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Exposition
Musée du Louvre
Aile Sully, salle de la Maquette
Mimmo Jodice
Les Yeux du Louvre
Sommaire
Catalogue p.10
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Communiqué de presse
Exposition Mimmo Jodice
19 mai - 15 août 2011 Les yeux du Louvre
Aile Sully, Salle de la maquette
Horaires
Exposition ouverte tous les jours de 9h à
18h, sauf le mardi, nocturnes jusqu’à 22h les
mercredi et vendredi.
Commissaire de l’exposition :
Tarifs Marie-Laure Bernadac, conservateur général, chargée de
Accès avec le billet d’entrée au musée : 10 €. mission pour l'art contemporain au Louvre, assistée de Pauline
Gratuit pour les moins de 18 ans, les moins de
Guelaud.
26 ans résidents de l’U.E., les enseignants
titulaires du pass éducation, les demandeurs
d’emploi, les adhérents des cartes Louvre
familles, Louvre jeunes, Louvre professionnels
et Amis du Louvre, ainsi que le premier
dimanche du mois pour tous.
Renseignements
Tél. 01 40 20 53 17 - www.louvre.fr
Les yeux du Louvre vous regardent… Comment ne pas être saisi, en en-
trant dans la salle d’exposition, par la diversité et l’intensité de tous ces
regards qui convergent vers vous ?
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Aux yeux de tous
Par Quentin Bajac
Par une curieuse coïncidence, le nouveau projet de Mimmo Jodice fait chronologiquement suite à une série de
travaux qui, de la Scopophilia de Nan Goldin à la collaboration entre Jacques Roubaud et Christian Boltanski
(Les Habitants du Louvre), ont été l’occasion, dans le cadre des commandes passées par le musée du Louvre à
des artistes contemporains, d’une confrontation entre peinture et photographie autour du genre du portrait et du
thème de la figure humaine. Un regard rapide relèvera certes des parallélismes formels mais qu’un examen plus
approfondi jugera superficiels – et finalement inopérants. Le travail de Nan Goldin entendait souligner, par-delà
les différences apparentes de sujets et d’approches d’une œuvre résolument moderne et ancrée dans une
humanité très contemporaine, les affinités, tant iconographiques que stylistiques, entre sa propre démarche
photographique et une tradition picturale occidentale. Pour Christian Boltanski, la combinaison de la peinture et
de la photographie, à travers ses portraits combinés, hybrides des morts et des vivants du Louvre, permettait
d’offrir un prolongement visuel aux taxinomies ludiques et perturbatrices de Jacques Roubaud, convoquant les
plaisirs des rencontres provoquées, des classements absurdes, interrogeant les mystères de l’identité et de la
représentation, déjouant les évidences du nom.
A partir d’une idée proche, la confrontation de reproductions photographiques de portraits peints, sélectionnés
par ses soins parmi les collections du musée, et de portraits photographiques de membres du personnel du
Louvre réalisés pour l’occasion, Jodice emprunte un chemin fort différent. L’enjeu n’est plus le même puisqu’il
s’agit ici avant tout d’interroger le genre même du portrait et sa double nature – autrefois picturale, aujourd’hui
majoritairement photographique. Pour décrire différemment et de manière sans doute plus juste le projet de
Jodice, en ne s’attachant qu’au processus de création, on dira que celui-ci a donc avant tout entrepris de
photographier dans le même temps deux types de modèles, les uns vivants, les autres peints, puis de les mettre
en présence pour voir ce qu’ils avaient à se dire.
Ce projet dans sa double dimension, de dialogue et d’expérimentation, appelant une mise en perspective
critique de sa propre pratique photographique par la confrontation directe et volontaire à d’autres images –
d’autres artistes, d’autres formes et d’autres langages –, s’inscrit bien évidemment dans le droit fil de certains
de ses précédents travaux. A cet égard, le projet du Louvre peut en évoquer de manière directe ou indirecte au
moins trois autres, dont il apparaît comme la réminiscence ou le prolongement : le premier est celui qui, en
1974, à la galerie Il Diaframma à Milan le voyait, dans son exposition Fotografie dal Giappone, confronter ses
propres clichés à des cartes postales. Le second, Identificazione, au studio Trisorio à Naples, en 1978, était pour
lui l’occasion de réinscrire ses images dans le champ culturel et artistique dont elles s’étaient émancipées –
celui de ses grandes influences en photographie, de Bill Brandt à André Kertész. Enfin le troisième, beaucoup plus
récent et plus proche de celui du Louvre, est celui mené en 2008 au musée de Capodimonte à Naples avec l’exposition
Transiti : autour des têtes d’expression et de la grammaire des passions, Jodice y dressait des parallèles entre
certains de ses anciens clichés et la collection de peinture baroque du musée napolitain. De la même manière,
d’emblée, dans ces Yeux du Louvre, Jodice revendique une communauté de dessein entre sa pratique du por-
trait et celle des siècles passés.
