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I. Notion de Base de Mathématiques...................................................................................... 4
I.1 Les vecteurs ................................................................................................................... 5
I. 2. Analyse vectorielle .................................................................................................. 6
I.3. Les operateurs : Gradient, divergence et rotationnel .................................................... 6
I.4 Flux d’un vecteur ........................................................................................................... 8
I.5 Angle solide ................................................................................................................... 9
Première Partie : Electricité...................................................................................................... 11
I. Quelques concepts sur les Dipôles, Les circuits (Nœud, Branche, maille etc.) ............ 11
1.1 Dipôle ......................................................................................................................... 11
I.2 Circuit .......................................................................................................................... 12
II Association de dipôles. ..................................................................................................... 13
II. 1 Association en série (tension). ................................................................................ 13
III. 2 Association en parallèle (courent)....................................................................... 13
II.3 cas de : Resistance, Capacité et self ........................................................................... 14
II.4 Sources de tension et de courant. ............................................................................... 15
Sources de tensions idéales et réelles. ....................................................................... 15
Sources de courant idéales et réelles. ........................................................................ 16
III Lois de Kirchhoff. ............................................................................................................ 17
III.1 Loi des nœuds : ........................................................................................................ 17
III. 2 loi des nœuds en terme de potentiel ......................................................................... 18
III.3 2ème lois des branches .............................................................................................. 20
IV Loi des mailles................................................................................................................. 20
IV Théorème de superposition. ............................................................................................ 21
V.1 Principe. ..................................................................................................................... 21
V. 2 Théorème. ................................................................................................................. 21
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TD No :10 ......................................................................................................................... 56
TD No :11. ........................................................................................................................ 57
TD No :12 ......................................................................................................................... 57
TD No :13. ........................................................................................................................ 58
Références : .............................................................................................................................. 58
Définition : L’électrostatique est l’étude des interactions électriques entre des charges
constantes et immobiles. Autrement dit, pas de courant électrique.
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La composante d’un vecteur sur un axe donne est la longueur de la projection du vecteur sur
l’axe. Soit trois axes orthogonaux X, Y, et Z. Un vecteur (tridimensionnel) est complètement
déterminé par ses composantes x, y et z sur les trois axes. On écrit V ( x, y, z) . Cela dit, il est
important de remarquer que le vecteur est indépendant des axes choisis (c’est a dire du
référentiel), tandis que les composantes changent si l’on effectue une rotation des axes, par
exemple.
Un vecteur unitaire est un vecteur dont la grandeur est égale a 1. On le désigné par une lettre
V
minuscule ( i, j, k , u ,etc.). Pour tout vecteur V non nul, u est un vecteur unitaire
V
parallèle a V . Les trois vecteurs unitaire ( i, j, k ) sont parallèles aux axes X, Y, Z,
respectivement et manifestement
V x.i y. j z.k (1.1 )
Le produit scalaire de deux vecteurs V1 et V2 est un nombre, note V1.V2 et défini comme
V1.V2 x1 x2 y1 y2 z1 z2 (1.2)
On peut montrer que V1.V2 V1V2 cos , ou est l’angle entre V1 et V2 . Le produit ‘ V1.V2 est
un scalaire, en ce sens que sa valeur ne change pas si l’on effectue une rotation des axes x y et
z. on a
V .V x 2 y 2 z 2 V 2 (1.3)
Le produit vectoriel de V1 et V2 est un vecteur, note V1 V 2 et défini comme
V1 V2 ( y1 z2 z1 y2 )i ( z1 x2 x1 z2 ) j ( x1 y2 y1 x2 )k
i j k
(1.4)
x1 y1 z1
x 2 y2 z 2
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On peut montrer que V1 V2 est un vecteur perpendiculaire au plan forme par V1 et V2 , dont
l’intensité est égale a V1 V2 V1.V2 sin et dont le sens est donne par la règle des trois
doigts de la main droite.
Il n’est pas difficile de montrer que :
V1 V2 V2 V1 (1.5)
V1.V2 V2 .V1 (1.6)
V1. V2 V3 V2 . V3 V1 V3 . V1 V2 (1.7)
V1. V2 V3 V1.V3 .V2 V1.V2 .V3 (1.8)
La dérivée d’un vecteur par rapport a une variable s’effectue composante par composante. La
dérivée d’un produit scalaire ou d’un produit vectoriel suit les lois de la dérivée d’un produit
ordinaire.
