Vous êtes sur la page 1sur 22

Aller au contenu

Menu principal
Menu principal
déplacer vers la barre latérale masquer
Navigation

 Accueil
 Portails thématiques
 Article au hasard
 Contact

Contribuer

 Débuter sur Wikipédia


 Aide
Communauté
 Modifications récentes
 Faire un don

Langues
Sur cette version linguistique de Wikipédia, les liens interlangues sont placés en haut à droite
du titre de l’article.
Aller en haut.

Rechercher
Rechercher Lire

 Créer un compte
 Se connecter

Outils personnels

 Créer un compte
 Se connecter

Pages pour les contributeurs déconnectés en savoir plus

 Contributions
 Discussion


o

Basculer la table des matières


Basculer la table des matières

Al-Khwârizmî
136 langues

 ‫ال عرب ية‬


 English
 Español
 ‫ف ار سی‬
 हिन् दी
 Italiano
 Kiswahili
 ‫اردو‬
 中文

127 de plus
Modifier les liens

 Article
 Discussion

français

 Lire
 Modifier
 Modifier le code
 Voir l’historique

Outils
Outils
déplacer vers la barre latérale masquer
Actions

 Lire
 Modifier
 Modifier le code
 Voir l’historique

Général

 Pages liées
 Suivi des pages liées
 Téléverser un fichier
 Pages spéciales
 Lien permanent
Informations sur la page
Citer cette page
 Élément Wikidata
 Modifier les liens interlangues

Imprimer / exporter

 Créer un livre
 Télécharger comme PDF
 Version imprimable

Dans d’autres projets

 Wikimedia Commons

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.


(Redirigé depuis Al-Khwarizmi)

Pour les articles homonymes, voir Al-Khwârizmî (homonymie).


Ne pas confondre avec Muhammad ibn Ahmad al-Khwarizmi, auteur de Mafâtih al-'Olum
(Les clés des sciences), encyclopédie perse écrite en arabe dans les années 976-9971.

Cette page contient des caractères spéciaux ou non latins. Si certains caractères de cet article
s’affichent mal (carrés vides, points d’interrogation, etc.), consultez la page d’aide Unicode.

Al-Khwârizmî

Timbre soviétique de 4 kopecks portrait fictif d'Al-Khwarîzmî, émis le 6 septembre 1989 à


l'occasion de son 1200e anniversaire (789-1989).
Données clés
Abû `Abd Allah Muhammad ben Mūsā al-Khawārizmī
Nom de naissance
(en arabe ‫)أبى عبد هللا دمحم بن مىسى الخىارزمي‬
vers 780
Naissance
Khiva ? dans le Khwarezm2,n 1 (Califat abbasside)
vers 850
Décès
Bagdad (Califat abbasside)
Résidence Bagdad
Données clés
Domaines algèbre, algorithmique, astronomie, géographie, histoire
Institutions Maison de la sagesse
Renommé pour Abrégé du calcul par la restauration et la comparaison

modifier

Muḥammad ibn Mūsā al-Khwārizmī (en arabe : ‫)دمحم بن مىسى الخىارزمي‬, généralement appelé
Al-Khwârizmîn 2 (latinisé en Algoritmi3 ou Algorizmi4), né dans les années 780, probablement
à Khiva dans la région du Khwarezm (d'où il prend son nom), dans l'actuel Ouzbékistann 1,
mort vers 850 à Bagdad, est un mathématicien, géographe, astrologue et astronome persan5,6,
membre de la Maison de la sagesse de Bagdad. Ses écrits, rédigés en langue arabe, puis
traduits en latin à partir du XIIe siècle, ont permis l'introduction de l'algèbre en Europe3. Sa vie
s'est déroulée en totalité à l'époque de la dynastie abbasside.

Son nom latinisé est à l’origine du mot algorithme7 et le titre de l'un de ses ouvrages (Abrégé
du calcul par la restauration et la comparaison) est à l'origine du mot algèbre, discipline
mathématique connue depuis l’antiquité. L'utilisation des chiffres arabes et leur diffusion dans
le Moyen-Orient et en Europe serait dues à un autre de ses livres nommé Traité du système de
numération des Indiens qui fut diffusé via la langue arabe dans tout l'empire abbasside. Al-
Khawarizmi a classifié les algorithmes existants, en particulier selon leurs critères de
terminaison, mais ne les a pas inventés. L'algorithme le plus connu du monde est celui
d'Euclide, au programme d'enseignement de tous les pays. Les premiers algorithmes
répertoriés ont été retrouvés dans des régions qui les utilisaient pour des applications pratiques
(mesures, transactions commerciales, architecture...), à Babylone8.

Biographie[modifier | modifier le code]

Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue !
Comment faire ?

