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SOMMAIRE

AVANT PROPOS …………………………………………………………………………………………………2


REMERCIEMENTS……………………………………………………………………………………………….3
INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………….4

PREMIERE PARTIE : PRESENTATION …………………………………………………………….....5

I-PRESENTATION DU CADRE……………………………………………………………..6
1-Historique …………………………………………………………………………………...6
2-Diagramme…………………………………………………………………………………11
II-DESCRIPTION DU PROJET……………………………………………………………..13
1-Le packaging final………………………………………………………………………….13
2-Le marché convoité………………………………………………………………………...13

DEUXIEME PARTIE : ETUDE DE L’OBJET TECHNIQUE…………..………………………….14

I-PROPOSITION DE SOLUTION…………………………………………………………..15
1-Produit proposé par Ncomputing………………………………………………………….15
2-Description des produits……………………………………………………………………15
II-SUGGESTION DE D’INSTALATION…………………………………………………...18
1-La configuration…………………………………………………………………………....18
2-Installation………………………………………………………………………………….18

TROISIEME PARTIE : ETUDE DE L’OEUVRE………………………………………………………20

I-DEPOIEMENT……………………………………………………………………………..21
1-Matériel et logiciel………………………………………………………………………….21
2-Architecture finale……………………………………………………………………….....22
II-EVALUATION…………………………………………………………………………….24
1-Bilan………………………………………………………………………………………...25
2-
Perspectives………………………………………………………………………………..26

CONCLUSION…………………………………………………………………………………………………...27
ANNEXES………………………………………………………………………………………………………....28

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AVANT-PROPOS

Les étudiants admissibles au BTS doivent rendre compte de leurs travaux sous
forme de rapports écrits.
Les étudiants du cycle BTS sont confrontés à cet exercice a l’occasion de leurs
stages en entreprise et des projets qui jalonnent leur formation.
La fabrication d’un mini-mémoire écrit d’une certaine longueur est un exercice
soulevant deux types de difficultés :
– Décider le contenu et la structuration : « le fond ».
– Présenter de manière cohérente et agréable : « la forme ».
Le présent document porte plus spécifiquement sur les mémoires à caractère
scientifique et technique requis à l’issue des stages et projets en seconde
année après avoir être admissible.

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REMERCIEMENTS

Je tiens à remercier avant tout mes professeurs d’informatique, dont M. Yeo


Kolotioloma, mon tuteur de stage M. Issa GANON, informaticien au ministère
de la recherche scientifique.
J'exprime également ma reconnaissance à l'ensemble des compagnons de la
DR-SIT.

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INTRODUCTION

A l’ère du 3ème millénaire, le monde ne peut se passer des nouvelles


technologies surtout dans les domaines techniques tels que l’informatique, la
télécommunication et l’électronique. Cette dernière est conçue pour résoudre
les exigences humaines.
En vue de parfaire notre formation il est soumis chaque année aux candidats
du brevet de technicien supérieur un thème d’étude.
De nos jours les différentes structures commerciales ont développé une autre
stratégie pour attirer leur clientèle .Parmi tant d’autres, nous pouvons citer les
afficheurs 7 segments. A cet effet, pour les accompagner dans cette même
optique, nous avions envisagé faire une horloge numérique.
Ce travail est effectué sur la supervision de mon encadreur.

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I- PRESENTATION DU CADRE:
1- Historique

La Recherche Scientifique a débuté sur notre territoire en 1921 avec la création


de la première station de Recherche à la Mé pour les recherches sur le palmier à
huile et suivie de la fondation de plantations expérimentales à Dabou (plantation
Robert Michaux de palmier à huile) et à Grand Drewin à Sassandra. L’objectif
est de soutenir l’effort colonial essentiellement orienté, vers l’exploitation du
café, du cacao et du bois.
De 1942 à1958 création et installation d’instituts français de recherche tel que :

l’Institut de Recherche sur les Huiles et Oléagineux (IRHO) à Port-Bouet ;