I. 2. Analyse vectorielle
Un objet mathématique qui dépendes coordonnées spatiales x, y et z est appelé champ. Un
champ peut aussi dépendre du temps. Un champ peut être scalaire ( f ( x, y, z ) ou ( f ( x, y, z, t ) ))
ou vectoriel. Un champ vectoriel est un vecteur qui dépend de x, y, z (et peut-être aussi de t).
Chaque composante du champ peut être fonction des trois variables spatiales x, y et z.
V (r ) Vx ( x, y, z ),Vy ( x, y, z ),Vz ( x, y, z ) (1. 11)
On écrit aussi V (r ) ou V (r , t )
Un vecteur qui ne dépend pas de r est un champ dit uniforme. Un champ indépendant du
temps est dit constant.
Exemples : le champ électrique, le champ magnétique et la vitesse d’un fluide sont des
champs vectoriels, tandis que la température, la pression, et la densité de l’atmosphère sont
des champs scolaires.
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r x, y, z et r dr x dx, y dy, z dz deux points séparés par une distance infiniment
petite. La différence entre f r dr et f r est, au premier ordre, donnée par les premiers
termes de la série de Taylor :
f f f
f x dx, y dy, z dz f ( x, y, z )
dx dy dz (1.12)
x y z
définissons un champ vectoriel note grad f dont l’expression est :
f f f
grad f , , (1.13)
x y z
le second membre de l’équation (1. 10) serait le produit : gradf .d r . Alors on peut écrire :
f f f
gradf .d r f (r d r ) f (r ) dx dy dz (1.14).
x y z
Le champ grad f est appelé gradient de f. l’operateur gradient est un champ vectoriel
agissant sur une fonction scalaire.
f f f
grad f i j k (1.15)
x y x
Pour un dr donne, il est clair que f r dr f (r ) sera maximum si dr est parallèle a
grad f . Ainsi, le gradient donne la direction de variation maximum d’une fonction. Par
ailleurs, une fonction ne varie pas dans une direction orthogonale au gradient.
b-l’operateur divergence
soit un champ vectoriel V (Vx ( x, y, z ),Vy ( x, y, z ),Vz ( x, y, z )) . La divergence de V est le
V V V
champ scalaire note divV et défini comme divV x y z .
x y z
c-l’operateur rotationnel
soit un champ vectoriel V (Vx ( x, y, z ),Vy ( x, y, z ),Vz ( x, y, z )) . Le rotationnel de V est le
champ vectoriel rotV note et défini comme :
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i j k
V V V V V V
rotV z y i z x j _ y x k (1.16)
x y z y z x z x y
Vx Vy Vz
la signification physique du rotationnel sera examinée plus tard. Il est aise de montrer que,
pour tout champ scalaire f (r ) , rot grad f (r ) 0 c'est-à-dire que le rotationnel d’un
gradient s’annule toujours. Inversement, on peut montrer que si V est un champ vectoriel tel
que rotV 0 , alors il existe un champ vectoriel f tel que V grad f . On dit que V est un
gradient. Il est aise de montrer que, pour tout champ vectoriel div rot V 0 , c'est-à-dire
que la divergence d’un rotationnel s’annule toujours. Inversement on peut montre que si V
est un champ vectoriel tel que divV 0 , alors il existe un champ vectoriel W tel que
W rotV on dit que W est un rotationnel.
d-l’operateur Nabla
c’est un operateur vectoriel qui a pour composante : , , tel que :
x y z
f ( x, y, z ) grad f ( x, y, z ) (1.17)
V ( x, y, z ) divV ( x, y, z ) (1.18)
V ( x, y, z ) gradV ( x, y, z ) (1.19)
e-l’operateur Laplacien
c’est un operateur scalaire obtenu par deux applications successives de sur un champ de
2 f 2 f 2 f
scalaires f ( x, y, z ) ( f ( x, y, z)) div( grad f ( x, y, z)) 2 2 2 (1.20)
x y z
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Ou N est le vecteur unitaire normal a la surface dS , qu’il convient de bien orienter, en
tenant compte des conventions qui vont être précisées,
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dS .er dS cos
d 2
r r2
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I. Quelques concepts sur les Dipôles, Les circuits (Nœud, Branche, maille etc.)
1.1 Dipôle
Definition1 : On appelle dipôle électrocinétique tout système relié à l'extérieur par deux
conducteurs uniquement. Le comportement d'un dipôle est caractérisé par deux grandeurs
électriques duales : la tension et le courant.
