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Biologie : chapitre 3

Provenant d’un ancêtre commun, tous les organismes possèdent une certaine partie de leur
information génétique, identique chez tout le monde. Mais, des mutations qui ont lieu tout au
long de la vie, aboutissent à de nouveaux caractères, voire nouveaux allèles, ce qui explique la
grande diversité dans le monde entier. Ces mutations qui se produisent au niveau des
nucléotides ( A, T, C, et G) en interphase, sont dans la plupart du temps, conséquence d’une la
sélection naturelle. Exposée a des contraintes environnementales, des mutations
permettent l’apparition de nouveaux allèles permettant la vie dans les conditions données. On
trouve dans le monde plusieurs population avec même phénotype, pourtant ne possédant pas
une séquence nucléotidique pareille. C’est la convergence évolutive, ou de différents allèles
subissent de différentes mutations pour obtenir un même caractère, donc mémé phénotype.

Les chromosomes sont formés d’une succession de nucléotides (A, T, C et G), donc des
séquences nucléotidiques. On possède des séquences, appelle séquences codantes, ou les gène
code pour une protéine bien déterminée, mais il existe aussi une portion de l’ADN qui ne code
pas pour aucune protéine : c’est la séquence non-codante. Les microsatellites et les
minisatellites sont des séquences qui appartiennent à cette séquence non-codante et qui sont
très polymorphes. Elles sont très variables selon chaque individu, ce qui permet d’établir leurs
empreintes génétiques. Dans ces séquences-ci, les nucléotides peuvent subir des mutations,
soit par substitution, délétion, ou addition.

Les haplo groupes sont des groupes de parenté entre les hommes du monde entier définis par
les mutations portées dans leurs ADN. Tous les haplo groupes possèdent des mutations en
commun ce qui montre une origine commune mais, on a des haplo groupes qui ont plus
apparente que d’autres, ce qui dépend du nombre des mutations en commun. Plus le nombre
des mutations en commun est grand, plus les groupes son apparentés. On suppose qu’un
ancêtre commun a subi des mutations (au niveau des cellules germinales/ souches germinales)
et a transmis ces mutations de générations en générations.

(NB : plus on a des gènes hétérozygotes (2 allèles), plus on a de diversité. En Afrique, le % de


gène hétérozygotes est très forts, alors plus on s’éloigne de l’Afrique, plus le % de gènes
hétérozygotes est faible, plus la diversité et faible. Cela montre une origine africaine.)
Si un grand groupe possèdent des mêmes mutations, c’est la cause d’une convergence
évolutive, ou bien/et de migrations + reproduction.
- A cause des migrations, une diversité dans la population est présente, puisque chaque
groupes/nationalité possèdent leur mutation en commun. Et on peut aussi trouver des
allèles communs, voir des mutations communes, dans tout le pays, à cause d’une origine
commune, précisément dans l’Afrique puisqu’elle possède une grande diversité. (Donc à
cause des migrations, on voit toujours des allèles et mutations identiques même si pas
dans le même pays, et aussi une différence car chaque groupe avec même allèles vit
dans un pays)

- Quand on obtient un nouveau phénotype/caractère, et que les allèles des personnes ne


sont pas les mêmes (ne peut pas être à cause des migration), on parle d’une
convergence évolutive, parfois causée par une sélection naturelle.

Si un allèle est bénéfique dans un environnement donné, sa fréquence augmente


génération après génération dans la population. Si plusieurs populations différentes, ont
étaient exposée aux mêmes conditions de vie, et on ensuite subit des mutations
différentes pour obtenir un même phénotype, on parle de convergence évolutive. La
convergence évolutive est lorsque deux espèces différentes/ populations différentes,
développent les mêmes caractères car ils sont soumis à de mêmes contraintes
environnementaux. Donc différents allèles ont subi différentes mutations, pour obtenir
un même allèle, donc même phénotype.
NB : on peut avoir une convergence (Donc d’après la sélection naturelle et convergence
évolutive, on voit plus de diversité, et a cause de la convergence évolutique, on voit
plusieurs groupes qui ont même phénotype, même allèle, mais différentes mutations,
car on peut obtenir un même phénotype à partir de différentes mutations.)

En conclusion, tous les êtres humains viennent d’un même ancêtre qui a subi des
mutations au niveau des cellules germinales. Générations après générations, les
mutations ont augmenter et la diversité par suite. Apres la migration de plusieurs
populations, on trouve une similarité d’allèle dans tout le monde, (puisqu’ils possèdent
un ancêtre commun), et on trouve aussi de diffèrent phénotype chez les populations, a
cause de mutations qui ont eu lieu dépendamment des conditions de vie, la sélection
naturelle. On peut trouver des personnes exposées aux même contraintes, avec de
mêmes phénotypes donc même allèles, (qui on subit de différentes mutations) : c’est la
convergence évolutive.

Notion :
- Le phénotype est l’allèle dominante qui code pour le caractère d’une personne/ qu’on
peut observer.
- Si les mutations sont somatiques, elles ne sont pas transmises à la cellule-œuf, et abouti
a un cancer ou a la mort de la cellule, alors que si ces mutations sont germinales, les
mutations sont transmises a toutes ls cellules de la descendance. Cette mutation / gène
ne se trouve pas chez les parents, puisque la mutation st au niveau des gamètes.  Si la
succession de nucléotide dans un gène chez cellule œuf n’est pas identiques que celle
des parents, il y a eu une mutation au niveau du gène de l’un des parents. Cette
mutation est appelée : mutation « de novo » ou « néomutation » puisqu’elle a
récemment apparut, et n’est pas présente chez les parents.

- Pour identifier une personne on a deux moyens : premièrement le séquençage qui


permet de déterminer la nature et l’ordre d’enchainement des nucléotides de l’ADN et
met aussi en évidence les mutations qu’appartient cet individu. Ou bien une empreinte
génétique/profil génétique, ou on analyse l’ADN à partir de ses tissus biologiques, pour
l’identifier. On voit la fréquence des minisatellites et microsatellites ( le nombre de
répétitions des nucléotides varie chez chaque personnes).
-

Nb : mutation  nouveaux allèles

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