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Les stéréotypes dans les

médias
Mastérande: Marinescu Georgeta
Prof. coord.: Prof. univ. dr. Balan Veronica
• Le terme « stéréotype » provient de l’art de l’imprimerie. Il vient du
grec « stereos », solide, et de « tupos », empreinte. 
• Un stéréotype est donc une plaque d’imprimerie coulée dans un
moule.
• Comme cette plaque est en métal, il est difficile de la changer
lorsqu’elle est moulée.
• Chaque fois qu’elle imprime, elle produit la même impression, la
même image.
Un stéréotype est donc, soit :
• Un cliché obtenu par stéréotypie (imprimerie)
• Une expression ou opinion toute faite, sans aucune originalité, clichée.
• Une caractérisation symbolique et schématique d’un groupe qui
s’appuie sur des attentes et des jugements de routine.
On retrouve des stéréotypes tels que

• Les races (les Noirs, les Blancs…),


• Les genres (les femmes, les hommes, les transgenres…)
• Les orientations sexuelles (les hétérosexuels, les gays, les asexués…)
• Les nationalités (les Chinois, les Allemands, les Japonais…),
• Les professions, groupes sociaux (les ouvriers, les professeurs, les
syndicalistes les capitalistes, les migrants…)
Les dimensions - Il peut s’agir de croyances
concernant :
• les traits de personnalité («Les Français sont arrogants»),
• les caractéristiques physiques (« Les Etats-Uniens sont gros»),
• les performances intellectuelles («Les Asiatiques sont intelligents»)
• ou encore des croyances concernant les comportements («Les Belges
mangent tout le temps des frites »).
COMMENT SE CRÉE-T-IL ?
• Si l’on sait qu’ils forment un groupe, ils deviennent alors une entité envers
laquelle il est possible d’émettre un jugement global. Il s’agit là d’une condition
essentielle, peu importe l’origine des informations du jugement.
• La formation du stéréotype correspondrait à une logique essentialiste. Elle a pour
fondement d’expliquer ce que les personnes font (comportements, attitudes)  par
ce qu’ils sont (nature, essence).
• Le sentiment d’appartenance à un groupe et de différence avec les autres groupes
se traduit par des autostéréotypes ( vis-à-vis de son groupe de référence, souvent
positifs, quelques neutres et très rarement négatifs ) et
des hétérostéréotypes ( vis-à-vis des autres groupes, parfois négatifs, parfois
neutres et rarement positifs).
Les stéréotypes se forment à partir de 4 processus distincts :

• la surgénéralisation 
• l’effet de négativité dans le souvenir et la distorsion de la réalité 
• les jugements polarisés 
• la corrélation illusoire 
LE CINÉMA
Pourquoi y a-t-il des stéréotypes au cinéma?
• Afin de donner une impression cohérence à un personnage par rapport à son rôle
dans l’histoire, l’utilisation de stéréotypes est nécessaire.
• Le spectateur a besoin de savoir quelle impression ressentir en fonction de chaque
personnage, et cela très rapidement. Il en va de même pour l’environnement dans
lequel les personnages évoluent, ainsi que l’ambiance.
• Il faut savoir reconnaître le contexte rapidement et sans problème, pour
s’immerger dans l’histoire.
• Les stéréotypes guident le spectateur dans ce processus.  Afin de représenter un
pays donné, il faut savoir s’appuyer sur des références et connaissances
communes, pour toucher un maximum de spectateurs
Daniel Bonvoisin dans son article “Les stéréotypes au cinéma“

