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Exposer à l’aide d’exemples précis la façon dont les artistes visuels du début du vingtième
siècle s’approprient la question du mouvement dans leurs œuvres picturales et lmiques.
Au salon d’automne de 1912 à Paris, on assiste a des réalisation qui cassent les codes de
la représentation. On y voit une volonté d’injecter du temporel dans la spécialité de la toile. On
retrouve dans le salon la première toile abstraites et futuristes: l’oeuvre précurseur Amorpha
Fugue a deux couleur de Frantisek Kupka. Elle fait scandale car elle est novatrice. Cette oeuvre
marque le début d’une recherche de l’artiste a rendre la « peinture musicale ». C’est la première
fois que les critique d’art parlent de « musiques visuelles » pour dé nir l’art abstrait. On peut voir
de Kupka a chercher a s’approprier le mouvement dans son oeuvre. La perception est, pour
l’artiste motrice et non pas passive. Lorsque l’on regarde sa toile on a pas le sentiment de
passivité. Le sujet est en action devant une émotion qu’il pourra mettre en valeur par la suite.
Kupka joue avec le rouge et le bleu qui sont pris dans la polarité noir/blanc pour donné une
impression de mouvement. Le peintre essaie de dé nir le temps et plus précisément
l’instantanéité. Tout les courants qui vont suivre l’abstraction vont suivre la théorie motrice de la
perception de Kupka.
En quoi les œuvres à programmations des artistes Julio Le Parc et François Morellet
inventent une esthétique du pixel et de la digitalisation?
Morellet a toujours été un artiste a la position anti art-inspiré et anti école de Paris dès
1952. Il commence a réaliser des « peintures géométriques » vers cette période. Il trouve que les
oeuvre suprématies de Malévitch sont un peu trop transcendantes. In uencé par jean Art et
Sophie Taeuber et par l’in uence dada il réalise au départ des oeuvres plastiques en découpant
au massicot des carrés et des rectangles en les collant au hasard sur du carton. Il donne une
importance au aléatoire dans ses oeuvre et choisi le carré, qui est pour lui la forme idéale pour
cela. Il élimine même le rectangle car « il implique deux fois plus de décisions subjectives
comparé au carré qui n’en a une ». De plus « si on choisi une règle c’est parce que celle-ci évite
d’autre choix. Et ma règle principale c’est d’en faite le mois possible, faire le soin de choix
possible, de faire le soin possible de décision subjective ». Il réalise donc la majorité de ses
oeuvre sen carré. Il va aussi utiliser fréquemment le noir et le blanc car « ce sont des couleurs que
ru peux dé nir de façon objective: le blanc ré échit le plis la lumière et le noir l’absorbe ».
Morellet va devenir un artiste du computer art et faire une esthétique du pixel, carré, et de
la digitalisation. Pour Morellet « Programmer » se rapporte a l’auto discipline de l’artiste qui dé ni
la procédure d’ou découle la structure rationnelle et perceptible par le public. Ses compositions
se limitent a des processus de transformations comme la superposition, fragmentation,
juxtaposition et interférence. Pour lui « une expérience véritable doit être menée a partir
d’éléments contrôlables en progressant systématiquement suivant un programme ». Morellet
assure un lien entre art programmation et le compteur art et l’ait génératif. Il a des propos derrière
les oeuvres.
Julio Le Parc quant a lui, précurseur dans l’art cinétique choisi de réaliser ses oeuvres
autour du médium de la lumière, le mouvement et la couleur. Son art est « percepteur ». Il est
fondateur avec Morellet de LE G.R.A.V de 1960 a 1968. Apres s’être séparé ils vont décider de
poursuivre un travail personnel en se réaproprient leurs matériaux de base en convenant de
questionner les enjeux esthétiques comme l’abandon de la seconde dimension a n d »échapper
a l’esthétisme picturale. Le parc va se réaproprier la lumière et le Plexiglas tandis que Morellet
c’est la programmation des pulsions de tubes de néon lors desquels il reliera par la suite des
oeuvres comme « rythme et lumière « ou des néons donne l’audio par le bruit des branchements.
Ou bien « 2 trames de tirets 0-90° » en 1971.
Expliquer de quelles manières les premiers travaux de Nam June Paik se fondent sur un
modèle musical.
Nam June Park, pilier dans l’univers de l’art video a étudier l’histoire de l’art, la philosophie et la
musique. Il va faire une thèse sur le compositeur Arnold Schonberg. Il rencontre John Cage, dont
il est impression par son propre language artistique est sa façon de ne pas respecter les règles
normales sur lesquelles repose l’indétermination. Il a un intérêt pour une synthèse des art et
souhaite faire une utilisation musicale des images video. Le model musical lui servira de cadre
pour travailler et transformer l’image.