Il est probablement né à Khiva (v. 780)9. Dans certaines biographies, on trouve la version de
l'historien perse Muhammad ibn Jarir al-Tabari (838-923), qui lui ajoute un « Al-Qutrubulli »,
qui signifie que ses ancêtres étaient originaires du Khwarezm, mais que lui-même était né à
Qutrubull, une petite localité près de Bagdad. Des études fiables situent sa famille dans la
communauté venant du Khwarezm et on peut le considérer comme un mathématicien arabisé,
plutôt que comme un mathématicien arabe10. Les événements de la vie d’Al-Khwârismî sont
peu connus9, mais il existe de nombreuses traces de ses travaux scientifiques9. Mathématicien,
historien et géographe9, considéré parfois comme « le père de l’algèbre et le premier
vulgarisateur du système décimal positionnel » (qu’il emprunte à la culture indienne9), il est,
de son vivant, connu en tant qu’astronome11. Il meurt vers 850.

Travaux[modifier | modifier le code]


Mathématiques[modifier | modifier le code]
Première page du Kitāb al-mukhtaṣar fī ḥisāb al-jabr wa-l-muqābala.

Al-Khwârismî est l'auteur de plusieurs ouvrages de mathématiques. Le plus célèbre12, intitulé


Kitābu 'l-mukhtaṣar fī ḥisābi 'l-jabr wa'l-muqābalah (‫)كتاب المختصر في حساب الجبر والمقابلة‬, ou
Abrégé du calcul par la restauration et la comparaison, publié sous le règne d'Al-Ma’mūn
(813-833), « est considéré comme le premier manuel d'algèbre7 ». Ce livre contient six
chapitres. Il ne contient aucun chiffre. Toutes les équations sont exprimées avec des mots. Le
carré de l'inconnue est nommé « le carré » ou mâl, l'inconnue est « la chose » ou shay (šay), la
racine est le jidhr, la constante est le dirham ou adǎd. Al-Khwârismî définit ainsi six
équations canoniques auxquelles peuvent être ramenés les problèmes concrets d'héritage,
d'arpentage des terres, ou de transactions commerciales. Par exemple, l'équation « des biens
sont égaux aux racines » équivaudrait de nos jours à une équation de la forme a x 2 = b x
13
{\displaystyle ax^{2}=bx} . Le terme al-jabrn 3 est repris par les Européens et devient
plus tard le mot algèbre.

Le titre de l'œuvre est fondé sur deux mots. Le premier est « algèbre », qui signifie
« restauration » ou — ce qui signifie la même chose — transposition des termes d'une
équation. Par exemple, pour résoudre 4x² - 5x + 7 = 15, au moyen du concept d'« algèbre », il
faut que 4x² - 5x + 5x + 7 = 15 + 5x , donc 4x² + 7 = 15 + 5x. D'autre part, la « muqabala »,
ou opposition (ou encore « réduction »), est ce qui permet de réduire l'équation, en simplifiant
les termes homologues : 4x² = 8 + 5x15.

Diophante d'Alexandrie, considéré comme le « précurseur de l'algèbre16 », n’est probablement


pas connu d'Al-Khwârismî. En effet, la première traduction en arabe des Arithmétiques
n'apparaît que plusieurs décennies après l'Abrégé du calcul par la restauration et la
comparaison16, à la fin du IXe siècle, soit près de cinquante ans après la mort d'Al-
Khwârismî17. Ainsi, son apport avec ce « premier manueln 4 » est tel qu'il conduit parfois à
considérer Al-Khwârismî comme « le père de l'algèbre17,19 ».
Un autre ouvrage, dont l'original en arabe a disparu12, Kitābu 'l-ĵāmi` wa 't-tafrīq bi-ḥisābi 'l-
Hind (‫كتاب الجامع و التفريق بحساب الهند‬, Livre de l'addition et de la soustraction d'après le calcul
indienn 5), décrit le système de numération décimale qu'il a observé chez les Indiens. Il est le
vecteur de la diffusion de ces chiffres dans le Moyen-Orient et dans le califat de Cordouen 6.

Vers la fin du XIe siècle, avec la Reconquista, les chrétiens reprennent aux musulmans des
territoires. Ils gagnent ainsi accès à de nombreux manuscrits, notamment scientifiques. Par la
suite, c'est surtout au XIIe siècle que de nombreux textes sont traduits de l'arabe au latin21.
Parmi ces traductions, il nous reste quatre adaptations en latin du livre d'Al-Khwarizmi sur les
chiffres indiens. Ces adaptations datent au moins en partie du XIIe siècle. Il n'y a pas de
consensus sur les auteurs de ces textes22. En Occident, cette version des chiffres indiens
deviendra connue sous le nom de chiffres arabes, vu leur transmission via le monde arabo-
musulman.

Astronomie[modifier | modifier le code]

Tables astronomiques d'al-Khwārizmī23.

Al-Khwârismî est l'auteur d'un zij, paru en 830, connu sous le nom de Zīj al-Sindhind (Tables
indiennes)n 7. Ces tables, composées sous le règne d'Al-Ma’mūnn 8, sont une compilation de
sources indiennes et grecques. Certains éléments des Tables faciles de Ptolémée y sont repris.
Les méthodes de calcul, notamment l'utilisation du sinus sont inspirées des Indiens26 et se
fondent sur un ouvrage indien offert, en 773, au calife Al-Mansur et traduit par Muhammad
al-Fazari27. Elles s'appuient sur le calendrier persan et prennent pour origine des longitudes le
méridien d'Arimn 9. Ces tables sont les plus anciennes tables du monde arabe qui nous soient
parvenuesn 10,27. De tradition indienne, c'est-à-dire présentant des techniques de calculs, sans
théorie planétaire, elles auront une grande influence dans la constitution des tables
astronomiques de l'Occident arabe26.

