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L’Haik, un voile traditionnel qui s’impose durant plus de deux siècles comme l’habit de référence pour la femme

algérienne fut porté pour la première fois, vers l’année 1792 sur décision du bey de Constantine. Ce drapé tissé qui est
fabriqué à partir de laine, de soie, enveloppait tout le corps de la femme et la mettait à l’abri du regard des hommes, fut
décliné sous différents styles et couleurs, le blanc est la couleur dominante dans le type de haik porté dans le Nord et
l’Ouest du pays ; alors que le noir reste exclusif à la région de l’Est, quant au grand sud ; El haik est adapté dans des
couleurs assez nuancées qui vont du bleu foncé au jaune ou vert.
Parmi ces types ; se distingue Haik M’rama qui a connu un grand succès, il apparut à la fin du 19 siècle et qui fut
porté par les femmes citadines d’Alger. Ce type de voile est souvent associé à la beauté féminine et a inspiré beaucoup de
poètes et chanteurs Chaabi.
Journée haïk du 21/03/2015.

1)- De quel patrimoine parle t-on dans ce texte ? Culturel – vestimentaire – archéologique - culinaire
(encadre la bonne réponse)2)- complète le tableau suivant.
Quoi ? Où ? Quand ? Comment ?

3)- Pourquoi la femme algérienne mettait-elle le haïk ?4)- Relève du texte un substitut lexical qui
remplace le mot « HAIK » 5)- Le Haïk est fabriqué avec quelles matières ? 6)- il apparut à la fin du 19
siècle et qui fut porté par les femmes citadines d’Alger.a)-Souligne le Complément circonstanciel et
indique sa nature (cc ..)b)- Précise si le CC indique (la durée – la date- la répétition) c)- complète le
tableau.
Verbe conjugué Terminaison Infinitif groupe Temps
mettait ……………. ……….. …….. …….
apparut …………. …….. …….. …….

7)- Relève du texte un mot de la même famille de « Cité » cit…….8)- Accorde correctement le
participe passé. ( si possible) -Quelques tenues sont porté… dans la région du sud.-Les
artisans ont fabriqué… de jolis objets.9-Quel titre peux-tu donner à ce texte ? 10)-
Complète: Le burnous algérien fait partie de notre patrimoine ancestral Les
robes……………………………………… notre patrimoine ancestral

‫زوي‬-‫مدرسة مفتاح رمضان‬

‫فرض الثالثي الثاني في مادة الفرنسية‬


Texte : La M’laya : l’histoire du voile noir des femmes de l’Est

L’Algérie dispose de traditions vestimentaires propres à notre culture, à notre histoire et à nos traditions qui
continuent de marquer les esprits.la M’laya de Constantine est un exemple des plus connus en matière d’habit
traditionnel local datant de plusieurs siècles.
En effet, Cet habit a été porté par les femmes de l’Est à la mort de Salah Bey, qui gouverna Constantine à la fin
du 18ème siècle. En signe de deuil et défiant les hommes, les femmes du beylik de l’Est décidèrent de porter un
habit de sortie fait d’une toile noire sans couture au début dont elles se couvrirent tout le corps.
La M’laya ou ce long voile noir qui recouvre toute la silhouette des femmes était une façon de maintenir vive la
mémoire de cet homme exceptionnel.
Il est rare de croiser de nos jours cet habit traditionnel dans les rues de l’Est du pays, et plus particulièrement à
Constantine. Mais heureusement qu’il reste encore des femmes qui perpétuent ce patrimoine propre à l’Algérie.
Constantine-histoire.

I/ Compréhension de l’écrit : 13 pts

1-De quoi parle-t-on dans ce texte ? a)-un lieu historique. b)-un instrument musical. c)-un habit traditionnel. (1pt)

2-De quel patrimoine s’agit-il ? a)-artisanal b)-culinaire c)-culturel (1pt)


3-Réponds par vrai ou faux : (1.5pt)

• La M’laya est un habit moderne porté par les femmes. (…………..)


• Cet habit a été porté par les femmes de l’Est. (………..)
• Les femmes d’aujourd’hui portent toujours la M’laya. (………….)
• 4-De quelle couleur est la M’laya ?………………………………………………………. (1pt)
• 5-« ….Il reste encore quelques femmes qui perpétuent ce patrimoine. » (0.5pt)
Le mot souligné veut dire : a) Gardent b) dansent d) Oublient
6- Barre l’intrus : « -traditionnel - ancestral - culturel -patrimonial -historique -minimal » (1pt)
7- Relève du texte : (2pts)
Un adjectif qualificatif Un complément du nom Un indicateur de lieu Un déterminant démonstratif

8- Souligne la proposition subordonnée relative dans la phrase et encadre l’antécédent. (1pt)


- Nous disposons de traditions qui continuent de marquer les esprits.
9- Conjugue les verbes entre parenthèses au futur simple (2pts)
- Nous (arriver ) au palais du Saleh Bey dans quelques minutes. - Cette robe kabyle (être ) magique.
10- Accorde correctement l’adjectif qualificatif mis entre parenthèses (2pts)
- La M’laya est une tenue (traditionnel ), (noir ) (Porté ) par les femmes (constantinois ) .
II- Situation d’intégration :(7pts) : L’Algérie est un pays riche par sa culture et son patrimoine, Les sites
archéologiques aussi appartiennent à notre patrimoine culturel. Timgad : C’est une ancienne colonie romaine, un site
antique qui a été classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'UNESCO depuis 82
A partir des informations données dans le tableau suivant, décris le site archéologique de « Timgad. »

Verbes de Indicateurs de lieu Composants du site Adjectifs


localisation qualificatif
s
Se trouver – se Dans la wilaya de Ruines , Un arc de Si étendues
situer, Batna, Au triomphe, Un forum, formidable
Entourer,dres centre, Une bibliothèque, Un s, Large,
ser, au Nord-Est de théâtre, Le sol, des Grand,
l'Algérie. thermes, D’environ 4000 Touristique,
places, Recouvert de
mosaïque

La Gasba : un instrument de musique 100% Algérien


La Tamja, taqsebt ou tighanimt, appelée aussi gasba chez les populations arabophones est un instrument
de musique à vent traditionnel d'origine berbère. Il s'agit d'une flûte de roseau oblique à embouchure
libre utilisée principalement dans la musique chaoui, la musique rifaine, la reggada et le allaoui. La gasba
est majoritairement présente dans la région des Aurès, du Zibans et dans les hauts plateaux oranais.

La gasba est une flûte oblique, elle se joue en posant la flûte sur le côté de la bouche. La maitrise de
l'instrument demande des années de pratique, elle se caractérise par ses trous de jeu au nombre de
neuf correspondant généralement au nombre des anneaux qui la composent. Mais selon la maîtrise du
facteur, le nombre de trous de jeu peut être moindre, et les flûtes à sept trous sont populaires.

