jamais des métastases.
b. Le siège de prédilection est le canthus externe. c. Est la tumeur maligne des paupières la plus
c. Est une tumeur àmalignitélocale. fréquente.
d. Son traitement repose sur la radiothérapie. d. Il touche surtout les paupières inférieures.
e. Son traitement repose sur la chirurgie avec e. Le traitement est médical par chimiothérapie.
contrôle des berges.
11. Le rhabdomyosarcome :
6. Le carcinome baso cellulaire des a- Se manifeste par une exophtalmie brutale avec
paupières : la ou les RF des signes inflammatoires.
a. Ne donne pas de métastases. b- Est une tumeur maligne intra - orbitaire la plus
42
b. C’est la tumeur maligne la plus fréquente des fréquente chez l'enfant et l'adolescent.
paupières. c- Est toujours bilatérale.
c. Se développe sur un nævus préexistant. d- Le traitement est uniquement chirurgical.
d. Le traitement est chirurgical. e- Le type histologique embryonnaire est le plus
e. Toutes les réponses sont justes. fréquent.

7. Le carcinome baso cellulaire des 12. Le rhabdomyosarcome :


paupières : a. Est une tumeur maligne intra orbitaire de
l'adulte.
a- Touche surtout la paupière inférieure.
b. Est une tumeur maligne intra orbitaire de
b- Il ne donne jamais de métastases.
l'enfant.
c- Le traitement est toujours chirurgical.
c. Se manifeste par une exophtalmie d'évolution
d- Est une tumeur àmalignitélocale.
progressive.
e- Toutes les réponses sont justes.
d. Se manifeste par une exophtalmie d'évolution
brutale et inflammatoire.
8. Le carcinome base cellulaire des e. Elle ne donne jamais de métastases.
paupières :
a- Est la tumeur maligne la plus fréquente des
paupières.
b- Ne donne lamais des métastases.
c- Le traitement est toujours médical par des
immunodépresseurs.
d- Plus fréquent chez les mélanodermes.

9. Les carcinomes baso cellulaires des


paupières :
a- Ce sont des tumeurs bénignes.
b- Ce sont des tumeurs àmalignitélocale.
c- Les métastases sont surtout osseuses.
d- Elles touchent surtout les paupières supérieures.
Strabisme 6. Le strabisme convergent :
a. est essentiellement accommodatif
b. la réfraction est souvent hypermétropie
1. Le strabisme : ( x 6) c. la correction optique est le traitement des
a. La correspondance rétinienne anormale est la formes accommodatifs pures
fixation d’un objet par la macula d’un œil et d’une d. le traitement chirurgical est le traitement des
zone extra - maculaire de l’autre œil. formes accommodatifs pures
b. La correspondance rétinienne normale est la e. ne se complique jamais d'amblyopie.
fixation d’un objet par des points rétiniens
identiques. 7. Le strabisme divergent :
c. C’est un syndrome oculomoteur avec perte de a. est toujours accommodatif
parallélisme entre les 2 yeux. b. est plus fréquent que le strabisme congénital
d. Peut - être amblyogène. 43
c. peut - être intermittent ou permanent
e. Le strabisme convergent est le plus fréquent. d. son traitement est essentiellement chirurgical
e. la réfraction est souvent hypermétropique.
2. Le strabisme pur est caractérisépar : Les
RF 8. Les strabismes divergents : Les RF
a- Une déviation des axes oculaires. a- Sont retrouvés spécifiquement chez l'enfant.
b- Une vision binoculaire développée. b- Généralement intermittent.
c- Une attente sensorielle. c- Ne dispose pas de traitement.
d- Une amblyopie organique dans tous les cas. d- Peuvent être traitépar des prismes.

3. Un strabisme accommodatif pure se


traite par : la RJ
a. Correction optique totale vue par verres
correcteurs.
b. Correction par prismes.
c. Traitement chirurgicale. Iridocyclite
d. Injection de toxine botulique.
e. Rééducation orthoptique. 1. L’irido cyclite : la RJ
a. Est l'inflammation de la choroï de.
4. Deux signes n'existent pas dans le b. Est l'inflammation de la rétine.
strabisme pur : Les RJ c. Est l'inflammation de l’iris et le corps ciliaire.
a- La diplopie. d. Est l'inflammation de toute l'uvée.
b- Vertige et nausée. e. Est l'inflammation du nerf optique.
c- Correspondance rétinienne anormale.
d- Scotome de neutralisation. 2. Parmi les signes cliniques suivants,
lesquelles correspondent à l’irido cyclite :
5. Un strabisme de l’enfant peut comporter ( x 2 )
les anomalies sensorielles suivantes : la RF a. Tyndall de chambre antérieure.
a. Une neutralisation. b. Hyphema.
b. Une anomalie de la correspondance rétinienne. c. Synéchie irido - cristallinien.
c. Une diplopie. d. Hypertonie intra - oculaire.
d. Une amblyopie fonctionnelle. e. Foyer chorio rétinien.
e. Correspondance rétinienne normale.
3. Parmi les signes suivants, le(s)quel(s) 9. Les complications de l’irido - cyclite
accompagne(nt) une iridocyclite ? comportent : ( x 2 )
a. Rougeur péri - kératique. a. La cataracte
b. Mydriase. b. Glaucome par fermeture de l'angle
c. Myosis. c. Œdème maculaire
d. Tyndall. d. Synéchies
e. Baisse de l’acuité visuelle. e. Glaucome àangle ouvert.

4. Parmi les signes suivants ; le ou lesquels 10. Le traitement d’une iridocyclite associe :
accompagnent une irdocyclite : la ou les RF
a. Mydriase. a. Des collyres cycloplégiques.
b. Précipités rétro - cornéens. b. Des collyres inhibiteurs de l’anhydrase 44
c. Test àla néosynéphrine positif. carbonique.
d. Cercle péri kératique. c. Des collyres analogues des prostaglandines.
e. Baisse d’acuité visuelle. d. Des collyres corticoïdes.
e. Des collyres antibiotiques.
5. Dans la sémiologie des irido cyclites on
retrouve : la ou les RF
a. Des précipités rétro cornéens.
b. Un Tyndall cellulaire et protéique de la
chambre antérieur.
c. Des nodules iriens.
Nævus choroï
dien
d. Un œdème papillaire.
e. Un œdème maculaire. 1. Le nævus choroï
dien suspect associé:
a- Des pigments oranges en surface.
6. L'iridocyclite àhypopion et àbascule est b- De fluide péri lésionnel.
évocatrice de : La ou les RF c- Une extériorisation extra sclérale.
a- Syndrome de Fuchs. d- Une localisation périphérique.
b- Sarcoïdose. e- Des symptômes.
c- Maladie de Behçet.
d- Maladie de Crohn. 2. Le nævus choroï
dien suspect associé:
7. La cyclite hétéro chromique de FUCHS (x3)
a- Une épaisseur supérieure à2 mm.
associée : Les RJ b- Des pigments oranges en surface.
a- Une cataracte. c- Un œdème papillaire.
b- Une hétérochromie irienne. d- Une atrophique optique.
c- Un décollement de rétine. e- Décollement de rétine péri lésionnel.
d- Des précipités rétro cornéenne. f- Un décollement séreux péri lésionnel.
8. Toutes les maladies suivantes peuvent 3. Le nævus suspect de la choroïde est
s'accompagner d'une iridocyclite sauf une. caractérisépar : ( x 3)
Laquelle ? La RJ a. Une épaisseur supérieure à2 mm.
a- Maladie de Behçet. b. Présence de pigment orange.
b- Maladie de Still. c. Présence de décollement séreux rétinien.
c- Spondylarthrite ankylosante. d. Localiséprès de la papille.
d- Syndrome de Parinaud. e. Est bilatéral.
e- Sarcoï
dose.
4. Dans le nævus suspect de la choroïde, on 10. Les métastases choroïdiennes :
retrouve : ( x 3) a- Sont des tumeurs secondaires en rapport avec
a. Une épaisseur supérieure à3 mm. les cancers du sein et du poumon.
b. Un décollement séreux rétinien. b- Peuvent être bilatérales.
c. Présence de pigment orange. c- L'aspect jaunâtre avec dispersion pigmentaire
d. Une localisation péri papillaire. en peau de léopard est typique.
e. Présence des symptômes. d- Le traitement est basésur la radiothérapie.
e- Toutes les réponses sont fausses.
5. Le nævus choroï
dien suspect associé:
La RF ( x 2 ) 11. Les métastases choroïdiennes :
a- Sont toujours unilatérales.
a- Un décollement séreux rétinien.
b- La tumeur primitive est surtout bronchique
b- Une marge péri papillaire. 45
chez l'homme et le cancer du sein chez la femme.
c- Un œdème papillaire.
d- Une épaisseur supérieure à3 mm. c- Le traitement est basésur la radiothérapie.
d- Les patients sont souvent poly métastatiques.
e- Présence des pigments oranges en surface.

6. Le nævus choroï
dien suspect associe :
a- Une épaisseur supérieure à2 mm. Rétinoblastome
b- Des pigments oranges en surface.
c- Un œdème papillaire. 1. Le rétinoblastome :
d- Une atrophie optique. a- Est une tumeur maligne primitive intraoculaire
la plus fréquente chez l’enfant.
7. Le nævus choroï
dien suspect comporte : b- Est une tumeur d’origine génétique.
a- Des pigments oranges. c- Il donne des métastases.
b- Localisation péri papillaire. d- Est toujours bilatéral.
c- Une épaisseur supérieure à2 mm. e- Le gène du rétinoblastome est un anti oncogène
d- Un décollement séreux de la rétine péri suppresseur des tumeurs.
tumorale.
2. Le rétinoblastome :
8. Le nævus choroï
dien suspect associé: a- Est une tumeur d'origine génétique.
Les RJ b- Le gêne du rétinoblastome RB1 est localisésur
a- Une épaisseur plus de 2 mm. le bras long du chromosome 23.
b- Symptomatologie fonctionnelle. c- Dans la forme héréditaire, la tumeur est
c- Localisation péri papillaire. bilatérale ou unilatérale et multifocale.
d- Présence de pigment orange. d- Le traitement est toujours radical par
éviscération.
9. Les métastases choroïdiennes e- La cryothérapie est indiquée pour les petites
tumeurs périphériques.
compliquent : Les RJ
a- Le cancer de cavum.
b- Le cancer du poumon. 3. Le rétinoblastome : ( x 2 )
c- Le cancer du sein. a- Est la tumeur maligne primitive la plus
d- Les tumeurs des paupières. fréquente chez l’enfant.
b- Est une tumeur d'origine génétique.
c- Le taux de mortalitéest important quel que soit
le traitement.
d- Elle est plus fréquente chez les asiatiques.
e- Il est toujours sporadique.
4. Le rétinoblastome : 9. Le rétinoblastome : la ou les RF
a- Est la tumeur maligne primitive la plus a. Est une tumeur d'origine génétique.
fréquente chez l’enfant. b. Est une tumeur maligne primitive intraoculaire
b- Est une tumeur d’origine génétique. la plus fréquente chez l’enfant.
c- Le gène est localisédans le bras long du c. Est une tumeur àmalignitélocale.
chromosome 13. d. Est dûàune mutation du gène du
d- Le taux de mortalitéest important quel que soit rétinoblastome qui est localiséau bras long du
le traitement. chromosome 13.
e- Est plus fréquente chez les asiatiques. e. Est toujours unilatérale.

