Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Introduction général
Terminologie
Historique
Niveaux des décision logistiques
Approvisionnement
Gestion Intégrée
<< Une personne à décide d’aller au supermarché pour acheter 6 paquets de lait>>
o Le consommateur aurait pu aller à l’épicier. Décision logistique.
o Le consommateur aurait pu prendre un seul paquet.
Ce consommateur assure une importante partie de la chaîne logistique. Dans cette décision, on retrouve :
La fréquence d’approvisionnement.
Le conditionnement.
La possibilité de stock.
Des économies de groupement réalisé sur l’achat.
Le lieu d’approvisionnement.
La rupture du stock
La concurrence industrielle d’aujourd’hui va au-delà des sociétés isolées et devient une bataille entre les chaînes logistiques,
ce qui signifie un changement depuis l'entreprise de fabrication locale à la chaîne logistique internationale (Martínez-
Olvera, 2008)
On utilise ces termes pour dire la même chose. Mais une grande différence existe entre ces mots
Flux Physique : matière première, d’encours et de produits finis, les conteneurs, les emballages, les palettes et
les produits retournés
Flux d’Information : flux de données et d’un flux de décisions : état du système, le niveau des stocks et des
encours, ou la demande du client. minimum des différentes commandes, retards de livraison, les quantités
maximales qui pourront être livrées
Flux Financier : L’échange d’information financière, paiements des fournisseurs, flux d’argent, client paye le
distributeur, le distributeur paye le fabricant et le fabricant paye ses fournisseurs
- Flux physique directe : Amont vers l’aval. Alors on peut avoir un flux inverse ( retours, attente, litige, …) 10
%) de retour est de l’aval vers Amont
- Flux financier directe : l’aval vers Amont. Alors on peut avoir un flux inverse ( non payement …) 10 % de
retour est de l’ Amont vers l’aval
=
C’est l’ensemble d’approches utilisées pour intégrer efficacement les fournisseurs, les producteurs, les
distributeurs, de manière à ce que la marchandise soit produite et distribuée en bonne quantité, au bon endroit
et au bon moment dans le but de minimiser les coûts et d’assurer le niveau de service requis par le client.
=
Synchroniser les besoins des clients avec le flux de matière
Supply Chain Network, qui est une sorte de maillage de plusieurs chaînes logistiques (Tetteh et Xu
2014).
SCM = pilotage des relations entre les entités qui composent une chaîne logistique
Le changement organisationnel :
- Changement organisationnelle et culturel de l’entreprise.
* doivent à la fois être adaptées (pour être efficaces et efficientes)
* et adaptables (pour faire face à l’instabilité et à la turbulence
- Nécessite un décloisonnement des fonctions silos et une mise en place d’une direction Supply Chain
Mathématiques
Management industriel
Est tactique
Elle engage la société sur un horizon 6 mois < horizon ≤ 36 mois
Décision remodelant une phase de la chaîne logistique. (organisation appro, localiser activité conditionnement
final, confier la distribution à un prestataire)
Il concerne traditionnellement les modes de mise en place de la démarche Supply Chain Management en
spécifiant les différentes méthodes et outils de gestion et sur les choix organisationnels des firmes. Qcq
Exemples :
- Affectation des capacités de production aux familles de produits par usine ;
- Taux d’utilisation des capacités planifiées en fabrication ;
- Besoins en main d’œuvre ;
- Allocation des sources d’approvisionnement aux usines ;
- Gestion des transferts intersites ;
- Plans d’investissements et de déploiement des stocks ;
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 8
- Modes de transports et choix des transporteurs
Il concerne traditionnellement les modes de mise en place de la démarche Supply Chain Management en spécifiant
les différentes méthodes et outils de gestion et sur les choix organisationnels des firmes (Carbone, 2004)
Est opérationnel
Question engageant la société sur un horizon < 6 mois
Remodelant un maillon de la chaîne logistique. (choisir chemin livraison, livraison
Décision quotidienne.
Exp : Choisir le chemin de livraison, anticipé …
Les décisions ont une portée plus limitée dans l’espace et dans le temps et s’étendent d’un jour à six mois.
Elles sont prises et ajusté quotidiennement ou hebdomadairement et s’appliquent en général sur l’un des
maillons de la chaîne logistique (Merzouk, 2007)
- Ordonnancement quotidien et hebdomadaire au niveau des unités de stockages ;
- Equilibrage et correction des stocks à court terme ;
- Traitement et ordonnancement des commandes clients ;
- Ordonnancement et gestion des entrepôts ;
- Ordonnancement de la main d’œuvre pour la fabrication et l’entreposage ;
- Ordonnancement des tournées de véhicules ;
- Sélection des transporteurs pour les chargements non groupés ;
- Supports logistiques pour les lancements individuels.
Les problèmes et les questions logistique interviennent sur # niveau
Exemple :
Ordre Demande
Ordre Demande
Ordre Demande
Le plan stratégique de la société est réalisé à travers un certain nombre de plan tactiques, qui sont eu même réalisées
par des plans opérationnels
Tactique pour répondre aux besoins stratégiques
Opérationnel pour répondre aux besoins Tactiques
Nouvelle situation chaque jour
Choix Tactique :
L’objectif est de répondre au moyen terme à la nouvelle demande au disfonctionnement constatés, on modifiant les
règles de pilotage, ne pas changer les orientations de l’ensemble mais changer l’ensemble en respectant ses
orientations.
Exemples :
Sélection d’un prestataire de transport ou d’entreposage, un tarif de prestation.
Choisir une politique de prévision, gérer la fin de vie d’un produit.
Ne pas changer le type de ressources : choix de prestataire et de ressources propres sont déjà faite au niveau
stratégique.
Ne pas mettre en cause le réseau de distribution : changer le nombre d’entrepôts, type de gamme produite par
usine.
Les choix tactiques relève du service logique.
Choix opérationnelle :
Le quotidien de la distribution crée de nouvelles situations auxquelles elles faut face. Deux cas :
1 : structurellement, la situation se modifie chaque jours. Les livraisons dépendent des commandes reçues et
nécessitent la constitution quotidienne de tournées de livraison et d’affectation des ressources. Les stocks
évoluent et l’approvisionnement doit être déclenché au bon moment avec une quantité judicieuse
2 : accidentellement : demande exceptionnelle, arrêt production improvisé, non disponibilité spontanée d’une
ressource d’approvisionnement ou de distribution, réponse à une demande urgente
Contrairement au choix tactique : on ne s’appuis pas sur des estimations
Secteur alimentaire:
Secteur textile:
Enlèvement
fournisseur phase1 Stock1 phase 2 stock2 Réception
.
client
Pilotage : Client
Fournisseur Opération
client Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 12
Objectif : coordonner l’offre et la demande :
Exemple textile :
flux synchrone : matière première est acheminée au moment de l’utilisation (idéal mais un retard d’apport
donnera des conséquences grave)
Flux = flux tiré par la demande + flux pousser par la rigidité technique ou le choix économique
Gestion de stock est la pression entre :
3 cas
Délai > temps de Cycle.
Délai < temps de Cycle.