Elle est distincte du ney du Machrek plutôt réservé à la musique arabe classique, la gasba est l'instrument
de base de la musique berbère chaoui, mais seuls quelques vieux hommes savent encore en jouer et la
maintenir en vie. Si nous ne les aidons pas, une partie de notre patrimoine culturel disparaitra. Il faut
donc la faire connaitre aux générations futures, la sauvegarder et la développer.
texte: l’histoire du voile noir des femmes de l’Est
L’Algérie dispose de traditions vestimentaires propres à notre culture, à notre histoire et à nos traditions qui continuent de
marquer les esprits et de faire parler d’elles.la M’laya de Constantine est un exemple des plus connus en matière d’habit traditionnel
local, et sa renommée est dû à une histoire datant de plusieurs siècles.
En effet, Cet habit a été porté par les femmes de l’Est à la mort de Salah Bey, qui gouverna Constantine pendant plus de 21 ans à
la fin du 18ème siècle. En signe de deuil ostentatoire et défiant les hommes, les femmes du beylik de l’Est décidèrent par choix en
1792 de porter un habit de sortie fait d’une toile noire sans couture au début dont elles se couvrirent tout le corps.
La M’laya ou ce long voile noire qui recouvre toute la silhouette des femmes était une façon de maintenir vive la mémoire de cet
homme exceptionnel dont la mort fût violente et dans le sang.
Il est rare de croiser de nos jours cet habit traditionnel dans les rues de l’Est du pays, et plus particulièrement à Constantine. Mais
heureusement qu’il reste encore des femmes qui perpétuent ce patrimoine propre à l’Algérie.

De quoi parle-t-on dans ce texte ? ……………………………………… (1pt)


• De quel patrimoine s’agit-il ? a)-artisanal b)-culinaire c)-culturel d)- architectural

• Réponds par vrai ou faux : (1.5pts)
 La M’laya est un habit moderne porté par les femmes. (…………..)
 Cet habit a été porté par les femmes de l’Est. (………..)
 Les femmes d’aujourd’hui portent toujours la M’laya. (………….)
 De quelle couleur est la M’laya ?………………………………………………
• « ….Il reste encore des femmes qui perpétuent ce patrimoine propre à l’Algérie. »

Le mot souligné veut dire :a) Conservent c) Négligent d) Oublient

6- Barre l’intrus : «- ancien - ancestral -une richesse, polluer, un patrimoine, vieux, les traditions ,
7- Relève du texte : a) Un adjectif qualificatif ……………………………… (1pt)
b) Un complément du nom …………………………… (1pt)
8- Souligne la proposition subordonnée relative dans la phrase ci-dessous (1pt)
- Nous disposons de traditions qui continuent de marquer les esprits.

9- Conjugue les verbes entre parenthèses au future simple (3pts)


- Nous (arriver)…………………………. au palais du Saleh Bey dans quelques minutes.
- L’année prochaine, les touristes (visiter)……………... les sites touristiques de l’Algérie.

10- Accorde l’adjectif qualificatif

- La M’laya est une tenue (traditionnel ) …..……, (noir )…… … (Porté )……… par les femmes (constantinois)
……………………….
11Ecris au pluriel :

- Le burnous fait partie de notre patrimoine ancestral

)- De quel patrimoine parle t-on dans ce texte ? Culturel – vestimentaire – archéologique - culinaire
(encadre la bonne réponse)
2)- complète le tableau suivant.

Quoi ? Où ? Quand ? Comment ?

3)- Pourquoi la femme algérienne mettait-elle le haïk ?


4)- Relève du texte un substitut lexical qui remplace le mot « HAIK »

5)- Le Haïk est fabriqué avec quelles matières ?


6)- il apparut à la fin du 19 siècle et qui fut porté par les femmes citadines d’Alger.
a)-Souligne le Complément circonstanciel et indique sa nature (cc ..)

b)- Précise si le CC indique (la durée – la date- la répétition)


c)- complète le tableau.
Verbe conjugué Terminaison Infinitif groupe Temps
mettait ……………. ……….. …….. …….
apparut …………. …….. …….. …….

7)- Relève du texte un mot de la même famille de « Cité » cit…….


8)- Accorde correctement le participe passé. ( si possible)
-Quelques tenues sont porté… dans la région du sud.
-Les artisans ont fabriqué… de jolis objets.
9-Quel titre peux-tu donner à ce texte ?
10)-Complète: Le burnous algérien fait partie de notre patrimoine ancestral

Les robes……………………………………… notre patrimoine ancestral

I. Compréhension du texte :
1-Cochez (X) la bonne réponse parmi les propositions suivantes

a) Le texte présente : - une description d’un patrimoine. – une histoire de la guerre. – un


récit de voyage. b) El-Kalaa est un patrimoine : - artisanal. -
archéologique. - naturel. c) Et-tarbaâ est : -
une tradition - artisanat. – lieu touristique.
A- Que représente ce document : - un lieu historique ? - un instrument musical ?- un plat culinaire ?
B- A quel genre de patrimoine appartient-il ? – naturel ? – archéologique ? - immatériel ?
C- L’auteur veut nous faire savoir que la casbah influence sur :
- la construction ? –la peinture ? – la couture ?

Le petit révolutionnaire, accompagne son père dès l’âge de neuf ans aux réunions
clandestines, il était agent de liaison, il transportait des documents et des messages top
secrets dans son cartable et fait preuve d’un militantisme, né le 7 janvier 1944 à la Casbah
d’Alger, P’tit Omar portait haut l’Algérie dans son cœur. Arrive ce jour fatidique du 8
octobre 1957, les parachutistes bouclent la Casbah, les artificiers déposent des bombes dans
la maison qui sert de cache à Hassiba Ben-Bouali, Ali La Pointe, P’tit Omar et Mahmoud
Bouhamidi. En quelques secondes, la maison est soufflée emportant les quatre fidayine et
dix-sept autres personnes qui se trouvaient dans des maisons voisines.
D’après Souhila Amirat, P’tit Omar, la révolution dans le cartable.

Questionnaire :

I / Compréhension de l’écrit:(13pts)
1) L’auteur raconte :
a) un récit merveilleux
b) un récit autobiographique
c) un récit historique.
2) Que faisait Omar durant la révolution ?
3) Où se déroule l’histoire ?
4) Réponds par" vrai" ou "faux" :
a) Omar décède à l’âge de neuf ans.
b) Le révolutionnaire transportait des marchandises.
c) Il est mort suite à une explosion d’une bombe.
d) Deux personnes trouvaient la mort dans le même quartier.
5) Relève du texte un mot de la même famille que « révolutionnaire ».
6) "Omar accompagne son père dès qu’il a eu neuf ans."
a) Sépare les deux propositions et indique leur nature.(PP. PS)
b) Quel est le rapport exprimé dans cette phrase ?
7) Mets les verbes de la phrase suivante au passé simple :
 Omar fait preuve d’un militantisme, il transporte des documents dans son cartable.
8) Mets la phrase suivante au singulier.
 Les révolutionnaires ont sacrifié leur vie pour la liberté de l'Algérie.

Production écrite : (7pts) Rédige un petit énoncé dans lequel tu racontes les évènements
qui se sont produits le jour de l’indépendance.
Critères de réussite:

 Emploie les temps du récit (l'imparfait /passé simple).


 Utilise une expression du temps et les connecteurs chronologiques.
 Accorde correctement les verbes avec leurs sujets.


