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Fernand Léger

peintre, créateur de tapisseries et de vitraux, décorateur, céramiste


sculpteur, dessinateur et sculpteur français

Fernand Léger

Carl van Vechten,


Fernand Léger (1936),
Washington,
bibliothèque du Congrès
Biographie
Naissance4 février 188
Argentan
(France)
Décès 17 août 195
(à 74 ans)
Gif-sur-Yvett
(France)
Sépulture Gif-sur-Yvett
Pseudonyme
Lezhe, Ferna
Nationalité France
FormationAcadémie
Julian
École nation
supérieure d
arts décorat
Activité Peintre,
sculpteur
Conjoint Nadia
Khodossievi
Léger
Autres informations
Membre American
de Abstract Art
Koninklijke
Vlaamse
Academie va
België voor
Wetenschap
en Kunsten
Conflit Première
Guerre
mondiale
Mouvement
Cubisme
Mécène Daniel-Henry
Kahnweiler
ReprésentéSociété des
par auteurs dans
les arts
graphiques e
plastiques,
Light Cone
Élève Neşet Günal
Genres Portrait,
artistiquespeinture de
personnage
paysage,
peinture
religieuse,
nature morte
Influencé Henri Rouss
par
DistinctionGrand prix d
Biennale à S
Paulo
Archives Bibliothèque
conservées
Kandinsky
par (LEG)[1],[2]
Œuvres principales
Le Réveil-matin
Ballet mécanique
Composition aux trois
figures
Les Constructeurs,
état définitif
La Partie de cartes

Signature

Fernand Léger, né le 4 février 1881, à Argentan (Orne) et mort le


17 août 1955 à Gif-sur-Yvette (Essonne), est un peintre français,
aussi créateur de cartons de tapisseries et de vitraux, décorateur,
céramiste, sculpteur, dessinateur et illustrateur.

Il a été l’un des premiers à exposer publiquement des travaux


d’orientation cubiste[3], même si on a parfois qualifié son style de
« tubiste[4] ».
Biographie

La Grande Parade sur fond rouge (1953), mosaïque, Melbourne, National Gallery of Victoria.

Ses origines normandes, son aspect de « brute au physique


désavantageux », qu’il attribue à un père éleveur et son franc-
parler, ont souvent fait passer Fernand Léger pour le « paysan de
l’avant-garde ». À dix-neuf ans, après une enfance à Argentan et
des études d'architecture à Caen, il découvre le Paris de 1900.
Léger n’y accomplira jamais la formation d’architecte qu’il est
venu y poursuivre. Lentement, s’imprégnant patiemment du
mouvement dynamique de la ville, il troquera son tire-ligne pour
les pinceaux : l’assurance d’un métier stable contre la promesse
d’une liberté périlleuse.

Dès 1903, Léger partage un atelier avec le peintre André Mare.


Après son échec aux Beaux-Arts, il s’exerce dans diverses
académies. Daniel-Henry Kahnweiler, qui deviendra son marchand,
se souvient ainsi de Léger allant dessiner le nu presque tous les
soirs à l’académie de la Grande Chaumière. Il reste difficile de
savoir à quoi ressemblaient ces dessins. Léger dit effectivement
avoir détruit entre 1902 et 1908 une grande partie de ses travaux
au fur et à mesure de leur production. Peut-être contenaient-ils
encore quelques traces du sentimentalisme du Jardin de ma mère,
peint en 1905, ou de ces Gamins au soleil (1907) que Guillaume
Apollinaire qualifia de « baignades du soir postimpressionnistes ».
Sans interprétation abusive, on peut assimiler la destruction de
ces dessins à un acte proprement artistique : en s’attaquant à ses
tentatives désuètes, Léger brutalisait déjà la tradition.

Œuvre au musée international de la céramique de Faenza.

En 1907, comme de nombreux peintres parisiens, il est très


marqué par la rétrospective consacrée à Cézanne qui oriente
définitivement sa peinture. La même année, il découvre le
cubisme de Picasso et de Braque.