5. Le rétinoblastome : ( x 3 ) 10. Le rétinoblastome : ( x 2 )


a. Est une tumeur d’origine génétique a. Est une tumeur d'origine génétique.
46
b. Le gène du rétinoblastome est localisédans le b. Est la première tumeur maligne intraoculaire
bras long du chromosome 13. de l'enfant.
c. Est la tumeur intraoculaire maligne primitive la c. Elle est toujours bilatérale.
plus fréquente chez l’enfant et le nourrisson. d. La mortalitéest très élevée malgréun
d. Le maî tre symptôme est la leucocorie qui est un diagnostic précoce
signe précoce de la maladie. e. L'âge moyen de diagnostic est de 5 ans.
e. Est toujours bilatérale.
11. Le rétinoblastome :
6. Le rétinoblastome : ( x 2 ) a. Est la tumeur maligne primitive intraoculaire la
a. Les formes héréditaires sont uni focale et plus fréquente de l'enfant.
unilatérale. b- Est une tumeur a malignitélocale.
b. Les formes sporadiques sont les plus fréquentes. c- La forme sporadique est unilatérale et uni
c. Son traitement repose sur l’éviscération. focale
d. Est une tumeur radio - résistante. d- La leucocorie est le signe d'appel le plus
e. Est une tumeur àmalignitélocale et ne donne fréquent.
jamais de métastases. e- La présence des calcifications intra - tumorales
sur l'imagerie est très évocatrice.
7. Le rétinoblastome : la ou les RF
a. Est la tumeur maligne intraoculaire du jeune 12. Le rétinoblastome : La RJ
enfant. a- Est la tumeur maligne primitive la plus
b. Toujours bilatérale. fréquente chez l'enfant.
c. L’évolution est toujours fatale. b- Est la tumeur maligne primitive la plus
d. Pas de traitement efficace. fréquente chez l'adulte.
e. Est une tumeur d’origine génétique. c- Est la tumeur maligne secondaire la plus
fréquente chez l'enfant.
8. Le rétinoblastome : d- Est la tumeur maligne secondaire la plus
a. Est une tumeur d’origine génétique. fréquente chez l'adulte.
b. Le gène du rétinoblastome RB1 est localisésur e- Est la tumeur la plus fréquente de l'orbite.
le bras long du chromosome 17.
c. Dans la forme héréditaire, la tumeur est
bilatérale ou unilatérale et multifocale.
d. Le traitement est toujours radical par
éviscération.
e. La cryothérapie est indiquée pour les petites
tumeurs périphériques.
13. Le rétinoblastome : 18. Le rétinoblastome : Les RJ
a- Est une tumeur d'origine génétique. a- Est la tumeur maligne binoculaire la plus
b- La forme sporadique est toujours unilatérale et fréquente chez l’enfant.
uni focale. b- Est une tumeur d'origine génétique.
c- La forme héréditaire est bilatérale ou c- Est une tumeur àmalignitélocale.
unilatérale et multifocale. d- Toujours bilatérale.
d- La leucocorie est le principal motif de
consultation. 19. Le gène du rétinoblastome :
e- La présence de calcification au scanner est en a- Est un anti - oncogène qui nous protège contre
faveur du diagnostic. le développement des teneurs génétiques.
b- Est localisésur le bras long du chromosome 13.
14. Le rétinoblastome : la ou les RF c- Est localisésur le bras long du chromosome 19.
47
a- Est une tumeur d'origine génétique qui touche d- Il faut deux mutations de ce gène pour le
le nourrisson et le petit enfant. développement du rétinoblastome.
b- Est une tumeur toujours unilatérale. e- Toutes les réponses sont justes.
c- La forme uni focale et unilatérale est
sporadique. 20. Pour le rétinoblastome :
d- La forme multifocale est héréditaire. a- Il faut deux mutations du gène de
e- Le motif de consultation le plus fréquent est la rétinoblastome pour avoir une tumeur.
leucocorie. b- La forme sporadique donne des tumeurs
multiples et bilatérales.
15. Le rétinoblastome : c- Le mode de transmission est autosomique
a- Est la tumeur maligne primitive la plus dominant.
fréquente chez l'enfant. d- La localisation dans la glande pinéale donne
b- Est la tumeur maligne primitive la plus un rétinoblastome trilatéral.
fréquente chez l'adulte. e- La leucocorie est le mode de découverte le plus
c- Est une tumeur d'origine génétique. fréquent et c'est un signe précoce.
d- Est due àune mutation du gène RB 1 localisé
sur le chromosome 13. 21. Dans le rétinoblastome :
a- L'atteinte est unilatérale uni focale dans les
16. Le rétinoblastome : formes sporadiques.
a- Est la tumeur maligne primitive la plus b- L’atteinte est bilatérale ou multi focale dans les
fréquente chez l’enfant. formes héréditaires.
b- Est une tumeur d'origine génétique. c- La leucocorie est la constance de découverte la
c- Le taux de mortalitéest important quel que soit plus fréquente.
le traitement. d- Le strabisme unilatéral précoce justifie un
d- Elle est plus fréquente chez les asiatiques. examen du fond d’œil sous anesthésie générale.

17. Le rétinoblastome : 22. Dans le rétinoblastome : La ou les RF


a- Est la tumeur intraoculaire maligne la plus a- La masse tumorale ne comporte jamais de
fréquente chez l’enfant. calcification.
b- Elle est toujours bilatérale. b- C’est une tumeur à malignité locale.
c- Le maitre symptôme est la leucocorie. c- Les métastases sont surtout hépatiques.
d- La transmission est autosomique dominante. d- C’est une tumeur chimio sensible et
radiosensible.
23. Dans le rétinoblastome : Les RJ 28. Parmi les signes suivants, lequel est le
a- Il faut 2 mutations du gène de rétinoblastome. plus évocateur de rétinoblastome : La RJ
B- Le gène de rétinoblastome est localisédans le a- Hypo pion.
chromosome 13. b- Exophtalmie.
c- Les formes sporadiques sont multi focales et c- Leucocorie.
bilatérales. d- Phtyse du globe oculaire.
d- Les formes héréditaires sont les + fréquentes.
29. Le traitement de rétinoblastome :
24. Dans le rétinoblastome : ( x 2 ) a- Est toujours radical par éviscération.
a. L'atteinte est unilatérale uni focale dans les b- Est basésur l'hormonothérapie.
formes sporadiques. c- La cryothérapie est indiquée pour les petites
b. L'atteinte est bilatérale ou multifocale dans les tumeurs périphériques localisées sans essaimage 48
formes héréditaires. vitréen.
c. La leucocorie est la circonstance de découverte d- La chimiothérapie néo adjuvante permet la
la plus fréquente. réduction de la taille des tumeurs permettant un
d. Le strabisme unilatéral précoce justifie un traitement conservateur.
examen du fond d'œil sous anesthésie générale. e- L'énucléation est indiquée pour les tumeurs
e. Le traitement est toujours chirurgical. volumineuses.

25. Dans le rétinoblastome : 30. Le traitement du rétinoblastome :


a. La leucocorie est le signe d'appel le plus a. Est toujours radical par éviscération.
fréquent. b. Le traitement conservateur repose sur la
b. La leucocorie signifie une forme précoce de radiothérapie de contact, la cryothérapie et la
rétinoblastome. thermo-chimiothérapie.
c. Les formes unilatérales uni focales en faveur c. La chimiothérapie néo adjuvante consiste à
d'une forme sporadique. réduire la taille tumorale.
d. Les formes bilatérales ou multifocales en faveur d. Après l’énucléation toujours compléter par une
d'une forme héréditaire. chimiothérapie dite adjuvante.
e. Toutes les réponses sont fausses. e. La survie est bonne dans un centre de référence.

26. Le diagnostic du rétinoblastome : 31. Le traitement de rétinoblastome :


a. Se fait au FO sous anesthésie générale. a- Est radical en cas d'une forme tris évoluée.
b. L’échographie oculaire et la TDM retrouvent b- Le traitement radical est l'éviscération.
des calcifications intra lésionnelles. c- Le traitement conservateur repose sur la
c. La forme héréditaire est toujours bilatérale ou radiothérapie, thermothérapie, chimiothérapie et
uni focale. la cryothérapie.
d. La forme sporadique est exceptionnelle. d- Le conseil génétique est essentiel pour le suivi.
e. La maladie de COATS est le principal e- La cryothérapie est indiquée pour les tumeurs
diagnostic différentiel. étendues postérieures.