 Khenchela et sa région

 La wilaya de khenchela est située au nord-est algérien dans la région des Aurès, elle
occupe une position géographique entre la chaîne steppique et les hauts plateaux, ce
qui lui donne un caractère forestier agro-pastoral et saharien. Elle est entourée par
les wilayas d'Oum el bouaghi à l’est, Batna et Biskra à l’ouest, El Oued au sud et Tébessa à
l’est, elle occupe une superficie estimée à 971000 hectares.
La région se caractérise par trois climats :
- Un climat très rude en hiver, modéré en été dans les régions montagneuses
centrales.
- Un climat modéré en hiver, chaud et sec en été dans les steppes sahraouies du sud.
- Un climat très froid en hiver, sec en été dans les hautes steppes au nord.
Cette diversité climatique a donné à la wilaya un penchant naturel multiple conférant
des spécificités touristiques non négligeables.


Les habitants de la wilaya sont estimés a 366400 repartis à travers 21
communes et daïra, exerçant diverses activités, l’agriculture en premier
lieu, suivi de l’industrie et du commerce.
Malgré les mutations sociales connues par le peuple algérien, la société
Khenchelie est restée conservatrice à travers sa population, son identité
et la tradition de la région, la femme Khencheli porte encore le voile
traditionnel propre à la région et se pare de bijoux en argent.
Dans les maisons Khenchelies demeurent toujours les plats traditionnels
tel que le plat de Barboucha ou couscous, le R’fiss ainsi que plusieurs
plats très célèbres
 Mermez» et «boudchiche», les mets des moissons
 Info SoirPublié dans Info Soir le 06 - 07 - 2009

Us n Des ménages de plus en plus nombreux, à la campagne mais également en ville, renouent, en
cette période de moissons, avec la cuisine rustique préparée à base d'orge fraîchement fauchée.
 «Pour préparer ces plats traditionnels, extrêmement appréciés par les personnes âgées qui s'en
sont longtemps sustentées avec délectation, les épis d'orge sont récoltés avant maturité, à la veille
des grandes moissons, avant d'être étalés sur le sol et exposés au soleil durant plusieurs jours pour
sécher. C'est indispensable pour la préparation du mermez» (grains d'orge concassés) et du
boudchiche qu'on appelle aussi d'chicha dans d'autres régions du pays, et qui est issu du tamisage
du mermez.
El-Hadj Yazid Himeur, un vieil agriculteur de la région de Baghaï, explique que si les quantités
d'épis sont importantes, on recourra pour les battre à une bête de trait, mais si la quantité est
réduite, on se contentera de longs bâtons pour les battre. Les graines sont ensuite ramassées et
écrasées dans un moulin de pierre (matah'na), un ustensile traditionnel qui a pratiquement disparu
des foyers. Aujourd'hui, toutes ces tâches, jadis éminemment manuelles, sont mécanisées. Au vieux
boulevard Souafa deKhenchela, deux anciennes boutiques continuent à assurer le service de
mouture des céréales, mais aussi de graines et d'autres produits comme le café, les pois chiches et
les épices. Tenues par de vieux routiers, ces échoppes ne désemplissent pratiquement pas durant le
ramadan, les mariages et les moissons. Plus leurs ingrédients (viandes, légumes, lait de vache ou de
brebis, beurre de ferme) sont variés et de qualité, plus le goût du mermez et du boudchiche est
garanti, surtout si le dessert est constitué de lebkhakh, un autre mets à base d'orge à consommer
sucré et accompagné de petit-lait (l'ben) et de dattes. L'on considérait autrefois que ces plats
auguraient d'une année d'abondance et de prospérité. Ils sont généralement servis au dîner lorsque
tous les membres de la famille sont réunis. Certains ménages ruraux vendent une partie de leur
production aux épiciers au prix de 120 dinars le kilogramme et de 10 000 dinars le quintal alors
que le prix d'un quintal d'orge brut atteint les 2 500 DA.
Ces prix s'expliquent par la forte demande sur ces produits, conservés traditionnellement par les
ménagères pour préparer, durant les hivers rigoureux de la région du Chelia, des plats de
résistance nourrissants et délicieux avec de la viande séchée (el-kedid ou el khli'). L'orge est
conservée sous terre dans un matmor (grande jarre enterrée) pour des périodes plus ou moins
longues. Elle sert aussi à la préparation du mechroub, un genre de couscous à base de semoule
d'orge, de couleur sombre et dégageant une odeur plutôt forte.
De plus, l'austérité étant de rigueur en ces temps de disette, les restes de la mouture de l'orge ne
sont jamais jetés : ils servent à la préparation de la galette au mermez et du r'fis el mermez. Ce
dernier, mélangé à du miel, est d'ailleurs conseillé pour soigner les problèmes d'indigestion.
«Retour aux sources» ou «poids de la nostalgie», la plupart de ces plats, sont aujourd'hui proposés
à Khenchela dans de petits restaurants qui se sont spécialisés dans l'art culinaire traditionnel,
encouragés par l'engouement plutôt inattendu qu'ils ont suscité.
La robe kabyle, patrimoine précieux de l'histoire de la Kabylie.
La robe kabyle de par ses couleurs vives et chatoyantes égaille et fait briller la femme de mille
feux. Cette robe ancestrale a su traverser les âges, elle a d'ailleurs inspiré un grand nombre
d'artistes, de poètes ou de peintres.
La robe kabyle a constamment fait l'objet de créativité dans la façon de mettre les dentelles
ou Lahwaci, mais elle n'a jamais été modernisée au sens propre du mot jusqu'à une période
récente. La confection du costume kabyle est typique à chaque région. C'est ainsi que l'on
retrouve "Taqendurt" ou "taksiwt" Iwadiyen", iâzzugen, nath-aïssi, ne bgayet, natwassif, etc.
El fouta est une pièce importante de la robe traditionnelle de Kabylie. C'est un tissu assorti qui
se porte par-dessus la robe kabyle (tajelebth n'kbayel). En général, la fouta se compose d'un
tissu brodé de bandes ou de rayures de couleurs différentes qui se succèdent.
Ce vêtement s'est de tout temps, généralisé à tous les types de tissages. Le costume
traditionnel se compose de cinq éléments : La djebba kabyle, dite "Thaqandourth" est l'élément
de base du costume et comporte un col arrondi à volants et de longues manches de couleur
jaune ou orange. Le vêtement est garni au niveau de la poitrine de motifs brodés en zigzag et
de bouclettes (dentelles kabyles) de plusieurs couleurs, le tout inspiré de l'écriture kabyle. Elle
est rehaussée d'un tablier, dit "foudha" ou "fauta", décoré de rayures verticales multicolores.
La ceinture, dite "h'zam", se compose d'un ensemble de fils de laine multicolores tressés et
munie de pompons aux extrémités. La coiffe est composée d'un foulard carré, dit "m'harma",
décoré de motifs floraux et plié en triangle sur la nuque avant d'être noué par les extrémités
au-dessus du front.
T. Abdelkader, Traditions algériennes, publié le Samedi 19 Février 2011

1-De quoi parle t- on dans ce texte ? /1

2- De quel patrimoine s’agit-il ?Encadre la bonne réponse: /1

a- culturel / b- culinaire / c- artisanal / d- archéologique

3- Réponds par « vrai » ou « faux » : /2

La robe Kabyle a inspiré un grand nombre d’artistes. …………

Il existe un seul type de robe kabyle pour toutes les régions d’Algérie. ………..

