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MORICE NINO

WEBER LEO
LABBÉ THOMAS
TP n°7

K. ABED–MERAIM

Sujet n°E

Calcul des sollicitations et des


déformations d'une structure d'un ouvrage
simple à l'aide d'un logiciel professionnel

(SAÉ 2.04)

Objet du mini projet : Dimensionnement de l’ossature d’un plancher simple.


Table des matières

INTRODUCTION....................................................................................................................... 1
I – Les démarches de vérifications ............................................................................................... 2
1) Le plancher .................................................................................................................................. 2
2) Les solives ................................................................................................................................... 4
3) La poutre principale..................................................................................................................... 5
II – La route vers l’optimisation .................................................................................................. 7
1) Le plancher .................................................................................................................................. 7
2) Les solives ................................................................................................................................... 8
3) La poutre principale................................................................................................................... 10
CONCLUSION ......................................................................................................................... 11
SAÉ 2.04 I.U.T. La Rochelle G.C.C.D. Semestre n°2

INTRODUCTION
Par le biais de ce rapport, nous vous présentons nos solutions vis-à-vis de votre demande
d’élévation d’un étage de la salle TP RDM-Bois. Au fil de votre lecture, vous allez observer
notre démarche et nos décisions réalisées afin de proposer un dimensionnement du plancher
optimale avec un rendement économique en votre faveur.
L’ossature du plancher haut de cette salle présente une poutre principale avec deux
rangées de solives supportant le plancher. Plus précisément, nous avions une tôle en acier de
10mm faisant office de plancher, les solives sont des IPE 180 et la poutre principale est un IPE
550.
Sur une surface totale de 105 m², nous avons comme consignes de votre part de vérifier
si l’installation d’origine supporterait une charge d’exploitation de 5kN/m² sur une rangée de
solives. Puis, en fonction de nos résultats, nous avons redimensionné cette ossature afin d’en
obtenir les meilleurs rendements.
Vous trouverez tout d’abord nos démarches de vérifications (plancher, solives, poutre
principale), ensuite, notre optimisation de ces mêmes composants et finalement vous obtiendrait notre
solution finale à votre appel d’offres.

Figure 1: plan de structure bois salle existante

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I – Les démarches de vérifications

Avant tout, nous avons calculé l’entraxe maximal entre solives comme ceci :
a+ = Ltot – bsolives + nbsolives – nbespacements * Lespacement + bsolive
= 9970 – 91*16 - 14*566+ 91
= 590 +91 = 681 mm = 68,1 cm

S1 S2
a+

Pour la future ossature de notre plancher l’entraxe maximal des solives (excluant les
solives aux extrémités) se devront d’être au maximum de 68,1 cm.

1) Le plancher
Nous pouvons dorénavant procéder à la vérification du plancher, en considérant la longueur
du plancher (Lpl) de 59 cm, voici les calculs que nous avons réalisés,

Schéma mécanique de la situation :

q2
q1

0, 590 m

➔ q1perm pl = g * ρacier * epl

= 9,81*7800*0,01 = 765,18 N/m qtot = 5765,18 N/m

➔ q2exp pl = Q = 5000 N/m

Nous appliquons les coefficients de pondération des états limites ultimes (ELU), 1.33
pour les charges permanentes et 1.5 pour les charges d’exploitation,

ELU = 1,33*q1 + 1,5*q2 = 8517,689 N/m

Par la suite, sachant que la poutre est fléchie, alors :

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𝑞𝐿²
8
Mf max

0 L

Par le calcul des réactions d’appui, on obtient un moment fléchissant maximal égal à
370,626 N/m.

