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Présenté par :
Ing. Mahouna Raphaël DOGBLE
Encadré par :
Sous la direction de :
Je dédie ce mémoire :
Je ne saurais commencer ce mémoire sans remercier Dieu tout Puissant pour son
assistance et sa protection de tous les jours : « Tout vient de toi Seigneur et nous
venons t’offrir ce que ta main nous donne par amour et par bonté. Merci Seigneur
pour ton Amour.
A mes sœurs et frères pour leurs soutiens indéfectibles qui relèvent d’une
utilité importante pendant toute la durée du cycle.
Remerciements ...................................................................................................................... ii
Résumé .................................................................................................................................. v
Abstract ................................................................................................................................. vi
Tableau 1.1 : Exemples de matériaux composites, pris au sens large (Généralités sur
les matériaux composites) .......................................................................................... 6
Tableau 1.2 : Caractéristiques des résines thermodurcissables (I. Slama) ............. 11
Tableau 1.3 : Caractéristiques de quelques thermoplastiques (I. Slama) ............... 12
Tableau 1.4 : Caractéristiques physiques des composites à 07 jours d'âges ........... 37
Tableau 1.5 : Caractéristiques physiques des composites à 14 jours d'âges ........... 37
Tableau 1.6 : Caractéristiques physiques des composites à 28jours d’âge ............. 38
Tableau 1.7 : Caractéristiques mécaniques des composites à 14 jours d'âges ........ 38
Tableau 1.8 : Caractéristiques mécaniques des composites à 28 jours d'âges ........ 39
Tableau 2.1 : Proportions utilisées pour la constitution des mélanges ................... 55
Tableau 2.2 : Caractéristiques de la colle ................................................................ 63
Tableau 2.3 : Masse des différents constituants dans la confection des plaques .... 65
Tableau 2.4 : Caractéristiques thermiques du plexiglas .......................................... 81
Tableau 3.1: Résultats de l'analyse granulométrique .............................................. 87
Tableau 3.2: Masse volumique absolue des mélanges des gousses de mil ............. 89
Tableau 3.3: Masse volumique des fibres de coton ................................................ 90
Tableau 3.4: Densité apparente des mélanges ........................................................ 90
Tableau 3.5: Taux d'humidité des mélanges ........................................................... 91
Tableau 3.6: Taux d'humidité des fibres de coton .................................................. 91
Tableau 3.7: Masse volumique du polystyrène et de l’essence utilisée .................. 91
Tableau 3.8: Masse volumique de l'amidon ............................................................ 92
Tableau 3.9 : Valeur recueillie et traitée ................................................................. 95
Tableau 3.10 : Valeur des paramètres thermiques .................................................. 98
Tableau 3.11 : Valeurs des températures relevées en fonction du temps t, de ln(t) et
de t (MG0,8) ............................................................................................................. 98
D = 0,8
D=1
MF : Aminoplastes
PF : Phénoplastes
PA : Polyamides
POM : Polyoxy-Méthylène
PP : Polypropylène
PS : Polystyrène
PUR : Polyuréthane
Domaines
Type de composite Constituants
d'application
1. Composites à
matrice organique Résines/charges/fibres
- Papier, carton cellulosiques Imprimerie,
- Panneaux de Résine/copeaux de bois emballage, etc.
particules Résine/fibres de bois Menuiserie
- Panneaux de fibres Résines souples/tissus Bâtiment
- Toiles enduites Elastomères/bitume/textiles Sports, bâtiment
- Matériaux Caoutchouc/toile/acier Toiture, terrasse, etc.
d'étanchéité Résine/charges/fibres de Automobile
- Pneumatiques Verre, de carbone, etc. Domaines multiples
- Stratifiés Résines/microsphères
- Plastiques renforcés
2. Composites à
matrice minérale
- Béton Génie civil
- Composite carbone Ciment/sable/granulats Aviation, espace,
Carbone/fibres de carbone sports, biomédecine,
carbone etc.
- Composite Céramique/fibres céramiques Pièces
céramique thermomécaniques
3. Composites à
Aluminium/fibres de bore Espace
matrice métallique Aluminium/fibres de carbone
4. Sandwiche Métaux, stratifiés, etc.
- Peaux Mousses, nids d’abeilles,
balsa, Domaines multiples
- Ames plastiques renforcés, etc.
Les thermodurcissables sont des plastiques qui prennent une forme définitive au
premier refroidissement. La réversibilité de forme est impossible car ils ne se
ramollissent plus une fois moulés. Sous de trop fortes températures, ils se dégradent
et brûlent (la carbonisation). Les molécules de ces polymères sont organisées en de
longues chaînes dans lesquelles un grand nombre de liaisons chimiques solides et
tridimensionnelles ne peuvent pas être rompues et se renforcent quand le plastique
est chauffé. La matière thermodurcissable garde toujours sa forme en raison de ces
liaisons croisées et des pontages très résistants qui empêchent tout glissement entre
les chaînes.
Les polyesters insaturés (Figure 1.2) sont obtenus par réaction de condensation entre
différents polyacides et des glycols (éthylène glycol, propylène glycol). Ces produits
appelés époxydes sont des substances chimiques comportant un oxygène ponté sur
une liaison carbone-carbone. Ils sont dilués ultérieurement dans un monomère non
saturé comme le styrène. Quand un catalyseur est introduit dans cette résine, les
produits se combinent provoquant un durcissement irréversible appelé la réticulation
qui correspond à l’apparition de liaisons chimiques formant un réseau
macromoléculaire tridimensionnel.
Dans ce groupe, une des plus anciennes matières plastiques connue est la Bakélite.
Ce matériau providentiel a eu d'innombrables applications dans les domaines
scientifiques et dans la réalisation d’objets tels les téléphones, les postes de radio.
Ces résines thermodurcissables résistent très bien aux produits chimiques et à la
chaleur. Elles sont également électriquement isolantes. On peut les transformer par
moulage et par compression pour fabriquer les poignées de casserole, de fer à repasser
et des plaques de revêtement.
Les aminoplastes (MF)
Polyester
1,2 50-65 3 120
Phénol
1,2 40-50 3 120-150
Formaldéhyde
1,1-1,4 50-90 3 120-200
Epoxyde
1,1-1,5 20-50 1 100-120
Polyuréthanne
1,15 70-80 3,5 140
Vinyl-esther
Les thermoplastiques
Le PEBD est utilisé dans les domaines les plus divers. Sa densité est inférieure à celle
de l'eau. Il présente une bonne résistance chimique, il est olfactivement,
gustativement et chimiquement neutre pour les denrées alimentaires. Il est
transparent, peut être facilement transformé et se prête très bien au soudage. Sa durée
de vie est très longue à cause de sa grande stabilité et il se recycle bien. Les
principales applications du PEBD sont des produits souples : sacs, films, sachets, sacs
poubelles, récipients souples (bouteilles de ketchup, de shampoing, tubes de crème
cosmétique …).
Le PEHD est utilisé pour des objets plastiques rigides. On le trouve par exemple dans
des bouteilles et des flacons, des bacs poubelles, des cagettes, des tuyaux, des fûts,
des jouets, des ustensiles ménagers, des boîtes de types « Tupperware », des
jerricans…
Certains sacs plastiques sont constitués par du PEHD : lorsque le sac se froisse
facilement sous la main, avec un bruit craquant et revient spontanément à sa forme
d'origine, c'est du PEHD. Lorsque le touché est plus « gras », que le plastique se
froisse sans bruit et se perce facilement avec le doigt, c'est du PEBD.