Délai < temps de distribution
Le Stock stratégique se détermine par comparaison du temps de Cycle et du délai:
Localisation sur la chaîne logistique
Puis comparer le temps de cycle et le délai
Temps de cycle
<
Date commande Réception
Délai
Tous les flux sont tirés par les commandes, des approvisionnements à la livraison.
Exemple : Aéronautique, chantier naval, travaux public.
Temps de cycle
Flux poussé par les prévissions Flux tirée par les commandes
Le Flux est tiré par les approvisionnements ce qui nécessite un Stock stratégique
Secteur:
MRP et DRV
Temps de cycle
>
Délai
Découplage des différents rythmes, de pilotage de la chaîne logistique, Distribution : rythme quotidien
jan fev mars avril mai juin juillet août sep Oct nov Déc
Qté
livrée en 150 180 350 150 120 250 120 170 230 270 280 150
stock
Qté 100 200 300 50 80 250 150 150 200 200 300 50
demandé
Cas 0 : Je suppose que le client est satisfait SSI le nombre de pièces reçu > ou <nombre de pièces commandées
Cas 1 : Je suppose que le client est satisfait SSI le nombre de pièces reçu > nombre de pièces commandées
Cas 2 : Je suppose que le client est satisfait SSI la commande n’est pas satisfaite/conforme
? Calculer le TQS =
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 24
* Cas 0 : TQS = 1- (50 + 20 +50 + 100+40+30+20+30+70+20+100) / (2030) = 0,739. Le Qualite de service de ce
fournisseur est de soit 73<9%
* Cas 1 : TQS = 1- (0 + 20 +30 + 20) / (2030) = 0,955. Le Qualite de service de ce fournisseur est de soit 95%
* Cas 2 : TQS = 1- (11) / (12) = 0,083. Le Qualité de service de ce fournisseur est de 8,3%
Conclusion : le TQS dépends de la méthode de calcul
Le coût de stockage
Coût d’immobilisation
Exemple : 100 pièces C.U= 200dh, taux d’intérêt =18%, période = 1 mois
On note CS (P) le coût de stockage sur une période P. et cs : cout de procession = Pr . i, dt : unité de temps, Si ; seuil
ou niveau de stock
Q 2 Cp
- T= = = 2 C p / m Cs = 2 C p / CA . (1 ) i
m mCs
- F = 1/T = m Cs / 2 C p = CA . (1 ) i / 2 C p
S=m.d+ K d
S quantité de sécurité Pd le délai d,
K coefficient de sécurité lié au choix de la qualité de service
o K=1.65 pour α=5%
o K=2.3 pour α=1%
o K=2.05 pour α=2% ),
m . d : consommation pd le délai d
Exercice 1:
Le prix de revient des stroboscopes est de 400 dhs, le taux de possession est de15%.
Calculer le coût unitaire de stockage par an ou par semaine, on déduire le coût total de stockage dans une période
d’étude de 2 mois. Le niveau moyen de stock est de 1 500 stroboscopes par semaine.
Solution :
Exercice 2:
Solution
Ct = Cs x dt ∑si =4878,6dh.
FIFO pour les produits périssables et LIFO pour les produit durable non demodable non perrisable
Entreposage
Parfois, on peut avoir des plates formes centrales et d’autres locales (dans un rayon de 100 km).
Assuré la rigidité des fournitures en usine et au client grâce à son stock de sécurité.
Un entrepôt permet la planification de la production et le regroupement de la distribution.
Regroupé la fourniture de plusieurs usines pour livrer des commandes multi produits.
Adapter les produits aux commandes des clients: le poste manufacture.
C’est le document décrivant le besoin logistique à l’origine de l’entrepôt, sa réalisation demande une étude :
Les entrepôts publics sont mis à la disposition de tous par une ville ou une Chambre du commerce. Ils servent à
entreposer provisoirement des produits sous douanes, par exemple dédiés à l'exportation. On trouve par conséquent
de nombreux entrepôts publics dans les villes frontalières, et dans les ports.
Mais on peut avoir besoin d'un entrepôt public n'importe où, et rares sont les localités qui n'en disposent pas.
Toutefois, si vous n'avez pas accès à un entrepôt public, il existe d'autres solutions pour vous.
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 31
En effet, les entrepôts publics ne sont pas les seuls à vous proposer leurs services. Il existe également l'entrepôt privé
banal. En fait, il n'y a que très peu de différences (du moins pour l'utilisateur) entre un entrepôt privé banal et un
entrepôt public. Les lois y sont les mêmes, et les produits entreposés doivent être sous douanes. Les entrepôts banals
privés sont ouverts à tous, tout comme les entrepôts publics.
Bien entendu, un entrepôt public, tout comme un entrepôt privé banal, ne peut vous servir que pour stocker
temporairement de la marchandise. Si vous avez besoin d'un entrepôt de manière constante, et pour de longues
durées, vous devrez peut-être opter pour la troisième solution : investir dans un entrepôt privé particulier. Cette fois-
ci, vous seul aurez accès à votre entrepôt… mais vous devrez bien entendu vous acquitter d'un loyer mensuel, ou
acheter votre entrepôt, et, à l'inverse de l'entrepôt public, qui au nom de la collectivité, l'entrepôt privé particulier est à
votre nom et sous votre responsabilité.
Entreposage privé comporte des frais fixes qui sont grandes (Immeubles, moyen de stokage, … ) et des
frais variables qui sont petites (personnel, chauffage, électricité, … )
L’entreposage public comporte des frais fixe qui sont petites + frais variable qui sont grande. il se paye
en fonction des tarifs qui tiennent compte de l’activité ( stock, flux entrée et sortie ) et son coût est donc
représenter par une droite depuis l’origine
Dans l’Entreposage avec prestataire : il y a souvent un minimum de fluctuations ou désaccord de
réservation de surface et de moyens. Les prix sont souvent dégressifs et ne sont pas proportionnel au
volume
Coût Total = Coût fixe + Coût variable L’exploitation avec une entreprise
Privé Elevé Faible Suppose des accords de courte
Principe : soit n points A1, …, An et n nombre réels a1 , a2 , …, an de somme non nul. Il existe alors un
point G appelé Barycentre vérifiant la relation :
a1 GA1 + a2 GA2 + … + an Gan = 0 ( vecteur 0)
Pour tout point O : OG = somme ( ai OAi ) / somme (ai)
Xg = = somme ( ai Xi ) / somme (ai)
Yg = = somme ( ai Yi ) / somme (ai)
On obtient alors les coordonnées d’un Barycentre en faisant la moyenne pondérée avec leur poids répétitifs.
Si i ai= aj, barycentre est le centre de gravité ou l’isobarycentre.
Si n = 2, barycentre = milieu.
Si n = 3, barycentre = intersection des médianes.
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 33
Dans le domaine de la messagerie les ai c’est la distance ( on ne tient pas compte du poids ou du volume).
Si on tient compte de la marchandise à transportée, le barycentre peut être calculé avec des coefficients par
points représentant soit le poids soit le volume. On cherche alors le poids xj qui minimise le tonne/kg ou
m3/km.
Approche simplifié: Pour déterminer le barycentre :
On détermine une zone autour du barycentre.