La tension aux bornes d'un dipôle représente la différence de potentiel u(t) entre les deux
bornes
du dipôle. La tension s'exprime en Volt (V).
Sens du courent
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I.2 Circuit
Définition 2 (Circuit électrique). Un circuit ou réseau électrique est constitué par un
ensemble de composants (dipôles, diodes, transistors, AOP, CI, _P. . . ) reliés entre eux, et qui
agissent sur les courants et tensions électriques.
Pour un circuit, il sera sous entendu, que le potentiel VA d’un point A est
référencé à la masse du montage : VA = VA VM = UAM.
• La terre est une connexion physique au sol.
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masse. À l’inverse, les appareils pour lesquels cette liaison n’existe pas sont dits à masse
flottante.
,! En pratique, fréquemment les générateurs alimentant les montages ont leur masse reliée à la
terre, d’où les confusions faites sur ces différents termes.
II Association de dipôles.
On distingue deux types d'association de dipôles. Les dipôles peuvent être connectés en série,
ils sont alors tous traversés par la même intensité. Ils peuvent être connectés en parallèle, ils
sont alors tous soumis à la même tension.
Chaque dipôle est traversé par la même intensité et la tension aux bornes du dipôle équivalent
est égale à la somme des tensions partielles :
k
u (t ) un (t )
n 1
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Série :
Parallèle :
2. Capacité
Serie
Parallele
3. Bobine (self)
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di
Bonine idela uL Bonine avec resistance interne
dt
di
uL ri
dt
Serie
Parallele
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La résistance interne d'un générateur de tension idéal est nulle, ce qui n'est généralement pas
le cas pour un générateur réel. Un générateur réel est modélisé par un générateur idéal en série
avec sa résistance interne. En convention générateur, la caractéristique statique tensioncourant
du générateur de tension réel devient : u e ri . La résistance interne induit une
chute de tension.
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Source de courant
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La loi des noeuds peut encore s'écrire sous la forme suivante : En tout nœud d'un réseau la
k
somme algébrique des courants est nulle : i
n 1
n 0
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- grandeurs inconnues : toutes les intensités circulant dans les différentes branches
G Analyse technique :
- c’est un circuit à deux mailles et deux noeuds principaux (5 en tout), mais où il y a plus d’un
dipôle par branche : réponse pas évidente
- le but est d’obtenir une tension : l’approche nodale semble la meilleure avec 5 nœuds, il
devrait y avoir 4 inconnues, sauf que les deux générateurs de tension en
« enlève » deux, il n’en reste donc qu’une : une loi donnera immédiatement la réponse
- Maintenant agissons :
- fixons la masse, la plus proche possible des générateurs idéaux de tension
- nommons les points intéressants
Or, d’après les lois constitutives des générateurs idéaux de tension et compte tenu du fait que
le
potentiel est nul à la masse :
Et enfin :
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r i
AB AB AB eAB 0
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IV Théorème de superposition.
V.1 Principe.
Les lois de Kirchhoff conduisent à des équations linéaires vis-à-vis des intensités et des forces
électromotrices et contre-électromotrices.
Lorsqu’on tient compte, dans les équations, de la loi de Kirchhoff relative aux mailles, des
équations relatives aux noeuds, on obtient un système de n équations linéaires à n inconnues
(les n intensités indépendantes). Ce système peut s’écrire sous la forme matricielle :
(R) (I) = (E)
(I) représente la matrice des intensités algébriques inconnues, (E) représente la matrice des
forces électromotrices et contre-électromotrices (avec la condition d’algébrisation), (R)
représente la matrice de toutes les résistances.
Il est bien évident que l’on peut écrire :
(G) (E) = (I)
(G) étant la matrice des conductances, avec évidemment (G) (R) = (1).
V. 2 Théorème.
Considérons un réseau donné dont toutes les résistances sont fixées (y compris celles des
générateurs et des récepteurs) : la matrice des conductances (G) est parfaitement connues.
Imaginons alors que l’on applique à ce réseau un système de forces électromotrices et contre
électromotrices caractérisées par la matrice (E1). Il s’établit un régime de courants
permanents
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G e GU
i
i i 0 0
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1
, soit G . En reportant dans I = G (VA – VB) - G U0, il vient :
Ri
1 U
I VA VB 0 soit VA VB U 0 Ri I
Ri Ri
Le théorème de Norton donne une autre modélisation d’un dipôle actif. Schématisons à
nouveau le dipôle actif par un générateur de Thévenin et court-circuitons les bornes A et B.