27. Le signe d'appel le plus fréquent en cas 32. Le traitement de rétinoblastome :


de rétinoblastome est : La ou les RF a- Toujours radical par énucléation.
a. Le strabisme. b- L'éviscération est le traitement radical des
b- La leucocorie. formes avancées.
c- L’hétérochromie. c- La cryothérapie est indiquée pour les formes
d- La buphtalmie. périphériques de petites tailles.
d- La chimiothérapie adjuvante a pour but de 3. Le trachome : la ou les RF
réduire le volume tumoral. a. Est dûau chlamydia trachomatis qui est un
e- Le pronostic est bon dans plus de 90 % des cas germe extracellulaire.
dans les centres spécialisés. b. Est dûau chlamydia trachomatis qui est un
germe intracellulaire.
33. Le traitement de rétinoblastome : la ou c. C’est un germe qui est sensible aux
les RF céphalosporines.
a. Toujours radicale par énucléation. d. C’est un germe qui est sensible à
b. L'énucléation est indiquée pour les formes très l’azythromycine.
évoluée. e. Toutes les réponses sont justes.
c. Le but de la chimiothérapie néo adjuvante et de
réduire la taille de la tumeur. 4. Le trachome :
d. Le but de la chimiothérapie néo adjuvante est 49
a. Est dûàla chlamydia trachomatis qui est un
de supprimer la tumeur. germe extracellulaire.
e. La cryothérapie est indiquée pour tes petites b. Est dûàla chlamydia trachomatis qui est un
tumeurs périphériques. germe intracellulaire obligatoire.
c. La sécheresse oculaire est une complication
34. Le traitement de rétinoblastome : Les redoutable du trachome.
RF d. Son traitement est basésur l'azithromycine.
a- Toujours conservateur. e. Toutes les réponses sont justes.
b- Toujours radical par énucléation.
c- La chimiothérapie néo adjuvante permet le 5. Parmi les propositions suivantes sur
traitement des formes métastatiques. chlamydia trachomatis :
d- La thermo chimiothérapie est une association a- Bacille gram négatif intracellulaire obligatoire.
de la chimiothérapie et du laser diode. b- Bactérie se cultive sur gélose au sang et facteur
de croissance.
c- Le traitement de référence est l'azithromycine
en dose unique.
Trachome d- Le réservoir est l'homme.
e- Aucune des propositions précédentes n'est
exacte.
1. Le trachome est :
a. Kérato conjonctivite chronique. 6. Le trachome :
b. Transmissible par les mains. a. Est une kérato - uvéite.
c. Transmissible par les mouches. b. Est une kérato - conjonctivite épisodique.
d. D'évolution cicatricielle dans sa forme c. Est une kérato - conjonctivite chronique.
chronique. d. Est une uvéite àhypopion.
e. Toutes les propositions sont justes. e. Est une cause d’entropion trichiasis.
2. Le trachome : ( x 3 ) 7. Le diagnostic positif du trachome se pose
a. Est dûau chlamydia trachomatis qui est un sur la présence des signes suivants :
germe extracellulaire. a. Follicules sur la conjonctive tarsale supérieure
b. Est dûau chlamydia trachomatis qui est un (au moins cinq).
germe intracellulaire obligatoire. b. Pannus vasculaire au limbe supérieur.
c. Ce germe est très sensible aux céphalosporines. c. Adénopathie prétragienne.
d. Son traitement est basésur l'azythromycine. d. Ligne d'ARLT.
e. Toutes les réponses sont fausses. e. Toutes les réponses sont justes.
8. Le trachome àsa phase cicatricielle Thérapeutiques
présente : les RF
a. Follicules conjonctivaux
b. Inflammatoire aiguë 1. La corticothérapie locale prolongée : (x3)
c. Ocelles limbiques a. Elle expose àla cataracte cortisonique.
d. Quadriphyron b. Elle expose au glaucome cortisonique.
e. Ligne d’Arlt. c. Elle expose au décollement de rétine.
d. Elle expose au développement du
9. Les complications du trachome sont : rétinoblastome.
e. Elle expose àla rétinopathie diabétique.
a- Entropion - trichiasis.
b- Taies et leucomes adhérents.
c- Xérosis. 2. L'utilisation abusive des corticoïdes
50
d- Cataracte. locaux donne : ( x 2 )
e- Toutes les réponses sont justes. a- Une cataracte cortisonique.
b- Une humeur hypophysaire.
10. Les complications qui peuvent se voir c- Un glaucome àangle fermé.
au cours du trachome : la RF d- Un glaucome cortisonique.
a- Entropion. e- Toutes les réponses sont justes.
b- Trichiasis.
c. Sclérite. 3. Cochez les réponses vraies :
d- Opacitécornéenne. a- Les corticoïdes locaux sont le meilleur
e- Atrésie canaliculaire. traitement de la conjonctivite allergique
chronique.
11. Les complications du trachome : b- Les corticoïdes locaux peuvent provoquer un
a. Les dacryocystite glaucome.
b. Décollement de la rétine c- Les corticoïdes locaux peuvent provoquer une
c. La cataracte cataracte.
d. Symblépharon d- Les corticoïdes locaux ne provoquent pas de
e. Taie cornéenne. complications oculaires.

12. Les complications du trachome : 4. Les complications des corticoïdes par


a. Les dacryocystite voie topique : La RF (x2)
b. Cataracte a- Aggravation d'une kératite virale.
c. Symblépharon b- Cataracte.
d. Décollement de rétine c- Hypertonie oculaire.
e. Opacitécornéenne. d- Inflammation du segment antérieure.

5. Les objectifs de l’anesthésie générale en


ophtalmologie sont : (x2)
a. Analgésie.
b. Akinésie.
c. Contrôle de la pression intraoculaire (PIO).
d. Contrôle du réflexe oculo - cardiaque (ROC).
e. Sécuritédu patient.
6. En chirurgie ophtalmologique, 11. L'angiographie àla fluorescéine : (x 2)
l’anesthésie locorégionale (ALR) à une a- Est un examen qui explore l'arbre vasculaire
place prépondérante chez : la RJ ( x 3 ) rétinien.
a. L’enfant. b- Il consiste àinjecter un colorant (la
b. L’adulte et la personne âgée en bonne santé fluorescéine) au niveau des veines du coude et de
cognitive. voire la coloration des vaisseaux de la rétine
c. La personne âgée avec une démence sénile. après un laps du temps.
d. Le patient avec une cardiopathie sous anti b- Il est indispensable pour le diagnostic et le
vitamine K (AVK). suivie du glaucome chronique.
e. Le patient avec une cardiopathie sous. d- Il est indispensable pour le suivi de la
f. Toutes les réponses sont fausses. rétinopathie diabétique.
e- Toutes les réponses sont justes.
51
7. Quel est le signe le plus précoce
traduisant une intoxication aux anti 12. La collyre àfluorescéine est :
paludéens de synthèse (APS) : la RJ a- Un collyre servant àapprécier l'intégritéde
l'épithélium cornéen.
a- Héméralopie.
b- Un collyre servant au traitement des
b- Perte du reflet fovéal.
conjonctivites.
c- Dyschromatopsie rouge vert.
c- Un collyre pouvant servir au diagnostic des
d- Dyschromatopsie bleu jaune.
kératites surtout herpétiques.
e- Diminution de la réponse à l’électro
rétinographie (ERG). d- Un collyre anesthésique de contact.
e- Un collyre antiseptique.
8. Les β - bloquant en collyre : 13. Le collyre àla fluorescéine est : ( x 3 )
a. induisent une baisse de la sécrétion d'humeur
a. Un collyre servant àapprécier l'intégritéde
aqueuse l’épithélium cornéen.
b. induisent une hypertonie intraoculaire b. Un collyre servant au traitement des
c. sont contre indiquéen cas d'asthme conjonctivites.
d. sont contre indiquéen cas de cardiopathiec. Un collyre pouvant servir au diagnostic des
e. sont contre indiquéen cas de néphropathie.
kératites surtout herpétiques.
d. Un collyre anesthésique de contact.
9. Dans les atteintes inflammatoires du e. Toutes les réponses sont fausses.
segment antérieur avec hypertonie oculaire, e. Toutes les réponses sont justes.
lequel des anti glaucomateux suivants est
contre - indiqué: la RJ 14. Le test àla fluorescéine en collyre
a. Bêta - bloquants étudie : la RJ (x2)
b. Prostaglandines a. L'abondance de la sécrétion lacrymale.
c. Inhibiteur de l’anhydrase carbonique b. L'intégritéde l'épithélium cornéen.
d. toutes les réponses sont justes c. L'intégritédu stroma cornéen.
e. toutes les réponses sont fausses. d. L'intégrité de l’endothélium cornéen.
e. L'intégritéde la membrane de Bowman.
10. La fluorescéine est un collyre : La RJ
(x2)
a- Antiseptique.
b- Qui sert au diagnostic de kératite superficielle.
c- Qui sert au diagnostic des kératites profondes.
d- Indiquée dans le traitement des kératites virales
15. La tomographie par cohérence optique 4. La vascularisation de la rétine est
OCT : ( x 3 ) assurée par : ( x 3)
a. Est un examen qui permet de réaliser une coupe a. La chorio - capillaire assure la vascularisation
presque histologique de la macula. des couches externes de la rétine.
b. Il permet d’objectiver les œdèmes maculaires. b. La chorio - capillaire assure la vascularisation
c. Il permet d’explorer la périphérie de la rétine. des couches internes de la rétine.
d. Indispensable pour la chirurgie de la cataracte. c. L’artère centrale de la rétine assure la
e. Toutes les réponses sont justes. vascularisation des couches externes de la rétine.
d. L’artère centrale de la rétine assure la
vascularisation des couches internes de la rétine.
e. La fovéa est vascularisée uniquement par la
chorio - capillaire.
52
5. La vascularisation de la rétine : ( x 4 )
Pathologies de la rétine a. Assurée par le système carotidien interne.
b. Est de type terminale.
1. La rétine : c. La chorio capillaire assure la vascularisation
a- Est un tissu neurosensoriel. des couches externes de la rétine.
b- Est composée de 5 couches. d. L’artère centrale de la rétine assure la
c. Au centre se trouve la macula comportant une vascularisation des couches internes de la rétine.
forte concentration en bâtonnets et responsable de e. Toutes les réponses sont fausses.
l’acuité visuelle maximale.
d- Constituée de photorécepteurs de sorte que les 6. La vascularisation de la rétine est
cônes périphériques assurent la vision diurne et assurée par : la RJ
les cônes centraux la vision nocturne. a. Le système carotidien externe.
e- Toutes les réponses sont fausses. b. La chorio capillaire et l'artère centrale de la
rétine.
2. Les photorécepteurs sont : c. Le polygone de WILLIS.
d. L'artère centrale de la rétine uniquement.
a- Des cellules rétiniennes hautement spécialisées. e. Toutes les réponses sont fausses.
b- Localisés dans les couches internes ou
superficielles de la rétine. 7. Le décollement de rétine : la RJ
c- Sont vascularisés par les branches de l'artère a- Provoque une BAV quel que soit sa
centrale de la rétine. localisation et son importance.
d- Composés par des cônes et des bâtonnets. b- Est un détachement entre la rétine et la
e- Leurs noyaux constituent la couche nucléaire choroï de.
externe. c- Est un détachement entre l’épithélium
pigmentaire et la rétine neurosensoriel.
3. La vascularisation de la rétine est d- Ne se voit que chez le myope, l'opéréde
assurée par : cataracte et le traumatisé.
a- Uniquement l’artère centrale de la rétine.
b- Uniquement par la chorio - capillaire. 8. Le décollement de rétine :
c- Le système carotidien externe. a- Survient surtout chez le myope.
d- Un double système : l'artère centrale de la b- Jamais chez l’hypermétrope.
rétine et la chorio - capillaire. c- Peut s’accompagner d’une hémorragie intra
vitréenne.
d- Le traitement est chirurgical.
e- Le traitement se fait par le laser.
9. Le décollement de rétine rhegmatogène : 14. Pour le décollement de rétine
a. Est dûàla présence àune déchirure rétinienne. rhégmatogène :
b. La myopie, le sujet âgéet chirurgie de la a- Il donne une amputation du champ en cas de
cataracte sont considérés comme des FDR. décollement localisé.
c. Le traitement est urgent et toujours chirurgicale.
b- Il faut faire un examen de l'œil controlatérale à
d. Les premiers symptômes sont les la recherche de lésions prédisposantes au
métamorphosis. décollement de rétine LPDR.
e. Est une affection toujours bilatérale. c- Le diagnostic est basésur l'échographie mode
B en cas de trouble des milieux.
10. Le décollement de rétine rhégmatogène: d- Le traitement est toujours chirurgical.
a- Est une urgence chirurgicale. e- Le taux de succès anatomique de traitement b
b. Du àla présence d'une déchirure rétinienne. est de 90 % des cas.
53
c- Les patients jeunes et hypermétropes sont plus
exposés. 15. Le décollement de rétine rhégmatogène:
d- L'évolution spontanée sans traitement se fait a- Est dûàla présence d'une déchirure rétinienne.
vers l’amélioration spontanée. b- Son traitement est uniquement chirurgical.
e. Le principe de traitement est d'obturer la c- Il est dûàune traction antéropostérieure sur la
déhiscence pour réappliquer la rétine. rétine.
d- Il est dûàune exsudation massive sous
11. Le décollement de rétine rhegmatogène: rétinienne.
a. Est dû à la présence d’une déchirure rétinienne. e- L'évolution spontanée se fait vers la
b. Il est toujours bilatéral. réapplication spontanée de la rétine.
c. Il est dûàune traction antéro - postérieure sur
la rétine. 16. Dans le décollement de rétine
d. Il est dûàune exsudation massive sous rhégmatogène
rétinienne. a- Il est dû à la présence d’une déchirure
e. L’évolution spontanée se fait vers la ré rétinienne.
application spontanée de la rétine. b- Le traitement est uniquement chirurgical.
c- Il est plus fréquent chez l’enfant.
12. Dans le décollement de rétine d- Il est toujours bilatéral.
rhegmatogène : e- Toujours associéàune macula soulevée.
a. Caractérisépar la présence de déchirure
rétinienne. 17. Le décollement de rétine
b. Est une urgence chirurgicale.
c. L’évolution spontanée se fait vers la cécité. rhégmatogène : La ou les RF
d. Est la première cause de cécitédans les pays en a- Plus fréquent chez les myopes.
voie de développement. b- Plus fréquent chez le diabétique.
e. Il est toujours bilatéral. c- Il est dûàune déchirure de la rétine.
d- L'évolution spontanée se fait vers
l’amélioration.
13. Le décollement de rétine
rhégrnatogène : la ou les RF 18. Le décollement de rétine
a- Est dûàla présence de déchirure rétinienne.
b- Est une urgence chirurgicale. rhégmatogène : la ou les RF
c- L'évolution spontanée sans traitement se fait a- Est plus fréquent chez le myope.
vers la cécité. b- L'évolution spontanée toujours favorable.
d- Est toujours bilatéral. c- Est une urgence chirurgicale.
e- Est plus fréquent chez les myopes. d- La bilatéralisation est fréquente.
e- Le traitement se fait par phaco - émulsification.
19. Dans le décollement de rétine 24. Le décollement de rétine rhegmatogène:
rhegmatogène : a. Survient chez le diabétique.
a. Il est dûàla présence d'une déchirure b. Caractérisépar la présence de déchirure
rétinienne rétinienne.
b. Le traitement est uniquement chirurgical. c. Plus fréquent chez le myope, sujet âgé
c. Il est plus fréquent chez l'enfant. d. Le traitement est toujours médical.
d. Il est toujours bilatéral. e. L’évolution spontanée se fait vers la cécité
e. Plus fréquent chez le myope. générale.