C’est aussi un polymère très polyvalent qui sert à la fois comme thermoplastique et
comme fibre. Il est très facile à colorer et n'absorbe pas l'eau. On en trouve beaucoup
sous forme de pièces moulées dans les équipements automobiles (pare-chocs,
tableaux de bord, habillage de l'habitacle) et dans le mobilier de jardin. Ce matériau
sert à fabriquer des boîtes à aliments qui résistent au lave-vaisselle parce qu'il ne fond
pas en dessous de 160°C. Le polypropylène (Figure 1.4) est aussi utilisé dans la
fabrication de fibres synthétiques (tapis, moquettes, cordes, ficelles) mais aussi pour
les emballages alimentaires en raison de son aspect brillant et de sa résistance
(flacons, films, pots). Cependant, le PP film est l’un des plastiques usuels les plus
difficiles à recycler surtout s'il est imprimé. Le contrôle de la polymérisation par
catalyse permet de jouer sur la structure enfin de produire du polypropylène
élastomère.
Le polystyrène (PS)
Le polycarbonate (PC)
(Figure 1.9) Il est obtenu par la polymérisation des monomères de chlorure de vinyle
CH=CH−Cl2. Ce polymère de formule − (CH − CH − Cl) −2n est issu d’une réaction
chimique entre l’éthylène et l'acide chlorhydrique, qui en présence d'oxygène, peut
être soit rigide soit souple selon les ingrédients qu'on lui incorpore. Le PVC rigide,
qui a un aspect lisse et dur, est utilisé pour les tuyaux de canalisation. Le PVC souple,
qui recouvre certaines pièces comme les manches de pinces, a un aspect brillant.
C’est après le PE, le plastique le plus utilisé au monde. Il est largement employé dans
l’industrie de l’ameublement et dans le bâtiment ou le génie civil.
(Figure 1.10) C'est la première matière plastique avoir été découverte en 1938. Selon
la longueur des chaînes, on obtient différents types de PA que l’on distingue par des
chiffres : par exemple le PA 6.6 est le nylon. Ce sont des polymères qui offrent un
bon compromis entre les qualités mécaniques, thermiques et chimiques. Les
polyamides sont utilisés pour réaliser des pièces moulées dans l'appareillage ménager
et automobile, des tapis et des moquettes, de la robinetterie, de la serrurerie, des
engrenages, des textiles (lingerie et voilages) ... L'inconvénient principal de tous les
polyamides est qu’ils sont hydrophiles ce qui limite leur usage pour certaines pièces
mécaniques.
Autres additifs
Il existe une panoplie d’additifs que l’on ajoute aux matières plastiques, soit
pour faciliter la transformation ou simplement pour améliorer la qualité des produits
finis. Parmi ceux-ci, on retrouve : les plastifiants, les stabilisants, les colorants, les
antichocs, les antistatiques, les agents ignifuges, etc. Tous ces adjuvants sont utilisés
en faible quantité (inférieure à 1%), sauf les colorants, et leur insertion varie selon la
fonction des produits finis. Par exemple, le polypropylène se dégrade rapidement
avec les rayons ultraviolets (UV). L’utilisation de certains additifs protecteurs peut
réduire la vitesse de dégradation de ce polymère vis-à-vis de l’exposition à l’UV.
Généralement, on retrouve trois types de stabilisant UV : les absorbeurs, qui
empêchent la pénétration des rayons UV, les extincteurs, qui désactivent les états
excités par les photons, ainsi que les pigments comme le noir de carbone. Cependant,
les pigments sont majoritairement utilisés en tant que colorant pour améliorer l’aspect
visuel des produits finaux qu’ils soient en injection, extrusion ou compouding.
Certains phénols, mercaptans, phosphites et amines sont utilisés comme antioxydants
dans le but de retarder l’oxydation thermique au cours de la transformation et de
l’utilisation du polymère. Lors d’essais comparatifs, il est important de conserver les
mêmes proportions de chacun des additifs, puisqu’il peut en résulter des variations
importantes sur les propriétés des objets transformés. La coloration permet non
seulement d’améliorer l’aspect visuel, mais peut aussi servir d’outil de mesure pour
évaluer le vieillissement à long terme.
Ainsi, suivant la taille des particules, on distingue les panneaux de fibres, les
panneaux de particules, les panneaux de copeaux, les panneaux de lamelles minces
et longues et les contres plaqués.
Suivant l'usage et les conditions d’utilisation des panneaux, la norme EN 312 définit
huit types de panneaux de particules : P1 – P7.
En général, quel que soit le type de panneau de particules, les exigences générales
portent sur la stabilité dimensionnelle dont la méthode d’essai est régie par la norme
EN 324-1, la teneur en humidité régie par (EN 322), la masse volumique régie par
(EN 323) et le potentiel d’émission de formaldéhyde régi par (EN 120).
Les tests physiques et mécaniques auxquels les panneaux de particules sont soumis
dépendent du type et de la norme de certification utilisée. Ainsi selon la norme EN
312, en plus des exigences générales, seule la résistance à la flexion (EN 310) et la
cohésion interne (EN 319) sont requises pour les panneaux de type P1. Les valeurs
de la résistance à la flexion, de module d’élasticité en flexion, de cohésion interne et
de gonflement en épaisseur après immersion (EN 317) sont requises par la norme EN
312 pour tous les autres types de panneaux. Par contre la norme ANSI 208.1 requiert
la mesure de tous les paramètres cités plus haut quel que soit le type de panneau.
1.2.6.1 L’extrusion
L’extrusion est un procédé de fabrication et de transformation de matières à
l’état granulaire ou poudre en un profilé (Trotignon, 1996). Lors de l’extrusion, les
fibres sont incorporées au thermoplastique fondu à l’aide d’un système de vis. À la
sortie de l’extrudeuse, le mélange est extrudé sous forme d’un profilé. Le système se
divise habituellement en trois zones : l’alimentation, la compression et le pompage.
La zone d’alimentation permet la plastification du polymère. Ensuite, le matériau va
être comprimé dans la deuxième zone. Cette étape assure un dégazage adéquat du
fondu. Enfin, le polymère est homogénéisé dans la zone de pompage. La sortie de
l’extrudeuse (filière) donnera la forme finale à l’extrudé. L’extrusion produit souvent
une dégradation importante des fibres et engendre souvent des cassures (Gamsdet,
2007).
1.2.6.3 Le thermoformage
Le thermoformage est aussi une méthode de production de panneaux de
particules en deux phases qui consiste à faire acquérir, sous l'action de la chaleur et
de la pression, une forme particulière à un matériau fibreux précédemment pressé en
plaque. Le matériau de base est ramolli sous l'effet de la chaleur puis mis en forme
sur un moule de forme simple. Le thermoformage de plaques cellulosiques pré-
pressées peut se faire sous pression, par drapage, sous ventilation libre ou par simple
collage de feuilles. Cette technologie est souvent utilisée pour la mise en forme des
panneaux intérieurs des portières des automobiles (English, et al., 1997)
1.2.6.5 La finition
La finition des panneaux de particules intervient après le démoulage. Elle concerne
les opérations visant :
La stabilité dimensionnelle des panneaux (traitements contre la prise
d’humidité) ;
La mise au format par sciage, ponçage, découpe et conditionnement ;
Les traitements post-formage tels que la peinture, l’enduction de vernis, de
produits de protection contre les agressions biologiques, et le placage.