Le dipôle est
Uo
traversé par un courant d’intensité I0 : I 0 , La relation VA VB U 0 Ri I déviant
Ri
VA VB
I I0
Ri
Cette relation traduit le théorème de Norton :
Un dipôle actif est équivalent, vu de ses deux bornes, à un
générateur de courant dont le courant principal est le courant de
court-circuit du dipôle et dont la résistance interne montée en
parallèle est la résistance équivalente vue de deux bornes du dipôle lorsqu’on a enlevé toutes
VA VB
les forces électromotrices, cette résistance détournant un courant
Ri
Ce générateur équivalent est dit générateur de Norton. Il faut remarquer qu’il s’agit là encore
d’une modélisation du dipôle actif, au demeurant parfaitement équivalente à la précédente.
1.2.5.1 Méthodologie :
1) Court-circuitez le dipôle AB.
2) Déterminer le courant de court-circuit
circulant dans AB, I0.
3) Déterminer l’impédance équivalente vue
depuis les bornes AB lorsque toutes les sources sont éteintes, Ri
4) Remplacer le circuit par le schéma équivalent ci-dessus.
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Modélisation de Thévenin :
e
- Calcul de U0 : i2 2 VA – VB = R i2, or
R r2
VA – VB n’est rien d’autre que U0 :
e2 R
U0
R r2
- Détermination de Ri :
Vu de A et B, le dipôle, lorsqu’on a supprimé e2, se réduit à
r2 R
R et r2 montées en parallèle donc : Ri Le circuit
R r2
étudié est donc équivalent au suivant :
Par conséquent:
R(e2 e1 ) e1r2
Soit i1
R(r1 r2 ) r1r2
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1. L’atome
Le noyau comprend des :
charges positives appelées protons
particules neutres appelées neutrons
Les électrons sont des charges négatives qui gravitent
autour du noyau. En valeur absolue, les charges de l’électron et du proton sont égales :
e 1, 60.1019 C
Les caractéristiques des particules sont indiquées dans le tableau ci-dessous.
A l’état fondamental, il y a autant d’électrons que de protons : l’atome est une particule
neutre.
L’atome est ionise s’il cède ou acquiert un électron :
c’est un ion positif s’il perd 1 ou plusieurs électrons.
c’est un ion négatif s’il gagne 1 ou plusieurs électrons.
Nuage électronique
Le nuage électronique est forme d'électrons tournant a
grande vitesse autour du noyau selon des trajectoires très
complexes. Les électrons sont repartis sur les couches
selon les quantités suivantes : Nelectrons (i) 2i ou N est
le nombre d’électrons, i le niveau de la couche
K 2 ; N 32 ; L 8 ; O 50 ; M 18 ; P
72 ; Q 98 ;
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Couches périphériques
Définition : C'est la couche la plus extrême d'un atome. Ses électrons sont appelés électrons
périphériques ou électrons de valence.
La couche périphérique d'un atome ne peut pas posséder plus de huit électrons.
Important : Les propriétés électriques dépendent des électrons de la couche périphérique.
Les bons conducteurs ont leur dernière couche incomplète. Ils céderont facilement leurs
électrons (électrons libres).
Les isolants ont leur dernière couche saturée ou presque saturée. Ils ne céderont pas
facilement leurs électrons (électrons liés).
Les semi-conducteurs sont des matériaux dont la dernière couche est formée de 4 électrons.
Le silicium et le germanium sont les semi-conducteurs les plus utilises.
les distributions continues de charge : hypothèse d’une charge macroscopique
permettant de définir une charge infinitésimale dq , à laquelle on peut
appliquer les formules établies dans le cas d’une charge ponctuelle, avant
d’intégrer sur la distribution. On définit ainsi les densités :
dq
– linéique sur un fil : unité C.m1
dl
dq
surfacique (ou superficielle) sur une surface : unité C.m 2
dS
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dq
volumique dans un volume : unité C.m 3
d
Aux quelles correspondent respectivement les charges infinitésimales dl , dS et d .
II. 1 Introduction
Définition : Le champ électrique est une grandeur physique qui exerce une force électrique
sur une particule chargée.
