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Al-Khwârizmî
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Al-Khwârizmî
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Muḥammad ibn Mūsā al-Khwārizmī (en arabe : )دمحم بن مىسى الخىارزمي, généralement appelé
Al-Khwârizmîn 2 (latinisé en Algoritmi3 ou Algorizmi4), né dans les années 780, probablement
à Khiva dans la région du Khwarezm (d'où il prend son nom), dans l'actuel Ouzbékistann 1,
mort vers 850 à Bagdad, est un mathématicien, géographe, astrologue et astronome persan5,6,
membre de la Maison de la sagesse de Bagdad. Ses écrits, rédigés en langue arabe, puis
traduits en latin à partir du XIIe siècle, ont permis l'introduction de l'algèbre en Europe3. Sa vie
s'est déroulée en totalité à l'époque de la dynastie abbasside.
Son nom latinisé est à l’origine du mot algorithme7 et le titre de l'un de ses ouvrages (Abrégé
du calcul par la restauration et la comparaison) est à l'origine du mot algèbre, discipline
mathématique connue depuis l’antiquité. L'utilisation des chiffres arabes et leur diffusion dans
le Moyen-Orient et en Europe serait dues à un autre de ses livres nommé Traité du système de
numération des Indiens qui fut diffusé via la langue arabe dans tout l'empire abbasside. Al-
Khawarizmi a classifié les algorithmes existants, en particulier selon leurs critères de
terminaison, mais ne les a pas inventés. L'algorithme le plus connu du monde est celui
d'Euclide, au programme d'enseignement de tous les pays. Les premiers algorithmes
répertoriés ont été retrouvés dans des régions qui les utilisaient pour des applications pratiques
(mesures, transactions commerciales, architecture...), à Babylone8.
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Il est probablement né à Khiva (v. 780)9. Dans certaines biographies, on trouve la version de
l'historien perse Muhammad ibn Jarir al-Tabari (838-923), qui lui ajoute un « Al-Qutrubulli »,
qui signifie que ses ancêtres étaient originaires du Khwarezm, mais que lui-même était né à
Qutrubull, une petite localité près de Bagdad. Des études fiables situent sa famille dans la
communauté venant du Khwarezm et on peut le considérer comme un mathématicien arabisé,
plutôt que comme un mathématicien arabe10. Les événements de la vie d’Al-Khwârismî sont
peu connus9, mais il existe de nombreuses traces de ses travaux scientifiques9. Mathématicien,
historien et géographe9, considéré parfois comme « le père de l’algèbre et le premier
vulgarisateur du système décimal positionnel » (qu’il emprunte à la culture indienne9), il est,
de son vivant, connu en tant qu’astronome11. Il meurt vers 850.
Le titre de l'œuvre est fondé sur deux mots. Le premier est « algèbre », qui signifie
« restauration » ou — ce qui signifie la même chose — transposition des termes d'une
équation. Par exemple, pour résoudre 4x² - 5x + 7 = 15, au moyen du concept d'« algèbre », il
faut que 4x² - 5x + 5x + 7 = 15 + 5x , donc 4x² + 7 = 15 + 5x. D'autre part, la « muqabala »,
ou opposition (ou encore « réduction »), est ce qui permet de réduire l'équation, en simplifiant
les termes homologues : 4x² = 8 + 5x15.
Vers la fin du XIe siècle, avec la Reconquista, les chrétiens reprennent aux musulmans des
territoires. Ils gagnent ainsi accès à de nombreux manuscrits, notamment scientifiques. Par la
suite, c'est surtout au XIIe siècle que de nombreux textes sont traduits de l'arabe au latin21.
Parmi ces traductions, il nous reste quatre adaptations en latin du livre d'Al-Khwarizmi sur les
chiffres indiens. Ces adaptations datent au moins en partie du XIIe siècle. Il n'y a pas de
consensus sur les auteurs de ces textes22. En Occident, cette version des chiffres indiens
deviendra connue sous le nom de chiffres arabes, vu leur transmission via le monde arabo-
musulman.
Al-Khwârismî est l'auteur d'un zij, paru en 830, connu sous le nom de Zīj al-Sindhind (Tables
indiennes)n 7. Ces tables, composées sous le règne d'Al-Ma’mūnn 8, sont une compilation de
sources indiennes et grecques. Certains éléments des Tables faciles de Ptolémée y sont repris.
Les méthodes de calcul, notamment l'utilisation du sinus sont inspirées des Indiens26 et se
fondent sur un ouvrage indien offert, en 773, au calife Al-Mansur et traduit par Muhammad
al-Fazari27. Elles s'appuient sur le calendrier persan et prennent pour origine des longitudes le
méridien d'Arimn 9. Ces tables sont les plus anciennes tables du monde arabe qui nous soient
parvenuesn 10,27. De tradition indienne, c'est-à-dire présentant des techniques de calculs, sans
théorie planétaire, elles auront une grande influence dans la constitution des tables
astronomiques de l'Occident arabe26.