C’est ici autour du seul regard que le propos se concentre. C’est ce dernier qui, par le principe strict de
l’alignement, constitue littéralement un trait d’union entre les vivants et les morts, les êtres de chair et ceux de
toile, l’époque contemporaine et les six siècles d’histoire du portrait, la photographie et la peinture. On pourrait
d’ailleurs à ce titre convoquer une autre exposition: l’installation Anamnesi dans le métro de Naples en 2005
rassemblait déjà des reproductions de têtes sculptées et peintes, présentées au mur alignées par la seule ligne du
regard.
Tous les portraits sélectionnés dans les collections du Louvre ont en commun de nous fixer. De face ou de trois
quarts, leur regard est pourtant, sans ambiguïté aucune, tourné vers le spectateur.
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Les portraits photographiques des membres du personnel du Louvre, recourant de manière systématique à la
prise de vue frontale, à la manière des portraits d’identité ou d’anthropométrie, accentuent encore cette
spécificité. Jodice ne s’est d’ailleurs contenté ni de reproduire tel quel, en noir et blanc, ni de simplement
aligner les reproductions faites et les images réalisées pour l’occasion. Au terme d’un travail de recadrage
effectué sur les portraits peints, il n’en conserve que l’essentiel : le visage, troué par deux yeux qui fixent le
lecteur/visiteur. Soit un portrait réduit à la seule tête: plus aucune mention du corps si ce n’est le cou et, de
temps à autre, le sommet des épaules. Nulle main, trop expressive, nul accessoire, draperie ou colonne, qui
risquerait de retenir l’attention. Pas non plus d’arrière-plan, aucune ligne d’horizon ou profondeur de champ,
vers lequel le regard du spectateur risquerait de s’égarer et qui serait susceptible de rompre le face à face. Enfin,
à l’exact contraire des choix de Capodimonte, les portraits peints ont été sélectionnés pour la relative retenue
dont ils font preuve: nulle expression trop accentuée, nulle contraction des muscles du visage trop prononcée,
qui risquerait d’attirer le regard et d’introduire comme une ébauche de sentiment, voire de récit. Enfin, est-il
besoin de le préciser, nulle couleur, elle aussi trop souvent facteur de distraction et que, ici comme dans le reste
de ses travaux, Jodice a choisi de tenir à distance.
Cette simple action de recadrage sur le seul visage permet bien évidemment neutralisation et harmonisation.
Gommant les différences stylistiques, les partis pris de cadrage et de composition, elle abolit les distances
temporelles qui séparent non seulement les photographies des vivants des portraits des morts mais également, et
surtout serait-on tenté de dire, les morts entre eux. Par-delà les siècles, les auteurs, et les médiums –
photographie et peinture – utilisés, ces portraits deviennent de simples visages de gens qui sont et de gens qui
ont été. Ce faisant, il est évident qu’elle favorise également une lecture typologique qui, pour être efficace et
pertinente, ne peut porter que sur des éléments équivalents.
(…) Au mur, chacun de ces visages mesure environ un mètre de haut : soit une présence imposante,
nettement plus grande que nature, mais qui conserve un semblant de mesure humaine et qui de ce fait relève
tant de la présence que de la représentation. Réduits au jeu du simple regard fixé droit devant lui, ces visages
n’offrent aucune échappatoire possible au spectateur. Dans le métro de Naples, les têtes peintes et sculptées
d’Anamnesi suivaient le visiteur tout au long d’un couloir. Ici ils l’enveloppent de toutes parts. Dans cette boîte
noire, le spectateur se trouve confronté à cette multitude d’yeux qui le fixent, l’examinent, le jugent peut-être.