La seule présence d’une charge ponctuelle q au point M (comme d’ailleurs d’une masse
ponctuelle m, dans le cas de la gravitation) permet de définir deux propriétés en un point M_
de l’espace environnant :
une propriété vectorielle, le champ électrostatique :
une propriété scalaire, le potentiel électrostatique (défini à une constante près) :
et une relation entre les deux propriétés :
q1
La grandeur E1 est l’expression du champ
4 0 r 2
électrique crée par q1 .
q1q2 q2
De même, sachant que : F21 q1 q1 E2
4 0 r 2
4 0 r 2
q2
La grandeur E2 est l’expression du champ électrique crée par q2 .
4 0 r 2
Sens du champ électrique :
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Unité de E :
Comme par définition nous avons E = F / q : donc [E] = N / C.
En général on utilise une autre unité: Vu que E dV / dx : Alors [E] = V / m.
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Remarque : La force est répulsive si les charges sont de même signe, elle est attractive
si elles sont de signes contraires.
De façon générale, la présence d’une charge q en un point M où le champ est E se traduit par
une interaction caractérisée par deux propriétés :
– une propriété vectorielle, la force exercée sur la charge q (loi de Coulomb)
F qE
: – une propriété scalaire, l’énergie potentielle définie à une constante près comme le potentiel
E p qVM
– et une relation entre les deux propriétés :
F grad E p
Remarque :
• L’interaction entre deux charges est réciproque. On a FM FM , ce qui vérifie le
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Ligne chargée
dq dl q dl
Avec densité de charge linéique ( C / m )
Surface chargée
dq s ds q s ds
s
Volume chargé
dq v dv q v dv
v
:
- Pour une surface chargée uniformément
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dS dS
EM k uMM ; EM k
(
S)
r 2
S
r2
IV.1.Définition
Le dipôle électrique est une disposition très
intéressante constituée de deux charges égales et
opposées séparées par une très petite distance, qu’on
retrouve particulièrement a l’échelle atomique.
Le moment électrique dipolaire est donne par :
p qa ,
ou a est dirige de la charge négative vers la charge positive.
1 q q q r2 r1
Le potentiel crée par le dipôle au point P est : V
4 0 r1 r2 4 0 r1r2
qa cos
Ce qui donne : V
4 0 r 2
Le calcul en coordonnées polaires donne deux
composantes du champ électrique :
V 2 p cos
-Une composante radiale Er : Er
r 4 0 r 3
1 V p sin
-Une composante transversale E : E
r r 4 0 r 3
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Un dipôle place dans un champ électrique est soumis a un couple qui tend a l’aligner suivant
la ligne de ce champ.
Soit W E p .
q1q2
On pose donc E p q1V2
4 0 R
q2 q1
Avec V2 potentiel créé par q2 On peut également écrire E p q2V1 avec V1
4 0 R 4 0 R
Potentiel créé par q1
q
V est donc l’expression du potentiel créé par une charge q et E p qV est l’énergie
4 0 R
potentielle d’une charge q soumise a un potentiel V.
Unité
Soit en J/C car par définition V E p / q ou bien en Volt, qui est l’unité la plus utilisée.
Le potentiel créé par plusieurs charges en un point P peut être déterminé a partir de
l’expression suivante :
n
q1 q2 q3 qi q1 qi
V
4 0 r1 4 0 r2 4 0 r3
4 0 ri 4 0
r
i 1 i
Conclusion : Une charge ponctuelle produit :
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q
Un champ (vectoriel) E u
4 0 r 2
q
Un potentiel (scalaire) V
4 0 r
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B A
q
V
4 0 r
Le potentiel est constant si on pose r = R = constante;
chaque sphère de rayon R constant (R1, R2, R3) représente donc une surface équipotentielle.
Règle de base : le champ électrique est toujours perpendiculaire a la surface équipotentielle.
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On peut noter que q est toujours la valeur absolue de la charge et que p est orienté de la
charge négative vers la charge positive
p.u kp cos
VM k 2 r
r r2
E grad V
V 2kp cos
Er ()
r r3
1 V kp sin
E
r r3
Expressions cartésiennes
Le potentiel et le champ présentent évidemment une symétrie de révolution autour de l’axe
support de AB , pris ici comme axe Ox. Comme
cos x / x2 y 2 , on trouve :
1/ 2
px
V k
x y2
2 3/ 2
V 3x 2 kp 3cos 1
2
1
Ex kp
x x 2 y 2 5/ 2 x 2 y 2 3/ 2 r3
Ey
V
kp 3xy kp 3sin cos
y x y
2 2 5/ 2
r3
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La figure ci-après indique l’allure des lignes de champs (en trait plein) et des
F FB FA qEex qEex 0 ()
La force résultante est nulle, mais le moment résultant ne l’est pas, FA et FB constituent un
couple.