•  Le stéréotype “permet au réalisateur de faire l’économie d’une


longue description“.
• Le stéréotype qui est attaché à un personnage “complète son portrait
sans qu’il soit nécessaire de multiplier les explications“.
• Il permet une heuristique de jugement. En fait, un stéréotype est
simplement pratique et plus efficace pour un réalisateur et les
spectateurs.
Daniel Bonvoisin
• “Lorsqu’on le prend pour une vérité générale plutôt qu’une
représentation caricaturale, le stéréotype devient alors problématique. Il
peut alors devenir un préjugé, et créer des tensions entre certains groupes
d’individus.“ – D. Bonvoisin
• Alors malgré la nécessité des stéréotypes au cinéma, il reste important de
ne pas prendre littéralement tout ce qui est transmis afin de ne pas tomber
dans la caricature et les préjugés, car malgré son apparence de réel, le
cinéma n’est qu’une transmission subjective de certains aspects de la vie.
N’oublions pas que toute fiction commence par une suspension temporaire
d’incrédulité (le fameux : il était une fois…).
• 
Des stéréotypes au cinéma
• Quand éclate le feu d’artifice qui annonce la clôture de la série Sense8 à la 
Tour Eiffel, le 22 octobre 2017, les badauds s’étonnent : ils ignorent qu’il s’agit
du tournage d’une scène de la série des Wachowski, diffusée sur Netflix. Cet
épisode s’intitule « Amor vincit omnia » et si le titre fait sens avec la trame
narrative de la série, il illustre aussi un cliché dont l’audiovisuel use sans
compter, celui de Paris capitale de l’amour.
• Clichés et stéréotypes ont mauvaise presse : ils signent souvent le manque
d’originalité ou la paresse créatrice. C’est pourquoi on peut passer rapidement
du sourire amusé – devant la frénésie photographique des couples chinois en
tenue de mariage autour de la Tour Eiffel – à un fort agacement. Dans
l’imaginaire mondialisé, Paris évoque l’amour romantique et on aimerait bien
que la ville ne soit pas réduite à cela.
Emily in Paris : paroxysme du cliché ou efficacité du rêve ?

• Son créateur Darren Starr qui avait déjà fait rêver d’un New York glamourisé
avec Sex and The City a pourtant appliqué les mêmes procédés iconographiques. Il
choisit des lieux emblématiques (la boulangerie, la place de l’Estrapade, des cafés
en terrasse) et des promenades récurrentes (les quais, les ponts de la Seine, les
illuminations). Cette fois, il propose le regard américain sur Paris d’une jeune
héroïne aux tenues improbables, la fille instagrameuse de Carrie Bradshaw à l’ère
#Post MeToo. Exaspérant les critiques, la capitale est à la fois idéalisée et vétuste,
les Parisiens arrogants et inhospitaliers. Clichés américains contre clichés
parisiens, la série s’amuse de ces oppositions qui pourraient rappeler ceux existant
entre la province et la capitale.
La ville à l’écran : de la perception individuelle aux clichés

• Espace rêvé, idolâtré ou repoussant, la ville déchaîne les passions et


stimule l’imagination : la ville interroge, la ville intrigue, la ville attire.
Jusqu’à créer de véritables mythes urbains sur les villes : Paris est la
ville de l’amour, Rome la ville de la dolce vita, New York la ville de
tous les possibles… Des clichés qui ont la vie dure et qui se traduisent
à l’écran. Représenter la ville dans un film s’accompagne donc de son
lot de clichés : filmer la ville, c’est dévoiler une vision particulière de
l’urbain, fruit d’un désir ou d’un rejet.
• Ce constat se traduit souvent à l’écran par un embellissement ou au contraire,
une dégradation de l’espace urbain, quitte à basculer dans la fiction. Ainsi,  la
ville n’est jamais filmée dans son entièreté : les quartiers sont choisis avec
minutie afin de véhiculer une image particulière de la ville. Les
commentaires sur la série Emily in Paris reposent en partie sur ce fait : dans
la série, l’héroïne semble ne parcourir que les lieux emblématiques (ou
“charmants”) de la capitale : des lieux touristiques, peu représentatifs de la
vie quotidienne de la plupart des parisiens. Emily fait son jogging au Jardin
du Luxembourg, elle est invitée à des soirées avec vue sur le tout Paris, elle
ne fréquente que des quartiers d’immeubles haussmanniens… C’est le Paris
rive gauche, idyllique, propre et “romantique” qu’arpente tous les jours
Emily.  
• Autrement dit, la ville de Paris ne sert que de décor et non de lieu
d’interaction d’une habitante avec son lieu de résidence. C’est ainsi le
manque de réalisme du quotidien d’Emily qui a été moqué : pas une
poubelle dehors, des parisiens toujours réactifs et bien sûr sans
écouteurs, pas de déchets au sol, pas de voitures ni de vélos dans les
rues… Les internautes ont aussi ironisé sur la “pratique” et “l’usage »
de la ville par Emily : pas une fois l’actrice ne prend le métro, alors
que près de 4 millions de français l’empruntent chaque jour ! Pour
elle, des taxis sont toujours disponibles à chaque coin de rue, une
réalité qui n’est pas toujours vérifiée par les parisiens. Enfin, l’héroïne
porte sans difficulté des talons de 12cm sur les pavés…
• Dans la série Emily in Paris, disponible sur Netflix, l’héroïne débarque dans
une capitale française de carte postale. Liberté, verre de rosé, infidélité…
Les épisodes enchaînent les stéréotypes sur la France et les Français.
• « Aux yeux, des Américains, les Français savent vivre. Ils projettent sur les
Français un personnage intrigant, qui refuse de se faire dicter sa morale par
d’autres », explique à 20 Minutes John Von Staten, journaliste d’origine
américaine installé à Paris depuis 2002.
• « Cette vision fétichisée est problématique parce que ça implique un gros
problème de représentation et créé des fausses attentes », estime auprès
de 20 Minutes la journaliste Lindsey Tramuta, naturalisée française en 2014.
• Les bérets. Les croissants. Les baguettes. Les serveurs patibulaires.
Les concierges irascibles. Les dragueurs à toute heure. Les amants et
les maîtresses. Citez un cliché sur la France et les Français : vous le
retrouverez dans Emily in Paris. Mise en ligne sur Netflix le film
suscite des commentaires passionnés sur les réseaux sociaux. Il y a
ceux qui savourent ces stéréotypes comme des macarons et les autres,
qui balanceraient tout ça à la Seine. Cette histoire d’Américaine
débarquant dans une capitale de carte postale et découvrant avec
candeur les mœurs frenchies fonctionne.
LE BERET ROUGE
La chambre de bonne au dernier étage, sans ascenseur