Il est aussi l'auteur de trois ouvrages consacrés à des instruments : un ouvrage mineur sur le
cadran solaire28, un livre sur la réalisation de l'astrolabe et un livre sur l'utilisation de
l'astrolabe27.
Son ouvrage sur le calendrier juif est un des plus anciens exposé sur le sujet28. Il y expose le
découpage de l'année, la position des étoiles à certaines moments clefs28. Il est en outre
l'auteur des premières tables connues pour régler les heures des prières de la journée29.
Comme de nombreux astronomes de cette époque, Al-Khwârizmî est aussi astrologue. Selon
l'historien Tabari, Al-Khwârizmî a prédit, avec un groupe d'astrologues, la longue durée de
vie du calife (et les cinquante ans qui lui restent à vivre) alors que ce dernier meurt dix jours
après la prédiction30.
Son Traité de Géographie est inspiré de celui de Ptolémée, enrichi par les rapports des
marchands arabes en ce qui concerne le monde islamique. Il y donne la longitude et latitude
de points remarquables du monde connu (villes, montagnes, îles, etc.) Il aurait aussi écrit une
chronique historique de son époque, qui ne nous est connue que par les références qu'y font
des historiens plus récents28.
Les écrits d'Al-Khwârismî se répandent dans le monde arabe. Son Abrégé du calcul par la
restauration et la comparaison sert de fondement au développement des mathématiques par
les algébristes postérieurs. Ses tables astronomiques sont utilisées jusqu'en Andalousie sous le
règne d'Abd al-Rahman II31.
Le mathématicien arabe qui, à la suite d'Al-Khwârismî, consacre son œuvre à l'algèbre, est
l'Égyptien Abu Kamil, entre la moitié du IXe siècle et la moitié du Xe siècle. Il reconnaît que,
un siècle après son modèle, aucun ouvrage d'algèbre ne l'a surpassé. L'Algèbre d'Abu Kamil
est un ouvrage destiné à un public d'experts en mathématiques, et tout en reconnaissant la
valeur du legs d'Al-Khwârismî, son auteur présente son propre travail comme supérieur à
celui de son prédécesseur. À la fin du Xe siècle et au début du XIe siècle, le mathématicien
persan Al-Karaji franchit une nouvelle étape dans l'histoire de l'algèbre : il la détache de la
géométrie — ce que ni Al-Khwârismî ni Abu Kamil n'avaient pu faire — dans ses ouvrages
intitulés Gloire de l'algèbre et de la muqabala et Merveilles du calcul. Ensuite, la grande
étape franchie par l'algèbre musulmane est la résolution de l'équation cubique. Dans le
domaine des mathématiques, le poète et mathématicien persan Omar Khayyam (1048?-1131)
a écrit plusieurs ouvrages. Le plus important est un traité d'arithmétique qui inclut un
algorithme de calcul de la racine n-ième de n'importe quel nombre32.
Au Moyen Âge, la première partie de l'œuvre d'Al-Khwârismî est traduite en latin au moins à
trois occasions. La première traduction est faite par l'Anglais Robert de Chester, à Ségovie,
vers l'an 1145. Un peu plus tard, Gérard de Crémone en fait une à Tolèden 11, et la troisième est
attribuée à l'Italien Guillaume de Lunan 12,33.
L'Occident latin prend alors connaissance de l'œuvre. La traduction de son Livre de l'addition
et de la soustraction d'après le calcul indien apparaît en Europe, mâtinée d'autres sources
comme Boèce ou Nicomaque de Gérase, sous de nombreuses versions et plusieurs titres :
Dixit Algorizmi, (un des plus anciens), Liber Ysagogarum Alchorismi, Liber Alchorismi4. Si
l'on excepte le Dixit Algorizmi, il est possible que les termes alchorismus, algorismus,
algoarismus, que l'on trouve au milieu du XIIe siècle désigne déjà la méthode de calcul indien
avec les 9 chiffres et le zéro4. Ce terme francisé en algorisme puis algorithme va désigner par
la suite un « mécanisme réglant le fonctionnement de la pensée organisée »34.
Ses Tables astronomiques, reprises par l'astronome d'Espagne Maslama al-Mayriti, puis
traduites vers 1126 par Adelard de Bath, sont une des trois sources arabes principales ayant
servi à l'initiation des astronomes latins. Elles entrent pour une part dans la constitution des
Tables de Tolède qui auront une grande influence sur l'astronomie européenne du
XIIIe siècle35.
le cratère Al-Khwârizmî ;
deux astéroïdes : (11156) Al-Khwârizmî et (13498) Al Khwârizmî.
(en) Bartel Leendert van der Waerden, A History of Algebra. From Al-Khwârismî to
Emmy Noether, Springer, 1985
(en) Corona Brezina, Al-Khwârismî. The Inventor of Algebra, Rosen Central, 2005
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Grandes figures de l'âge d'or de l'Islam
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Mathématiques arabes au Moyen Âge
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Géographie et cartographie dans le monde arabo-musulman médiéval
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