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29/03/2014

1.Evolution
1.1Diversité et unicité du
monde vivant
 Taxonomie = science qui classe les êtres vivants en fonction de leurs
relation de parenté

 La paléontologie étudie les fossiles.

 Les fossiles sont des restes d’organismes ou des traces de leurs


activités, conservés dans les roches sédimentaires de la croûte terrestre.
 Carl Von Linné : système simplifié et hiérarchisé de classification

 Le groupe de base est l’espèce


 Les espèces sont regroupées dans des ensembles (taxons) de plus en
plus larges : genre, famille, ordre, classe, phylum (ou embranchement)
et règne.
 A première vue, le bras d’un homme, l’aile d’un oiseau, la patte avant
d’une tortue ou d’un otarie ne se ressemble guère. Et pourtant, en
regardant de près le squelette des membres de ces vertébrés, on
découvre d’étonnantes ressemblances…
 L’aile de la chauve-souris et l’aile
de la libellule présentent
d’incontestables ressemblances :
il s’agit dans les 2 cas d’une
« membrane » soutenue par une
« armature » visible et qui permet
le vol.
 En fait, la structure de ces
organes est bien différente et la
ressemblance n’est qu’une simple
analogie de fonction.
 Mais si on compare les membres antérieures ainsi que les membres
postérieures des vertébrés tétrapodes, on constate que, malgré des
formes apparemment très variées et des fonctions qui peuvent être bien
différentes (nage, vol, marche, saut,…), la plan d’organisation reste le
même. Par ailleurs, ces organes se développent de façon comparable
chez l’embryon et occupe la même place dans l’ensemble de
l’organisme. Ces organes sont qualifiés d’homologues.

 Le fait que cette structure soit commune à tout un ensemble de


vertébrés est un argument permettant de penser que ces animaux sont
apparentés, c’est-à-dire possèdent un ancêtre commun chez lequel une
structure existait.
 Convergence : organismes n’appartenant pas au même groupe, vivant
dans des régions extrêmement éloignées mais ayant des modes de vies
proches et qui se ressemblent fortement sur le plan anatomique
 Les mêmes molécules
organiques se retrouvent
chez tous les vivants : des
glucides, des lipides, des
protides et des acides
nucléiques.

 De très nombreuses
molécules se retrouvent à
l’identique chez des
organismes très différents,
tel l’ATP, transporteur
énergétique majeur de tous
les êtres vivants
 L’archéoptéryx est l’un des fossiles les plus célèbres du monde.
 L’archéoptéryx : ni un oiseau, ni un reptile mais un intermédiaire
structural

 La comparaison des squelettes de l’archéoptéryx, d’un dinosaure


tétrapode (petit dinosaure bipède) et d’un oiseau actuel montre que
l’archéoptéryx constitue une étape intermédiaire entre la classe des
reptiles et celle des oiseaux.
 Une phylogénie est une figure arborescente qui est fondée sur le concept de
descendance avec modification des caractères… Reconnaître deux états, l’un dérivé de
l’autre, c’est reconnaître une modification qui a nécessairement été transmise de
génération en génération jusqu’aux organismes que nous observons.
 Un cladogramme est un arbre qui traduit des liens de parenté, arbre
dont les nœuds(points de rencontre entre une branche-mère et deux
branches-filles) sont fondés sur des caractères dérivés exclusifs…
c’est un arbre qui traduit une distribution de structures : ce n’est
pas un arbre qui traduit un processus…En d’autres termes, le
cladogramme dit « qui partage quoi avec qui » et donc « qui est plus
proche parent de qui » et non pas « qui descend de qui ».
 Chercher la parenté est chercher le groupe frère, et non l’ancêtre. Il s’agit de chercher
pour un groupe (ou une espèce) donné, le groupe avec lequel il partage un caractère
exclusif, c’est-à-dire qu’il ne partage avec aucun autre groupe. Cela ne conduit pas à
chercher l’ancêtre au sens propre (au sens génétique) car celui-ci restera toujours
inconnaissable. Cela conduit plutôt à déduire certains des caractères que devrait
posséder cet ancêtre, caractères dérivés qui définissent le groupe.
1.2.Les mécanismes de
l’évolution
 Lamarck…
 Darwin…