La robe kabyle se compose de quatre éléments. …………

La robe kabyle contient une seule couleur. ………….

4)- Relève du texte : a*Deux mots ou


expressions qui renvoient (champ lexical) au mot :patrimoine /1 b*UN mot de
la même famille que « création »/1

Un adjectif qualificatif Un complément du nom Une proposition subordonnée relative

6)-Mets les verbes entre parenthèses au futur simple : /2


Cette robe kabyle (être) magique sur toi et tu (avoir) la chance de la porter.

7)-Complète:/2La robe kabyle est un vêtement traditionnel très beau. La robe kabyle est une tenu
……………………………. très ………….. Le burnous fait partie de notre patrimoine ancestral

II) Situation d’intégration :. A partir des informations données dans le tableau ci-dessous, rédigez
un récit relatant l’histoire du burnous qui fera l’objet d’une exposition lors du mois du patrimoine
Texte : La Casbah d'Alger
La Casbah d'Alger apparaît comme un exemple significatif de ville historique maghrébine. Elle a
exercé et en Afrique sub-saharienne durant les XVIe et XVIIe siècles. Ces échanges se manifestent par
le caractère spécifique de son habitat et par la densité de sa stratification urbaine, un modèle
d'établissement humain où le mode de vie ancestral et les habitudes musulmanes se sont harmonisés
avec d'autres types de traditions. Elle comprend des vestiges de la citadelle, des mosquées anciennes,
des palais ottomans, ainsi qu'une structure urbaine traditionnelle associée à un grand sens de la
communauté sont les témoins de cette culture et le résultat de son interaction avec les diverses couches
de peuplement. Le maintien de la fonction d'habitation a permis de consolider la viabilité du site
autant que l'intégrité de son image.
Guide touristique, la Casbah d’Algerune influence considérable sur l'architecture et la planification
urbaine en Afrique du Nord, en Andalousie.
I-/Compréhension de l’écrit : (13points)
1- Recopie la bonne réponse :
A- Que représente ce document : - un lieu historique ? - un instrument musical ?- un plat
culinaire ? Cette robe kabyle (être) magique
B- A quel genre de patrimoine appartient-il ? – naturel ? – archéologique ? - immatériel ?
- artisanal ?- culinaire
C- L’auteur veut nous faire savoir que la casbah influence sur :
- la construction ? –la peinture ? – la couture ?
2- Où se trouve la
casbah ?..........................................................................................................................
3- « le mode de vie ancestral » veut dire : le mode de vie moderne ? Le mode de vie ancien ?
4- Réponds par « vrai » ou « faux » :
a- La Casbah d'Alger semble pareillement à une ville moderne. ( )
b- La Casbah d'Alger a influencé sur l'architecture et la planification urbaine en Afrique du
Nord. ( )
5- Trouve deux indicateurs de lieu : ………………………………………….. ;
………………………………………….
6- Relève du texte deux mots de la même famille que : « habiter » ………………… ;
………………………….
7- A quel temps est conjugué le verbe souligné dans la phrase ci- dessous ?
a- /*/- passé composé ? /*/ - futur simple /*/- présent de l’indicatif.
Ces échanges se manifestent par le caractère spécifique de son architecture.
b- Complète : Cet échange …. ………………… par le caractère spécifique de son
architecture.
8- Cites trois sites et monuments qui sont les témoins de cette culture humaine.
/*/ -…………………………………………….. ; ………………………………………….. ;
……………………………………………..
9- Complète par le mot qui convient : guère/ guerre.
/*/ - Les citadins de la casbah n’ont……….. pu la quitter même pendant la ..........
II-/ Production écrite : (07 points)
Tu as sûrement pris une idée sur le patrimoine. Ecris un texte de 6 lignes dans lequel :
• tu identifies le patrimoine
• tu présentes les différents genres du patrimoine en donnant quelques exemples.
• Ecris des phrases simples et cohérentes.

Texte 1 :
Le couscous, Mila, Fête du couscous : Préserver et valoriser le
patrimoine culinaire algérien.
Qu’on l’appelle seksou, couscous, naâma, taâm ou berboucha, il
s’agit du même plat, fabriqué selon les mêmes procédés depuis des
millénaires, même s’il est servi ou accommodé de mille façons.
Les habitants de l’Afrique du Nord connaissent le couscous depuis
la nuit des temps, une période que les spécialistes situent entre
238 et 149 ans avant J.C.
Le couscous constitue l’alimentation de base des maghrébins et leur plat national,
intimement rattaché à leur mode de vie et leurs traditions nées autour de leur activité
principale, à savoir la culture des céréales en général et du blé dur en particulier, le couscous
constitue un repas complet car il allie la semoule cuite à la vapeur, aux légumes secs tels que
le pois chiche (hommos), les fèves et les légumes frais, ainsi que les viandes.
« Nos ancêtres ont su ainsi accommoder les aliments dont ils disposent dans un seul plat à
haute qualité nutritive et présentant également les qualités du goût et la bonne digestion »

Texte 2
La cuisine Milevienne (de la wilaya de Mila)
La cuisine milevienne possède un patrimoine culinaire riche. avec des plats, des recettes et des friandises parfois
communes à toute la région Est de l’Algérie, mais aussi très spécifiques à notre terroir de notre wilaya , témoignant
ainsi à la fois de notre unité culturelle riche , mais aussi de de la diversité de notre culture , conditionnées par notre
géographie,notre climat, et notre histoire commun de toutes les communes de la wilaya
Le couscous , chakhchoukha et la chorba sont nos plats les plus emblématique, il font partie des recettes de cuisine les
plus connus et les partagés a travers toute la wilaya .
On peut aussi citer plusieurs plats traditionnel comme Trida, R'fis , El Mesfouf , Chtitha, El Kefta , Lamhaouar, Tajine
Lahlou ,Bouzelouf Laghreiffs ,Sefnedj,Tamina , Bourek , Lemhadjeb ( accompagné d'un soupçon de harissa c est un
délice) et beaucoup d autres plats et Tadjines traditionnels et contemporain riches et variés quand en on trouve surtout
sur notre table de ramadan accompagnés du bon pain traditionel (El Kessra matloae , Kessra Rekhssis reguiga et Khobz
Addar).
la cuisine Mileviennes (toute la wilaya de mila) est un art et une affaire de famille. Comme dans toutes les autres
régions de pays .
6)-Mets les verbes entre parenthèses au futur simple : /2
Cette robe kabyle (être) magique sur toi et tu (avoir) la chance de la porter.

6- Barre l’intrus : « Le Haïk mrama - la M’laya - ancestral - l’occasion -patrimoine (0.5pt)


7- Relève du texte : a) Un adjectif qualificatif ………………… b) Un complément du nom …………………………… (1pt)
8- Souligne la proposition subordonnée relative - Nous disposons de traditions qui continuent de marquer les esprits.

9- Conjugue les verbes entre parenthèses au future simple - Nous (arriver)…………………………. au palais du Saleh Bey
dans quelques minutes.- L’année prochaine, les touristes (visiter)……………... les sites touristiques de l’Algérie.
10- Accorde l’adjectif qualificatif mis entre parenthèses correctement - La M’laya est une tenue (traditionnel) …..
……………, (noir)………..… (Porté)…………… par les femmes (constantinois)……………………….

