Mesures et Essais Electrique Centre National de Qualification Professionnelle

PREPARATION ET DEROULEMENT D’UNE SEANCE DE TRAVAUX

PRATIQUES EN MESSURES ET ESSAIS

LE THEME ETUDIE est présenté comme un problème avec ses buts ou ses objectifs précis,
ses données et questions pour déboucher sur des conclusions à caractères techniques et
pratiques.

I. LA PREPARATION
I.1. Schéma de principe et Recherche de la méthode ou procédé de mesure
Principe théorique (lois, relations entre grandeurs…), discussion et justification de la
méthode pour répondre au problème posé.
I.2. Etablissement du schéma de montage
En respectant les règles du graphisme et les symboles graphiques
I.3. Identification du matériel à étudier
Dans cette partie on identifie tout le matériel nécessaire avec ses caractéristiques.
I.4. Préparation du tableau des mesures et calculs
Préciser les grandeurs maintenues constantes ; veiller au respect des symboles des
grandeurs et de leurs unités : rappeler les relations (ou les formules) de calcul utilisées.
I.5. Calculs préalables
A partir des données (1.3) faire un calcul approché pour le choix des appareilles de
mesures (Calibres, types emplacement dans le circuit).
I.6 Mode opératoire et précautions
Permettant le déroulement de l’essai suivant un ordre chronologique préétabli et tenant
compte des dangers pour la manipulation et le matériel.

II. ETUDE EXPERIMENTALE

C’est le déroulement du travail pratique en salle spécialisée.
II.1. Montage
Implantation ou disposition du matériel sur la table d’essai suivant l’ordre du schéma de
montage. Respecter les règles de câblage de la source d’énergie vers le récepteur en essais.
Câbler d’abord le circuit série de puissance (intensité) puis ensuite les circuits dérivation
(tension).Prévoir les sections des conducteurs conformes aux normes industrielles et tenir
compte de leur isolation. Vérifier le serrage des connexions et de leur état d’isolement pour la
sécurité de l’opérateur et la protection des contacts aux borniers.
Sections des conducteurs :
0- 10A : 1,5mm2
10- 20A : 2,5mm2.

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Essais de fonctionnement et mesurage

Après vérification et avec l’autorisation du professeur, procéder à l’essai à vide (charge
déconnectée), puis en charge (charge ou récepteur branché) pour amener progressivement au
point de fonctionnement nominal précisé par le constructeur. Pour le tracé d’une courbe
caractéristique cinq points suffisent en général (les répartir de la marche à vide à la marche
nominale et éventuellement en surcharge). Contrôler les grandeurs constantes.
Remplir le tableau des mesures en complétant celui préparé en I.4.
Compléter le tableau des matériels et appareils avec leurs caractéristiques essentielles
d’utilisation (Calibres, classe de précision type et rôle).
II.3. Exploitation des mesures et des résultats
Remplir le tableau des calculs. On posera tous les calculs relatifs au point de
fonctionnement nominal pour justifier et contrôler les valeurs données par le constructeur
Tracer les courbes caractéristiques (choix des échelles, identifier les axes des coordonnées
avec repaires et unités…).
Discuter des résultats, conformités avec la théorie appréciation des incertitudes.
En fin de séance, ranger appareils et conducteurs, signaler les accidents survenus, noter les
difficultés rencontrées ….

III. LE COMPTE RENDU

C'est le rapport technique présenté dans un style correct et conçu, suivant le langage
technique spécialisé.
La partie essentielle reste la conclusion personnelle qui débouche sur des considérations
pratiques (critiques justifiées des matériels, conformité aux spécifications du constructeur…).

MODEL DE COMPTE RENDU A ETABLIR PAR L’ELEVE

N°de l’essai (de la mesure) Nom :
Date : Classe

OBSERVATIONS DU CORRECTEUR NOTE :

TITRE
Sujet, thème à étudier

1. BUT
But de la mesure ou de l’essai. A partir du problème posé faire la synthèse du travail à effectuer.

2. PRINCIPE DE L’ESSAI (DE LA MESURE)

Analyse la méthode de mesure ou d’essai. Rappeler les formules théoriques utilisées et justifier le
mode opératoire le cas échéant.

3. SCHEMAS DE PRINCIPE ET DE MONTAGE

S’appliquer dans le graphisme, la présentation. respecter la symbolisation normalisée.

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4. APPAREILS ET MATERIELS
Présentation en tableau.

