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I Linguistique
Force est de constater l'impuissance et l'in-
curie des linguistes à dénoncer le syncré-
tisme propre à la langue anglaise dont le
contenu anthropôlogique est singulièrement
perturbé, notamment en ce qui concerne les
"marqueurs" de genre et l'on pense notam-
ment au traitement des adjectifs. Cela reten-
tit sur la "théorie du genre" et sur le proces-
sus chronique de synonymie qui y sévit de
sur un mode épidémique.
II Juridique
Autre faillite remarquable, celle de la science
politique qui n'est toujours pas en mesure, en
ce début de XXIe siècle, de sous tendre,
d'étayer le droit constitutionnel au moyen
d'une cyclicité non fictive,donc d'une tempo-
ralité "objective" et universelle;. En faisant
l'impasse sur la recherche astrologique - en
ne se contentant pas de fustiger ce qui en a
été fait mais en engageant de nouvelles inves-
tigations, à nouveaux frais, la science juri-
dique se condamne à sacraliser des construc-
tions arbitraires lesquels ont pour seul mérite
d'avoir pu faire consensus, à un moment
donné;
III Historique
La science historique dépend des docu-
ments qui nous sont parvenus, qui ont été
conservés à travers les âges et dont l'authen-
ticité dans bien des cas est suspecte; On
pense notamment au syncrétisme biblique le-
quel se voit attribuer dans bien des cas une
valeur factuelle, faute de mieux. Or, le texte,
qui est le matériau privilégié avec lequel tra-
vaille l'historien, est susceptible de subir
toutes sortes de manipulations partisanes.
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.
Pour nous, le syncrétisme consiste dans la
(con)fusion entre des domaines qu'il im-
porte de distinguer. Nous aborderons parti-
culièrement trois cas illustrant les méfaits
du syncrétisme, c'est à dire de l'assimilation
de données distinctes à un seul et même cor-
pus.
I Linguistique et Anthropologie
II Astrologie et prophétisme
III Le clivage théologique au
sein du monothéisme
PRESENTATION DE L’AUTEUR
INTRODUCTION
L’errorisme américain
La French theory aura connu en son temps
un certain impact Outre Atlantique. Sa ten-
dance déconstructionniste y apparaissait
comme une bouffée d'oxygéne dans une so-
ciété minée par le syncrétisme, sous toutes
ses formes. De fait, nos travaux liés au syn-
crétisme débouchent sur l'épicentre que
sont les USA, à tous les points de vue et cela
ne saurait être l'effet d'un pur hasard. Nous
avons opéré quelques sondages :
I Constitutionalisme et Astrologie
La mécanique constitutionnelle établie aux
USA à la fin du XVIIIe siècle tend à se substi-
tuer aux lois célestes
(voir Yvon Seren "L'exemple américain
dans les institutions issues de la Révolution
française ; les déclarations américaines et la
déclaration française des Droits de l'Homme
et du Citoyen de 1789 Annales de Bretagne et
des pays de l'Ouest Année 1977 84-3 pp.
281-292)
Selon nous, la notion même de constitutions
reléve de l’imposture en ce qu’elle prétend
être en mesurer de déterminer un certain
ordre périodique selon des critères totale-
ment factices qui ne valent que dans la me-
sure où l’on leur accorde quelque crédit,
comme on le fait pour une monnaie.
Tout se passe comme si l’on avait voulu substi-
tuer à des critères célestes des critères purement
consensuels, comme dans le cas d’une assemblée.
Autrement dit, la constitution déterminerait le
mode d’élection d’une assemblée « consti-
tuante ».
Fondamentalisme, christia-
nisme, Amérique par Savi-
nien de Rivet
Dans Outre-Terre 2003/4
(no 5), pages 83 à 94
Les États-Unis sont, au sein
du monde occidental, un
cas unique quant au rap-
port de la population au re-
ligieux. Près de 94% des ha-
bitants se disent
croyants [Sondage News-
week : 13 et 14 avril 2000.,
taux infiniment plus élevé
que dans n’importe quel
autre pays industrialisé. Ils
se singularisent également
par l’importance donnée à
la religion : selon un son-
dage paru en mars dernier
et publié par le Pew rea-
search center for the
people and the Press, ils
sont 59% à estimer la reli-
gion « très impor-
tante ]Sondage publié en
mars 2003 par le Pew Rea-
seach center for the… », ar-
rivant très largement en
tête de tous les pays indus-
trialisés ainsi que de la plu-
part des pays d’Europe cen-
trale et orientale. Leurs voi-
sins canadiens, par
exemple, y accordent deux
fois moins d’importance.