• Avec en bonus, une gardienne pas sympa ! C’est connu mais c’est
malheureusement vrai et la série s’en amuse dans le premier épisode :
une grande partie des appartements parisiens ne disposent pas
d’ascenseur – et pas seulement ceux avec des anciennes chambres de
bonne. Alors certes, ça fait les cuisses de monter six étages tous les
jours, mais on ne va pas se mentir, c’est carrément relou.
à Paris, les voisins ne se parlent pas.
Les Français·e·s sont vulgos et ont un sale caractère

• Même si on n’a pas tous et toutes un caractère de cochon, disons que


d’un point de vue américain, on peut effectivement passer pour des
personnes peu amènes. Sans être aussi bitch que Sylvie, la boss
d’Emily qui a trop regardé Le Diable s’habille en Prada, le·la
Français·e et encore plus le·la Parisien·ne stressé·e peut légèrement
manquer de tact, surtout au petit matin, si il ou elle n’a pas encore pris
son café. Mais une fois passée cette période initiale d’hostilité, on peut
se montrer aussi serviable que Gabriel et sourire à la vie (voire aux
gens les grands soirs).
à Paris, on commence tard le matin (vers 9 h 30/10 heures
Les Français·e·s et le sexe

• Les hommes comme les femmes


seraient plus libéré·e·s, enclins à être
infidèles envers leur partenaire et à
mélanger allègrement vies pro et perso. 
On fume comme des pompiers

• Sylvie fume avec son client dans


les locaux de son entreprise, en
plein jour, est carrément
exagérée.
On ne supporte pas quand une personne ne parle pas français 

• Si Emily veut imposer son point


de vue américain à ses collègues
un peu vite, la série pointe du
doigt un point assez vrai, surtout
chez les boomeurs : la fierté de la
langue française. Beaucoup ne
parlent pas anglais et ne font
aucun effort pour comprendre les
étranger·e·s 
COMMENT DÉCONSTRUIRE UN STÉRÉOTYPE?
 2014, la chaîneTF1- une campagne “anti-stéréotypes nationaux”
• https://youtu.be/5Hf3wOCUr7s
Frédéric Ivernel, directeur
communication/marketing de TF1 indique :
• “Nous voulons donner aux Français l’énergie positive dont ils ont
plus que jamais besoin. À notre niveau, nous avons le devoir de
contribuer au moral de ceux qui nous regardent en leur apportant de
la joie et de l’optimisme.”
Les Français…
Les Français font la gueule, sont feignants, ne croient plus en rien, sont racistes, ce sont des perdants… À chacune
de ces affirmations est opposée une saynète de la vie quotidienne qui clame exactement l’inverse : éclats de rires
autour d’un repas, agriculteur sur son tracteur dès l’aube, infirmière dévouée, pied noir et pied blanc qui dépassent
sous la couette… Le film s’achève sur une question : «Et si on voyait les choses autrement ?» , c’est à dire, “Et si
on voyait par delà des stéréotypes ?“.
DIFFICULTÉS
Mr. Fijalkow, le stéréotype relève de la nature humaine