Léger défie Cézanne dans le Compotier sur la table (1909). Sans


doute y inscrit-il déjà sa peur de la grande influence du peintre
d’Aix sur lui. Le peintre se fond bientôt dans l’effervescence de la
vie artistique parisienne et, dès 1908, travaille aux côtés de
Modigliani, Laurens, et surtout Alexandre Archipenko. Installé à la
Ruche en 1908, il se lie avec Blaise Cendrars, Max Jacob et
Guillaume Apollinaire et dialogue, entre autres, avec le peintre
Robert Delaunay, et aussi avec Marc Chagall, Chaïm Soutine,
Chaim Jacob Lipchitz, Pierre Reverdy et Maurice Raynal[5].

Fresque à l'université centrale du Venezuela.

Cette influence se ressent, en 1910, dans ces Nus dans la forêt qui
feront dire à Guillaume Apollinaire : « M. Fernand Léger a encore
l’accent le plus inhumain de cette salle. Son art est difficile. » Il les
achève après presque deux ans de lutte.

Il peint en 1910 La Couseuse, qui ouvre sa période cubiste. Amas


de lignes géométriques logé dans un espace court, la toile est
proche des figures massives de Picasso peintes la même année.
Pourtant, dès Nu dans la forêt (1909-1910), Léger propose un
cubisme personnel, même s’il s’est certainement inspiré de
l’œuvre de Picasso portant le même titre.

Le sujet est transformé en une chambre remplie d’artefacts et de


robots. Dans cette œuvre, Léger se détache de la doctrine de
Cézanne qui consistait à peindre à partir des cylindres et des
cônes. La sobriété des couleurs ainsi que l’activité frénétique des
robots crée l’atmosphère symbolique d’un nouveau monde
déshumanisé. Sous certains aspects, c’est une anticipation du
futurisme italien.

Vitraux à l'université centrale du Venezuela.

S’il partage le souci cubiste de créer un réalisme non figuratif, il se


distingue des Montmartrois en imposant un cubisme non pas
intellectuel mais visuel. Son souci n’est pas, en effet, de figurer la
totalité de l’objet, mais de distinguer chaque objet en volume et en
plan au sein d’un espace idéal.

Spectateur assidu du cirque Medrano, Fernand Léger peint les


acrobates, les clowns, les jongleurs dont les corps « mécanisés »
ont la même valeur que les objets et les décors. Il apparaît ainsi
dans Le Cirque Médrano.

En 1918, il illustre le livre de Blaise Cendrars La Fin du monde


filmée par l'Ange N.D., conçu comme une suite de plans
cinématographiques. Il renoue avec le groupe de la revue Montjoie
fondée par Ricciotto Canudo. Il rencontre le cinéaste Jean
Epstein, collabore au film d’Abel Gance, La Roue, et réalise les
décors pour le film de Marcel L’Herbier, L’Inhumaine.
Il se marie en 1919 avec Jeanne Lohy. Rencontrée avant la guerre
dans les milieux intellectuels parisiens, Jeanne sera sa marraine
de guerre et entretiendra une riche correspondance épistolaire
avec l'artiste.

Engagé par les Ballets suédois, il crée successivement les


costumes et les décors de Skating Rink (1922) et de La Création
du monde (1923).

En 1924, avec l'aide de Dudley Murphy, il tourne le film Ballet


mécanique, où l'utilisation du gros plan et le recours aux multiples
effets de fragmentation produisent une dynamique répétitive. La
même année, Fernand Léger se rapproche des puristes et
participe à la revue L'Esprit nouveau[6]. Il fonde avec Amédée
Ozenfant en 1924 l'Académie de l'art moderne au 86, rue Notre-
Dame-des-Champs à Paris, où ce dernier enseignera jusqu'en
1928. Cette académie deviendra l'Académie de l'art contemporain
en 1934[7].