 Les espèces d’organismes peuplant la Terre


descendant d’espèces ancestrales

 L’évolution s’effectue par sélection


naturelle et adaptation : il existe une
variabilité importante au sein d’une même
espèce, dans un environnement déterminé
; certaines différences sont défavorables,
d’autres sont favorables. Seuls survivent et
arrivent à l’âge adulte, donc en état de
procréer, les organismes qui bénéficient de
caractères avantageux dans leur
environnement. Ceux-ci vont transmettre
les caractères avantageux à leur
descendance.

 L’évolution des espèces est bien une


réalité…
 Exemple…??
La drépanocytose ou anémie falciforme Le paludisme
 Maladie génétique récessive. L’allèle à  Maladie due à un parasite unicellulaire
l’origine de cette maladie est l’allèle HbS du
gène codant pour la chaine B de (plasmodium) qui se développe dans le
l’hémoglobine. sang et infecte les globules rouges.
 La maladie se traduit par une déformation  Ce protozoaire accomplit l’autre partie
des globules rouges, accompagnée d’une de son cycle dans certaines espèces bien
anémie sévère. particulières de moustiques (des
 Diverses infections et des occlusions anophèles) qui vivent dans les régions
vasculaires sont des complications les plus
intertropicales, chaudes et humides.
fréquentes : l’espérance de vie des
maladies est diminuée. Les personnes C’est par une piqûre d’anophèle que le
hétérozygotes (HbS/HbA) produisent à la parasite peut être introduit dans le sang
fois de l’hémoglobine S et de humain.
l’hémoglobine normale (A) mais ne sont
pas malades.
 Dans certains pays, la fréquence de l’allèle
HbS dépasse 15%, la proportion
d’hétérozygote pouvant représenter plus
de 25% de la population (jusqu’à 40% dans
certaines régions d’Afrique)
 Exemple…??
Le gène de la globine

 Pour rendre compte de l’existence, chez


un organisme, de plusieurs gènes
différents codant pour des polypeptides
homologues, les scientifiques proposent
l’explication suivante :
- Tous les gènes sont apparentés, c’est-à-dire
proviennent d’un gène ancestral unique (ce dont
témoignent les nombreuses ressemblances
constatées)
- Le gène ancestral s’est dupliqué et la copie
obtenue s’est intégrée en un autre endroit du
génome, soit sur le même chromosome mais à un
nouveau locus, soit sur un autre chromosome
- Chaque gène a ensuite subi différentes mutations
ponctuelles, évoluant indépendamment des
autres gènes.

 Ce mécanisme de duplication-
transposition/mutation peut se produire
plusieurs fois, produisant finalement les
différents gènes d’une famille
multigénique.
 L’homme et le chimpanzé n’ont pas les
mêmes horloges du développement

 Le crane du jeune chimpanzé est très


différent de l’adulte. Jusqu’à l’âge d’un
an et demi, la position inférieure du trou
occipital permet une bipédie. Ensuite, le
déplacement progressif du trou occipital
vers l’arrière impose la quadrupédie de
l’adulte.

 Chez l’homme, cette phase est plus


lente de telle sorte que le
développement est tronqué, ce qui
maintient une morphologie crânienne
juvénile.
Les mécanismes d’isolement reproductif
entre espèces

 La différenciation des espèces par les


taxonomistes s’effectue notamment sur
base de caractères morphologiques,
mais ce critère n’est pas toujours
suffisant.

 Une espèce = un groupe de population


au sein duquel les individus peuvent,
réellement ou potentiellement, échanger
du matériel génétique, toute espèce
étant séparée des autres par isolement
reproductif

 Isolement prézygotique

 Isolement postzygotique
Deux modes d’isolement à l’origine de la
distinction des espèces
 L’évolution des populations peut
engendrer une divergence génétique
telle que les individus ne peuvent plus
s’hybrider : ce processus de spéciation
s’effectue suite à l’isolement des
populations.