De même, parmi les pays de
la « nouvelle Europe », la
Pologne, pourtant patrie de
Jean Paul II, ne considère
la religion très importante
qu’à 36% »
wikipedia
" celui qui vit sans réflexion ni intros-
pection est parfois atteint d'une «
double ignorance » qui est le fait de ne
pas savoir et de vivre dans l'illusion
qu'il sait : « Non seulement tu ignores
les choses les plus importantes, mais
tu crois les savoir » disait Socrate à Al-
cibiade'.
ANNONCE DU PLAN
Trois parties
La première partie s’inté-
ressera notamment à l’as-
trologie laquelle connecte
les activités humaines avec
le cosmos, en déterminant
des durées liées à certaines
configurations astrales.
Mais l’astrologie actuelle
est elle-même des plus syn-
crétique et donc peu en me-
sure de servir de fondement
à une Constitution digne de
ce nom, à la hauteur de sa
mission. Ici, ce faisant, les
hommes entendent se sub-
stituer à Dieu.
.
I Constitutionalisme et Astrologie
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28 98 23
jacques halbronn La
fausse polarité des lumi-
naires en astrologie
Genése I
08 09 23
Evangile Matthieu 13
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II Langue anglaise et Français
16 09 23
I Procés de l'hébreu
Nous renvoyons à nos textes consacrés
aux marqueurs de genre en hébreu et
nous insisterons sur une probléma-
tique de la toxicité car parler une
langue peut être plus ou moins bien
vécu par ses locuteurs et il n'est pas
certain que l'on sache pleinement ap-
précier les conséquences psychiques
de la pratique de telle ou telle langue.
Car une chose est ce que l'on nous dit,
une autre ce que nous ressentons de
façon plus ou moins subconsciente;
Que se passe-t-il quand on nous af-
firme que A = B alors que d'un point
de vue cognitif, tout nous fait penser
le contraire?
C'est ainsi qu'en hébreu, l'on finit par
ne plus savoir distinguer le masculin
et le féminin et notamment quand
dans le rapport à "Dieu" lorsqu'il
s'adresse à nous, comme dans le
Ecoute (Shema) Israel, tant la final en
"a" revient souvent comme marqueur
du masculin (Eloheikha) alors même
que par ailleurs, l' on apprend que le
féminin de "melekh" est malka. La ré-
ponse standard est généralement que
cela n'a pas d'importance, que c'est du
pareil au même! On parlera d'argu-
ment synonymique.
II Procés du syncrétisme historique
L'autre facette d'un tel syndrome
concerne précisément la synonymie
régnante quant à la désignation même
des juifs, le terme le plus courant se-
rait "Israel" car si le mot juif dérive
de Juda (judaisme, judéité), le mot
même de Juda n'est guère employé.
hiatus entre les dérivés separés de leur
matrice. Autrefois, les juifs aimaient
se dire "israélite" et c'est ainsi que
nous nous décrivions dans notre en-
fance puis le terme a laissé la place à
juif, alors même que se constituait un
Etat d 'Israel, lui -même associé au
mot "sionisme" ou au mot "hébreu"
(Etat hébreu), autant de synonymes
qui veulent dire, désignent nous dit-
on, la même chose. Or, il est bon de
rappeler qu'il y eut un schisme, au len-
demain de la mort de Salomon, qui
produisit deux royaumes: au nord, ce-
lui d'Israël et au sud, celui de Juda,
centré sur Jérusalem. Comme l'ex-
plique Thomas Rômer -dans son En-
quéte sur la Sortie d'Egypte-la Bible
sera impactée par une telle dualité, ce
qui ressort de la distinction entre Elo-
him et Yahwé, mise en évidence par la
critique biblique (Elohiste, yahwiste)
Ainsi, comme pour la confusion des
marqueurs de genre (cf supra), on est
confronté à une confusion entre des
réalités politiques antagonistes que
l'on est invité à relativiser. En termes
de toxicité synonymique, il faudrait
ajouter toutes sortes de dénis, au ni-
veau sexuel comme au niveau racial,
au nom d'un impératif national censé
tout transcender et dépasser. Dans
certains pays comme la France, ce
sont ces autres formes de déni qui
nous interpellent, vu que la France
dispose d'une langue mieux préservée
et servie que l'hébreu et que son His-
toire n'est pas soumise au même car-
can scripturaire que celle des Juifs.