Il pratique, selon Louis Vauxcelles, le « tubisme ». Déboîtés, les


volumes géométriques ne sont plus statiques et indissociables,
mais autonomes, créant entre eux un antagonisme dynamique.
L’intérêt qu’il voue au dynamisme, « reflet du monde moderne », le
conduit en 1911 à fréquenter l’atelier de Puteaux et à participer à
la Section d’or. Il s’éloigne des thèmes intimistes et traditionnels
de Braque et Picasso, et peint des sujets contemporains (Le
Passage à niveau, 1912). Il entame une série de contrastes de
formes (La Femme en bleu, 1912), dans laquelle il réintroduit
vivement la couleur et expérimente brièvement l’abstraction.
Apollinaire baptise alors l’art de Robert Delaunay et de Léger de
« cubisme orphique » (voir orphisme).

Pourtant, si Delaunay prône la suprématie de la couleur, Léger,


comme il le dit, aspire à « un équilibre entre les lignes, les formes
et les couleurs ».

En octobre 1940, il part à Marseille, d'où il embarque pour les


États-Unis. Il y enseignera à l'université de Yale avec Henri
Focillon, Darius Milhaud et André Maurois[7],[8],[9].

Il adhère au Parti communiste français en 1945, dont il restera


membre jusqu'à la fin de sa vie[10]. En 1946, il rouvre son atelier de
la place Jules-Ferry à Montrouge[11].

Au début des années 1950, Fernand Léger participe avec Jean


Bazaine et Jean Le Moal à la décoration de l’église du Sacré-Cœur,
construite dans un quartier ouvrier d’Audincourt (Doubs), pour
laquelle il conçoit les dix-sept vitraux de la nef et du chœur et
dessine les cartons de la tapisserie située derrière le maître-autel.
La Grande fleur qui marche (1952), La Haye (Pays-Bas).

Léger a dirigé plusieurs écoles (ou académies) de peinture, à


Montrouge d’abord, puis boulevard de Clichy, à Montmartre. Il a
été le maître de Neşet Günal et a formé de nombreux élèves qui
ont diffusé ses idées dans tout l’art du xxe siècle, en France
(Pierre Faniest, Étienne Hajdu, Tonia Cariffa, Abner, Carlos, René
Margotton, William Klein, Nicolas de Staël…), mais aussi en
Scandinavie (Eric Olson, Franciska Clausen, Otto G. Carlsund…), et
a notamment donné des cours à l’auteur-compositeur-interprète
Serge Gainsbourg[12].

À Biot (Alpes-Maritimes), le musée national Fernand Léger, édifié


par sa femme, Nadia Léger, et Georges Bauquier, lui est consacré
et expose la plus grande collection de ses œuvres. La mosaïque
du musée et les Italiens Lino Melano et Luigi Guardigli [Quoi ?].

En 1965 paraît un recueil des principaux textes de Fernand Léger.


Roger Garaudy dit notamment « ceux dans lesquels il situe la
peinture moderne par rapport à la tradition, constituant ainsi
l'initiation lucide pour qui veut comprendre la signification
profonde de l'école de Paris[13] ». En particulier, Fernand Léger
précise à nouveau le but du Salon des Indépendants : « C'est avant
tout un salon de peintres pour les peintres, […] , un salon de
manifestation artistique, […] c'est son renouvellement éternel […]
qui fait sa raison d'être. Ici, il doit y avoir la place pour les
chercheurs et leurs inquiétudes. […] Le salon des indépendants
est un salon d'amateurs, […] le salon des Inventeurs. […] Les
bourgeois qui viennent rire de ces palpitations ne se douteront
jamais que c'est un drame complet qui se joue là, avec toutes ses
joies et ses histoires. S'ils en avaient conscience, car au fond ce
sont de braves gens, il entreraient là avec respect, comme dans
une église[14]. »

Musée national Fernand Léger


Quelques mois avant sa mort en 1955, Fernand Léger acquiert le
mas Saint-André, situé au pied du village de Biot. Sur ce terrain
horticole, Nadia Léger, sa veuve, et Georges Bauquier, son proche
collaborateur, décident de créer un musée pour lui rendre
hommage et favoriser la connaissance de son œuvre. Le projet de
bâtiment est conçu par l’architecte Andreï Svetchine et le parc est
confié au paysagiste Henri Fisch. L’édifice intègre en façade une
immense mosaïque, initialement prévue par Léger pour la
décoration du stade de Hanovre, mais jamais réalisée. En 1969,
les fondateurs font don à l’État français du bâtiment, du terrain et
d’une collection riche de plus de trois cents œuvres. André
Malraux, ministre d’État chargé des Affaires culturelles, reçoit la
donation au cours d’une manifestation officielle qui se termine par
un gala organisé au palais des festivals de Cannes. Le musée
Léger devient musée national et, selon les clauses de la donation,
les fondateurs restent directeurs à vie[15].