 Spéciation allopatrique = les


populations se différencient après un
isolement géographique.

 Spéciation sympatrique = apparition de


nouvelles espèces dans une même
région sans qu’une barrière
géographique ne sépare les populations.
D’autres modes d’isolement sont
cependant nécessaires.
1.3.Les grandes périodes de
la vie sur terre
1.4.L’évolution de l’homme
 Le partage des caractères génétique : La parenté entre l’homme et le chimpanzé
est plus étroite qu’elle ne l’est avec les autres singes. Les comparaisons entre le
génome humain et le génome du chimpanzé ont montré une similitude de 98,7%
au niveau des séquences d’ADN. Si l’on ne compare que les séquences codant des
protéines, la similitude est de 99,2%.

 La confection et l’usage des outils : Tous les anthropomorphes sont capables de


jeter les branches en direction d’un prédateur, et notamment de l’homme, et sont
susceptibles de préparer ses « armes » potentielles en les arrachant de l’arbre.
Gorilles et chimpanzés utilisent des bâtons pour atteindre une branche couvertes
de fruits mais trop haut d’accès. L’orang-outan se protège de la pluie ou du soleil
avec du feuillage. Les chimpanzés semblent cependant les plus habiles.

 L’organisation sociale et les comportement : nous savons aujourd’hui que, comme


les hommes, les chimpanzés vivent dans les mêmes types de systèmes sociaux
communautaires, chassent, partagent la viande et certaines nourritures, utilisent
et fabriquent des outils, se font la guerre entre communautés. Comme les
hommes, les chimpanzés sont des animaux politiques. Les rapports entre
individus reposent sur des liens d’amitié, des inimitiés, des alliances, des
coalitions, des trahisons et des mensonges…
 Le plus vieil ancêtre connu = TOUMAÏ  7.106 années
 Il y a 6.106 années  ORRORIN
 Plusieurs branches à partir d’ORRORIN
 AUSTRALOPITHEQUE dont Lucy (4,2.106 et 2,2.106 années)
 HOMME avec Homo Rudolfensis et Homo Habilis (2,2.106 années)

Cerveau plus volumineux et ils taillent


des outils tranchants
 Il y a 2,2.106 années : Homo Ergaster et Homo Erectus

 A partir de là, 2 branches sont générées :


 NEANDERTAL (250000 – 110000 ans)
 HOMO SAPIENS (200000 ans ; 35000 ans en europe)  NOUS!!
2.Biodiversité et
développement durable
2.1.L’écologie
 Écologie = sciences des relations des
organismes avec le monde
environnant.

 Le champ d’étude de l’écologie est la


biosphère, fine pellicule à la surface
de la terre, où se concentre la vie et
les substances qu’elle produit.

 La biosphère comprend 3 régions :


 l’hydrosphère liquide
 l’atmosphère gazeuse
 la pédosphère solide

 La biosphère peut être subdivisée en


une multitude d’unités plus ou moins
grandes et emboîtées, les
écosystèmes

 Écosystèmes constitués par des êtres


vivants ou biocénose et par le milieu
physique qui les accueille ou biotope.
 Le mont Everest culmine à +8848 m
d’altitude et la fosse océanique
Mariannes s’enfonce à 10911m

 La zone de la biosphère comprenant


95% des êtres vivants occupe les
altitudes comprises entre -100m et
+2800m.

 Notre étoile, c’est le soleil… La


répartition du rayonnement solaire
détermine les zones climatiques qui
conditionnent la localisation des grands
écosystèmes

 L’atmosphère entoure la planète. L’air


sec est composé de 78,08% d’N, de
20,95% d’O2, et de 0,93% d’Ar et
d’autres gaz en faible proportion, dont
0,4% CO2.

 L’atmosphère contient 0,1 à 7,6% de


vapeur d’eau

 Eau et dioxyde de carbone interviennent


dans l’effet de serre assurant une
température moyenne annuele assez
stable de 15°C.
 Écosystèmes constitués par des êtres
vivants ou biocénose et par le milieu
physique qui les accueille ou biotope.

