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Table des matières

1) Introduction..................................................................................................................................................3

2) Changement climatique en bref...................................................................................................................4

a) Le changement climatique, c’est quoi ?..................................................................................................4

i) Découverte de la problématique du changement climatique.............................................................4

ii) L’activité humaine en partie responsable du réchauffement climatique............................................4

iii) Le réchauffement climatique, une matière complexe.......................................................................4

b) Les signes du réchauffement climatique.................................................................................................5

i) Dérèglements climatiques...................................................................................................................5

ii) Élévation du niveau de la mer............................................................................................................5

iii) Fonte des glaciers..............................................................................................................................5

iv) Accentuation du phénomène "El Nino".............................................................................................5

v) Modification de la répartition géographique de la faune et de la flore..............................................5

vi) Réchauffement des océans................................................................................................................5

3) Les causes du changement climatique.........................................................................................................5

a) Gaz à effet de serre, émissions de CO2 et protocole de Kyoto.................................................................6

b) Protocole de Kyoto, l’Europe, les USA et les pays émergents.................................................................7

c) L’Union européenne, ainsi que les pays directement sous la menace des conséquences du change-
ment climatique, ont été les plus ardents défenseurs du plan. Les États-Unis refusent de le signer car les
pays émergents n’ont pas d’objectif chiffré, alors que ces pays estiment que les nations industrialisées,
responsables de la situation actuelle, doivent régler le problème qu’ils ont créé.......................................7

4) Conséquences...............................................................................................................................................7

a) Les conséquences environnementales du changement climatique.........................................................7

i) Extinction de la faune et de la flore.....................................................................................................7

ii) Inondations, sécheresses et intensification des tempêtes tropicales.................................................7

iii) Conséquence du réchauffement climatique sur l’agriculture............................................................7

iv) Modification du Gulf Stream..............................................................................................................7

b) Conséquences géopolitiques et humaines du changement climatique...................................................8


i) Iles et régions côtières menacées........................................................................................................8

ii) Flux migratoires et conséquences politiques......................................................................................8

iii) Conséquence du réchauffement climatique sur l’agriculture............................................................8

5) Controverse concernant le changement climatique.....................................................................................8


Changement climatique

1) Introduction
Plus personne n’ignore la problématique du changement climatique. Beaucoup d’entres nous peuvent
percevoir ses effets. Canicule en été, hiver sans neige, dérèglement du climat (« il n’y a plus de saisons »),
inondations dans un coin de l’Europe tandis qu’un autre subit de terribles sécheresses, le changement
climatique se manifeste sous des formes diverses.

Au-delà du climat, ses conséquences sont bien plus complexes. Le réchauffement de l’eau et la fonte
des glaces font monter le niveau des mers, ce qui met en péril de nombreux archipels et terres basses, comme
les Pays-Bas ou le Bangladesh. Le 21ème siècle sera peut-être le premier à voir l’apparition de « réfugiés
climatiques ». Si les prédictions les plus noires se réalisent, des nations archipels, comme les Maldives,
pourraient être rayées de la carte. Les conséquences géopolitiques seraient énormes.

Ces bouleversements climatiques perturbent la faune et la flore, dont la répartition géographique tend
à se déplacer vers le nord. Ces changements impactent l’agriculture, la santé, l’économie. Ils font vaciller les
modèles de sociétés engendrés par l’économie de marché.

Les plus optimistes comptent sur la science pour trouver les parades. Mais ira-t-elle assez vite, surtout
lorsqu’on observe le boom économique des pays émergents comme la Chine, l’Inde et le Brésil, qui
représentent à eux trois environ 40% de la population mondiale ? Que se passera-t-il quand la Chine sera un
pays développé comme les États-Unis, qui en 2007 rejetaient 5 fois plus de CO 2 par habitant que la Chine ?

Outre les progrès technologiques, certains insistent sur le besoin de revoir entièrement nos modes
d’organisation sociétale. Le gaspillage et la surconsommation doivent être limités, tandis qu’il faut limiter les
transports inutiles de marchandises (par exemple des produits faisant un aller-retour entre deux sites de
production pour passer par deux étapes de transformation).