On calcul pour tout les points de livraison, la somme des distances pondéré au poids ou volume.
Approche réaliste:
Toutes les distances utilisées jusqu’à présent sont des distances à vol d’oiseau. Ce qui n’est pas très réaliste. Il est
plus logique de tenir compte des distances réelles et des contraintes de routes.
On peut se demander si l’on doit tenir compte des coûts de livraison des fournisseurs. On effet les fournisseurs livrent
souvent franco (CAD via le port)
La méthode de centration
Exemple : Si on cherche à optimiser les transports entre l’entrepôt et 4 villes et si l’on veut en plus établir ces
entrepôts dans une de ces villes, on peut procéder par centration.
400 km
A C
600 on suppose que les livraisons de A, B, C et D sont
respectivement : 500, 300, 120 et 400 tonnes,
300 240
déterminer la position d’entrepôt optimale..
500
360 D
B
Flûx
A B C D A B C D sans pond avec pond
A 0 300 400 600 581 300 120 400 1 300 378 000
B 300 0 500 360 581 300 120 400 1 160 378 300
C 400 500 0 240 581 300 120 400 1 140 478 400
D 600 360 240 0 581 300 120 400 1 200 485 400
Il faut prendre en compte les tournées de livraison ou de ramassage, dans les méthodes précédente, on n’a pas pris on
compte que des distances de livraison directe depuis un site vers chacun des lieus de livraison.
Mais dans la pratique on cherche pour des raisons de rentabilité de desservir plusieurs points de livraison avec un
même camion et un même chauffeur puis ensuite réalisé des tournées autour de chaque point de livraison.
Entrepôt / PF
Nombre de tournées
Nombre de
1 2 4 8 12 24
tournées
25,4=2*
Total 26.8 29,6 48.51 2* 29.6 2 *46.6
12.7
2 tournées 4 tournée
8 tournée 1 tournée
Nombre de tournées
Nombre de
1 2 4 8 12 24
tournées
25,4=2*
Total 26.8 29,6 48.51 2* 29.6 2 *46.6
12.7
L’arbitrage doit s’effectuer entre les coûts des charges fixes liées à l’activité de chaque point de rupture qui augment
en fonction du nombre de ses points et le cout de transport et les délais de livraison qui décroissent lorsque les points
de ruptures sont plus nombreux.
pour faire un tri, il faut disposer d’un distancier fournissant les distances et les temps de parcours entre chaque point
de réseau.
Les contraintes:
Pour que la politique logistique soit réalisable : respecter la capacité de transit, satisfaire la demande, respecter la
capacité de production des sites
Exemple : Nombre de commande maximal à traiter limité.
Flux ≤ flux limité.
En remontant la chaîne logistique, on rencontre les contraintes suivantes :
o Satisfaire la demande Dk pour chaque point de livraison pendant la période de référence.
∑ Zik = Dk sur i
¥ les origines des flux ceux qui convergent vers k alimente la demande Dk
o La capacité de transit de chaque point i. Ci est éventuellement une activité minimum
∑ Zik < yi Ci sur k
pour justifier l’existence de l’entrepôt, obtenir de bonne condition d’achat par exemple.
o En i, les flux livrés doivent être alimenté par les approvisionnements en prévenance des sources s
∑ Zik = ∑ Xsi sur k et s
.donc stocks sont négligées
o L’activité minimum du centre i, s’il est actif, se traduit par
∑ Xsi > yi Mi sur s
Mi est lié à la rentabilité du projet d’investissement dans une PF
o Les capacités d’expédition doivent être respecté
∑ Xsi < Ci sur i
Ci est lié à la l’usine de production s
Critères pour le choix de la solution optimale.
Parmi les Critères à prendre en compte, ceux qui minimisent le coût global d’exploitation, a savoir:
o Coût de transport amont entre la source s et le point i, Asi (par unité du flux expédié).
o Coût de rupture de manutention (charge) en i, Ri (par unité du flux de transit).
o Coût de transport de livraison entre i et k, din (par unité du flux livré)
o Fi coût fixe liée à l’ouverture d’un point de rupture i.
CTL = ∑ Asi . Xsi + ∑ dik . Zik + ∑ Ri . Zik + ∑ yi Fi
sur s et i sur i et k sur i et k sur i
Couts Amont Couts aval Couts rupture variable Couts rupture fixe
Il existe des solveurs pour résoudre ce problème algébrique en quelques minutes. A titre d’exemple, quelque minutes
suffisent pour traiter un problème de 20 sources, 100 PF et 1000 clients
Livres de d’E. Jacquet – Lagrèze 1998
Réseau de Messagerie
Bien sûr le mouvement est symétrique, les P.F ont un double rôle. Collecter le soir et Distribution le matin
Problématiques:
o Au niveau stratégique, localiser un nœud de réseau qui constitue la plate forme.
o Au niveau tactique, construire les lignes d’exploitation ou traction entre ces nœuds ou hub.
Choix d’origine.
Choix des destinations
Choix de la capacité.
o Au niveau opérationnel : router les demandes sur les lignes existantes en respectant
Contrainte du délai
Contrainte des lignes
Capacités de moyen de transport
Capacités de moyen de traitement
Variables de décision : les décisions à prendre en compte sont :
o Au niveau tactique,
On génère à l’aide des exploitants une très grande famille de traction (candidats)
On lie les Hub entre eux et les Hub avec les points de chargement et de déchargement.
Ces tractions candidats sont techniquement réalisables : délais, contrainte de conduire, …
On défini la variable Xt qui exprime le nombre de vecteur de transport affecté à la traction candidat t
Si Xt = 0, la traction n’est pas sélectionnée
o Au niveau opérationnel
Pour chaque demande d’origine i, et de destination j, un ensemble de routage candidats réalisable
empruntant les tractions précédentes est constitués.
A chaque routage est associée une variable de choix Yijr, Yijr = 1 si le routage r est choisi pour
satisfaire la demande entre i et j et est = 0 si non
Un routage r emprunte une ou plusieurs traction constituant un ensemble t(r)
On choisit un et un seul routage pour satisfaire une demande entre i et j
Les contraintes :
o Pour toute demande entre i et j, il faut sélectionner un seul routage
∑ Yijr = 1 sur r
o Si le routage r est choisi, pour satisfaire la demande entre i et j de volume Dij, les tractions T® doivent être
sélectionné et la capacité doit être suffisante → Cvt = Cv
∑ Yijr Dij =< Xt Cv pour tout t
La somme est entendu à tous les routages r empruntant t (ensemble des r telle t € T(r)
o La capacité de traitement des hub : lorsqu’on défini un routage r, on le défini avec une liste ( H(r) ) de Hub
où on va faire les ruptures entre i et j. on général H(r) est réduite à un élément ( une seul rupture de charge
pour un routage )
∑ Yijr Dij =< Ch, capacité de traitement ( chargement et déchargement )
La somme est entendu à tous les routages r réalisant une rupture en h (ensemble des r telle h € H(r)
Coefficient saisonnier
Des coefficients saisonnière suivant (moyenne effectuée sur les sorties de dépôts des deux dernières années).
