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NIVEL INTERMEDIO B2 - FRANCÉS

B2

PTEC 2018 / 2019

COMPRENSIÓN DE TEXTOS ESCRITOS


Apellidos: ………………………………………………………………………………….
Nombre: ……………………………………………………………………………………
PRUEBAS DE CERTIFICACIÓN

⃞ Alumno/a OFICIAL (Indica el nombre de tu profesor/a tutor/a durante el curso


2018-2019: …………………………………..…………………...........……………….)
Grupo: ……………………………

⃞ Alumno/a LIBRE

INSTRUCCIONES PARA LA REALIZACIÓN DE ESTE EJERCICIO:

o Duración: 75 minutos
o Este ejercicio consta de dos tareas. Deberás realizar las dos.
o En la tarea 1 deberás leer un texto y marcar en la tabla las 10 casillas que corresponden a
la información facilitada por él.
o Obtienes: 1 punto por cada respuesta correcta; 0 puntos por cada respuesta incorrecta o
no dada. Si marcas más de 10 casillas obtendrás 0 puntos en el ejercicio.

o En la tarea 2 deberás leer un texto y completar los huecos con las palabras de la lista.
o Obtienes: 1 punto por cada respuesta correcta; 0 puntos por cada respuesta incorrecta,
o no dada.

o Comprueba que este cuadernillo contiene 5 páginas.


o No escribas en los cuadros destinados a la calificación de las tareas.
o Sólo se admiten respuestas escritas con bolígrafo azul o negro.