 Voici nos calculs :

Rax = 0 ;
8517,689∗0,590
Ray = = 2 512,718 N ;
2
Rby = Ray
1
 Puis, sachant que Mf est maximal en x = 2 𝐿

8517,689∗0,590²
Mf = = 370,626 N.m
8

 Nous possédons le moment fléchissant, dorénavant il est nécessaire d’avoir l’inertie du plancher,
𝑏∗ℎ 3
nous savons que Iy = 12
donc,

0,590∗0,013
Iy pl = = 4,92 ∗ 10−8 𝑚4
12

−𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 ℎ
 La contrainte du plancher peut être déterminé, sachant que σ = ∗ donc,
𝐼𝑦 2

−370,626
σ pl = 4,92∗10−8 ∗ −0,005 = 37,69 𝑀𝑃𝑎 ; 37,69 Mpa < 240MPa (σadm)

Ceci nous permet d’affirmer que le plancher ne succombera pas face aux charges qui lui
seront appliquées.

Cependant, ce n’est pas suffisant pour dire que le plancher est totalement vérifié, nous
−5 𝑞𝐿4
avons contrôlé la flèche maximale de ce dernier. Sachant qu’ici fmax = 384 ∗ 𝐸∗𝐼𝑦 avec q total
non pondéré, donc,

−5 5765,18∗0,5904
fmax pl = 384 ∗ 210∗109∗4,92∗10−8 = 0,88 mm ; 0,88 mm < 1,97 mm (fmax adm L/300)

Maintenant, nous pouvons prétendre avoir vérifié le plancher car la contrainte et la


flèche sont en dessous de leurs limites admissibles.

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Figure 2: Vérification du plancher avec rdm6

2) Les solives
Nous avons répété le même procédé pour les solives,

Schéma mécanique de la situation :

q3
q2
q1

5,24 m

 Nous avons trouvé la surface de section d’un IPE 180 dans l’annexe n°1, S =23,90*10-4 m²

➔ q1perm s = g * ρacier * SIPE 180 = 9,81 * 7800 * 23,90*10-4 = 182,88 N/m


+
➔ q2perm s = g ∗ ρacier ∗ e pl ∗ a+a2 = 9,81 ∗ 7800 ∗ 0,01 ∗ ((0,566+0,590+0,091∗2)
2
) = 511,91𝑁/𝑚
𝑎+𝑎+ (0,566+0,590+0,091∗2)
➔ q3exp s = 𝑄 ∗ = 5000 ∗ ( ) = 3 345 𝑁/𝑚
2 2

 La somme de ces forces est égale à 4039,78 N/m, ELU = 5 941,56 N/m

𝑞𝐿²
Avec Ls = 5,24 m, sous la même configuration, Mf max = , donc
8
5,242
5 941,56∗( )
2
 Ici, Ray = Rby = = 15 566,89 𝑁
5,24
5 941,56∗5,242
Mf max = = 20 392,63 𝑁. 𝑚
8

−𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 ℎ
 De la même manière, σ = ∗ 2 avec, Iy = 1317*10-8 𝑚4 et h = 18 cm
𝐼𝑦

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20 392,63
σs = − ∗ (−0,09) = 139,36 𝑀𝑃𝑎 ; 139,36 Mpa < 240MPa (σadm)
1317∗10−8

−5 𝑞𝐿4 −5 4039,78∗5,244
 De même, fmax = ∗ donc, fmax s = 384 ∗ 210∗109∗1317∗10−8 = 1,43 𝑐𝑚 ; 1,43 cm < 1,75
384 𝐸∗𝐼𝑦
cm (fmax adm L/300)

Nous avons vérifié les solives et nous constatons que la contrainte et la flèche sont en
dessous de leurs limites admissibles donc, maintenant, nous pouvons nous pencher sur la poutre
principale.