20. Dans le décollement de rétine 25. Le décollement de rétine


rhegmatogène : ( x 2 ) rhegmatogène :
a. Caractérisée par la présence de déchirure a- Plus fréquent chez les myopes, les sujets âgés et 54
rétinienne. les opérés de cataracte.
b. Est une urgence chirurgicale. b- Caractérisée par la présence des déchirures
c. L’évolution spontanée se fait vers la cécité. rétiniennes.
d. Est la première cause de cécitédans les pays en c- Fréquemment bilatérale.
voie de développement. d- Le traitement est exclusivement chirurgical.
e. Est toujours bilatérale. e- Le pronostic est sombre malgréla prise en
charge précoce.
21. Le décollement de rétine
rhegmatogène : 26. Le décollement de rétine
a- Est dûàune ouverture au niveau de la rétine. rhégmatogène : la RJ
b- Le traitement est uniquement chirurgical. a- Est due àla présence d'une déchirure
c- L'évolution spontanée est péjorative. rétinienne.
d- Toujours bilatéral. b- Est d'origine exsudative.
c- Toujours bilatérale.
d- Est liéàun pic d'hypertension artérielle.
22. Le décollement de rétine e- Est le dernier stade de la rétinopathie.
rhegmatogène : la RF
a. Due àla présence de déchirure rétinienne. 27. Le traitement du décollement de rétine
b. Il est plus fréquent chez les myopes. rhégmatogène :
c. Le traitement est uniquement chirurgical.
a- Est une urgence chirurgicale.
d. L'évolution spontanée sans traitement se fait
b- Son principe repose sur la fermeture des
vers la cécité.
déhiscences en cause.
e. Il est toujours bilatéral.
c- Il repose sur la réalisation d'une
thermothérapie trans pupillaire.
23. Dans le décollement de rétine d- Il existe deux techniques chirurgicales : la
rhégmatogène : chirurgie ab - externo et la chirurgie endoculaire.
a- Il est dû à la présence d’une déchirure e- L'évolution se fait vers la cécitéquel que soit la
rétinienne. technique utilisée.
b- Le traitement est uniquement chirurgical.
c- Il est plus fréquent chez l’enfant.
d- Il est toujours bilatéral.
28. Le traitement du décollement de rétine 2. Le tableau de l’occlusion de l’artère
rhegmatogène : centrale de la rétine associe : la RF
a. Est une urgence chirurgicale. a. Acuitévisuelle effondrée.
b. Son principe repose sur la fermeture des b. Pupille en myosis.
déhiscences en cause. c. Rétrécissement diffus des artères.
c.Repose sur la réalisation du laser trans d. Une macula rouge cerise.
pupillaire
d. Il existe deux techniques chirurgicales : la e. Œdème ischémique de la rétine.
chirurgie ab - externo et la chirurgie.
e. L’évolution se fait vers la cécité quel que soit la 3. Lors de l'OACR : La RJ
technique utilisée. a- La baisse de l'acuitévisuelle est variable.
b- La baisse d'acuitévisuelle est profonde et
progressive. 55
29. Parmi les différentes méthodes de
traitement du décollement de rétine : Les c- La baisse de l'acuitévisuelle est profonde et
brutale.
RJ d- Toutes les réponses sont fausses.
a- Barrage au laser argon du décollement de
rétine.
b- Chirurgie par voie externe par indentation. 4. En cas d’OACR : Les RJ
c- Chirurgie par voie interne par tamponnement. a- La baisse d’acuité visuelle est brutale et
d- Toutes les réponses sont fausses. profonde.
b- La baisse d’acuité visuelle est progressive et
profonde.
30. Le traitement de décollement de rétine c- Les artères de la rétine sont dilatées.
se fait par : La RJ d- La rétine présente un œdème rétinien
a- Photo coagulation au laser. blanchâtre.
b- Injection intra vitréenne. e- La macula reste d’aspect normal.
c- La chirurgie.
d- Abstention thérapeutique. 5. Dans les occlusions artérielles
rétiniennes :
31. Le traitement du décollement de rétine a- Les embolies et les plaques d’athéromes sont
se fait par : La RJ les principales étiologies.
a- La chirurgie. b- Elle entraine une perte définitive de la vision.
b- Photo coagulation au laser. c- Elle est toujours bilatérale.
c- Injection intra vitréenne. d- L'aspect au fond d’œil est masqué par l’aspect
d- Abstention thérapeutique. rouge cerise de la macula avec œdème ischémique
des couches rétiniennes internes.