NO ESCRIBAS AQUÍ

PUNTUACIÓN DEL EJERCICIO: _____ / 20

CALIFICACIÓN: ⃞ Superado ⃞ No Superado

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TAREA 1 – 10 puntos : Lisez le texte puis complétez la grille. Faites une croix dans les cases qui
correspondent à ce qui est dit dans le texte comme dans l’exemple 0.
Attention : Vous devez cocher 10 cases maximum, (une par item). Si vous en cochez plus, vous obtenez
0 à cet exercice. Vous obtenez 1 point par case correcte.
SIMONE VEIL
La rescapée de la Shoah, ministre de la Santé à l’origine de la légalisation de l’IVG, combattante de
l’Europe. Les petits-enfants de Simone et Antoine Veil racontent qui elle était.
Quelle grand-mère était Simone Veil ?
Raphaël. On n’a pas tous les mêmes souvenirs, mais on peut tous s’accorder qu’elle était aimante… Et
hors du commun.
Stéphanie. Elle m’a transmis beaucoup de force contre l’adversité. Dans la vie, il y a des épreuves, mais
quand on pense à tout ce qu’elle a vécu, nos épreuves ne sont rien. On sentait qu’elle était
combattante.
Isabelle. J’ai l’expérience d’une grand-mère avant tout, des conseils qu’elle donnait dans le peu de
temps dont on bénéficiait. J’ai le souvenir d’aller avec elle visiter des musées, d’avoir passé du temps à
se parler : de conversations sur la façon de s’habiller. Elle était au Parlement européen et côtoyait
beaucoup les Italiens, quand j’ai commencé à fréquenter mon mari, un Italien. Elle s’intéressait
beaucoup à la façon dont je m’habillais, elle tenait à ce que je sois bien habillée quand j’allais en Italie
(rires).
Rebecca. J’ai le souvenir d’une grand-mère aimante et des Noël qu’on passait quand elle était au
Conseil Constitutionnel. C’était le Noël des enfants de tous ceux qui y travaillaient. Il y avait un
spectacle, ma grand-mère faisait attention à ce que tous les enfants aient un cadeau, il y avait des
montagnes de cadeaux.
Elle vous gâtait ?
Rebecca. Elle m’amenait faire du shopping pour que je porte de belles robes. Elle était très coquette.
Stéphanie. Je lui disais que mes enfants étaient trop gâtés, elle me répondait : « Non, ils ne seront
jamais trop gâtés, qu’ils en profitent ».
A propos des camps, elle disait que cela pouvait se reproduire. Vous ressentiez un pessimisme ?
Sébastien. Elle était bien consciente qu’il y a le meilleur et le pire dans la nature humaine, mais elle
n’était pas pessimiste. Elle a toujours essayé de nous transmettre l’idée que la générosité, l’ouverture
aux autres, le respect étaient des valeurs très importantes. Même si elle n’était pas croyante, elle avait
des valeurs morales fortes. Leur engagement européen vient du fait que l’Europe était un moyen
d’éviter la guerre.
Elle était féministe, vous en parlait-elle ?
Stéphanie. Féministe, non. Mais elle nous a poussées à faire des études, à travailler. Pour elle,
l’émancipation des femmes comptait beaucoup.
Ça se ressentait avec votre grand-père ?
Tous. Oh oui (rires). Elle râlait pas mal.
Sébastien. Intellectuellement, elle remettait en place Antoine quand elle n’était pas d’accord. Simone
ne supportait pas la mauvaise foi.
Les déjeuners de famille étaient animés ?
Isabelle. Oui, on a entendu pas mal de portes, vu beaucoup de gens partir du déjeuner de famille avant
la fin. Mais il y avait en même temps beaucoup d’échanges.
Elle vous parlait de son expérience des camps ?
Rebecca. À 8 ans, mon professeur m’a demandé de faire un exposé sur Simone Veil. J’étais un peu
chamboulée. Je suis allée chez mes grands-parents. Elle est arrivée avec des photos. Elle m’a appris le
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principal, elle m’avait même montré son tatouage. Elle était très sereine comme si elle racontait une
histoire… Son histoire.
Raphaël. C’était une période où le besoin de transmettre s’est fait ressentir de manière plus prégnante
avec le temps.
Isabelle, Stéphanie, Sébastien. Elle n’en a parlé avec aucun des aînés, jusqu’en 2004. Quand on est
tous partis pour Auschwitz, pour les 60 ans de la libération du camp, elle nous a expliqué et dit : «
J’espère qu’on aura l’occasion d’en reparler ».
Sébastien. Je pense qu’il y avait chez elle une souffrance. Les survivants racontaient mais on ne voulait
pas les entendre parce que la période était à la reconstruction de la France.
Le fait d’avoir ces grands-parents-là, c’était un stimulant ?
Rebecca. C’est une fierté. Même si, cela m’a attiré les foudres d’une professeure qui, n’aimant pas ma
grand-mère, avait décidé de me détester. Ma grand-mère a eu une vie difficile et elle l’a rendue
tellement incroyable qu’on se dit qu’on va essayer de faire notre maximum pour essayer de faire
changer les choses comme elle l’a fait.
Le Panthéon, c’est l’aboutissement logique de son parcours ?
Sébastien. C’est un honneur. Nous sommes heureux qu’ils soient réunis tous les deux.
Raphaël. J’aurais aimé que ses parents puissent voir cela. En raison du féminisme de sa mère – c’est
ma grand-mère qui entre au Panthéon et qui y emmène son mari — et aussi pour le républicain
qu’était son père : voir sa fille reconnue par la Nation, ça aurait été quelque chose de très fort.
Texte adapté de www.leparisien.fr

Isabelle Raphaël Rebecca Sébastien Stéphanie Aucun Tous


Exemple : Il /elle pense que les petits-
enfants n’ont pas les mêmes souvenirs. X
1. Il / elle pense que Simone était
affectueuse.
2. Simone lui consacrait du temps
pour des visites culturelles.
3. Il / elle pense que Simone adorait
les Italiens.
4. Il /elle pense que tous les enfants
méritent un cadeau.
5. Simone allait faire des achats avec ...
6. Il /elle pense que ses enfants
avaient tout ce qu'ils voulaient.
7. Il /elle pense qu’Antoine protestait.
8. Il /elle pense que Simone avait pris
du recul par rapport à son passé dans
les camps.
9. Simone lui a parlé d’Auschwitz.