Figure 3 : Vérification des solives avec rdm6

3) La poutre principale
Schéma mécanique de la situation :

q4
q3
q2
q1

9,46 m

 Nous avons trouvé la surface de section d’un IPE 550 dans l’annexe n°1, S =134*10-4 m²

➔ q1perm pp = g * ρacier * SIPE 550 = 9,81 * 7800 * 134*10-4 = 1 025,34 N/m


(𝑛𝑏 𝑠−4)∗ρacier∗g∗Ls∗Ss 28∗7800∗9,81∗5,24∗23,90∗10−4
➔ q2perm pp = 2∗𝐿𝑝𝑝
= 2∗9,46
= 1 418,17 𝑁/𝑚
ρacier∗g∗epl∗Stot 7800∗9,81∗0,01∗105,58
➔q3perm pp = 2∗𝐿𝑝𝑝
= 2∗9,46
= 4 270,06 𝑁/𝑚
𝑆𝑡𝑜𝑡 105,58
➔ q4exp pp = 𝑄 ∗ 4∗𝐿𝑝𝑝 = 5000 ∗ 4∗9,46 = 13 951,15 𝑁/𝑚

 La somme de ces forces est égale à 20 664,72 N/m, ELU = 29 855,78 N/m

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𝑞𝐿²
Avec Lpp = 9,46 m, sous la même configuration, Mf max = , donc
8
9,462
29 855,78 ∗( )
 Ici, Ray = Rby =
9,46
2
= 141 217,82 𝑁
2
Mf max = 29 855,78
8
∗9,46
= 333 980,14 𝑁. 𝑚

−𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 ℎ
 De la même manière, σ = ∗ 2 avec, Iy = 67 120*10-8 𝑚4 et h = 55 cm
𝐼𝑦

333 980,14
σpp = − 67 120∗10−8 ∗ (−0,0275) = 136,84 𝑀𝑃𝑎 ; 136,84 Mpa < 240MPa (σadm)

−5 𝑞𝐿4 −5 20 664,72∗9,464
 De même, fmax = 384 ∗ 𝐸∗𝐼𝑦 donc, fmax pp = 384 ∗ 210∗109∗67 120∗10−8 = 1,53 𝑐𝑚 ; 1,53 cm < 3,15
cm (fmax adm L/300)

Nous avons vérifié la poutre principale et nous constatons que la contrainte et la flèche sont
en dessous de leurs limites admissibles.

Figure 4 : Vérification de la poutre principale avec rdm6

Par ailleurs, voici comment vont être mises en place les solives sur la poutre principale.

Figure 6 : Coupe de l’ossature du plancher

Figure 5 : Montage des IPE ensemble

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II – La route vers l’optimisation

Cette première partie a montré que dans cette configuration, l’ossature supporterait
parfaitement l’extension que nous voulons réaliser au-dessus, en revanche, se contenter de ceci
ne convient pas en matière d’optimisation, vous allez comprendre que nous pouvons réduire les
éléments de cette ossature pour que cette dernière soit parfaitement adaptée à son utilisation.

1) Le plancher
Commençons par le plancher, le schéma mécanique est le même que lors de la
vérification. Donc nous avons conservé le même Mfmax de 370,626 N.m.

Nous optons pour une réduction de 2mm :

−𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 ℎ 0,590∗0,0083


 De la même manière, σ =
𝐼𝑦

2
avec, Iy = = 2,52 ∗ 10−8 𝑚4 et h = 0,008 m
12

370,626
σpl = − 2,52∗10−8 ∗ (−0,004) = 58,89 𝑀𝑃𝑎 ; 58,89 Mpa < 240MPa (σadm)

−5 𝑞𝐿4 −5 5765,18∗0,5904
 De même, fmax = ∗ donc, fmax pl = ∗ = 1,72 𝑚𝑚 ; 1,72 mm < 1,97 mm
384 𝐸∗𝐼𝑦 384 210∗109 ∗2,52∗10−8
(fmax adm L/300)

 Cependant, avec une épaisseur de 7 mm, fmax pl = 2,57 mm > 1,97 mm

Ainsi, une tôle en acier d’épaisseur 8 mm conviendra à notre configuration.