 Un biome (macroécosystème) = un
ensemble d’ écosystèmes
caractéristique d’une aire
biogéographique et nommé à partir
de la végétation et des espèces
animales qui y prédominent et y sont
adaptées.

 7 biomes terrestres importants :


forêts boréales, forêts tempérées,
garrigue et maquis, forêts tropicales,
prairies, déserts, tourndra
 Diversité génétique : chaque individu possède une multitude de caractéristiques
qui lui sont propres, reflet de la grande variabilité allélique au sein de chaque
espèce.

 Diversité des espèces : elle concerne le nombre d’espèces actuellement


répertoriées. On connait et on a décrit 2 à 3 millions d’espèces (petite partie du
nombre d’espèces). En Belgique, 32500 espèces répertoriées.
 Diversité des écosystèmes
2.2.L’étude des
écosystèmes
 Autécologie analyse chaque espèce séparément et analyse les conditions physico-
chimiques de température, de luminosité, de salinité…autrement dit les facteurs
écologiques abiotiques qui l’influencent…

 Habitat : lieu de vie précis qui offre à une espèce les ressources, biotiques et
abiotiques, nécessaires à la satisfaction de ses besoins fondamentaux, à savoir
s’abriter, s’alimenter et se reproduire.

 Niche écologique : la place ou le rôle que tient chaque espèce dans l’écosystème.
Des espèces ne peuvent coexister que si leurs niches respectives sont différentes.
 Espèces sténoèces ont des exigences très précises et ne peuvent vivre que dans
des milieux restreints

 Espèces euryèces sont tolérantes à de larges variations et seront beaucoup plus


répandues…

 L’individu peut présenter des modifications morphologiques ou physiologiques


qui lui permettent de s’accommoder à des contraintes du milieu. Ces
modifications, ni permanentes ni héréditaires, sont le résultat d’une certaines
plasticité phénotypique
 Adaptations : lorsque la pression de sélection sur une population est importante
et prolongée et qu’il existe un polymorphisme allélique, des modifications
héréditaires peuvent se répandre.

 Contraintes écologiques identiques induisent des convergences adaptatives


comme la forme du corps chez des animaux
 L’humidité et la température sont corrélés, ainsi que la luminosité et la
température, ou encore le vent et l’humidité
 Le climat est caractérisé par l’intégration de ces paramètres!

 Microclimat : conditions climatiques localisées à une zone très limitée…

Le microclimat forestier
 Les forêts ont des températures plus fraiches le jour ou en été et plus douce la
nuit ou en hiver, et l’humidité est moins variable…
La lumière
 Facteur vital pour tous les organismes photosynthétiques et qui influence les
autres organismes de diverses manières.

 Les qualités de la lumière solaire varient avec la latitude et l’altitude : l’éclairement


est important aux basses latitudes, plus faible aux latitudes élevées ; la
rayonnement ultraviolet est plus intense en altitude qu’au niveau de la mer.

 La photopériode est le rapport entre la durée du jour et la durée de la nuit. Elle


varie en fonction de l’endroit et au cours de l’année. Elle conditionne de
nombreuses activités physiologiques comme la germination, la croissance, la
floraison, la chute automnale des feuilles, l’entrée en dormance, le réveil des
bourgeons, la reproduction, la migration et l’entrée en hibernation…
La lumière
La température

 Un des facteurs écologiques principaux puisqu’elle a un impact direct sur la


présence d’eau liquide indispensable aux êtres vivants et sur la vitesse des
réactions biochimiques dont ils sont le siège.

 Espèces thermophiles ?

 Espèces psychrophiles ?

 Espèces eurythermes ?

 Espèces sténothermes ?
La température

 Germination…

 Dans les région froides et tempérées,


beaucoup de graines de plantes vivaces,
comme le merisier, le noisetier, les érables
ou bisannuelles comme la digitale pourpre,
ont besoin de passer par une période
froide pour germer : c’est la vernalisation.