janvier février mars avril mai juin juillet août Sept oct nov dec total
0.5 0.5 0.5 1.5 1.5 1.5 0.5 0.5 0.5 1 2 1.5 12
Interprétation : le coefficient saisonnier de février 0.5 signifie que la demande de ce mois est 2 fois plus petit que la moyenne
sur l’année
Réception
Stockage de masse
PR : PM : ML :
Stockage fast mouvers Pièce de Petit Matériel
rechange Matériel Lourd
Sortie
Plan classique Nouvelle conception : Optimisation des trajets
R = 0.34 %
Stockage en largeur
J : Jeu entre palette
D : Distance entre palette
J = 75 mm et D = 2.5 m
Palette iso : 0.8 x 1.2
J J
S = 6 x 0.8 x 1.2 = 5.76 m²
Largeur = 3 x 0.8 + 4 x 0.075 = 2.7 m²
Longeur = 1.2 x 2 + 2.5 + 2 x 0.075 = 5.05 m²
D
R = 0.42 %
J J
Stockage en longueur
Dans l’exemple si dessus l’entrepôt de 5000 palettes en longueur demandera une surface utile est 20% de moins avec
des palettes en longueur 5000 m2. Les jeux entre palette peuvent variés de 75 mm à 100 mm selon la qualité de
palette (débordement). La hauteur de stockage et la précision des moyens de protection.
N.B D’autres considérations des contraintes peuvent être imposés.
La solution la plus réponde est celle de l’arrière et permet de travailler entièrement l’intérieure des locaux à
partir d’un quais ouvert avec un diapositive de portes adaptable.
Les transpalettes ou les chariots peuvent entrer à l’intérieur des camions pour le changement et le
déchargement.
Dans le cas de matériel lourd demandant des chariots plus puissant, le changement et le déchargement par le
coté s'impose, l’espace nécessaire et plus important et ne peut pas être protégé contre la pluie pour les portes
classique.
N = Q x H / ( C x T )
** N: nombre de porte
** Q: quantité d’unité (exemple : palette)
** H: temps de changement ou de déchargement d’un camion.
** C: capacité moyenne d’un camion en unité.
** N: nombre de porte
** T : temps disponible chaque jours pour décharger ou charger.
hyp : activité régulière, sinon on travaille sur les périodes les plus défavorisé.
Chargement- déchargement par arrière
Les quais doivent être ┴ à la façade, ce qui oblige à disposer d’une aire supplémentaire de main œuvre de :
** 25 à 30 m de largeur, cas où quai ┴ à la façade
** 17 à 22 m de largeur, cas où quai oblique à la façade (configuration en Epi)
La hauteur du quai 1.32 m pour le semi – remorque standard
La hauteur du quai 0.9 à 1.45m pour des cas spéciaux
NB : pour rattraper les ≠ de niveau, on utilise des ponts de liaison ajustable ou passerelle amovible (jusqu’à 30 cm)
La hauteur des porte jusqu’à 4.4 m
Chargement – déchargement par le coté
Il faut disposer de 2,8 m de chaque côté du véhicule.
Locaux technique et bureau :
Lieu pour chargement de batterie
Sanitaire (WC, douche, cuisine, … )
Atelier de maintenance
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 43
Local électrique
Compactage et emballage
Bureau et informatique ( jusqu’à 5 à 10 % en surface , classe A )
Stockage :
Stockage en masse
Stockage en mobile
Stockage en rotatif : horizontal ou vertical
Stockage dynamique
Stockage en grand hauteur dynamique
Stockage en masse il demande :
Emballage gérable sur plusieurs niveaux : maximum 6 x 0.8= 4.8 eu hauteur
Surface plane sans danger ni sur la marchandise ni sur sa stabilité
Marchandise de même nature
Surface au sol très élevé (car hauteur faible).
Pas de règles strict de gestion des entées et sorties (FIFO)
Stockage statique : réalisé avec des armoires ou meuble à tiroir (petites pièces)
Hauteur 1m à 30 m
Rayonnage léger : charge par niveau 50 ≤ C ≤ 400 kg
Rayonnage moyen : 200 ≤ C ≤ 650 kg
Rayonnage lourd : charge par niveau C ≥ 650kg
Les armoires peuvent supporter des tablettes, des conteneurs ou palette
On peut disposer la palette :
** par largeur à 2 ou à 3
** largeur à 2 (rarement à 3 pour faciliter le picking et la manœuvre des palettes)
** Rayonnage monoplace : palette lourd
** Avec un Rayonnage monoplace on peut avec un pelletier dans lequel il est possible d’entrer à
l’intérieur avec un chariot (si le pelletier n’est pas rempli)
Celons que l’on peut rentrer d’un coté ou de 2 coté on parle de rayonnage à une entrée ou de deux entées. On
peut consacrer le 1er au stockage et le 2emeau déstockage
Rayonnage double : On construit deux rayonnage l’un à côté de l’autre séparé par une entretoise c’est à peut
prés l’équivalent entre rayonnage simple et double → chariot avec fourchette spécial
Stockage mobile:
Le rayonnage se déplace avec des galets d’acier ou sur des rail → utilisé lorsque le coût de stockage est élevé ou que
les articles ont peut de mouvement. Exemple : en Archivage publié
Stockage rotatif :
Les articles sont rangé dans des casiers supporter par des balancelles qui ce déplace à partir des chaines sans fin
tournant entre deux axes horizontaux. Ce système diminué le temps de recherche.
Ce mode de stockage est constitué de bloc de stockage plus ou moins long disposé les uns derrière les autres soit sur
des roulements formant un plan légèrement incliné soit sur un transporteur horizontal.
Quelque signification :
UN : Nation Unies
4G : Codification des caisses carton
Y : Groupe d’emballage
I : produit très dangereux II : produit de danger moyen III : produit de danger faible
15 : Masse brute d’emballage
S : Solide en Vrac
02 : année de fabrication
Palette:
C’est un Plateau rectangulaire avec dimension standard, Généralement en bois. Contient une quantité de
marchandise manipulables avec de chariots élévateur à fourchette
120
Palette EURO : France
o 80 cm x 120 cm.
o Dite à 4 entrées car il peut être pris des quatre côté.
o La palette EURO peut être chargée par 33 sur un camion standard.
o Les subdivisions de la palette EURO sont 80 x 60, 80 x 40.
2.15 à 2.4
2.43
33 palettes EURO et 26 palettes ISO
2.5 hors tout
13.4
Les changements avec les palettes ISO coûte 25% plus chère que les palettes EURO
(le coût de stockage est aussi plus chère de 25%).
Palette chimie (C.P) : 9 palettes, la plus utilisé est celle ayant des dimensions 110*130
Palette ciment (ciment, plâtre, chaux etc.…….). 10 palettes, la plus utilisé est celle ayant des dimensions
100*180
Palette papier adaptée au format papier.
Palette Gallia ( secteur automobile) 3 type de pallette , les plus utilisées 1000 x 1200 cm et 600 x 800 cm
Palette VWF (verreries): à 4 entrée 1000 x1200.
Conteneurs maritimes:
C’est un emballage de transport ayant un caractère permanant suffisant résistant pour permettre un usage
répété.