N'étant pas guidés par une idéologie, nous aborderons également la polémique en cours concernant la
responsabilité de l’homme, ainsi que la remise en question de l’impartialité du Giec (groupe d'experts
intergouvernemental sur l'évolution du climat) par certains scientifiques, qui contestent l’exactitude des
chiffres ainsi que certaines méthodologies.

L’objectif n’est pas de tomber dans un catastrophisme alarmiste, mais de faire un bref point sur cette
problématique, tout en rappelant que quelles que soient les conclusions concernant les causes exactes du
changement climatique, adopter une énergie renouvelable comme par exemple l'installation d'un panneau
photovoltaïque ou d'une éolienne ne peut être que positif : nous n’aurons pas à nous priver de notre confort
moderne, tout en suivant un principe sage permettant d’éviter bien des ennuis : le principe de précaution,
principe qui est hélas trop souvent négligé.
2) Changement climatique en bref
a) Le changement climatique, c’est quoi ?
Appelé aussi réchauffement global ou planétaire, le changement climatique est un phénomène
d’augmentation des températures moyennes des océans et de l’atmosphère, au niveau planétaire, depuis une
soixantaine d’années.

i) Découverte de la problématique du changement climatique


La Terre, depuis ses origines, a toujours connu des changements cycliques de climat, les périodes
glacières alternant avec des périodes plus chaudes. On sait que ces cycles durent à peu près 100 000 ans.
Comment ? En étudiant des carottes de glace, qui contiennent des gaz fournissant aux scientifiques des
indications sur le climat de l’époque. Les carottes extraites à grande profondeur nous renseignent sur le
climat d’il y a 800 000 ans.

Tout ceci n’est donc pas neuf, la Terre a déjà été dépourvue de calottes glacières. Mais alors, qu’est-ce
qui cloche ? On constate que l’augmentation de la température moyenne ne cesse de s’accélérer, à des
rythmes méconnus.

La multiplication des catastrophes naturelles provoquées par la météo (ouragans, inondations, etc.) est
une autre manifestation du changement climatique. L’élévation du niveau de la mer en conséquence de la
fonte des glaces en est une autre. Vu que ces phénomènes n’ont jamais été observés auparavant, les
scientifiques se sont alors penchés sur l’activité humaine afin de trouver les causes de ce phénomène inédit.

ii) L’activité humaine en partie responsable du réchauffement climatique


Étant donné que le réchauffement climatique coïncide avec le développement industriel, l’activité
humaine a été rapidement pointée du doigt, et notamment les gaz à effet de serre, dont le CO 2 est le plus
produit. La Communauté internationale a alors fondé le Giec dans le but d’étudier la problématique.

Le Giec (groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) est l’organisme international
ayant autorité sur le réchauffement climatique. Il a pour objectif « d’évaluer, sans parti-pris et de façon
méthodique, claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui sont
nécessaires afin de mieux comprendre les risques liés au changement climatique d’origine humaine, cerner
plus précisément les conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies
d’adaptation et d’atténuation. »

Le Giec a déjà publié cinq rapports (1990, 1995, 2001, 2007 et 2014). C’est suite au rapport de 1995
que le protocole de Kyoto fut élaboré, visant à diminuer la production de gaz à effet de serre.

iii) Le réchauffement climatique, une matière complexe


Si la science a évolué à pas de géants, la météorologie reste un domaine éminemment complexe. S’il
est fort probable que l’activité humaine soit responsable du réchauffement climatique, il est extrêmement
ardu de définir avec précision l’impact de l’homme. Il se peut que le réchauffement climatique soit le fruit
d’une augmentation cyclique de la température ET de la pollution, l'un ou l'autre. Pour l'instant, personne ne
peut déterminer avec précision les causes exactes.

