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ADDICTION
à l’œuvre
une histoire de cinéma, de 1895 à 2019
5 parties, 2015 à 2019
Les drogues nous ennuient avec leur paradis. dfilms propose aux héritiers
Qu’elles nous apportent plutôt un peu plus de savoir. de Serge Daney*, aux “ciné-fils”
Nous ne sommes pas un siècle à paradis. et aux “ciné-filles”, de construire
Henri Michaux, Connaissance par les gouffres. une histoire de cinéma autour
d’un concept qui concerne
tout le monde, l’addiction.
LE CINÉMA : UNE HISTOIRE D’ADDICTIONS Pour rester en harmonie avec tous
par Thierry Jousse les publics, la programmation
ADDICTION à l’œuvre, se déroulera
Il y a bien longtemps que la question L’histoire du cinéma ne serait-elle en cinq parties, 2015-2019.
de l’addiction sous toutes ses pas tout simplement une histoire
formes – attraction, éblouissement, d’addictions ? C’est en tout cas ce Préambule de la manifestation,
dépendance, déchéance – traverse que suppose cette programmation ADDICTION à l’œuvre :
en son milieu le cinéma. Depuis qui trace une ligne serpentine entre du 28 novembre
Griffith et Max Linder au moins. Je les décennies et qui slalome entre au 7 décembre 2014, Paris
vois deux raisons évidentes à ce le jeu (La Baie des Anges), l’alcool
phénomène étonnant. La première (Rio Bravo, Love Streams…), la Nicole Brenez, Judith Revault
c’est que le Hollywood d’antan était drogue, pour aboutir à deux films- D’Allonnes, Cynthia Fleury,
un des lieux privilégiés de l’addiction monstres du cinéma contemporain Alain Bergala, Bernard Blistène,
au sexe, au jeu ou à la drogue. – Spring Breakers et Le Loup de Jean-Pierre Couteron, Thierry
Il suffit de lire Hollywood Babylone de Wall Street. Deux films qui incarnent Jousse, André S. Labarthe,
Kenneth Anger pour s’en convaincre. l’horreur de l’addiction en même temps Jean‑Marc Lalanne,
La deuxième, c’est que le cinéma que sa dangereuse séduction. Deux Jean‑François Rauger,
dans son dispositif même, mental et films qui mettent leurs spectateurs Charles Tesson, William Lowenstein
hypnotique, est une drogue et qu’à ce en face de cette contradiction ont accepté d’écrire et d’intervenir
titre il peut naturellement provoquer cruciale entre attirance et répulsion. pour cette manifestation.
l’addiction. La cinéphilie n’est-elle Deux films qui témoignent des
pas, par définition, une des formes liens organiques entre capitalisme Colloques, conférences,
les plus pures de l’addiction ? Et ce consumériste et addictions sous lectures, performances,
d’autant plus que cette attraction toutes leurs formes. Deux films qui, programmations ciné-musicales,
fatale pour le cinéma suppose comme tous ceux qui figurent dans publications et exposition d’art
l’idée de répétition à l’infini… cette programmation, montrent contemporain, s’accorderont
que le cinéma est décidément le à cette histoire de cinéma.
médium le plus sophistiqué et le plus
approprié pour affronter l’addiction.
*Serge Daney a enseigné le cinéma, voyageur, théoricien de l’image, critique aux Cahiers du cinéma, journaliste chroniqueur à Libération, co-fondateur
de la revue “Trafic” avec notamment, Patrice Rollet qui a engagé l’édition la plus complète à ce jour des œuvres de Serge Daney sous le titre général
La Maison cinéma et le monde, éditions P.O.L
4. A
DDICTION à l’œuvre, une histoire de cinéma, de 1895 à 2019
Préambule du 28 novembre au 7 décembre 2014
© Théatre du Temple
RIO BRAVO.
Etre addict est une souffrance par la Fédération Addiction et SoS Addictions
Les histoires d’addiction traversent la fragiles humains, que du malaise intéressant d’impliquer nos
vie des hommes et emportent bien de la culture qui nous entoure. associations dans un festival qui
au-delà. Qu’elles naissent au décours Les souffrances qu’elles causent, à s’appuie sur la passion du cinéma
d’un de ces moments traumatiques l’addict, à celles et ceux qui l’entourent, pour parler des addictions. Il n’est
qui marquent parfois les existences, sont un autre versant des addictions. jamais simple de se décaler d’un
qu’elles résultent d’une perte du Et, elles justifient cette approche discours public marqué par les drames
contrôle de nos plaisirs, qu’elles soient multiple des addictions qui peu à des addictions, et pourtant, si nous
un effet de notre moderne exigence de peu s’impose : une médecine des voulons avancer sur ces questions,
performance, qu’elles soient l’auto- addictions qui ne cesse de progresser, regarder ces représentations
traitement initial le plus accessible des traitements de substitutions diverses que l’art cinématographique
de nos troubles de l’humeur, de jusqu’aux nouvelles approches de donne de l’addiction est bien loin
nos problèmes de sommeil, de nos l’alcool. Des thérapies qui se sont d’être vain : il nous projette toujours
difficultés y compris sexuelles de la diversifiées pour mieux accompagner et encore du côté de la vie.