1.3 Notions et définitions
1.3.1 Eco-conception et éco-matériau
1.3.1.1 Principe de l’éco-conception
L’éco-conception est un concept utilisé au plan international et développé par le
« World Business Council for Sustainable Development » lors du sommet de Rio de
1992. Il s’agit d’intégrer l’environnement dès la phase de conception des produits, en
s’appuyant sur une approche globale et multicritère des impacts sur
l’environnement, ainsi que sur la prise en compte de toutes les étapes de vie des
produits. Cette démarche peut s’accompagner d’un système de management
environnemental (SME) au sein de l’entreprise.
Pour un produit standard, on doit établir, pour chaque phase de sa vie, le coût en
termes de ressources (matières premières, énergie), l’inventaire des émissions et
l’estimation de l’impact sur l’environnement. Cela requiert des données sur les
matériaux et les procédés de fabrication, parfois difficiles à obtenir. De plus la
démarche d’éco-conception est coûteuse en temps et en argent, d’où la nécessité de
mettre au point des éco-indicateurs pertinents et utilisables dans la pratique (Rydh
C.J. et al., 2005 ; Tiruta-Barna L. et al., 2007). L’ACV (Analyse du cycle de vie)
est surtout utilisée pour comparer des solutions technologiques entre elles. Elle est
seulement appliquée à quelques composants du produit complet et se limite le plus
souvent à quelques critères environnementaux et/ou à certaines phases de vie du
produit.
1.3.1.2 Eco-Matériaux
Le terme d’éco-matériaux est défini dans une publication de Kohmei Halada
en 1992 (Halada K., 1992, 31, p. 505-512) et cette notion prend tout son sens dans le
contexte de développement durable et d’éco-conception.
Il s’agit par exemple de matériaux sans plomb, sans gaz halogènes (retardateur de
feu, substitut du PVC...), sans mercure, de matériaux semi-conducteurs moins
dangereux pour l’environnement...
L’approche de ces auteurs est par ailleurs intéressante puisqu’ils lient les notions
d’environnement et de gestion des risques, une dimension souvent oubliée lorsqu’on
traite de développement durable (Yagi K. et al., 2001).
Nos travaux qui portent sur la valorisation de la biomasse non alimentaire polluante
et le recyclage de déchets plastiques sont en adéquation avec cette approche.
Le passage d’une matrice fragile à un composite ductile est souligné pratiquement par
tous les auteurs. Mais il ne va pas forcément de pair avec l’amélioration des résistances
à la flexion, à la traction ou à la compression : celles-ci dépendent de plusieurs
paramètres à savoir le dosage et la longueur des fibres. Abdullah et al., ont observé
l’évolution de quelques caractéristiques physiques du mortier renforcé de fibres de
coco en fonction de la quantité de fibres présente dans le mélange (Abdullah A., 2011).
Les résultats révèlent que les fibres contribuent à la baisse de la densité du matériau
final. Cette conclusion s’explique par le fait que la masse volumique des fibres est
moins importante que celle des autres granulats. Il en est de même pour l’absorption
d’eau par le matériau ; plus il y a de fibres, plus la capacité hydrique est élevée.
Dans ce même contexte, Taoukil et al, ont suivi l’évolution de la masse volumique et
de l’absorption sur des bétons allégés de copeaux de bois et de sciure de bois (Taoukil
et al, 2011). Ils en arrivent à établir que pour l’un ou l’autre des allègements utilisés,
BANI, en faisant l’étude des caractéristiques physiques de ces matériaux laisse voir
une nette variation du taux d’humidité, de la masse volumique et du taux d’absorption
à différent âge. On remarque une diminution du taux d’humidité et de la masse
volumique de 7 jours à 28jours d’âges. Cette étude montre que le composite gousse
de mil-ciment reste le moins absorbant et plus dense. Ceci montre que la présence des
fibres et du sable a permis d’avoir plus de vides dans le matériau ce qui le rend moins
dense et très absorbant. Les tableaux 1.4, 1.5 et 1.6 suivants présentent ces résultats :
Caractéristiques
FORMULATION
mécaniques
Masse Résistance Résistance
DOSAGE
Nomenclature volumique traction compression
(kg/m3)
(g/cm3) (Mpa) (Mpa)
MGC-D350-
350 4,6 0,25 1,406±0,06 3,75±0.53 3,06±0.43
E0,25
MGCS-
250 1,6 0,43 2,5 1,316±0,04 4,5±0.26 1,625±0.23
D250-E0,43
Les résultats obtenus avec le mélange de ciment sable – gousse de mil confirme ceux
de Mougel et Neville. Selon, Mougel et al., l’incorporation de sable pouvait réduire
le nombre de microfissures engendrées lors du retrait, tout en améliorant les
performances mécaniques des composites. En fait, l’incorporation de granulats
possédant un module d’élasticité supérieur à celui de la pâte de ciment, limite la
propagation des microfissures et améliore la stabilité dimensionnelle (Mougel,1981).
Sagnaba SOULAMA (2014) qui a fait son étude sur : Caractérisation mécanique et
thermique de bio composites à matrice polystyrène recyclé renforcée par des coques
de cotonnier (Gossypium hirsutum L.), ou de particules de bois de kénaf (Hibiscus
Cannabinus L.). Dans sa thèse il parle des propriétés des panneaux élaborés avec les
paramètres optimisés. La conductivité thermique trouvé par cet auteur au niveau des
panneaux en tige de kénaf est de 0,066(W/m.K) et celle trouvé au niveau des panneaux
en tige de cotonnier avec l’écorce est de 0,067(W/m.K)
Le granulat utilisé par Nguyen TT. et al (2008) pour confectionner ses éprouvettes
est de la chènevotte pure. Il est obtenu par défibrage total et broyage de la tige du
chanvre. Selon leurs études la masse volumique de la chènevotte est de 103 kg/m³ et
Les valeurs des conductivités thermiques (paramètre essentiel pour choisir un bon
isolant) sont dans la plage [0,6 - 1]W/m.K : 0.66 pour l’échantillon 9 ; 0,92 pour E4
et 0,90 pour E3
La caractérisation thermique, volet très important de cette étude n’a pu se faire dans
sa totalité expérimentalement, il est donc recommandé pour valider les modèles
théoriques l’achèvement de cette partie de l’étude et ce avec des appareils plus
adaptés telle que la HFM 436 lambda.
Tous les panneaux réalisés ont présentés des caractéristiques mécaniques (module en
flexion MOE, contrainte à la rupture MOR), supérieures à celles exigées par la norme
; de plus la conductivité thermique mesurée pour les deux panneaux reste inférieure à
0,12W/m.K qui est la valeur préconisée par la norme. Cependant un des paramètres de
la norme n’a pu être satisfait : il s’agit du taux de gonflement du panneau après 24h
d’immersion dans l’eau. Les meilleures valeurs trouvées qui sont de 38% pour le
panneau en tiges de cotonnier et 42% pour le panneau en tiges de kénaf sont très
supérieures au 8%, valeur préconisée par la norme ANSI 208, 1999. Par conséquent
nos panneaux ne sont pas aptes à travailler dans un milieu humide, ils ne peuvent être
utilisés à l’état que dans un milieu sec. De plus, l’isotherme de d’adsorption et la
simulation numérique du comportement du panneau dans un milieu humide ont
confirmé ce résultat. Néanmoins des pistes de traitement (par revêtement) approprié
pourront faire l’objet d’étude à partir des résultats actuels sur la modélisation des
phénomènes de transfert dans les panneaux en milieu humide en vue de permettre une
utilisation dans ces milieux.