b) Les signes du réchauffement climatique


Le premier est évidemment la hausse globale de la température (de l’atmosphère ainsi que des océans).
Cette modification en entraîne de nombreuses dans son sillage.
i) Dérèglements climatiques
Le climat « devient fou ». Sécheresses anormales dans certaines régions du globe, pluies diluviennes
entraînant des inondations dans d’autres, augmentation de la fréquence des ouragans et tempêtes tropicales
en sont de nombreuses manifestations. Certaines régions connaissent un refroidissement, tandis que d’autres
un réchauffement.

ii) Élévation du niveau de la mer


On a pu observer une augmentation de 10 à 20 centimètres du niveau au cours du 20ème siècle.

iii) Fonte des glaciers


Lorsqu’on observe les photos du Kilimandjaro depuis quelques décennies, pas besoin d’avoir un
doctorat en météorologie pour constater que le glacier fond inexorablement.

iv) Accentuation du phénomène "El Nino"


El Nino, ce courant côtier partant du Pérou et de l’Équateur, ne cesse de prendre de l’ampleur et ses
conséquences sur la faune (il coupe l’apport en nourriture des eaux du sud) et le climat (déviation de la
trajectoire des tempêtes tropicales, déplacement des masses nuageuses vers l’est) en font de même.

v) Modification de la répartition géographique de la faune et de la flore


Les scientifiques constatent que certaines espèces animales et végétales ont tendance à migrer vers le
nord. Une équipe de scientifiques suivant les vols migratoires des oiseaux (le STOC) a, par exemple, mis en
évidence que les routes migratoires se sont déplacées de 100 km vers le nord, en seulement 20 ans.

vi) Réchauffement des océans


Le réchauffement des océans influence également l’augmentation de leurs niveaux, vu que l’eau
chaude est moins dense que l’eau froide.

Sans s’attarder sur ces causes, ces faits sont indiscutables et augurent des défis qui attendent
l’humanité entière si le phénomène continue à s’amplifier.

3) Les causes du changement climatique


Il s’agit probablement d’une combinaison de nombreux facteurs, le défi étant d’être capable de
comprendre quel est le degré de responsabilité de chaque cause.

La pollution est citée en premier, notamment à cause de l’émission de plus en plus importante de gaz à
effet de serre. Qu’est-ce au juste ? Il s’agit d’un gaz absorbant le rayonnement infrarouge émis par la surface
terrestre. Cela fonctionne comme le vitrage d’une serre : ils laissent rentrer le rayonnement solaire mais
l’empêchent de ressortir, ce qui entraîne une augmentation de la température de l’atmosphère.

Le plus connu est le CO2, mais citons aussi le méthane ou l’ozone troposphérique. Les CFC, utilisés
dans les appareils produisant du froid (frigos, climatiseurs, etc.), sont aussi problématiques.

a) Gaz à effet de serre, émissions de CO2 et protocole de Kyoto


Le CO2 est un gaz à effet de serre à longue durée de vie, à peu près 100 ans (postulat du Giec, les
opposants parlent de 20 ans maximum). Ce qui veut dire que les efforts pour limiter ou diminuer ses
émissions ne seront effectifs que dans un siècle. Le CO 2 est produit par la combustion des énergies fossiles
(charbon, pétrole et gaz naturel). La déforestation est également une cause de l’augmentation du CO 2 dans
l’atmosphère, les végétaux consommant du CO 2 et rejetant de l’oxygène. L’agriculture et plus
particulièrement l’élevage de bovins représente également une grande source de production de CO 2 (en fait
de méthane, qui se dégrade ensuite en gaz carbonique).

Si ce problème commence à devenir inquiétant dès les années 1960, il ne fait que s’amplifier. Au
départ seuls l’Amérique du nord et l’Europe étaient responsables de la majorité de ces émissions. Avec les
développements économiques de pays comme la Chine, l’Inde et le Brésil, le risque de surémission grandit
encore (production d’énergie, parc automobile en plein boum), tandis que la technologie (notamment les
moteurs de voiture) tend à diminuer la pollution.