relation à l’autre, ou encore qu’elles les personnes. Des approches
masquent de douloureux troubles sociétales, sociales qui s’intéressent Jean-Pierre Couteron,
psychologue clinicien,
de la pensée, les addictions ont à ces univers de vie et de travail dans
Président de la Fédération Addiction
aujourd’hui des visages multiples lesquelles naissent les addictions. Dr William Lowenstein,
qui parlent aussi fortement de nous, Voilà pourquoi il nous a semblé Président de SoS Addictions
5
Philippe Bérard me téléphone. Il me Mais rien n’y fait. Philippe veut que d’ailleurs pas le savoir. Disons que je
parle de cinéma. Rien d’inhabituel. j’écrive quelque chose. Je lui dis que m’hypnotise, que je me drogue aux
Il m’explique qu’il prépare je ne trouve pas les mots et que je ne balivernes ! Picabia disait qu’il y avait
quelque chose. Je ne l’écoute pas saurais me prononcer : la diction. sans doute là « le meilleur moyen de
attentivement. Je ne comprends pas Mais Philippe insiste : qu’importe la regarder la réalité en farce ». Voilà
grand-chose. J’ai le sentiment que, diction ! Il ne me demande pas de que ça me reprend : mon addiction à
la passion aidant, il m’assomme de parler mais d’écrire. Il ajoute que je suis moi, ce sont les mots. J’aime Stroheim
titres, de noms et d’auteurs auxquels moi-même face à l’addiction. Oui, sans quand il raconte. J’aime Chaplin
je n’entends rien : la diction. doute ! Mais quand je parle, je maîtrise lorsqu’il borborygme. J’aime Jules
Alors, je lui dis de prendre son temps la situation. La diction, ça me connaît. Berry quand il apostrophe. J’aime
et de mieux prononcer. Il faut articuler. Depuis trente ans que je suis prof ! Michel Simon quand il marmonne.
Il me rappelle Jean-Christophe Averty Alors, Bérard rit. L’addiction et pas J’aime Joan Fontaine quand elle parle
parlant de microsillons. Il me dit la diction. « Une diction n’est pas d’amour. J’aime John Cassavetes
vouloir construire en cinq parties une une addiction », précise-t-il. J’en quand il s’alcoolise. J’aime Jeanne
histoire de cinéma, de 1895 à 2019. conviens. Rien à voir d’autant que Moreau quand elle interpelle. J’aime
Je ne connais rien au cinéma. Je moi, je m’occupe de choses qui la Isabelle Huppert quand elle réverbère.
ne suis pas un cinéphile. Je préfère plupart du temps, me font parler sans Bref, j’aime que ça parle. Ça me
l’avouer ici comme je le lui dis et lui qu’elles me répondent. Et puis, je ne reprend : « la diction, s’il vous plait ».
répète depuis quelque vingt cinq sais pas si j’ai des addictions. Je ne
ans que nous nous connaissons. sais pas si je suis malade. Je ne veux
L’ADDICTOPHYLE
par Bernard Favier,
Président de dfilms
réduction des risques) seraient des modifications sensorielles, une personne peut expliquer l’échec
responsables de 300 morts par an, fin des difficultés d’endormissement. de leur contrôle. A l’opposé, les
le cannabis de 220 morts (par Nous, pauvres petits mammifères stupéfiants sont illicites au nom
accidents de la route) et la nés dépendants, et notre cerveau d’une dangerosité absolue, tout
cocaïne de... 30 morts par an hédoniste, enregistrons toutes consommateur de cannabis finissant
(mais avec une très forte sous- ces fonctions positives initiales. esclave de La Drogue ! Cela est aussi
estimation pour cette dernière, peu Et recommençons, même si nous obscurantiste et contre productif! Cela
recherchée dans les accidents devinons les risques. C’est au fil de est aussi stérile que de demander
cardio et cérébro-vasculaires). ces répétitions, de ces abus d’un à une personne dépressive de bien
Pour comprendre ce paradoxe, il faut plaisir unique, que nos équilibres vouloir se secouer ou à une personne
se souvenir que nous partageons avec cellulaires vont se déstabiliser au souffrant de crises épileptiques de
l’alcool et le tabac une veille histoire point d’aliéner notre bien être (ne faire appel à sa volonté ou à son
commune qui nous a fait en sous- pas être mal, en manque), de nous amour pour ne plus convulser... !