Psychosociologie. Méthodologie de la quéte
identitaire
13 09 23
ou encore la bénédiction
I Anglais
Wikipedia Tilde
"En français, le tilde, longtemps dénommé
« tiltre » ou « titre », a été utilisé comme
signe d'abréviation ou pour marquer les sons
nasalisés, en lieu et place de la lettre « n »
aujourd'hui ; il figure notamment trois fois
dans l'ordonnance de Villers-Cotterêts"
On peut se demander si le français n'a pas
maintenu une pratique qui s'est perdue
ailleurs mais en allant plus loin si le français
n' a pas fait l'objet d'emprunts, ce qui se
confirme de par la quantité colossale de mots
français passée dans d'autres langues.
Anthropologie et linguistique
La langue nous apparait tel miroir de la
société première et il convient de prendre
très au sérieux les marqueurs de genre et de
nombre dans toute démarche anthropolo-
gique. Elle est à la fois médium et message.
Mais ce qui nous intéresse, c’est le message
dont elle est intrinséquement porteuse et
non celui qu’on lui fait véhiculer. La langue
nous renseigne sur le clivage du masculin et
du féminin (marqueur de genre) comme sur
le clivage entre le chef et le peuple.-singulier-
pluriel.(marqueur de nombre)
Nous opposons la matrice et ses dérivés, ses
prolongements. Pour nous, cette dialectique
est au cœur de la dynamique de la langue
première avec le passage du singulier au plu-
riel. . On aura compris que la matrice est
concentrée, ce qui implique une contraction,
une réduction (au sens alchimique du
terme). C’est ainsi que l’adverbe prolonge
l’adjectif : grand donne grande, au féminin
d’où l’adverbe grandement. Le français se
rapproche remarquablement d’un tel proces-
sus, ce qui est loin d’être le cas de la plupart
des langues que nous connaissons. En fait,
une telle « contraction » conduit à une sono-
rité particulière comme humain se distingue
d’humaine, avec la diphtongue « ain » qui se
dissout au féminin.
Pour nous, l’approche individuelle n’est
viable qu’à condition de référer la personne à
un groupe qui aura pu être étudié, décrit. La
résolution des conflits interindividuels passe
par la prise consciences des appartenances
respectives. En ce sens, la psychosociologie
est vouée à terme à évacuer l’approche psy-
chothérapeutique personnelle. Il est clair que
cela vaut pour l’astropsychologie qui prétend
cerner la personne par son thème au lieu de
la situer au sein de telle ou telle catégorie. La
langue française a su préserver une dualité
phonologique qui s’est estompée dans
d’autres langues grâce notamment au main-
tien des diphtongues, notamment articulées
sur la lettre « n » à l’écrit mais qui sont sou-
vent restées « lettres mortes », à l’instar de
l’allemand dont le « ein », le « sein », ne sont
plus prononcés correctement.
Anomalies du français
Le français n’est cependant point exempt de
certaines aberrations mais celles-ci semblent
pouvoir être décelées et signalées comme
pour le marqueur de pluriel où la lettre « s »
tantôt est occultée comme dans « les »,
« des » et tantôt ne l’est pas alors que cela
fait immédiatement suite : les vacances, le
premier « es » devient « é » mais point le se-
cond. En revanche, l’italien a supprimé tous
les S du pluriel et prononce « é » toutes les
finales à la différence de l’espagnol et de l’an-
glais. (Amigos).