l’Institut de Recherche sur les Fruits et Agrumes (IFAC) à Azaguié ;
l’Institut de Recherche sur le Caoutchouc en Afrique (IRCA) à Brimbresso ;
l’Office de la Recherche Scientifique des Territoires d’Outre-mer (ORSTOM) à
Adiopodoumé pour étude des sols et végétaux ;
l’Institut d’Elevage et de Médecin Véterinaire Tropicale (IEMRT) à Bouaké ;
l’Institut Français du Café et du Cacao (IFCC) ;
le Centre de Recherche Océanologique (CRO) à Abidjan, de 1960 à 1970 ;
l’Institut de Recherche d’Agronomie Tropicale et des cultures vivrières
(IRAT) à Bouaké;
l’Antenne de Recherche du Centre Technique Forestier Tropical (CTFT) à
Bouaké, de 1980 à 1992;
l’Institut des Savanes (IDESSA) à Abidjan ;
trois (03) nouveaux centres universitaires (Abidjan, Abobo-Adjamé et Bouaké)
en 1992 ;
trois (03) universités autonomes (Cocody, d’Abobo-Adjamé et de Bouaké) en
lieu et place des centres universitaires ;
des Unités Régionales d’Enseignement Supérieur (URES).
Le Ministère de la Recherche à été crée en 1971 par feu le Président Félix
HOUPHOUET-BOIGNY.
Depuis sa création, voici les personnalités qui se sont succédé à la tête de ce
département.

Ce sont :
Feu Jean LOROUGNON GUEDE
Ministre de la Recherche Scientifique (1971-1981) ;

Feu Docteur BALLA Kéita

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Ministre de la Recherche Scientifique (1981-1983) ;


Ministre de l’Education Nationale chargé des Enseignements Secondaires et
Supérieurs et de la Recherche Scientifique (1983-1986) ;

Ministre de la Recherche Scientifique (1986-1989);


Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique (1989-
1990);

Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique de


l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (1990-1993) ;

Professeur Salif N’DIAYE


Ministre de la Recherche Scientifique (1986-1989)

Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (1989-


1990)

Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, de


l’Enseignement Technique et de la Formation Professionnelle (1990-1993)

Professeur Saliou TOURE


Ministre de l’Enseignement supérieur et de Recherche Scientifique
(1993-1998) ;

Professeur Francis VANGAH WODIE


Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (1998-
1999) ;

Professeur Sery BAILLY


Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique (du 04
janvier 2000 à 2002) ;

Docteur ZEMOGO FOFANA


Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique
(Septembre à Août 2002) ;

Monsieur GNONHITE ROGER


Ministre délégué auprès du Ministre de l’Enseignement Supérieur chargé de la
Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique (Août 2002 à mars
2003) ;

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Monsieur MAMADOU KONE


Ministre de la Recherche Scientifique (Avril 2003 à Décembre 2005) ;

Docteur CISSE IBRAHIMA (dit BACONGO)


Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique(Décembre
2005 jusqu’à ce jour)

a) MISSION DU MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT


SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche


Scientifique crée par décret N° 200605 du 08 / 02/ 2006 a pour mission
de :

a.1) développer des stratégies efficaces pour rendre au milieu


universitaire, sa vocation essentielle, à savoir, la formation de la
jeunesse ivoirienne et la recherche de solutions aux défis du
développement de notre pays ;

a.2) contribuer dans tous les domaines, au progrès social, culturel et


économique de la Côte d’Ivoire ;

a.3) former des enseignants-chercheurs aux fonctions d’enseignement


et de recherche et améliorer leur carrière universitaire.

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b) PRESENTATION ET ORGANISATION DE LA DIRECTION


GENERALE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE
L’INNOVATION TECHNOLOGIUE (DGRSIT)

La Direction Générale de la Recherche Scientifique et de l’Innovation


Technologique est située à la citée Administrative, au 16è étage de la
tour B.
Elle est dirigée par un Directeur Générale chargé de la coordination et
du suivi de la politique de programmation, de la valorisation et du suivi
de la Recherche, ainsi que de la politique définie par le Ministre de
tutelle en matière d’Innovation Technologique.