1. Lequel de ces signes ne fait pas partie


d'un tableau d'OACR (occlusion de l'artère 1. Les signes cardinaux de l’occlusion de la
centrale de la rétine) : La RJ veine centrale de la rétine OVCR : la RF
a- BAV brutale. a. Des hémorragies dans les quatre quadrants.
b- Myosis. b. Un œdème maculaire.
c- Pole postérieure pale et macula rouge cerise. c. Des veines tortueuses.
d- Allongement du temps bras - rétine à d. Des nodules cotonneux.
l'angiographie fluorescéinique. e. Des déchirures rétiniennes.
2. Les signes cardinaux de l’occlusion de la d- Des nodules cotonneux.
veine centrale de la rétine OVCR associés : e- Des déchirures rétiniennes.
la RF
a- Un œdème papillaire. 7. Le diagnostic de la forme ischémique de
b- Des hémorragies rétiniennes sur toute la l'occlusion de la veine centrale de la rétine :
surface de la rétine. La RJ
c- Des nodules cotonneux. a- Repose sur l'examen clinique.
d- une déchirure rétinienne. b- Repose sur l'angiographie àla fluorescéine.
e- Des veines rétiniennes tortueuses et dilatées. c- Repose sur l'OCT (tomographie par cohérence
optique).
3. Dans l'occlusion de la veine centrale de d- Repose sur l'échographie oculaire.
la rétine (OVCR) : 56
a- Il existe deux formes ; une forme œdémateuse et 8. Dans les OVCR, il existe : la ou les RF
une forme ischémique. a. Des hémorragies rétiniennes dans 4 quadrants.
b- La forme œdémateuse peut devenir ischémique b. Une tortuositéet une dilatation veineuse.
et vis - versa. c. Un œdème papillaire.
c- La forme ischémique est toujours bilatérale. d. Des néo vaisseaux choroï diens.
d- Le traitement de la forme ischémique est basé e. Des néo vaisseaux prépapillaires.
sur la photo - coagulation au laser.
e- Le pronostic mauvais quel que soit la forme. 9. Parmi les signes suivants, lequel ne fait
pas partie du tableau de l'occlusion
4. Dans l'OVCR : veineuse rétinienne : La RJ
a- II existe deux formes ; une forme ischémique et a- Des hémorragies rétiniennes.
une forme œdémateuse. b- Des nodules cotonneux.
b- La forme ischémique est de mauvais pronostic. c- Des déchirures rétiniennes.
c- La forme œdémateuse est la plus fréquente. d- Un œdème papillaire.
d- La conversion d'une forme ischémique vers la
forme œdémateuse est possible. 10. Parmi les signes suivants, lequel ne fait
e- Elle est toujours bilatérale. pas partie du tableau de l’occlusion
veineuse rétinienne ? la RJ
5. Les occlusions de la veine centrale de la a- Des hémorragies rétiniennes.
rétine OVCR : b- Des nodules cotonneux.
a. Il existe deux formes : une forme œdémateuse et c- Des déchirures rétiniennes.
une forme ischémique. d- Un œdème papillaire.
b. Le pronostic de la forme ischémique est e- Tortuositéveineuse.
mauvais.
c. La forme œdémateuse peut se transformer en 11. Dans l’OVCR :
forme ischémique.
a- La forme ischémique est la plus fréquente.
d. Le traitement de la forme ischémique repose
b- La forme ischémique est de bon pronostic.
sur la photo coagulation pan rétinienne.
c- La conversion d'une forme œdémateuse à la
e. Toutes les réponses sont fausses.
forme ischémique est possible.
d- La forme ischémique nécessite un traitement
6. Les signes cardinaux de l'occlusion de la par photo coagulation pan rétinienne (PPR).
veine centrale de la rétine OVCR : la RF e- La complication redoutable de la forme
a- Des hémorragies dans les quatre quadrants. ischémique est le glaucome néo vasculaire (GNV).
b- Un œdème maculaire.
c- Des veines tortueuses.
12. Au cours du diabète on observe : la ou Troubles de réfraction
les RF
a- Pression intra oculaire (PIO) statistiquement
plus élevécomparativement àla population 1. L’astigmatisme :
générale. a. produit une image ponctuelle
b- PIO statistiquement plus basse b. se caractérise par sa puissance et sa direction
comparativement àla population générale. c. est toujours myopique
c- Une plus grande fréquence de GFA. d. est toujours idiopathique
d- Une plus faible fréquence de GFA. e. est toujours acquis.
e- Un angle irido - cornéen étroit.
2. L’astigmatisme :
13. En cas d’OVCR : Les RJ a. Produit une image ponctuelle.
57
a- Le patient est le plus souvent hypertendu. b. Se caractérise par sa puissance et sa direction.
b- La baisse d’acuité visuelle est variable. c. Se corrige par des verres sphériques convexes.
c- Il existe des hémorragies rétiniennes diffuses. d. Toujours idiopathique.
d- Les veines rétiniennes sont dilatées. e. Peut révéler un kératocône.
e- Toutes les réponses sont justes.
3. L’astigmatisme :
14. Les occlusions veineuses rétiniennes : a. Se corrige par un verre cylindrique.
a- Plus fréquente chez le sujet jeune. b. Se corrige par une sphère négative et un
b- Las principaux facteurs de risques sont cylindre positif.
l’athérosclérose et le glaucome chronique. c. Se corrige par une sphère positive et un
c- Elle évolue toujours vers la cécité. cylindre négatif.
d- La forme œdémateuse est de bon pronostic. d. Uniquement par un sphéro - cylindre positive.
e. Les réponses précédentes sont justes.
15. Dans la forme œdémateuse des OVCR :
a- La régression spontanée est possible. 4. Une presbytie chez un myope de - 3
b- La BAV est modérée. dioptre chez un patient âgéde 45 ans se
c- On retrouve une hypo perfusion rétinienne à corrige par :
l’angiographie. a. Un cylindre de + 1,50
d- Elle peut se transformer vers la forme b. Un cylindre de - 1,50
ischémique. c. Une sphère de + 1,50
d. les réponses précédentes sont justes
16. Dans les OVCR : e. les réponses précédentes sont fausses.
a- Le motif de consultation est l'œil rouge
douloureux. 5. La presbytie :
b- Le diagnostic est clinique basésur l'aspect a. Est la diminution de l'acuitévisuelle de loin.
ophtalmoscopique au fond d'œil. b. Est la perte de l'accommodation.
c- Le diagnostic de la forme repose sur c. Est liée àla présence de cataracte.
l'angiographie àla fluorescéine. d. Elle est en rapport avec l'âge.
d- La cause la plus fréquente est la cardiopathie e. Elle est toujours unilatérale.
emboligène.
e- L’atteinte est toujours bilatérale.
6. La presbytie : 12. La diplopie : ( x 4 )
a. Est une perte de l'amplitude de a. La diplopie binoculaire disparaît à l’occlusion
l'accommodation. d’un œil.
b. Est une diminution de la vision de près en b. Le phénomène de suppression lutte contre la
rapport avec l'âge. diplopie chez l’enfant.
c. Est une diminution de la vision de loin en c. Est due àune atteinte de la musculature
rapport avec l'âge. extrinsèque de l’œil.
d. La correction se fait par des verres cylindriques. d. Est due àune atteinte de la musculature
e. La correction se fait par des verres sphériques intrinsèque de l’œil.
convexes. e. Est un phénomène responsable d’une vision
double.
7. La presbytie :
a- Est la diminution de l'acuitévisuelle de loin. 13. Quelle(s) étiologie(s) ne donne 58
b- Est la perte de l’amplitude de l’accommodation. (donnent) pas de diplopie binoculaire :
c- Est liée àla présence de cataracte. a. Strabisme accommodatif
d- Elle est en rapport avec l’âge. b. Cataracte
c. Maladie de Basedow
8. La presbytie se corrige par : d. Myasthénie
a- Uniquement un verre sphérique convexe. e. Maladie de Horton.
b- Addition d'une sphère de + 1.50 D àl'âge de 45
ans. 14. Devant une diplopie binoculaire il faut
c- Les verres progressifs sont mieux adaptés pour immédiatement :
une vision intermédiaire. a. Intervenir chirurgicalement.
d- La réponse B est fausse. b. Rechercher et traiter une éventuelle étiologie.
e- Uniquement par sphère de + 3 D àl'âge de 50 c. Procéder àune occlusion monoculaire.
ans. d. Corriger par des primes.
e. Aucune proposition n’est juste.
9. La presbytie : La RJ
a- Apparait chez les enfants. 15. La diplopie binoculaire :
b- Due à un excès d’accommodation. a- La diplopie binoculaire disparait àl'occlusion
c- Due à un déficit d’accommodation. d'un œil.
d- Elle est plus précoce chez le sujet myope. b- Le phénomène de suppression lutte contre la
e- Toutes les réponses sont fausses. diplopie chez l’enfant.
c- Est due àune atteinte de la musculature
10. La presbytie est due à: La RJ extrinsèque de l’œil.
a- Une perte de transparence du milieu. d- Est due aune atteinte de la musculature
b- Une perte de l’accommodation. intrinsèque de l’œil.
c- Un changement de courbure cornéenne. e- Est un phénomène responsable d'une vision
d- Un changement de l'axe antéro - postérieur. double.

11. La correction de la presbytie se fait par : 16. La myopie se corrige par :


La RJ a. un cylindre concave
a- Des verres cylindriques convexes. b. un cylindre convexe
b- Des verres sphériques concaves. c. un sphéro - cylindre divergeant
c- Des verres sphériques convexes. d. une sphère négative.
d- Toutes les réponses sont fausses. e. Les réponses précédentes sont fausses.
17. Les moyens thérapeutiques de la 23. Dans la myopie forte :
myopie sont : a. La longueur axiale de l’œil est sup à26 mm.
a- Cylindre concave. b. Elle s'accompagne de complications.
b- Les lentilles de contact sont mieux adaptées c. Elle correspond àune différence de deux
pour les fortes myopies. dioptries entres les deux veux.
c- Sphère convexe. d. La puissance de la myopie supérieure à- 6
d- Le lasik est le meilleur traitement rapport dioptries.
qualité/ prix. e. Toutes les réponses sont fausses.
e- Est une amétropie statique sphérique.
24. La correction de la myopie se fait par :
18. La myopie forte ou la myopie maladie la ou les RF
est définie par : ( x 2 ) a. Des verres sphériques convexes. 59
a- Une longueur axiale supérieure à26 mm. b. Des verres sphériques concaves.
b- Une puissance supérieure à6 dioptries. c. Des verres cylindriques concaves.
c- Une profondeur de chambre antérieure d. Des lentilles de contacts concaves.
supérieure à4 mm. e. La chirurgie réfractive par photo - ablation ou
d- Toujours associée àun astigmatisme. implant intraoculaire.
e. Toujours unilatérale.
25. La myopie forte : la ou les RF
19. Dans la myopie : La ou les RF a- Est une myopie supérieure à- 6 dioptries.
a- L'axe antéro - postérieur est inf àla normale. b- La kératometrie est supérieure à57 dioptries.
b- L'image focale d'un objet se forme en avant de c- La longueur axiale est supérieure à26 mm.
la rétine. d- Elle peut se compliquer d'une atteinte
c- La correction se fait par des verres concaves. maculaire.
d- C'est une amétropie dynamique. e- Elle est toujours unilatérale.