Signé en 1997, le protocole de Kyoto est un accord visant à réduire l’émission des gaz à effet de serre.
Entrant en vigueur en 2005, il a été ratifié par 183 pays. Les États-Unis ont refusé de le signer alors qu’ils
sont les plus gros pollueurs de la planète. Chaque pays a reçu un seuil à ne pas dépasser (55% des émissions
de 1990, sauf les pays en voie de développement qui n’ont pas d’objectif chiffré), tandis que les meilleurs
élèves peuvent vendre des « permis d’émission ». Ce mécanisme a été « vertement » critiqué par les
environnementalistes.

b) Protocole de Kyoto, l’Europe, les USA et les pays émergents

c) L’Union européenne, ainsi que les pays directement sous la menace


des conséquences du changement climatique, ont été les plus ardents
défenseurs du plan. Les États-Unis refusent de le signer car les pays
émergents n’ont pas d’objectif chiffré, alors que ces pays estiment que
les nations industrialisées, responsables de la situation actuelle,
doivent régler le problème qu’ils ont créé.

4) Conséquences
a) Les conséquences environnementales du changement climatique
Dignes d’un scénario de film-catastrophe hollywoodien, les conséquences du réchauffement
climatique sont nombreuses. Elles provoquent de nombreuses catastrophes naturelles, impactent nos
écosystèmes et pourraient entraîner de nombreux bouleversements à l’échelle planétaire.

i) Extinction de la faune et de la flore


La modification ou la disparition des écosystèmes menacent directement de nombreuses espèces. On
peut citer l’ours blanc comme exemple emblématique. Le Giec estime que 20-30% des espèces seront
exposées à un risque accru de disparition si la température augment de 1,5 à 2,5 degrés. Si ce chiffre devait
atteindre 3,5, le pourcentage grimperait à 40-70%.

ii) Inondations, sécheresses et intensification des tempêtes tropicales


Les catastrophes naturelles liées au climat, comme les inondations, les ouragans, la sécheresse, les
incendies de forêt, etc., risquent de s’intensifier, fragilisant encore plus les populations devant y faire face.
Ceci pourrait être un frein au développement de nombreux pays, par exemple le Bangladesh.
iii) Conséquence du réchauffement climatique sur l’agriculture
Dans un premier temps le Giec estime que le réchauffement climatique pourrait profiter à l’agriculture
des pays tempérés, tandis que les zones arides, devenant de plus en plus sèches, devraient faire face à de
grosses difficultés.

iv) Modification du Gulf Stream


Le Gulf Stream, ce courant marin de l’Océan Atlantique amenant de la chaleur des côtes de Virginie
vers l’Europe, pourrait être modifié, voire disparaître. La conséquence pour l’Europe serait un
refroidissement brutal du climat. Cette hypothèse est un exemple prouvant que le réchauffement climatique
peut avoir des conséquences surprenantes, les causes et les conséquences étant incroyablement complexes.

b) Conséquences géopolitiques et humaines du changement climatique


Des zones actuellement habitées pourraient devenir inhabitables à cause de la désertification, certains
territoires être chassés de ses habitants par l’élévation du niveau de la mer. Des espèces animales et végétales
sont menacées d’extinction.

i) Iles et régions côtières menacées


Le Giec prévoit une élévation du niveau des océans de quelques dizaines de centimètres. Cette
augmentation du niveau de la mer menace directement de nombreuses îles du Pacifique, dont l’altitude ne
dépasse pas les quelques mètres. Catastrophisme malsain ? Pas vraiment, car une île habitée a déjà été rayée
de la carte, en 2006 : il s’agit de Lohachara, dans le delta du Gange, en Inde. Une douzaine d’autres îles
indiennes seraient aussi sur le point de disparaître d’après l’Université Jadavpur de Calcutta.