Vilaseca et al., (2004) ont comparé la fibre de chanvre avec la fibre de verre comme
renfort dans le polystyrène. La fibre de chanvre a été traitée avec un agent hydrophobe
le AKD (ALKYLKETENE DIMER), pour la rendre hydrophobe. Les différences
dans les propriétés mécaniques des composites à fibre de chanvre et ceux à fibre de
verre sont assez élevées quand la teneur en fibre est faible. Cependant, avec
l'augmentation de la teneur en fibre, les écarts deviennent moins importants. Un point
intéressant soulevé par les auteurs est le fait que les propriétés mécaniques du
composite de chanvre sont moins élevées, mais que la densité finale est aussi plus
faible que le composite de fibre de verre. Pour pallier cet écart de comportement
mécanique, il est possible d'augmenter la teneur en fibres de chanvre dans le
composite pour ainsi augmenter sa densité et réhausser ses propriétés mécaniques.
Glenn et al., (2001) ont comparé les propriétés mécaniques de composites d’amidon
expansé renforcé par des fibres de bois tendre avec ou sans carbonate de calcium
(CaCO3) mis en forme par le procédé de moulage avec celles des matériaux utilisés
actuellement dans l’industrie de l’emballage (polystyrène expansé et carton bi
couche). Les résultats montrent que les composites contenant des fibres (rapport
massique amidon/fibres=5 :1) possèdent les meilleures propriétés mécaniques.
Leurs propriétés mécaniques sont comparables à celles de matériaux traditionnels de
l’emballage, contrairement aux faibles propriétés mécaniques de l’amidon expansé
seul ou de l’amidon expansé chargé de CaCO3.
UMURIGIRWA-VASSEUR., B. S. (2014) a travaillé sur l’Elaboration et
Caractérisation d’un agromatériau Chanvre-Amidon pour le Bâtiment. Elle a constaté
que pour avoir un bon composite on doit augmenter la quantité d’eau afin de faciliter
le malaxage du composite. Ensuite elle constate que la conductivité thermique évolue
en fonction de la masse volumique. En effet plus on augmente le dossage en liant plus
la condutivité thermique et la résistance mécanique augmente. Cela s’explique par le
fait que plus les fibres vont être noyées dans une quantité importante de liant plus
leurs conductivités thermiques vont augmenter. La conductivité thermique est aussi
fonction de la température et de l’humidité. Ce qui est en accord avec les travaux
de Cerezo (2005), Evrard (2008), et Pretot et al (2009).
1.5. Conclusion
Avec l’utilisation croissante des matériaux composites, le développement de
moyens de caractérisation structurale et thermique fiables est devenu un enjeu
important sur le plan scientifique technologique et économique. En effet, les
composites gousses de mil/plastiques sont composés de polymères thermoplastiques
souvent recyclés et des déchets de gousses de mil en plus ou moins grandes
2.2.2 Le coton
Le coton provient un peu partout (du nord au sud) de l’ensemble du territoire
national. Notamment, il a été ramassé dans les champs de Banikora, à Aplahoué et
aux alentours des différentes usines d’égrenage de coton du pays ;
Pour réussir l’adhésion de toutes les fibres à l’intérieur du liant, nous avons dû
défibrer mécaniquement les fibres de coton (Photo 2-2) qui a pour rôle, à l’instar de
beaucoup d’autres défibreuses de :
rendre les déchets de fibre de coton propres en ôtant d’eux, les déchets qui s’y
trouvent (poussière, les pierres, les tiges de bois, etc.) ;
détacher les fibres entremêlées en les rendant libres.
Les résidus de coton sont pratiquement inexploitables à l’état primitif, pour ce faire
nous avions recyclé ces derniers. La valorisation des déchets à l’aide d’une défibreuse
mécanique nous a permis d’avoir un bon matériau.
2.4 Méthodologie et matériels des essais réalisés sur les gousses de mil et
la fibre de coton
2.4.1 Analyse Granulométrique par tamisage pour les gousses de mil
But de l’essai
L'analyse granulométrique conformément à la norme « (NF P 94-056) »
permet de déterminer la grosseur et les pourcentages pondéraux respectifs des
différentes familles de grains constituant les échantillons. Elle s’applique à tous
les granulats de dimension nominale inférieure ou égale à 63 mm et supérieure à
0,08 mm à l'exclusion des fillers. Le matériau doit être séché à l’étuve jusqu’à
masse constante avec une température maximale de 105°C.
Principe de l’essai
L'essai consiste à classer les différents grains constituants l'échantillon par
rapport à leur dimension en utilisant une série de tamis (0,16 - 0,315 - 0,63 - 1,25
- 2,5 - 5 - 10 - 20 - 40 et 80 mm), emboîtés les uns sur les autres, dont les
dimensions des ouvertures sont décroissantes du haut vers le bas.
Mélange grossier
1
MF = 4,872 + 18,714 + 17,276 + 9,469 + 4,927)
122
MF = 0,553 ± 0,005
Mélange fin
1
MF = 0,696 + 6,238 + 17,276 + 28,407 + 34,489)
122
Matériels utilisés
- Étuve ;
- Une balance électronique ;
- Un bocal.
Mode opératoire
- Tarer un bocal, soit T.
- Mettre l’échantillon dans un bocal rempli à ras bord et peser ; soit m1 la masse
Avec H : Taux d’humidité, m1 : masse initiale des gousses, m2 : masse finale des
gousses.
2.5 Méthodologie et matériels des essais réalisés sur le polystyrène expansé
et l’amidon
2.5.1 Détermination de la masse volumique
La procédure de caractérisation de son poids volumique se décrit comme suit :
Matériels utilisés
- Balance électronique ;
- Pieds à coulisses.
Mode opératoire
- Peser le polystyrène à l’aide de la balance électronique. Soit m ;
- Déterminer le volume V du polystyrène pesé.
La masse volumique ρ est donc obtenue par la formule suivante :
#
ρ (2.4)
:
Avec : mb : masse du bocal, mbe : masse (bocal + eau), mbc : masse (bocal + colle),
Vb : volume du bocal, messence : masse de l’essence, Vbe : volume (bocal + eau) , :
masse volumique de l’essence
Le rapport a été déterminé suite à plusieurs essais ; en effet, on a pesé une masse m
d’essence donnée et fondu le polystyrène jusqu’à ce qu’il ne reste plus d’essence tout
en connaissant la masse de polystyrène fondu ; le rapport k trouvé est égal à 1,4.
Par conséquent, lorsque le rapport est inférieur à 1,4 il y a eu manque d’essence pour
pouvoir fondre le polystyrène et quand c’est supérieur à 1,4 il y a eu surplus
d’essence.
b) Colle d’amidon
Matériels
- Source de chaleur ;
- Bols ;
- Mixeur.