8’’ de large, 20’’ ou 40’’ de long, 98’’ ou de hauteur
Il est conçu pour faciliter le transport sans rupture de charge par un ou plusieurs moyens de transport.
Il permet une protection contre :
o L’eau et l’humidité,
o Contre le vol,
o Contre le chaud.
o Il facilite la manutention
Conteneurs aérien :
Sont particulier et sont transporter par avion. Ils sont fait en aluminium (matériaux légers). Ils permettent de
minimiser le temps de chargement et le déchargement
Caisse mobile :
Viennent pour pallier à qcq. Problèmes inconvénient des conteneurs maritimes :
Lourd
Inadapté pour le transport routier
Ils sont utilisé dans la voie ferré et le routier
Il y des caisses en bois que l’on peut charger sur un wagon et sur remorque routier
MK7 : 5 palettes 80 x MK18 : 7 palettes 80 x MK35 : 15 palettes 80 x MK70 : 30 palettes 80 x
120 120 ou 6 x 100 x 120 120 ou 12 x 100 x 120 120 ou 24 100 x 120
Inconvénients :
Manutention :
Les moyens de manutention sont une composante importante dans la logistique. Actuellement la tendance serra vers
les moyens automatiques(Gerbe).
Transpalette à main : permet de lever une hauteur d’une dizaine de cm à l’aide d’une fourche menue d’une
roue (<85 mm) que l’on peut glisser sous la palette
Ce moyen est commode pour livraison avec camion, chargement ou déchargement par l’arrière a partie d’un
quai, préparation du chargement et déplacement des palettes
Avantage : aucune format nécessaire et entretien facile
Inconvénient : fatigue de l’opérateur, non utilisable pour les grande distance et pente
Gerbeurs ou transpalettes gerbeurs : ils ont un mat comme un chariot élevateur. Permettent un déplacement
vertical de grande hauteur. Et permettent de déplacer la palette dans le sens vertical pour la gerber cad la
positionner au dessus de l’autre
1à3t
2m
Fourche
Roue motrice
Roue directrice
3m
o Thermique : plus grand qu’un chariot électrique, capacité jusqu’à 50 t.
pour 3.5 t : L=4 m, l=1.4m, , h=2.4m,
o Électrique : alimenté par batterie
o Châssis à 4 roue: 2 motrice à l’avant et 2 directrice à l’arrière. par foi 3 roues pour diminuer le
diamètre de braquage
o Tablier avec deux fourchette
o Mât +vérin+télescopique, H= 3 à 5 m
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 53
o Contre poids à l’arrière
o si P1 poids du chariot et de son contre poids, P2 : charge d’un distance ente le centre de gravite à son
contre poids, d1 : distance centre gravité à l’axe roue avant, d2 : distance centre gravité à l’axe roue
arrière Alors P1 d1 > P2 d2
Chariots élévateurs à mât rétractable
o Le mat peut se déplacer et reculer pour remédier au problème de contre poids
Remarque: on pourra conserver positivement les marchandises lorsque les marchandises vont être réexpédiées juste
après. On peut les stocker dans la zone fast mover pour ce qui représente une part importante pour les expéditions.
Le picking :
Pour préparer une commande il faut aller chercher dans le stock les différents articles qui constitue une commande à
raison d’un article en quantité variable par ligne de commande. C’est ce qu’on appelle picking. On peut :
Prélèvement d’un seul article Prélèvement de pls. articles par Prélèvement simultané de pls.
par déplacement déplacement articles par zone spécialisées et
Ceci dépend : regroupement de la commande
Etiquetage
Fin de l’emballage . Dispositif de calage
Dépend de la nature de la marchandise et les attentes clients: . Fermeture avec bande collant
. Finition emballage : cornière, profilet,
Soit expédier des palettes complètes avec un seul type d’article
cerclage,par palette.
bande rouleuse, …
Soit expédier des palettes destinées chacune à un seul destinataire avec plusieurs types d’article.
Soit expédie des palettes regroupant dives colis pour différent clients et différent articles vers un même plate
forme (cross-docking) ou une PF de messagerie
Chargement :
La préparation des expéditions conduit à rassembler les marchandises pour pouvoir charger directement les camions
d’expédition on peut :
Soit rassembler les marchandises prés du quais de chargement et laisser le conducteur faire son chargement ou
au moins l’organiser à partir de ses documents de transport.
soit préparer directement un camion fantôme regroupant les marchandises dans l’ordre exacte de leur mise en
camion ce qui est préférable
En effet le chargement d’un camion doit être organisé pour faciliter le déchargement et les étapes
successifs de livraison.
Le problème peut être très complexe si:
o On ne tient pas compte du volume de l’envoie ou surface ou sol.
o On ne tient pas compte de la marchandise au cours du ramassage pour les tournées.
Autre tâche possible d’un entrepôt ou plate forme: 20%
Traitement des retours (logistique de retour).
Tâche liée à la production / réception MP et composant et stockage des produits intermédiaires ou P.F.
Traitement des incidents et des litiges.
Réponses aux demandes d’information.
Gestion des palettes.
Sécurité humaine et matériel.
Propreté.
Entretien du parc matériel.
R.H.
Transport routier:
Avantage :
o Souplesse : aucune contrainte horaire
o Mise en œuvre immédiate
o Capillarité : un véhicule peut charger dans n’importe quelle commune pour livrer, n’importe où sans
rupture de charge, en France seulement 2000 pts sont reliés par train (embranchées)
o Compétitivité ≤ 600Km. (Ferrovier:/Routier )
o Fiabilité et le suivi du transport : les systèmes de repérage des camions (radio…) permettent à tous
moment de connaître la position de chargement : réaction en temps réel en cas de modification du
programme.
Quelque statistique :
o 73% des sociétés de transport ont moins de 6 salaries.
o 2% des sociétés de transport ont plus de 200 salaries.
o Actuellement on observe une diminution du nombre de ces entreprises (de transport), il sont absorbé par
les grosses ou cesse d’activité pour les raisons financiers parce que beaucoup de ces petites entreprises ne
savent pas calculer leur prix de revient.
o En matière de transport, on assiste actuellement à une extériorisation de cette activité.
o Peu de société manufacturière ou de distribution possèdent leur propre parc.
o Dans les 4 grandes catégories (l’agricole, l’alimentaire, produit énergétique, matière première, produit
manufacturier) la route domaine ces secteurs.
Transport Ferroviaire:
Principalement utilisé pour le transport en masse.
Produit de sidérurgie.
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 58
Matériaux de construction.
Produits pétroliers.
Agro-alimentaire (eau minéral).
Les chargeurs régulier sont généralement embranchés (une voie ferré entre dans leur entrepôts qui se raccorde
ensuite au réseau national) : nécessité d’une rupture du charge. Cela conduit les chargeurs à utiliser ce mode
de transport pour des distances assez élevés ≥450 km.
L’envoi par train complet est généralement économique pour les chargeurs
Le nombre des accidents n’est pas négligeable comparé à des accidents routières.
Ce domaine est actuellement monopolisé par la SNCF (France), ONCF (Maroc).
Quelque statistique :
o 134 millions de tonnes/ans dont 77 millions de tonnes/ans pour d > 300 km.
o Charge personnel: 38% des charges.
o Charge financier: 12% des charges.