Elle comprend trois Directions Centrales :


- la Direction de la Programmation de la Recherche Scientifique ;
- la Direction de la Promotion, de la Valorisation de la Recherche et
de l’Innovation Scientifique et Technologique ;
- la Direction de l’Information Scientifique et Technologique.

Ces Directions sont dirigées chacune par un Directeur d’Administration


Centrale, nommé par décret pris en conseil des Ministres et les Sous-
Directeurs sont nommés par arrêté du Ministre.

b.1) La Direction de la Programmation de la Recherche Scientifique


(DPRS)

Placée sous la supervision du Directeur Général de la Recherche


Scientifique et de l’Innovation Technologique, la Direction de la
Programmation de la Recherche Scientifique est chargée de :

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- mettre en œuvre la politique de Recherche dans les instituts et


centres de Recherche ;
- coordonner et contrôler l’exécution des activités de recherche
menées par les instituts et centres de recherche.

La Direction de la Programmation de la Recherche Scientifique


comprend deux (02) Sous-Directions d’Administration Centrale :
- la Sous- Direction du Développement de la Recherche et des
programmes ;
- la Sous- Direction de la Programmation de la Recherche.

b.2) La Direction de la Promotion et de la Valorisation de la


Recherche et de
l’Innovation Technologique (DPVRIT)

Placée sous la supervision du Directeur Général de la Recherche


Scientifique et de l’Innovation Technologique est chargée de :
- mettre en œuvre la politique de valorisation des résultats de la
recherche ;
- coordonner la valorisation des résultats et les transferts de
technologie ;
- suivre les inventions et gérer le patrimoine scientifique.

b.3) La Direction de l’Information Scientifique et Technologique


(DIST)
Placée également sous la supervision du Directeur Général de la
Recherche Scientifique et de l’Innovation Technologique est chargée
de :

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- mettre en œuvre la politique d’information Scientifiques et


Technologique ;
- traiter et diffuser de l’information scientifique et Technologique.
Elle comprend deux (02) Sous- Directions d’administration centrale :
- la sous- Direction de la Documentation et des Archives ;
- la Sous- Direction de la Promotion des NTIC.
(Voir organigramme de la Direction Générale de la Recherche
Scientifique et de l’Innovation Technologique) ci-dessous

c) ORGANIGRAMME DE LA DIRECTION GENERALE


DE LA RECHERCHE ET DE L’INNOVATION
TECHNOLOGIQUE

DGRSIT

DPRS DPVRIT DIST

S/D S/D S/D S/D S/D S/D


DRP PR VR IT PNTIC Documents
Archives

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Légende :
DGRSIT : Direction Générale de la Recherche Scientifique et de
l’Innovation
Technologique.
DPRS : Direction de la Programmation de la Recherche Scientifique.
DPVRIT : Direction de la Promotion et de la Valorisation de la
Recherche et de
l’Innovation Technique.
DIST : Direction de l’Information Scientifique et Technique.
S/DPR : Sous-direction du Développement de la Recherche des
Programmes.
S/PR : Sous-direction la Programmation de la Recherche.
S/VR : Sous-direction de la Valorisation de la Recherche.
S/IT : Sous-direction de l’Innovation Technique.
S/PNTIC : Sous-direction Promotion des Nouvelles Technologies de
l’Information et de la Communication.
S/DA : Sous-direction Documents et Archives.

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II- DESCRIPTION DU PROJET


Ce projet a deux buts qui sont :
- permettre à plusieurs utilisateurs dispersés à l’intérieur d’un bâtiment de
se connecter à une seule unité centrale et exécutent de différentes
tâches.
- de permettre la projection d'informations sous forme de Powerpoint et
de vidéos sur des télévisions dispersées à l’intérieur d’un bâtiment.