Chacun réclame son attention et l’établit en retour comme objet de son propre regard. L’effet était d’ailleurs
renforcé dans l’idée initiale de Jodice – difficilement compatible avec les rythmes et impératifs de visite d’un
musée comme le Louvre – de ne laisser chaque fois qu’un visiteur pénétrer dans la salle.
Ces individus nous fixent et dans ce regard expriment leur individualité mieux que de n’importe quelle autre
manière. Centré sur chaque image, le dispositif conçu offre la possibilité de cette lecture verticale, humaniste,
isolant chaque individu dans le cadre qui est le sien, en un face à face entre le modèle et le spectateur. Libre
alors à ce dernier de tenter de saisir, à travers le langage des regards, les infinies variations et les infimes
nuances de sentiment et d’expression. Chacune s’y présente dans l’affirmation d’une subjectivité propre,
conforme en cela à la lecture d’un genre qui à la Renaissance affirme la singularité de chaque individu
portraituré. Chaque représentation, posée, où le modèle regarde calmement en direction de l’artiste – peintre ou
photographe –, souligne le lien contractuel existant entre l’un et l’autre sur le mode de l’échange et de la
reconnaissance mutuelle.
(…) Sans recourir à la moindre retouche de l’image, Mimmo Jodice, par l’utilisation d’une petite lumière
braquée sur les yeux des portraits peints ou d’un miroir pour les personnes vivantes, rehausse l’éclat lumineux
des regards, selon un dispositif qu’il se plaît à utiliser parfois : depuis les années 1960, miroir et lumière
artificielle lui permettent de littéralement sculpter l’espace de la représentation, en donnant à cette dernière un
relief différent. Le blanc y brille ici d’un éclat surnaturel, les pupilles scintillent de manière inhabituelle,
comme s’ils ne répondaient plus à la même logique d’élaboration, à la manière de ces sculptures antiques, dont
les yeux, d’un autre matériau que celui dont on fait le corps, marbre, ivoire, pâte de verre blanche, pierre
précieuse : des yeux comme rapportés. (…)
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Interview de Mimmo Jodice
Par Marie-Laure Bernadac
MLB : Vous avez beaucoup travaillé dans les musées, en Italie mais aussi en France, en Espagne, en Grèce, en
Turquie ... Qu’est-ce qui vous attire dans ces lieux et quel regard portez-vous sur les œuvres ?
M.J : Le travail dans les musées, est lié à des projets qui ont généralement un lien très fort avec la mémoire.
L’intention est de faire revivre le passé dans le présent. Le thème de l’archéologie nait de l’idée d’un voyage
hypothétique dans le monde antique, où je revis l’histoire à travers les lieux et les personnages du passé, en
cherchant à leur donner vie. Comme si j’étais un voyageur qui photographie réellement les lieux et les
personnes que je rencontre dans les sites archéologiques et dans les musées.
MLB : Y a-t-il une différence pour vous entre photographier la peinture et la sculpture ?
MJ : Le rapport avec les peintures est différent. J’ai toujours imaginé que si les peintres avaient eu un appareil
photo, ils auraient fait de splendides photographies. En quelque sorte je fais un voyage dans le temps et je me
substitue à eux, en transformant les tableaux en vraies photographies.
Photographier une sculpture requiert une manière complètement différente de celle utilisée pour un tableau. La
sculpture a un volume qui doit être mis en évidence; le rapport entre l’ombre et la lumière est important ainsi
que celui des pleins et des vides. C’est seulement à travers une étude attentive de la lumière que l’on réussit à
capter l’âme intérieure de la sculpture.
MLB : Comment choisissez vous vos sujets, vos personnages dans cette multitude de figures ?
MJ : Je me sens comme un voyageur dans le temps quand je tente de déchiffrer le passé à travers les tableaux
et les sculptures. C’est comme être présent au moment où les personnages ont été immortalisés par les artistes
du passé.
Pour le choix des sujets, en dehors de leur qualité artistique, ce qui m’attire et m’émeut est leur expressivité.
MJ : Le projet sur lequel je travaille se présente sous la forme d’une succession d'images à fort impact visuel.
Les images mettent en présence les protagonistes des siècles passés et ceux qui, dans le monde contemporain,
pour le travail ou par intérêt, font partie du musée du Louvre ou le fréquentent. Mon projet est de mélanger la
réalité d'aujourd'hui avec celle des siècles passés et de montrer dans les visages d’hier et aujourd'hui les mêmes
sentiments comme la passion, l'anxiété, la noblesse, l'arrogance, la stupeur, l’ironie.