• Il est très compliqué de déconstruire un stéréotype, car ce serait lutter contre le fonctionnement
usuel de la société. C’est presque “contre-nature” et complètement contre-intuitif. Ce qui est
naturel, c’est de développer des catégories afin d’aller plus vite, de penser plus facilement .
• On peut cependant essayer de déconstruire un stéréotype de plusieurs manières : soit par le
contact aux autres, en leur montrant notre réalité, qui nous sommes réellement ; soit grâce à
l’éducation, en expliquant aux élèves qu’un stéréotype n’est qu’une construction et une image qui
leur est imposée depuis toujours.
• Le problème est que soit, le stéréotype est influencé par la société, et dans ces cas-là il est
éventuellement possible de le déconstruire, soit il est issu d’une expérience personnelle, et
il devient très compliqué de le déconstruire. Enfin, la plus grande difficulté, est que les
stéréotypes s’auto-construisent, et que les individus tendent à ne pas se rendre compte de
ce qu’ils véhiculent.
CONCLUSION
• A l’ère de la mondialisation, les stéréotypes sont t-ils enracinés ou
déconstruits par les médias ?
• les médias ont tendance à enraciner les stéréotypes nationaux;
• la presse est un média particulier, qui tend plus à l’énonciation de la
réalité;
• la grande majorité des médias se sert des stéréotypes, et continuera
ainsi;
• au cinéma comme dans la publicité, les réalisateurs prennent plaisir à
jouer avec ces stéréotypes, à les utiliser voire à les exagérer, à les
renforcer, etc
• “L’ éducation est la meilleure arme pour prendre conscience de nos
représentations et stéréotypes afin d’être moins sujet à des raccourcis
parfois gênants.”
• Étant libres d’accès, les réseaux sociaux peuvent éventuellement être
démultiplicateurs de “fake news” et possiblement de stéréotypes en
tout genre. Malgré tout, internet et les réseaux sociaux contribuent à
une certaine forme de déconstruction grâce à l’accessibilité de
l’information qu’ils rendent possible.
• Aujourd’hui plus qu’hier, les populations mondiales sont mobiles, les
moyens de transports et les voies de communication sont plus
accessibles et variés. Les migrations intra et extra continentales sont
nombreuses.
• Des modes de vie diamétralement différents se rencontrent, et parfois,
se confrontent.
• Prendre conscience de nos propres stéréotypes et de ceux des autres
nous permettra de mieux accepter les différences et de nous enrichir au
contact de l’autre et ce, indépendamment des messages véhiculés par
les médias.
Bibliographie
• philomedia.be, 15 mars 2018, Les médias influencent-ils notre société. Disponible sur :http://www.philomedia.be/les-medias-influencent-ils-notre-societe-entretien/
• Woody ALLEN, Midnight in Paris. Sony Pictures Classic, Mediapre, Mars Distribution, 2011. [Bande Annonce] https://www.youtube.com/watch?v=ef47VO9E6xE
• archiver-archives.com, Pourquoi Paris est la ville de l’amour et du romantisme ? Disponible sur : 
http://www.archives-archive.com/pourquoi-paris-est-la-ville-de-lamour-et-du-romantisme/
• leparisien.fr, 16 janvier 2018, Publicité : Des marques s’engagent contre les cichés. Disponible sur : 
http://www.leparisien.fr/societe/publicite-des-marques-s-engagent-contre-les-cliches-16-01-2018-7503012.php
• J’étudie la com’, Les stéréotypes dans la pub, 2016. Disponible sur : http://jetudielacom.com/les-stereotypes-dans-la-pub/
• Les stéréotypes nationaux dans le cinéma Hollywoodien vu par S. Kracauer, Université de Duisburg-Essen, 2007, n°94 Disponible sur : 
http://users.skynet.be/bs136227/src2/Bulletin/94_c.pdf   
• Media animation, 20 mars 2007, Les stéréotypes au cinéma. Disponible sur : https://media-animation.be/Qu-est-ce-que-le-stereotype.html
• lemonde.fr, 2 septembre 1946,V. Le Brésil moderne. Disponible sur : 
https://www.lemonde.fr/archives/article/1946/09/02/v-le-bresil-moderne_1879413_1819218.html?xtmc=bresil&xtcr=19
• lemonde.fr, 8 septembre 2018, Brésil – Le naufrage d’une nation. Disponible sur : 
https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/09/08/bresil-le-naufrage-d-une-nation_5352184_3232.html?xtmc=bresil&xtcr=101
• lemonde.fr, 22 décembre 2018, Les cultures de cacao dévorent la forêt tropicale. Disponible sur : 
https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/12/22/les-cultures-de-cacao-devorent-la-foret-tropicale_5401448_3244.html?xtmc=foret_amazonienne&xtcr=11
• lemonde.fr, 4 septembre 2018, Incendie du musée de Rio : “Le fruit d’une négligence absolue”. Disponible sur : 
https://www.lemonde.fr/ameriques/article/2018/09/04/indignation-apres-l-incendie-du-musee-de-rio_5349901_3222.html?xtmc=incendie_rio_musee&xtcr=2
• ERNAUX, Annie, La honte, folio, 2018
• DUCHÊNE, Nadia, Stéréotypes, regards croisés et identités dans le discours médiatique, 2012. Disponible sur : 
http://revistas.ucm.es/index.php/THEL/article/download/41837/39864
• www.lefigaro.fr, “TF1 veut montrer un visage plus positif”, mis en ligne le
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http://www.lefigaro.fr/medias/2014/04/11/20004-20140411ARTFIG00009-tf1-veu
t-montrer-un-visage-plus-positif.php
• wordpress.com, “Stéréotype basé sur la religion;les musulmans”, Disponible sur: 
https://strotypesetprjugs.wordpress.com/stereotype-base-sur-la-religionmusulman/
• fastncurious.fr, “Les stéréotypes nationaux, une affaire payante?”, Disponible sur: 
 http://fastncurious.fr/2013/03/22/les-stereotypes-nationaux-une-strategie-payante/