Comme il a été exposé, la forme matricielle
doit être plus ramassée que ses dérivées de
genre (passage du masculin au féminin) et de
nombre (passage du singulier au pluriel)
Parmi les anomalies les plus frappantes,on
s’arretera sur le dialectique du L et du U en
franaçais. Selon nous bel donne beaux au
pluriel, nouvel, nouveaux et c’est par erreur
que beau est donné comme masculin ; Le L
est matriciel et est remplacé lors d’une déri-
vation par le U. Bel, donne beauté et le sub-
stantif dérive toujours du féminin (bel/mas-
culin, beau, féminin/beauté) tout comme
cheval donne chevaux, général, généraux.
Comment se fait-il alors que l’on ait le mas-
culin « du » et « au » et le féminin « de la »
et « à la » si l’on admet que le « u » se sub-
stitue au « l » au féminin ? On devrait avoir
« del » et non « du », forme que l’on trouve
en espagnol. (del hombre, de la mujer) En
italien, on trouve « un uomo al potere » (un
homme au pouvoir). Ici, ce sont les autres
langues latines qui sont dans le vrai.
Linguistique et anthropologie
Exode II
ג וַי ְִהי ַבּי ִָמים הָ ַר ִּבים 23 Il arriva, dans ce
וַּיָמָ ת מֶ לְֶך,הָ ֵהם long intervalle, que
וַּיֵָאנְחּו,ִמצ ְַריִם le roi d'Égypte mou-
יִׂשְ ָר ֵאל-ְבנֵי rut. Les enfants
; וַּיִזְעָ קּו,הָ עֲ ב ֹדָ ה-ִמן d'Israël gémirent du
ַ ו ַ ַּת ַעל
ׁשו ְעָ תָ ם sein de l'esclavage
,ֹלהיםִ ֱהָ א-אֶ ל et se lamentèrent;
leur plainte monta
הָ עֲ ב ֹדָ ה- ִמן. vers Elohim du sein
de l'esclavage.
ִ ּב ֵר
ּב ָָרא,אׁשית ְ א 1 Au commence-
ִ ֱ אment, Dieu créa le
ו ְֵאת, ֵאת ַהּׁשָ ַמיִם,ֹלהים
ֶ ָה.
ָארץ ciel et la terre.
JEREMIE II, 32
12 09 23
WIKIPEDIIA
• "Pour Boulainvilliers, le phénomène de la
JHB 09 09 23
11 09 23
Jérémie XXXI
30 Voici, des jours
vont venir, dit le Sei-
ִ ִ
,ל הּנה י ָמים ּבָאים ֵ ִ
gneur (-)י ְהו ָה, où je
,י ְהו ָה; וְכ ַָר ִּתי-נְאֻ ם
conclurai avec la mai-
ֵּבית יִׂשְ ָר ֵאל-אֶ ת
-- ֵּבית י ְהּודָ ה- ו ְאֶ תson d'Israël et la mai-
ּב ְִרית חֲ דָ ׁשָ ה. son de Juda -ֵּבית י ְהּודָ ה
une alliance (Brit) nou-
velle,
אֲ ֶׁשר נָתַ ן,הָ עִ נְ יָן-יתי אֶ ת ִ ִא 10 J'ai observé la besogne que Dieu
.ֹ ַלעֲנוֹת ּבו--ָאדם ָ ָֹלהים לִ בְ נֵי ה
ִ ֱא a assignée aux fils d'Adam pour se
fatiguer en efforts.
En revanche, dans Ezékiel, Dieu s’adresse au prophéte en
tant que « Ben Adam » mais c’est traduit par « Fils de
l’homme » ! Au verset 3 du chapitre III , on trouve une for-
mule assez étrange puisque l’on a ‘Fils de l’homme » et
« enfants d’Israel » dans la même phrase !
ָאדם ׁש ֹולֵחַ אֲ ִני-ן
ָ ֶ ּב,ג וַ ּיֹאמֶ ר אֵ לַי 3 Il me dit: "Fils de l'homme, je
ּגוֹיִ ם-אֶ ל--ּבְ נֵי יִ ְׂש ָראֵ ל-או ְֹתָך אֶ ל t'envoie vers les enfants d'Israël,
הֵ ּמָ ה:בִ י- אֲ ֶׁשר מָ ְרדּו,הַ ּמו ְֹר ִדים vers les peuples rebelles qui se
עֶ צֶ ם הַ ּיוֹם- עַ ד,וַ אֲ בוֹתָ ם ּפָ ְׁשעּו בִ י sont révoltés contre moi; eux et
.הַ ּזֶ ה
leurs ancêtres ont péché contre
moi jusqu'au jour où nous
sommes.