Il est aussi l'auteur de trois ouvrages consacrés à des instruments : un ouvrage mineur sur le
cadran solaire28, un livre sur la réalisation de l'astrolabe et un livre sur l'utilisation de
l'astrolabe27.
Son ouvrage sur le calendrier juif est un des plus anciens exposé sur le sujet28. Il y expose le
découpage de l'année, la position des étoiles à certaines moments clefs28. Il est en outre
l'auteur des premières tables connues pour régler les heures des prières de la journée29.

Comme de nombreux astronomes de cette époque, Al-Khwârizmî est aussi astrologue. Selon
l'historien Tabari, Al-Khwârizmî a prédit, avec un groupe d'astrologues, la longue durée de
vie du calife (et les cinquante ans qui lui restent à vivre) alors que ce dernier meurt dix jours
après la prédiction30.

Histoire et géographie[modifier | modifier le code]

Son Traité de Géographie est inspiré de celui de Ptolémée, enrichi par les rapports des
marchands arabes en ce qui concerne le monde islamique. Il y donne la longitude et latitude
de points remarquables du monde connu (villes, montagnes, îles, etc.) Il aurait aussi écrit une
chronique historique de son époque, qui ne nous est connue que par les références qu'y font
des historiens plus récents28.

Postérité[modifier | modifier le code]


Dans le monde islamique[modifier | modifier le code]

Les écrits d'Al-Khwârismî se répandent dans le monde arabe. Son Abrégé du calcul par la
restauration et la comparaison sert de fondement au développement des mathématiques par
les algébristes postérieurs. Ses tables astronomiques sont utilisées jusqu'en Andalousie sous le
règne d'Abd al-Rahman II31.

Le mathématicien arabe qui, à la suite d'Al-Khwârismî, consacre son œuvre à l'algèbre, est
l'Égyptien Abu Kamil, entre la moitié du IXe siècle et la moitié du Xe siècle. Il reconnaît que,
un siècle après son modèle, aucun ouvrage d'algèbre ne l'a surpassé. L'Algèbre d'Abu Kamil
est un ouvrage destiné à un public d'experts en mathématiques, et tout en reconnaissant la
valeur du legs d'Al-Khwârismî, son auteur présente son propre travail comme supérieur à
celui de son prédécesseur. À la fin du Xe siècle et au début du XIe siècle, le mathématicien
persan Al-Karaji franchit une nouvelle étape dans l'histoire de l'algèbre : il la détache de la
géométrie — ce que ni Al-Khwârismî ni Abu Kamil n'avaient pu faire — dans ses ouvrages
intitulés Gloire de l'algèbre et de la muqabala et Merveilles du calcul. Ensuite, la grande
étape franchie par l'algèbre musulmane est la résolution de l'équation cubique. Dans le
domaine des mathématiques, le poète et mathématicien persan Omar Khayyam (1048?-1131)
a écrit plusieurs ouvrages. Le plus important est un traité d'arithmétique qui inclut un
algorithme de calcul de la racine n-ième de n'importe quel nombre32.

En Occident[modifier | modifier le code]

Au Moyen Âge, la première partie de l'œuvre d'Al-Khwârismî est traduite en latin au moins à
trois occasions. La première traduction est faite par l'Anglais Robert de Chester, à Ségovie,
vers l'an 1145. Un peu plus tard, Gérard de Crémone en fait une à Tolèden 11, et la troisième est
attribuée à l'Italien Guillaume de Lunan 12,33.

L'Occident latin prend alors connaissance de l'œuvre. La traduction de son Livre de l'addition
et de la soustraction d'après le calcul indien apparaît en Europe, mâtinée d'autres sources
comme Boèce ou Nicomaque de Gérase, sous de nombreuses versions et plusieurs titres :
Dixit Algorizmi, (un des plus anciens), Liber Ysagogarum Alchorismi, Liber Alchorismi4. Si
l'on excepte le Dixit Algorizmi, il est possible que les termes alchorismus, algorismus,
algoarismus, que l'on trouve au milieu du XIIe siècle désigne déjà la méthode de calcul indien
avec les 9 chiffres et le zéro4. Ce terme francisé en algorisme puis algorithme va désigner par
la suite un « mécanisme réglant le fonctionnement de la pensée organisée »34.

La méthode de résolution des équations par restauration et comparaison (al-jabr et al-


muqabala) est reprise par les savants arabes et arrive en Europe par de nombreuses sources.
Dès le début du XIIe siècle, on sait que l'on peut résoudre les équations par al-jabr et al-
muqabala. Robert de Chester traduit partiellement vers 1145 le livre d'Al-Khwârismî (il ne
traduit ni les problèmes d'arpentages et d'héritage, ni les problèmes relevant de l'analyse
diophantienne). Mais celui qui popularise la méthode, sous le nom de secundum modum
algebre et almuchabale, est Fibonacci, en 1202, dans son Liber Abaci4.