Transport combiné ( la route + le fer):
Le chargement latéral du train permet d’accélérer le chargement/déchargement.
Ce mode de transport reste faible (4% des envois)
On distingue 3 techniques:
Une caisse mobile est transportée sur châssis routier et sur wagon. Cela nécessite des manutentions et des
temps d’attentes dans les chantiers.
La semi- remorque se transforme en wagon et prenant appuie sur des boggies, le transfert se fait par un
tracteur. Un autre tracteur reprend en charge la semi-remorque à l’arrivée.
La chaussée roulante permet de faire monter l’ensemble du chemin vers le wagon. La Suisse, l’Allemagne
adopte cette technique.
Inconvénients:
o Rupture de charge. la rupture est amortie pour les longues distances
o Saturation du trafic routière autour des nœuds du chargement du réseau
o Le coût de la livraison élevé
o Problème juridique et technique du réseau
Avantages :
o Écologique (sauf cas des central thermique) car pour 1000 tonnes km la traction électrique consomme
environ 6.5 litres de diesel ce qui correspond à 25 litres pour un camion de 38 tonnes.sur une distance
de 100 km
o La sécurité
Le kilométrage à vide: il est difficile de trouver un fret de retour du client vers le chantier. Le kilométrage à
vide voisin de 50% par la suite le coût unitaire du calcul sur la base du kilométrage double.
La livraison n’est généralement pas directe entre le fournisseur et le consommateur final
Transport Maritime :
Le transport maritime consiste à déplacer des marchandises ou des hommes pour l'essentiel par voie maritime, même
si, occasionnellement le transporteur maritime peut prendre en charge le pré-acheminement ou post-acheminement
(positionnement d'un conteneur chez le chargeur et son acheminement au port, par exemple). Un tel déplacement sera
couvert par un connaissement dans le cadre de la ligne régulière ou d'un contrat d'affrètement dans le cadre d'un
service de tramping (lorsque les tonnages sont importants, par exemple).
Plus de 6 milliards de tonnes empruntent ainsi la mer (en 2005), assurant 90% du trafic mondial.
Ce mode de transport couvre l'essentiel des matières premières (pétrole et produits pétroliers, charbon, minerai de fer,
céréales, bauxite, alumine, phosphates, etc). À côté de ce transport en vrac, il couvre également le transport de
produits préalablement conditionnés se présentant sous forme de cartons, caisses, palettes, fûts, ce que l'on a coutume
d'appeler de la marchandise diverse ou « divers » (general cargo en anglais).
Depuis le milieu des années soixante, un nouveau marché de transport par mer s'est développé : celui des conteneurs
maritimes. D'un format standardisé : 20 ou 40 pieds, ces « boîtes » ont connu un essor fulgurant, révolutionnant à la
fois le mode de transport mais également toute la chaîne logistique depuis le fournisseur jusqu'au client final.
Transport routier, ferroviaire ou même aérien se sont adaptés pour faire de ces boîtes une « unité de transport
intermodal ». La marchandise, une fois empotée en conteneur, ne subit plus d'autre manutention jusqu'à son
destinataire final. Ce qui est manutentionné est ainsi le conteneur uniquement, minimisant ainsi les ruptures de
charges.
Le coût d’une tonne km par un convoie fluviale avec un barge de 200 tonnes est 5 moins chère que par camion
complet de 24t.
Des raisons techniques : nécessite d’emprunter plusieurs points pour aller au client.
Des raisons économiques: le coût à l’unité est d’autant plus faible que la capacité du vecteur de transport
est importante.
En fonction des caractéristiques de l’envoie (le poids, volume, distance) il peut s’avérer plus économique
d’utiliser un vecteur de grande capacité sur une partie de trajet voire même collecter et distribuer localement
aux extrémités de la chaîne.
La rupture de charge n’est pas nécessairement associé au stock mais aussi parfois pour réduire le coût de
transport.
120 910 km / an Vitesse moyenne 69.1 Km/h Temps d’attente moyen 3h16 min
229.7 jour / an Taux de parcoure en charge 86%, Capacité de chargement : 25 t
86%,
En général :
Charge variable 50%
Donc, l’Immobilisation d’un camion coute chère
Pour une journée de travail, un allogement de 10% de kilométrage réduit le coût total de 5%.
120 910 km / an
Charge fixe : 440 327.00 + 350 029.00 = 790 356.00 Dh, à diviser par 120 229.7 jour, soit 345.3
Dh/j (229 j / ans )
Charge variable : 430 043.00 Dh, à diviser par 120 229.7 jour, soit 3.56 dh / km
Correction à apportées :
Exemple de tarif : en Dh / t x 10
0t _3 t
km 3_4.1 t 5t -7t 10 t 15 t 20 t 23 t 25 t
2.16t
185.1 155.4
101 à 105 256.2 130.5 112.3 104.2 99.1 96.7
900 700
…. …. …. …. …. …. …. ….
126 à 130 282.7 204.3 171.5 144.0 123.9 114.9 109.3 106.6
…. …. …. …. …. …. …. ….
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 63
351 à 360 525.7 379.8 318.9 267.7 230.4 213.7 203.3 198.3
…. …. …. …. …. …. …. ….
1251 à 1300 1409.3 1018.3 854.8 717.5 617.6 573.0 545.0 531.6
L’utilisation des tarifs à tranche présente l’inconvénient de conduire à un montant fracturé discontinue. Un envoi de
4 990 kg sera facturé moins chère (12 780.00 dh) qu’un envoi de 5 000 Kg (9 250.00 dh ).
Traction : 12.506
Immobilisation : 6300
Entretien : 2880
Total : 21.686
Coût au km = 21686/400=54F/t.km
Le coût au tonne-km
Direction logistique:
Marrakech
Tanger d
A2, α= 65 %
A1, 1-
α=35 %
d2
d1 Client
T
L’approvisionnement se fait par camion complet de 30 palettes de 750kg. On cherche à définir les zones de
chalandises (influences) de chaque entrepôt.
La zone 2 est plus petite que la zone 1 puisque α >0,5 ce qui est justifie économiquement puisque le coût de rupture
est plus important en passant par la zone 2, puisque 65% du produit est réalisé.
Le but des modèles n’est de définir des zones économiques géographiquement mais de comprendre un petit peu
l’influence de différent paramètres à savoir.
La caractérise la structure de production de la commande (la ventilations entre la gamme A1 et la gamme A2.
ad0+b c’est un coût de transport inter - sites
R: coût de rupture.
a: coût kilométrique.
λ: la tranche de tonnage qui mesure l’augmentation du coût unitaire par rapport à une camion complet
livraison.
Si α >0,5 la zone 2 est d’autant plus réduite que k est grand
Si α =0,5 la médiane entre 1 et 2.
Si α =1 le client ne commande que le gamme de 1, le site de 1 joue le rôle d’un plate forme.
La relation susmentionné permet de déterminer les clients à livrer directement quelque soit leur position
géographique.
