2. Le secret médical et professionnel 3. La responsabilité du professionnel de santé Consentement? Acte qui autorise le médecin, le professionnel de santé à mettre en œuvre une démarche diagnostique qui va expliquer au patient pour pouvoir agir il faut l’adhésion du patient, consentement basé sur les principes éthique (respect de la personne humaine) pour le patient c’est faire un choix, en connaissance de cause, principe dauto détermination, la mise en œuvre du traitement évoqué sur son corps (intégrité physique, liberté de refuser) quel que soit la situation. La relation entre le p. (Celui souffre) et le pds est une relation asymétrique, pas d’équivalence entre les deux, why ? Car le malade est diminué, angoisse, inquiet il a perdu son autonomie s’il est blessé, on l’amène à l’hôpital il a perdu ses repères, en position allongé, cet environnement est hostile, il a perdu la maîtrise de son temps, il est isolé de sa famille, il a les examens qui peuvent être mal vécus ou vécus comme humiliant (gynécologique, anal) il livre son intimité, côté médical le médecin à la blouse blanche, marteau à réflexe, entouré d’un entourage, intrusion dans la vie du patient. Dans ce cadre, asymétrique, il faut développer la communication! C’est souvent ce qui est reproché au pds ne pas assez communiquer avec le patient, en prenant du temps, car il faut que le malade soit en confiance, le malade doit pouvoir expliquer au pds des impacts de la décision médicale sur des éléments que on ne peut pas Mode de vie, valeurs, sens d’existence (en prendre en compte dans là décision médicale) la procédure de consentement, 3 éléments, le caractère volontaire du consentement, c’est à dire on dire qu’il doit être libre et éclairé , libre de toute contrainte extérieure, fait pas forcer le patient, et faut pas déformer l’info qui va être donné au P le consentement doit être , juridiquement capable, et les gens qui ont pas la capacité à consentir ( handicapé mental, coma, personne âgée confuse) en sachant que le fait de donner son consentement n’est pas un blanc sain, à tout moment il peut changer d’avis et retirer son consentement, on peut avoir deux types de consentement (implicite et explicite) l’acceptation par le patient, acceptation, demande de consentement n’est pas verbalisé ni formalisée, et le pds présumé que le P a accepté, quand il va aux d’urgences c pour qui soit soigné, des fois on cherche la contrainte sociale qui va effacer le consentement il, on peut refuser la vaccination, dans un contexte médical la vacc est obligatoire, sous ce terme de consentement implicite, il faut creuser souvent c’est une acceptation pour coopérer, parfois en urgence ce consentement traduit une indifférence, il est sidéré par l’arrivée aux urgences subie plus qu’autre chose, parfois la violence, soumission, il doit passer au consentement explicite, de que le P se sent mal à l’aise il doit passer à l’explicite, l’expérimentation médicale, les thérapeutiques difficiles, lorsqu’il y’a. Des conflits de valeurs entre le M et le pds, on est en stage hospitalier à un moment donné…. Il faut demander si le patient est d’accord pour être examiné, fondements juridiques: il y a des textes qui vient expliquer ce consentement: article 3 du code civil, (recueilli préalablement), code déontologie médicale-> article 34 du code deo : le médecin doit formuler ses prescription avec toute la clarté indispensable, s’efforcer den obtenir la bonne prescription! Doit être lisible, l’arctique 35 du code de deo: le médecin doit à la personne qu’il examine qui soigne ou qu’il conseille une info loyale, claire et approprié sur son état. Ça veut dire quoi? Alors loyale signifie faut pas mentir! Le médecin ne doit pas avoir l’intention de trompé le P, claire c’est à dire intelligible, compréhensible, simplifié par rapport à un exposé spécialisé, infirmation qui est approximative, mais pas fausse; le praticien a aussi un rôle pédagogique, on simplifie sans mentir, il faut s’assurer que pour l’info en générale le P a compris il faut lui laisser le temps pour poser des questions, donc on doit voir bien qu’il faut du temps, info appropriée, au circonstances selon la maladie, prendre son temps quand on veut fait une mastectomie, préciser, les désagréments , certains médicaments peur endormi au volant, infos mineures mais qu’il faut donner pour la bonne marche du traitement favoriser l’observation du trait. Éviter les inquiétudes, (expliquer qu’un médicament peut faire rougir le pipi, médicament qui constipe , le fer), le 36 du code… il nous dit que le consentement doit être recherché dans tous les cas, la loi , pilier, du 4 mars 2002( loi Kouchner) toute personne a droit d’être informé sur son état de santé, toute personne prend avec le pds, c’est à dire y a une info ensuite la décision est conjointe, le pds prend la décision avec le P, le médecin