Ses Tables astronomiques, reprises par l'astronome d'Espagne Maslama al-Mayriti, puis
traduites vers 1126 par Adelard de Bath, sont une des trois sources arabes principales ayant
servi à l'initiation des astronomes latins. Elles entrent pour une part dans la constitution des
Tables de Tolède qui auront une grande influence sur l'astronomie européenne du
XIIIe siècle35.

Hommages[modifier | modifier le code]


En hommage à ses travaux, plusieurs objets astronomiques portent son nom :

 le cratère Al-Khwârizmî ;
 deux astéroïdes : (11156) Al-Khwârizmî et (13498) Al Khwârizmî.

Œuvres[modifier | modifier le code]


 A. Allard (édi.), Muhammad ibn Mûsâ al-Khwârizmî, Le calcul indien (algorismus).
Histoire des textes, édition critique, traduction et commentaire, Paris, Blanchard,
1992.
 al-Khwârizmî, Le commencement de l'algèbre, trad. Roshdi Rashed, Blanchard,
coll. « Sciences dans l'histoire », 2007.
 Al-Khwârizmî, Le calcul indien.

Notes et références[modifier | modifier le code]


Notes[modifier | modifier le code]
1. ↑ Revenir plus haut en : a et b Si ce sont ses parents qui ont émigré à Bagdad, alors il y est peut-être né.
2. ↑ Ou Al-Khwarizmi dont le nom entier est en persan : Abû Ja`far Muhammad ben Mūsā Khwārezmī
‫ ابىجعفر دمحم بن مىسی خىارزمی‬ou Abû `Abd Allah Muhammad ben Mūsā al-Khawārizmī (arabe ‫أبى عبد هللا دمحم‬
‫بن مىسى الخىارزمي‬, également orthographié comme Abu Abudllah Muhammad bin Musa Al-Khwârismî
ou Al-Khorezmi).
3. ↑ Al-jabr est resté avec son sens originel de restauration / remise en place dans le mot espagnol
algebrista qui désigne un « rebouteux » qui remet en place les articulations et les os démis14.
4. ↑ Sans contredit un des plus importants de l'histoire de l'algèbre18.
5. ↑ Selon la tradition historique arabe, le médecin indien Kanka fut nommé ambassadeur à la cour d'Al-
Mansur (714-775) et vint à Bagdad muni de divers manuels scientifiques indiens, parmi lesquels un
ouvrage sur le système positionnel en numération. Muhammad al-Fazari (actif jusque 800) fut l'auteur
de la première traduction en arabe et celle-ci servit de base de travail à Al-Khwârizmî pour rédiger son
Livre de l'addition et de la soustraction d'après le calcul indien, aujourd'hui perdu20
6. ↑ Abbas ibn Firnas (mort en 887) l'apporta à la cour d'Abd al-Rahman II à Cordoue et le diffusa en
Andalousie20
7. ↑ Cet ouvrage se fonde sur la traduction en arabe du Brahmagupta-siddhanta de Brahmagupta, réalisée
autour de 775. L'ouvrage s'appuie aussi sur le Zij al-Shah et sur le Khandakhâdyaka, du même
Brahmagupta24
8. ↑ Ahmed Djebbar précise que le nom d'Al-Khwârizmî n'apparait pas sur le liste d'astronomes à qui al-
Ma'mum chargea « de mener à bien un programme scientifique » et suppose qu'il a travaillé « de
manière indépendante » à cet ouvrage achevé après 81325.
9. ↑ Selon Jean-Pierre Boudet (Jean-Patrice Boudet, Entre science et nigromance : astrologie, divination et
magie dans l'Occident médieval, p. 44 [archive]), il s'agit d'une montagne imaginaire de Perse. Selon
Louis-Amélie Sédillot (Louis-Amélie Sédillot, mémoire sur les systèmes géographiques des Grecs et
des Arabes p. 3 [archive]), c'est une ville des Indes Orientales.
10. ↑ La première œuvre dans sa totalité, par l'intermédiaire de la traduction latine. Le texte arabe est
perdu26.
11. ↑ Actif à Tolède de 1157 à 118733
12. ↑ Actif à Tolède jusque 125833

Références[modifier | modifier le code]