20. Le but d'une surveillance du FO du 26. Dans la myopie : La RJ


myope fort : Les RJ a- L'image de l'objet se forme en arrière de la
a- Rechercher une hémorragie intra – vitréenne. rétine.
b- Rechercher une occlusion vasculaire. b- L’image de l'objet se forme en avant de la
c- Rechercher des lésions prédisposantes au rétine.
décollement de rétine. c- L’image de l'objet se forme sur la rétine.
d- Rechercher une maculopathie myopique. d- Toutes les réponses sont fausses.

21. La myopie se caractérise par : La RJ 27. Dans la myopie forte :


a- Une bonne acuitévisuelle de loin. a- Elle est supérieure à6 dioptries.
b- Une bonne acuitévisuelle de près. b- La longueur axiale est supérieure à26 mm.
c- Un globe oculaire àaxe antéro - post court. c- La correction optique est uniquement
d- La correction optique par des verres convexes. chirurgicale.
e- Toutes les réponses sont justes. d- C'est une affection héréditaire.

22. Dans la myopie : (x2) 28. La correction de la myopie se fait par :


a. L'image d'un objet se fait en avant de la rétine. La ou les RF
b. L'image d'un objet se fait en avant de la cornée. a- Des verres progressifs.
c. L'image d'un objet se fait en arrière de la rétine. b- Des verres sphériques concaves négatifs.
d. L'image d'un objet se fait sur le cristallin. c- Des verres sphériques convexes positifs.
e. Toutes les réponses sont fausses. d- Des verres cylindriques.
29. Parmi les complications de la myopie 34. Une baisse brutale unilatérale de
forte laquelle est inexacte : la RJ l'acuitévisuelle chez un sujet jeune dont
a. Cataracte. l'examen du fond d’œil est sans
b. Glaucome chronique àangle ouvert. particularité,vous pensez à; La RJ
c. Glaucome chronique àangle fermé. a- Une neuropathie optique rétrobulbaire.
d. Décollement de rétine. b- Hémorragie intra vitréenne.
e. Maculopathie. c- Décollement de rétine.
d- Cataracte contusive.
30. L’amblyopie fonctionnelle : ( x 4 )
a. Est fréquente en cas de strabisme unilatéral. 35. Quelle (s) est (sont) la (les) causes de
b. Est fréquente en cas de strabisme alternant. baisse d’acuité visuelle progressive
c. Peut - être secondaire àune cataracte. irréversible ? 60
d. Peut - être secondaire àune anisométropie.
a. La cataracte.
e. Son traitement repose sur l’occlusion de l’œil b. La maladie de BEST.
amblyope.
c. Le glaucome chronique àangle ouvert.
f. Son traitement repose sur l'occlusion de l’œil
d. Hyphéma.
sain.
e. La forme atrophique de la dégénérescence
maculaire.
31. Une amblyopie chez l'enfant peut être
la conséquence : 36. L'AV de près est mesurée àune
a. D'une cataracte congénitale. distance de : La RJ
b. D'une esotropie unilatérale non traitée. a- 50 cm.
c. D'une anisometropie. b- 55 cm.
d. D'une taie cornéenne. c- 44 cm.
e. Toutes les réponses sont justes.
d- 33 cm.
32. La mesure de l’acuité visuelle de loin se 37. Vacuitévisuelle de loin : la ou les RF
fait àune distance de : La ou les RF ( x 3 ) a. Se fait par l'échelle de MONOYER ;
a- 33 cm. b. Se fait par l'échelle de PARINAUD.
b- 1 m. c. Se fait àune distance de 5 mètres.
c- 4 m. d. Se fait àune distance de 10 mètres.
d- 5 m. e. Se fait àune distance de 33 cm.
e. 10 m.
38. L'acuitévisuelle (AV) de loin est
33. Quelle(s) affection(s) parmi les mesurée par : ( x 4 )
suivantes est (sont) responsables(s) d’une a- L'échelle de Parinaud.
baisse progressive de la vision de loin et de b- L'échelle de Monoyer.
près : c- L’échelle de Snellen.
a. Presbytie. d- L'échelle de Landolt.
b. Décollement de rétine.
c. Neuropathie optique alcoolo - tabagique.
d. Cataracte en cupule postérieure.
e. Glaucome évoluéprimitif chronique àangle
ouvert.
Traumatisme oculaire 6. Dans les contusions du segment
antérieur, on peut observer : la ou les RF
a. Une irido dialyse.
1. Au cours d’un traumatisme oculaire : b. Une subluxation du cristallin.
a- La baisse d’acuité visuelle (BAV) est d'autant c. Un œdème de BERLIN.
plus importante que la plaie cornéenne est d. Une neuropathie optique.
centrale e. Une hémorragie sous - conjonctivale.
b- En cas de corps étranger intraoculaire, la
douleur est un élément constant. 7. Dans un syndrome contusif du segment
c- L'hémorragie dans le vitréce dit hyphéma.
d- Pour qu'une cataracte provoque une BAV postérieur : La RJ
brutale, il faut une rupture de la cristalloï
de. a- L’œdème de BERLIN est un œdème rétinien
périphérique. 61
2. Dans un traumatisme oculaire contusif : b- La présence des déhiscences rétiniennes
périphériques nécessitent un traitement par laser.
La RJ c- Un trou maculaire ne s'accompagne pas de
a- L’hyphéma, c'est la présence sang dans le vitré. baisse d'acuitévisuelle.
b- L'hémorragie sous conjonctivale peut masquer d- L’hypertonie oculaire est toujours présente.
une plaie sclérale.
c- La cataracte contusive est une complication 8. La contusion du segment post entraine :
immédiate. a- Œdème de Berlin.
d- La luxation cristallinienne est toujours post.
b- hémorragie intra vitréenne.
c- Déchirures rétiniennes périphériques.
3. Après un traumatisme oculaire contusif ; d- Irido dialyse.
que peut - on constatésur l'iris : Les RJ e- Mydriase post traumatique.
a- Des nodules iriens.
b- Des ruptures sphinctériennes. 9. L'œdème de Berlin constitue une
c- Une mydriase. contusion du segment postérieure qui :
d- Des synéchies.
a- Se traduit par un niveau liquide hématique
dans la chambre antérieure dont le risque est la
4. Une contusion oculaire peut se récidive hémorragique.
compliquer : la RF b- Apparait sous la forme d'une hémorragie
a. Cataracte sous capsulaire antérieure. conjonctivale probablement due àune plaie
b. Cataracte sous capsulaire postérieure. sclérale sous - jacente ou un corps étranger.
c. Hyphema c- Évolue vers la résorption spontanée en tant
d. Sidérose. qu'hémorragie intra vitréenne empêchant la
e. Décollement de rétine. visualisation de la rétine.
d- Est responsable d'une baisse d'acuitévisuelle
5. Dans le traumatisme par contusion du initiale souvent transitoire.
segment antérieure ; on peut retrouver : e- Peut évoluer parfois vers la constitution d'un
a- Luxation du cristallin. trou maculaire avec une baisse d'acuitévisuelle
b- Œdème de Berlin. définitive.
c- Hémorragie intra vitréenne.
d- Iridodialyse. 10. Œdème de BERLIN : La RJ
e- Hémorragie sous conjonctival. a- Est un œdème de la cornée post contusif.
b- Est un œdème du pole postérieur post contusif.
c- Est un œdème du corps ciliaire.
d- Se voit après traumatisme perforant.
11. L’œdème rétinien de Berlin est un : La 17. Une IRM orbitaire est contre - indiqué
RJ en cas: la RJ
a- Œdème du pole postérieur. a. Suspicion de mélanome choroï dien.
b- Œdème papillaire. b. Suspicion de myosite orbitaire.
c- Hémorragie intra vitréenne. c. Corps étranger tellurique.
d- Toutes les réponses sont fausses. d. Corps étranger métallique.
e. Neuropathie optique.
12. Devant une plaie du globe :
a. Il faut mesurer àla tension oculaire. 18. L’échographie mode A :
b. Faire un test àla fluorescéine. a- Permet la mesure de la longueur axiale.
c. Hospitaliser le patient. b- Permet la mesure de la puissance de l'implant
d. Rechercher un corps étranger intraoculaire. intraoculaire.
e. C’est une urgence chirurgicale. 62
c- Permet la mesure de la densitéendothéliale.
13. Un signe de SEIDEL positif signifie : d- Permet la mesure de l'épaisseur de la cornée.
e- Permet l'exploration du segment postérieur du
la RJ globe oculaire.
a. Une hémorragie intra-vitréenne.
b. Une luxation antérieure du cristallin.
c. Une luxation postérieure du cristallin. 19. Devant une hémorragie sous
d. Une perforation cornéenne. conjonctivale, il faut penser àrechercher :
e. Un ulcère de cornée. a- Une hypertonie oculaire.
b- Une plaie sclérale sous - jacente.
14. Lorsqu’il y a une hernie de l’iris post c- Un corps étranger intraoculaire.
traumatique, le traumatisme oculaire est : d- Une hémato cornée.
Les RJ
a- Perforant. 20. Devant une hémorragie sous
b- Contendant. conjonctivale, il faut impérativement
c- Il y a une hypertonie oculaire. rechercher : la RJ
d- Il y a une hypotonie oculaire. a. Une hypertonie oculaire.
e- Toutes les réponses sont fausses. b. Une plaie sclérale sous - jacente.
c. Un iridodonésis.
15. Parmi les examens para cliniques d. Une cataracte.
suivants, quel est celui qui permettra e. Une conjonctivite.
d'affirmer le corps métallique intraoculaire
récent : La RJ 21. Quelle est la brûlure oculaire qui a le
a- Ionogramme. pronostic le plus sévère ? la RJ
b- Angiographie fluorescente du fond d’œil. a. thermique
c- Radiographie de l’orbite. b. acide faible
d- Imagerie par résonance magnétique (IRM). c. acide fort
d. base
e. coup d’arc.
16. L’IRM orbitaire est formellement
contre - indiquéen cas : la RJ
a. grossesse
b. suspicion de CE intraoculaire ferromagnétique
c. suspicion de CE intraoculaire végétal
d. suspicion de mélanome malin de la choroïde
e. suspicion de neuropathie optique.
22. Le pronostic des brûlures chimiques 4. Devant un œil rouge douloureux, quels
dépend : (x2) sont les diagnostics les plus probables :les
a. la nature alcaline ou acide de l’agent causal. RJ
b. la taille de l’ulcère cornéen. a- Crise d’hypertonie oculaire.
c. degré de l’atteinte ischémique limbique. b- Uvéite antérieure aigue.
d. la rapiditéde la prise en charge. c- Conjonctivite saisonnière.
e. de la gravité de l’atteinte initiale. d- Kératite herpétique.
e- Un décollement de rétine.
23. Devant une brûlure oculaire par un
agent chimique : la RJ 5. Devant un œil rouge douloureux, tous
a. Les bases donnent des lésions superficielles et ces diagnostics sont possibles sauf un : la
étendues. RJ 63
b. Les acides donnent des lésions profondes et a. Crise de glaucome aiguë.
localisées. b. Uvéite antérieure aiguë.
c. Le traitement en urgence se fait par un lavage c. Une neuropathie optique.
abondant de la cavitéconjonctivale. d. Kératite herpétique.
d. Le traitement en urgence se fait par un lavage e. Un corps étranger intra cornéen.
avec un neutralisant spécifique.
e. Les brûlures par base ont un pronostic 6. Parmi les maladies intraoculaires
impossible àétablir d'emblée. suivantes, indiquer celle (s) qui se
manifeste (nt) habituellement par des
Œil rouge et douloureux douleurs :
a. Choroï dite aigue.
1. Quel (s) diagnostic (s) évoquez - vous b- Glaucome par fermeture de l'angle.
devant un œil rouge et douloureux : c- Iridocyclite.
d- Glaucome chronique àangle ouvert.
a- Kératite aigue.
e- Kératite aigue.
b- Conjonctivite.
c- Glaucome aigue.
d- Uvéite antérieure. 7. Devant un œil rouge :
e- Cataracte. a. La hantise est de ne pas méconnaî tre une
kératite herpétique.
2. Devant un œil rouge, douloureux avec b. Le diagnostic le plus probable est un
décollement de rétine.
atteinte de l’acuité visuelle, vous évoquerez : c. Il faut éviter les corticoïdes locaux qu’après
a. Iridocyclite. l’examen à la lampe à fente.
b. Glaucome aigu. d. Il faut rechercher un corps étranger sous la
c. Conjonctivite. paupière supérieure.
d. Sclérite e. Toutes les réponses sont justes.
e. Hémorragie sous - conjonctivale.