Nb Désignation Réf Caractéristiques Observation

- des appareils : Rôle dans le montage.
Fonction Marque - type - symbole Précautions particulières.
Classe de précision Justification éventuelle du
Résistance spécifique choix des appareils.
Calibres utilisés Particularités d’emploi des
- des machines : appareils spéciaux.
Relevé de la plaque signalétique
Consulter la notice du constructeur
- des sources de courant
- des appareils de commande,
réglage, protection :
Contacteur, inverseur, rhéostats,
potentiomètres rhéostats de
démarrage, etc.

5. DEROULEMENT DE LA MANUPILATION
Mode opératoire : analyse méthodique de la conduite de la mesure ou de l’essai, du montage et des
précautions particulières à prendre (en ce qui concerne la sécurité de l’opérateur et la protection du
matériel d’essai)

6. TABLEAU DES RELEVES DE MESURES ET CALCULS

7. CONSTRUCTION DES COURBES CARACTERISTIQUES GRAPHIQUES

ET DIAGRAMMES VECTORIELS

8. CONCLUSIONS
Exploitation des résultats obtenus, validité (appréciation des incertitudes de mesure), interprétation
des phénomènes observés (appel aux lois, aux principes théoriques).Critique justifiée et remarques
personnelles débouchant sur les applications pratiques des matériels étudies.

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APPAREILS DE MESURE UTILISES EN ELECTROTECHNIQUE

I. RENSEIGNEMENTS SUR LES APPAREILS
1. Nature du courant
a. Courant continu
L’appareil ne fonctionne qu’en courant continu seulement, le symbole ou
est porté sur son cadran.
b. Courant alternatif
L’appareil ne fonctionne seulement qu’en courant alternatif, le symbole : , est porté
sur son cadran.
c. Courant continu et alternatif
L’appareil peut être utilisé soit en courant continu soit en courant alternatif.
On les distingue par le symbole :
Remarque : actuellement les appareils disponibles sur le marché, fonctionnent en courant
continu et alternatif.
2. Tension d’isolement
Elle est inscrite dans une étoile et s’exprime en Kilovolts. C’est la valeur de la tension qui une

fois dépassée, l’appareil explose. Exemple :

Chaque appareil de mesure dispose d’une norme par exemple :

3. Signe de positionnement
Il précise la position dans laquelle le cadran de l’appareil doit être employé.

Horizontale : Verticale : Oblique :

4. Echelle
C’est le nombre total de divisions que comporte le cadran de l’appareil
5. Calibre de l’appareil
C’est la plus forte valeur que l’appareil peut supporter. Il existe des appareils à un calibre et à
plusieurs calibres.
6. Classe d’un ’appareil de mesure
La classe d’un appareil de mesure est le nombre qui donne en pourcentage de la déviation
maximale (calibre), l’erreur absolue maximale que l’on risque de commettre sur une mesure.
Elle est indiquée au dessus ou à coté du signe de positionnement. La précision d’un appareil
dépend donc de sa classe.
Un appareil utilisable en courant continu et en courant alternatif dispose de deux classes et la
plus grande marquée généralement au rouge représente celle du courant alternatif. Selon leur
classe, les appareils sont :
Etalons : 0,1 – 0,2%
Contrôleurs : 0, 5 – 1%
Industriels : 1,5 – 2,5%

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7. Types d’appareils
a. Les appareils Magnéto - électriques ne peuvent être utilisés qu’en courant

continu. On les reconnaît par le symbole :

b. Les appareils Magnéto - électriques avec redresseur peuvent être utilisés en

courant continu et en courant alternatif. On les reconnaît par le symbole :

c. Les appareils dits ferromagnétiques, les plus courants peuvent être utilisés en

courant alternatif et en courant continu. Ils se distinguent par le symbole :

d. Les appareils dits Electrodynamiques peuvent être utilisés en courant continu

et en courant alternatif. On les reconnaît par le symbole :

II. Utilisation des appareils

1. Généralités
Nous distinguons :
- les appareils Numériques, où la lecture est directe : un chiffre égale à la valeur mesurée
s’affiche sur le cadran de l’appareil. Un simple choix du calibre est nécessaire.
- les appareils analogiques où une déviation de l’aiguille est proportionnelle à la valeur
mesurée.
2. Mesure
Pour effectuer une mesure avec les appareils analogiques, on procédera comme suit :
- Choisir un calibre de lecture
- Choisir une échelle appropriée au calibre
- calculer le coefficient K en posant :
- compter sur l’échelle le nombre de divisions que l’aiguille à dévier (lecture)
- on multiplie K par la lecture pour avoir la valeur mesurée :

2.1. Choix du calibre

- Si l’ordre de grandeur de la valeur à mesurer est connu, on choisit le calibre immédiatement
supérieur à celle-ci.
- Si l’ordre de grandeur est inconnu, on choisit le calibre le plus important de l’appareil et on
procédera par des ajustements progressifs jusqu’à obtenir une déviation appréciable de
l’aiguille.
2.2. Choix de l’échelle
L’échelle de lecture représente le nombre total de divisions sur le cadran. L’échelle est choisie
de façon à simplifier et à faciliter le calcul du coefficient K. La meilleure déviation de
l’aiguille (déviation appréciable) est obtenue sur le dernier tiers de l’échelle ou cadran d’un
appareil de mesure.