1- Le packaging final
- Un ou plusieurs écrans d’ordinateurs, claviers, souries
- Un ou plusieurs télévisions pour deuxième cas
- Un ou plusieurs switch/routeur
- Un ou plusieurs boîtiers NComputing
- Un Mini-Serveur
- Système d'exploitation Ubuntu ou Windows

Le moyen d'acheminement des informations est le réseau Ethernet


10/100/1000 Mbps existant ou à créer.

2- Le marché convoité
Le marché convoité est celui des Etablissements scolaires (Collèges / Lycées /
Université) afin de leur permettre de diffuser de l'information dans plusieurs
endroits de l'établissement et ce de manière simultanée. Dernière contrainte,
le produit doit avoir un positionnement bon marché vis-à-vis des solutions
actuellement disponibles, très onéreuses.

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I- PROPOSITION DE SOLUTION
1- Produit proposé par Ncomputing
La combinaison de matériel NComputing (dispositifs d'accès, les clients légers,
zéro clients) et le logiciel de virtualisation (logiciel de virtualisation de bureau
vSpace) utiliser la capacité de calcul supérieure à un PC ou un serveur pour
créer plusieurs bureaux virtuels. Les solutions sont :
Le logiciel vSpace, X-series - Direct Connect, Série L - Ethernet connect
U-série - les connexions USB, M-series - sièges multiples, Desktop virtuel L300

2- Description des produits

2-1- Le logiciel vSpace

Le logiciel vSpace permet à plusieurs comptes d'utilisateurs simultanés pour


fonctionner sur une instance de système d'exploitation unique. Les dispositifs
d'accès connecter le clavier de chaque utilisateur, un moniteur et la souris à
l'hôte partagé. Chaque dispositif d'accès NComputing est doté de ports pour un
clavier, moniteur et une souris, mais ne contient pas un processeur, ni
mémoire. vSpace peut soit être déployée seule ou de concert avec d'autres
solutions de bureau virtuel de logiciels d'infrastructure (y compris Citrix,
VMware et Microsoft).
La société propose quatre gammes de produits, la série X, série L, U-série, série
M, et N-series, ainsi que d'une puce OEM.

2-2- X-series - Direct Connect

Dispositifs d'accès de la série X se connecter via un câble CAT 5 à une carte PCI
qui est installé dans un ordinateur partagé. La technologie prend en charge
jusqu'à deux cartes PCI. La distance maximale entre l'ordinateur et un dispositif
d'accès est de 10 m (33 pieds). La série X est disponible en kits qui
comprennent une carte PC et les terminaux d'accès à plusieurs, en fonction du
produit spécifique.
Dans un essai publié par Computer Aid International en Avril 2009 et menée
par trois universités africaines, le X300 s'est avéré être la solution privilégiée
lors de la mise en place des laboratoires informatiques.
2-3- Série L - Ethernet connect

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Série L - Ethernet connect


Contrairement à la série X, le NComputing série L, n’utiliser pas une carte PCI.
Dispositifs d'accès de la série L connecter le clavier de chaque utilisateur, la
souris, Padle pied USB et de suivre vers le PC partagé sur des câbles Ethernet
standard via un routeur ou un commutateur. Un serveur d'entrée de gamme
prend en charge environ 30 utilisateurs. La série L est disponible en kits qui
comprennent le logiciel vSpace de NComputing et un dispositif d'accès.

2-4- U-série - les connexions USB

U-série - les connexions USB


La série U sont les plus simples de tous de se connecter, car ils relient des ports
USB sur l'ordinateur hôte, et donc pas de commutateurs de réseau ou des
cartes PCI sont nécessaires. USB a une limite de distance inhérente.

2-5- M-series - sièges multiples

M-series - sièges multiples


Le successeur de la série X est le M300, qui apporte une nouvelle architecture
et une nouvelle limite supérieure de 45 utilisateurs par ordinateur hôte (15 à
trois clients M300 kits). Le M300 utilise le Numo 2 à base d'ARM SoC (System
on a chip) qui fournit de la vidéo HD sans excessive côté hôte de traitement.