1. ↑ (en) « Al-Khwârismî », dit al-Bakhti [archive] dans E. J. Brill's, First Encyclopaedia of Islam, 1913-
1936, vol. 4, p. 913.
2. ↑ John Lennart Berggren, Episodes in the Mathematics of Medieval Islam. New York: Springer
Science+Business Media, 1986 (ISBN 0-387-96318-9).
3. ↑ Revenir plus haut en : a et b (en) « Al-Khwārizmī » [archive], sur Encyclopædia Britannica.
4. ↑ Revenir plus haut en : a b c et d Allard 1997.
5. ↑ (en) Jeffrey A. Oaks, « Was Al-Khwârismî an applied algebraist? » [archive], sur Université
d'Indianapolis.
6. ↑ Daffāʻ, ʻAlī ʻAbd Allāh., The Muslim contribution to mathematics, Croom Helm, 1er janvier 1977
(ISBN 0856644641).
7. ↑ Revenir plus haut en : a et b Bernard Pire, « Al-Khwârismî » [archive], sur Encyclopædia Universalis.
8. ↑ (en) [PDF] Anciens algorithmes babyloniens [archive], par Donald Knuth.
9. ↑ Revenir plus haut en : a b c d et e Argon 2006
10. ↑ Dorce Polo et Garnier 2018, p. 33
11. ↑ Djebbar et Rosmorduc 2001, Quelques grands astronomes, p. 197.
12. ↑ Revenir plus haut en : a et b (en) John J. O'Connor et Edmund F. Robertson, « Abu Ja'far Muhammad ibn Musa
Al-Khwârismî » [archive], sur MacTutor, université de St Andrews. .
13. ↑ Fabienne Lemarchand, « Les six équations canoniques d' Al-Khwârizmî », Les cahiers de Science &
Vie, décembre 2009, p. 79.
14. ↑ (es) « Algebrista (2) » [archive], sur Diccionario de la lengua española.
15. ↑ Dorce Polo Garnier 2018, p. 102.
16. ↑ Revenir plus haut en : a et b « IV. Les Grecs tardifs, du IIIe au Ve siècle », dans Jérôme Gavin et Alain Schärlig,
Longtemps avant l'algèbre : La fausse position : Ou comment on a posé le faux pour connaître le vrai,
des Pharaons aux temps modernes, Lausanne, PPUR, 2012, 222 p. (lire en ligne [archive]), p. 56.
17. ↑ Revenir plus haut en : a et b Ahmed Djebbar, « La naissance de l’Algèbre », Réciproques, no , mai 2001 (lire
en ligne [archive], consulté le 19 mars 2015).
18. ↑ Louis Charbonneau, « Du raisonnement laissé à lui-même au raisonnement outillé: l'algèbre depuis
Babylone jusqu'à Viète », Bulletin de l'Association des Mathématiques du Québec, 1992, p. 11 (lire en
ligne [archive], consulté le 19 mars 2015).
19. ↑ Maurice Mashaal, « Les mathématiques », dans Philippe de La Cotardière, Histoire des sciences,
2004 [détail de l’édition], p. 19-104, p. 46.
20. ↑ Revenir plus haut en : a et b Dorce Polo et Garnier 2018, p. 49
21. ↑ (it) Nadia Ambrosetti, L'eredità arabo-islamica nelle scienze e nelle arti del calcolo dell'Europa
medievale, Milan, LED, 2008 (ISBN 978-88-7916-388-0, lire en ligne [archive]), p. 104
22. ↑ (it) Nadia Ambrosetti, L'eredità arabo-islamica nelle scienze e nelle arti del calcolo dell'Europa
medievale, Milan, LED, 2008 (ISBN 978-88-7916-388-0, lire en ligne [archive]), p. 197, 200, 203
23. ↑ D'après (en) al-Khwārizmī et Otto Neugebauer (traduction et commentaires de l'édition latine de
Heinrich Suter (1914), complété par Corpus Christi College MS 283), The astronomical tables of al-
Khwārizmi, København, I kommission hos Munksgaard, 1962 (lire en ligne [archive]), Plate I.
24. ↑ Dorce Polo Garnier 2018, p. 135
25. ↑ Djebbar 2005, La vie et l'œuvre d'al-Khwārizmī, p. 20.
26. ↑ Revenir plus haut en : a b et c Régis Morelon, « L'astronomie arabe orientale (VIIIe et XIe siècles) », dans Régis
Morelon et Roshdi Rashed (dir.), Histoire des sciences arabes : T.1, Astronomie, théorique et
appliquée, Seuil, 1997, p. 35-69, p. 35-36.
27. ↑ Revenir plus haut en : a b et c Djebbar 2005, La vie et l'œuvre d'al-Khwārizmī, p. 21.
28. ↑ Revenir plus haut en : a b c et d (en) Jacques Sesiano, « Al-Khwarizmı », dans Helaine Selin (dir.),
Encyclopaedia of the History of Science, Technology, and Medicine in Non-Western cultures, Springer,
2008, p. 137-138.
29. ↑ David A. King, « Astronomie et société musulmane », dans Régis Morelon et Roshdi Rashed (dir.),
Histoire des sciences arabes : T.1, Astronomie, théorique et appliquée, Seuil, 1997, p. 173-215, p. 207.
30. ↑ Al-Khwârismî, L'algèbre et Le calcul indien, Ahmed Djebbar, p. 10, Les éditions du Kangourou,
2013 (ISBN 978-2-87694-204-2).
31. ↑ Roshdi Rashed, Histoire des sciences arabes, vol. 1 : astronomie théorique et appliquée, Seuil, 1997,
p. 280.
32. ↑ Dorce Polo Garnier 2018, p. 123-124/126.
33. ↑ Revenir plus haut en : a b et c Dorce Polo Garnier 2018, p. 103
34. ↑ Article algorithmes [archive] sur le TLFI.
35. ↑ Henri Hugonnard-Roche, « Influence de l'astronomie arabe en Occident médiéval », dans Roshdi
Rashed (dir.), Histoire des sciences arabes (T1) Astronomie, théorique et appliquée, Seuil, 1997,
p. 311-313.