Figure 7 : Vérification du plancher optimisé avec rdm6

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2) Les solives
Nous avons poursuivi avec les solives, pour ces dernières nous avons émis l’hypothèse de
réduire les IPE d’une classe, c’est-à-dire, de les passer en IPE 160.

On recalcule un entraxe maximal à 61,14 cm, avec même schéma mécanique, mais cette
fois-ci avec une surface de section S égale à 20,10*10-4 m².

➔ q1perm s = g * ρacier * SIPE 160 = 9,81 * 7800 * 20,10*10-4 = 153,80 N/m


a+a+
➔ q2perm s = g ∗ ρacier ∗ e pl ∗
2
= 9,81 ∗ 7800 ∗ 0,008 ∗ (
(0,566+0,6114+0,082∗2)
2
) = 417,92 𝑁/𝑚

𝑎+𝑎+ (0,566+0,6114+0,082∗2)
➔ q3exp s = 𝑄 ∗ = 5000 ∗ ( ) = 3 413,57 𝑁/𝑚
2 2

 La somme de ces forces est égale à 3985,29 N/m, ELU = 5 880,75 N/m

𝑞𝐿²
Avec Ls = 5,24 m, sous la même configuration, Mf max = , donc
8
5,242
5 880,75∗( )
2
 Ici, Ray = Rby = = 15 407,55 𝑁
5,24
5 880,75∗5,242
Mf max = = 20 183,88 𝑁. 𝑚
8

−𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 ℎ
 De la même manière, σ = 𝐼𝑦
∗ 2 avec, Iy = 869*10-8 et h = 16 cm

20 183,88
σs = − ∗ (−0,08) = 185,75 𝑀𝑃𝑎 ; 185,75 Mpa < 240MPa (σadm)
869∗10−8

−5 𝑞𝐿4 −5 3985,29∗5,244
 De même, fmax = ∗ donc, fmax s = 384 ∗ 210∗109∗869∗10−8 = 2,14 𝑐𝑚 ; 2,14 cm > 1,75 cm (fmax
384 𝐸∗𝐼𝑦
adm L/300)

Nous nous apercevons que l’hypothèse de prendre des IPE 160 pour les solives se révèle impossible
car la flèche maximale est au-delà de la flèche admissible.

Figure 8 : Vérification des solives avec rdm6

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Maintenant, notre proposition est de maintenir les IPE 180, c’est pour cela que nous allons
tout de même recalculer la descente de charge avec le nouveau plancher de 8mm.

➔ q1perm s = g * ρacier * SIPE 180 = 9,81 * 7800 * 23,90*10-4 = 182,88 N/m


+
➔ q2perm s = g ∗ ρacier ∗ e pl ∗ a+a2 = 9,81 ∗ 7800 ∗ 0,008 ∗ ((0,566+0,590+0,091∗2)
2
) = 409,52 𝑁/𝑚
𝑎+𝑎 + (0,566+0,590+0,091∗2)
➔ q3exp s = 𝑄 ∗ 2
= 5000 ∗ ( 2
) = 3 345 𝑁/𝑚

 La somme de ces forces est égale à 3 937,40 N/m, ELU = 5 805,40 N/m

𝑞𝐿²
Avec Ls = 5,24 m, sous la même configuration, Mf max = , donc
8
5,242
5 805,40∗( )
2
 Ici, Ray = Rby = = 15 210,14 𝑁
5,24
5 805,40∗5,242
Mf max = = 19 925,28 𝑁. 𝑚
8

−𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 ℎ
 De la même manière, σ =
𝐼𝑦

2
avec, Iy = 1317*10-8 𝑚4 et h = 18 cm

19 925,28
σs = − ∗ (−0,09) = 136,17𝑀𝑃𝑎 ; 136,17 Mpa <
1317∗10−8
240 MPa (σadm)

−5 𝑞𝐿4 −5 3 937,40∗5,244
 De même, fmax = ∗ donc, fmax s = 384 ∗ 210∗109∗1317∗10−8 = 1,40 𝑐𝑚 ; 1,40 cm < 1,75
384 𝐸∗𝐼𝑦
cm (fmax adm L/300)

Voici les solives définitives que comportera votre ossature de plancher, nos calculs
démontrent que les solives supporteront très bien les charges qui leur seront appliquées.