Carriage
Loading Loading
Carriage Unloading (Sea Unloading
Export- charges on truck Carriage Import
Incoterm to port of truck in Freight/Air charges in Import
Customs in port in port to place of Insurance customs
2010 of port of Freight) to port of taxes
declaration of of destination clearance
export export port of import
export import
import
EXW Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer
FCA Seller Seller Seller Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer
FAS Seller Seller Seller Seller Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer
FOB Seller Seller Seller Seller Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer
CFR Seller Seller Seller Seller Seller Seller Buyer Buyer Buyer Buyer Buyer
CIF Seller Seller Seller Seller Seller Seller Buyer Buyer Seller Buyer Buyer
DAT Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Buyer Buyer Buyer Buyer
CPT Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Buyer Buyer
DAP Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Buyer Buyer
CIP Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Buyer
DDP Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller Seller
Gestion Intégrée
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 66
Introduction :
La plupart des dysfonctionnements et des surcoûts logistiques d’aujourd’hui proviennent :
- du cloisonnement des services au sein des organisations,
- - de l’insuffisance de coopération entre les clients et les fournisseurs
- - du manque de performance des systèmes d’information.
C’est à ces nouveaux enjeux que doivent répondre la gestion intégrée de la chaîne logistique (du fournisseur du
fournisseur au client du client) visant :
prévision,
*de planification*
d'exécution
Il sert à maîtriser les coûts logistiques, à améliorer le taux de service et à diminuer les niveaux de stocks.
Gestion Intégrée
Système d’information et logistique
Comme toute activité de pilotage, la logistique repose sur l’exploitation de base de donnés traitées par les SI (système
d’information.
Ces systèmes peuvent plus ou moins formalisé et plus ou moins structuré. L’environnement concurrentiel oblige la
société à multiplié ses contacts avec les fournisseurs, les clients et les transformateurs ce qui :
Intensifie le volume et la fréquence d’échange d’information avec les partenaires:
Exemple: (l’organisation entre chargeur et transporteur)
Le chargeur donne un ordre de transport au transformateur qui se charge de la livraison et informe le chargeur des
conditions de réalisation de celle-ci à l’issue de sa prestation.
ancienne Organisation
E1 C2
C3
C4
E2
C5
Producteur C6
C7
E4 C8
C9
Producteur ne recoit la
Entrepôt réajuste Client Demande
commande que des Es sans stock
o Un producteur qui livre à 3 entrepôts P1, P2, P3 et chaque entrepôt livre à plusieurs magasins.
o Demande global =∑ demande Pi= ∑ demande Dk même avec l’hypothèse d’un Dk régulier.
o Irrégularité de la demande globale.
o Lorsque les demandes Dk sont synchrone pic de demandes.
o Lorsque les demandes Dk sont déphasées creux de demandes.
Exemple :
Un producteur P qui livre à 3 entrepôts E1, E2, E3 et chaque entrepôt livre à plusieurs magasins. La consommation
des magasins est régulière
Chaque entrepôt passe (samedi soir) une commande correspondant a un camion complet (1 camion = 60 palette) dés
que son stock tombe a 0. Cette commande est livré le lundi matin
Au temps t=0 (samedi soir de la semaine 0), les stocks sont nulles à E1, de 20 palettes à E2, de 40 palette a E3.
Représenter sur un graphique (s=1, 2, 3, 4, …, 10 ) les flux globaux en palettes expédiés par le producteur
E1 E2 E3s Sortie
Sortie
Demande en palette 30 10 20 entrepôt - 100
usine
Stock initial palette 0 20 40 vers palette
fournisseur
magasin
Semaine 1 60 60 30
2 0 30
3 60 60 60 180 30
4 0 30
5 60 30 30
6 60 60 30
7 60 60 30
8 0 30
9 60 60 60 180 30
10 0 30
Total 300 120 180 600 600
Ecart type 70 0
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
remarque : les flux de sortie de l’usine sont très irréguliers (écart type de 70 par rapport a une moyenne de 30,
En 1er temps le magasin commande à l’entrepôt. En 2ème temps, l’entrepôt réapprovisionnera son stock.
Le producteur ne reçoit l’information que celle des entrepôts.
Irrégularité de production
Celui-ci ne peut réagir immédiatement, donc une inertie dans la politique de la production et la réaction du stock.
Ce même temps de réaction existera dans le cas de la croissance de la demande ce qui requière de conduire à la
rupture de stock.
Remarque important:
Lors d’une enquête qui a été mené on a conclu que la demande du consommateur est en général la ligne la plus
constante du système d’approvisionnement.
Ce sont les autres facteurs qui amplifie considérablement les variations : conditions commerciales, les offres
spéciales, des promotions temporaires.
Constitution prévision
Cette demande n’est pas assuré par les ERP (planning ressources entreprise)
Les logiciels ERP permette de déduire les frontières entre les services de l’entreprise existant dans l’ancien système.
ERP CPFR
Dans un système ERP, des transactions entre fournisseur et client très classique. Mais pas une vrai collaboration entre
F C au sens partenariat.
L’échange de donnés Informatisé (EDI): c’est l’échange qui doit être informatisé
L’envoie d’une disquette de données à un fournisseur ne constitue pas de l’EDI. L’EDI est le non donné aux
opérations d’échange d’informations entre les applications informatiques d’un ensemble de partenaire ou d’un
ensemble d’organisation distinct à travers un réseau de télécommunication
Ces données sont structurées suivant un standard commun entre deux partenaires, ces standards peuvent être :
Caractéristique d’EDI
La technique d’EDI est conçue pour réaliser des échanges automatiques d’information entre partenaire avec une
grande fréquence.
Exemple :
Début de l’interchange
Début de la section
Début de l’élément
Chaque message est doté d’un statu : pérennité
Statu 0: le document est un examen, le message peut être modifié.
Statu 1: le message peut subir des modifications mineurs suite à une période d’essai
Statu 2: le document est approuvé, aucune modification ne pourra intervenir. Le message est définitif.
L’administratif: dans le domaine administratif on parle d’une division par 10 de coût d’exploitation d’une
commande. Parce qu’on élimine les opérations de tri et de recherche mamelle, les expéditions postales.
On peut traiter plusieurs commandes par heure, traçabilité et cheminement du produit, le client est informé sur les
caractéristiques de livraison. L’EDI trouve est important lorsque le flux est tendu.
La réduction des erreurs administratif permet de réduire jusqu’à 30% à 40% des retours de livraison
Concurrentiel: le fournisseur qui possède et qui assure EDI à une plus grande rapidité de
communication et à un grand avantage vis- à vis les autres fournisseurs.
Réactivité-Réduction du stock.
Dépannage rapide.
Mise à jour des catalogues de produit ou service.
Les distributeurs et les producteurs préfèrent le fournisseur pratiquant l’EDI
Pour mettre en place un système EDI une entreprise doit avoir une organisation claire et complet et des procédures de
traitement des échanges. Actuellement dans le domaine industriel et logistique, les principaux documents concernés
par l’EDI sont:
BC: bon de commande.
BL: bon de livraison.
Les factures.
Les règlements.
Les accusés de réception.