Collections publiques

Grand tournesol (La Fleur polychrome) (1952), Musée des beaux-arts de Montréal.

La Couseuse (1910), musée national d'Art moderne, huile sur


toile (73 × 54 cm).
Nus dans la forêt (1909-1911), musée Kröller-Müller, huile sur
toile (120 × 170 cm).
La Noce (1911-1912), musée national d'Art moderne, huile sur
toile (257 × 206 cm).
Le Passage à niveau (1912), Fondation Beyeler, Riehen, Suisse.
Les Toits de Paris (1912), huile sur toile (90 × 64 cm), Paris,
musée national d'art moderne, Centre Georges-Pompidou.
Contrastes de formes, (1913), Paris.
L'Escalier, (1914), Bâle.
Le Réveil-matin, (1914), Paris, musée national d'art moderne,
Centre Georges-Pompidou.
Les Maisons dans les arbres, (1914), Bâle.
Paysage (1914), Villeneuve-d'Ascq, musée d'Art moderne Lille
Métropole, France.
Soldats jouant aux cartes (1916), Paris, Centre Georges
Pompidou.
Le Soldat (1917), Otterlo, musée Kröller-Müller, Pays-Bas.
La Partie de cartes (1917), musée Kröller-Müller.
Le Cirque Médrano (1918), musée national d'Art moderne.
Le Remorqueur, (1920), musée de Grenoble.
Trois femmes et nature morte (Déjeuner) (1920), Dallas Museum
of Art, huile sur toile (73 × 92 cm).
Le Mécanicien (1920), Villeneuve-d'Ascq, musée d'Art moderne
Lille Métropole.
Femme au bouquet (1924), Villeneuve-d'Ascq, musée d'Art
moderne Lille Métropole.
Charlot cubiste (1924), musée Pierre-Noël de Saint-Dié-des-
Vosges.
Composition à la main et aux chapeaux (1927), musée national
d'Art moderne, huile sur toile (248 × 185,5 cm).
La Joconde aux clefs (1930), Biot (Alpes-Maritimes), musée
national Fernand Léger.
Composition avec des troncs d'arbres (1933), Dallas Museum of
Art, huile sur toile (131 × 63 cm).
Composition aux deux perroquets (1935-1939), musée national
d'Art moderne, huile sur toile (400 × 480 cm).
Les Quatre cyclistes, (1943-1948), Biot, Musée national Fernand
Léger, huile sur toile (129 × 161,5 cm).
Adieu New York (1946), huile sur toile, Paris, Centre Georges
Pompidou.
Les Constructeurs, état définitif (1950), Biot, musée national
Fernand Léger.
Deux papillons jaunes sur une échelle, Biot, musée national
Fernand Léger.
La Partie de campagne, musée d'Art moderne et contemporain
de Saint-Étienne Métropole.
Composition, gouache, Arlon, musée Gaspar, Collection de
l'Institut archéologique du Luxembourg[16].

Filmographie
Ballet mécanique (1924), œuvre cinématographique réalisée
avec Dudley Murphy et la participation de Man Ray.
L'Inhumaine (1924), film de Marcel L'Herbier, pour lequel Fernand
Léger a été directeur artistique.
Léger en Amérique (1946), film de Thomas Bouchard avec des
commentaires de Fernand Léger.
Rêve à vendre (1947), film de Hans Richter, auquel Fernand
Léger a contribué artistiquement.