Figure 9 : Vérification des solives optimisées avec rdm6

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3) La poutre principale
Finalement, nous avons constaté lors de la vérification que la poutre principale peut être
considérée comme surdimensionné vis-à-vis des charges dont elle sera soumise. Notre décision
a été d’avoir une poutre principale en IPE 450 à la place de l’ancien IPE 550.

 Nous avons trouvé la surface de section d’un IPE 450 dans l’annexe n°1, S =98,8*10-4 m²

➔ q1perm pp = g * ρacier * SIPE 450 = 9,81 * 7800 * 98,8*10-4 = 756 N/m


(𝑛𝑏 𝑠−4)∗ρacier∗g∗Ls∗Ss 28∗7800∗9,81∗5,24∗23,90∗10−4
➔ q2perm pp = 2∗𝐿𝑝𝑝
= 2∗9,46
= 1 418,17 𝑁/𝑚
ρacier∗g∗epl∗Stot 7800∗9,81∗0,008∗105,58
➔q3perm pp = 2∗𝐿𝑝𝑝
= 2∗9,46
= 3 416,05 𝑁/𝑚
𝑆𝑡𝑜𝑡 105,58
➔ q4exp pp = 𝑄 ∗ 4∗𝐿𝑝𝑝 = 5000 ∗ 4∗9,46 = 13 951,15 𝑁/𝑚

 La somme de ces forces est égale à 19 541,37 N/m, ELU = 28 361,71 N/m

𝑞𝐿²
Avec Lpp = 9,46 m, sous la même configuration, Mf max = , donc
8
9,462
28 361,71 ∗( )
 Ici, Ray = Rby =
9,46
2
= 134 150,91 𝑁
2
Mf max = 28 361,71
8
∗9,46
= 317 266,89 𝑁. 𝑚

−𝑀𝑓 𝑚𝑎𝑥 ℎ
 De la même manière, σ = 𝐼𝑦
∗ 2 avec, Iy = 33 740*10-8 𝑚4 et h = 45 cm

317 266,89
σpp = − 33 740∗10−8 ∗ (−0,0225) = 211,57 𝑀𝑃𝑎 ; 211,57 Mpa < 240MPa (σadm)

−5 𝑞𝐿4 −5 19 541,37∗9,464
 De même, fmax = 384 ∗ 𝐸∗𝐼𝑦 donc, fmax pp = 384 ∗ 210∗109∗33 740∗10−8 = 2,87 𝑐𝑚 ; 2,87 cm < 3,15 cm (fmax
adm L/300)

Nous observons que l’IPE 450 convient parfaitement pour la poutre principale, on ne
pourra pas descendre davantage dans le risque de dépasser les limites en matière de flèche
et de contrainte.

Figure 10 : Vérification de la poutre principale optimisée avec rdm6

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CONCLUSION

Pour conclure, faisons un récapitulatif de l’ossature du plancher, cette dernière sera


composée d’une tôle en acier de 8mm, supportée par 2 rangées de 16 solives de 5,24 m de
long en IPE 180, qui elle-même sont supportés par une poutre principale en IPE 450 mesurant
9,46 m de long.

Notre tâche d’optimisation a été réalisée dans l’objectif d’assurer une totale sécurité
aux futurs occupants tout en adaptant au mieux les composant de ce plancher accueillant une
cette nouvelle salle au-dessus de la salle TP RDM-Bois.

Figure 11 : Vue d’ensemble de l’ossature du plancher

Ce rapport a été écrit par Nino MORICE, Léo WEBER et Thomas LABBÉ, TP n°7

11
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ANNEXE :

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