estimer les risques et dommages. faire “perdre le contrôle”, de nous
L’alcool est une production locale menacer du “moins”, de nécessiter Que ce soit aux stades d’abus ou
ancienne (nous sommes les premiers la poursuite impérieuse de la de dépendance, les questions de
producteurs de vin au monde avec consommation ou du comportement l’addictologie moderne et de la
des milliards de litres produits chaque addictif et nous mener à l’état médecine des addictions se libèrent
année). Le tabac, d’arrivée plus psychologique et neurobiologique enfin depuis peu de toute morale,
récente, a bénéficié de l’inventivité de dépendance. Sur un plan social, de tout jugement. Quels sont nos
humaine, pour en améliorer le goût le même mécanisme se retrouve facteurs, génétiques, sociaux,
par des additifs divers, la diffusion par dans une dimension de centration psychologiques de vulnérabilité et de
l’invention de la cigarette et de son des activités sur ce comportement. résistance ? Comment retarder l’âge
paquet (adaptés à nos modes de A ce stade, vouloir n’est plus pouvoir des premiers usages et des premiers
vies modernes) et l’image, avec un et savoir n’aide pas plus à pouvoir... abus puisque nous savons désormais
marketing habile l’associant à la liberté. Vouloir arrêter n’est plus pouvoir que plus une addiction est précoce
arrêter ; savoir que poursuivre son plus elle est dommageable pour
Dans notre pays, l’addiction addiction au risque de perdre sa l’avenir de l’être humain ? Comment
est, encore aujourd’hui entendue santé, sa vie familiale et sociale, soigner, “médicamentalement”
comme un état de dépendance. son travail n’aident pas plus à les personnes dépendantes ?
Or le feuilleton des addictions changer son comportement. Comment réduire les risques et
se compose de trois épisodes : Nous comprenons aisément les les dommages des personnes
l’usage, l’abus et la dépendance. manques que sont la soif et la qui poursuivent leur addiction ?
Ce qui signifie qu’avant d’être un faim ainsi que le bonheur intime, la Répondre à ces questions oh
problème, les premiers temps d’une récompense, que nous éprouvons combien vitales pour des centaines
consommation ou d’un comportement à satisfaire ces besoins, parfois de de millions d’entre nous suppose,
addictifs ont été une solution ou une façon prioritaire, impérieuse. Idem impose une ouverture d’esprit que
amélioration du quotidien humain ! pour notre désir sexuel... Mais nous le XXe siècle n’a pas eu, avant
L’usage a fait découvrir à notre avons toujours autant de difficultés à que le sida ne passe par là.
cerveau (et plus particulièrement à appliquer ce schéma aux besoins que C’est pourquoi SoS Addictions et la
une région de notre cerveau sans notre société et nous avons induits. Fédération Addiction soutiennent le
laquelle nous ne serions pas là à L’addiction, au stade de dépendance, festival “Addiction à l’œuvre”, pour
disserter : le circuit de la récompense) reste une faute, une faiblesse, une un nouveau regard, une ouverture
des fonctions positives initiales : un histoire de morale et de volonté aux d’esprit. Pour parler des addictions,
effet dynamisant, un changement yeux de la majorité ! Et le clivage légal/ les faire basculer du côté de la
d’humeur euphorisant, une relation à illégal finit de refermer le piège : les vie. Pour comprendre et ne pas
l’Autre désinhibée, une appartenance substances licites le sont au nom d’une dépendre, pour user sans abuser...
à un groupe social, une pensée supposée moins grande dangerosité,
souvent plus “forte” ou enfin apaisée, et donc seule une faiblesse de la
8. A
DDICTION à l’œuvre, une histoire de cinéma, de 1895 à 2019
Préambule du 28 novembre au 7 décembre 2014
Ken Brown
LIGHT SHOW FILMS Cornucopia
LA BAIE DES ANGES graphiste et cinéaste américain transformait les boîtes crâniennes
France, 1963, noir et blanc, 1h30 Ken Brown réalise une série en modernes cornes d’abondance
Réalisation : Jacques Demy de films époustouflants qui (cornucopia, en latin, emblème
Avec : Jeanne Moreau, constituent l’apothéose du cinéma mythologique de la fertilité) s’ouvrant
Claude Mann, Paul Guers. psychédélique. Chromatisme volontiers par le haut pour laisser
Jean Fournier, un jeune employé de flamboyant, motifs emblématiques s’échapper songeries et fantasmes.