2-6- Desktop virtuel L300

Aujourd’hui, les services informatiques des entreprises recherchent activement


des moyens plus économiques pour acquérir, déployer et gérer les postes de
travail du personnel. Si la virtualisation du desktop est considérée comme le
remède miracle à ce véritable casse-tête, les performances et le support
multimédia du desktop virtuel préoccupent toujours les utilisateurs. Pour
vaincre ces réticences, NComputing propose un terminal de nouvelle
génération qui réunit des fonctions de lecture multimédia complètes et des
outils de déploiement et de gestion simples et puissants, le tout à un prix
défiant toute concurrence : le desktop virtuel L300 avec logiciel vSpace™.
NComputing, qui domine le marché en nombre de desktopx virtuels déployés, a
vendu plus de 2,5 millions de terminaux à faible coût à travers le monde. Son
tout nouveau terminal, le desktop virtuel L300, offre des fonctions complètes
de lecture multimédia intégrant vidéo animée et plein écran, une redirection
USB transparente et une prise en charge de périphériques inégalée. Associé au
logiciel vSpace de NComputing, le modèle L300 offre désormais aux entreprises

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un moyen facile à déployer et abordable pour mettre en œuvre une


infrastructure de desktop virtuel complète en quelques heures.
Logiciel de virtualisation vSpace : optimisez votre investissement VDI
Grâce au logiciel NComputing vSpace, les entreprises optimisent les
déploiements de desktop virtuel, puisque plusieurs utilisateurs finaux peuvent
accéder simultanément à une instance unique du système d’exploitation
Windows ou Linux. Non seulement vSpace s’intègre aux déploiements de
serveur de virtualisation basés sur les solutions VMware, Citrix et Microsoft,
mais il peut également en augmenter la valeur en faisant évoluer le schéma
classique d’un seul utilisateur par desktop virtuel à trente utilisateurs par
poste. Ces possibilités ont un impact direct et positif sur les dépenses de
fonctionnement et réduisent immédiatement le coût global d’un ordinateur,
que ce soit en termes de support, de maintenance ou de remplacement.

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II- SUGGESTION DE D’INSTALATION


1- La configuration
. SUGGESTIONS DE CONFIGURATIONS MACHINES POUR LES SERIES X
Pour 1-3 Utilisateurs : CPU= 2.4 GHz ou dual core RAM= 1 GB
Pour 4-7 Utilisateurs : CPU= 3.0 GHz ou dual ou quad core RAM= 1GB - 2 GB
Pour 8-11 Utilisateurs : CPU= 3.0 GHz ou dual ou quad core RAM=2 GB et plus

2- Installation

2-1- La solution X-350


Un seul kit X350 se compose :
- du logiciel de virtualisation,
- d’une carte PCI dotée de trois (3) connecteurs,
- de cinq câbles de connexion de 10 mètres et de 3 terminaux d’accèsDeux kits
X350 peuvent être installés sur un ordinateur pour un total de 7 utilisateurs
(trois sur chacun des deux kits X350 et un sur l’ordinateur partagé). La série X
offre une pratique informatique riche aux groupes de travail en intégrant vidéo
animée et plein écran.

2-2- La Solution X-550

Le X550 prend en charge jusqu’à onze utilisateurs simultanés sur un seul


ordinateur hôte.

Un seul kit X550 se compose :

- du logiciel de virtualisation,

- d’une carte PCI dotée de cinq connecteurs,

- de cinq câbles de connexion de 10 mètres et de 5 terminaux d’accès.

Deux kits X550 peuvent être installés sur un ordinateur pour un total de onze
utilisateurs (cinq sur chacun des deux kits X550 et un sur l’ordinateur partagé).
La série X offre une pratique informatique riche aux groupes de travail en
intégrant vidéo animée et plein écran.

