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ACTIVITE HUITRE

On cherche à montrer que l'immunité inée repose sur des mécanismes très conservés au
cours de l'évolution.

Tout d'abord , on comprend qu'ils existent des relations de parenté entre les êtres vivants ,
certains être vivants possèdent des caractères homologues avec des fonctions parfois proches qui
sont hérités d'un caractère commun , ainsi , deux être vivants sont d'autant plus proches lorsqu'ils
ont un grand nombre de caractères homologues en commun , ils ont hérité de ces caractères d'un
ancêtre commun.

Ensuite , on voit dans le document 2 p292 , que plusieurs espèces possèdent des cellules
dendritiques qui sont des cellules immunitaires qui résident dans les tissus et portent des récepteurs
impliqués dans la reconnaissance des pathogènes . On voit que l'oursin , le drosophile et le lombric
possèdent des cellules dendritiques différentes à l'être humain , chez l'humain , ces cellules
possèdent de longs prolongements cytoplasmiques qui sont présents au niveau de la peau et des
muqueuses de l'appareil respiratoire. Les cellules dendritiques des humains sont différentes de celle
des drosophile.

Dans un second temps , on sait que les êtres vivants tel que le drosophile , l'humain
possèdent des récepteurs TLR qui sont associès à la reconnaissance de différentes molécules
caractéristiques .
En comparaison avec le logiciel anagène , on voit que le drosophile a une ressemblance de
11,4 % de la séquence protéique du récepteur TLR-4 avec celle de l'être humain.
On en déduis que le drosophile et l'être humain sont très éloignés , et que l'immunité innée
repose sur la reconnaissance des différentes molécules pathogènes par les récepteurs TLR4.

Pour finir , on voit que les récepteurs TLR-4 sont présents chez plusieurs espèces et que
certaines espèces ont de grandes similitudes au niveau de ce récepteur.
Par exemple , le récepteur TLR-4 du chimpanzé a 99,5 % de similitude avec le récepteur
TLR-4 de l'être humain . On en déduis que ces deux espèces ont hérités de leurs récepteurs TLR-4
d'un ancêtre commun .
Enfin , on voit que les récepteurs de certaines espèces tel que le chimpanzé sont exactement
similaire avec celui de l'humain ou se rapproche de celui ci .
On en conclue que les mécanismes de reconnaissances des molécules pathogènes impliqués
dans l'immunité innée ont été très conservés au cours de l'évolution .

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