2) identifier l’expansion du nom par adjectif.


Le couscous est un plat national qui constitue une alimentation de base.La cuisine de Mila possède un
patrimoine culinaire riche« La gasba», un instrument musical .la « cachabia » fait partie de notre
patrimoine -La robe Kabyle comporte des manches courtes ou sans manches
4- L'art musical revêt plusieurs significations sociales qui portent un message .L’Algérie est réputée pour son patrimoine
culturel riche et varié.La musique folklorique est une musique traditionnelle qui utilise de simples instruments
Un groupe d’hommes tira la première balle dans les Aurès.
Ces pionniers de Novembre menèrent une lutte,

A- Que représente ce document : - un lieu historique ? - un instrument musical ?- un plat culinaire ?


B- A quel genre de patrimoine appartient-il ? – naturel ? – archéologique ? - immatériel ?
C- L’auteur veut nous faire savoir que la casbah influence sur :
- la construction ? –la peinture ? – la couture ?

Région connue pour ses vastes étendues steppiques, la wilaya du Hodna, située aux portes
du Sahara, c’est pourquoi ses habitants font de la Kalâa des Beni-Hammad leur destination
.préférée dès que le soleil refait son apparition après le froid de l’hiver

Les habitants des communes voisines ne ratent pas l'occasion de prendre leur voiture ou
d’emprunter les transports en commun pour aller admirer l'imposant minaret millénaire de
la Kalâa, haut de 25 mètres, principale attraction de ces lieux classés depuis 1980 au
patrimoine mondial par l'UNESCO, fondée en l'an 1007 par le Sanhadji Hammad Ibn
Bouloughine. on y rencontre aussi le palais de la Mer, le palais de l'Etoile et un peu plus loin le
palais du Salut puis le palais du Manar. Ce patrimoine pluriséculaire est enserré au cœur de
magnifiques paysages naturels que surplombe le mont Takerboust culminant à 1.418 m. Une
multitude de fontaines et de sources naturelles accentuent la magie des lieux. (…)

Maâdid est aussi un lieu préféré pour les plus fervents adeptes de la tradition du "Et-
tarbaâ", sortes de petites kermesses familiales organisées dès l'avènement du printemps pour
célébrer la végétation débordante et la vie. On organise de belles sorties pour voir des
paysages féeriques, et écouter des histoires pour briser la monotonie des cloisonnements
imposés par le froid de l'hiver.

El moudjahid 20-03-2012

I. Compréhension du texte :
1-Cochez (X) la bonne réponse parmi les propositions suivantes

a) Le texte présente : - une description d’un patrimoine. – une histoire de la guerre. – un


récit de voyage. b) El-Kalaa est un patrimoine : - artisanal. -
archéologique. - naturel. c) Et-tarbaâ est : -
une tradition - artisanat. – lieu touristique.
A- Que représente ce document : - un lieu historique ? - un instrument musical ?- un plat culinaire ?
B- A quel genre de patrimoine appartient-il ? – naturel ? – archéologique ? - immatériel ?
C- L’auteur veut nous faire savoir que la casbah influence sur :
- la construction ? –la peinture ? – la couture ?
. Où se situe la Kalaa de Beni Hammad ? …

3- Réponds par vrai ou faux:


a/ Les gens visitent la Kalaa en hiver………..
b/ El-Kalaa est classé un patrimoine universel……………
c/ El-Kalaa a été construite par l’Emir Abdelkader …………

4-Citez 3 monuments historiques dans cet


endroit.→……………………/……………………./……………………
5-- Relevez du texte un adjectif qualificatif, un complément de nom et une subordonnée relative.
6- Relève du texte :
a- Un verbe de mouvement :…………………………………
b- un verbe de localisation :………………….
C- Un verbe de perception : …………………………..
7-Mets les verbes entre parenthèses au futur simple:
a- Les fleurs (fleurir)…………………………………en printemps.
b- Nous (visiter)………………………………….ce site archéologique.
c- Il (prendre) ……………………………….. le transport en commun.
8- Donne un titre au texte :……………………………………………………………..
II.
Vannerie algérienne, une perpétuelle lumière pour les yeux
Par son élégance et sa robustesse, la vannerie algérienne témoigne d’une longue maitrise issue
du fonds des â ges. Œuvre de nomades à l’origine, elle a toujours su accompagner le tissage et la
poterie. Qu’elle provienne de Kabylie, de Dellys ou du Djurdjura, elle est aujourd’hui sédentarisée
en ateliers féminins.
Rouges, noirs et verts à Tizi-Ouzou et Djamaâ , ocres rouges et jaunes à Bou Nouh, ses décors,
purement berbères, offrent un foisonnement de variantes autour d’une thématique symbolique
immuable.
Si la vannerie fine est constituée, en Kabylie, de faisceaux de diss* ou
d’alfa* enrobés de raphia*, enroulés et cousus ensemble au fil de
raphia, il existe, à travers toute l’Algérie, une vannerie plus grossière de
grandes corbeilles à couvercles servant de fourre-tout et qui n’utilisent
que les des matières locales : diss ou alfa enrobé de doum (feuilles de
palmier nain).
Qu’il s’agisse des dessous de plats, fins plateaux, ronds de serviettes, bonbonnières kabyles ou
corbeilles larges et cossues, la vannerie met de la vie dans la maison C’est une perpétuelle
lumière pour les yeux.
D’après un document Net
*Diss et alfa : plantes herbacées
*Raphia : palmier africain
QUESTIONS
I. Compréhension de l’écrit : (13 points)
1. Lis le texte puis choisis la bonne réponse. (1.5pt)
a) La vannerie fait partie du patrimoine : -architectural (…) -culinaire (…) -artisanal (…)
b) La vannerie est l’œuvre : -des mozabites (…) -des kabyles (…) -des nomades (…)
c) La vannerie est réputé pour : -sa solidité (…) -sa fragilité (…) -sa simplicité (…)
2. Avec quoi fabrique-t-on la vannerie ? (0.5pt)
3. Réponds par vrai ou faux. (1.5pt)
a) Les fourre-tout, les bonbonnières… sont des produits de vannerie. (……)
b) Il y a 2 sortes de vannerie en Algérie : la vannerie fine et la vannerie grossière. (……)
c) La vannerie est devenue une activité artisanale féminine. (……)
4. « C’est une perpétuelle lumière pour les yeux.» (0.5pt)
Cette phrase veut dire : a) C’est un plaisir infini à contempler. (…)
b) C’est un décor fatigant à observer. (…)
c) C’est un mélange de couleur déplaisant. (…)
(Choisis la bonne réponse)
5. Relève du texte deux types d’artisanat. (0.5pt)

6. Relève du texte une phrase qui contient un présentatif. (0.5pt)

7. « Elle est aujourd’hui sédentarisée en ateliers féminins. » (2pts)


Décompose cette phrase en groupe et précise ses constituants.