banque, arrive à Nice. Il découvre des années 60 tourbillonnants Aucune image ne dure plus de
le jeu et rencontre Jackie, une d’énergie, rythme effréné, techniques quelques secondes et, dans
joueuse, au casino. Entre eux, mixtes, joie, élégance, humour et leur diversité euphorique, tantôt
c’est la passion et la fascination. champignons, rien ne manque à cette analogiques, tantôt graphiques, tantôt
délicieuse orgie visuelle. À l’époque visibles, le plus souvent enfouies
joués surtout en Nouvelle Angleterre, dans la vitesse du défilement, elles
pendant leurs projections les Light contestent spontanément, à la
Shows Films s’enrichissaient encore force de leur énergie joyeuse, ce à
de jeux de filtres, de diapositives et de quoi plus personne n’oserait même
lumières afin de créer une tapisserie songer aujourd’hui : les “limites
© Cinétamaris
© Mars Distribution
Robert De Niro, Bruce Dern. Love Streams est magnifique.
Aux États-Unis dans les années 1930, Olivier Séguret, Libération, mai 1998
“Ma” Kate Barker, chef sanglante
d’un gang familial, conduit ses L’ABÉCÉDAIRE DE GILLES De cet objet idiot s’écoule une
quatre fils Herman, Lloyd, Arthur DELEUZE - B COMME BOISSON sorte de poésie repoussante et
et Fred, d’une main de fer, semant France, 1996, couleur, 11’ naïve, burlesque et synthétique,
ensemble terreur et violence. Réalisation : Pierre-André Boutang vulgaire et bête, une sorte de
Avec : Gilles Deleuze, Claire Parnet poésie perdue, à ramasser, à
LOVE STREAMS Le 4 novembre 1995 disparaissait rincer, impropre à la consommation,
(TORRENTS D’AMOUR) Gilles Deleuze, l’un des philosophes innommable en somme, mais qui
USA, 1985, couleur, 2h21 les plus importants de notre temps. exprime aussi la part poétique et
Réalisation : John Cassavetes Il n’existe aucun film qui lui soit misérable de notre époque.
Avec : Gena Rowlands, consacré et il a toujours refusé de Jean-Philippe Tessé, Les Cahiers
John Cassavetes participer à une émission de télévision. du cinéma n°687, mars 2013
Il était pourtant, de son vivant, une
sorte de star, par l’éblouissement
qu’il provoquait chez tous ceux qui
assistaient à ses cours et par la
gloire que lui ont valu ses livres.
Deleuze ne voulait pas d’un film
sur lui, mais avait accepté l’idée
© Zootrope
Ne pas tomber malade, c’est encore mieux que d’être bien soigné.
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12. A
DDICTION à l’œuvre, une histoire de cinéma, de 1895 à 2019
Préambule du 28 novembre au 7 décembre 2014
© Mars Distribution
SPRING BREAKERS.
*La Fédération Addiction fédère 200 associations représentant plus de 650 établissements prenant en charge des personnes ayant des conduites
addictives (prévention, réduction des risques, soins) et 400 personnes physiques (médecins, psychiatres, psychologues…)
**SoS Addictions : association loi 1901, à but non lucratif, dont l’objectif est de mobiliser l’opinion publique et d’informer les acteurs de la société civile,
les médias et les responsables politiques sur toutes formes d’addiction comportementale : alcool, drogues, médicaments, jeux, sexe...
On réalise que l’on ne peut pas régler tous les problèmes
par la violence et la répression en voyant un moustique
se poser sur ses testicules”
Proverbe chinois
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pour accompagner les personnes tout au long de leur vie.