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2.3. Calcul des incertitudes

L’incertitude de mesure n’est rien d’autre que l’erreur commise sur une mesure.
2.3.1. Appareil à affichage numérique : pour un appareil à affichage numérique,
l’incertitude sur la mesure est donnée dans la notice de l’appareil sous forme d’un
pourcentage de la valeur mesurée plus l’erreur due à l’affichage du dernier chiffre. Plus le
nombre de chiffre affichés est grand, meilleur est la précision.
2.3.2. Appareil analogique : pour un appareil analogique, la précision dépend de
la classe. Plus la déviation de l’aiguille est grande, meilleure est la précision de la mesure.
a. Incertitude absolue : c’est l’écart (Δ) probable entre la valeur mesurée
(approchée) et la valeur exacte qui restera toujours ignorée. L’incertitude absolue est de même
nature que la grandeur mesurée. L’incertitude absolue qui entache toute lecture effectuée sur
un calibre donné est égale à la somme arithmétique de l’incertitude de construction (classe) et
de l’incertitude de lecture.

- Incertitude de classe :

- Incertitude de lecture :

La fraction de division appréciée est généralement prise comme égale à

Remarque : Dans tous nos TP nous négligerons l’incertitude de lecture(∆l).

b. Incertitude relative : C’est le quotient de l’incertitude absolue par la valeur
mesurée. Elle s’exprime en pourcentage.

Exercice 1
Un voltmètre analogique comporte 100divisions, sur cette échelle de lecture on lit 78
divisions. Calculer la valeur de la d.d.p mesurée si le calibre utilisé est de 5V.
Solution :

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Exercice 2
Pour régler un courant d’intensité 0,8A on utilise un ampèremètre de calibre 1,5A et
comportant 75 divisions. Calculer la lecture que l’on doit avoir sur l’ampèremètre.
Solution :

Exercice 3
La valeur mesurée d’un ampèremètre est de 40A. La courbe d’étalonnage de cet appareil
indique, pour 40A une erreur de 0,2A. Calculer l’incertitude relative de la mesure. On néglige
l’incertitude de la lecture.
Solution :

Exercice 4
Un voltmètre possède les calibres 15V et 150V, son cadran comporte 150 divisions.
Pour mesurer une tension continue on se place sur le calibre 15V, la déviation de l’aiguille est
alors n1 et est égale à 120 divisions.
1. Quelle sera la lecture pour le calibre 150V.
2. Calculer la précision de la mesure pour les deux calibres, sachant que la classe de
l’appareil est de 1,5. Conclure
Solution :

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LE VOLTMETRE

1. Présentation
C’est un appareil de mesure de tension. Il doit être soumis à la tension que l’on désire
mesurer, donc il est monté en parallèle entre les deux bornes dont on veut connaître la
différence de potentiel.

Symbole :
Lorsqu’ aucune tension n’est appliquée sur le Voltmètre, l'aiguille indique 0 V .S'il
n'indique pas tout à fait 0 V, régler le à partir du petit bouton en bas de l'aiguille.
2. Branchement

Exemple de branchement
Pour mesurer la tension d'une pile LR6 de 1,5 VOLT, il faut que je connecte correctement le
voltmètre en respectant la polarité, positionner le commutateur sur une tension légèrement
supérieure à 1.5V, le calibre 10 Volts dans notre cas, afin que l’aiguille dévie normalement.

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L’AMPEREMETRE
1. Présentation
Un ampèremètre, est un appareil qui sert à mesurer l’intensité d’un courant dans une
portion de circuit. Il est donc traversé par le courant à mesurer. Il se monte toujours en série
avec l’élément qui consomme ce courant.

Symbole :
Lorsqu’ aucun courant ne circule dans le circuit, l'aiguille indique 0 .S'il n'indique pas tout
à fait 0A, régler le à partir du petit bouton en bas de l'aiguille.
2. Branchement

Exemple de branchement
Pour mesurer le courant absorbé par la lampe, on connecte l’ampèremètre en série avec la
lampe en respectant la polarité, positionner le commutateur de l’ampèremètre sur une
intensité immédiatement supérieure à 7mA, ici sur la valeur 10mA (calibre). Voir figure ci
dessus.

