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Hank Harrison, 81 ans, a joué un rôle précoce dans


l'histoire de Grateful Dead
L'ancien résident de Galt était également un auteur, père du célèbre rocker des
années 90

Par Lance Armstrong Spécial au Herald


Feb 2, 2022
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Hank Harrison, résident de Galt, est montré avec


son chat, Maeve Marie. Harrison, auteur et ancien
directeur des Warlocks - le nom original du
légendaire groupe de rock, les Grateful Dead - est
mort paisiblement dans son sommeil le 23 janvier.
Photo reproduite avec l'aimable autorisation de
Catriona Watson

Le résident de Galt, Hank Harrison, qui a été le premier manager de The Warlocks - le
nom original du légendaire groupe de rock, les Grateful Dead - est décédé d'une
insuffisance cardiaque à l'âge de 81 ans le 23 janvier.

Harrison a également été reconnu comme auteur et père de Courtney Love, chanteuse
principale du groupe de rock alternatif/grunge Hole et ancienne épouse de Kurt
Cobain, qui était le leader du groupe de rock alternatif/grunge Nirvana. Cobain est mort
en 1994.
:
En tant qu'auteur, Harrison a écrit des livres de non-fiction et de fiction et de la poésie,
et il a contribué à des journaux, des magazines et des magazines.

Ses livres comprennent ses souvenirs et ses idées sur les Grateful Dead et d'autres
aspects associés au mouvement de contre-culture hippie des années 1960 dans le
district de Haight-Ashbury à San Francisco et au-delà.

Dans la préface de son livre "The Dead: Volume I", Harrison a écrit qu'une partie de
l'intention de ce livre était de présenter "une capsule temporelle, un collage de ce que
c'était que de grandir dans le Haight-Ashbury".

Harrison a également écrit des ouvrages sur la littérature arthurienne médiévale, le


Saint Graal et le deltaplane.

Son livre le plus récent, "Love Kills: The Assassination of Kurt Cobain", a été publié en
2017 et présente l'argument selon lequel la cause de la mort de Cobain était le meurtre
par opposition à son suicide signalé.

En abordant ce sujet controversé et débattu dans ce livre, Harrison fait référence à


Love comme étant peut-être impliqué dans le prétendu « meurtre » de Cobain.

Avant la sortie de ce livre, Harrison et Love avaient déjà une relation bien documentée
et tendue.

Parmi les autres activités notables de Harrison figurait la fondation et le poste de


directeur du service sur le terrain du LSD Rescue, le premier centre d'intervention en
matière de médicaments par téléphone 24 heures sur 24 au pays. Ce centre, qui a été
créé en 1966, était une branche de l'Institute for Contemporary Studies basé à San
Francisco.

Au cours de l'année suivante, Harrison a co-écrit le film éducatif anti-abus de LSD, «


LSD-25 ».
:
Harrison a remporté une bourse d'études à la Rocky Mountain Writers Conference de
l'Université du Colorado en 1968, et il a travaillé comme écrivain en résidence au
Montalvo Arts Center de Saratoga en 1972.

Il a également obtenu une résidence de journalisme de six mois, au cours de laquelle il


a été rédacteur en chef du Las Vegas Sun.

En association avec son travail d'auteur, Harrison a fondé en 1978 sa propre maison
d'édition, qui est actuellement connue sous le nom d'Arives Press.

Son expérience littéraire comprenait également son travail au début des années 1980
en tant que rédacteur en chef et rédacteur en chef collaborateur du magazine lié à la
programmation informatique, Dr. Journal de Dobb.

Harrison s'est marié deux fois et a passé la dernière moitié de sa vie avec sa
partenaire, Catriona Watson, qu'il a rencontrée alors qu'il vivait en Irlande.

Sa deuxième femme, Linda (Risi) Carroll, est la mère de Love. Le couple a divorcé en
1969 lorsque Love avait environ 5 ans.

Watson a déclaré au Herald qu'il était difficile de résumer brièvement la vie de


Harrison.

« C'est difficile », a-t-elle dit. « C'est comme comment classer l'univers en un seul mot
? Il avait un esprit brillant, une mémoire photographique. »

Elle a également parlé de ses antécédents en tant que « l'un des organisateurs de la
communauté Haight-Ashbury » dans les années 1960.

« Il a toujours dit qu'il était le gars dans le costume où tout le monde portait du tie-dye
», a-t-elle déclaré. « Donc, il était vraiment avec toute cette foule. Les gens disent : «
Oh, il exagérait. » Il ne l'était pas, parce que j'ai rencontré ces gens. »
:
Watson a noté que Harrison était un ami proche du chanteur original des Grateful
Dead, Ron "Pigpen" McKernan, et qu'il était autrefois le colocataire du bassiste du
Grateful Dead Phil Lesh.

Elle a ajouté que Harrison a également sorti le légendaire chanteur Janis Joplin à
plusieurs reprises, bien qu'ils n'aient pas été " considérés comme des dates".