Mode opératoire
- Faire bouillir de l’eau ;
- Pendant qu’elle chauffe, mélanger la poudre de l’amidon avec un peu d’eau
froide dans un bol à part jusqu’à obtenir un mélange homogène ;
- Quand l’eau bout, verser le contenu du bol dans l’eau bouillante et mélanger
jusqu’à ce que la mixture se remette à bouillir ;
- Couper la source de chaleur ;
- Les derniers grumeaux peuvent être éliminés au mixer.
avec mcolle : masse de la colle, mbc : masse du (bocal + eau), mb : masse du bocal,
8 58
. <;+$$ X <"?$$ . 4 (2.13)
V W
Nous avons choisi le dosage D = 0.5 puis on constate qu’après utilisation de ce dosage
D = 0.5 le prototype s’effrite et n’est pas du tout résistant. Alors de ce fait, nous avons
vu que ce dosage n’est pas vraiment approprié pour nous permettre de confectionner
un bon prototype. En effet, lorsqu’on utilise le dosage D = 0.8 et D = 1, on constate
A l’issu de nos multiples préparations et des travaux similaires qui ont été menés au
département de génie civil, nous avons adopté le rapport massique. Les éprouvettes
réalisées sont diversifiées en formulation, mais la mieux portée est celle de masse
(mc = 200g) et nous avons la masse d’amidon (ma = 200g) pour un volume d’eau (Ve
= 800 ml).
"?$$
= d ⟹ M colle = d × M gousse de mil (2.17)
4? !! ( #+$
Avec Vabs mél : volume absolu du mélange en m3, Vabs (gousse de mil) : volume absolu de
gousse de mil en m3, Vabs (colle) : volume absolu de la colle en m3, ρw x yz{ww| }| x~• :
poids spécifique de la gousse de mil, ρ€ x•ww| €z••| : poids spécifique de la colle.
En connaissant la masse de la colle, on peut facilement déterminer les masses de
polystyrène et d’essence :
Mcolle =Mpolystyrène +Messence
# !! &"
Or = 1 ,4 ⇒ m essence = 1,4 . m polystyrène
#>?$@!)@5è&
Le Tableau 2.3 récapitule les masses des différents constituants à utiliser pour
pouvoir confectionner une plaque dont on connait préalablement le volume.
Tableau 2.3 : Masse des différents constituants dans la confection des plaques
‡ ‹.ad •
^… †oo = ‰cˆd béi
Š‹.‰
Œ• Žo Ž è = ^ oo = 9 • 9 ^o
d g 1Š• 1Š•
Cette colle par la suite sera mélangée avec les gousses de mil afin d’obtenir un
mélange homogène. (Photo 2-10).
Dans ce moule, on y met de l’huile à moteur avant d’y mettre le mélange ceci pour
faciliter le démoulage de l’éprouvette après l’expérience émise. (Photo 2-12)
Ceci étant fait, le moule est mis dans la presse manuelle sur lequel on exerce une
force de pressage jusqu’à ce qu’il y ait de fuite.
De là, un modèle souvent idéal sera considéré, à savoir : une géométrie, des
conditions aux limites, des conditions initiales et des hypothèses de travail. Une
résolution de cette équation donne la répartition de la température et l’évolution
temporelle dans le cas instationnaire. Les nombreuses méthodes qui découlent de
cette approche générale peuvent être classées selon quatre critères regroupés dans le
Tableau ci-dessous. Néanmoins, le critère sur lequel l’accent sera mis est celui du
régime thermique. Ce critère englobe deux grandes familles de méthodes : les
méthodes en régime permanent ou stationnaire et celles en régime quasi-établi
(Degiovanni (1994)).
Afin de valider notre dispositif, nous avons des éprouvettes de dimension (5*3*3)
cm.
Les avantages de cette méthode sont un coût très faible de la sonde et une
méthode d’estimation basée sur une modélisation relativement simple de la
température au centre de la sonde :
i. unidirectionnelle pendant le temps t1 pour l’estimation de l’effusivité (méthode
du plan chaud),
ii. bidirectionnelle pendant les temps t1 et t2 pour l’estimation de la conductivité.
Les travaux de Valery K. DOKO en 2013 sur les essais de A. Armand DJOSSOU
ont permis de valider le même dispositif expérimental que nous avons utilisé. Les
résultats obtenus sur les champs thermiques dans le composite pour la détermination
de la conductivité thermique et de l’effusivité thermique du plexiglas (Tableau 2.4)
sont représentés par les Figures 2.3 et 2.4
Série1 Série1
T-T0
T-T0
Linéaire Linéaire
(Série1) (Série1)
ln(t) ln(t)
T-T0
Linéaire
(Série1) Linéaire
(Série1)
√t √t
a d £¤
o › X o 0 œ2 • ž X ¢ q √› (2.20)
Ÿ m ¡ √¥
Les équations 2.21.b et 2.21.d ne peuvent pas être résolues explicitement pour λ et a
(ASTM International (2014)). En revanche, le développement en série de Taylor de
la fonction Intégrale Exponentielle s’écrit :
.
+ Ò Ó q ÔÕ|Ò| X Ò q Ò8 q , Ò× 8. 8..
ƒ
ƒÂU
Donc si ≫ . et en supposant que λ est constante dans le temps et l’espace, nous
¯²
º
œ X lim 2¹–´ , ±²³´ 0 ß › ß ÊË .
→2 º´
á 0, ±²³´ › à ÊË
La variation de température pendant cette seconde phase est donnée par la relation (2.21.g)
¨ )
¼“ ≃ X ÔÕ â ã ) » ÏÐ 8. 8.. 4
ƒ©‘ ) X ÏÐ
La diffusivité thermique :
∆ëì 9 ¥
L’amortissement thermique : ê 2 9 exp âX èðñò22ã (2.24)
∆ëh ï
. . ×
ö 8
ø ù ú‘+ X ‘ûü²ý 8. 8ƒ. *
÷ ÷X. +r.
º– Ÿ œ Ÿ
œ Ÿ
â ã âX ã â ã 8. 8ƒ. (
ºþ 4¹þ² 4¹þ²
º– Ÿ œ Ÿ
â ã âX ã 8. 8ƒ.
º 4¹þ ²
²
Ou quand ‘ , , ä, W 8. 8ƒ.
ƒ©äW
º– Ÿ Ÿ º– Ÿ Ÿ º– Ÿ Ÿ º– Ÿ Ÿ
³ –
Ÿ
â ã ³ qâ ã ³ qâ ã ³ þ qâ ã ³ 8. 8ƒ. 4
º º ºþ º
Ÿ
º– Ÿ ²
â ã Í Î 8. 8ƒ. Ð
º 4¹þ
º– Ÿ 2 Ÿ
â ã â ã 8. 8ƒ. +
º 4¹þ
Ÿ Ÿ
º– Ÿ ² ²
â ã ÍX Î Í Î 8. 8ƒ.
ºþ 4¹þ² 4¹þ²
Ÿ Ÿ
º– Ÿ ² ²
â ã ÍX Î Í Î 8. 8ƒ.
º 4¹þ ² 4¹þ ²
Pour µ7 8. 8ƒ. $
Posons y = ln(T) on a :
∑1 ú X ì ü²
•ŽŸ 8. 8ƒ. ?
1X2
Les incertitudes typiques sur les épaisseurs et les diamètres des échantillons sont
évalués suivant la relation suivante :
1 1
³ µ ø ù µ X µ̅ Ÿ ý 8. 8ƒ.
X1 r1
ù ú• X •̅ ü ý
1 1 Ÿ
³ • ø 8. 8ƒ. 5
X1 r1
Nous avons utilisé deux types de thermocouple K. Donc u(T2) = u(T1). Les
thermocouples utilisés sont de type K. selon les fabricants, ils ont une précision de ±
0,1 °C de température en °C.
ç´é Ë
³ 1 8. 8ƒ. !