Voir aussi[modifier | modifier le code]


Sur les autres projets Wikimedia :

 Muhammad al-Khwarizmi, sur Wikimedia Commons

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Anglais[modifier | modifier le code]

 (en) Bartel Leendert van der Waerden, A History of Algebra. From Al-Khwârismî to
Emmy Noether, Springer, 1985
 (en) Corona Brezina, Al-Khwârismî. The Inventor of Algebra, Rosen Central, 2005

Français[modifier | modifier le code]

: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

 Pablo Argon, Dictionnaire d’histoire et philosophie des sciences, PUF, 2006


(ISBN 978-2-13-054499-9), p. 650
 Ahmed Djebbar et Jean Rosmorduc, Une histoire de la science arabe : introduction à
la connaissance du patrimoine scientifique des pays de l'Islam : entretiens avec Jean
Rosmorduc, Seuil, coll. « Points. Sciences », 2001 (ISBN 978-2-02-039549-6).
 Ahmed Djebbar (préf. Bernard Maitte), L'algèbre arabe, genèse d'un art,
Vuibert/Adapt, 2005, 214 p. (ISBN 2711753816) — Tour d'horizon de l'algèbre arabe,
des origines au XVe siècle.
Voir « L'algèbre arabe : Entretien avec Ahmed Djebbar » [archive], sur
culturemath.ens.fr, 9 mars 2007 — Avec vidéos et documents
d'accompagnement, dont la préface de Bernard Maitte

 Roshdi Rashed, D'Al-Khwârismî à Descartes : études sur l'histoire des mathématiques


classiques, Hermann, 2011 (ISBN 978-2-7056-81913).
 André Allard, « Les mathématiques arabes en Occident », dans Roshdi Rashed,
Histoire des sciences arabes, vol. 2 : Mathématiques et physique, Paris, Seuil, 1997
(ISBN 9782020620291).
 Carlos Dorce Polo et Philippe Garnier (Trad.), La naissance de l'algèbre : Al-
Khwârismî, Barcelone, RBA Coleccionables, 2018, 157 p. (ISBN 978-84-473-9618-4).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liste des géographes gréco-romains, Géographes grecs mineurs


Algèbre
 Algorithme
 Chiffres arabes
Mathématiques arabes
 Liste des mathématiciens arabo-musulmans
 Cratère Al-Khwârismî
 Herman le Dalmate

Liens externes[modifier | modifier le code]

 Notices d'autorité :
o VIAF
o ISNI
o BnF (données)
o Sudoc
o LCCN
o GND
o CiNii
o Espagne
o Pays-Bas
o Pologne
o Israël
o NUKAT
o Catalogne
o Suède
o Vatican
o Australie
o Norvège
o Tchéquie
o WorldCat
 Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
o Britannica [archive]
o Deutsche Biographie [archive]
o Gran Enciclopèdia Catalana [archive]
o Hrvatska Enciklopedija [archive]
o Nationalencyklopedin [archive]
o Proleksis enciklopedija [archive]
o Store norske leksikon [archive]
o Universalis [archive]
 Ressource relative à l'astronomie :
o (en) Biographical Encyclopedia of Astronomers
 Ressource relative aux beaux-arts :
o Bridgeman Art Library
 Ressource relative à la bande dessinée :
o (en) Comic Vine
 « Ressources et bibliographie » [archive], Commission inter-IREM « Épistémologie et
histoire des mathématiques », av. 2007
 (en) « Al-Khwarismi and modern maths » [archive], sur lostislamichistory.com

[afficher]
v·m
Grandes figures de l'âge d'or de l'Islam
 Jabir ibn Hayyan
 Aboû Nouwâs


Al-Battani
 Abbas ibn Firnas
 Al-Hallaj
 Abu Kamil
 Fatima al-Fihriya
 Al-Jahiz
 Al-Kindi
 Al-Khwârizmî
 Al-Marwazi
 Al-Razi
 Tabari


Ibn Fadlân

Al-Fârâbî
 Ibn al-Nadim
Al-Mas'ûdî
 Abu Al-Qasim
 Ibrahim ibn Sinan
Abū Sahl al-Qūhī
 Abd al-Rahman al-Soufi
 Aboûl-Wafâ
 Al 'Ijliya
 Muhammad ibn Sa'id al-Tamimi
 Al-Uqlidisi
 Muhammad ibn Yūsuf al-Warrāq

 Alhazen
 Avicenne
 Al-Bakri
 Al-Biruni
 Al-Ghazali
 Ibn Hazm
 Omar
IbnKhayyam
Jazla
 Al-Maari
 Ibn Bassal
 Mahsati Ganjavi