ERP =
Outil permettant de couvrir l’ensemble des besoins fonctionnels de l’entreprise. Caractérisé par une gestion en temps
réel, une synchronisation des traitement des flux physique, financière et comptable et l’exploitation des données
cohérentes grâce a des bases de données multidimensionnelles
Une large partie du système d’information doit être mise à jour à chaque action logistique
Permet aux acteurs de réagir aux temps réel avec des informations réelles et cohérentes
Mais ce n’est qu’un système de tenu d’informations : nécessité de couplage avec des modules d’aide à la décision (
Logiciel regroupés sous terme de Supply Chain Management )
Description :
Le terme ERP provient du nom des méthodes de Planification des besoins en composants suivant l'intégration de plus
en plus poussée des fonctions de gestion de l'entreprise :
MRP1, en anglais Materials Requirements Planning (one) (litt., « planification des besoins en matières (1) ») :
première application industrielle de la gestion intégrée des flux de production, mise au point dans les années
1960 par Joseph Orlicky,
MRP2, en anglais Manufacturing Resources Planning two (litt. « planification des ressources pour la
fabrication 2») : en plus du calcul des besoins nets en matières premières et composants, effectue une
planification des lancements en tenant compte des capacités des ressources par période.
Le principe fondateur d'un ERP est de construire des applications informatiques (paie, comptabilité, gestion de
stocks…) de manière modulaire (modules indépendants entre eux) tout en partageant une base de données unique et
commune. Cela crée une différence importante avec la situation préexistante (les applications sur mesure existant
avant les ERP) car les données sont désormais supposées standardisées et partagées, ce qui élimine les saisies
multiples et évite (en théorie) l'ambiguïté des données multiples de même nature (exemple : société TRUC, TRUC
SA et Sté TRUC…).
L'autre principe qui caractérise un ERP est l'usage systématique de ce qu'on appelle un moteur de workflow (qui n'est
pas toujours visible de l'utilisateur), et qui permet, lorsqu'une donnée est entrée dans le système d'information, de la
propager dans tous les modules du système qui en ont besoin, selon une programmation prédéfinie.
Ainsi, on peut parler d'ERP lorsqu'on est en présence d'un système d'information composé de plusieurs applications
partageant une seule et même base de données, par le biais d'un système automatisé prédéfini éventuellement
paramétrable (un moteur de workflow).
Utilisation
Un ERP peut être orienté en fonction du métier de l'utilisateur. En gestion de production, un MRP constitue le
module central tandis qu'une entreprise de négoce développera davantage la gestion de stock et la logistique. Il existe
encore des modules de relation clients ou des modules financiers.
Véritable cerveau de l'entreprise, l'ERP permet une gestion globale et simplifiée, le choix du logiciel et la finition de
l'intégration sont capitaux. Un ERP doit être personnalisé à la société, pour cela un intégrateur est souvent nécessaire
pour la mise en place et le déploiement.
Données
La base de données d'un ERP contient toutes les informations nécessaires à l'entreprise, communes aux différents
modules. La première table est la table des produits. Puis selon l'orientation de l'entreprise, contient les
nomenclatures, les gammes, les matières premières, les capacités de production, les quantités. D'un autre côté sont
gérés les clients et ou les fournisseurs, ainsi que leurs commandes ou livraisons, jusqu'aux catalogues des
fournisseurs. Un troisième aspect contiendra les stocks, les durées de conservations, les délais d'acheminement des
transporteurs. Enfin, mais la liste est loin d'être exhaustive, on trouve presque toujours les tables relatives aux aspects
financier de l'entreprise.
Spécificité
Bien programmé et sous réserve d'accords préalables, un ERP/PGI est également capable de communiquer avec les
fournisseurs afin de recommander les matières premières courantes ou avec les transporteurs. Ses échanges se font le
plus souvent par messagerie.
Les principaux éditeurs d'ERP/PGI sont regroupés au sein d'associations :
Zoubir EL FELSOUFI, Logistique 73
BASDA pour Business Application Software Developers Association
BSA pour Business Software Alliance.
Pourquoi mettre en place un ERP : quels sont les bénéfices pour l’entreprise ?
Certaines sociétés font appel à différents consultants en fonction des phases du projet, tandis que d'autres font
intervenir les mêmes tout au long du projet pour un suivi optimal.
La vocation du consultant est de conseiller ses clients dans le choix d’un ERP au cours d’une phase d’analyse et
d’audit des processus de gestion de l’entreprise puis d’aider le client à deux niveaux :
Adaptation des processus à l’ERP retenu (on parle de refonte des processus)
Rédaction des cahiers des charges fonctionnels préalables au paramétrage de l’ERP
Rédaction d’un dossier de paramétrage et réalisation du paramétrage de l’ERP
Préparation des recettes applicatives (= phases de tests pour valider les paramétrages)
Réalisation et validation des recettes
Dans le cadre d’une démarche qualité, le consultant ERP réalisant le paramétrage n’est pas le même que celui qui
réalise les recettes (tests informatiques). Cela permet de limiter les risques d’erreur.
On distingue alors les consultants fonctionnels et les consultants techniques.
En théorie, les consultants techniques s’occupent des développements spécifiques et des paramétrages, ils rédigent
aussi un dossier de paramétrage pour documenter leur travail.
Dans le cas de SAP, les consultants techniques maîtrisent le langage de programmation propriétaire de SAP, l’ABAP
(Advanced Business Application Programming).
On parle aussi parfois de consultant technique applicatif (Abappeur) et consultant technique «système de base » qui
installe, qui gère le paysage de transport, les optimisations et l'application des notes et des patches SAP.
Les consultants ERP fonctionnels s’occupent du reste :
Ils rédigent les cahiers des charges en collaboration avec la MOA (Maîtrise d’Ouvrage). On parle de cahier
des charges fonctionnel ou de dossier de conception général puis de dossier de conception détaillée.
Ils relisent le dossier de paramétrage nommé parfois cahier des charges technique puis valident qu’il répond
bien au besoin fonctionnel exprimé dans le cahier des charges fonctionnel.
Ils préparent les plannings de tests, les cas de tests et les jeux d’essai correspondants aux cas de tests (nommés
aussi jeux de données).
Ils réalisent les tests et assurent leur suivi. Ils rédigent éventuellement des fiches d’incident à destination des
consultants techniques, s’ils ne corrigent pas eux-mêmes les paramétrages.
Une fois toutes les corrections apportées aux paramétrages et les nouveaux tests réussis, les consultants erp
valident la recette. On parle parfois de PV (Procès verbal) de recette qui atteste la validation de la recette
fonctionnelle.
Les phases d'un projet d'implémentation d'un ERP et la méthodologie des consultants
Un projet d’implémentation ERP est découpé en phases et chacune de ces phases fait appel à des compétences
spécifiques :
Etude préalable : Formalisation des règles de gestion, voire révision de ces règles, formalisation des
spécifications fonctionnelles. Cette phase requière des compétences fonctionnelles et métier. Elle est souvent
menée de front par des consultants fonctionnels extérieurs en étroite collaboration avec les employés du
métier concerné.
Les développements/paramétrages, rédaction du cahier de paramétrage
La préparation et la réalisation des tests
La formation des utilisateurs et l’accompagnement vers le changement
La bascule de l’ancien vers le nouveau système, le contrôle de la reprise correcte des données (exemple :
écriture comptable d’initialisation)