Photographier un visage peint signifie le mettre au présent, annuler le temps et la différence entre deux langues,
celle de la peinture et celle de la photographie. Dans les portraits que je vais réaliser, dans cette rencontre entre
la peinture et la photographie, les yeux nous fixeront avec une grande intensité. Pour l’accrochage du travail,
tous les yeux des personnages seront alignés à la même hauteur et les visages rapprochés de manière à porter un
regard unique et insistant sur les visiteurs. L'exposition présentera environ cinquante œuvres, en noir et blanc,
de dimensions légèrement différentes mais généralement de 60 cm par 100 cm, dans un mince cadre noir.
Le titre de l'exposition pourrait être « Les Yeux du Louvre ». Une rencontre nouvelle entre la peinture et la
photographie. Le musée du Louvre, au passé si riche, peut parler au présent.
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Repères biographiques
2011 1999
28 mai-30 Juillet Mediterraneo, Museum of Art, Cleveland
Transiti—Galerie Karsten Greve, Cologne
1998
2010 Eden, Palazzo Ducale, Moutoue
Mimmo Jodice, rétrospective 1960-2000, Maison Paris, City of light, Maison Européenne de la
Européenne de la Photographie, Paris Photographie, Paris
Mimmo Jodice, Palazzo delle Esposizioni, Rome La citta invisibile, Kunstmuseum, Düsseldorf
Mimmo Jodice, Naples intime, Institut culturel italien,
Paris 1996
Arti visibili, Museo di Capodimonte, Naples
2009 Mediterraneo, Palazzo della Triennale, Milan
Transiti, Museo di Capodimonte, Naples
1995
2008 Mediterraneo, Philadelphia Museum of Art,
Mimmo Jodice – Les Parcours de la Mémoire – Philadelphie (exposition itinérance)
Galerie Karsten Greve, Paris
1994
2007
Tempo interiore, Museo di Villa Pignatelli,
Perdersi a guardane, Spazio Forma – Centro
Naples,
Internazionale di Fotografia, Milan
1992
2006
Confini, Palazzo degli Irlandesi, Prague
Citta visbili, Palazzo Reale, Naples
1990
2005
La citta invisibile, Castel Sant’Elmo, Naples
Light, Galleria d’Arte Moderna, Bologne
1988
2004
Arles, Musée Réattu, Arles
Mimmo Jodice dalla collezione Cotroneo, MART
Museo di Arte Moderna e Contemporanea, Rovereto 1986
San Paolo, MASP Museo de Arte de Sao Paolo, Sao Paestum, Memorial Federal Hall, New York
Paolo
European Eye on Japan, Museum of Modern Art, 1985
Wakayama Un secolo di furore, Villa Borghèse, Rome
Parigi, Moscow House of Photography, Moscou
1982
2002 Teatralita quotidiana a Napoli, Biblioteca
Gli iconemi. Storia e memoria del paesaggio, Palazzo Marciana, Venezia
Bagatti Valsecchi, Milan Naples, une archéologie future, Bibliothèque
nationale, Paris
2001
Inlands, Mass Art, Massachusetts College of Art, 1981
Boston Vedute di Napoli, Museo di Villa Pignatelli,
Retrospettiva 1965-2000, GAM Galleria d’Arte Napoli
Moderna, Turin
1972
2000 Naples, City Hall , Boston
Mediterraneo, Castello di Rivoli, Rivoli
Anamnesi, Galleria Nazionale d’Arte Moderna, Rome 1968
Il Real Albergo dei Poveri, Cappela Palatina, di Teatro Spento, Palazzo Ducale, Urbino
Castelnuovo, Naples 1967
1999 1ère exposition à la librairie Mandragola, Naples
Mediterraneo, Museum of Art, Cleveland
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Le catalogue de l’exposition
Publication :
Format : 19,5X25,5
112 pages
60 illustrations quadri
19 euros
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Liste des tableaux photographiés
1 – Robert Lefèvre, Carle Vernet (1758 -1836), peintre, 1804
3 – Eugène Delacroix, Léon Riesener, 1835
5 – Jean-Baptiste Greuze, Portrait de jeune fille (dit La cruche cassée), 1771
6 – Gerrit van Honthorst, Portrait du Prince palatin Edouard, 1640 ?