Expositions
1933 : Kunsthaus de Zurich, il y fait une conférence sur « le
mur », « l'architecte », « le peintre ».
1955 : 3e biennale de São Paulo, Grand prix de la biennale.
Exposition Fernand Léger, du 21 février au 30 avril 2009, à la
galerie Malingue, 26, avenue Matignon, 75008 Paris.
Exposition Fernand Léger. Le Beau est partout, du 20 mai au
30 octobre 2017 au Centre Pompidou-Metz.
Exposition Fernand Léger, la vie à bras-le-corps, du 6 juin au
6 novembre 2022 au Musée Soulages de Rodez[17].

Élèves
Paul Ackerman (1908-1981)
Tarsila do Amaral (1886-1973)
Renée Béja (1908-1982)
Lucienne Berthon (1926-2012)
André Bouler (1924-1997), élève de 1949 à 1951
Roland Brice (1911-1989)
Tonia Cariffa (née en 1924)
Saloua Raouda Choucair (1916-2017)
Pierre Faniest (1926-2010), élève de 1945 à 1950
Henri Ginet (1923-1970)
Elmyr de Hory (1906-1976)
Blanche Lazzell (1878-1956), américaine, élève en 1912
René Margotton (1915-2009)
Ann Tiné (1916-1990), élève de 1949 à 1951
Pierre Wemaëre (1913-2010)

Iconographie
Willy Maywald (1907-1985), Portraits photographiques de
Fernand Léger dans son atelier au 86, rue Notre-Dame-des-
Champs, Paris VIe, vers 1952. [réf. nécessaire]

Notes et références
1. « http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.ht
ml?id=FRM5050-X0031_0000147 » (http://archivesetdocume
ntation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000
147)  [archive] (consulté le 28 mars 2019)
2. « http://archivesetdocumentation.centrepompidou.fr/ead.ht
ml?id=FRM5050-X0031_0000147 » (http://archivesetdocume
ntation.centrepompidou.fr/ead.html?id=FRM5050-X0031_0000
147)  [archive] (consulté le 31 mars 2019)
3. « Fernand Léger sur Larousse.fr » (http://www.larousse.fr/enc
yclopedie/personnage/L%C3%A9ger/129302)  [archive]
(consulté le 26 octobre 2008).
4. La qualification « tubiste » a été émise non sans moquerie par
le critique d'art Louis Vauxcelles qui est également à l'origine
du mot « cubiste »
5. Léger 1965, p. 200 Biographie.
6. Le musée national Fernand Léger (http://www.musee-fernandl
eger.fr/)  [archive].
7. Fernand Léger et la vérité optique, dossier de presse de
l'exposition rétrospective à Paris au Centre Georges-Pompidou
du 29 mai au 29 septembre 1997.
8. Eugénie Bastié, « Breton / Saint-Exupéry, le manifeste et le
sacrifice », Le Figaro Magazine, semaine du 21 juillet 2017,
pages 22-25.
9. Cf. Emmanuelle Loyer, Paris à New York. Intellectuels et
artistes français en exil (1940-1947), Grasset, 2005.
10. [1] (http://www.larousse.fr/encyclopedie/personnage/Fernand
_L%C3%A9ger/129302)  [archive]
11. Immeuble d'ateliers d'artistes (https://inventaire.iledefrance.fr/
dossier/immeuble-d-ateliers-d-artistes/7311660c-863c-4cd7-8
573-35d1bea801ab)  [archive]
12. « Gainsbourg élève de Lucien Léger après la Libération » (htt
p://www.universalis.fr/encyclopedie/serge-gainsbour
g/)  [archive], sur universalis.fr (consulté le 28 avril 2016).
13. Léger 1965, p. Préface
14. Léger 1965, p. 27 & 28
15. Site officiel du musée national Fernand Léger (http://www.mus
ees-nationaux-alpesmaritimes.fr/fleger/le-musee-et-ses-collec
tions/musee/historique//)  [archive].
16. Bulletin trimestriel de l'Institut archéologique du Lexembourg
(no 1-2), Arlon, 2017, p 85.
17. Aveyron. La rétrospective événement Fernand Léger arrive
enfin au musée Soulages (https://actu.fr/loisirs-culture/expo/a
veyron-la-retrospective-evenement-fernand-leger-arrive-enfin-a
u-musee-soulages_50311789.html)  [archive]