• Moment résultant
a a a a
FB FA qE qE a qE
2 2 2 2
p E pE sin ez
Ce moment tend à aligner le dipôle
parallèlement au champ E (θ = 0).
Remarque : Dans le cas d’une
molécule assimilée à un dipôle, le
point A représente le barycentre des charges négatives et le point B le barycentre des charges
positives. Le moment dipolaire moléculaire aura tendance à s’aligner avec le champ E . On
dit que la molécule (ou la substance) se polarise.
Énergie potentielle du dipôle dans le champ E :
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E grad V
V
ex
V V VA e
ex B ()
x x a cos
x
Soit E p apE cos p.E ()
L’énergie potentielle est minimum lorsque θ = 0, indiquant que le dipôle est en équilibre
stable quand il est orienté parallèlement au champ appliqué.
b) Cas d’un champ non uniforme
Dans ce cas, les forces FB et FA ne sont plus égales et opposées. Il en résulte une force qui va
déplacer le dipôle dans son ensemble. On aura donc un mouvement de translation de centre de
masse O du dipôle, en plus du mouvement de rotation autour de O.
La force résultante est liée à l’énergie potentielle par :
F grad E p
On aura donc : F grad p.E
.
V. Théorème de GAUSS
Introduction
On considère plusieurs charges qi , les unes à l’intérieur du volume , les autres à l’extérieur.
qi
Si qi est à l’intérieur : i
0
Si qi est à l’extérieur : i 0
Par conséquent, le flux du champ résultant à
travers (S) n’est dû qu’aux seules
charges intérieures à S :
q
E.dS i (charges intérieures
S i 0
uniquement)
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VI Conducteurs en équilibre
q 0
Par exemple, un atome non ionisé se comporte comme une particule électriquement neutre.
où μ est la mobilité des porteurs libres. Ainsi, dans les métaux, on admet qu’en moyenne un
électron se trouve libéré pour chaque atome, le nombre d’atomes par cm3 étant de l’ordre de
1023 .
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Les isolants ou diélectriques peuvent être définis grossièrement comme des corps ne
possédant pratiquement pas de charges libres. Il en résulte une conductivité très faible, ce qui
correspond à une résistance très élevée.
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– À l’extérieur du corps, le théorème de Gauss entraîne que E ext 0 .
_ Corps conducteur chargé
La condition d’équilibre des porteurs de charge entraîne toujours :
E ext 0 d’où i 0 divE 0 d’une part et Vint cte V0 d’autre part.
La charge ne peut se répartir que sur la surface, celle-ci est une surface équipotentielle.
Les conditions de passage du champ E à
travers la surface donnent :
a) E T ,ext E T ,int 0
Par conséquent, au voisinage de la surface, E ne peut être que normal à la surface.
b) E ext E int .N
0
où N est le vecteur unitaire de la normale sortante. Comme E int 0 , on a :
E ext N ()
0
Si σ > 0, le champ est dirigé vers l’extérieur,
si σ < 0, il est dirigé vers l’intérieur.
Cette relation, qui traduit que les lignes de champ sont normales à la surface du conducteur,
constitue le théorème de Coulomb.
Conséquences
– Dans le cas d’un conducteur sphérique chargé, le champ sur la surface a pour expression :
Q
E er
4
comme si la charge Q était placée au centre de la sphère.
Q
– Comme , on en déduit que, pour une charge Q donnée, la densité surfacique
4 R 2
est d’autant plus élevée que le rayon de courbure est petit (pouvoir des pointes : sur une
pointe, σ et par conséquent le champ E peuvent atteindre des valeurs très élevées).
– Dans le cas d’un conducteur présentant
une cavité, que le corps soit chargé ou non,
que le champ extérieur soit nul ou non, la
surface du conducteur (externe ou interne)
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On en déduit que les points M et N pris sur la surface interne sont au même potentiel :
VM VN E cavite .dl 0 E cavite 0 ()
MN
Remarque : Le champ est nul dans la cavité, comme il l’est dans la partie massive du
conducteur, et cela, quelles que soient les conditions extérieures au conducteur. Ce dernier
constitue un écran électrostatique : tout champ extérieur ne peut être décelé dans la cavité. On
peut montrer que, inversement, tout champ appliqué dans la cavité, ne sera pas décelé à
l’extérieur du conducteur.