10. Une prof ne le / la supportait pas.

PUNTOS: /10
/cuadro de texto de la
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TAREA 2 - 10 puntos: Complétez ce texte à l’aide des propositions de la liste comme dans
l’exemple. Écrivez vos réponses (1 à 10) dans la grille prévue à cet effet.
Attention: il y a 2 propositions en trop. Vous obtenez 1 point par réponse correcte ; 0 point par
réponse non donnée ou incorrecte.
LA GUERRE DES POUBELLES
J’ai __d’abord__ (0) été amusée de voir des poubelles cadenassées dans les rues de Cork quand je
suis arrivée en Irlande. Mais j’ai vite compris pourquoi il fallait les verrouiller et c’est ainsi que je suis
entrée, à mon insu, dans la guerre des poubelles ______________ (1).
Service privé
Pour commencer il faut savoir que le ramassage des ordures n’est pas public en Irlande. En 2015,
quand je suis arrivée à Cork, le ramassage des poubelles ne se faisait pas encore au poids comme
c’est le cas aujourd’hui. À l’époque, on payait un prix fixe pour ______________ (2). Il y en a plusieurs
qui se partagent le marché et chaque compagnie a un jour de collecte attitré. Par exemple, celle
qu’on avait choisie passait le lundi. Pour être sûre ______________ (3), il fallait coller un autocollant
dessus, fourni par la société de collecte après que l’on a payé. De mémoire, on payait environ 25€ à
deux tous les deux mois pour ce service.
On avait alors trois poubelles: une pour les ordures ménagères, une pour les cartons et plastiques et
une pour le verre. La collecte des deux premières était alternée et pour le verre, on recevait un SMS
pour ______________ (4), une fois par mois.
J’écris tout ça à l’imparfait car le système a changé. Aujourd’hui, le prix de la collecte est calculé au
poids, et je ne sais pas du tout comment ça fonctionne car mon propriétaire s’en occupe pour moi.
Fraudeur du déchet
Bref, jusqu’ici tout allait bien. Nos poubelles, sans cadenas, contrairement à celles de nos voisins,
étaient collectées comme prévu et on les laissait dans la rue devant notre logement. Sauf qu’on a vite
compris notre erreur. Dès le lendemain du ramassage, on a retrouvé nos poubelles pleines à ras bord.
En fait, des petits malins ______________ (5), jettent leurs déchets dans celles des autres… D’où les
cadenas de nos voisins sur les leurs. Ça a été embêtant pour nous, car nos poubelles étant remplies, il
n’y avait plus de place pour nos propres ordures, ______________ (6) pendant plus deux semaines.
Et même par la suite, alors qu’on ne sortait nos poubelles plus que la veille de la collecte pour les
rentrer le soir d’après, il nous est arrivé de nombreuses fois de retrouver nos poubelles pleines,
remplies par les, décidément, très rapides fraudeurs du déchet. Il faut croire ______________ (7) au
vu de tout ce qu’ils ont pu jeter dans nos poubelles… En tous les cas, ils étaient bien organisés et très
discrets, car je n’ai jamais réussi à les prendre la main dans le sac.
C’était énervant pour tout le monde. Une fois, j’ai même vu une de mes voisines, _____________ (8),
vider sa poubelle en plein milieu de la rue après qu’elle eut été remplie par ces fraudeurs. Les ordures
sont restées sur la route quelques jours et je crois que finalement, les services municipaux ont dû
______________ (9).
Au-delà du petit désagrément pour nous, ce système a surtout le désavantage de pousser certaines
personnes qui ne souhaitent pas payer à jeter leurs déchets n’importe où. Et ça n’aide pas à
______________ (10). Le tri n’est pas encore très installé dans les habitudes en Irlande. D’ailleurs, il
n’est pas rare de voir des gens jeter leurs papiers ou leurs gobelets de café à emporter dans la rue,
comme si de rien n'était. Les lits des rivières de Cork et Dublin sont tapissés de déchets en tout genre:
bouteilles en plastique, vieux vêtements et même des carcasses de vélo… Un vrai dépotoir !

Texte adapté du blog.courrierinternational.com

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Apellidos y Nombre: .......................................................................................................................

TAREA 2 - 10 puntos: Complétez ce texte à l’aide des propositions de la liste comme dans
l’exemple. Écrivez vos réponses (1 à 10) dans la grille prévue à cet effet.
Attention: il y a 2 propositions en trop. Vous obtenez 1 point par réponse correcte ; 0 point par
réponse non donnée ou incorrecte.

LA GUERRE DES POUBELLES

0 Exemple : d'abord 
A faisant preuve de patience

B lassée par ce petit manège

C nous avertir du jour du ramassage

D que nos poubelles soient collectées


que nos poubelles soient ramassées par une société
E
privée
F qui fait rage ici

G qui ne paient pas le ramassage de leurs poubelles

H qu'ils étaient nombreux dans mon quartier

I qu'on a dû garder au fond de notre cour

J sensibiliser les Irlandais sur le sujet

K sous un nouveau jour

L venir nettoyer la rue

PUNTOS: /10
/cuadro de texto de la
cita.]

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