3. Devant un œil rouge douloureux, tous


ces diagnostics sont justes sauf un :
a. crise d’hypertonie oculaire.
b. uvéite antérieure aiguë.
c. conjonctivite saisonnière.
d. kératite aiguë.
e. ulcère de cornée superficiel.
Rétinopathie hypertensive c. La présence d’un œdème papillaire signifie une
HTA maligne avec mise en jeu du pronostic vital
du patient.
1. La rétinopathie hypertensive : d. Les exsudats durs sont dus àla rupture de la
a- Le stade III associe un œdème papillaire. barrière hémato-rétinienne externe.
b- Le stade III constitue une urgence vitale. e. Toutes les réponses sont justes.
c- Un FO annuel est systématique chez les
hypertendus. 5. Le stade III de la classification de
d- Les exsudats secs sont en rapport avec ta KIRKENDALL de la rétinopathie
rupture de la barrière hémato - rétinienne externe. hypertensive comprend : la ou les RF ( x 2 )
e- Toutes les réponses sont fausses.
a- Un rétrécissement artériel sévère et disséminé.
b- Des hémorragies rétiniennes et des nodules 64
2. Dans la rétinopathie hypertensive : La cotonneux.
ou les RF c- Des AMIR : anomalies micro vasculaires intra
a- Le stade III de la classification de - rétiniennes.
KIRKENDALL représente une urgence vitale. d- Un œdème maculaire cystoïde.
b- Le stade I de la classification de e- Un œdème papille.
KIRKENDALL correspond àun croisement
artério - veineux pathologique. 6. Parmi ces signes, lequel n'est pas en
c- Le stade I de la classification de rapport de la rétinopathie hypertensive ? la
KIRKENDALL correspond àun rétrécissement
artériel sévère et disséminé. RJ
d- Les exsudats profonds durs sont liés àla a. Présence d'un rétrécissement artériel sévère
rupture de la barrière hémato - rétinienne interne. disséminé.
e- Toutes les réponses sont justes. b. Présence d'hémorragies rétiniennes.
c. Présence de nodules cotonneux.
3. Dans la rétinopathie hypertensive : la ou d.e. Présence
Présence de néo vaisseaux prérétiniens.
d'œdème papillaire.
les RF
a. Le stade III de la classification de 7. Dans la rétinopathie hypertensive,
KIRKENDALL représente une urgence vitale.
b. Le stade I de la classification de l'examen du FO retrouve :
KIRKENDALL correspond àun croisement a- Artères grêles.
artério - veineux pathologique. b- Veines dilatées.
c. Le stade I de la classification de c- Exsudats et hémorragies.
KIRKENDALL correspond àun rétrécissement d- Œdème papillaire.
artériel sévère et disséminé.
d. Les exsudats profonds durs sont liés àla 8. Les nodules cotonneux :
rupture de la barrière hémato - rétinienne externe. a- Correspondent àdes néo vaisseaux intra -
e. Toutes les réponses sont justes. rétiniennes.
b- Correspondent àdes micro - infarctus de la
4. Dans la rétinopathie hypertensive : rétine.
a. La présence des nodules cotonneux signifie une c- Sur le plan microscopique, ils correspondent à
occlusion des artérioles pré- capillaires rétiniens. l'occlusion des artérioles précapillaires rétiniens.
b. La présence des nodules cotonneux signifie une d- Se sont des lésions blanchâtres àbord flous et à
rupture de la barrière céphalo - rétinienne interne. grand axe perpendiculaire àl'axe des fibres
optiques.
e- Ils correspondent àl'accumulation du matériels
axoplasmiques.
9. Les nodules cotonneux : 4. En cas de suspicion d’un corps étranger
a. Correspond àdes néo vaisseaux intra métallique intraoculaire, on demande : Les
rétiniennes. RJ
b. Correspond àdes micro-infarctus de la rétine. a- Un téléthorax.
c. Sur le plan microscopique, ils correspondent à b- Une radiographie standard de l’orbite.
l’occlusion des artérioles pré - capillaires c- Une échographie oculaire.
rétiniens. d- Une IRM orbitaire.
d. Ce sont des lésions jaunâtres àbord flous et à e- Un scanner orbitaire.
grand axe perpendiculaire à l’axe des fibres
optiques. 5. Quels examens complémentaires se
e. Ils correspondent à l’accumulation du matériels
axoplasmiques. justifient en cas de suspicion d’un corps
étranger métallique intraoculaire : La RF 65
a- Radiographie de l'orbite.
b- IRM cranio – orbitaire.
Corps étranger intraoculaire c- TDM cranio – orbitaire.
d- Échographie mode B.
1. Devant la suspicion d’un corps étranger
intraoculaire métallique : ( x 3 ) 6. Toutes les lésions oculaires post
a. La radiographie orbitaire est indiquée en traumatiques suivantes doivent faire
urgence. rechercher un corps étranger intra oculaire
b. L'Imagerie par résonance magnétique IRM est sauf une. Laquelle ? La RJ
indiquée en urgence. a- Opacitécristallinienne unilatérale.
c. L’échographie mode B est utile. b- Plaie de cornée.
d. L’angiographie à la fluorescéine est utile au c- Hémorragie sous conjonctivale.
diagnostic. d- Pâleur papillaire.
e. Le scanner orbitaire est formellement contre - e- Hémorragie intraoculaire.
indiqué.
2. Devant une suspicion d'un corps 7. Les complications précoces des corps
étranger intraoculaire, il faut réaliser : La étrangers intraoculaires :
RJ a- Endophtalmies aigues.
a- Une angiographie. b- Décollement de rétine.
b- Un OCT (tomographie par cohérence optique). c- Cataracte traumatique.
c- Une radiographie standard de l'orbite. d- Ophtalmie sympathique.
d- Une IRM. e- Sidérose et chalcose.
3. L'examen àdemander en prioritéchez
un patient suspect de corps étranger
intraoculaire est : la ou les RF
a. Un électrorétinogramme
b.Un dosage du fer dans l’humeur aqueuse.
c. Une radiographie de l'orbite.
d. Une échographie oculaire.
e. Une imagerie par résonance magnétique.
Uvéites 6. Une uvéite ant peut être due à: la RF
a. infection dentaire
b. tuberculose
1. Uvéite au cours de l’hétérochromie de c. sarcoï dose
Fuchs se manifeste par : ( x 2 ) d. maladie de Reiter
a- Dépôts rétro cornéen. e. lymphomes.
b- Atrophie irienne.
c- Cataracte sous capsulaire. 7. Parmi les causes d’uvéite ant laquelle
d- Possibilitéde glaucome secondaire. n’est jamais granulomateuse : la RJ
e- Synéchie irido - capsulaire. a. Hétérochromie de Fuchs.
b. Uvéite tuberculeuse.
2. Uvéite au cours de l’hétérochromie de c. Uvéite syphilitique. 66
FUCHS se manifeste par : d. Sarcoïdose.
a. Dépôts rétro cornéen stellaires. e. Herpès.
b. Atrophie irienne.
c. La cataracte sous capsulaire postérieure. 8. Parmi les causes d’uvéite ant, laquelle
d. Possibilitéde glaucome secondaire. n’est jamais granulomateuse ? la RJ
e. Des synéchies irido - cristalliniennes. a. Uvéite tuberculeuse.
b. Uvéite syphilitique
3. Parmi ces étiologies ; une n’est pas en c. La sarcoï dose.
rapport avec l’uvéite ? la RJ d. La maladie de Behçet.
a. Les spondyl arthropathies. e. L’herpès.
b. La maladie de BEHÇET.
c. La sarcoï dose. 9. Le typage HLA b27 est en faveur de
d. Insuffisance rénale chronique. quelle étiologie d’uvéite antérieure ?
e. La maladie de Vogt - koyanagui - harada a. Spandyl arthropathie.
(VKH). b. Herpès simplexe virus.
c. Hétérochromie de FUCHS.
4. Parmi les étiologies suivantes d’uvéite d. Maladie de BEHÇET.
laquelle comporte l’utilisation systématique e. Maladie de HARADA.
de traitement immunosuppresseur dans le 10. L’uvéite antérieure observée au cours
cadre du traitement de fond : la RJ de la maladie de BEHÇET :
a. Sarcoïdose. a. Elle peut s’accompagner d’un typage HLA B51.
b. Hétérochromie de Fuchs b. S’associe toujours à une aphtose buccale.
c. Maladie de Behçet c. Est granulomateuse.
d. Spondyl arthropathie d. S’accompagne toujours d’un test pathergique +
e. Uvéite phaco - antigénique. e. Est non synéchiante.
5. Étiologies pouvant donner une uvéite 11. Parmi les signes bio microscopiques
antérieure : suivants, quels sont ceux qui caractérisent
a. Lymphome l'uvéite antérieure granulomateuse :
b. Spondyl arthropathie a- Synéchie antérieure irido - cornéenne.
c. Sinusite infectieuse b- Synéchie postérieure irido - cristallinienne.
d. Tuberculeuse c- Précipités rétro cornéen en graisse de mouton.
e. CMV. d- Nodule de lisch.
e- Nodules de koeppe et busacca.
12. Parmi, signes cliniques suivants, 17. L'uvéite liée àHLA B27 peut se
quelles sont ceux qui ne sont pas retrouvé voir dans : Les RJ
dans une uvéite antérieure non a- La spondylarthrite ankylosante.
granulomateuse : b- Le syndrome de Reiter.
a- Hypopion. c- Le syndrome de tache blanche évanescente.
b- Œdème de cornée. d- Le rhumatisme psoriasique.
c- Nodule de Koeppe.
d- Synéchie irido - cristallinien. 18. Dans la maladie de Behçet : Les RJ
e- Précipitérétro cornéen en graisse de mouton. a- L'uvéite est de type granulomateuse.
b- Est une irido cyclite àhypo pion et àbascule.
13. Dans les uvéites antérieures on c- L’aphtose buccale récidivante est un critère
retrouve : Les RJ obligatoire pour poser le diagnostic. 67
a- Des précipités rétro - cornéen. d- L’attente cutanée fait partie des critères
b- Un Tyndall antérieur. majeurs de la maladie.
c- Un Tyndall postérieur.
d- Des synéchies postérieures irido - 19. Le traitement de l'uvéite antérieure
cristallinienne. aigue associée : Les RJ
e- Un œdème papillaire. a- Collyre cycloplegique.
b- Collyre corticoïde.
14. Parmi les signes cliniques suivants, c- Collyre lubrifiant.
quelles sont ceux qui ne sont pas retrouvé d- Des analogues de prostaglandine.
dans une uvéite antérieure non
granulomateuse : 20. Les signes cliniques des uvéites
a- Hypopion. antérieures : La RF ( x 2 )
b- Œdème de cornée. a- Précipités rétro cornéennes.
c- Nodule de koeppe. b- Tyndall de la chambre antérieure.
d- Synéchie irido - cristallinien. c- Foyer de chorio - rétinite.
e- Précipitérétro cornéen en graisse de mouton. d- Des synéchies postérieures.