Application : Cage de Faraday : cage métallique permettant d’effectuer des mesures, en étant
à l’abri des champs extérieurs, ou inversement, sans perturber les expériences extérieures.
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q i 2 dS1 1dS2 0 ()
Les charges globales portées par les deux surfaces en regard sont égales et opposées.
On peut donc résumer la situation de la manière suivante :
– dans la partie massive de (C1) : E1 0 ,
– sur la surface de (C1) : charge Q1 0 créant E 2 ,
– sur la surface interne de (C2) : charge Q1 ,
– dans la partie massive de (C2) : E 0 ,
– sur la surface externe de (C2) : apparition de la charge +Q1 pour assurer la neutralité de (C2)
(si l’on suppose (C2) neutre au départ),
– à l’extérieur des deux conducteurs : le champ E ext est celui créé par la seule charge Q1
portée par la surface externe de (C2).
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Travaux Pratiques
TD Electrostatique
TD N0 1
Exemple 1. Comparaison entre force électrostatique et force de gravitation
dans l’atome d’hydrogène
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TD N0 2
dq
Exemple 2. Champ créé par un fil circulaire portant une densité de charge uniforme ,
dl
en un point M de son axe ( OM z ).On suppose 0 .
1) Calcul direct du champ E
2).Calcul direct du potentiel
3).Calcul du champ a partir du potentiel
TD N0 3
Exemple 3. Champ créé par un disque de rayon R portant une densité de charge surfacique
dq
uniforme ,, en un point M de son axe Oz.
dS
On suppose 0 . Calculer le potentiel et en déduire le champ. On peut considérer le disque
comme engendré par un fil circulaire de rayon
r et d’épaisseur dr, quand r varie de O à R.
De la sorte, on peut appliquer les résultats de
l’exemple précédent.
Pour trouver la correspondance des densités
de charge, on écrit que la charge 2 r portée
par le fil de l’exemple précédent est
maintenant Portée par le fil de même rayon mais d’épaisseur dr. On a donc la correspondance :
2 r 2 rdr et dr
1) Calcul du potentiel
2) Calcul du champ
TD N0 4
Exemple 4. Potentiel créé par une sphère de centre O et de rayon R, chargée uniformément,
en un point M extérieur à la sphère.
1) Sphère chargée en surface Soit σ la charge surfacique.
2) Sphère uniformément chargée en volume
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TD N0 5
Soit un disque de rayon R charge uniformément en surface avec une densité surfacique σ > 0.
1) Calculer le champ électrique E(M) en un point quelconque M sur l’axe du disque.
2) On fait tendre R vers l’infini. En déduire l’expression du champ E(M).
1) si on fait tendre R vers l’infini, on déduit :
TD N0 6
Calculer le champ créé par un anneau mince charge uniformément, sur un point se trouvant
sur l’axe
TD N0 7
On place quatre charges ponctuelles aux sommets ABCD d’un carré de côté
a = 1 m, et de centre O, origine d’un repère orthonormé Oxy de vecteurs unitaires ex et ey
1
q3 2q ; q4 q ; k 9.109 SI
4 0
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1) Déterminer le champ électrique E au centre O du carré. Préciser la direction, le sens et
la norme de E .
2) Exprimer le potentiel V créé en O par les quatres charges.
3) Exprimer le potentiel sur les parties des axes xx et y y intérieures au carré. Quelle
est, en particulier, la valeur de V aux points d’intersection de ces axes avec les côtés
du carré (I, I , J et J ) ?
TD N0 8
1) Calculer, en tout point M de l’espace, le champ électrique E créé par un fil
rectiligne AB de longueur finie 2a,
portant une densité linéique de charges
0 . Soit O la projection de M sur la
droite AB, on posera :
OM = y, OA = xA, OB = xB
2) On examinera les cas particuliers
suivants :
a) le point M est dans le plan médiateur de AB,
b) le fil a une longueur infinie.
TD N0 9
1) Un conducteur creux hémisphérique de centre O et de rayon R est chargé
uniformément avec une densité de charge surfacique σ > 0.
Calculer le champ E1 créé au point O.
2) On considère maintenant une distribution de charge en volume ayant la forme de
l’hémisphère ci-dessus et portant une charge volumique uniforme ρ. En considérant
la distribution volumique comme engendrée par la distribution surfacique de la 1re
question lorsque le rayon de cette dernière varie de O à R, calculer le champ électrique
E2 créé au point O.