Les îles Cartets, en Papouasie Nouvelle-Guinée, devraient subir le même sort. Si les îles sont sujettes
aux inondations, de nombreux territoires continentaux sont aussi sous la menace. Les Pays-Bas, dont
d’immenses superficies sont situées en dessous du niveau de la mer, Venise, le Bangladesh, l’Égypte et bien
d’autres observent avec anxiété ces marées qui ne cessent de gagner du terrain.

ii) Flux migratoires et conséquences politiques


Pour toutes les raisons citées plus haut, certaines populations n’auront pas d’autre choix que de
prendre le chemin de l’exil, n’ayant plus les moyens de survivre dans leur environnement. En cas de
disparition complète du pays (par exemple les Maldives), où ces « réfugiés climatologiques » iront-ils ? Leur
pays existera-t-il encore ? Jamais l’humanité n’a été confrontée à une telle situation. Le changement
climatique pourrait provoquer des bouleversements géopolitiques.

iii) Conséquence du réchauffement climatique sur l’agriculture


Dans un premier temps le Giec estime que le réchauffement climatique pourrait profiter à l’agriculture
des pays tempérés, tandis que les zones arides, devenant de plus en plus sèches, devraient faire face à de
grosses difficultés.

On pourrait citer bien d’autres conséquences, comme la santé (par exemple l’extension des zones à
risques pour le paludisme), l’économie, etc. Il est clair que le changement climatique est susceptible de
bouleverser nos modes de vie, même s’il est difficile de prédire dans quelle mesure, tellement ses
conséquences sont nombreuses et intimement liées les unes aux autres.
5) Controverse concernant le changement climatique
Il existe depuis peu une controverse dans le monde scientifique concernant le réchauffement
climatique. Le pavé dans la marre fut lancé lorsque plus de 31 000 scientifiques américains signèrent un
texte affirmant qu'il n'y a aucune preuve tangible que nos rejets de CO 2 soient susceptibles d'entrainer une
augmentation catastrophique des températures sur terre.

Il faut prendre ce chiffre de 31 000 avec précaution, le statut de scientifique n'étant que déclaratif… Le
texte ne dit pas que c’est faux, mais insiste sur le fait qu’il ne s’agit que d’une hypothèse. Certains
scientifiques accusent le Giec de baser ses conclusions sur des données erronées. Certains ont même relevé
des erreurs, si bien que la partialité du Giec a été remise en cause par les sceptiques. Certains accusent même
le groupe d’exagérer les chiffres. Erreurs involontaires ou pas ? La responsabilité de l’activité humaine dans
le changement climatique étant le courant de pensée dominant, on peut concevoir qu’il ne soit pas aisé pour
un jeune scientifique de le remettre en question.

Le problème des lobbies vient aussi brouiller les cartes, les deux camps s’accusant mutuellement
d’impartialité. Les « réchauffistes » seraient à la solde des environnementalistes, tandis que les grands
groupes pétroliers tireraient les ficelles du côté des sceptiques.

Le débat ne fait que commencer, la presse en fait timidement état, et nul doute que cela aille crescendo
dans les prochaines années. Pour les raisons citées, il est très difficile pour un citoyen lambda de se faire une
opinion. La matière est tellement complexe, qui a le temps d’étudier tous ces sujets, de tous les points de
vue ?

Cependant, dans le doute, doit-on courir le risque d’aller au devant de graves problèmes, sous prétexte
que l’on n’a pas de preuves ? Comme toujours, le principe de précaution devrait prévaloir. Tout le monde ou
presque est d’accord pour dire que nous devons prendre soin de notre planète, qu’il y a actuellement un
problème.

Il nous semble que la vérité doit éclater, mais quelle qu’elle soit, cela ne doit pas nous dédouaner des
responsabilités qui sont les nôtres en matière d’environnement. Il serait regrettable que cette polémique,
saine et indispensable dans toute démocratie, nuise à l'idéal écologique. L'écologie, avant d'être une
idéologie, est une question de bon sens.

6) Sources
Le contenu de ce document provient d’informations trouvées sur le site http://www.changement-
climatique.fr/(consulté en février 2018)

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