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2-3- Desktops virtuels L

Les ordinateurs d’aujourd’hui sont de vrais supercalculateurs. Or, la plupart des


utilisateurs n’utilisent qu’une infime partie (à peine 5%) de la puissance de
leurs machines. NComputing utilise cet excédent de capacité pour permettre à
jusqu’à 30 utilisateurs de profiter de toutes les fonctionnalités d’un ordinateur.
Ces derniers ont ainsi l’impression de posséder leur propre ordinateur, mais à
un coût bien moins élevé et sans les soucis de la maintenance.

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I- DEPOIEMENT
1- Matériel et logiciel
 Terminal L300

 Le logiciel vSpace

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Logiciel serveur vSpace


Logiciel NComputingvSpace serveur de virtualisation, inclus avec le matériel,
crée les postes de travail virtuels dans l'ordinateur partagé en divisant les
ressources de l'ordinateur en sessions indépendantes qui donnent à chaque
utilisateur de leur expérience propre PC. Le logiciel vSpace utilise affichage
exclusif de la société et le protocole de communication ("UXP") pour
communiquer entre l'ordinateur partagé et les stations d'utilisateur. UXP sert
un objectif similaire à RDP de Microsoft et ICA de Citrix.
Soutien du système d'exploitation
Le support de Linux
Linux est pris en charge par une version du serveur pour le logiciel vSpace
Linux. Actuellement, NComputing offre un support pour Ubuntu 10.04.3 32-bit
et 64-bit pour le L300 et Ubuntu 10.04.2 32-bit pour le X350. Le logiciel serveur
et des clients vSpace matériels nécessitent un enregistrement au bout de 30
jours pour la notification de mise à niveau.
Le support de Windows
Windows est pris en charge par une version du serveur vSpace pour les logiciels
Windows. Les versions supportées de Windows incluent: Windows Server 2003
R2 SP2, Windows XP SP3 (32-bit), Windows Server 2008 SP2, Windows Vista
SP21 (32-bit), Windows Server 2008 R2 SP1, Windows MultiPoint Server 2011,
Windows 7 SP1 (les deux 32 - et 64-bit). Le logiciel serveur et des clients vSpace
matériels nécessitent un enregistrement au bout de 30 jours pour la
notification de mise à niveau

2- Architecture finale

Exemple pour un câblage internet et pour 30 utilisateurs

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Exemple pour un câblage Ethernet et pour 3 utilisateurs

EXEMPLE POUR PROJECTION SUR 3 ECRANS

Pour une utilisation sous Windows Serveur, les licences d'accès clients devront
être acquittées.
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Pour le modèle X350 et le X550 c'est une carte PCI qui permet la liaison des
clients, tandis que le modèle L230 effectue cette liaison par un switch et un
câble Ethernet traditionnel. A la fin de l'année 2009, un nouveau modèle sera
disponible sur le marché, le modèle U 170, qui sera connecté directement sur
les ports USB du serveur. Ressemblant sensiblement au Modèle X 350/550, il
disposera, en plus des connexions microphone, la possibilité tant attendue de
connecter tous les périphériques USB de l'utilisateur. Ces boitiers ne
demandent pas d'entretien, ce qui réduit là aussi des postes de dépenses pour
les établissements scolaires. De plus, dans cette configuration, seul le PC hôte
serveur nécessite des scans anti-virus et des mises à jour. La virtualisation
assure que l'utilisateur particulier n'ait aucun accès aux données des autres
utilisateurs. Le système NComputing s'occupe de transporter les trajets de
signaux sous forme d'annonces et de requêtes entre le PC hôte et les appareils
respectivement connectés. De cette façon, l'utilisateur n'a plus besoin que d'un
moniteur, d'une souris et d'un clavier. Pour les établissements scolaires
utilisant le logiciel I.A.C.A, nous assurons une parfaite compatibilité avec cet
environnement, de même, le système est capable de virtualiser une adresse IP
et MAC pour chaque terminal et de l'associer à l'utilisateur afin d'assurer une
parfaite traçabilité. La société Neresys s'est largement investie afin d'apporter
aux produits Ncomputing toutes compatibilités que requiert le marché de
l'Education Nationale. Compatibilité avec l'environnement I.A.C.A, Italc, Tell me
more, gestion des adresses IP, etc.