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8. « Elle est aujourd’hui sédentarisée en ateliers féminins. » (0.5pt)


Le mot souligné veut dire : a) fixée ( ) b) fabriquée ( ) c) soignée ( )
(Choisis la bonne réponse)
9. « Par sa robustesse, la vannerie algérienne témoigne d’une longue maitrise. » (0.5pt)
Le contraire du mot souligné est : a) fragilité ( ) b) résistance ( ) c) beauté ( )
(Choisis la bonne réponse)
10. Ecris les verbes au temps qui convient (2pts)
« Si nous conservons pas notre patrimoine, il …… (être) vite oublier et ……
(disparaitre)
au fil du temps»
11. Ecris correctement les adjectifs mis entre (…). (1 pt)
L’artisan a fabriqué des corbeilles (pourpre) et des assiettes (rouge-vif).

12. « Par son élégance et sa robustesse, la vannerie témoigne d’une longue maitrise. »
(2pts)
Remplace le sujet souligné par : … la vannerie, le tissage et la poterie …
DEVOIR SURVEILLE N° 3

Texte : Les bijoux Touareg racontent l’histoire d’un peuple


Les Touaregs sont un peuple de Berbères vivant principalement dans le désert du
Sahara. Ils sont réputés notamment pour leurs bijoux en argent qui sont de vraies
merveilles. L'or n'est pas apprécié chez les femmes touaregs, la peur superstitieuse
qu'elle porte son égard fait qu'elles n'en portent jamais. L’argent a donc pris la place
de l'or dans les traditions touaregs. Chaque famille touareg possède son patrimoine
dont les bijoux en argent font partie. Ils ont bien évidement une grande valeur
symbolique, mais ils servent également dans l'économie de la communauté comme
monnaie d'échange. Chaque bracelet a son histoire, chaque collier porte un symbole
quelques fois oublié. Un collier ou un bracelet porté par une femme touareg évoque
souvent quelques anecdotes voire toute l'histoire d'un peuple. Généralement,
le pendentif est à l'image du palais du sultan, les perles représentent les quartiers, les
triangles, suivant leurs positions variables, définissent les tribus nomades vivant en
brousse, le sultan, quant à lui, est représenté avec ses ministres par les points isolés au
centre du pendentif. On peut également y trouver divers symboles imageant l'homme,
la femme ou encore la grossesse ou la naissance.

I. Compréhension de l’écrit : (13points)

1) Quel est le thème de ce texte ? ……………………………………………………….


(0.5pt) 2) Ce texte parle d’un patrimoine: a) culinaire b) artisanal
c) naturel (01pt) 3) Où vivent les
Touaregs ?............................................................................................... (0.5pt) 4) Nomme
les différents bijoux cités dans le texte : (2pts)
………………………………………………………………………………………………
…. 5) Réponds par « Vrai » ou « Faux » : (1.5 pts)
- Les femmes touaregs aiment les bijoux en or. ……………………
- L’or a remplacé l’argent dans les traditions touaregs. …………………..
- Les Touaregs utilisent des bijoux en argent comme monnaie d’échange.
………………….. 6) Trouve dans le texte l’antonyme
du mot : sédentaires ≠ …………………….………(01pt) 7) Relève du
texte un complément du nom : …………………………………………….(01pt) 8)
Relève du texte une proposition subordonnée relative :
……………………………………
…………………………………………………………………………………….…….
(01pt) 9) Un collier ou un bracelet est porté par une femme touareg.
- Réécris la phrase en commençant ainsi :(1.5 pts)
Une femme touareg ………………………………………………………..
10) Réécris la phrase en accordant correctement les adjectifs qualificatifs : (2pts)
Les bijoux (artisanal) sont une richesse (précieux).
………………………………………………………………………………………………
…………. 11) Réécris la phrase en la commençant ainsi : (01pt)
La femme touerg porte des bijoux variés.
Demain, ………………………………………………………………………………….…

La Gasba : un instrument de musique 100% Algérien


La Tamja, taqsebt ou tighanimt, appelée aussi gasba chez les populations arabophones est
un instrument de musique à vent traditionnel d'origine berbère. Il s'agit d'une flûte de roseau oblique
à embouchure libre utilisée principalement dans la musique chaoui, la musique rifaine, la reggada et
le allaoui. La gasba est majoritairement présente dans la région des Aurès, du Zibans et dans les hauts
plateaux oranais.
La gasba est une flûte oblique, elle se joue en posant la flûte sur le côté de la bouche. La maitrise de
l'instrument demande des années de pratique, elle se caractérise par ses trous de jeu au nombre de
neuf correspondant généralement au nombre des anneaux qui la composent. Mais selon la maîtrise du
facteur, le nombre de trous de jeu peut être moindre, et les flûtes à sept trous sont populaires.

Elle est distincte du ney du Machrek plutôt réservé à la musique arabe classique, la gasba est
l'instrument de base de la musique berbère chaoui, mais seuls quelques vieux hommes savent encore
en jouer et la maintenir en vie. Si nous ne les aidons pas, une partie de notre patrimoine culturel
disparaitra. Il faut donc la faire connaitre aux générations futures, la sauvegarder et la développer.

Texte 1 :
Le couscous, Mila, Fête du couscous : Préserver et valoriser le patrimoine culinaire algérien.

Qu’on l’appelle seksou, couscous, naâma, taâm ou berboucha, il s’agit du même plat, fabriqué selon les mêmes procédés depuis des millénaires, même s’il est
servi ou accommodé de mille façons.

Les habitants de l’Afrique du Nord connaissent le couscous depuis la nuit des temps, une période que les spécialistes situent entre 238 et 149 ans avant J.C.

Le couscous constitue l’alimentation de base des maghrébins et leur plat national, intimement rattaché à leur mode de vie et leurs traditions nées autour de leur
activité principale, à savoir la culture des céréales en général et du blé dur en particulier, le couscous constitue un repas complet car il allie la semoule cuite à la
vapeur, aux légumes secs tels que le pois chiche (hommos), les fèves et les légumes frais, ainsi que les viandes.

« Nos ancêtres ont su ainsi accommoder les aliments dont ils disposent dans un seul plat à haute qualité nutritive et présentant également les qualités du goût et la
bonne digestion »

Texte adapté.

Texte 2

La cuisine Milevienne (de la wilaya de Mila)

La cuisine milevienne possède un patrimoine culinaire riche. avec des plats, des recettes et des friandises parfois communes à toute la région Est de
l’Algérie, mais aussi très spécifiques à notre terroir de notre wilaya , témoignant ainsi à la fois de notre unité culturelle riche , mais aussi de de la diversité de
notre culture , conditionnées par notre géographie,notre climat, et notre histoire commun de toutes les communes de la wilaya

Le couscous ,chakhchoukha et la chorba sont nos plats les plus emblématique, il font partie des recettes de cuisine les plus connus et les partagés a travers toute
la wilaya .

On peut aussi citer plusieurs plats traditionnel comme Trida, R'fis , El Mesfouf , Chtitha, El Kefta , Lamhaouar, Tajine
Lahlou ,BouzeloufLaghreiffs ,Sefnedj,Tamina , Bourek , Lemhadjeb ( accompagné d'un soupçon de harissa c est un délice) et beaucoup d autres plats et Tadjines
traditionnels et contemporain riches et variés quand en on trouve surtout sur notre table de ramadan accompagnés du bon pain traditionel (El Kessramatloae ,
KessraRekhssisreguiga et KhobzAddar).

la cuisine Mileviennes (toute la wilaya de mila) est un art et une affaire de famille. Comme dans toutes les autres régions de pays .