doit informer le patient, si le P fait un choix nul le médecin doit expliquer les conséquences néfastes tout en respectent son choix! Qui doit informer? L’info incombe à tout pds, en milieu hospitalier pour traiter un M il y a toute la tribu qui se met d’accord ( aides soignants, kines) l’info incombe à tous, ex( jeune de 15 ans, Artère sa se finit mal car l’enfant est fini paraplégique, question de savoir qui devait dire l’info, radiologue ou médecin prescripteur? Les deux praticiens ont été condamné, d’où l’importance d’une Bonne transmission dans les services, groupe d’infirmières de nuit, lorsqu’il y’a un changement d’équipe, communication importante, vérifier que l’info est tjrs la même transmission au sein de l’équipe pour j’e bonne qualité de la prise en charge, qui doit être infirme? Le P , c’est l’interlocuteur privilégié, lors d’un entretien, ( s’il est en état d’exprimer sa volonté), cas du mineurs qui a des parents, donc les parents doivent être informés,l’enfant a le droit de recevoir une info et de participer à la prise de décision qui le concerne, il doit être adapté à son degré de maturité, âge de compréhension en fonction de ses facultés de discernement, le consentement de l’enfant doit être aussi recherché, après il y’a. Des circonstances difficiles et délicates, si les parents refusent les soins par exemple, possibilité de livrer de soins indispensables, risque d’entraîner des conséquences graves, intervention indispensable et les parlers veulent pas? Justice! Il y a aussi la personne de confiance, nouveauté de la loi Kouchner, la personne de conférer une personne majeure( pas un enfant), ça peut être un parent, lié familial, proche, médecin traitant, pers qu’il va aller consulter si le patient est incapable de parler et d’exprimer sa volonté, ( en réanimation) on s’adresse alors à la confiance de confiance mais il est pas le patient, l’équipe soignante vont demander leur avis ce qu’elle croit que le patient aurait dis, mais au final c’est le médecin qui prend la décision éclairée par le témoignage de la pdc, par écrit dans le dossier, révocable (changement d’avis), sinon est hospitalisé à plusieurs reprises on recommence a chaque fois, le + souvent conjoint , l’étendu de l’info, qu’est ce qu’on doit dire, l’entendu la plus grande possible, l’info doit porter l’investigation, le traitement, en expliquant leur utilité, l’urgence qu’il y’a, les conséquences qu’il y’a, les risques graves prévisibles, est ce qu’il y’a D’autres solution thérapeutique, d’autres possibilités? Risque nouveau qui apparaît( ex le bronches, le patient repart chez lui puis on s’aperçoit qu’il y a pb, on le rappelle,) informer des frais aussi, sécurité sociale, mutuelle, s’il a des restes à charges, coûteuses ou pas prises en charges (ex chirurgie esthétique), pose d’un plant dentaire. les dangers, la qualité du danger, c’est de faire une info simulacre, info n’importe comment en remettent par ex un doc sur la gastro et on croit on est débarrassé, en réalité on doit donner le doc lui laisser le temps, peut servir de base pour une discussion( la on s’est acquitté du devoir d’info), info trop détaillée pas bon du tout ou info m’la présentée inopportune, impersonnelle, générer de l’inquiétude, alors dans les conflits qu’il peut y avoir entre les eux on arrive à un procès! Ok va chercher des éléments de preuve, demendeur d’apporter la preuve, il y’a un renversement de la charge de la preuve, c’est au med d’apporter la preuve qu’il a délivré l’info, comment prouver ça? Et pourquoi on en arrive là? Ça peut être par presemption, jeune dame par exemple stérile on pratique une celiiscopie, tube dans le petit bassin, dans ce cas on insuffle de l’air, pur voir clair et un accident, embulie gazeuse hop elle décède, le mari dit ils ont pas été informé, la dame était au courant, la personne doit avoir le temps, vérifier que l’info a bien été délivré, ( lettre de sortie; note dans le dossier médical), il faut que le dossier med soit bien rempli ça peut être un courrier écrit au patient, l’écrit parfois obligatoire par exemple dans la recherche médicale, interruption de la grossesse, assistance à la procréation, le patient a aussi accès à son propre dossier médical, lorsqu’il demande accès à son dossier la dame a 8 jours pour lui donner le dossier après un délai de réflexion de 48h, soit il le voit sur place soit par envoie de photocopie,l’accès peut se faire directement par le patient ou l’intermédiaire d’un médecin qu’il a désigné ( med traitent) , pas souhaitable qu’il ai accès au dossier directement, car leur mal interprété des choses, lire des choses, mieux le faire faire directement avec le P, le dossier standard est conservé 20 ans.
Du trouble mental à l'incapacité au travail: Une perspective transdisciplinaire qui vise à mieux saisir cette problématique et à offrir des pistes d'intervention