La critique biblique
Il nous apparait que contrairement au découpage proposé
par Jean Astruc, (l’hypothèse documentaire en 1753 dans ses « Conjectures sur
les mémoires originaux dont il parait que Moïse s’est servi… ») ce n’était pas la
référence à Yahwé ou à Elohim qui pouvait servir de critère
de classement (chronéme, chorème) mais bien la référence à
Adam et à Israel, Adam correspondant à Esau et à la maison
de Juda et Israel à son frère, Jacob et à la maison d’Israel,
à laquelle se référe Jésus « Je suis venu pour les brebis per-
dues de la maison d’Israel », ce qu’il faut comprendre par
l’idée de pardon et de rachat des fautes de cette maison en
dissidence-« perdue »- au lendemain de la mort du roi Salo-
mon, ce qui aura donné selon nous, naissance, à la problé-
matique du « péché originel ».(Ch II-III du Livre de la Ge-
nése).
La critique nostradamique
Ezra :
, לְ כו ֶֹרׁש מֶ לְֶך ּפָ ַרס,א ּובִ ְׁשנַת ַאחַ ת 1 Dans la première année de Cyrus, roi
de Perse, à l'époque où devait s'accom-
: ִמּפִ י יִ ְר ְמיָה,יְ הוָ ה-לִ כְ לוֹת ְּדבַ ר plir la parole de l'Eternel annoncée par
רּוחַ ּכ ֶֹרׁש- אֶ ת,הֵ עִ יר יְ הוָ ה Jérémie, l'Eternel éveilla le bon vouloir
קוֹל- וַ ַּיעֲבֶ ר,ּפָ ַרס-מֶ לְֶך de Cyrus, roi de Perse; et celui-ci fit
ּבְ ִמכְ ָּתב- וְ גַם,ֹמַ לְ כּותו-ּבְ כָ ל proclamer dans tout son empire, par la
.לֵאמֹר voix [des hérauts] et aussi par des mis-
sives écrites, ce qui suit:
ּכֹל-- ּכ ֶֹרׁש מֶ לְֶך ּפָ ַרס,ב ּכֹה ָאמַ ר 2 "Ainsi parle Cyrus, roi de Perse:
L'Eternel, Dieu du ciel, m'a mis entre
נָתַ ן לִ י יְ הוָ ה,ָארץ ֶ ָמַ ְמלְ כוֹת ה les mains tous les royaumes de la terre,
פָ ַקד עָ לַי-אֱ ֹלהֵ י הַ ָּׁשמָ יִ ם; וְ הּוא et c'est lui qui m'a donné mission de lui
ירּוׁש ִ ַלם אֲ ֶׁשר
ָ ִ ּב,ל ֹו בַ יִ ת-לִ בְ נוֹת bâtir un temple à Jérusalem, qui est en
.יהּודה
ָ ִּב Judée.
יְ ִהי אֱ ֹלהָ יו,ֹעַ ּמו-בָ כֶ ם ִמּכָ ל-ג ִמי 3 S'il est parmi vous quelqu'un qui ap-
partienne à son peuple, que son Dieu
ירּוׁש ִ ַלם אֲ ֶׁשר
ָ ִ ל, וְ יַעַ ל,ֹעִ ּמו soit avec lui, pour qu'il monte à Jérusa-
ּבֵ ית יְ הוָ ה- אֶ ת,יהּודה; וְ יִ בֶ ן ָ ִּב lem, qui est en Judée, et bâtisse le
,ֹלהים ִ ֱהּוא הָ א--אֱ ֹלהֵ י יִ ְׂש ָראֵ ל temple de l'Eternel, Dieu d'Israël, de ce
.ירּוׁש ִ ָלם
ָ ִאֲ ֶׁשר ּב Dieu qui réside à Jérusalem!
Nostradamus et l’Antéchrist
CONCLUSION
Critique du syncrétisme propre à toute vision
linéaire de l'Histoire.