Voir aussi

Bibliographie

Fernand Léger : Lettres à Charlotte et André Mare (1906-1932),


correspondance présentée par Tristan Rondeau et préfacée par
Michel Onfray. Textes d’introduction de Laurence Graffin, Jean-
Christophe Orticoni, Yves Chevrefils Desbiolles et Benoît Noël,
Sainte-Marguerite-des-Loges, Éditions BVR, 2019.
(ISBN 978-2-9556296-3-5)
Brigitte Richard et al. : catalogue des expositions Léger, le cercle
au Musée des Beaux-Arts de Saint-Lô (Manche) et Léger à la
lettre… au Musée d’art moderne Richard Anacréon (Manche) du
samedi 16 juin au dimanche 21 octobre 2018.
Ariane Coulondre et al. : catalogue de l’exposition Fernand Léger
- Le Beau est partout au Centre Pompidou de Metz du 20 mai au
30 octobre 2017 puis à Bozart (Bruxelles) du 9 février au
3 juin 2018.
François Albera : « Deux scénarios inédits de Fernand Léger : un
Charlot cubiste et la Vierge rouge » et « Fernand Léger et
‘l'affiche-arrêt’ : la Roue, l'Inhumaine », Revue d’histoire du cinéma
1895, n°81, printemps 2017.
Benoît Noël : « Fernand Léger et André Mare, Normands pur
jus », Revue Le Pays d’Auge, mars-avril 2017.
Katia Baudin et al. : catalogue de l’exposition Fernand Léger -
Malerei im Raum, présentée au Musée Ludwig (Cologne) du
9 avril au 3 juillet 2016.
Benoît Noël - Préface de Dominique Wallard : Fernand Léger - Un
Normand planétaire, Sainte-Marguerite-des-Loges, Éditions BVR,
2015. (ISBN 978-2-9524-1338-1)
Blandine Chavannes, Diana Gay, Nelly Maillard et al. : catalogue
de l’exposition Fernand Léger - Reconstruire le réel des musées
de Biot et de Nantes, 2014.
Annette Becker, Diana Gay, Nelly Maillard et al. : catalogue de
l’exposition Fernand Léger - Ah que la guerre est cubiste !, Musée
national Fernand Léger - Biot, 2014.
Jean-Paul Morel : Lever de rideau sur Fernand Léger, Favre,
Lausanne, 2007.
Yvonne Brunhammer et Pierre Descargues : Fernand Léger -
L’œuvre monumental, Milan, 5 Continents, 2005.
Sarah Wilson et al. : catalogue de l’exposition Fernand Léger au
Musée des Beaux-Arts de Lyon du 1er juillet au
20 septembre 2004.
Carolyn Lanchner : catalogue de l’exposition Fernand Léger du
The Museum of Modern Art (MOMA), New York, 15 février -
12 mai 1998.
Fernand Léger à Simone Herman : Une correspondance poste
restante, présentée, établie et annotée par Christian Derouet,
Paris, Centre Georges Pompidou, 1997.
Christian Derouet et al. : Rétrospective Fernand Léger, Centre
Georges Pompidou - Paris, 1997.
Fernand Léger : Fonctions de la peinture, anthologie présentée
par Sylvie Forestier, Paris, Gallimard-Folio, 1997.
Fernand Léger à Léonce Rosenberg : Une correspondance
d’affaires, établie et annotée par Christian Derouet, Paris, Centre
Georges Pompidou, 1996.
Christian Derouet et al. : Fernand Léger et le spectacle,
catalogue de l’exposition présentée au Musée national Fernand
Léger, Biot, 1995.
Pierre Descargues : Fernand Léger, Paris, Maeght, 1995.
Dorothy M. Kosinski, Christoph Asendorf  et al. : Fernand Léger -
Le rythme de la vie moderne 1911-1927, catalogue des
expositions des Kunstmuseum de Wolfsburg (Basse-Saxe) et
Bâle (Suisse), Paris, Flammarion, 1994.
Fernand Léger à Louis Poughon : Une correspondance de guerre,