 Abou Madyane
Abu'l-Barakāt Hibat Allah ibn Malkā
 Al Idrissi
 Al-Jazari
 Mardi ibn Ali al-Tarsusi
 Muhammad ibn Aslam Al-Ghafiqi
 Avenzoar
 Averroès
 Avempace
 Ibn Tufayl
 Nur Ed-Din Al Betrugi
 Rûzbehân
 Shihab al-Din Sohrawardi


Ibn Arabi

Farid al-Din Attar
 Ibn al-Baitar
 Ahmad Ibn Mun'im
 Ibn al-Nafis
 Ibn Ajarrum
 Djalâl ad-Dîn Rûmî
 Saadi
 Ibn Taymiyya
 Nasir al-Din al-Tusi
 Shams al-Din al-Ansari al-Dimashqi

Ibn Battûta
 Ibn Khaldoun
 Ibn al-Banna' al-Marrakushi
 Ibn al-Khatib
 Qadi-zadeh Roumi
 Ibn al-Akfani


al-Kashi

Ali Quchtchi
 Abul Qasim ibn Mohammed al-Ghassani
 Şerafeddin Sabuncuoğlu

[afficher]
v·m
Mathématiques arabes au Moyen Âge
 'Abd al-Hamīd ibn Turk
 Sanad ibn Ali
9e siècle  al-Jawharī
 Al-Ḥajjāj ibn Yūsuf
 Al-Kindi
  Qusta ibn Luqa
Al-Mahani
 al-Dinawari
 Banū Mūsā
 Hunayn ibn Ishaq
 Al-Khwârizmî
 Yusuf Al-Khuri
 Ishaq ibn Hunayn
 Na'im ibn Musa
 Thābit ibn Qurra
 Al-Marwazi
 Abu Sa'id Gorgani

 Abu l-Wafa
al-Khazin
 Alcabitius
 Abu Kamil
 Ahmad ibn Yusuf
 Aṣ-Ṣaidanānī
 Sinān ibn al-Fatḥ
 Al-Khujandi
 Al-Nayrizi
 Al-Saghani
 Ikhwan al-Safa
 Ibn Sahl
 Ibn Yunus
10e siècle
 al-Uqlidisi
 Al-Battani
 Sinan ibn Thabit
 Ibrahim ibn Sinan
 Abalphat d'Ispahan
 Nazif ibn Yumn
al-Qūhī
 Abu al-Jud
 Al-Sijzi
 Al-Karaji
 Maslama al-Mayriti
 al-Jabali

 Abu Nasr Mansur


 Alhazen
 Kushyar Gilani
 Al-Biruni
 Ibn al-Samh
11e siècle  Ibn Tahir al-Baghdadi
 Avicenne
 al-Jayyānī
al-Nasawī
 Al-Zarqali
 Yusuf al-Mutaman
 Omar
Al-Isfizari
Khayyam
 Muhammad al-Baghdadi

Jabir Ibn Aflah



Al-Kharaqī

Al-Khazini
 Ibn Yahyā al-Maghribī al-Samaw'al
12e siècle
 al-Hassar
 Sharaf al-Dīn al-Tūsī
 Ibn al-Yasamin


Ibn al-Ha'im
Ahmad al-Buni
 Ahmad Ibn Mun'im
 Alam al-Din al-Hanafi
 Ibn 'Adlan
 al-Urdi
 Nasir al-Din al-Tusi
13e siècle  al-Abhari
 Muhyi al-Dīn al-Maghribī
 al-Hasan al-Marrakushi
 Qotb al-Din Chirazi
 Shams al-Dīn al-Samarqandī
 Ibn al-Banna'
Kamāl al-Dīn al-Fārisī

 Nizam al-Din Nishapuri


 Ibn al-Shâtir
 Ibn al-Durayhim
14e siècle
 Al-Khalili
 al-Umawi


Ibn al-Majdi
 Qadi-zadeh Roumi
 Al-Kashi
 Ulugh Beg
 Ali Quchtchi
15e siècle
 al-Wafa'i
 Al-Qalasadi
 Sibt al-Maridini
 Ibn Ghazi al-Miknasi


Al-Birjandi
 Muhammad Baqir Yazdi
 Taqi al-Din
16e siècle
 Ibn Hamza al-Maghribi
 Ahmad Ibn al-Qadi
 Abrégé du calcul par la restauration et la comparaison
 De gradibus
 Principles of Hindu Reckoning
 Traité d'optique
 Livre de la guérison
 Almanach
 Encyclopedia of the Brethren of Purity
 Tables de Tolède
 Tabula Rogeriana
 Zij

 Problème d'Alhazen
 Figures géométriques arabes


Université al-Azhar
 Université al-Mustansiriyah
 Dar al-Hikma
 Maison de la sagesse
 Observatoire de Constantinople
 Médersa
 Observatoire de Maragha
Université Al Quaraouiyine
 Sciences au Maghreb central

 Mathématiques mésopotamiennes
Mathématiques de la Grèce antique
 Mathématiques indiennes

 Science et technologie byzantines


 Mathématiques indiennes

[afficher]
v·m
Géographie et cartographie dans le monde arabo-musulman médiéval
 Al-Khwârizmî
Al-Dinawari
9e siècle  Al-Yaqubi
 Soleyman le marchand