Il reprend l’image des piano préparés pas John Cage et crée les télévisons préparés. Il
présent une série de 13 moniteurs TV « préparés ». Nam June Paik comprend les enjeux mous a
l’utilisation d’images électronique en s’inspirant des son électroniques. Il crée avec Shuya Abe un
des premiers synthétiseur d’images video. Son but est de crée un instrument capable d’être
utilisé pour des performances en Direct et d’en jouer comme on joue du piano. On peut voir que
Nam June Paik est étroitement lié a l’art sous état de « musique visuelle ».
Avec son synthétiseur video il réalise aussi des structures audiovisuelles basées sur le
mixage, le traitement et l’édition de matériaux sonore et visuels. Il réalise en 1973 « Global
Groove ». Cette video de 28minutes 30 est une « sorte de paysage video imaginaire qui anticipe
sur ce qui va se passer lorsque les pays du monde entier seront reliés entre eux par la télévision
par câble ». Le premiers travaux de Paik sont intiment liés a la musique par son éducation,
passion et ses création tel quel les synthétiseurs.
ISNARD Julie L3 EVMAN
Tambellini est un artiste utilisant les nouvelles technologies de son époque comme la
télévision ou la video. Il opère aussi sur le signal audio et visuel. Nous somme au début de
l’information dans le monde du ux. C’est un plasticien, peintre poète, sculpteur et vidéaste. Il
réalise sur quatre année de 1964 à 1968 « Black TV » avec di érents montages. Nous avons
étudié celle de 1968 qui prend en compte l’assassinat du sénateur Robert Kenedy. Le lm fait
partit d’un grand projet intermedia pour la t »l »vision américaine. Il remporte le grand prix au
festival international d’Oberhausen en 1969.
Black TV utilise des images enregistrées sur video cassettes d’actualité socio-politiques
télévisées de l’époque ainsi que des videos expérimentales d’artistes.
On peut dans un premier temps parler de l’univers sonore de l’oeuvre. Cette dernière est
composé de son expérimentaux enregistré sur divers appareils tel que mes oscilloscopes
magnétoscopes ou caméra.
Dans un premier temps pendant plus d’une minute 30, on peut voir que l’image est altérée
et que les bruits sont comme de la « neige électronique ». Tambellini d cale et dissocie le son
cr ant ainsi un e et de décalage. Il accentue cela en di usant sur deux crans. Cette dissociation
image/son accentue l’e et de distance et nous loigne d’un style documentaire trop r aliste. Elle
produit galement de l’instabilit dans la r ception sensible du ux audiovisuel.
Ensuite on peut voir que Tambellini cherche a faire marquer certains moments comme
lorsque l’on vois le s nateur Kennedy en campagne ou quant il se fait assasiner.
Black TV expose bien les violences de son époque envase rythme sur des visuels et des
sons qu’il fait apparaitre de manière intelligente et il joue très bien avec le noir et blanc.
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ISNARD Julie L3 EVMAN
Comparer les « manières de faire » des artistes Peter Kubelka avec « Adebar » , Steina et
Woody Vasulka avec « Syntax of Binary Images ».
Steina et Woody Vasulka opèrent sur le signal directement. Ils travaillent sur la soni cation de
l’image. A travers leurs oeuvres « Syntax of Binary Images » le couple a répertorié toute les
recherches et ré exion qu’ils ont eu. Il y a eu un grand travail d’historiens. Ils travaillent sur la
transformation d’une image. Lorsqu’elle est transformée on transforme le sens, fond noir ou fond
blanc. L’on interprète de di érente façon les changement et c’est la raison pour laquelle on
recherche à comprendre la création d’images numériques. Avec leurs possibilités de carré noir ou
blanc a une position ou une autre il y a une sorte de binarité. Cela renvoie a la pixelisation chez
les toiles de Morellet.
Peter Kubelka quant a lui a crée Adebar » en 1957. Ce lm de 69 secondes est en noir et blanc.
Le spécialiste de la transduction réalise un lm au montage soviétique. Il est allé jusqu'à l'image
individuelle pour la considérer comme l'essence du septième art. Ses lm sont projetés a 24
images pat secondes. Dans Adebar, il n'utilise que certaines longueurs de prises de vue. On peut
voir dans le lm dansé avec un fort contraste noir et blanc. Les couleurs sont réduit a l’essentiel.
On peut voir que le choix des couleurs est semblable a celui des Vazulka, par contre la vision des
images étant uides par le choix du 24 image par secondes et du mouvement des corps nous
avons quelque chose de uide et organique. La ou l’oeuvre des Vazulka est très binaire et une
forme très pixelisé et saccadé.
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