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sous-culture
Étymologie
Keith « Cowboy » Wiggins, membre du groupe Grandmaster Flash
and the Furious Five, est crédité pout avoir inventé le terme[23] en
1978 alors qu'il taquinait un ami qui venait de se joindre à l'armée
américaine en chantant les mots inventés
« hip/hop/hip/hop/hop » d'une manière qui imitait la cadence
rythmique des marches de soldats. Cowboy a par la suite travaillé
la cadence « hip-hop » dans sa performance scénique[24],[25]. Le
groupe se produisait fréquemment avec des artistes disco qui
parlent de ce nouveau type de musique en les appelant « hip
hoppers ». Ce nom était à l'origine un manque de respect, mais il
apparait vite pour identifier cette nouvelle musique et culture.
Histoire
Années 1970
DJ Jazzy Jeff, qui est aussi
producteur de disques, manipulant
une platine en Angleterre en 2005.
Années 1980
Innovations globales
Industrialisation
Culture
Le DJing et turntablism, le MCing/rap, breakdance, graffiti et
beatboxing sont les débouchés créatifs qui composent
collectivement la culture hip-hop et son esthétique
révolutionnaire. Comme le blues, ces formes d'art sont
développées par les communautés afro-américaines pour
permettre la liberté d'expression, qu'elle soit politique ou
émotionnelle, et de participer à des activités communautaires.
Ces pratiques se répandront dans le monde entier autour des
années 1980, car les aficionados pouvaient « se l'approprier » et
s'exprimer de façon nouvelle et créative grâce à la musique, la
danse, et à d'autres formes artistiques[65].
DJing
Articles détaillés : DJing et turntablism.
Rap
Graffiti
Breakdance
Beatbox
Rythmes et production
Impact social
Effets
B-boy en spectacle à San Francisco.
Lexique
Censure
Produits et marketing
Médias
Diversification
Éducation
Valeurs et philosophie
Authenticité
Accueil
Commercialisation et stéréotypes
Homophobie et transphobie
Héritage
Voir aussi
Bibliographie
Articles connexes
Cultures urbaines