• nospensees.fr, “Stéréotypes et préjugés : les différences”, mis en ligne le 10/05/18,


Disponible sur: https://nospensees.fr/stereotypes-et-prejuges-les-differences/
• www.larousse.fr, définition du mot “stéréotype”, Disponible sur:  
https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/st%C3%A9r%C3%A9otype/74654?
q=st%C3%A9r%C3%A9otype#73807
• www.prejuges-stereotypes.net, “Effets non conscients des stéréotypes sur les
comportements et les performances”, Jean-Baptiste Légal, Disponible sur: 
http://www.prejuges-stereotypes.net/espaceDocumentaire/legal.pdf
• journals.openedition.org, Georges Schadron, « De la naissance d’un stéréotype à son
internalisation », Cahiers de l’Urmis, mis en ligne le 15/12/06,  Disponible sur: 
http://journals.openedition.org/urmis/220
• www.persee.fr, “Qu’est ce qu’un stéréotype?”, Mohammed Dorai, 1998,  Disponible sur: 
https://www.persee.fr/doc/enfan_0013-7545_1988_num_41_3_2154
• www.mercatique-electronique.com, “Stéréotypes et impact”, Disponible sur: 
http://httpswww.mercatique-electronique.com/encadrer-publicite/stereotypes-impact-publicite/
://
• drome.gouv.fr, 100 films pour lutter contre les stéréotypes. Disponible sur : 
http://www.drome.gouv.fr/IMG/pdf/FOL_BRO_FINAL.pdf
• leparisien.fr, Publicité : des marques s’engagent contre les clichés. Disponible sur : 
http://www.leparisien.fr/societe/publicite-des-marques-s-engagent-contre-les-cliches-16-01-20
18-7503012.php
• Cliché! Cédric Villain, Disponible sur :
 https://www.youtube.com/watch?v=OCIAyHEFTrQ&t=116s

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