√3
¡
Ím Î
L’erreur type commise sur β est : ³Ÿ þ ∑
j ¡
8. 8ƒ. )
ì7
D’après Asian J. Adv. Basic. Sci. 2019 dans <<Assessment Of The Thermal
Conductivity Of Local Building Materials Using Lee’s Disc And Hot Strip
Devices>>
Calcul des coefficients, des constantes de la droite de régression
linéaire
Un modèle de régression linéaire simple est de la forme : Y = β0 + β1 X + ε
Où
Y est la variable dépendante (une variable aléatoire)
β0 et β1 sont les coefficients (ordonnée à l’origine et pente)
X est la variable indépendante (variable explicative)
Avec û µ› û
1 1
∑ r1 ∑ r1
˜∑Ÿr1 X û X û šŸ
!
˜∑ r1 X û Ÿš X ûŸ
∑ r1 X û Ÿ 1
þ2 ó › ⁄Ÿ; 7Ÿ Ì q Ñ
X2 ∑ r1 X û Ÿ
˜∑Ÿr1 X û X û šŸ
!
˜∑ r1 X û Ÿš X
∑ r1 X û Ÿ 1
þ1 þ1 ó › ⁄Ÿ; 7Ÿ Ì Ñ
X2 ∑ r1 X û Ÿ
(3.1)
Mélange grossier
Mf = 0,553 ± 0,005
Mélange Fin
1
Mf = 0,696 + 6,238 + 17,276 + 28,407 + 34,489)
122
Mf = 0,871 ± 0,030
Courbes granulométriques
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
100 10 1 0,1 0,01
Diamètre des tamis (mm)
80
70
60
50
40
30
20
10
0
100 10 1 Diamètre des tamis 0,1
Tableau 3.2: Masse volumique absolue des mélanges des gousses de mil
CGPO1
1950
1900
1850
MASSE (G)
1800
1750
1700
1650
0 8 16 24 32 40 48 56 64 72 80 88 100 120 144 164 172
TEMPS (H)
Au niveau de cette courbe (Figure 3.3), on observe une partie courbe montrant la
variation de la masse et ensuite une partie linéaire montrant la stabilisation ceci
concernant le mélange grossier du dosage D = 0.8.
CGPO2
1800
1750
1700
MASSE (g)
1650
1600
1550
1500
1450
0 8 16 24 32 40 48 56 64 72 80 88 100 120 144 164 172
TEMPS (h)
2100 CGPO3
2050
MASSE (g)
2000
1950
1900
1850
0 8 16 24 32 40 48 56 64 72 80 88 100 120 144 164 172
TEMPS (h)
CGPO4
2300
2200
MASSE (g)
2100
2000
1900
1800
1700
0 8 16 24 32 40 48 56 64 72 80 88 100 120 144 164 172
TEMPS (h)
R² = 0,9826
25
24,5 Série2
24 Linéaire (Série2)
23,5
23
22,5
4,4 4,6 4,8 5 5,2 5,4 5,6
RACINE (t)
COTON AMIDON
Détermination de β
52
51
50
49
DELTA (T)
48 y = 11,083x - 1,0322
47 R² = 0,998 Série1
46 Linéaire (Série1)
45
44
43
4 4,2 4,4 4,6 4,8
LN (t)
13
Série2
12
Linéaire (Série2)
11
10
0 2 4 6 8
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
23
22,5 y = 6,5971x - 8,5411
R² = 0,9876
22
DELTA (T)
21,5
21 Série1
20
19,5
4,2 4,3 4,4 4,5 4,6 4,7 4,8
LN (t)
26
Série2
25
Linéaire (Série2)
24
23
22
0 2 4 6 8
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
34
33 y = 11,593x - 12,711
R² = 0,9835
32
DELTA (T)
31
30 Série1
29 Linéaire (Série1)
28
27
3,4 3,5 3,6 3,7 3,8 3,9 4
LN (t)
Tableau 3.15 : Récapitulatif des trois essais thermiques effectués sur le MG1
D’après les résultats obtenus résumés dans le (Tableau 3.15), on constate que la
conductivité thermique du composite est comprise entre 0,1139 et 0,1405 W/m.k . La
conductivité thermique trouvée par Sagnaba Soulama (2014) dans sa thèse parlant
de la caractérisation mécanique et thermique de biocomposites à matrice polystyrène
recyclé est comprise entre (0,006 et 0,067 W/m.k). On constate que les valeurs de la
conductivité trouvée par cet auteur sont inférieures à nos valeurs trouvées. On peut
donc dire que la conductivité thermique de mes composites et de celle trouvée par
Sagnaba Soulama (2014) répond à une bonne isolation thermique mais pour celle de
Soulama est bien adaptée car sa valeur est minimale à celle de la conductivité
thermique que nous avons trouvée (Tableau 3.15).
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de α
20
19 y = 3,6877x - 2,5391
R² = 0,9802
18
DELTA (T)
17
16 Série2
15 Linéaire (Série2)
14
13
0 2 4 6 8
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
21
y = 7,4574x - 7,2983
20,5 R² = 0,9987
DELTA (T)
20
19,5 Série1
Linéaire (Série1)
19
18,5
3,4 3,5 3,6 3,7 3,8
LN (t)
Tableau 3.17 : Récapitulatif des trois essais thermiques effectués sur le MF0,8
Gousse de mil-polystyrène mélange fin D= 0,8
CONDUCTIVITE EFFUSIVITE DIFFUSIVITE
(W/m.k) (J/m2 C s1/2) (m2/s)
1 0,17 ± 0,02 338,41 ± 0,09 (2,73 ± 0,00)E-07
2 0,12 ± 0,01 548,73 ± 0,15 (4,95 ± 0,00)E-08
MOY 0,14 ± 0,02 443,57 ± 0,12 (1,61 ± 0,00)E-07
D’après les résultats obtenus dans le (tableau 3.17), on constate que la conductivité
thermique du composite est comprise entre 0,1221 et 0,1770 W/m.K. La conductivité
thermique trouvée par Sagnaba Soulama (2014) dans sa thèse parlant de la
caractérisation mécanique et thermique de biocomposites à matrice polystyrène
recyclé est comprise entre (0,006 et 0,067 W/m.K). On constate que les valeurs de la
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
17,6
17,4 y = 5,4685x - 3,0476
17,2 R² = 0,9965
DELTA (T)
17
16,8
Série1
16,6
16,4 Linéaire (Série1)
16,2
16
3,4 3,5 3,6 3,7 3,8
LN (t)
D’après les résultats obtenus et résumés dans le (Tableau 3.19), on constate que la
conductivité thermique du composite est comprise entre 0,0977 W/m.k et 0,2414
W/m.K. La conductivité thermique trouvée par Sagnaba Soulama (2014) dans sa
thèse parlant de la caractérisation mécanique et thermique de biocomposites à matrice
polystyrène recyclé est comprise entre (0,006 et 0,067 W/m.k). On constate que les
valeurs de la conductivité trouvée par cet auteur sont inférieures à nos valeurs
trouvées. On peut donc dire que la conductivité thermique de mes composites et de
celle trouvée par Sagnaba Soulama (2014) répond à une bonne isolation thermique
mais pour celle de Soulama est bien adaptée car sa valeur est minimale à celle de la
conductivité thermique que nous avons trouvée (Tableau 3.19).