8 – Antonio Moro, Portrait d'homme désignant une horloge de table, 1565
10 – Antonello de Messine, Portrait d’homme dit Le Condottière, 1475
11 – Ecole française XVIIe siècle, Portrait d’un couple, vers 1610
13 – Philippe de Champaigne (attribué à), Portrait de deux hommes dit autrefois Portrait de François Mansard
et de Claude Perrault
15 – Elisabeth-Louise Vigée-Le Brun, Madame Vigée-Le Brun et sa fille, Jeanne-Lucie-Louise, dite Julie
(1780 – 1819), 1789
17 – Léonard de Vinci, Portrait de femme, dit La belle ferronnière, 1495 – 1499
18 – Jacopo Carrucci, dit Il Pontormo, Portrait d'un graveur de pierres fines, 1517 – 1518
19 – Joseph Siffred Duplessis, Christophe Gabriel Allegrain, 1774
20 – Jacques-Louis David, Portrait de l’artiste, 1794
22 – Jean-Auguste-Dominique Ingres, Charles Cordier, 1811
24 – Gustave Lundberg, Le peintre François Boucher, 1741 ?
25 – Charles Antoine Coypel, Philippe Coypel, 1732
26 – Jacques-Louis David, Pie VII (1742 – 1823), 1805
28 – Horace Vernet, Jean-Baptiste Isabey, 1828
29 – Jean-Marc Nattier, La Comtesse Tessin, 1741
30 – Maurice-Quentin Delatour, Jean Le Rond d'Alembert
31 – Jacques-Louis David, Monsieur et Madame Mongez, 1812
32 – Jean-Auguste-Dominique Ingres, Philibert Rivière (1766 – 1816), 1804 – 1805
33 – Baron Pierre-Narcisse Guérin, Jeune fille en buste, vers 1794
34 – Agnolo di Cosimo di Mariano Tori, dit Bronzino, Portrait d'homme tenant une statuette
35 – Francesco Mazzola, dit Parmigianino, Portrait de jeune homme
36 – Raffaello Santi, dit Raphaël, Portrait de Baldassare Castiglione, écrivain et diplomate (1478 – 1529),
1514 – 1515
37 – Elisabeth-Louise Vigée-Le Brun, La Comtesse Skavronskaia, 1796
38 – Ecole hollandaise XVIIe siècle, Homme en buste, coiffé d’un chapeau
39 – Atelier de Greuze, Portrait de jeune femme
41 – Elisabeth-Louise Vigée-Le Brun, Madame Molé-Reymond, 1786
42 – Jacques-Louis David, Gaspard Meyer, 1795 – 1796
44 – Maurice-Quentin Delatour, Le Maréchal de Saxe
46 – Paul Delaroche, Portrait du comte James-Alexandre de Pourtalès-Gorgier (1776 – 1855), 1846
Département Peintures
47 – Philippe de Champaigne, Robert Arnaud d'Andilly (1589 – 1674), écrivain janséniste, 1667
48 – Jean-Auguste-Dominique Ingres, Louis-François Bertin, 1832
49 – Louis Tocqué, Madame Dangé faisant des nœuds, 1753
50 – Jacques-Louis David, Monsieur et Madame Mongez, 1812
52 – Eustache Le Sueur, Portrait d'homme
54 – Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson, Portrait d'homme en chasseur
55 – Anne-Louis Girodet de Roussy-Trioson, Le baron Jean-Dominique Larrey, 1804
57 – Charles Mellin, Portrait d'homme
58 – Jean-Auguste-Dominique Ingres, Le compositeur Chérubini (1760 – 1842) et la Muse de la poésie lyrique,
1842
60 – Philippe de Champaigne, Portrait d'homme, dit autrefois Robert Arnaud d'Andilly, 1650
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Visuels de l’exposition
Mimmo Jodice
Les yeux du Louvre
du 19 mai au 15 août 2011
Les visuels sont libres de droit avant, pendant et jusqu’à deux mois après la fin de l’exposition. Ils peuvent être
utilisés uniquement dans le cadre de la promotion de l’exposition.
Merci de mentionner le crédit photographique et de nous envoyer une copie de l’article :
Musée du Louvre, Direction de la communication, 75058 Paris cedex 01
Mimmo Jodice
Les Yeux du Louvre
©Mimmo Jodice, 2010
Mimmo Jodice
Les Yeux du Louvre
©Mimmo Jodice, 2010