14. A
DDICTION à l’œuvre, une histoire de cinéma, de 1895 à 2019
Préambule du 28 novembre au 7 décembre 2014
PROGRAMME
LES SÉANCES DU PRÉAMBULE ET LES INTERVENANTS
du 28 novembre au 7 décembre à Paris
1 4 7
ADDICTION à l’œuvre ADDICTION, en série ADDICTION, en série
Soirée inaugurale Soirée “Une histoire Matinée John Cassavetes
au cinéma Le grand Action en accéléré de l’addiction, au cinéma Le Max Linder
le vendredi 28 novembre 2014 dans le cinéma US” le dimanche 7 décembre
ADDICTION, en série au cinéma Luminor 10h30
Soirée Dean Martin le mercredi 3 décembre Présentation de la manifestation
20h 20h “ADDICTION à l’œuvre” du film
Présentation de la manifestation Séance proposée et présentée Love Streams et du livre :
“ADDICTION à l’œuvre” par Thierry par Nicole Brenez John Cassavetes, Cahiers
Jousse et Philippe Bérard 10’ 20h30 du Cinéma, Collections Auteurs,
et présentation du film Rio Bravo • CHARLOT FAIT UNE CURE 24’ par Thierry Jousse 20’
par Thierry Jousse 20’ • THE MYSTERY OF 11h
20h30 THE LEAPING FISH 26’ • LOVE STREAMS 2h21
• RIO BRAVO 2h20 • THE WOLF OF WALL STREET 2’
• LIGHT SHOW FILMS 50’ 8
2 ADDICTION, en série
ADDICTION, en série 5 Après-midi Roger Corman
Après-midi Dean Martin ADDICTION, en série au cinéma L’Archipel
au cinéma Le Studio des Ursulines Soirée Joseph von Sternberg le dimanche 7 décembre
le dimanche 30 novembre au cinéma Le grand Action 17h
16h le jeudi 4 décembre Présentation de la manifestation
Présentation de la manifestation 20h “ADDICTION, à l’œuvre”,
“ADDICTION à l’œuvre” Présentation de la soirée par Philippe Bérard 15’
et présentation du film Rio Bravo par André S. Labarthe 10’ 17h15
par Alain Bergala 30’ 20h15 • BLOODY MAMA 1h30
16 h 30 • SHANGHAI GESTURE 1h38
• RIO BRAVO 2h20
6
3 ADDICTION, en série
ADDICTION, en série Soirée B, comme boisson
Soirée Jacques Demy au cinéma Le grand Action
au cinéma Le Reflet Medicis le vendredi 5 décembre
le mardi 2 décembre 20h
20h30 Présentation de L’ABÉCÉDAIRE
Présentation de la manifestation, de Gilles Deleuze, La lettre B, comme
“ADDICTION à l’œuvre” boisson, par Bernard Blistène 15’
par Alain Bergala 15’ 20h15
20h45 • LA LETTRE B, COMME BOISSON 11’
Présentation du film La Baie 20h30
des anges par Alain Bergala 30’ Présentation du film Spring
21h15 Breakers par Thierry Jousse 10’
• LA BAIE DES ANGES 1h30’ 20h40
• SPRING BREAKERS 1h32
15
© Théatre du Temple
RIO BRAVO.
remerciements
Jean-Paul HUCHON, Président du conseil régional d’Île-de-France dfilms remercie chaleureusement
Julien DRAY, Vice-président du conseil régional d’Île-de-France, chargé de la culture Andy, Angie, Roxy & Joe
et “blu velvet addiction for ever”
Les cinémas
SoS Addictions
LE GRAND ACTION : Isabelle Gibbal-Hardy, Victor Bournerias
et son Président : William Lowenstein
LE STUDIO DES URSULINES : Florian Deleporte
LE REFLET MEDICIS : Sophie Dulac, Marie Godet, Eric Vicente La Fédération Addiction
LE LUMINOR : François Yon, Virginie Mercier et son Président : Jean-Pierre Couteron
LE MAX LINDER PANORAMA : Claudine Cornillat sos-addictions.org
L’ARCHIPEL : Damien Truchot federationaddiction.fr
Sub-til : Christophe Boutang, Claire Parnet
Lobster Films : Serge Bromberg, Maria Chiba Programmation
Philippe Bérard, Nicole Brenez
Warner Bros, Ciné-Tamaris, Films Sans Frontières,
et le collectif cinéma
Mars Distribution, Zootrope Films, Théâtre du Temple,
Addiction à l’œuvre © dfilms
Les Cinémas Indépendants Parisiens : Isabelle Gibbal-Hardy,
Claudine Cornillat, Anne Bargain et toute l’équipe des C.I.P. Photo de couverture : La Baie des anges
© Raymond Cauchetier
et, tout particulièrement Graphisme : www.regislesserteur.fr
Danielle Anezin et André Labarthe, Philippe Bourgoin, Isabelle Goetzmann,
Bernard Favier, Marc-Antoine Réol, Marielle et Gabrielle Chevallier, Philippe Siauve, Contact : addictionaloeuvre@gmail.com
Béatrice Moreno, Éric Mangion, Véronique Bourgoin et la Fabrique des Illusions www.dfilms-programmation-cinema.fr
FI
Fabrique des Illusions
Un portail « ressource » Addictions LE PORTAIL
> AU TRAVAIL
www.intervenir-addictions.fr