Texte adapté.
Texte 3

La robe Kabyle

L’ancienne robe Kabyle été faite de laine blanche tissée, une seule pièce ouverte par une fente sur la poitrine. Les anciennes robes Kabyles n’avaient pas de
manches, mais étaient assez grandes pour recouvrir les bras. La robe Kabyle était accompagnée de ce qu’on appelait axellal, une sorte de manteau d’hiver qui
protégeait la femme Kabyle du froid. La ceinture était aussi présente, faite de laine et enroulé une dizaine de fois autour de la taille.

Cousue à la machine à partir de plusieurs pièces à présent, elle peut comporter des manches courtes ou longues comme elle peut être sans manches, elle est fendu
par devant et décoré comme sur le dos et le bas de la jupe avec des rubans qu’on appelZigga.Une partie du corsage nommé iciwi sert de poches aux femmes
kabyles qui s’en servent pour cacher leurs économies.La jupe est recouverte d’une fouta (lfoudha), un tissu multicolore (souvent noir, rouge et jaune) noué au
niveau de la taille.

Les femmes Kabyles portent leurs plus belles robes en soi pour celles qui en ont les moyens les jours de mariages Kabyles, signes de richesses accompagnés de
bijoux Kabyles.

Texte adapté.

Texte 4

Le BinouarStaifi.(Robe Traditionnelle de Sétif).

C’est la robe traditionnelle des sétifiennes , caractérisant l’habit féminin de toute larégion de Sétif . L’étymologie de ce terme n’est pas bien connue . Pour certains
il dériverait du mot « peignoir » et pour d’autres c’est la transcription du mot arabe dialectal « bi nouar» , c’est à dire « avec des fleurs » .Il s’agit d’une robe ample
et large, dépourvue de manches , avec une certaine échancrure au niveau de la poitrine.Elle est en général perlée et avec des paillettes et comprenant la dentelle .
Le top du top de ce binouar s’appelle « CharbEzdaf.

C’est l’habit incontournable du trousseau de la jeune mariée sétifienne .Elle est pour Sétif ce qu’est la gandoura » Fergani » pour les constantinoises .C’est une
robe à la broderie trésfine , comprenant toute sorte defleurs allant de la rose à la marguerite brodées en soie . Les nombreux tailleurs et confectionneurs,
notamment ceux de l’ avenue Ben Boulaid rivalisent d’ingéniosité pour mettre au point des modèles aussi attirants les uns que les autres avec toujours des couleurs
flamboyantes.

.Texte adapté

Texte 5

Le tapis

L'origine du tapis berbère remonte à l'ère paléolithique et a été fait par les Berbères en Afrique du Nord. Le tissu filé à la main qu’ils ont créé a été nommé pour la
tribu, et ils ont utilisé les fibres naturelles pour créer des manteaux, des tapis et autres tissus. Ils pourraient être faits avec de la laine des moutons qui vous garde au
chaud dans en hiver et la fraîcheur en été. Ils pourraient aussi être trouvés dans en poils de chameau et en fibres synthétiques pour les personnes allergiques
aux produits d'origine animale.
Le terme Berbère été un nom donné aux originaux d'Afrique du Nord connus sous le nomde Imazighen (Amazigh au singulier).
Les Tapis berbères faits à la main sont toujours une industrie active dans de nombreuses zones rurales des pays d'Afrique du Nord. Beaucoup de familles
berbères gagnent leur pain quotidien dans des fabrications manuelles de tapis et ensuite les vendre sur les marchés locaux ou même à des marchands d'art et des
touristes. Le Tapis berbère traditionnel est totalement différent de ceux produits en masse a la machine comme ceux produits en Occident. Les vrais sont beaucoup
plus sophistiqués et sont faits de matériaux naturels.
Un tapis peut prendre des mois pour finir et généralement fait par les femmes Amazighs. Les femmes écrivent des messages sur le tapis en forme de
ceintures, chaque ceinture contient un message écrit en Tamazight et des symboles amazigh. Ce tapis sera ensuite offert à leurs futurs maris comme une promesse
et leur souhait d'un grand mariage et la vie ensemble. Ces ceintures sont appelées «La ceinture de la mariée".
Tous ces tapis modernes produits en masse à l'ouest qu'ils appellent "Tapis berbère" ont raté ce point historique extrêmement important, qui, par
conséquent déprécie leur qualité et leur rareté.

Si jamais vous achetez un tapis berbère, acheter le vrai ; fait par les Berbères d'Afrique du Nord, et personne d'autre!

.Texte adapté

Texte 6

Résumé d’un récit historique


Le 1er Novembre 1954, un groupe d’hommes, convaincus et décidés, tira la première balle dans les Aurès. C’était le déclenchement de la Guerre de Libération
nationale.

Ces pionniers de Novembre menèrent une lutte sans merci contre le colonialisme. Une guerre qui durera sept ans et demi contre un ennemi puissant et
impitoyable.

D’est en ouest, du nord au sud, le peuple algérien, uni et solidaire, se mobilisa avec les moudjahidine pour libérer leur pays.

Et c’est au prix de leurs vies et de leurs familles que ces héros de la révolution luttèrent jusqu’à la libération de leur chère patrie.

Texte adapté.

Texte 7:

Les héros de la bataille d’Alger

Pour avoir refusé de se rendre à l’armée coloniale, Hassiba Ben Bouali, Ali La pointe se font tuer dans leur refuge au cœur de la Casbah. Agés de dix-huit ans
à peine, Hassiba avait rejoint le groupe des explosifs à Birkhadem et s’est perfectionnée dans les missions spéciales, en qualité d’agent de liaison.

Le chahid Ali Ammar plus connu sous le nom d’Ali La pointe avait des prédispositions pour son futur itinéraire. Il fut rigoureux dans l’accomplissement de
toute les tâches et prit part à plusieurs opérations militaires notamment les attaques contre les postes de police et les patrouilles militaires.

Tiré du journal : Al-Watan

Texte 8

Les négociations de paix

En septembre 1958, le FLN crée son propre gouvernement : le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA). Charles de Gaulle, le président de
la République française, commence à négocier avec le GPRA en 1960. Le 8 janvier 1961, un référendum organisé en France montre que les Français sont d’accord
pour l’autodétermination de l’Algérie.

Des négociations secrètes entre Français et Algériens ont lieu à la fin de l’année 1961, à Évian-les-Bains. Les accords d’Évian, signés le 18 mars 1962 par Charles
de Gaulle et le GPRA, reconnaissent la souveraineté algérienne sur les territoires de l’Algérie et du Sahara et aboutissent à un cessez-le-feu.

Le 3 juillet 1962, la France reconnaît officiellement l’indépendance de son ancienne colonie. Ahmed Ben Bella (le chef du FLN) devient le premier président de la
.République algérienne, le 15 septembre 1963.Texte adapté

Texte 9
Musique algérienne

L’Algérie est réputée pour son patrimoine culturel riche et varié. La musique algérienne ne déroge pas à la règle, elle est le résultat de siècles d’histoire, de
métissage et dévolution.

La musique algérienne : Chaâbi,Classique arabo-andalou,Kabylie,GnawiRai,Malouf,Hawzi,Rap algérien s’illustre avant tout par sa diversité. Influencée
d’une part par la colonisation et l’immigration (Espagne, France …), et d’autre part par les différents groupes ethniques issus d’une même origine Berbère
(kabyles, chaouis, touaregs, mozabites …)

La musique algérienne s’est forgée dans le mélange des genres et dans la constante recherche d’innovation.