Ibn Khordadbeh
 Ibn Rustah
 Ibn Fadlân
 Abu Zayd al-Balkhi
Abū Muhammad al-Hasan al-Hamdānī
 Al-Mas'ûdî
10e siècle
 Istakhri
 Khachkhach Ibn Said Ibn Aswad
 Ibn Hawqal
 Ibn al-Faqih
 Al-Maqdisi
 Ibn Shahriyar

Qudama Ibn Jaafar
 Al-Biruni
 Abu Saʿīd Gardēzī
 Al-Bakri
11e siècle
 Mahmoud de Kachgar
 Domiyat

Al-Zuhri
Al Idrissi
12e siècle
 Abu'l Abbas al-Hijazi


Ibn Jubair
 Saadi Shirazi
 Yaqout al-Rumi
13e siècle
 Ibn Saïd
 Ibn al-Nafis

 Shams al-Din al-Ansari al-Dimashqi


 Aboulféda
 Ibn al-Wardi
14e siècle  Hamdallah Mustawfi
 Ibn Battûta
 Lin Nu

 Abd-al-Razzāq Samarqandī
Ghiyāth al-dīn Naqqāsh
 Ahmed Ibn Majid
15e siècle  Zheng He
 Ma Huan
 Fei Xin


Sulayman al-Mahri
 Piri Reis
16e siècle  Mir Ahmed Nasrallah Thattvi
 Amīn Rāzī

 Evliya Çelebi
17e siècle

 Livre des Routes et des Royaumes


 Tabula Rogeriana
 Kitab al-Rawd al-Mitar
 Mu'jam Al-Buldan
 Rihla
 The Meadows of Gold
 Carte de Piri Reis
 Kitab al-Kharaj
 Portail de l’histoire des sciences
 Portail des mathématiques
 Portail de l’astronomie
 Portail du monde arabo-musulman
 Portail de l’Iran et du monde iranien
 Portail de l’Ouzbékistan
 Portail du haut Moyen Âge

Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Al-


Khwârizmî&oldid=204501916 ».
Catégories :

 Scientifique arabo-musulman
Mathématicien de Perse
 Personnalité chiite
 Traducteur depuis le grec ancien
Traducteur depuis le persan
 Traducteur depuis le sanskrit
Traducteur vers l'arabe
 Algorithmique
 Précurseur de l'informatique
Astronome perse du IXe siècle
 Décès à Bagdad
Mathématicien du haut Moyen Âge
Géographe du haut Moyen Âge
 Astrologue du haut Moyen Âge
Astronome du haut Moyen Âge
Éponyme d'un objet céleste
 Cartographe du IXe siècle
 Astrologue du IXe siècle
Mathématicien du IXe siècle
 Traducteur du IXe siècle
Inventeur du IXe siècle
Écrivain de langue arabe au IXe siècle

[+]
Catégories cachées :

 Article utilisant une Infobox


 Page utilisant un sommaire limité
Article avec une section vide ou incomplète
Catégorie Commons avec lien local différent sur Wikidata
Article de Wikipédia avec notice d'autorité
 Page utilisant P1417
 Page utilisant P7902
 Page utilisant P1296
 Page utilisant P7982
 Page utilisant P3222
 Page utilisant P8349
 Page utilisant P4342
 Page utilisant P3219
 Page pointant vers des bases externes
Page pointant vers des dictionnaires ou encyclopédies généralistes
 Page utilisant P9626
Page pointant vers des bases relatives à l'astronomie
 Page utilisant P3965
 Page pointant vers des bases relatives aux beaux-arts
Page utilisant P5905
Page pointant vers des bases relatives à la bande dessinée
Portail:Histoire des sciences/Articles liés
 Portail:Sciences/Articles liés
 Portail:Histoire/Articles liés
Portail:Mathématiques/Articles liés
 Projet:Mathématiques/Articles
 Portail:Astronomie/Articles liés
Portail:Sciences de la Terre et de l'Univers/Articles liés
Portail:Monde arabo-musulman/Articles liés
 Portail:Iran et monde iranien/Articles liés
Portail:Asie/Articles liés
Portail:Moyen-Orient/Articles liés
 Portail:Ouzbékistan/Articles liés
 Portail:Haut Moyen Âge/Articles liés
Portail:Moyen Âge/Articles liés
 Wikipédia:Article biographique
 Portail:Biographie/Articles liés/Sciences
 Portail:Biographie/Articles liés/Culture et arts
Portail:Biographie/Articles liés/Religions et croyances
Date de naissance non renseignée (VIIIe siècle)
Date de décès non renseignée (IXe siècle)
Personnalité du haut Moyen Âge par nom

 La dernière modification de cette page a été faite le 22 mai 2023 à 17:02.


 Droit d'auteur : les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution,
partage dans les mêmes conditions ; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez
les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas
de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner
la licence.
Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation
de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.

 Politique de confidentialité
 À propos de Wikipédia
 Avertissements
 Contact
 Version mobile
 Développeurs
 Statistiques
 Déclaration sur les témoins (cookies)


Activer ou désactiver la limitation de largeur du contenu

Vous aimerez peut-être aussi