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2) Analyse des documents livre page 40 à la page 43 pour répondre aux problématiques
suivantes : Comment différencier la météo du climat ? et quels sont les indicateurs utilisés
permettant de les décrire ?
Bilan
Objectif :
Importance de l’étude d’indices géologiques comme les pollens ou éléments dans les
glaciers pour retracer l’histoire
Montrer que les GES ( doc 2 page 48 ) absorbent dans l’infrarouge , possèdent des
temps de résidence et des pouvoirs réchauffant variable tout en faisant le lien avec le
bilan radiatif
Montrer le rôle stabilisateur de la végétation ( doc 4 page 49)
Bilan
Activité 3 :
2) Exercice 12 page 59
Bilan
Les océans accumulent dans leurs couches superficielles 95 % du surplus énergie lié au
forçage radiatif. Ceci a pour conséquence une dilatation thermique élevant le niveau de la
mer, phénomène accentué par la fonte des glaces continentales. Sur une courte échelle de
temps ( quelques décennies) , les océans exercent un rôle amortisseur sur l’augmentation de
la température moyenne globale car ils se réchauffent moins vite que l’atmosphère. Sur une
longue échelle ( plusieurs siècles ) , la chaleur océanique accumulée retournera dans
l’atmosphère rendant ainsi le réchauffement irréversible ce qui peut subitement augmenter
les GES , donc provoquer une augmentation de la température.
Problématique : Comment les observations des paramètres sociaux-économiques , les
éléments théoriques et les modélisations numériques permettent d’évaluer la part des
émissions réellement associables aux activités humaines ?
Activité 4
2) Utilisation du site Global carbon Atlas pour identifier les Émissions de CO2 en
tonnes/habitant/an et Émissions de CO2 en kg de CO2/PIB pour faire un tableau de la Chine,
États-Unis, Inde , Russie, Japon , France.
4) Simulation et recherche sur les différents pays pour éventuellement une simulation type
MUN
Bilan
Au cours de ces 800 000 ans dernières années, la température a connu des variations
naturelles mais jamais aussi rapides qu’au cours du réchauffement climatique global observé
depuis le début de l’ère industrielle ( environs +1 ̐C depuis le début du siècle dernier). ( doc
2 page 65) . Parallèlement , jamais la concentration atmosphérique en CO2 n’a augmenté
aussi rapidement qu’actuellement ; ainsi , le seuil des 400 ppm a été dépassé en 2014 pour
la première fois depuis 800 000 ans ( doc 2 page 65 et doc 4 page 47) . Le réchauffement
climatique global récent traduit un bilan radiatif déséquilibré et positif. Ce phénomène est
provoqué par l’augmentation de la teneur en GES dans l’atmosphère en partie d’origine
anthropique ( doc 3 page 65) . Quatre gaz principaux ( H20 , CO2 , CH4 , et N2O) , issus des
activités humaines telles que : la deforestation, production agricole, rejet d’usine ( doc 1
page 64) , piègent une plus grande fraction du rayonnement infrarouge émis par la surface
de la Terre. En retour ils émettent un rayonnement infrarouge vers le sol entraînant un
réchauffement de la température de surface. D’après le site Global Carbon Atlas, les 5
principaux pays émetteurs de GES ( et en particulier de C02) en 2018 étaient la Chine ( avec
environs 10 000 Mt de CO2) , les États -Unis ( environs 5 400 Mt de CO2), L’Inde ( environs 2
600 Mt de CO2) , la Russie ( environs 1 700 Mt de CO2) et enfin le Japon ( 1 100 Mt) . Quant à
la France , elle est responsable de l’émission d’environs 340 Mt soit 3,4% des émission
Chinoise. Le paramètre le plus pertinent à utiliser est l’émissions de CO2 en kg de CO2/PIB,
puisqu’il permet de révéler comment la production de richesse génère de CO 2 via l’activité
économique. L’augmentation des besoins et l’emergence d’une classe sociale plus aisés
dont les individus sont de plus en plus nombreux contribue a générer plus de richesse.