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TD N0 10
A) On assimile la molécule de SO2 à un ensemble de trois charges ponctuelles disposées
comme l’indique la figure. La charge positive S(+2q) représentant l’atome de soufre est située
à la même distance L des deux atomes d’oxygène, situés en O1 et O2, portant chacun une
charge −q. On désigne par α l’angle entre les deux liaisons soufre-oxygène et on adopte le
système d’axes xy représenté sur la figure. L’origine est située au milieu des deux
atomes d’oxygène.
1) Montrer que cette distribution de charges électriques est équivalente à un dipôle.
2) En déduire le moment dipolaire p de la molécule SO2 en précisant son orientation
et sa norme.
A. N. : 1200 ; L 1, 432.1010 m ; q 0, 29.1019 c ()
B) Étant donné un point M situé sur l’axe y à une grande distance de S, on désire
justifier l’approximation dipolaire pour M 20L par exemple.
1) Calculer directement le champ EM créé en M par les trois charges.
2) Calculer le champ E M créé au point M, en remplaçant les trois charges par le
dipôle équivalent.
3) Comparer les résultats obtenus.
TD N0 11
Une sphère métallique (S1) de rayon R1 = 9 cm porte la charge positive
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Q1 108 C .
1) Quels sont la capacité C1 et le potentiel V1 de (S1) ?
2) On relie (S1) à une autre sphère métallique (S2) de rayon
R2 = 1 cm, par un fil conducteur long et fin. (S2) est suffisamment
éloigné de (S1) pour négliger l’influence mutuelle de (S1) et (S2).
Les charges superficielles sur le fil fin sont supposées négligeables.
Calculer, à l’équilibre, les charges Q1 et Q2 portées par les
deux sphères et la valeur du champ électrique au voisinage de chaque
sphère.
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TD Electricité
TD No :1
Déterminer les Grandeurs i ou u
TD No :2
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TD No :3
Une portion AB d’un circuit comporte 4 conducteurs ohmiques de résistances R1, R2, R3,
R4 et deux sources de tension de fem e1 et e2. 1) Montrer que cet élément de circuit est
équivalent à :
TD No :4
Déterminer la résistance équivalente au dipôle AB suivant :
TD No :6
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TD No :7
On considère un triangle de résistances. On remplace ce triangle par une étoile branchée entre
A, B et C de sorte que les deux réseaux soient équivalents.
TD No :8
Par application de la transformation de Kenelly, calculer la résistance équivalente vue de A et
B du réseau ci-contre.
TD No :9
On considère le circuit suivant :
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TD No :10.
1) Calculer l’intensité i du dipôle AB en appliquant le théorème de superposition.
2) Exprimer le dipôle de Thévenin entre A et B puis calculer i.
3) Même question avec le dipôle de Norton.
TD No :10
Déterminer, en utilisant le théorème de Thévenin, la relation liant les 4 résistances Ri, i = 1 :
4, pour que le courant circulant dans la résistance R soit nul.
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TD No :11.
Déterminer l’intensité du courant circulant dans la branche AB par :
1) la méthode de la superposition,
2) le théorème de Thévenin.
TD No :12
1) En appliquant le théorème de Thévenin, calculer l’intensité du courant circulant dans la
branche AB lorsque l’interrupteur est ouvert puis fermé.
2) Quelle relation doit-il exister entre les résistances R1, R2, R3 et R4 pour que l’intensité du
courant circulant dans la branche AB soit le même dans les deux cas ?
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TD No :13.
Déterminer l’intensité du courant circulant dans la résistance R3 par :
1) Le principe de superposition,
2) Le théorème de Thévenin.
Références :
Stéphane Victori. Cours et exercices de Physique: Electricité. Ingénieur CESI Préparation aux
tests de Sélection. 2004-2007
Tamer Becherrawy Mini Manuel Electrocinétique Cours plus Exos Dunod 2008
David Folio support de cours d’électrocinétique (L1/L2) 1er Cycle Ingénieur de lENSI de
Bourges UE Science Appliquées 2013-2014
Paul Rosenberg Audel Electrical Couse for Apprentices and Journeymen 4th Edition Wiley
Publishing, Inc 2004
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Stan Gibilisco. Teach Yourself Electricity and Electronic 3rd Edition McGraw-Hill 1993
Rik De Doncker, Duco W.J.Pulle, Andre Veltman. Advance Electrical Driver Analysis,
Modeling, Control. Springer 2011
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