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TRAVAUX DIRIGES
I/ Pour mesurer la tension des prises bipolaires de 220V – 50Hz de la salle des Machines,
on met à votre disposition un appareil.
1. Vérification de l’appareil
On interprète tous les symboles portés sur l’appareil afin de s’assurer qu’il peut satisfaire
notre mesure.
2. Pour mesurer la tension disponible au niveau de chaque prise
On choisit :
 Le calibre immédiatement supérieur soit ici calibre =……………………

 L’échelle de graduation appropriée comporte ……………………………..

On détermine le coefficient de lecture K :

Le branchement est effectué, la remise à zéro est vérifiée, l’interrupteur C1 est appuyé,
l’aiguille de l’ampèremètre dévie correctement et nous relevons la lecture L =………………
Donc la mesure approchée est :

U = …………………………
3. Calculer les incertitudes
Trouver l’encadrement ou l’intervalle de confiance de la valeur exacte (erreur de lecture
négligée).
L’incertitude sur la mesure se détermine donc à l’aide de la classe de précision de l’appareil
donnée par le constructeur.

Ici la classe =……………….. , implique que :

ΔU =

La mesure s’écrit :

, soit U є

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Dans la pratique, on évalue l’incertitude en pourcentage, ce qui correspond à la précision de

la mesure (incertitude relative), soit donc :

Soit une précision de lecture de ……………………………………………………………

II/ Pour mesurer l’intensité absorbée par une lampe de 60/230A, on met à votre disposition
un appareil.
1. Vérification de l’appareil
On interprète tous les symboles portés sur l’appareil afin de s’assurer qu’il peut satisfaire
notre mesure.
2. Pour mesurer le courant dans la lampe
On choisit :
 Le calibre immédiatement supérieur à 60/230A soit ici calibre =……………………

 L’échelle de graduation appropriée comporte ……………………………..

On détermine le coefficient de lecture K :

Le branchement est effectué, la remise à zéro est vérifiée, l’interrupteur C1 est appuyé,
l’aiguille de l’ampèremètre dévie correctement et nous relevons la lecture. L =………………
Donc la mesure approchée est :

IL = …………………………

3. Calculer les incertitudes

Trouver l’encadrement ou l’intervalle de confiance de la valeur exacte (erreur de lecture
négligée).
L’incertitude sur la mesure se détermine donc à l’aide de la classe de précision de l’appareil
donnée par le constructeur.

Ici la classe =……………….. , implique que :

ΔIL =

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La mesure s’écrit :

, soit IL є

Dans la pratique, on évalue l’incertitude en pourcentage, ce qui correspond à la précision de

la mesure (incertitude relative), soit donc :

Soit une précision de lecture de ……………………………………………………………

4. Conclusion
Le calibre d’un appareil est choisi tel que la déviation de l’aiguille se situe dans le
dernier tiers son échelle, c'est-à-dire toujours utiliser …..................
……………………….possible compatible avec la valeur à mesurée : toujours prendre un
……………………………………….…………….. à la ………………………………...........
Une mesure ne peut être qu’approchée et on ne peut connaître qu’un encadrement ou un
intervalle de confiance de la valeur exacte. Quelle que soit la déviation de l’aiguille sur le
cadran on aura pour le même calibre, la même incertitude.
L’appareil le plus couramment utilisé est le multimètre. Cet appareil a plusieurs fonctions :
Voltmètre, Ampèremètre, Ohmmètre. L’utilisation d’un multimètre nécessite la sélection de la
fonction

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TRAVAUX PRATIQUE N° 01
MESURE DE TENSION
Thème : Vérification de la loi de mailles

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TRAVAUX PRATIQUE N° 02
MESURE D’INTENSITE
Thème : vérification de la loi de noeuds

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LE WATTMETRE MONOPHASE
I Présentation :
Un Wattmètre est un appareil de mesure de puissance active P :
- En courant alternatif monophasé :
- En courant continu ou cas d’une résistance : UI
Il est constitué d’un circuit:
- intensité gros fil et peu de spires donc faible résistance
- Tension fil fin et beaucoup de spires donc grande résistance.
On retrouve les deux montages possibles des circuits tension U et circuit intensité I soit les
montage AMONT et AVAL.
Le choix du calibre des circuits U et I se fait comme dans le cas d’un voltmètre et d’un
ampèremètre, le calibre de la puissance (Wattmètre) est égal au produit du calibre U par le
calibre I :

La constante de lecture du wattmètre est :

La puissance P mesurée est égale au produit de la constante de lecture par la lecture :
P=…………………
II Montage Aval :

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