Watson a mentionné que des nombreuses choses que Harrison a accomplies, il


préférerait qu'on se souvienne surtout de lui pour son travail académique -
"l'archéologie et les choses historiques sur lesquelles il a travaillé, y compris la
véritable origine du Saint Graal".

Elle a qualifié Harrison de « merveilleux philanthrope » qui a aidé beaucoup de gens, y


compris ceux qui souffraient d'itinérance.

Harrison a également travaillé avec Watson au sauvetage de nombreux animaux, y


compris les chats, les chiens et les chevaux.

À l'héritage de Harrison s'ajoutent ses apparitions à la télévision et à la radio dans


divers programmes, y compris des émissions animées par Geraldo Rivera, Maury
Povich et Catherine Crier.

Harrison, qui a vécu dans de nombreux autres endroits à travers le monde, y compris
en Angleterre, aux Pays-Bas, Wilton et Elk Grove, a également eu des entrées
continues dans "Who's Who in America" et "Who's Who in the World".

Les premières années de Harrison

Bien que Harrison soit né à Pittsburgh, le 17 juin 1940, il a été élevé comme
Californien.

Harrison a grandi à Monterey et a été élevé par ses parents, George Harry Harrison II et
Edith Harrison. Il avait une sœur et trois demi-frères.
:
Comme son père, qui a participé aux Jeux olympiques d'été de 1936 en tant que
membre de l'équipe de gymnastique américaine, le jeune Harrison s'est intéressé très
tôt à l'athlétisme.

Alors qu'il fréquentait l'école secondaire Hayward, Harrison a joué dans l'équipe de
football, et il a été champion du dos dans l'équipe de natation.

Harrison a ensuite fréquenté le College of San Mateo, l'Université d'État de San Jose
et l'Université d'État de San Francisco. Il a obtenu une maîtrise en psychologie de
cette dernière institution et a effectué son stage dans la salle des mineurs. Sa thèse de
maîtrise s'intitulait « Effets sur la perception du temps ».

Après avoir terminé ses études supérieures en 1966, il a étudié avec l'activiste
communautaire et théoricien politique Saul Alinsky à l'Industrial Areas Foundation, un
réseau d'organisation communautaire à Chicago.

Amis, parents se souviennent affectueusement de Harrison

En réponse au décès de Harrison, plusieurs de ses amis et de sa famille se


souviennent affectueusement de lui.

Joachim Ferguson, dont le père, Mike Ferguson, était membre du groupe The
Charlatans et un ami de longue date de Harrison, a grandi autour de Harrison et Love à
San Francisco au début des années 1970.

Ferguson, qui a déclaré posséder des exemplaires de tous les livres de Harrison, a
exprimé son appréciation pour ses écrits sur la scène de la contre-culture hippie des
années 1960.

« Ses livres dépeignent vraiment l'essence du mouvement Haight-Ashbury et la scène


musicale et tout », a-t-il déclaré. « Il s'est vraiment saisi de ce qu'était la voix des
années 60 en ce qui me concerne. »
:
David Eyes, un ami de longue date de Harrison, a mentionné qu'il l'avait rencontré à la
convention de l'American Booksellers Association en 1977.

Les yeux ont qualifié Harrison de « personnage plus grand que la vie ».

« Il était en quelque sorte un gars qui l'aime ou le hait pour beaucoup de gens, et pour
quelque raison que ce soit, j'ai juste fini par l'aimer », a-t-il dit. « C'est un peu
mystérieux pour moi d'une certaine manière, mais nous nous sommes croisés et nous
nous sommes connectés sur des (intérêts similaires).

« Je l'aimais d'une manière bizarre. C'était un gars vraiment grand, de grand cœur. »

Peter Oxner, qui est le seul fils biologique de Harrison, a déclaré qu'il avait été adopté
et élevé par une autre famille.

Oxner a noté qu'après des décennies de séparation de Harrison, il s'est réuni avec lui
et s'est rapproché de lui.

« De mon point de vue, (Harrison était) un gars merveilleux, très créatif, très unique,
une sorte de type hippie vieillissant et new-age qui a également trouvé la beauté et la
créativité dans beaucoup d'autres personnes », a-t-il déclaré. « J'ai aimé être dans sa
vie dans ses années plus âgées, et nous avons apprécié une relation à distance. J'étais
sur la côte Est et il était en Californie. »

Oxner, qui a grandi à San Jose, a également qualifié son père biologique de « bon
écrivain » qui aimait aider les autres et qui était un « bon partenaire » pour Watson.

Tara (Watson) Karagiannis, fille du frère de Watson, Bill, se souvient affectueusement


d'avoir rencontré son « Oncle Hank » pour la première fois en 2006.

« (Harrison) m'a conduit autour de Sacramento et de San Francisco, me montrant les


sites touristiques », a-t-elle déclaré. « Il m'a montré quelques-uns de ses endroits
préférés, y compris son café habituel, et un beau, vieux manoir de deux étages à San
Francisco, où il voulait vivre quand il était jeune. »
:
Karagiannis a ajouté qu'elle a continué à communiquer avec Harrison après son retour
chez elle en Australie, et qu'elle est attristée par sa mort.

« Il me manque déjà », dit-elle.


:

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