 C’est le réchauffement consécutif à la


période froide qui provoque la levée de
dormance. Ce phénomène est une
adaptation à la succession des saisons. Une
graine qui germerait dès son arrivée sur le
sol donnerait une plantule qui n’aurait pas
le temps d’accumuler des réserves avant
l’arrivée du gel.
La température
L’eau

 Hygrophiles ?

 Xérophiles ?

 Mésophiles ?
Le Vent

 Vitesse : de 0 à 509 km/heure (Oklahoma, Etats Unis)

 Polinisateur pour les plantes anémophiles


La neige

 En altitude et aux hautes latitudes, la neige est un facteur primordial qui


détermine la nature des communautés végétales en limitant le
développement des arbres

 La neige a un rôle important d’isolant thermique qui limite les effets du gel.
 La pluviosité et la température sont des facteurs si importants et si
étroitement liés qu’ils délimitent des écosystèmes terrestres à l’échelle
planétaire = biomes
 Le sol est le principal facteur abiotique non climatique

 Les facteurs édaphiques influencent fortement la végétation mais aussi la


pédofaune constituée par l’ensemble des petits animaux du sol ainsi que la
microflore

 La texture mesure la granulométrie

 L’acidité donne la teneur en ions hydronium (H3O+) et est quantifiée par le pH

 La salinité mesure la concentration en HCl.


 L’organisme est un facteur écologique biotique qui joue un rôle spécifique

 La niche écologique est la place et le rôle que tient chaque population dans son
écosystème

 Dans tous les milieux, ces niches sont très variées, ce qui permet à une multitude
d’espèces de s’installer à proximité les unes des autres sans nécessairement
entrer en compétition.
2.3.Cycles de matière et
flux d’énergie au sein des
écosystèmes
Le flux d’énergie au sein d’un écosystème

http://www.youtube.com/watch?v=t0WbGQ7DFVQ
Le cycle de l’eau
Le cycle du carbone
2.4. La dynamique des
communautés
Les relations de compétition

 Dans une niche écologique où les


ressources sont limitées, les animaux
sont en compétition pour leur
alimentation ou leur reproduction.

 Lors de l’affrontement, les


organismes adoptent un
comportement de menace ou de
soumission.

 Lorsque les combats ont lieu, ils se


déroulent le plus souvent sous forme
de rituels.

 Nombreux groupes sociaux sont régit


par un ordre hiérarchique…
Les relations de compétition

 Les animaux en quête d’aliments


occupent un vaste espace, l’espace
vital, qu’ils partagent avec d’autres

 Les animaux sont régulièrement en


compétition et certains d’entre eux
s’approprient un territoire qu’ils
défendent contre les intrus. C’est
dans cette zone que l’animal établira
son abri, se nourrira, se reproduira et
élèvera ses petits. La surface du
territoire est généralement plus
restreint que l’espace vital.

 L’animal émet des signaux


d’avertissements sonores ou olfactifs
pour marquer son territoire
Les relations de coopération

 Extrêmement développées chez les


insectes sociaux  abeilles

 La vie en groupe apporte des


avantages aux individus  chasse
Des interactions nuisibles à l’un ou
l’autre des intervenants

 La prédation est la consommation


d’un organisme par un autre 
carnivore qui mange sa proie ;
herbivores qui se nourrit de végétaux

 Disparition du prédateur si proies


exterminées et que d’autres
ressources ne sont pas disponibles

 Moyen de défense des proies


Des interactions nuisibles à l’un ou
l’autre des intervenants

 Compétition d’inférence: lorsque 2


espèces utilisent une même ressource
limitée, elles se font concurrence

 Compétition d’exploitation : lorsque 2


espèces se font concurrence
indirectement pour le partage de
ressources alimentaires  extinction
d’une espèce si compétition trop forte

 Partage des ressources : chaque


espèce occupe une partie différente
d’un même habitat ou utilise des
ressources différentes
Différents modes de symbiose

 Mutualisme : relation bénéfique aux 2


espèces

 Parasitisme : relation néfaste pour


l’une des espèces

 Commensalisme : une relation


bénéfique pour une espèce, mais sans
importance pour l’autre

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