présentée, établie et annotée par Christian Derouet, Paris,
Centre Georges Pompidou, 1990.
Giovanni Lista et al. : catalogue de l’exposition Fernand Léger
présentée au Musée d’Art Moderne de Villeneuve d’Ascq.
3 mars au 17 juin 1990.
Georges Bauquier et Nelly Maillard : Fernand Léger (1903-1919) -
Catalogue raisonné de l’œuvre peint, Paris, Éditions Adrien
Maeght, 1990. 9 tomes suivront.
Fernand Léger : Lettres à Simone [Herman],  Préface de Maurice
Jardot, correspondance présentée, établie et annotée par
Christian Derouet, Genève-Paris, Skira-Centre Georges
Pompidou, 1987.
Georges Bauquier : Fernand Léger - Vivre dans le vrai, Paris,
Adrien Maeght Éditeur, 1987.
Gladys C. Fabre et Marie-Odile Briot : catalogue de l’exposition
Léger et l’esprit moderne 1918-31 présentée au Musée d’Art
Moderne de la Ville de Paris, Museum of Fine Arts (Houston) et
Rath (Genève) de mars à juin 1982.
Dora Vallier et al. : Catalogue de l’exposition Hommage à Fernand
Léger (1881-1955) présentée à la Staatliche Kunsthalle de Berlin
du 24 octobre 1980 au 7 janvier 1981 puis au Musée Fernand
Léger de Biot du 29 mai au 28 septembre 1981.
Lawrence Saphire - Préface de Fernand Mourlot : Fernand Léger
- L’œuvre gravé, New York, Blue Moon Press, 1985.
Jean Leymarie et Jean Cassou : Fernand Léger - dessins et
gouaches, Paris, Chêne, 1972.
Nadia Léger et al. : Numéro spécial Hommage à Fernand Léger,
revue xxe siècle, 1971.
Guido Le Noci : Fernand Léger - Sa vie - Son Œuvre - Son Rêve,
Milan, Edizioni Apollinaire, 1971.
Jean Leymarie et Jean Cassou : catalogue de la rétrospective
Léger aux Galeries Nationales du Grand Palais d’octobre 1971 à
janvier 1972.
Roger G : Pour un réalisme du xxe siècle – Dialogue posthume
avec Fernand Léger, Paris, Grasset, 1968.
Fernand Léger : Fonctions de la peinture - Préface de Roger
Garaudy, Paris, Denoël Gonthier, 1965.
Fernand Léger : Mes Voyages - Poème-Préface de Louis Aragon,
Paris, Les Éditeurs Français Réunis, 1960.
Fernand Léger : La ville, Paris, Tériade, 1959.
François Mathey et al. : Catalogue exposition Fernand Léger,
Musée des Arts Décoratifs, Paris, 1956.
Fernand Léger, Blaise Cendrars et Douglas Cooper : Dessins de
guerre 1915-16, Paris, Berggruen & Cie, 1956.
André Verdet : Fernand Léger - le dynamisme pictural, Genève,
Pierre Cailler, 1955.
Fernand Léger : Le cirque, Paris, Tériade, 1950.
Douglas Cooper : Fernand Léger et le nouvel espace, Genève,
Édition des trois collines, 1949.
Pierre Descargues : Fernand Léger, Paris, Le Cercle d’Art, 1955.
Waldemar-George : Fernand Léger, Paris, NRF Gallimard, 1929.
Pierre Guénégan, préface de Susan L. Ball, Le Purisme & son
influence internationale - annuaire de 50 artistes emblématiques,
335 pages illustrées, Editions Lanwell & Leeds Ltd, St Alban,
Hertfordshire, England, 2019, (ISBN 978-2-9700494-8-7)
Maurice Raynal : Les maîtres du cubisme - Fernand Léger - Vingt
tableaux, Paris, Éditions de l’Effort Moderne, 1920.
Ouvrages jeunesse
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Articles connexes

Musée international de la céramique de Faenza


Musée national Fernand-Léger
Musée Fernand Léger - André Mare

Liens externes

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