Résumé du récit Tighilt ,la chaussure de la mariée

Ce soir-là, le village recevait une nouvelle mariée. A la nuit tombée, un groupe de Mou--
djahidine descendit de la montagne. Les villageois et leurs invités continuèrent à fêter le
mariage tard dans la nuit.
Au petit matin, dès que l’alerte fut donnée par les guetteurs, les combattants de l’ALN
s’éparpillèrent à travers le maquis. Quand le premier accrochage eut lieu entre l’ennemi et
les Moudjahidine, des avions lâchèrent leurs bombes avant que les invités aient eu le temps
de fuir.
Ce jour-là, le 08 juin 1958, 174 habitants de Tighilt périrent. C’étaient pour la plupart des
enfants et des femmes.
Texte 10

La musique kabyle

La musique et le chant kabyles sont d'une grande richesse. Ils jouent un rôle important dans la vie des populations, ponctuant les moments forts de la vie
quotidienne: mariage, naissance, circoncision et les fêtes religieuses. Des musiciens et des poètes parcourent des villages et des places publiques pour déclamer et
chanter leurs compositions. Les poèmes sont toujours soumis au rythme musical, ce qui fait qu'ils peuvent être aussi bien lus que chantés.

Les instruments de la musique traditionnelle utilisés en Kabylie sont frustes (le plus commun est le tambour appelé diversement t'bel), il faut citer aussi
abendayer, thizemmarine, ajouak, l'ghidha). Ces instruments de musique traditionnelle sont utilisés généralement par des troupes musicales appelées idhebbalen. Il
existe deux sortes d'instrument; ceux à percussion et ceux à vent.

.Texte adapté

Texte 11

La musique folklorique traditionnelle de Saida

L'art musical revêt plusieurs significations sociales et anthropologiques qui portent un message d'un groupe humain qui lutte contre les conditions
sociales et l'environnement géographique ou il évolue.

Aussi, les genres musicaux folkloriques répandus a travers la région de Saida ne s'écartent pas du milieu naturel qui s'est transforme en patrimoine
culturel spécifique.

La musique folklorique des « Qawarir » est une musique traditionnelle qui utilise de simples instruments fabriques avec des matières disponibles
dans la région tels que le tambour, le « Mezoued » qui est fabrique de la peau de chèvre, « el wadaa » et d'autres instruments qui donnent un genre
artistique différent de ceux qui existaient par le passé.

Quant à cette musique, elle exprime la dureté de la vie dans la région comme les dangers de la nature, la lutte pour l'eau, l'herbe et la nourriture pour
les êtres humains et les animaux domestiques qu'ils élèvent.

Cette musique exprime le vécu d'une catégorie sociale durant des périodes précises telle que « la Sara » qui est une danse accompagnée d'une musique
forte avec le bruit du « baroud » et les carabines traditionnelles qui représentent les guerres et les luttes entre les tribus et qui ont été incarnées par la
suite dans des tableaux artistiques expressifs qui en renferme des réalités. Celles – ci constituent actuellement un message historique qui retrace les
différentes périodes de la vie représentées par des associations culturelles dont nous pouvons citer Moulay Tayeb, FenoughilOkbane, etc…

.Texte adapté

Texte 12

Musique algérienne

L’Algérie est réputée pour son patrimoine culturel riche et varié. La musique algérienne ne déroge pas à la règle, elle est le résultat de siècles d’histoire, de
métissage et dévolution.

La musique algérienne : Chaâbi,Classique arabo-andalou,Kabylie,GnawiRai,Malouf,Hawzi,Rap algérien s’illustre avant tout par sa diversité. Influencée
d’une part par la colonisation et l’immigration (Espagne, France …), et d’autre part par les différents groupes ethniques issus d’une même origine Berbère
(kabyles, chaouis, touaregs, mozabites …)

La musique algérienne s’est forgée dans le mélange des genres et dans la constante recherche d’innovation.

Production écrite : Tu as assisté a une fête traditionnelle où les gens ont encore conservé leurs coutumes
anciennes. Raconte cette cérémonie dans un texte d’une dizaine de lignes dans lequel :

- tu précises la région et la période ou s'est déroulée la fête,- tu racontes dans quelle ambiance particulière et
comment s'est passée la fête,- tu exprimes ton sentiment en invitant à préserver ces coutumes.

Exemple de rédaction 1Par ce beau temps ensoleillé de ce mois d’octobre, une foule immense venue de tous les
coins de notre pays pour assister à cette grande « Waada », cette fête annuelle célébrée dans la région d’ASLA.
ASLA en plus de sa fête traditionnelle du mois d’octobre, il est permis de visiter dans cette petite oasis, son ksar
datant de plusieurs siècles et sa palmeraie. A chaque automne, les gens se donnent rendez-vous dans la wilaya de
Naama pour l’ultime rencontre de l’année.Durant plusieurs jours, les tentes sont plantées où sont installées toutes les
familles qui déjà ont commencé à préparer le couscous et le thé pour les invités. Ici l’invitation est l’hospitalité sont
des règles sacrées dans la vie commune des familles.

Pendant ce temps, les cavaliers venus de différentes régions se préparent à la fantasia sorte de chevauchée de
cavaliers dans leurs habits traditionnels. En face de la « M’TAGLA », se regroupent

Les spectateurs du coté droit et gauche pour suivre le spectacle de cette magnifique Waada d’ ASLA.

Exemple de rédaction 2La « Waada », c’est un grand festival folklorique qui caractérise cette manifestation
traditionnelle.J’assiste chaque année en ce repère historique où plusieurs groupes de cavaliers lanceront à tour de
rôle leurs chevaux au grand galop et déchargeront leurs fusils à capsules dont les canons sont ornés d’anneaux
argentés et les crosses incrustées de nacre, en fin de piste dans une ambiance particulière.

Comme d’habitude, beaucoup de visiteurs sont venus de partout pour la protection du patrimoine et à la renaissance
de cet héritage. Tout ce beau monde qui viendra chercher la paix des cœurs et l’harmonie baignera dans une
atmosphère de fraternité et de respect.

Exemple de rédaction 3Cet été, j’ai eu le bonheur d’assister à la « Waada » de la région de Ain-Temouchent.
L’ambiance, que j’ai découverte qui m’a été offerte, me rende d’ores-déjà, un fervent admirateur et discipline de cette
fête traditionnelle.Des différents groupes de danse de Alaoui par-ci et par-là, des exhibitions de jeux martiaux de la
canne, mon intention fut particulièrement concentré sur la beauté que procuraient plusieurs groupes de cavaliers
représentant chacun une localité qui s’apprêtaient dans cet immense terrain conçu pour eux, à faire «fantasia ». Ce
diversement au cours duquel des cavaliers venus de toutes les régions du pays, en lançant au galop, leur monture,
tout en déchargeant leurs armes et en poussant des cris qui se confondent avec le galop de leurs chevaux.Durant
cette extraordinaire fête, chaque famille contribue du mieux qu’elle peut en présentant aux visiteurs, au moins, le
traditionnel plat de couscous au mouton.

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