15. Parmi les étiologies d'uvéite antérieure 21. Le traitement de toute uvéite antérieure
suivantes; quelles sont celles qui comporte :
s'accompagnent typiquement d'hypopion : a. myotique
a- Uvéite herpétique. b. mydriatique
b- Hétérochromie de Fuchs. c. β Bloquant
c- Posner schlaussman. d. CTC en collyre
d- Uvéite liée aux spondylarthropathies. e. CTC par voie générale.
e- Uvéite liée àla maladie de Behçet.
22. L’Uvéite postérieure se manifeste par :
16. Quelle est la première cause d’uvéite a. baisse de l’acuité visuelle
antérieure de l’enfant : La RJ b. scotome
a- maladie de Crohn. c. myodésopsie
b- Néphropathie tubulo - interstitiel (TINU d. rougeur oculaire
syndrome). e. aucun symptôme.
c- Arthrite chronique juvénile.
d- Sarcoï dose.
e- Tuberculose.
23. L'uvéite postérieure peut se manifester 28. Parmi les signes microscopiques
par l’ensemble des signes cliniques suivants suivants, quels sont ceux qui sont retrouvés
sauf un, lequel ? la RJ en cas d’uvéite postérieures ?
a. Myodésopsie. a- Tyndall cellulaire vitréen.
b. Scotome. b- Tyndall protéique vitréen.
c. Héméralopie. c- Des synéchies irido - cristalliniennes.
d. Œil rouge douloureux. d- Vascularite rétinienne.
e. Métamorphopsie. e- Foyer chorio - rétinien.
24. Quelle est la première cause de chorio -
rétinite mono focale au cours de l'uvéite Métamorphopsie
postérieure ? 68
a. tuberculose. 1. La métamorphopsie : La RJ
b. toxoplasmose. a- Est un scotome central positif.
c. toxocarose. b- Est un scotome central négatif.
d. choroïdite de BIRDSHOT. c- Est la sensation des déformations des objets.
e. sarcoïdose. d- Est la sensation de corps flottant.
e- Est une amputation de champ visuel.
25. L’uvéite postérieure peut se manifester
par l’ensemble des signes cliniques suivants 2. Les métamorphopsies : la RJ ( x 2 )
sauf un ; lequel : la RJ a. Est la sensation de mouche volante.
a. Myodésopsie. b. Est l’amputation du champ visuel.
b. Scotome. c. Est la sensation de déformation des objets.
c. Flou visuel. d. Est la sensation de flou visuel central.
d. Œil rouge douloureux. e. Est le reflet blanc de la pupille.
e. Métamorphopsie.
3. Les métamorphopsies sont : la RJ
26. La prise en charge thérapeutique des a. La sensation de corps flottant.
uvéites postérieure peut comporter les outils b. La sensation des flashs lumineux.
suivants : c. La sensation de déformation des objets.
a. abstention d. La sensation de mouche volante.
b. traitement locale en collyre e. La sensation de flou central.
c. injection péri - oculaire (péri bulbaire et sous
ténonienne) 4. La métamorphopsie : la RJ
d. corticoïde per os a- Est la perception d'une amputation du champ
e. immunosuppresseur per os. visuel.
b- Est la sensation de déformation des objets.
27. Devant une hyalite inflammatoire qui c- Est la sensation de mouche volante ou de corps
flottant.
se voit au cours de l'uvéite postérieure ; d- Est la diminution de la sensibilitéau contraste.
quels sont les autres pathologies qui e- Toutes les réponses sont fausses.
peuvent prêter àconfusion :
a- Hémorragie intra vitréenne ancienne. 5. La métamorphopsie : la RJ
b- Décollement de rétine avec prolifération vitréo a. Est la sensation de flash lumineux.
- rétinienne. b. Est la sensation de corps flottant.
c- Rétinopathie diabétique compliquée. c. Est la sensation de déformation des objets.
d- Lymphome oculaire. d- Est un signe de déchirure rétinienne.
e- Glaucome chronique àangle ouvert. e- Est un signe d’une atteinte maculaire.
6. La métamorphopsie : 3. La myodésopsie : la ou les RF
a- Est l’amputation du champ visuel. a- Est un signe vitréen en rapport avec le
b- Est la sensation de corps flottant. décollement postérieur de vitré.
c- Est la sensation de déformation des objets. b- Est un signe rétinien en rapport de la
d- Liée àconstitution d'une déchirure rétinienne. constitution d'une déchirure rétinienne.
e- Toutes les réponses sont fausses. c- Est la sensation de mouche volante.
d- Est la sensation d'une amputation du champ
7. Les métamorphopsies : La RJ visuel.
a- Sont la sensation de mouche volante. e- Est la sensation de déformation des objets.
b- Sensation d'une amputation du champ visuel.
c- Sont la sensation de déformation des objets. 4. La myodésopsie :
d- Sont des troubles des couleurs. a- Est la sensation de mouche volante ou de corps
69
flottant.
8. La métamorphopsie : la RJ b- Est la sensation de déformation des objets.
a. Est la sensation de flash lumineux. c- Est l’amputation du champ visuel.
b. Est l'amputation du champ visuel. d- Est un signe vitréen.
c. Est la sensation de déformation des objets. e- Est un signe tardif de décollement de rétine.
d. Est la perception d'un flou central.
e. Toutes les réponses sont fausses. 5. La myodésopsie : la ou les RF
9. La métamorphopsie : a- Est l'amputation d'une partie du champ visuel.
a- C’est la vision double. b- Est la sensation de déformation des objets.
b- C'est un trouble de vision des couleurs. c- Est la sensation de mouche volante ou de corps
c- C’est la sensation des déformations des objets. flottant.
e- Toutes les réponses sont justes. d- Est un signe vitréen en rapport avec un
décollement de vitré.
e- Il signifie hypertension intracrânienne.

Myodésopsie 6. La myodésopsie :
a. Est l'amputation du champ visuel.
1. La myodésopsie : la ou les RF ( x 3 ) b. Est la sensation de corps flottant.
c. Est la sensation de déformation des objets.
a- Est la sensation de déformation des objets. d. Est un signe vitréen en rapport avec le
b- Est la sensation de mouche volante. décollement postérieur du vitré.
c- Est la sensation d’une amputation du champ e. Est un signe rétinien en rapport avec la
visuel. formation de déchirure rétinienne.
d- Est la sensation de flash lumineux.
e- Est la sensation de trouble de vision des
couleurs. 7. La myodésopsie :
f- Toutes les réponses sont fausses. a- Est la sensation d'une amputation du champ
visuel.
2. Les myodésopsies peuvent se voir en cas : b- Est la sensation des flashs lumineux.
c- Est la sensation des déformations des objets.
a. décollement postérieure du vitré d- Est la sensation mouche volante et corps
b. hémorragie intra-vitréenne flottants.
c. toxoplasmose oculaire
d. uvéite antérieure
e. choroï dite multifocale.

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