3.4 Discussions
Tableau 3.20 : Valeurs des paramètres thermiques pour le composite
gousses de mil - polystyrène
gousses de mil- Mélange Mélange Mélange fin Mélange Fin
polystyrène grossier D=0,8 grossier D=1 D=0,8 D=1
CONDUCTIVITE
0,18 ± 0,01 0,13 ± 0,00 0,14 ± 0,02 0,16 ± 0,01
(W/m.k)
EFFUSIVITE
440,15 ± 0,25 320,57 ± 0,19 443,57 ± 0,12 539,90 ± 0,62
(J/m2 C s1/2)
DIFFUSIVITE
(2,05 ± 0,00) (1,56 ± 0,18) (1,61 ± 0,00) (1,28 ± 0,01)
(m2/s) E-07 E-07 E-07 E-07
CONDUCTIVITE THERMIQUE
0,2
MG 0,8
0,18 MF 1
0,16 MF 0,8 Fibre de coton-
0,14 amidon
MG 1
0,12
0,1
0,08
0,06
0,04
0,02
0
Le composite fibre de coton – amidon présente une conductivité plus élevée que le
mélange grossier de dosage D=1. La masse volumique du composite fibre de coton –
amidon est de 0,43 g/cm3 supérieure à celle du MG1 qui est de 0,393 g/cm3. La
conductivité de la fibre de coton – amidon est inférieure à celles de MG0,8 , MF1 et
MF0,8 ayant pour masses volumiques respectives 0,493 g/cm3 ; 0,731 g/cm3 ; 0,477
g/cm3.
La conductivité est fonction de la masse volumique. Pour avoir une plus forte
conductivité du composite fibre de coton – amidon, il faut augmenter de façon
EFFUSIVITE THERMIQUE
600 MF 1 Fibre de coton-
amidon
500 MG 0,8 MF 0,8
400
MG 1
300
200
100
Tandis qu’au niveau du mélange fin, plus le dosage de la colle augmente, plus
l’effusivité augmente. On peut dire que l’effusivité du composite varie en fonction de
la masse volumique car la masse volumique du mélange fin du dosage D = 0,8 est de
0,477g/cm3 et celle du mélange fin du dosage D = 1 est de 0,731 g/cm3.
Ensuite on constate que l’effusivité du mélange grossier du dosage D = 0,8 est plus
petite que celle du mélange fin du dosage D = 0,8. Idem pour le mélange grossier du
dosage D = 1 et le mélange fin du dosage D=1. On peut dire que l’effusivité varie en
fonction des proportions des granulats de chaque composite.
Seul le mélange fin de dosage D=1 présente une effusivité plus élevée que celle du
composite fibre de coton-amidon.
En somme, on déduit que c’est le mélange fin du dosage D = 1 qui présente une bonne
effusivité ensuite vient le composite fibre de coton – amidon car plus le matériau a
une grande effusivité plus elle a la capacité d’absorber plus de chaleur.
3
MG 0,8
2 MG 1 MF 0,8
MF 1
1
Alors on déduit que la diffusivité du mélange grossier du dosage D=0,8 est supérieure
à celle du mélange fin du dosage D = 0,8 et celle du mélange grossier du dosage D=1
est supérieure à celle du mélange fin du dosage D=1.
Quant au composite fibre de coton – amidon, elle présente la plus grande diffusivité.
tels que les faux plafonds, les meubles, lambris, cloisons légères, etc...
En ce qui concerne les panneaux des faux plafonds, ils sont généralement faits de
plaques de plâtre, de laine de roche ou d’autres matériaux isolants à choisir en
fonction des exigences de conception. Au niveau des cloisons, le matériau pourrait
être utilisé comme revêtement intérieur.
3.6 Conclusion
En somme, nous pouvons retenir qu’un matériau composite porte assez d’utilités et
caractéristiques qui sont valables dans la construction d’un bâtiment et présente les
caractéristiques les plus appropriées. Il peut être donc utilisé pour la fabrication
d’éléments n’entrant pas dans la structure porteuse d’un bâtiment.
Dans un premier lieu, nous avons mis les paramètres de formulation susceptible de
déterminer l’état des propriétés thermiques du matériau. Plusieurs facteurs ont été
étudiés à savoir la granulométrie, le dosage en vue de sélectionner les conditions
conduisant au composite ayant les meilleures propriétés. Ensuite, les résultats obtenus
ont permis d’établir l’existence de valeurs optimales correspondant aux meilleures
résistances thermiques. La légèreté qui est constatée est un atout ouvrant de
nombreuses perspectives quant aux applications possibles du composite.
ESSAI 1
ESSAI 2
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de α
34
DELTA (T)
32 y = 3,0169x + 12,301
R² = 0,9925
30 Série2
28 Linéaire (Série2)
0 2 4 6 8
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
23
DELTA (T)
22 y = 6,5971x - 8,5411
21 R² = 0,9876
Série1
20
19 Linéaire (Série1)
4,2 4,4 4,6 4,8
LN (t)
U0 6 EFFUSIVITE
R 43,4
L 0,05 338,41
l 0,015
alpha 3,6877 CONDUCTIVITE
beta 7,4574
0,17
DELTA (T)
15 y = 2,303x + 1,764
13 R² = 0,9954
Série2
11 Linéaire (Série2)
0 2 4 6 8
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
23
DELTA (T)
22 y = 6,5971x - 8,5411
21 R² = 0,9876
Série1
20
19 Linéaire (Série1)
4,2 4,4 4,6 4,8
LN (t)
U0 6 EFFUSIVITE
R 43,4
L 0,05 541,89
l 0,015
CONDUCTIVITE
alpha 2,303
beta 6,5971 0,20
Gousse de mil-polystyrène
CONDUCTIVITE EFFUSIVITE DIFFUSIVITE
1 0,17 338,41 2,73E-07
2 0,20 541,89 1,36E-07
3 0 0 0
MOY 0,18 440,15 2,05E-07
ESSAI 1
ESSAI 2
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de α
30
DELTA (T)
28 y = 4,2081x + 3,6771
26 R² = 0,9866
Série2
24
22 Linéaire (Série2)
0 2 4 6 8
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
34
32 y = 11,593x - 12,711
DELTA (T)
R² = 0,9835
30
Série1
28
Linéaire (Série1)
26
3,4 3,6 3,8 4
LN (t)
U0 6 EFFUSIVITE
R 43,4
L 0,05 296,56
l 0,015
CONDUCTIVITE
alpha 4,2081
beta 11,593
0,11
DELTA (T)
y = 3,6217x + 6,9157
35
R² = 0,9814 Série2
25
15 Linéaire
(Série2)
0 5 10
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
41
40 y = 9,3975x - 3,8743 Série1
DELTA (T)
39 R² = 0,9959
38 Linéaire
37 (Série1)
36
Linéaire
4,2 4,4 4,6 4,8
(Série1)
LN (t)
U0 6 EFFUSIVITE
R 43,4
L 0,05 344,58
l 0,015
CONDUCTIVITE
alpha 3,6217
beta 9,3975 0,14
Gousse de mil-polystyrène
CONDUCTIVITE EFFUSIVITE DIFFUSIVITE
1 0,11 296,56 1,47E-07
2 0,14 344,58 1,66E-07