II- EVALUATION

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1- Bilan
a) Réduction substantielle des coûts informatiques

La L-series est plus de deux fois moins chère que les ordinateurs d’entrée de
gamme, mais les économies réelles sont bien plus importantes. Sans
composants mobiles ni stockage local, les réparations sont rares et vos coûts de
maintenance sont limités, dans la mesure où vous n’avez que les ordinateurs
partagés à gérer et à mettre à niveau. Les terminaux de la L-series n’en ont pas
besoin. En fait, à chaque fois que nous effectuons une mise à jour vers la
dernière technologie, les utilisateurs des terminaux de la L-series profitent
automatiquement du gain de performances. Nous sommes soucieux de
l’environnement? Comparez la consommation de 5 watts de la L-series avec les
110 watts ou plus d’un ordinateur classique. Le terminal compact de la L-series
(environ la moitié de la taille d’un livre de poche) consomme moins d’énergie,
génère moins de chaleur, produit moins de déchets électroniques et ne fait pas
de bruit.

b) Facilité d’installation et de gestion

Lorsque nous branchons notre câble Ethernet, notre souris,le clavier et l’ecran.
On installe le logiciel de virtualisation vSpace inclus sur l’ordinateur partagé.
Cela ne prend que quelques minutes. Nous avons désormais ajouté plusieurs
utilisateurs, chacun avec son propre environnement Windows ou Linux
complet. Mieux encore: nous pouvons exécuter les applications standard, nous
évitant ainsi d’avoir à former le personnel et les utilisateurs.

c) Puissance et flexibilité

Extrêmement compact, le L130 est équipé d’une prise stéréo et prend en


charge la vidéo plein écran 16 bits. Outre ces fonctionnalités, le L230 est doté
d’un port pour disque flash USB et d’une prise micro, et prend en charge la
vidéo 24 bits. Les deux produits sont compatibles avec les modes vidéo 640 x
480, 800 x 600, 1,024 x 768, 1,280 x 1,024 et 1,440 x 900.

2- Perspectives

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La recherche scientifique au travers de ses prérogatives se doit d’être la


structure qui valorise toutes les innovations technologique et c’est en cela que
cette nouvelle technologie la NComputing doit être vulgarisée tous en
s’appuyant sur le financement privé et ceux de l’état elle doit dans un avenir
proche être en mesure de faire un bilan positif de cette nouvelle technologie
dans tous les domaines (éducation entreprises …)

CONCLUSION
Ce projet avait pour but de mettre en œuvre mes connaissances théoriques et
pratiques au service de l’Entreprise tout en me permettant de découvrir le
monde du Travail. De ce point de vue, ce stage a complètement répondu à mes

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attentes, si ce n’est dépassé, puisqu’il m’a permis de compléter mes


connaissances sur les systèmes d’exploitation Unix. De plus, mon stage a
permis de relancer des projets jusqu’alors abandonnés, par manque de temps
et de compétences, ce qui montre bien que mon travail a été réellement
bénéfique.
Je tiens à souligner un point important qui a permis le bon déroulement de ce
stage : la confiance qui m’a été accordée, ce qui m’a permis de travailler
efficacement et de manière autonome dans des situations très diverses. Par
ailleurs, les moyens mis à ma disposition et la disponibilité des membres de
l’Entreprise m’ont permis de travailler dans les meilleures conditions possibles.
Ce stage est donc pour moi une expérience très enrichissante qui m’a fait
progresser autant dans le domaine technologique que relationnel. Grâce à ces
douze semaines, j’ai une idée beaucoup plus précise du travail en entreprise et
l’assurance que je poursuis mon cursus dans la bonne voie.
Ce stage m’a conforté dans mon orientation vers les Réseaux et l’Informatique,
et plus généralement dans ma volonté de travailler plus tard dans ce domaine,
d’autant plus que ce secteur est aujourd’hui incontournable pour les
Entreprises.

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