3 0 0 0
MOY 0,12 320,57 1,56E-07
ESSAI 1
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
21
y = 7,4574x - 7,2983
20,5 R² = 0,9987
DELTA (T)
20
19,5 Série1
Linéaire (Série1)
19
18,5
3,4 3,5 3,6 3,7 3,8
LN (t)
U0 6 EFFUSIVITE
R 43,4
L 0,05 338,41
l 0,015
alpha 3,6877 CONDUCTIVITE
beta 7,4574
0,17
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de α
16
DELTA (T)
14 y = 2,2743x + 4,344
R² = 0,993
12 Série2
10 Linéaire (Série2)
0 2 4 6
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
34
33 y = 10,812x - 17,86
R² = 0,9957
DELTA (T)
32
31
Série1
30
29 Linéaire (Série1)
28
4,2 4,4 4,6 4,8
LN (t)
U0 6 EFFUSIVITE
R 43,4
L 0,05 548,73
l 0,015
alpha 2,2743 CONDUCTIVITE
beta 10,812
0,12
ESSAI 1
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de α
17
16 y = 2,4746x + 2,31
R² = 0,9873
15
DELTA (T)
14
13 Série2
12 Linéaire (Série2)
11
10
0 2 4 6
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
17,6
17,4 y = 5,4685x - 3,0476
17,2 R² = 0,9965
DELTA (T)
17
16,8
16,6 Série1
16,4 Linéaire (Série1)
16,2
16
3,4 3,5 3,6 3,7 3,8
LN (t)
EFFUSIVITE
U0 6
R 43,4 504,31
L 0,05
l 0,015 CONDUCTIVITE
alpha 2,4746
beta 5,4685
0,24
DELTA (T)
9 R² = 0,9815
8 Série2
7
Linéaire (Série2)
6
0 2 4 6
RACINE (t)
Gousse de mil-polystyrène
Détermination de β
30
DELTA (T)
y = 13,517x - 43,358
20
R² = 0,9905
10 Série1
0 Linéaire (Série1)
4,2 4,4 4,6 4,8
LN (t)
EFFUSIVITE
U0 6
R 43,4 575,50
L 0,05
l 0,015 CONDUCTIVITE
alpha 2,1685
beta 13,517 0,09
Gousse de mil-polystyrène
CONDUCTIVITE EFFUSIVITE DIFFUSIVITE
1 0,24 504,31 2,29E-07
2 0,09 575,50 2,88E-08
3 0 0 0
MOY 0,16 539,90 1,28E-07
ESSAI 1
RACINE DELTA
T(s) T LN (t)
(t) (T)
0 31,4 0 0 0
3 36 1,73205081 1,09861229 4,6
6 38,2 2,44948974 1,79175947 6,8
9 42,9 3 2,19722458 11,5
12 53,4 3,46410162 2,48490665 22
15 58,6 3,87298335 2,7080502 27,2
18 59 4,24264069 2,89037176 27,6
21 64,4 4,58257569 3,04452244 33
24 64,4 4,89897949 3,17805383 33
27 65,1 5,19615242 3,29583687 33,7
30 65,9 5,47722558 3,40119738 34,5
33 67,5 5,74456265 3,49650756 36,1
36 68,5 6 3,58351894 37,1
39 69,5 6,244998 3,66356165 38,1
42 70,4 6,4807407 3,73766962 39
45 72,1 6,70820393 3,80666249 40,7
48 72,5 6,92820323 3,87120101 41,1
51 73,5 7,14142843 3,93182563 42,1
54 74,1 7,34846923 3,98898405 42,7
57 75,4 7,54983444 4,04305127 44
60 75,7 7,74596669 4,09434456 44,3
63 76,2 7,93725393 4,14313473 44,8
66 76,8 8,1240384 4,18965474 45,4
69 77,4 8,30662386 4,2341065 46
72 77,8 8,48528137 4,27666612 46,4
75 78,2 8,66025404 4,31748811 46,8
78 78,6 8,83176087 4,35670883 47,2
81 79,2 9 4,39444915 47,8
84 79,4 9,16515139 4,4308168 48
87 79,9 9,32737905 4,46590812 48,5
90 80,2 9,48683298 4,49980967 48,8
93 80,8 9,64365076 4,53259949 49,4
96 81 9,79795897 4,56434819 49,6
99 81,1 9,94987437 4,59511985 49,7
COTON AMIDON
Détermination de α
35
34,5y = 2,5918x + 20,28
DELTA (T)
34 R² = 0,997 Série2
33,5
33
Linéaire
32,5
(Série2)
4,5 5 5,5 6
RACINE (t)
DELTA (T)
48
Série1
46
44 Linéaire
(Série1)
42
4 4,2 4,4 4,6 4,8
LN (t)
U0 6
R 43,4
L 0,05
l 0,015
alpha 2,5918
beta 11,083
ESSAI 2
RACINE DELTA
t T LN (t)
(t) (T)
0 25,6 0 #NOMBRE! T(°C)
3 29,8 1,73205081 1,09861229 32
6 30,1 2,44948974 1,79175947 34,5
9 31,2 3 2,19722458 36,8
12 31,9 3,46410162 2,48490665 38,4
15 32,8 3,87298335 2,7080502 40,6
18 33,8 4,24264069 2,89037176 42,9
21 34,8 4,58257569 3,04452244 43,5
24 37,5 4,89897949 3,17805383 44,2
27 38,2 5,19615242 3,29583687 45
30 38,7 5,47722558 3,40119738 45,6
33 39,2 5,74456265 3,49650756 46,2
36 40,1 6 3,58351894 46,8
39 40,5 6,244998 3,66356165 47,4
42 40,9 6,4807407 3,73766962 47,9
COTON AMIDON
Détermination de α
48
y = 2,2796x + 33,122
47
R² = 0,9985
46
DELTA (T)
45
Série2
44
Linéaire (Série2)
43
42
0 5 10
RACINE (t)
DELTA (T)
R² = 0,9907
50
49 Série1
48 Linéaire (Série1)
47
3,7 3,8 3,9 4 4,1 4,2
LN (t)
U0 6
R 43,4
L 0,05
l 0,015
alpha 2,2796
beta 10,288
ESSAI 3
RACINE DELTA
t T LN (t)
(t) (T)
0 25,5 0 #NOMBRE! 0
3 29,8 1,73205081 1,09861229 4,3
6 30,1 2,44948974 1,79175947 4,6
9 31,4 3 2,19722458 5,9
12 32,2 3,46410162 2,48490665 6,7
15 33,1 3,87298335 2,7080502 7,6
18 34,1 4,24264069 2,89037176 8,6
21 37,1 4,58257569 3,04452244 11,6
24 37,8 4,89897949 3,17805383 12,3
27 38,5 5,19615242 3,29583687 13
30 39,1 5,47722558 3,40119738 13,6
33 40 5,74456265 3,49650756 14,5
36 40,5 6 3,58351894 15
39 40,9 6,244998 3,66356165 15,4
COTON AMIDON
Détermination de α
16
14 y = 2,5072x - 0,0178
R² = 0,9941
12
10
DELTA (T)
8
Série2
6
Linéaire (Série2)
4
2
0
0 2 4 6 8
RACINE (t)
COTON AMIDON
Détermination de β
20
18 y = 9,3191x - 21,677
R² = 0,9921
16
14
12
DELTA (T)
10
Série1
8
Linéaire (Série1)
6
4
2
0
3,8 4 4,2 4,4
LN (t)
U0 6
R 43,4
L 0,05
l 0,015
alpha 2,5072
beta 9.3191
RECAPITULATIF
Récapitulatif des résultats
Remerciements ........................................................................................................... ii
Résumé ....................................................................................................................... v
Abstract ...................................................................................................................... vi
Introduction ............................................................................................................. 4
1.2.6.3 Le thermoformage............................................................................. 30
2.4 Méthodologie et matériels des essais réalisés sur les gousses de mil et la fibre
de coton ................................................................................................................. 53
2.4.1 Analyse Granulométrique par tamisage pour les gousses de mil ........ 53